Séance du 1 juin 1996

Jacques

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Thanks to the members of the French translation group who have just translated that session.

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Merci aux membres de l'équipe française pour cette traduction.
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Séance du 1 juin 1996

Participants : «Frank», Laura et Sue V

Q : (L) Bonjour.

R : Bonjour.

Q : (L) Qui est avec nous ce soir ?

R : Viror.

Q : (L) Et d'où transmettez-vous ?

R : Cassiopée.

Q : (L) Frank et moi aimerions avoir vos commentaires sur notre dispute.

R : Demande.

Q : (F) Je ne sais pas quoi demander. (L) Eh bien, Frank dit que la violence n'est jamais une bonne réponse face aux mots, peu importe à quel point ils peuvent faire mal.

R : OK.

Q : (L) Je dis que, dans certaines circonstances, c'est peut-être la seule réponse possible.

R : Pourquoi dis-tu cela ?

Q : (L) Parce qu'il y a bel et bien des situations où les mots sont systématiquement utilisés pour faire du mal à autrui. Un exemple en est la machine de propagande nazie. Si quelqu'un avait tué Goebbels, cela aurait pu sauver beaucoup de vies.

R : Non.

Q : (L) Bon, évidemment. Quelqu'un d'autre aurait pris sa place. Mais quand même, ce que je veux dire, c'est que les mots peuvent servir à détruire, et des mots de pouvoir peuvent servir à tuer. Parfois, les mots peuvent blesser l'âme bien plus que les actes physiques.

R : Pas directement.

Q : (L) Eh bien, directement ou indirectement, ça n'en revient pas moins au même.

R : Non.

Q : (L) Bon, je sais que vous ne serez jamais d'accord avec moi.

R : Ce sujet nécessite d'être exploré en profondeur, afin d'aboutir à une réponse définitive.

Q : (L) Allez-y. Expliquez-moi.

R : Les mots n'ont de pouvoir que si leur destinataire croit qu'ils en ont.

Q : (L) Mais dans bien des cas, cette croyance existe.

R : Le pouvoir de contrôler cette croyance repose exclusivement sur le destinataire.

Q : (L) Laissez-moi expliquer : Frank dit souvent des choses qui ne sont pas spécialement réconfortantes pour l'âme, c'est le moins qu'on puisse dire. La plupart du temps, je les ignore. Mais parfois, je ne suis pas d'humeur à les ignorer, et ma façon de réagir à ses mots n'est pas plus violente que la sienne vis-à-vis de moi. Je parle simplement de façon imagée. C'est juste une façon imagée de dire : «Arrête de faire ça !». Mais ça l'irrite autant que ses mots à lui peuvent m'irriter...

R : Et...

Q : (L) Eh bien, c'est tout. Dernièrement, j'ai subi des agressions verbales de la part de nombreux individus... donc je ne suis pas d'humeur à tolérer en plus ce genre de choses de la part de ceux qui m'entourent.

R : Et si cela t'irrite, c'est parce que tu le laisses t'irriter.

Q : (L) Formidable. Et c'est vrai, et je le sais. C'est pour ça que je commence à penser que je devrais tout bonnement ne rien faire, parce que je suis trop sensible.

R : Et crois-tu vraiment que ce soit une condition immuable ?

Q : (L) Eh bien, pourquoi ce serait à moi de devenir moins sensible, et pas aux autres de faire preuve d'un peu plus de tact ?

R : Tu ne peux pas contrôler les autres.

Q : (L) Je ne veux pas contrôler qui que ce soit. Je dis juste que pour moi, la chose évidente à faire serait de me retirer dans mon petit monde – de lire, réfléchir et écrire – et si cela n'aboutit à rien de concret, cela n'a aucune importance pour moi.

R : C'est ton choix, mais il n'est pas judicieux !!!

Q : (L) Eh bien, c'est vous qui le dites, mais comme me l'ont fait remarquer plusieurs personnes, ce n'est que depuis que nous avons commencé ce projet de channeling que toutes ces choses épouvantables me sont arrivées. Ma vie est un désastre !

R : «Épouvantables» est subjectif.

Q : (L) Je dirais que les problèmes physiques qui me sont arrivés, l'effondrement de mon mariage, les choses qui sont arrivées à mes enfants sont sacrément épouvantables, subjectivement ou non !

