đź“š SĂ©ance du 1 mars 1997

Jacques

SuperModerator
Moderator
FOTCM Member
Thanks to the members of the French translation group who have just translated that session.

Please post your comments in the original session: Session 1 March 1997

Merci aux membres de l’équipe française pour cette traduction.
......................................................................................................................................................................................................

Date de la séance : 1 mars 1997

Participants : Laura, Ark, «Frank», Terry, Jan, Alice

Q : (L) Bonsoir.

R : Bonsoir.

Q : (L) Et quel nom devons-nous utiliser ce soir ?

R : Honaza.

Q : (L) Et d’où transmettez-vous ?

R : Cassiopée.

Q : (T) Arkadiusz, tu avais une question concernant la transmission depuis Cassiopée. Quelle était-elle ? (A) Je pense que la question était : pourquoi ont-ils besoin de transmettre depuis un endroit précis de l’univers ?

R : Nous transmettons «par» l’ouverture présente dans le secteur que vous considérez comme Cassiopée, due aux puissantes pulsations radio dans la continuité de Cassiopée, elles-mêmes dues au pulsar d’une étoile à neutrons située à 300 années-lumière derrière celle-ci, vu depuis votre position. [La goutte décrit rapidement une spirale.] Ceci facilite un canal clair de transmission de la 6e vers la 3e densité.

Q : (A) J’aimerais savoir combien de temps met la transmission pour parvenir à la Terre depuis Cassiopée.

R : Temps «nul».

Q : (A) «Temps nul…» Qu’est-ce qu’ils utilisent pour transmettre ? L’électromagnétisme, la gravité, ou quoi ?

R : Les deux. Ils sont interconnectés, ou «unifiés» pourrait-on dire.

Q : (A) Temps nul ? À cause de quoi ? À cause de… la structure de l’espace-temps ? De la courbure ?

R : L’espace et le temps sont discriminants et flexibles.

Q : (A) Qu’y a-t-il derrière ça ? Quel est… quel est le médium qui véhicule la transmission ?

R : S’il y avait un médium, ta perplexité serait justifiée, mais il n’y en a pas. Tu vois, quand on n’utilise aucun temps, il n’y a pas d’espace non plus.

Q : (J) S’il n’y a pas d’espace, ni de temps, pourquoi faut-il qu’elle soit ancrée à un endroit précis, ici, en 3e densité ?

R : Il ne le faut pas, «à des fins de transmission». Le besoin d’un endroit précis, tel qu’articulé précédemment, comme vous le percevez, était dû aux fréquences vibratoires utiles pour votre profil de conscience psychique. Quelle est la cause des pulsars, Arkadiusz ?

Q : (A) La cause des pulsars ? Bonne question… (L) Le sais-tu ? (A) Des réactions nucléaires…

R : «Étoiles» à neutrons.

Q : (A) Une étoile à neutrons est un pulsar. La question est : qu’est-ce que les étoiles à neutrons ont de si particulier, car tout ce qu’on ne comprend pas…

R : Physique quantique…

Q : (T) La réponse à l’origine des étoiles à neutrons se trouve dans la physique quantique ? Ou est à trouver en physique quantique ? C’est ça qu’ils disent ? (A) Ou bien, on le sait déjà…

R : Oui.

Q : (L) OK, donc si tu cherches à «pulsars», tu devrais trouver, je suppose… (A) D’accord…

R : Quel était le postulat essentiel de ton «Noah Syndrome».

Q : (L) Le postulat essentiel ? La transformation…

R : Comment, quel facteur causal ?

