Séance du 10 juin 1995

Jacques

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Merci aux membres de l'équipe française pour cette traduction.
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Séance du 10 juin 1995 :

Channeling direct avec Frank.

Participants : « Frank », Laura, SV, Terry et Jan

[Laura induit une transe hypnotique chez Frank.]

Q : (L) Qui est avec nous ce soir ?

R : Nous ne sommes pas une unique entité ; comme toujours, cela n’a pas changé.

Q : (L) Quelqu’un de particulier vous représente-t-il, ou préférez-vous ne pas être désignés de la sorte ?

R : Eh bien, cela soulève un point intéressant, car dans vos séances précédentes avec la planchette, nous avons remarqué que vous aviez tendance à vous adresser à nous comme si nous étions une entité unique. En réalité, ce n’est pas la bonne manière de nous envisager. Nous sommes des entités multiples mutuellement unies s’exprimant d’une seule voix lorsque nous communiquons avec vous.

Q : (L) Nous sommes tous rassemblés ici ce soir pour cette expérience afin de découvrir si nous pouvons recevoir des informations grâce à cette méthode au lieu d’utiliser la planchette. Y a-t-il quoi que ce soit que nous puissions faire pour améliorer l’usage de cette méthode particulière ?

R : Définis améliorer, s’il te plaît.

Q : (L) Y a-t-il quoi que ce soit que nous puissions faire pour mieux installer le canal, pour rendre l’induction plus efficace ?

R : N’est-elle pas déjà efficace ?

Q : (L) Si, elle semble l’être, mais s’il y a quoi que ce soit que l’on puisse ou doive faire pour qu’elle le soit encore plus, nous aimerions savoir ce que c’est. Tout processus d’induction particulier qui fonctionnerait mieux qu’un autre à part pratiquer un décompte.

R : Ce n’est pas nécessaire pour cette fois.

Q : (L) Bien, alors pouvons-nous commencer à poser des questions ?

R : Certainement.

Q : (L) Ma première question concerne la séance de samedi dernier, qui a apparemment déplu à tout le monde. Nous aimerions comprendre pourquoi les informations semblaient tellement confuses, déformées et, très franchement, inexactes.

R : Pourquoi penses-tu qu’elles étaient inexactes ?

Q : (L) Parce que l’une des réponses était que la lumière que j’ai vue dans le ciel était la planète Mars. Ça ne pouvait pas être la planète Mars, parce que Mars se situe à 120 degrés de la planète Jupiter.

R : Peut-être la question a-t-elle été posée de manière à recevoir cette réponse-là. Te suggérons de relire les transcriptions plus en détail.

Q : (L) Il a également été dit que les enfants avaient vu des avions et des hélicoptères. Quand je suis sortie voir, ce que j’ai vu n’était absolument pas un hélicoptère ni un avion. La lumière que j’ai vue ne se trouvait qu’à dix degrés de la planète Jupiter ; c’était une lumière rouge pulsante. Pouvez-vous me dire ce que j’ai vu ?

R : Eh bien, si tu désires croire que ce que tu as vu était quelque chose d’autre que les réponses données, cela est parfaitement acceptable. Mais, quand on pose des questions sur des référents visuels, on doit se préparer à toutes sortes de réponses.

Q : (L) Ça semble assez vague.

R : Vague peut aussi indiquer un désir d’aider autrui à en apprendre plus sur lui-même et son environnement.

Q : (L) Ce que j’ai vu dans le ciel n’était ni un avion ni un hélicoptère ; ce n’était pas non plus la planète Mars. Quoi que ce fût, ce n’était pas là le lendemain soir ni les soirs suivants. Par conséquent, il s’agissait d’un objet d’un genre que nous n’avons pas l’habitude de voir, et je ne comprends pas en quoi cela favoriserait mon apprentissage de…

R : Pouvons-nous poser une question ?

Q : (L) Bien sûr.

R : Lorsqu’on cherche à identifier un référent visuel, ne serait-il pas sage de faire preuve de patience quant au résultat de l’analyse ?

Q : (L) Si, bien sûr.

R : Tu affirmes que ce que tu as vu n’était pas un avion ni un hélicoptère. Cela nous intéresse de savoir comment tu peux en être certaine ?

Q : (L) Parce que je suis restée là, à la regarder pendant un très long moment, et elle n’a jamais bougé.

R : Cela indique-t-il que ce n’était pas un hélicoptère ?

