đź“š SĂ©ance du 10 juillet 1999

Jacques

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Thanks to the members of the French translation group who have just translated that session.

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Merci aux membres de l’équipe française pour cette traduction.
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Date de la séance : 10 juillet 1999

Ark, Laura, Frank, Chloe

Q : Bonsoir.

R : Bonsoir.

Q : Et qui est avec nous ce soir ?

R : Krollah.

Q : Et d’où transmettez-vous ?

R : Cassiopée.

Q : (A) Je voudrais commencer par des questions sans rapport avec mon travail. J’aimerais savoir si je pourrais avoir un indice sur mon arbre généalogique : où chercher parce que je ne sais rien avant mon grand-père ; je n’ai aucune idée de l’origine de mon ADN. Alors, où chercher ?

R : Certaines lignées sont originaires de Biélorussie. D’autres peuvent être retracées à travers la République slovaque. Les gouvernements de ces régions travaillent actuellement sur des programmes généalogiques, afin de stimuler le tourisme international dans les autres régions. La famille du côté paternel a été « éclatée » lors du raid napoléonien au début du 19e siècle. Du côté maternel, la région de Gdansk constitue un pôle important.

Q : (A) Si je peux en demander un peu plus : comment mon nom a-t-il été déformé ? D’où vient-il ?

R : Le nom n’est pas déformé, il a été simplement modifié en raison du changement de nationalité.

Q : (L) Donc, à l’origine, c’était un nom russe ?

R : Russe blanc.

Q : (L) Quelle était la version originale avant qu’elle ne soit « polonisée » ?

R : Le site Web le révèle.

Q : (L) Russe blanc ?

R : Voir les réponses précédentes.

Q : (L) D’accord, nous allons faire quelques vérifications. (A) D’accord, c’était une question. Deuxième question sans rapport : devrions-nous envisager de déménager en Suisse ? Est-ce une bonne idée ?

R : Vous pouvez tout envisager.

Q : (A) D’accord, pas d’indice là-dessus. La question suivante concerne l’histoire de la création que L a écrite pour le site Web. Je l’ai lue et j’ai essayé de lui donner un sens, de la rendre non contradictoire, et j’ai constaté que ce n’était pas facile parce que de nombreux concepts utilisés pendant ces sessions sont en quelque sorte contradictoires les uns avec les autres ou ne correspondent pas tout à fait à la signification standard de ces concepts, alors j’ai voulu demander quelques explications. Tout d’abord, on nous a dit que la gravité est essentiellement la force la plus universelle et que c’est d’elle que tout provient…

R : La gravité est le liant.

Q : (A) Mais ma question est la suivante : la gravité est un terme qui est défini dans les dictionnaires et les encyclopédies et c’est un terme qui a une signification très précise pour les physiciens et les mathématiciens. Je voudrais savoir si vous parlez de la même chose ou si vous utilisez le terme « gravité » pour décrire quelque chose de complètement différent que nous connaissons sous le nom de gravité. Parlons-nous de la même chose ?

R : Es-tu certain que ces « définitions » dont tu parles ne sont pas limitées ?

Q : (A) Oui, je suis sûr qu’elles sont limitées. Néanmoins, ce sont des concepts définis avec précision et vous utilisez le même terme « gravité », alors je vous demande si nous parlons de la même chose, ou si vous parlez de quelque chose de complètement différent ?

R : Que dis-tu d’une grande expansion du même concept ?

Q : (A) D’accord. Cela répond à ma question. Nous utilisons donc la même chose, mais pour vous, c’est plus adéquat. J’aimerais maintenant poser une question sur la modélisation mathématique de la gravité. La gravité que nous connaissons est modélisée par la géométrie d’un espace courbe. La gravité dont vous parlez, qui est une expansion de ce concept, peut-elle être modélisée de la même manière : par la géométrie ?

R : La géométrie est le bon modèle.

Q : (A) Donc, la géométrie est le bon modèle et je comprends qu’il suffit d’écrire une généralisation ou une expansion de la TCU d’Einstein, et que ce sera le bon modèle de gravité ; est-ce exact ?

R : Presque.

Q : (A) Maintenant, la question est : si la gravité peut être modélisée de cette façon – la géométrie est le modèle correct – de quoi avons-nous besoin de plus pour modéliser aussi la conscience ? Sera-t-elle automatiquement impliquée dans un tel modèle de gravité, ou est-ce quelque chose de supplémentaire ?