Q : (L) Eh bien, le facteur causal était que les corps du système solaire interagissent et échangent de l’énergie. L’énergie échangée par les corps du système solaire ayant un profond effet sur la vie abritée par n’importe lequel de ces corps, tels que les gens sur la planète Terre. Les émanations du Soleil… si la vibration ou la surface du Soleil devaient augmenter ne seraient-ce que d’un tout petit rien, la Terre se chargerait tellement en électricité que… Je veux dire, une seule éruption solaire et tout se détraque. Le Soleil oscille intérieurement : on mesure ses oscillations, elles ont toutes des périodes différentes. Que se passerait-il si une oscillation vraiment importante se produisait tous les 3 600 ans environ ? Car elles ont été mesurées en minutes, en jours, en mois, en années. Il y a le cycle de 11 ans, le cycle de 22 ans. Le Soleil a tout un tas de cycles d’oscillations différents. Et s’il y en avait un de vraiment important ? Et si, ce faisant, il pulsait ? Et si, en pulsant, il chargeait le système solaire d’électricité et que, du coup, tous les corps dans le système solaire se détraquaient ? (T) C’est ça le postulat de base de… (L) C’est le postulat de base de The Noah Syndrome. (T) OK, les amis, voilà le postulat de base de The Noah Syndrome, c’est que le Soleil pulse régulièrement.

R : Un pulsar pulse Ă  une vitesse extrĂŞmement rapide.

Q : (T) Ça génère une fréquence… (L) Eh bien, tout est fréquence…

R : Oui.

Q : (T) Bon, ce qu’ils voulaient, c’était une fréquence spécifique. Le taux vibratoire c’est le rythme fréquentiel. Et ça crée une fréquence qu’ils ont qualifiée de bénéfique pour… (L) Non, c’est l’endroit qui est bénéfique, ici même, cette maison.

R : Non.

Q : (A) Mais je ne comprends pas. La fréquence…

R : Votre monde planétaire.

Q : (L) D’accord, ils faisaient référence à notre monde planétaire. (A) D’accord, il y a un truc avec les pulsars, car ils pulsent à une certaine fréquence. Mais, évidemment, ce ne sont pas ces pulsations qui sont importantes pour la transmission vu qu’il leur faut des centaines d’années pour parvenir jusqu’ici. Ça, on le sait. (L) Mais le pulsar est la fenêtre… (A) C’est une fenêtre… (L) La fenêtre entre densités. (A) Oui, mais qu’est-ce qu’un pulsar a de particulier pour que ça en fasse une fenêtre ? Est-ce cette fréquence ? Ou autre chose ? Quel est le phénomène physique qui en fait une fenêtre ? Peut-on être plus précis que de se contenter de dire que c’est une question de physique quantique ?

R : Quelle est la nature des étoiles à neutrons, des supernovas, des «trous noirs», etc. ?

Q : (L) On rentre dans un trou noir et on en ressort sous forme de pulsar ?!

R : Ce sont tous des points de jonction matière/antimatière… une frontière entre les réalités telles que vous les connaissez… mondes matériels/mondes éthériques, jointures des niveaux de densité, de réalités. On peut aisément traverser ces fenêtres ; souvenez-vous, les étoiles et les planètes sont aussi des fenêtres.

Q : (L) Et les étoiles et les planètes ont été décrites comme des atomes géants. Un atome est-il une fenêtre ?

R : Oui.

Q : (A) Un proton est-il une fenêtre ?

R : Oui.

Q : (A) D’accord, donc un pulsar est une fenêtre. Et c’est massif, alors une question : un photon est-il aussi une fenêtre ?

R : Oui.

Q : (L) Plutôt que d’être une force d’attraction entre objets dans ce monde matériel, la gravité relie-t-elle le centre de la fenêtre à un opposé en miroir dans le monde éthérique ?

R : La gravité est le «liant» commun à toutes les existences imaginables. C’est tout ce que vous avez vraiment besoin de savoir.

Q : (L) D’accord, le liant. Le liant de la gravité est-il comparable aux liaisons hydrogène faibles qui lient les brins d’ADN ?

R : Non.

Q : (L) D’accord, alors le liant de la gravité est-il comparable à la liaison phosphate-atome de carbone ?

R : Il s’agit là de matière. Le chaînon qui vous manque à tous, les amis, c’est que la gravité est autant de l’antimatière que de la matière !!