Q : (L) Oui, parce que même lorsqu’ils font du surplace, les hélicoptères opèrent un certain mouvement ou un déplacement latéral ou horizontal, et ils sont aussi dotés de toutes sortes de lumières. Ils ne restent pas là immobiles, comme la grosse lumière orangée/rougeâtre brillante et pulsante que j’ai vue.

R : OK, de tous ces divers…

Q : (L) Pourriez-vous parler plus fort et plus distinctement ?

R : Nous essaierons de satisfaire ta demande, toutefois les circonstances pourraient s’y opposer. Souviens-toi, nous utilisons un mode différent qui requiert la coopération du potentiel physique et d’autres facteurs.

Q : (L) OK. Avez-vous d’autres remarques à faire au sujet de la séance de samedi dernier ?

R : Non. Si vous avez d’autres questions ou commentaires ?

Q : (L) Quelqu’un a-t-il d’autres questions à ce propos ? (T) Tom a-t-il compris les informations que vous lui avez fournies la semaine dernière ?

R : Peux-tu préciser s’il te plaît ?

Q : (T) À la fin de la séance, vous avez parlé à Tom de sa formation universitaire, de son travail, et du journal pour lequel il travaille, et vous avez évoqué la possibilité d’un rachat dans un futur proche. Avez-vous le sentiment que Tom a compris ce que vous disiez ?

R : Tom a compris le message donné, mais résistait aux informations, ce qui est son droit.

Q : (T) Et Cherie ? Est-ce qu’elle a compris ?

R : Certainement dans la mesure nécessaire à son niveau de développement.

Q : (L) Qui est ?

R : C’est une question vague. Il est difficile de répondre adéquatement ; comprenez s’il vous plaît qu’il n’est pas dans notre intention de critiquer, mais l’objectivité est nécessaire pour progresser avec ces séances. Lorsque vous posez une question demandant si le niveau de développement d’un sujet est suffisant, c’est subjectif car qui détermine ce qui est suffisant et ce qui ne l’est pas ? Tout le monde se trouve à des niveaux de développement différents. Comprenez-vous ?

Q : (L) Oui.

R : Maintenant, si la question est : « le niveau de développement de Chérie est-il plus grand ou moins grand comparativement aux personnes ici présentes », la réponse sera naturellement qu’il l’est moins. Ce qui ne devrait pas être surprenant puisque le niveau d’exposition a été moindre. Il en est de même pour le sujet désigné par le nom de Tom French. Le niveau d’exposition a aussi été d’un moindre degré. Par conséquent, naturellement, le niveau de compréhension est plus faible, relativement parlant.

Q : (L) Lors d’une précédente séance, des commentaires ont été faits au sujet de la remolécularisation, et vous avez fait une remarque assez cryptique que je cite : « Apprends l’assemblage de niveau 4 ». Pourriez-vous nous dire ce qu’est un assemblage de niveau 4 ?

R : Cette question est fragmentée. La réponse à la question à laquelle tu fais référence est appropriée. Cependant, la transformer et poser une question sans données supplémentaires à comparer n’est pas adéquat. Si tu le permets, s’il te plaît, nous te demandons de construire plus soigneusement ta question. Comprends-tu ?

Q : (L) Oui, et je n’ai pas l’extrait en question de la transcription sous la main, donc je suis incapable de développer la question. (T) Pouvons-nous travailler sur ce sujet en particulier grâce à la planchette, ou l’ensemble des réponses est-il trop complexe pour pouvoir être géré par la planchette ?

R : Ce n’est jamais la méthode le problème. Le problème est simplement le soin apporté aux discussions, à l’apprentissage, ou à une séance de questions et réponses. Par exemple, si l’on cherche une réponse à une question complexe, on doit être patient, car l’absorption des informations est des plus importantes et en manquer une quelconque partie entraînera la mécompréhension ou l’incomplétude de la réponse. Par conséquent, toute méthode peut être utilisée pour recevoir la connaissance sur des questions compliquées, cependant, la patience est la clé, sinon les informations ne seront pas absorbées adéquatement.

Q : (L) Nous comptons entrer en contact avec un individu de 4e densité comme on nous l’a conseillé, et nous aimerions savoir s’il y a des façons ou des moyens spécifiques de nous y prendre pour chercher cet individu, et comment reconnaîtrions-nous cet individu si nous le trouvions ?

R : Tout ceci se mettra en place quand la situation sera idéale pour vous.

