Bastian
The Living Force
Hello. I'm going to copy here some articles from different MSM on this dramatic and curious event.
Bonsoir. Je vais copier ici des articles de différents médias sur cet évènement tragique et intrigant.
Source Le Parisien :
www.leparisien.fr
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Bonsoir. Je vais copier ici des articles de différents médias sur cet évènement tragique et intrigant.
Source Le Parisien :

Attaque à la préfecture de police de Paris : une tuerie et des questions
Quatre policiers tués. Un assaillant au profil encore brumeux. La police a en tout cas encore vécu une journée tragique au cœur même de la p
Attaque à la préfecture de police de Paris : une tuerie et des questions
Quatre policiers tués. Un assaillant au profil encore brumeux. La police a en tout cas encore vécu une journée tragique au cœur même de la préfecture parisienne.
Par Service Informations générales
Le 3 octobre 2019 à 22h21
Coup de folie individuelle ou acte terroriste mûrement réfléchi? Magistrats et enquêteurs s'interrogent toujours ce jeudi soir sur les raisons pour lesquelles un informaticien employé par la Préfecture de police de Paris (PP) s'en est pris à ses collègues dans l'enceinte même de cette institution, située sur l'île de la Cité. Un drame sans précédent.
Le bilan de l'attaque, encore provisoire, fait état de quatre policiers tués, dont une femme, et de deux blessés. L'assaillant, employé administratif au sein de la très sensible Direction du renseignement de la préfecture de police (DRPP), forte d'un millier de fonctionnaires, a été « neutralisé » alors qu'il se dirigeait vers la sortie, située face à la cathédrale Notre-Dame.
LIRE AUSSI > A Gonesse, dans le quartier où vivait l’auteur de la tuerie, c’est le choc
Le drame s'est noué en quelques minutes à la mi-journée. Tout débute au premier étage, à l'angle sud-est de l'austère forteresse policière. Vers 13 heures, pour « des motifs ignorés » selon une note interne à la PP, Mickaël H., 45 ans, frappe à coups de couteau de cuisine trois de ses collègues masculins de la Direction du renseignement, spécialisée notamment dans la lutte antiterroriste. Le meurtrier quitte ensuite les lieux. Pour descendre au rez-de-chaussée, il emprunte le large escalier C.
VIDÉO. Attaque au couteau à Paris : «3 policiers et un agent administratif ont été tués»
Par Service Informations générales
Le 3 octobre 2019 à 22h21
Coup de folie individuelle ou acte terroriste mûrement réfléchi? Magistrats et enquêteurs s'interrogent toujours ce jeudi soir sur les raisons pour lesquelles un informaticien employé par la Préfecture de police de Paris (PP) s'en est pris à ses collègues dans l'enceinte même de cette institution, située sur l'île de la Cité. Un drame sans précédent.
Le bilan de l'attaque, encore provisoire, fait état de quatre policiers tués, dont une femme, et de deux blessés. L'assaillant, employé administratif au sein de la très sensible Direction du renseignement de la préfecture de police (DRPP), forte d'un millier de fonctionnaires, a été « neutralisé » alors qu'il se dirigeait vers la sortie, située face à la cathédrale Notre-Dame.
LIRE AUSSI > A Gonesse, dans le quartier où vivait l’auteur de la tuerie, c’est le choc
Le drame s'est noué en quelques minutes à la mi-journée. Tout débute au premier étage, à l'angle sud-est de l'austère forteresse policière. Vers 13 heures, pour « des motifs ignorés » selon une note interne à la PP, Mickaël H., 45 ans, frappe à coups de couteau de cuisine trois de ses collègues masculins de la Direction du renseignement, spécialisée notamment dans la lutte antiterroriste. Le meurtrier quitte ensuite les lieux. Pour descendre au rez-de-chaussée, il emprunte le large escalier C.
VIDÉO. Attaque au couteau à Paris : «3 policiers et un agent administratif ont été tués»
Sur les marches, il croise deux femmes, l'une policière, l'autre employée administrative à la Direction des ressources humaines. La première est tuée sur le coup. La seconde, gravement blessée, doit être hospitalisée en urgence. Enfin, un policier en uniforme est touché à l'épaule. L'attaque se termine dans la cour centrale, dite du 19 août 1944, baptisée ainsi en hommage au soulèvement de la préfecture à la Libération.
Là, à deux pas du monument aux morts, Mickaël H. est tué de plusieurs tirs de fusil automatique HK G 36 par un jeune agent en faction, entré dans la police une semaine plus tôt. Le meurtrier est notamment touché à la tête.