Q : (A) J’aimerais demander – pas maintenant, mais peut-être plus tard – si la conception de notre espace-temps comme frontière d’un domaine est une représentation exacte ?

R : Oui.

Q : (A) Très bien, alors, en ce qui concerne cette gravité et l’antimatière, est-ce une représentation exacte de dire qu’il y a deux domaines, un positif et un négatif, et que la gravité a un rapport avec les échanges entre le positif et le négatif ?

R : La gravité est le «carburant» ou l’«énergie vitale» d’absolument tout ce qui existe !!!

Q : (A) Quelle en est la description mathématique, la description mathématique exacte ? (L) Tu veux la formule ? (A) Oui ! Je veux la formule ! [Rire général] Non ! Je veux le concept !

R : C’est pour ça que tu as été placé là où tu as été placé !

Q : (A) Qu’est-ce que ça veut dire ? Je suis là… pour moi, ou pour nous ? (T) Pourriez-vous préciser ? [Rire général] Sacré bon moment pour devenir énigmatiques ! Je veux dire, on plane maintenant !

R : N’aimeriez-vous pas découvrir cette formule ?

Q : (L) Si, on aimerait bien découvrir cette formule ; ça serait très amusant. (A) Bien sûr ! C’est évident ! (L) On pourrait même déboucher une bouteille de vin pour l’occasion ! (T) Mais s’ils pouvaient l’énoncer, ça serait bien aussi !! [Rires] Je pense qu’ils ont dit ça parce que ce qui va arriver, c’est que tu vas trouver la formule. La question sur la formule n’était-elle pas juste avant ça ? C’est pour ça que tu as été placé là où tu as été placé…

R : Ark voulait la première étape, ou une orientation vers une formule éventuelle. C’est regrettable mais d’autres, dans votre «densité», l’ont déjà découverte, mais c’est un secret bien gardé !!

Q : (A) Dois-je réexaminer cette théorie du champ unifié ? (T) Qu’est-ce qui est un secret bien gardé ? Que d’autres l’ont découverte ?

R : Non.

Q : (T) OK, super !

R : Les modes d’utilisation possibles de la technologie découlant de la formule.

Q : (T) On peut peut-être demander de quelle technologie il s’agit ? (L) Ce qu’on vient de noter, c’est vrai ?

R : Oui, bien sûr !

Q : (A) D’accord, mais là, il y a un truc que je ne comprends pas. Parce qu’à un moment donné, ils voulaient plus ou moins que j’étudie cette théorie du champ unifié pour redécouvrir ce qu’Einstein ou quiconque avait fait. Donc, ils veulent qu’on découvre le secret, c’est ça ?

R : Nous voulons que vous le découvriez pour votre propre avantage.

Q : (T) L’apprentissage se fait par la découverte.

R : Pas nécessairement que vous télégraphiez la «découverte».

Q : (L) Ne parlez à personne de la découverte. (A) Oui, bien sûr. (L) Donc, on est censé s’en servir… des amateurs pour un voyage dans le temps ? Je pense que tu t’en rapproches, en tout cas… (A) Je veux quelque chose de plus précis…

R : Oui.

Q : (L) D’accord. Bon, il existe plusieurs théories du champ unifié. Il y a celle d’Einstein. Il y a celle de Weyl, celle de Schrödinger, la théorie sur le temps et l’espace et les connexions affines… Je veux dire, il y en a beaucoup. Une idée ?

R : Aucune idée

Q : (T) «Aucune idée». Joliment dit, cependant ! (A) D’accord. Parlons de ces «twisteurs». Ont-ils quelque chose à voir avec ça ?

R : [La goutte décrit une spirale.] Peut-être.

Q : (L à A) Maintenant, n’oublie pas qu’à chaque fois que je les ai interrogés sur toi, ils m’ont répondu qu’ils ne me diraient rien. Donc, ils ne te le diront pas… (A) Quoi ! Ils ne le diront pas ?! (L)~Non, en effet. C’est déjà ce que tu fais. Tu es en train de le faire !