Q : (T) À l’époque de cette séance, vous nous avez informés de la nécessité de trouver cet individu de 4e densité. Dites-vous maintenant que…

R : Le message donné visait simplement à préparer à l’éventualité. Souvenez-vous, la connaissance est importante car elle protège. Voyez cela aussi comme une base pour la progression de plus amples connaissances et expériences. Par conséquent, l’acquisition de connaissance peut parfois être mieux facilitée en donnant des informations qui préparent l’individu à une suite d’événements importants ; compris ?

Q : (T) Oui, je crois. Le contexte de cette transmission était que nous subissions une attaque et que, tel que je l’ai compris, trouver cet individu nous faciliterait la tâche. Le niveau de l’attaque est-il insuffisant pour nécessiter l’intervention immédiate de cet individu, et à l’avenir, le temps, tel que nous le référençons, viendra de lui-même où cet individu nous contactera ?

R : La totalité de cette déclaration était exacte à l’exception de la toute dernière partie. L’individu ne va pas nécessairement vous contacter. L’élément le plus important de l’expérience a été la base que la déclaration d’origine a établie. Autrement dit, vous êtes maintenant préparés à éventuellement rencontrer un être de 4e densité de nature SDA, et parce que cette information a été donnée, vous avez en fait conscience de la possibilité de cette occurrence. Par conséquent, vous êtes plus à l’affût des individus qui peuvent correspondre à ce profil, et ils sont très répandus parmi vous, bien que vous n’en étiez pas pleinement conscients avant que l’information ne soit donnée.

Q : (L) Ces individus de 4e densité SDA sont-ils ce que de nombreux cercles dénomment actuellement les « anges » ?

R : Faux.

Q : (L) Existe-t-il des êtres tels que les « anges » comme on l’évoque couramment ?

R : Oui, mais ils ne sont pas de 4e densité.

Q : (L) Qu’est-ce qu’un ange ?

R : Être de lumière de sixième densité au service d’autrui.

Q : (L) Apparaissent-ils sous forme humaine ?

R : Peuvent apparaître sous forme de projection humaine.

Q : (L) Apparaissent-ils aussi fréquemment qu’on le suppose de nos jours ?

R : C’est une question vague.

Q : (L) Est-il possible à des êtres SDS d’autres densités d’apparaître et de se projeter sous forme d’anges et d’être pris ou qualifiés d’anges à tort ?

R : Certainement.

Q : (L) Cela se produit-il dans une certaine mesure ?

R : Très probable. La tromperie fait partie de tout procédé visant la manipulation d’autrui à des fins de gain personnel. Et, comme nous vous en avons averti, ceux de 4e densité de nature du service de soi sont uniquement intéressés par leur propre avancement, gain, ou condition, et rendront possible tout procédé qui fera progresser cette cause, y compris la tromperie de la nature décrite.

Q : (T) Revenons aux êtres de 4e densité avec lesquels nous interagissons encore à notre insu, maintenant que nous en prenons conscience. Ai-je raison de supposer, puisqu’ils sont au courant de nos activités — comme vous nous l’avez indiqué lors de cette séance et vu ce que vous avez dit jusqu’ici ce soir à leur sujet — que même si nous n’interagissons pas directement avec eux, en réalité ils nous aident sans que nous le sachions ?

R : Qui a dit que vous n’interagissiez pas directement avec eux ?

Q : (T) D’accord, laissez-moi formuler ça dif… (J) Nous interag… (T) Nous n’avons pas conscience d’interagir avec des êtres de 4e densité, nous les considérons encore comme de simples humains car nous ne savons pas qui… (J) Nous ne les reconnaissons pas… (T) On ne les reconnaît pas encore. Puis-je présumer qu’ils nous aident déjà si nécessaire ?

R : Pensez-y soigneusement maintenant, ne les reconnaissez-vous réellement pas ?

Q : (T) Eh bien, j’essaie de faire plus attention aux gens avec lesquels je suis quotidiennement en relation.

R : N’es-tu pas plus attentif, déjà ?

Q : (L) Quels sont les critères qui qualifient un être SDA de 4e densité ? (J) Oui, c’est quoi le profil ? Vous avez mentionné un profil tout à l’heure.

R : Cela dépend de votre définition d’un profil.

Q : (J) Un profil serait une liste de critères, une liste de contrôle si vous préférez. (L) De quoi ont-ils l’air, sont-ils de telle ou telle taille, ou… (T) Ressemblent-ils à ça ? (L) Ont-ils des facultés spéciales pour manipuler la réalité de 3e densité…

R : Peut-être mais il peut y avoir des restrictions quant à l’usage de telles facultés.