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De nombreux fonctionnaires de la préfecture ont assisté au dernier acte de cette funeste séquence. Comme cette employée qui a observé la scène depuis la fenêtre de son bureau. « J'ai vu l'assaillant dans la cour en train de courir après un policier, décrit-elle. Ce dernier a fait plusieurs sommations en lui demandant de poser son arme mais il continuait à se diriger vers lui. Le policier a tiré. »
«Des gens couraient partout»
Selon un autre témoin de la scène, l'auteur du tir a demandé à trois reprises à l'agresseur de poser son couteau avant de faire feu. Ces détonations, en plein centre de Paris, ont immédiatement suscité une certaine panique. Emery Simandi, un interprète qui se trouvait sur place, témoigne : « Autour de moi, il n'y avait que des policiers. Dès qu'on a entendu la détonation, ils ont dégainé leur arme. Quelques instants plus tard, j'ai vu des policières en pleurs. Je me suis dit que ça devait être grave. Des gens couraient partout. »
L'attaque, dont les détails sont connus, soulève encore bien des questions sur ses motivations profondes. Personne n'aurait imaginé Mickaël H. dans la peau d'un meurtrier. Le quadragénaire faisait partie des murs depuis des années. Discret, apprécié, cet informaticien souffrant de surdité passait de bureau en bureau, disposant d'un « haut niveau d'habilitation », d'après l'un de ses collègues. Il s'était converti à l'islam, mais les perquisitions à son domicile n'ont mis en évidence aucun signe de radicalisation. Ni vidéo d'allégeance à un groupe islamiste, ni testament écrit. Il faudra attendre l'examen de son matériel informatique et de son téléphone personnels pour avoir une idée plus précise de ses fréquentations.
Un acte prémédité
Quelle que soit l'origine du drame, l'enquête s'oriente vers un « acte prémédité », selon une source proche du dossier. Les investigations laissent à penser en effet que Mickaël H. n'a pas trouvé son arme — un couteau de cuisine doté d'une lame en céramique d'une trentaine de centimètres — sur place, mais l'a apportée au sein de la préfecture de police. Les investigations sont menées par la Brigade criminelle et l'Inspection générale de la police nationale.
Elles sont coordonnées par le parquet de Paris qui a ouvert une enquête pour « homicides volontaires sur personnes dépositaires de l'autorité publique » et « tentatives d'homicides volontaires sur personnes dépositaires de l'autorité publique » afin de déterminer les « motivations du passage à l'acte » de l'auteur.

Attaque à la préfecture de police de Paris : ce que l’on sait des victimes
Trois policiers et un agent administratif sont tombés sous les coups de couteau de leur collègue.
Attaque à la préfecture de police de Paris : ce que l’on sait des victimes
Trois policiers et un agent administratif sont tombés sous les coups de couteau de leur collègue.
Par I.G.
Le 3 octobre 2019 à 22h11
Ils connaissaient les risques du métier mais ils sont morts sur leur lieu de travail, dans l'enceinte même de la Préfecture de police de Paris, sous les coups de couteau d' un de leurs collègues.
Ce jeudi, peu avant 13 heures, trois fonctionnaires appartenant à la Direction du renseignement sont frappés à l'arme blanche dans leurs bureaux : Damien, un major de 50 ans, Brice et Anthony, fonctionnaires tous deux âgés de 38 ans, gardien de la paix pour l'un, adjoint administratif pour l'autre.
Quatre morts en quelques minutes, une blessée dans un état préoccupant
Lorsqu' il quitte les lieux, l'assaillant croise une policière, Aurélia, gardienne de la paix de 39 ans, appartenant la Direction de la sécurité de proximité de l'agglomération parisienne (DSPAP), frappée à mort à son tour.
LIRE AUSSI > À Gonesse, dans le quartier où vivait l’auteur de la tuerie, c’est le choc
Une agente administrative dépendant de la Direction des ressources humaines est également blessée. Celle-ci se trouve toujours hospitalisée ce soir, dans un état jugé préoccupant.
Elle a subi une opération en urgence. Enfin, un policier a été atteint à l'épaule dans la cour de la préfecture de police. Ses jours ne sont pas en danger.

Attaque à la préfecture : l’appartement de l’assaillant perquisitionné, son épouse en garde à vue
L’agression au couteau est survenue à la mi-journée. L’auteur des faits est un agent administratif de la direction du renseignement.
Attaque à la préfecture : l’appartement de l’assaillant perquisitionné, son épouse en garde à vue
L’agression au couteau est survenue à la mi-journée. L’auteur des faits est un agent administratif de la direction du renseignement.