R : La conscience est contenue dans la réalisation élargie du modèle de gravité. La théorie du champ unifié, si elle était complétée, donnerait un aperçu de la relation synchrone entre la gravité et la conscience.

Q : (A) Si la gravité est modélisée par la courbure ou la torsion de la géométrie, mathématiquement, comment la conscience pourrait-elle sortir de la géométrie ?

R : C’est une question complexe. Ce que nous pouvons dire, c’est que si l’on pouvait visualiser la représentation inversée du modèle géométrique de la gravité, on serait carrément sur la voie de la compréhension du modèle géométrique de la conscience.

Q : (A) De nombreux scientifiques affirment plus ou moins que la théorie quantique est nécessaire pour modéliser ou comprendre la conscience. D’après ce qui a été dit précédemment, il semble que la théorie quantique ne soit pas nécessaire, qu’il suffise d’avoir le bon modèle géométrique de la gravité étendue.

R : Non, pas Ă©tendue, Ă©largie.

Q : (A) Cela signifie-t-il que la théorie quantique n’est pas pertinente pour comprendre la modélisation de la conscience ?

R : La théorie quantique doit d’abord être retirée du domaine de la théorie.

Q : (C) Cela signifie qu’elle doit être prouvée, n’est-ce pas ?

R : Non. Prouver est un concept que vous devriez maintenant dépasser.

Q : (C) Quand ils ont dit « sortir du domaine de la théorie », j’ai supposé que cela signifiait qu’il fallait le prouver. Comment fait-on cela ? Quel est le domaine suivant après la théorie ?

R : Non, ma chère, tu ne comprends pas. Le protocole actuellement imposé pour « prouver » les théories est un peu dépassé, nous pensons. Peux-tu imaginer essayer de piloter un avion si tu dois d’abord prouver qu’il y a un ciel ?

Q : (C) Donc, n’essayez pas de prouver la théorie quantique, allez-y et utilisez-la, je suppose.

R : C’est presque ça.

Q : (A) Vous vous moquez de la théorie quantique ?

R : Non. Nous rions du protocole scientifique de troisième densité !

Q : (A) D’accord, nous en venons aux densités. Mais avant cela, une dernière question : qu’est-ce que la matière ? Comment la matière se construit-elle à partir de la gravité ? Quelles sont les formes de gravité qui correspondent à la matière selon le modèle géométrique ?

R : Tout d’abord, puisque nous devons répondre à ces questions, vous devez rendre cette surface plus lisse !

[Le couvercle en plexiglas du tableau était collant. Nous avons utilisé du produit de nettoyage pour vitres et l’avons nettoyé].

Q : (A) Donc, c’était bien pour les questions précédentes, mais pas pour celle-ci ! (Rires) (L) D’accord, continuez !

R : Vous vivez dans un univers de « matière », de votre point de vue. Il y a un univers d’énergie qui l’accompagne et que vous n’êtes pas encore en mesure de percevoir.

Q : (A) Mais ma question était…

R : Qui/qu’est-ce que Mandlebrot ?

Q : (A) D’accord, vous parlez de fractales maintenant, certainement…

R : C’est le cas ?

Q : (A) Mandlebrot [En fait, Mandelbrot : https://fr.wikipedia.org/wiki/Beno%C3%AEt_Mandelbrot - NdT] est le nom d’un mathématicien français célèbre pour avoir découvert les fractales et certaines lois qui régissent les fractales et le chaos. Mais pour ce qui est du « quoi », certaines images fractales sont également appelées « mandlebrot ».

R : Et où cela mène-t-il, Ark ?

Q : (L) Mais cela ne répond pas à la question de savoir ce qu’est la matière.

R : Nous vous amenons à l’endroit où vous pouvez commencer à comprendre cela.

Q : (A) Cela nous amène aux propriétés fractales de l’espace-temps et à d’autres choses de ce genre.

R : Et si la matière était la « demi-vie » de l’énergie ?

Q : (C) Eh bien, la demi-vie est le facteur de désintégration. Et si l’énergie se décomposait en matière ? C’est ce qu’ils disent ?