R : Quand on apprend, on grandit. Quand on grandit, on Ă©volue. Quand on Ă©volue, on se transforme.

Q : (L)~DONNEZ-MOI LA FORMULE !!! [Rires.] (A) Non, non, non. Laisse-moi essayer. Parce que, OK… la théorie du champ unifié est une théorie classique. Et puis, il y a cette histoire quantique qui est désormais très importante. Est-il vrai que cette théorie classique du champ unifié expliquera la théorie quantique ? Est-ce vrai ? Ce dont Einstein a rêvé, est-ce exact ?

R : Que te dit ton instinct ?

Q : (A) Mon instinct me dit que je devrais m’asseoir à mon bureau et calculer plutôt que de rester assis ici… [rires] Oui, oui, c’est clair. OK. C’est sûr, on n’est jamais mieux servi que par soi-même.

R : Désolés, mais nous voulons te voir découvrir.

Q : (L) Ils veulent te voir assis à ce bureau et calculer. C’est ce qu’ils veulent voir. (A) Bon, maintenant, j’aimerais changer un petit peu de sujet. La semaine prochaine, j’ai ce séminaire, le mercredi~5. Je dois préparer quelque chose. Un conseil pour moi ? Comment…

R : En particulier… ?

Q : (A) Si j’ai une question précise ? (L) Sais-tu déjà de quoi tu veux parler ? (A) Je sais de quoi je vais parler, mais… la question est la façon de présenter ça de sorte que ce soit la bonne… (L) Quelles sont les options ? (A) Je peux présenter ça comme quelque chose de révolutionnaire, ou comme quelque chose de simple. Voilà les options.

R : RĂ©volutionnaire.

Q : (A) D’accord. (L) Une question précise donne une réponse précise. Sauf pour les formules… ! (A) D’accord, ce ne serait pas drôle du tout si on m’apprenait une formule… De toute façon, je n’y croirais pas… (L) Exactement. Tu voudrais quand même en avoir la preuve par toi-même, quoi qu’il en soit… (A) Très juste ! (L) Alors, quel serait l’intérêt ?! (J) Où serait le plaisir ?

R : Exactement.

Q : (L) Maintenant, Ark a reçu un courriel d’une espèce d’organisation dénommée l’Institut de Physique Nouvelle, qui l’informe qu’ils sont financeurs, et qui lui demande si ça l’intéresserait de devenir membre. Pourriez-vous nous dire qui ou qu’est-ce qui se trouve derrière cet Institut de Physique Nouvelle ?

R : Eh bien, peut-être serait-il mieux de vous aider à le discerner vous-même. D’où venait ce message ?

Q : (L) On ne sait pas… (A) Non, il y a quelque chose, parce qu’il y a une info – GAIN – et j’ai regardé sur la Toile, et il y a beaucoup d’institutions qui ont «gain» dans leur nom, vous savez. Et j’ignore s’il n’y en a qu’une… (L) Eh bien, ne pensez-vous pas que c’est un peu drôle qu’il y ait «gain» dans le nom, quand on se trouve à Gainesville ? (J) Oui, c’est ce que j’ai pensé aussi… (T) WWW point… bon, non, c’est un courriel, donc ça devrait être… (J) Oh, «gain» et ils financent…

R : Que font les financeurs ?

Q : (L) Que font les financeurs ? Ils vous donnent de l’argent. Ils vous financent… (J) Ils vous aident à obtenir des «gains»… (L) Oui.

R : Le font-ils sans raison… ?

Q : (L) Bien sûr qu’ils ne le font pas sans raison ! Ils ont une arrière-pensée. Ils veulent quelque chose.

R : AHA HAH !

Q : (L) Ahah !? (T) Oui, ce sont des marchands d’argent ! (L) Bon, très bien. Nous allons improviser, et voir ce qu’ils veulent.