Par G.L., Z.L. avec I.G.
Le 3 octobre 2019 à 13h38, modifié le 3 octobre 2019 à 23h55
L'ESSENTIEL
>> Revivez minute par minute les événements :
- Un assaillant a attaqué à l’arme blanche des fonctionnaires ce jeudi à la mi-journée, dans les locaux de la préfecture de police.
- Le drame a fait quatre morts.
- L’auteur des faits est un agent administratif de la préfecture de police. Il a été abattu par un policier.
- Sa femme a été placée en garde à vue et son domicile de Gonesse (Val-d’Oise) a été perquisitionné en fin de journée.
- La préfecture de police a été confinée et un périmètre de sécurité a été installé sur l’île de la Cité.
23 heures. C'est la fin de ce direct, merci de l'avoir suivi. Vous pourrez retrouver demain toute l'actualité lié à cette attaque et son auteur sur notre site LeParisien.fr
22h26. Ce que l'on sait des victimes. Damien, un major de 50 ans, Brice et Anthony, fonctionnaires tous deux âgés de 38 ans, gardien de la paix pour l'un, adjoint administratif pour l'autre, sont t ombés les premiers. Aurélia, gardienne de la paix de 39, membre de la Direction de la sécurité de proximité de l'agglomération parisienne (DSPAP), a ensuite été tuée.
20h29. L'émotion à la préfecture de police. « Apprendre que des collègues nous ont quittés, même si je ne les connaissais pas, c'est très choquant », souffle une employée du service de l'administration des étrangers. Voici les témoignages que nous avons recueillis sur place.
LIRE AUSSI > À Gonesse, dans le quartier où vivait l’auteur de la tuerie, c’est le choc
19h37. Une minute de silence réclamée par Emmanuel Macron à Rodez (Aveyron), « pour ceux qui sont tombés ». Le président est arrivé avec plusieurs heures de retard dans cette ville de l'Aveyron où doit se tenir un débat sur la réforme des retraites. Qualifiant l'attaque de « véritable drame », il a expliqué avoir passé deux heures à la préfecture de police avec « des gens extraordinairement courageux […] des femmes et des hommes remarquables […] pour être à leurs côtés dans l'émotion et la souffrance ». Le chef de l'Etat s'est ému : « C'est un de leurs collègues qui en a abattu quatre autres. Il faut imaginer ce que ça peut leur faire… »
19h26. « Il était très fermé, comme un geek peut l'être », décrit un collègue de l'information, auteur des faits. « C'est un homme sans histoire, il ne s'est jamais montré violent », ajoute un autre. Voici notre portrait de Mickaël H.
19h07. Le voisinage est « choqué ». Les habitants de la résidence des Platanes à Gonesse (Val-d'Oise), où vivait l'auteur des faits, décrivent une famille qui « n'a jamais fait parler d'elle ». Mickael H. et son épouse, tous deux malentendants, sont parents de deux enfants, âgés de 9 et 3 ans, a appris notre journaliste sur place. Si plusieurs sources évoquent la conversion à l'islam de Mickaël H. – qui est en cours de vérification, selon un proche du dossier – rien n'accrédite à ce stade l'hypothèse d'une radicalisation.
18h35. « Nous sommes à leurs côtés ». Laurence Nunez, secrétaire d'Etat auprès du ministère de l'Intérieur, apporte son soutien aux familles et aux proches des victimes.Résidence des Platanes, à Gonesse où habitait le suspect de l' #attaquePP les voisins décrivent un couple normal. Il était bien musulman mais sans signe de radicalisation #Gonesse pic.twitter.com/Aq89yq9kHt
— Thibault Chaffotte (@thibaultchaff) October 3, 2019
17h41. L'agresseur s'appelle Mickaël H. Son domicile à Gonesse (Val-d'Oise) est actuellement perquisitionné.Aux personnels de la @prefpolice, dont j’ai fait partie, aux policiers, à nos forces de sécurité, j’adresse mon soutien et ma solidarité après le drame survenu aujourd'hui à Paris.
Mes premières pensées vont aux familles et aux proches de victimes.
Nous sommes à leurs côtés.
— Laurent Nunez (@NunezLaurent) October 3, 2019
L’immeuble où vivait Mickaël H. à Gonesse./LP/THIBAULT CHAFFOTTE![]()
17h30. Les enquêteurs explorent notamment la piste d'un conflit personnel, selon des sources concordantes.