R : Attention aux guillemets, ils vous amènent à la croisée des chemins. Comme dans : « Tu prends la grande route, je prendrai la petite route, et je serai en Écosse avant toi. »

Q : (L) Je suppose que cela signifie que nous ne devons pas utiliser l’interprétation habituelle de « demi-vie », mais qu’il s’agit d’un jeu de mots, d’un indice à déchiffrer.

R : Écoutez les amis, nous ne pouvons pas répandre les secrets de toute l’existence sur ce forum, mais nous pouvons certainement ouvrir les portes, ça oui.

Q : (L) Cela m’amène à une petite question que je voudrais poser ici. Vous avez dit que le service aux autres signifie « tout donner à ceux qui le demandent ». Nous demandons, alors pourquoi ne donnez-vous pas tout ?

R : Pas tout à fait. On ne peut pas abréger le libre arbitre !

Q : (L) Eh bien, mon libre arbitre me dit que je veux tous les secrets de l’existence ! Je veux dire que d’autres personnes canalisent des sources qui déversent des réponses sans fin à tout et n’importe quoi…

R : D’autres personnes canalisent de la foutaise.

Q : (C) C’est une nouvelle céréale pour le petit déjeuner ! (A) Les deux principaux concepts que nous utilisons sont les dimensions et les densités. Encore une fois, vous utilisez le concept de dimension d’une manière différente de celle des physiciens et des mathématiciens.

R : Phi.

Q : (A) Je n’ai aucune idée de ce que fait ce phi, qui est probablement lié à Fibonacci et au nombre d’or…

R : Carboni.

Q : (A) Pourtant, ma question sur les dimensions reste entière. Phi n’est pas un nombre entier et nous allons nous pencher sur la question. Mais ce que j’ai dit, c’est que la façon dont vous utilisez le terme « dimensions » ne correspond pas à l’usage que les physiciens font de ce terme.

R : Il s’agit ici d’un problème de sémantique : le grand public utilise ce mot dans un sens différent de celui des physiciens !

Q : (C) D’accord, phi est une lettre grecque, mais je ne vois pas le rapport.

R : Non, pas phi, les dimensions !

Q : (L) Définissez la dimension. (A) J’ai essayé de deviner ce que vous entendez par dimensions à partir de tout ce que vous avez dit à ce sujet…

R : Notre « sens » est plus proche de la définition du grand public.

Q : (A) Très bien, mais vous avez dit certaines choses dans un contexte qui était plus lié à la structure de l’univers. Et nous parlions de dimensions également dans le contexte des théories de Kaluza-Klein. À un moment donné, vous avez dit qu’il y avait une infinité de dimensions, et à un autre moment, il a été sous-entendu que des dimensions différentes signifiaient des univers différents, ce qui signifierait qu’il y a une infinité d’univers. J’aimerais représenter ces dimensions dans un modèle mathématique. Mon idée était que ces dimensions étaient comme des tranches ; chaque tranche est un univers et, en effet, il y a une infinité de tranches possibles. Voilà donc mon idée des dimensions : des tranches. Est-ce exact ?

R : C’est bien.

Q : (A) Il y a une infinité de dimensions parce qu’il y a une infinité de tranches. Venons-en maintenant aux densités. Il n’y a pas une infinité de densités, il n’y en a que sept. Ou bien ces sept densités sont-elles seulement destinées au grand public et y en a-t-il en réalité une infinité ?

R : Non.

Q : (A) Bien. Il y a donc sept densités. Comment se fait-il qu’il y en ait sept et pas trois, cinq ou onze ? Est-ce que cela découle d’une théorie mathématique ?

R : Quelle forme de théorie mathématique décrit le mieux le concept d’équilibre ?

Q : (L) L’algèbre. (A) J’ai donc eu l’idée que ces sept densités étaient liées à ce que Gurdjieff appelle le nombre de lois qui s’appliquent dans les différentes densités ; plus la densité est élevée, moins il y a de lois qui s’appliquent, ce qui signifie qu’il y a plus de liberté ?

R : C’est très proche. La conscience est la clé ici.

Q : (A) Oui, ma question porte donc sur le modèle géométrique de la gravité et de la conscience.

R : Imaginez un octogone sans fin… en trois dimensions.

Q : (A) Un treillis, vous voulez dire ?

R : D’accord.