R : Avant que ces changements ne commencent à se manifester, tu étais encore plus enfoncée dans l’«illusion mortelle» que tu ne l’es aujourd’hui. L'émergence, de par sa nature même, est inconfortable. Mais elle t'a rendue plus forte, et te rendra plus forte, c'est une promesse !!!!!!!!

Q : (L) C'est une période très éprouvante. J'ai du mal à gérer.

R : Et il y en a eu d'autres, et il y en aura d'autres, mais cela ne veut pas dire que les récompenses seront maigres.

Q : (L) Eh bien...

R : Tu es sur un chemin de destinée, et tu ne peux plus revenir en arrière.

Q : (S) Qu'est-ce qui s'est passé, au juste ? (L) Eh bien, j'ai essayé d'expliquer certaines informations cassiopéennes à plusieurs personnes, et le résultat, c'est qu'elles ont décidé que j'étais possédée et que les C's étaient maléfiques parce qu'ils disent que nous devons découvrir les choses par nous-mêmes pour passer au niveau supérieur. Mon mari inclus. [Pour résumer, j'ai subi un tas d'agressions verbales.]

R : Pourquoi cela te perturbe-t-il ? Cela ne nous perturbe pas. Ils peuvent tous décider que nous sommes les «Reines de Satan», si tel est leur souhait. C'est leur libre arbitre.

Q : (L) Je n'aime pas la dureté que cela sous-entend. Je ne suis pas quelqu'un de dur.

* R : Ce n'est pas de la dureté. Les «sentiments» que tu décris sont liés à l'ego, et par relation, à l'orgueil, deux choses implantées délibérément dans la psyché humaine de 3e densité par les SDS de 4e densité il y a 309 000 ans, selon votre mesure temporelle. Relis les transcriptions sur l'altération de l'ADN et la crête occipitale. Crois-le ou non, toi, Laura, tu seras débarrassée de tout cela, un jour. Ce n'est pas ce que te répondent certains individus qui importe. Ce qui importe, c'est de partager l'information. Et puis, rappelle-toi que ces personnes ne perçoivent pas tes sentiments et tes sensibilités aussi intensément que toi, ni toi les leurs.

Q : (L) Il y a quelqu'un qui veut poser des questions...

R : Nous n'en avons pas fini avec ce sujet. Il est important, aussi, de noter que dans la plupart des cas où tu as subi des «attaques» sur internet, tu ne transmettais pas directement les informations que nous t'avons données. Tu as présenté des idées que tu prétendais être les tiennes, ou des connaissances que tu as rassemblées uniquement grâce à tes propres efforts, d'où ces réactions. Tu dois t'attendre à ce genre des réactions si tu t'accordes tout le crédit, tu ouvres alors la porte aux critiques directes. Cela n'est pas judicieux, si tu n'es pas préparée aux réactions négatives. Les êtres de troisième densité percevront toujours la connaissance qui leur est donnée avant d'être prêts à la recevoir comme un «prêche». Ils seront réticents, à cause des problèmes liés à l'ego que nous avons déjà mentionnés. Donc, suggestion : mieux vaut transmettre la connaissance avec un préambule du genre : «voilà ce qui m'a été donné, c'est à vous de décider par vous-mêmes si vous êtes disposés ou non à l'accepter.»

Q : (L) Eh bien, ce n'est pas vrai, absolument pas. Je ne veux plus parler de ça avec vous. Vous avez tout faux ! Tu parles d'idées préconçues !

Fin de la séance

Note de Laura : J'étais très en colère pendant cette séance parce qu'il était évident pour moi que les perceptions et l'influence de Frank dominaient. La dernière réponse des C’s où ils disaient "Vous présentiez des pensées que vous prétendiez être les vôtres, ou des connaissances que vous avez recueillies strictement par vos propres efforts" n'était absolument pas vraie. Cette séance peut être rapprochée de la précédente (27 mai 1996) où il m'avait été suggéré de demander à Tom French d'annuler son projet d'écrire un livre sur mon travail et moi-même. Il devenait totalement limpide que Frank en était extrêmement jaloux, et cette jalousie transparaissait non seulement dans le harcèlement verbal dont il faisait preuve envers moi, mais également dans cette séance.

En même temps, la réponse marquée d'un astérisque ci-dessus semble relativement claire et précise en fonction de l'apprentissage et des événements ultérieurs.
 
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