17h10. La femme du suspect placée en garde à vue, selon le parquet de Paris.
16h39. Une enquête ouverte pour « homicide volontaire sur personne dépositaire de l'autorité publique » et « tentative d'homicide volontaire sur personne dépositaire de l'autorité publique », informe le procureur de Paris Rémy Heitz.
16h35. « Juste un fonctionnaire a priori modèle », dit Christophe Castaner, qui s'exprime depuis l'île de la Cité. Cet informaticien de 45 ans n'a « jamais présenté de difficultés comportementales » à la préfecture où il travaillait depuis 2003, dit le ministère de l'Intérieur. Il était fonctionnaire de catégorie C.
16h34. Une perquisition est en cours à Gonesse (Val-d'Oise) où vivait l'assaillant.
16h29. Christophe Castaner reporte ses déplacements. Le ministre de l'Intérieur devait se rendre en Turquie et en Grèce. Il devrait s'exprimer sur l'attaque dans quelques minutes.
16h13. Deux agents de la préfecture ont assisté au décès de l'assaillant. Ils témoignent. « J'ai vu un homme avec un couteau à la main. Il courait après un policier. Il a fait les sommations mais il ne s'est pas arrêté et le policier a tiré. Au début j'ai cru à un exercice mais non. On a été confinés dans nos bureaux avant d'être évacués », nous confie une femme. Son collègue, un homme, explique : « Le policier qui faisait une pause de garde a fait trois sommations mais l'assaillant ne s'est pas arrêté. Il a tiré deux coups de feu et j'ai vu l'homme tomber. »
16h06. Ce qu'il s'est passé. Vers 13 heures, à l'aide d'une arme blanche, l'auteur des faits s'en est pris à trois policiers dans deux bureaux du premier étage de la préfecture. L'homme a ensuite pris la direction des escaliers, où il a agressé deux femmes avec un couteau de cuisine. Dans la cour du 19 août 1944, un policier lui a intimé l'ordre de lâcher son couteau puis a tiré : il l'a blessé mortellement à la tête.
L’homme a été mortellement blessé à la tête par un policier. /DR![]()
15h51. « On nous a tout de suite demandé le confinement », nous raconte une employée de la préfecture. « On a été informé par téléphone qu'une personne avait été abattue au rez-de-chaussée. On nous a tout de suite demandé le confinement. On n'avait pas du tout d'informations sauf celles des médias. L'ambiance était très très pesante. Les collègues étaient stressés et angoissés. »
VIDEO. Paris : un employé de la préfecture de police tue 4 personnes au couteau
15h46. « Autour de moi il n'y avait que des policiers, ils ont immédiatement tous dégainé leur arme ». Emery, interprète, se trouvait dans la préfecture au moment de l'attaque. Voici son témoignage.
15h37. Les victimes sont une femme et trois hommes. Il s'agit d'un agent administratif et de trois policiers.
15h24. Cédric Villani : « Nous sommes tous sous le choc de cette terrible attaque ». Le candidat à la mairie de Paris exprime ses « premières pensées » aux victimes et à leurs proches. Le mathématicien « apporte son soutien aux forces de l'ordre et au personnel de la Préfecture ».
15h20. Emmanuel Macron est sur place. Le président est venu « témoigner son soutien et sa solidarité à l'ensemble des personnels ».Nous sommes tous sous le choc de cette terrible attaque à la Préfecture de Police de Paris. Mes premières pensées vont aux victimes et à leurs proches. Je tiens à remercier les services de secours et à apporter mon soutien aux forces de l’ordre et au personnel de la Préfecture.
— Cédric Villani (@VillaniCedric) October 3, 2019
15h05. Élargissement du périmètre interdit à la circulation. Outre les routes situées le long de la préfecture, ce sont dorénavant les rues longeant l'île de la Cité qui sont fermées, comme le quai de la Tournelle. La circulation est particulièrement difficile dans tout le secteur.
15h02. Le Conseil de Paris suspend ses travaux. Le premier adjoint d'Anne Hidalgo, Emmanuel Grégoire, exprime, au nom de tous les élus parisiens, « notre amitié et notre affection à la préfecture de police, à l'ensemble des victimes et de leurs familles ». « Nous sommes à leurs côtés » poursuit l'élu, soulignant qu'un « hommage solennel » sera rendu ultérieurement au Conseil de Paris. Le Conseil suspend ses travaux jusqu'à 15h45.Un véhicule du SAMU pénètre sur l'île de la cité #Paris #Police pic.twitter.com/51C7vT4QMf
— Timothée Boutry (@timboutry) October 3, 2019
15h01. Hidalgo à la préfecture. À la réouverture de la séance du Conseil de Paris, le premier adjoint d'Anne Hidalgo, Emmanuel Grégoire, explique que la maire de Paris s'est rendue sur l'île de la Cité toute proche après avoir été prévenue du drame par le préfet de police.