Q : (A) Ces densités sont-elles liées au concept mathématique des « signatures de la métrique » ? J’aimerais modéliser les densités avec des tranches de différentes propriétés géométriques, en particulier des tranches avec différentes propriétés de la distance.

R : Oui…

Q : (A) Il y a plusieurs personnes qui pensent essentiellement dans le même sens que de ce dont nous avons discuté… ils sont presque sur la même voie. Matti Pitkanen est l’un d’entre eux et Tony Smith en est un autre. Comment ces deux personnes peuvent-elles avoir des idées aussi similaires sans avoir accès au channeling ?

R : Qui a dit qu’ils n’avaient pas accès au channeling ? Certains canalisent sans le savoir.

Q : (L) Eh bien, Jack canalise ! (Rires) (A) Aujourd’hui, sur cette liste, il y avait un certain Boyd qui parlait de ses expériences chamaniques en parlant à des pierres. Il n’a pas l’air fou, mais il parle à ces pierres tous les jours, et ces pierres lui parlent, et ces pierres ont une conscience, elles ont des souvenirs. Je lui ai écrit, mais j’aimerais savoir si ses expériences sont authentiques et si elles ne sont pas le fruit de son imagination.

R : C’est une question très large, qui suppose des limites ou des barrières là où il n’y en a pas.

Q : (L) Quelqu’un est-il capable d’entrer dans la conscience des pierres ?

Q : (A) Une conscience ? La conscience de qui ou la conscience de quoi ? La conscience universelle ?

R : Une autre.

Q : (A) Une autre conscience. (L) Les roches ont-elles une conscience ?

R : Référez-vous à la documentation sur la première densité.

Q : (L) Oui, il a été dit précédemment que la 1ʳᵉ densité a une conscience… que même les pierres ont une conscience et peuvent apprendre. Cela nous ramène à Boyd, est-il, peut-il, se met-il au diapason de la conscience des roches et/ou d’autres consciences PAR L’INTERMÉDIAIRE des roches ?

R : La seconde hypothèse est la plus probable.

Q : (L) Donc, la conscience d’un rocher ne peut pas être communiquée.

R : C’est exact.

Q : (L) À quelle autre conscience une personne pourrait-elle accéder par l’intermédiaire d’un rocher ? N’importe quelle autre conscience ou une autre conscience spécifique ?

R : Plus près de la première.

Q : (A) Si la conscience existe, cela signifie qu’il y a une unité de conscience, et cette unité de conscience peut être à l’intérieur ou associée à un corps d’une certaine densité. Peut-on s’accorder à une conscience qui réside, pour ainsi dire, dans des densités plus élevées que la troisième, en utilisant des pierres ? Est-ce possible ?

R : Presque.

Q : (A) On peut donc s’accorder avec des morts ou des Cassiopéens. (L) La conscience des êtres humains est-elle quelque chose qui a évolué des minéraux aux plantes en passant par les animaux pour évoluer vers la conscience de l’esprit de 3e densité, tel que nous le comprenons ?

R : D’une manière détournée.

Q : (L) Chacun d’entre nous, assis ici, était-il à un moment donné dans un passé lointain, en utilisant le temps au sens large, a été une créature, pour ainsi dire, ou une plante ou un arbre ?

R : Tu es toujours une créature, bébé !

Q : (L) Donc, si l’on fait abstraction du temps, le courant de conscience qui nous constitue en tant qu’unités individuelles, se ramifie et s’étend dans les densités inférieures, ou se connecte à elles comme un arbre ?

R : Peut-ĂŞtre.

Q : (A) En ce qui concerne ces roches, je voudrais poser une question sur l’effet fantôme de l’ADN que des Russes ont récemment découvert. Ils tirent avec des lasers dans ce vide et enregistrent les photons avec des détecteurs. Ils détectent du bruit parce qu’il n’y a rien de cohérent. Ensuite, ils y placent un petit morceau d’ADN. Cet ADN a une certaine structure régulière. Les photons des lasers se dispersent donc sur cette molécule d’ADN selon un certain schéma ondulatoire qui correspond à la structure interne de l’ADN. Ils enlèvent l’ADN et, pendant un mois ou deux, ils continuent à obtenir un motif cohérent du vide, comme si quelque chose était encore là. Ils l’appellent « l’ADN fantôme ».