R : Ont-ils une idée derrière la tête ?

Q : (L) Évidemment ! Aucun doute qu’ils en ont une. Tous les gens qui nous ont écrit récemment en ont une ! Vous savez, nous avons reçu ces…

R : Qu’est-ce que ça peut être ?

Q : (L) Eh bien, leur intention… (J) Ils veulent quelque chose de lui, c’est évident. (A) Ils disent qu’ils vont préparer de la documentation sur ce nouvel institut qu’ils me feront parvenir quand je serai de retour en Pologne… (T) Où se trouve ce nouvel institut ? Ils ne l’ont pas dit ? (A) Non, ils ne l’ont pas dit. (J) Ohh, je pense que tu as le droit de le savoir ! (L) Bon, je dirais, laissons couler, et voyons ce qu’ils disent… (J) Ils doivent attendre que tu sois retourné en Pologne avant de t’envoyer quoi que ce soit ? (A) Eh bien, si tout n’en est qu’au stade de l’organisation, alors peut-être que c’est quelque chose de gros qui, jusqu’ici, opérait dans un certain domaine, en obtenant de l’argent de – je ne sais pas – de quelque chose, et que maintenant, ils veulent se développer et investir dans les nanotechnologies, ou que sais-je.

R : Quand vous vous approchez de quelque chose, il y a toujours ceux qui veulent vous distraire, vous interrompre et vous surveiller pour des plans ultérieurs… Tout ce qui mérite d’être trouvé doit être enquis.

Q : (L) Oui. Tout ce qui mérite d’être trouvé doit être enquis. «Enquis», c’est un drôle de mot. Est-ce e-n-q-u-i-s ? Je veux dire, c’est «enquérir, enquis» ? (Alice) Quelque chose comme ça. (L) Comme dans «acquérir, acquis» ? Ou «boire, bu» ? (J) Ou «mourir, mouru» ? (L) Et «cligner, clindu» ? [Rires.]

R : «Bondir, bondu.»

Q : (L) Dimitri, le Bulgare de Sophia, qui prétend être un expert ès psychokinèse, et… (T) Il s’agit d’un autre courriel ? (L) Oui. (T) Oh, mon Dieu, les voilà qui sortent du placard ! [Rires.] (A) Ouais, ouais, ouais. (T) Avez-vous déjà entendu parler de ce monsieur ? (L) Eh bien, ce n’est qu’un type ordinaire, le péquin moyen. Sauf qu’il a un centre d’intérêt inhabituel, il prétend avoir eu… (A) Oui, son histoire… (L)… il prétend avoir vécu une expérience de mort imminente et après ça, je ne sais plus trop quoi… (A) Oui, il a commencé à voir à l’avance tout ce qui allait lui arriver. (L) Oui, c’est ça, il avait comme trois minutes de… (T) D’accord, c’est la même histoire, l’un des effets qu’a vécu Brinkley… (L) Oui, c’est ça. Dannion Brinkley… (T) Après son expérience de mort imminente, il savait, il entendait et voyait des choses avant qu’elles n’arrivent. Il répondait à des questions qui n’avaient pas encore été posées.

R : Dommage que ce n’était pas deux heures à l’avance.

Q : (T) Par opposition à connaître l’avenir avec seulement deux minutes d’avance. (L) Oui, vraiment pas pratique ! Deux minutes, ça ne laisse pas suffisamment de temps pour se préparer à quoi que ce soit !

R : Ou pour jouer au «loto».

Q : (L) Très juste ! En deux ou trois minutes, on n’a pas le temps d’aller jouer une grille ! (T) Il faudrait traîner aux abords du Circle K en espérant ne pas se faire arrêter pour vagabondage ! Les équipes de foot peuvent transformer deux minutes en deux heures ! (L) Exact. Donc, autrement dit, c’est… bon, ils ne nous ont pas répondu au sujet de ce type de Sophia. (T) Eh bien, on n’avait pas encore posé la question… (L) Oui, mais c’est le genre de commentaire que je qualifierais de remarques semi-sarcastiques !