14h58. Macron attendu sur place. Le président de la République est attendu à la préfecture de police. L'Elysée confirme néanmoins que son déplacement à Rodez, en fin d'après-midi, est maintenu.Paris pleure les siens cet après-midi après cette effroyable attaque survenue à la @prefpolice. Le bilan est lourd, plusieurs policiers ont perdu la vie. En mon nom et celui des Parisiens, mes premières pensées vont aux familles des victimes et à leurs proches.
— Anne Hidalgo (@Anne_Hidalgo) October 3, 2019
14h52. Aucun signalement sur l'agresseur. Selon Loïc Travers, secrétaire Ile-de-France d'Alliance qui parlait à des journalistes devant la préfecture de police, l'assaillant avait 20 ans d'expérience à la préfecture et ne faisait l'objet d'aucun signalement.
14h46. Castaner sidéré. « Je suis resté une demi-heure avant d'être évacué. Le préfet est venu sur place. J'ai aussi vu le ministre de l'Intérieur, il était extrêmement pâle », poursuit le témoin."L'auteur présumé a commencé les faits dans son bureau avant de se rendre dans d'autres endroits de la préfecture. Le mobile, à ce stade, n'est pas connu", explique Loïc Travers du syndicat Alliance > Attaque à la préfecture : l’appartement de l’assaillant perquisitionné, son épouse en garde à vue pic.twitter.com/axuyDcqDBI
— Le Parisien (@le_Parisien) October 3, 2019
14h40. Témoignage d'un homme qui se trouvait dans la cour de la préfecture. « J'ai entendu un tir, je pense qu'il devait être autour de 12h30. Autour de moi, il n'y avait que des policiers. Ils ont immédiatement tous dégainé leur arme. J'ai été très surpris d'entendre ces tirs car ce n'est pas l'endroit où on imagine que ça puisse se produire. J'ai d'abord pensé à un suicide car il y en a beaucoup en ce moment. Et puis quelques instants plus tard j'ai vu des policières en pleurs. Je me suis dit que ça devait être grave. Les policiers étaient en panique, ça courait partout. Beaucoup de personnes étaient en pleurs. »Des images de la préfecture de police de Paris évacuée après l'attaque pic.twitter.com/775bpyUyOJ
— Le Parisien (@le_Parisien) October 3, 2019
14h32. Un blessé. Outre les quatre victimes décédées, l'agression a fait un blessé, selon nos informations.
14h28. Le bilan revu à la hausse : 4 morts, plus l'assaillant. Quatre personnes ont été tuées, en plus de l'assaillant, a appris Le Parisien de sources concordantes.
14h20. Philippe à la PP. Le Premier ministre, Edouard Philippe, vient d'arriver à la préfecture de police.
14h13. « Attention » aux « rumeurs ». Le service de communication de la préfecture demande de faire « attention » aux « rumeurs ».
14h08. Rues fermées à la circulation. Les rues longeant la préfecture sont fermées à la circulation. Il s'agit du boulevard du Palais et de la rue de la Cité. Pour traverser l'île de la Cité, la seule possibilité est d'utiliser le Pont-Neuf.
LP/Louise Colcombet![]()
14h04. Comment l'assaillant a été abattu. L'auteur de l'agression a été abattu dans la cour de la préfecture de police par un policier.
14h02. Au moins deux personnes décédées. Outre l'agresseur, l'une des victimes est morte, selon nos informations.
13h58. L'une des personnes blessées est en arrêt cardio-respiratoire, selon nos informations.
13h54. Un agent administratif de la DRPP. Selon nos informations, l'auteur de l'agression est un agent administratif de la direction du renseignement de la préfecture de police (DRPP).
13h52. Castaner sur place. Le ministre de l'Intérieur, Christophe Castaner, s'est rendu sur les lieux.
13h48. L'assaillant serait un personnel de la préfecture. L'agression à l'arme blanche serait survenue après une altercation, apprend-t-on de source policière.
13h45. Au moins deux policiers ont été blessés.
13h40. La station du métro Cité vient d'être fermée au public.
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13h35. Plusieurs policiers ont été attaqués dans les locaux de la préfecture de police de Paris, sur l'île de la Cité. Selon nos informations, l'assaillant a été abattu.