R : Le « fantôme » est un résidu de conscience contenu dans la structure de l’ADN.

Q : (A) Où réside ce résidu ? Dans le vide, dans les vibrations du vide, dans un champ gravitationnel à l’intérieur du vide, dans un électromagnétisme non linéaire ? Où se trouve ce reste ? Qu’est-ce qui le retient ? L’espace lui-même ?

R : Vous avez visé juste avec les trois dernières questions.

Q : (C) Ne serait-ce pas comme laisser une empreinte dans un coussin ?

(A) Oui, mais nous sommes dans le vide.

(L) Je suppose que le vide n’est pas ce que nous pensons qu’il est. Il y a là quelque chose qui ne se prête pas à notre perception.

(A) Donc, la conscience réside dans une structure d’ADN.

(C) Eh bien, pour en revenir aux roches, toute la conscience n’est-elle pas connectée ?

(A) Oui, mais ce qui est amusant avec ces pierres, c’est qu’elles ont la capacité d’accorder une conscience à une autre conscience, de sorte que même si, en principe, toutes les consciences ne font qu’une, il existe des unités de conscience distinctes qui, à un certain niveau, sont connectées, mais qui, à notre niveau, semblent être séparées ; il y a donc quelque chose dans les pierres.

(C) C’est peut-être le fait qu’elles soient si simples.

(A) Oui. Mais il semble qu’une roche puisse le faire, mais pas la terre, alors qu’est-ce que les roches ont de si spécial ?

(L) D’accord, cet anthropologue, Michael Harner, faisait du travail sur le terrain, et il est dit ici que Harner est allé en Amazonie péruvienne pour étudier la culture des Indiens Conibo. Au bout d’un an environ, il n’avait guère progressé dans la compréhension de leur système religieux, lorsque les Conibo lui ont dit que s’il voulait vraiment apprendre, il devait boire de l’ahayahuasca. Harner accepte, non sans crainte car les gens l’avaient prévenu que l’expérience était terrifiante.

Le soir suivant, sous la stricte surveillance de ses amis indigènes, il boit l’équivalent d’un tiers de bouteille. Au bout de quelques minutes, il s’est retrouvé dans un monde de véritables hallucinations. Arrivé dans une caverne céleste où battait son plein un carnaval surnaturel de démons, il vit flotter dans les airs deux étranges embarcations qui se combinaient pour former une immense proue à tête de dragon qui n’était pas sans rappeler celle d’un bateau viking. Sur le pont, il pouvait distinguer un grand nombre de personnes ayant la tête d’un geai bleu et le corps d’un humain, ce qui n’est pas sans rappeler les dieux à tête d’oiseau des anciennes peintures funéraires égyptiennes.

Après de multiples épisodes, qu’il serait trop long de décrire ici, Harner fut convaincu qu’il était en train de mourir. Il tente d’appeler ses amis Conibo pour leur demander un antidote, mais ne parvient pas à prononcer un mot. Il s’aperçut alors que ses visions émanaient de créatures reptiliennes géantes qui résidaient au plus profond de son cerveau. Ces créatures ont commencé à projeter des scènes devant ses yeux en l’informant que ces informations étaient réservées aux mourants et aux morts.

« Tout d’abord, ils m’ont montré la planète Terre telle qu’elle était il y a des lustres, avant qu’il n’y ait de la vie. J’ai vu un océan, une terre stérile et un ciel d’un bleu éclatant. Puis des taches noires sont tombées du ciel par centaines et ont atterri devant moi sur le paysage stérile. J’ai vu que ces taches étaient en fait de grandes créatures noires et brillantes, dotées d’ailes trapues semblables à celles des ptérodactyles et d’un corps énorme semblable à celui d’une baleine. Elles m’ont expliqué, dans une sorte de langage de la pensée, qu’elles fuyaient quelque chose qui venait de l’espace. Elles étaient venues sur la planète Terre pour échapper à leur ennemi. Les créatures m’ont ensuite montré comment elles avaient créé la vie sur la planète afin de se cacher dans la multitude de formes et de dissimuler ainsi leur présence. Devant moi, la magnificence de la création et de la spéciation des plantes et des animaux, ainsi que des centaines de millions d’années d’activité, s’est déroulée à une échelle et avec une vivacité impossible à décrire. J’ai appris que des créatures ressemblant à des dragons se trouvaient ainsi à l’intérieur de toutes les formes de vie, y compris l’homme ».