R : Oui.

Q : (T) Donc, doit-on comprendre qu’il n’y a qu’à laisser couler par rapport à Dimitri, tout comme avec l’Institut ? (L) Bon, on n’est pas obligé de tout laisser couler non plus !

R : À vous de voir.

Q : (L) Évidemment qu’on sait que c’est à nous de voir ! Mais, je dirais que leurs remarques à ce sujet, ça revient à ce que j’ai dit. Ce type est… S’il a des facultés aussi merveilleuses, pourquoi ne s’en sert-il pas pour faire quelque chose ? Pourquoi veut-il que tu lui construises une machine qui le transforme en… (A) C’est vrai, parce qu’il a dit qu’il était allé deux ans aux États-Unis, pour demander l’asile, et qu’après ça, il était revenu. (L) Et ça a été un désastre. (A) Oui, ça a été un désastre. Il a probablement confessé avoir des capacités et il a donc probablement dû faire l’objet d’une enquête…

R : Non ; c’est la Bulgarie, donc ça a été un desastrovitcho !

Q : (L) Tiens donc ! Et il a précisé n’avoir jamais terminé ses études sans jamais vraiment dire pourquoi. (A) Mais, ce qui est curieux, c’est qu’il écrit l’anglais à la perfection. (L) Bizarre, non ? (A) Oui, c’est bizarre. (T) Il écrit l’anglais à la perfection ? (L) Oui, pour moi, c’est comme lire en anglais… (A) Et tout est cohérent, oui, tu vois… (L) Mais je le lis en anglais, comme de l’anglais américain.

R : Alors, qu’est-ce que ça vous dit ?

Q : (L) Ça me dit qu’il n’est peut-être pas tout à fait franc au sujet de tout. En fait, peut-être qu’il n’est pas… OK, tu viens juste de dire qu’il a copié l’histoire de Dannion Brinkley. Bon, je n’ai pas lu ce livre, alors je ne sais pas.

R : MĂ©fiez-vous en permanence des supercheries.

Q : (L) Eh bien, nous sommes toujours sur nos gardes. Sans vouloir systématiquement partir du principe qu’il y a supercherie, on fait attention. Je suppose que quand les choses ne collent pas… Je voudrais demander… On a tout un tas d’ADN dans ces doubles brins de drôle d’apparence. Et, selon ce livre, seuls 2~\% sont utilisés, les autres 98~\% sont ce que les «experts» se plaisent à appeler l’ADN «poubelle». Ils le qualifient de poubelle. Maintenant, j’aimerais savoir s’il y a un quelconque moyen d’activer cet autre ADN ?

R : Ne s’activera-t-il pas de lui-même ?

Q : (L) «Ne s’activera-t-il pas de lui-même ?» C’est ce qu’il va faire ? (J) Je crois que c’est ce qu’ils ont dit… Je pense que la question concerne ce qu’il fait… ce qu’il code… (J) Demande s’il y a un moyen de l’activer.

R : 4e densité.

Q : (L) En 4e densité. OK. Vous m’avez demandé un jour de commenter la relation qui existe entre le phosphore et le corps, et j’ai découvert que le phosphore joue un rôle important dans l’ADN, et aussi le code~3-5. Donc, j’aimerais savoir si ajouter du phosphore à notre alimentation améliorerait une partie de l’ADN au point de… (T)… l’activer…

R : Peut-être que ça «améliorerait» la CHS.

Q : (L) Qu’ont-ils dit ? La CHS ? (T) Qu’est-ce que c’est ?

R : Combustion humaine spontanée.