Q : (L) Pourquoi y aurait-il des restrictions ? (J) 4e et 5e…

R : L’orientation du service d’autrui signifie le service aux autres. L’usage de pouvoirs ou facultés extraordinaires, si vous voulez, peut bouleverser ceux qui ne possèdent pas ces pouvoirs ou facultés. De plus, souvenez-vous, un être de 4e densité résidant en 3e densité ne demeure pas à son propre niveau de densité, par conséquent il se trouve en territoire étranger, pour ainsi dire, ce qui requiert, pour de nombreuses raisons qui ne seront pas entièrement énumérées ici, de ne rien faire qui attire l’attention.

Q : (J) Vous avez aussi dit des SDA de 4e densité qu’il leur était difficile de se maintenir en 3e densité. (T) Non, SDS. (L) SDS. (J) Quelle est la différence ?

R : La différence est qu’une orientation SDA tend vers l’expansion de l’état d’être, le SDS tend vers la contraction de l’état d’être.

Q : (L) Êtes-vous en train de dire que s’associer à ce type de personne peut faire croître les individus qui s’associent avec eux ?

R : Eh bien, c’est vrai, mais ce n’est pas ce que cette déclaration signifiait.

Q : (L) Je sais, je ne faisais qu’élargir. Et l’association avec un SDS… (T) Bon, vous dites que nous interagissons déjà avec ces êtres de 4e densité ?

R : Déclaration…

Q : (J) Et qu’on pouvait en avoir conscience…

R : La déclaration était plutôt une question ; avez-vous le sentiment de ne pas interagir avec des individus SDA de 4e densité ? C’était une question rhétorique demandant une réflexion de votre part. Vos réponses en retour ont indiqué que cette possibilité existait bel et bien. C’était tout.

Q : (L) OK. La possibilité existe bien et c’est simplement pour que nous en prenions conscience et gardions les yeux ouverts. (J) Pouvez-vous nous indiquer un quelconque moyen de reconnaître de tels êtres ?

R : Non, ce que nous vous demandons de faire maintenant, c’est de vous interroger — et vous pouvez vous servir de nous comme d’une caisse de résonance, pour ainsi dire, pour votre discussion — pour déterminer comment on peut reconnaître un individu SDA de 4e densité, ce qui vous aidera à apprendre, ce qui vous aidera à progresser, et ainsi de suite.

Q : (L) Un être SDA de 4e densité naîtrait-il dans cette densité de la façon normale ?

R : Tu poses encore une question. À la place, nous vous demandons de vous interroger vous-mêmes, d’en discuter et de revenir avec la réponse.

Q : (T) Eh bien, un être au service d’autrui serait quelqu’un avant tout au service des autres. Ce serait un indicateur majeur.

R : Exact. Voilà la bonne façon de découvrir la réponse à cette question, plutôt que d’attendre de nous toutes les réponses. Vous avez la capacité d’extraire les réponses vous-mêmes, elles sont en vous. Nous sommes plus qu’heureux de vous aider, mais notre but est de vous aider à vous renforcer vous-mêmes, dans un but d’utilisation future, si vous voulez. Cela vous aide à avancer et à progresser. Tout est leçon. Tout est apprentissage. C’est pourquoi le moyen le plus rapide et le plus efficace d’apprendre est d’utiliser à cette fin vos propres facultés. Nous poser des questions est tout à fait acceptable et utile, mais essayer d’obtenir toutes les informations de cette source-ci pourrait à la longue se révéler nuisible. Maintenant, si tu veux poursuivre, s’il te plaît…

Q : (L) Eh bien, mon idée était qu’un individu SDA ne naîtrait pas de façon normale, car il y aurait trop de risques pour que cet individu se perde dans l’illusion. Donc, je pense qu’un être SDA aurait peut-être un passé quelque peu mystérieux, ou…

(J) Comment pourrions-nous savoir cela, à moins d’être là au moment de sa naissance, ou non-naissance…

(T) Nous devons envisager ce que l’on pourrait observer…

(L) Eh bien, ce serait peut-être quelqu’un qui ne parlerait pas de son enfance ?