À ce stade de son récit, Harner écrit dans une note en bas de page : J’aimerais donc savoir quelle est la source et la nature de ces visions quasi universelles qui se produisent dans le cadre de ces pratiques chamaniques ; les diverses créatures, y compris les serpents et les hommes à tête d’oiseau, et ainsi de suite ? Quelle est la source de ces hallucinations ?

R : Sois plus précise.

Q : (L) Comment puis-je être plus précise ? (C) Dans ces transes induites chimiquement, pourquoi voit‑on souvent ces créatures à tête d’oiseau ou ressemblant à des serpents ?

R : Tant que vous ĂŞtes physiques, une partie de vous maintient la connexion avec ses racines.

Q : (L) Êtes-vous en train de dire que toutes ces personnes qui affirment que les êtres humains ont une génétique reptilienne, disent la vérité ? Avons-nous une génétique reptilienne ?

R : Oui.

Q : (L) Avons-nous aussi une génétique d’oiseau ?

R : Oui.

Q : (L) Et c’est là notre lien physique ou notre base ?

R : Oui, en tant qu’êtres de troisième densité issus de la bio-ingénierie, vous êtes à la tête du défilé de ce qui vous entoure dans le domaine physique.

Q : (A) Donc, nous sommes des êtres de troisième densité issus de la bio-ingénierie. (L) Cela nous amène à une autre question : on parle beaucoup des lignées mérovingiennes, ou des lignées du « pacte nordique », ou de toute autre étiquette, comme étant une version plus « fraîche » de la souche génétique reptilienne. Cela est représenté dans les mythes du dieu Oannes, de renommée sumérienne, ou du Quinotaure qui féconda la mère de Mérovée alors qu’elle se baignait dans la mer, et même de la femme du fondateur des Angevins, Mélusine, décrite selon les cas comme une fée aquatique ou une sirène. On prétend donc qu’il existe une souche reptilienne plus forte et plus virile dans ces lignées. Est-ce exact ?

R : C’est possible.

Q : (L) Est-ce que c’est significatif d’une manière ou d’une autre ?

R : Pour ceux qui sont obsédés par le matérialisme.

Q : (L) D’accord, il y a aussi des idées nouvellement propagées selon lesquelles le mois d’août, cette année, va produire des changements ou des événements terribles, ou des événements significatifs pendant les « jours de chien » du mois d’août. Y a-t-il quelque chose de significatif à propos du mois d’août à venir ?

R : Quel est l’intérêt de prédire ou d’avertir de changements terribles ?

Q : (L) Mon observation est que de telles prédictions sont conçues pour distraire les gens, les inquiéter et les contrarier afin qu’ils ne puissent pas se concentrer sur ce qui est important. Revenons à l’histoire de Harner : cette histoire de créatures ressemblant à des dragons qui fuient quelque chose. Cette histoire est souvent répétée. Est-ce une partie exacte de l’histoire ? Fuyaient-ils quelque chose ?

R : Peut-ĂŞtre, mais alors quoi ?

Q : (L) Que fuyaient-ils ? Je suis curieuse !

R : Fuyaient-ils ? Toute vie ne fait que remplir les vides qui existent. C’est un processus naturel ; l’existentialisme.

Q : (L) Comme vous le savez maintenant, j’ai participé à l’émission de radio. Mon sentiment est qu’elle n’a été significative en aucune façon. J’ai appris que je ne veux plus jamais passer à la radio ! Voyez-vous des répercussions à ce sujet ?

R : Nous nous abstenons. D’accord, les amis, bonne nuit.

Fin de la séance
 
Merci beaucoup pour cette traduction !! Une nouvelle séance comme on aimerait en voir plus !! De ma physique !! :-D

Un très grand merci à toute l'équipe qui ne chôme pas !

Thank you very much for this translation!! A new session as we would like to see more!! From my physics!! :-D

A very big thank you to the whole team who are not idle!
 
Merci les amis-es , une periode de macération est maintenant nécessaire , comme à chaque séance pour appréhender toutes ces informations pour qu'elles puissent entrer en résonance avec notre "sphère mentale de compréhension relative"...
 
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