Q : (J) D’accord, alors ce n’est peut-être pas une si bonne idée… (L) Eh bien, ce serait logique… le phosphore… (J) Oui ! [Rires.] (T) Si tu veux donner un beau spectacle, ajoute un petit peu de magnésium ! Ouah ! (J) Là, tu auras un Quickening à la «Highlander» ! (F) Je viens juste d’avoir l’image de Laura en train de décider qu’elle allait répondre : «Pas vraiment ! Je vous ferai savoir que mon alimentation inclut désormais 90~\% de phosphore en plus que précédemment !» Et là, tout à coup, des flammes commencent à jaillir… [Rires.] (T) Maintenant que ton doigt peut s’enflammer, ce n’est pas le moment d’arrêter de fumer ! Plus besoin de briquet ! [Rires.] Et tu ne pourras plus jamais te perdre dans une caverne ! (F) Entre ça et le retour soudain de Carlos Castaneda… ça pourrait être dangereux. Pas d’expérience si tu ne sais pas ce que tu fais ! (L) D’accord, pas de phosphore. (T) Va-t-il se passer quelque chose d’intéressant à Gulf Breeze ? Évidemment, ça dépend de ce que j’entends par intéressant. (L) Oui, Terry, tu dois être plus précis que ça…

R : Nous voyons une possibilité distincte d’un grave accident nucléaire à Oak Ridge, dans le Tennessee.

Q : (T) Quel rapport avec Gulf Breeze ? (J) Je ne sais pas. (L) Ils ne parlaient pas de Gulf Breeze… (T) J’imagine que non ! Merci, j’ai vraiment l’impression de compter maintenant ! (L) D’accord, un grave accident nucléaire dans le Tennessee. Je sais qu’il s’agit d’une question carrément inadmissible mais, considérant que les «ceintures de photons» sont du domaine des possibilités, peut-on avoir une échéance ? Quelque part par dans ces eaux-là ?

R : Proche.

Q : (T) À peu près en même temps que la conférence de Gulf Breeze, ce mois-ci ? (L) C’est peut-être ça qui a suscité ce commentaire…

R : Peut-ĂŞtre.

Q : (L) Qui connaît quelqu’un à Oak Ridge ? Pas moi.

R : Retombées radioactives sur l’est du Tennessee, l’ouest de la Caroline du Nord et la Virginie.

Q : (T) Oui, on connaît du monde dans l’ouest de la Caroline du Nord… (J) Oui. À Waynesville. (L) Où se situe Oak Ridge ? (T) Près de Knoxville, à proximité de la frontière entre le Tennessee et la Caroline du Nord, probablement pas à plus de 80~km de là. À côté de Knoxville. (F) Il y a un surgénérateur là-bas… (J) C’est là où tout ce foutu truc a commencé. (T) Quel type d’accident cela va-t-il être ? Une grosse explosion, un incendie ? Un truc comme Tchernobyl, ou quelqu’un va-t-il accidentellement rejeter des radiations dans l’air ?

R : Premièrement, c’est possible, pas définitif. Deuxièmement, si cela arrive, ça ne va pas être joli !!

Q : (T) [La centrale nucléaire] de Crystal River fonctionne-t-elle ?

R : Non.

Q : (T) Eh bien, c’est ce qu’on dit, qu’elle ne fonctionne pas. Qu’elle est à l’arrêt depuis un an et qu’elle le restera un an encore. J’ai lu dans le journal – allez savoir jusqu’où c’est vrai – que le Département de l’Énergie des États-Unis utilise des réacteurs privés pour générer du tritium. Ils se dépêchent pour obtenir autant de tritium que possible. (F) Pour quoi faire ? (T) Des armes nucléaires, ou quelque chose avec des armes nucléaires, quelque chose en rapport avec les bombes atomiques. Ou comme produit annexe pour autre chose. L’article disait qu’ils utilisent un réacteur d’une compagnie d’électricité privée en Virginie-occidentale, je crois, et une autre à l’Ouest, ainsi que leurs labos. (L) Allez, disons bonne nuit. Quoi que ce soit que nous aurions dû demander ou que nous devrions savoir ? À part ça ?

R : Peut-ĂŞtre, mais au revoir.

Fin de la séance
 
Back
Top Bottom