(T) Même sans ça… dans le contexte d’un groupe, ou chez une vague connaissance, il nous faudrait être attentifs à sa façon d’agir. Sa façon de parler. Le genre de compassion dont il fait preuve…

(J) Le type de sentiments qu’il suscite en nous…

(T) Oui, ce ne serait pas tant un truc physique qu’une conscience… une connexion.

(L) Mais d’un autre côté, le truc avec les sentiments c’est que des entités négatives peuvent fausser les sentiments ou les contrôler, et ils peuvent induire un sentiment négatif lorsqu’on est en présence d’un individu positif, juste pour nous dérouter. Cela ferait entièrement partie du procédé de tromperie, ne pensez-vous pas ? Je veux dire, on sait tous…

(J) Qu’il en a été ainsi…

(T) Mais c’est un aspect dont on doit apprendre à tenir compte… ça fait partie du processus d’apprentissage.

(L) On ne peut donc pas dire qu’on le ressentirait…

(T) Avec qui as-tu interagi ces six derniers mois qui était disponible pour les autres, attentionné, généreux, prêt à faire des choses, aller à des endroits, à… à…

(L) Eh bien, seulement les membres de ce groupe à ce que je vois, et c’est vraiment très limité…

(J) Oui, c’est vrai…

(T) Eh bien, peut-être que l’un de nous est cet être. Peut-être que l’un de nous est un être de 4e densité.

(L) Ne penses-tu pas qu’on le saurait ?

(J) Non…

(T) Pas nécessairement. Pas si l’un de nous est un être de 4e densité qui a décidé qu’il n’était pas encore temps d’entamer le dialogue.

(J) Se pourrait-il même… (T) Nous devons… (J) …qu’ils n’en soient pas conscients ?

(T) Ils sont conscients… souviens-toi, les Cassiopéens nous ont dit qu’ils étaient conscients de nous… ils nous connaissent déjà en tant que groupe… ils savent ce que nous faisons. Peut-être pas tous, mais ceux à qui nous devons parler ou que nous avons besoin de connaître savent déjà qui nous sommes.

(L) Eh bien, en général, je dois dire que la plupart des interactions que j’ai eues avec les gens ces deux dernières années ont constitué une série d’expériences…

(J) De pur SDS…

(L) Oui. Je veux dire que ça a été comme un apprentissage que je devais suivre et…

(T) Parmi ces personnes, qui a offert de faire quelque chose pour toi au lieu de te prendre quelque chose ? On ne cherche pas une ribambelle d’êtres. On en cherche peut-être un ou deux sur la totalité de ceux qui sont présents et qui vont nous aider. Ou vers qui on peut se tourner pour avoir de l’aide…

(L) Je ne vois personne en dehors du groupe. Je veux dire qu’il y a eu des gens qui ont proposé de faire ceci ou cela, mais le prix qu’ils s’attendaient à ce que je paye pour cela était un petit peu trop élevé, ou alors j’ai découvert qu’ils ne disaient pas la vérité…

(J) Eh bien, alors, évidemment c’est…

(J) Je pars du principe que les gens pensent ce qu’ils disent et…

(T) Permettez-moi une question… est-ce que tous les êtres de 4e densité qui sont ici sur cette planète en ce moment savent qu’ils sont des êtres de 4e densité ? Sont-ils conscients de qui ils sont et de ce qu’ils sont ?

R : Eh bien, c’est une question intéressante, car elle en soulève une autre : tous les êtres SDA de 4e densité sont-ils de même nature, physiquement, parapsychiquement, spirituellement, etc. ?

Q : (J) Autrement dit, y a-t-il une connexion ?

R : Non, ce n’est pas le point soulevé. Le point soulevé est : ont-ils tous la même orientation ? Ou est-il possible qu’ils soient d’orientations différentes ?

Q : (T) Orientation… comment ça ?

R : Nature physique, nature spirituelle, nature parapsychique, conscience de soi et destinée ?

Q : (T) À vue de nez, je dirais que non, ils seraient tous différents puisque ce sont des êtres différents pour commencer.

(L) Donc, ils pourraient être petits et bruns, grands et blonds…

(J) Je ne pense pas que le physique ait quoi que ce soit à voir avec ça…

(T) Ce que j’ai toujours ressenti par rapport au fait que l’être qu’on nous a dit de chercher était un Orion… (L) De type nordique… (J) Non, c’est nous qui avons dit nordique…

(T) Quand on évoque les Orions dans les milieux new-age et ufologiques, on pense automatiquement au type nordique… l’Aryen blond aux yeux bleus. Mais les Orions ne ressemblent pas nécessairement tous à ça… ça pourrait n’être qu’une des manifestations. Ils n’auront pas tous la même apparence… ils ne ressembleront pas à Semjase la Pléiadienne… Ils ne vont pas tous ressembler à Fabio ou autre parce qu’ils vont essayer de se fondre dans les sociétés humaines à travers toute la planète… ils ne peuvent pas tous se ressembler. L’idée m’est venue que non seulement ils ne se ressembleront pas tous physiquement, mais ils auront aussi des âges différents pour pouvoir se fondre dans n’importe quel cadre qui leur est utile. Autrement dit, ils pourraient avoir 95 ans, ou avoir l’air d’avoir 95 ans, si c’est ce qui leur semble nécessaire… pour trouver leur identité. Est-ce que je me rapproche un tant soit peu de l’idée, là ?

R : Maintenant, le but de notre réponse de tout à l’heure était de vous faire prendre conscience des outils que vous possédez pour découvrir la ou les réponses à votre ou à vos questions concernant la connaissance et l’identification d’êtres SDA de 4e densité parmi vous, ou son éventualité. Et nous observons que vous avez fait quelques menus progrès en ce sens. Toutefois, le problème qui est survenu, si vous voulez, c’est que vous vous êtes maintenant éparpillés ou dissociés en deux modes de pensée divergents sur le même sujet. Nous vous suggérons de vous réorienter afin que vos questions, visées ou objectifs demandant une réponse ne fassent qu’un.

Q : (T) D’accord. (J) Bon, on a commencé par demander s’ils étaient tous conscients de leur état et ensuite on est passé à leur apparence et à la façon de les reconnaître… (T) Eh bien, physiquement, je crois qu’ils auraient tous l’air différents afin de se mélanger. Ils ne peuvent pas tous être identiques. (SV) Seraient-ils conscients d’être de 4e densité ? (J) Oui, c’est, c’est… (T) La conscience ; les Cassiopéens ont indiqué que la conscience pouvait se situer à différents niveaux.

R : Peut-être à différents niveaux, mais, plus important, l’orientation d’un être ou d’êtres SDA de 4e densité peut être de nature différente.

Q : (L) Voulez-vous parler d’orientation non en termes de SDA vs SDS, mais en termes de quoi ?

R : Nature de la physicalité, spiritualité, faculté parapsychique ou conscience.

Q : (L) Donc, l’orientation veut dire qu’ils pourraient être baptistes… (T) Musulmans, catholiques…

R : Faux…

Q : (T) Les niveaux d’élévation spirituelle… ils peuvent être très parapsychiques ou pas du tout…

R : Non. Vous vous égarez…

Q : (L) Qu’entendez-vous par orientation ?

R : Nature de l’être, physiquement, spirituellement, parapsychiquement…

Q : (J) Ils pourraient ne pas être humains ?

R : C’est une possibilité. Mais il y en a bien d’autres. Et le sujet, ou la définition des sujets, peut être un recoupement. Par exemple, n’avez-vous pas entendu parler du livre populaire de l’individu désigné par le nom de Ruth Montgomery, connu sous le titre Strangers Among Us.

Q : (T) Oui.

R : Et qu’est-ce que ce livre expose ?

Q : (L) N’est-ce pas le livre qui parle des « walk-ins » ? (J) J’allais justement poser une question sur les walk-ins. (SV) Non, c’est différent. (T) Non, il ne s’agit pas des walk-ins. (SV) Ça parle des aliens qui vivent ici parmi nous… ça pourrait être le boucher, la caissière… Ça fait tellement longtemps que je l’ai lu… (T) Il y en a toute une série ; elle a écrit cinq ou six livres.

R : Vous confondez les écrits.

Q : (L) Duquel s’agit-il ?

R : Strangers Among Us concerne le phénomène désigné par Ruth Montgomery sous le terme de « walk-ins ».

Q : (L) Mais dans des séances précédentes, vous avez dit que cela se produisait rarement.

R : Rare est relatif.

Q : (SV) Ruth Montgomery a aussi dit que parfois, les walk-ins ne réalisent pas qui ils sont, ou ce qu’ils sont.

R : Rare peut aussi être de nature transitoire.

Q : (J) Vous voulez dire intégrer un corps et en ressortir ?

R : Non. La fréquence n’est pas nécessairement stable en fonction de la flèche du temps, tel que vous le mesurez.

Q : (T) Je n’ai pas fait beaucoup de recherches sur les walk-ins. C’est quoi la définition d’un walk-in ?

R : Un walk-in, comme le décrit Ruth Montgomery, est une âme qui a choisi de prendre le contrôle du corps laissé vacant par une autre âme qui a choisi, à un certain niveau de conscience, de partir pour diverses raisons. Ainsi, une entité de niveau supérieur peut entrer dans le corps qui était précédemment occupé par une entité de niveau différent, sous la forme d’une âme, en l’occurrence.

Q : (T) Une âme de 4e niveau peut alors entrer dans un corps de 3e niveau ?

R : Ou peut-être, une âme de 4e niveau… souvenez-vous, comme nous vous l’avons déjà décrit, les niveaux un à quatre, ou plus adéquatement les niveaux de densité un à quatre, impliquent tous un recyclage de cycle à ondes courtes, ou, comme vous dites, la réincarnation. Car, chacun de ces niveaux de densité comporte une alliance entre une âme et un corps physique, pour ainsi dire, dans les expériences de vie évolutives. Chacun de ces niveaux de densité implique d’aller au 5e niveau de densité pour contempler au cours de ce cycle. Le niveau six est le premier niveau où le recyclage du cycle à ondes courtes n’est plus nécessaire, car il n’y a plus d’orientation physique. Par conséquent, tous les niveaux, de un à quatre, comportent un reflet de l’âme du corps physique en tout temps lors de l’état physique. Et par conséquent, une réincarnation de divers types est toujours possible en divers points du cycle à ondes courtes, et en fait, tout à fait probable. Comprenez-vous ?

Q : (T) À peu près. Ça fait beaucoup à assimiler. (J) Donc, la physicalité est impliquée dans le recyclage à ondes courtes des niveaux un à quatre. (L) Ça veut donc dire qu’un être de 4e densité peut se recycler depuis la 5e densité en un corps de 3e densité ?

R : C’est une des méthodes qui peut être utilisée, oui.

Q : (L) Se peut-il aussi qu’une des options soit de pouvoir venir directement dans un corps de 3e densité depuis la 4e densité ?

R : Oui.

Q : (T) Comme un walk-in. (L) Et l’un ou l’autre pourrait être considéré comme un walk-In ?

R : C’est exact.

Q : (T) Je vais un peu digresser de notre discussion… qu’arrive-t-il à l’âme qui était dans le corps que le walk-in intègre ? Où va-t-elle ?

R : Très probablement au 5e niveau pour le recyclage et la contemplation.

Q : (T) Et ensuite elle revient ?

R : Elle revient, oui.

Q : (L) Donc, autrement dit, il nous incomberait de nous procurer ce livre, de le relire pour avoir des indices… est-ce recommandé ?

R : C’est, bien entendu, à vous de décider.

Q : (L) On ne peut pas garder Frank dans cet état plus longtemps… (T) Pour être conscient d’un être de 4e densité…

R : Cela place le sujet sous un stress physique, davantage que dans la plupart des circonstances.

Q : (T) N’importe lequel d’entre nous peut-il être mis en transe dans ces conditions pour vous servir de véhicule ?

R : C’est assurément possible, mais il existe divers degrés de difficultés selon l’individu utilisé.

Q : (T) Est-ce que je ferais un bon sujet de rechange ?

R : À nouveau, nous vous demandons s’il vous plaît d’essayer de vous abstenir de poser des séries de questions subjectives, car il est quasiment impossible pour nous d’apporter des réponses adéquates.

Q : (T) Je suppose que c’est quelque chose qu’on apprendra par nous-mêmes en essayant. (J) C’est vrai. (L) Bon, procurons-nous ce livre et voyons ce qu’on peut en tirer… (T) Quelqu’un d’autre a-t-il rencontré quelqu’un envers qui il a ressenti une affinité et qui semblait être une personne ouverte et généreuse ? (SV) Je trouve que de nombreuses personnes sont… (J) J’ai eu une conversation intéressante avec Mary B aujourd’hui. (T) On a eu une expérience intéressante avec Brad aujourd’hui… (L) J’aimerais poser une question à propos de Victor avant qu’on remballe. Y a-t-il eu un quelconque moment où Frank et moi étions en danger ?

R : Sois plus précise, s’il te plaît.

Q : (L) À un quelconque moment, Frank et moi avons-nous couru le danger d’être attaqués, investis, ou agressés par l’entité attachée à Victor, ou qui attaquait Victor ?

R : Eh bien, ce pourrait éventuellement être un danger dans des circonstances normales ; toutefois, la connaissance que vous avez déjà acquise par le contact et la communication avec nous, ainsi que vos propres efforts, fait que cela constitue moins un danger pour vous que, peut-être, pour la plupart des autres. Mais, il est certes vrai que certaines interactions ayant eu lieu auraient éventuellement pu s’avérer avoir des conséquences pour le moins indésirables.

Q : (L) Y a-t-il d’autres attachements de cette nature, ou de cet ordre, chez cet individu, Victor ?

R : C’est certainement une possibilité.

Q : (L) Si je pratiquais une autre séance avec lui, serait-il sage que des observateurs qui n’ont pas la connaissance que je possède soient présents ?

R : Eh bien, à nouveau, nous regrettons de devoir continuer à répondre aux questions par des manœuvres que tu pourrais croire évasives, mais la clarté est importante lorsqu’on aborde des sujets tels que celui-ci, et par conséquent, nous devons te demander d’essayer, s’il te plaît, d’être aussi précise que possible quand tu poses des questions. Par exemple, quand tu dis « est-il sage que des observateurs », cela implique que s’il y a un manque de sécurité, un désastre pourrait en résulter, et l’on doit alors demander quel genre de désastre est acceptable, et quel genre ne l’est pas. C’est pourquoi nous vous demandons d’être précis s’il vous plaît. Et nous n’essayons pas de vous agacer, simplement de vous aider.

Q : (L) Très bien, précisément : Victor M souffre-t-il d’un autre attachement de gros calibre comme celui à qui on a eu affaire l’autre soir ?

R : Il est naturellement possible que celui que vous appelez Victor M puisse en effet être entouré d’entités que vous qualifiez d’attachements.

Q : (L) Et si je pratique un autre détachement sur lui… (T) Serait-il sage pour elle que quelqu’un d’autre soit présent au cas où cela deviendrait à nouveau incontrôlable ? (J) Si tu en ressens la nécessité, alors fais-le…

R : Eh bien, tout ce que nous proposons à ce sujet est qu’il serait peut-être sage de faire plus attention que ce qui n’a été fait dans ce genre d’affaires puisque des possibilités de complications existent bien. C’est probablement la meilleure façon de répondre à cette question, car nous ne souhaitons pas gêner le développement et l’expérience, ou détourner à tort l’expérience lorsqu’elle est nécessaire au développement. Mais, il pourrait éventuellement être utile de suggérer davantage de circonspection.

Q : (T) Un point à considérer : maintenant que tu as conscience de ce qui pourrait arriver… (J) Exactement. (T)… que tu sais désormais ce qui… (J) Exactement. (T)… que les choses deviennent plus intenses dans ces séances de détachement d’esprits, en particulier que tu sais qu’il t’incombe d’avoir quelqu’un d’autre qui soit attentif et conscient… quelqu’un de plus… ne le fais plus seule. (J) Oui, définitivement. (T) Et assure-toi que la personne avec toi sait ce qui se passe… (L) Et que ça va être du coriace, car très peu de gens savent ce qui se passe… (T) La connaissance protège… (L) Je veux dire, les seules personnes qui en ont une petite idée sont dans cette pièce… (T) Tu savais que ça allait arriver étant donné la façon dont les choses se sont déroulées et c’est ce qui a fonctionné. (J) C’était bien… (T) Il faut quelqu’un d’autre avec toi dans la pièce. (L) Est-ce…

R : Là, nous vous arrêtons. Ne voyez-vous pas comment la discussion, et, comme nous l’avons fréquemment désigné, le « travail en réseau », est un outil extrêmement précieux.

Q : (L) Maintenant, il me semble bien que, sans réelle volonté de ma part, j’ai été mue comme un pion au cours de ma vie jusqu’à des moments, à divers intervalles, où je suis entrée en contact avec des entités spirituelles. Et chaque interaction a été progressivement plus complexe que la précédente. Et il semble qu’une bonne partie de cela a mené à l’exorcisme et au travail de détachement d’esprits. Maintenant, lors de cette séance spécifique, il m’est apparu qu’il s’agissait d’un travail vraiment désagréable, mais en même temps, je comprends que peu de personnes peuvent l’accomplir. Ça m’effraie. Je me demande simplement si c’est quelque chose que je dois continuer à faire, ou si ça ne pose pas de problème que j’abandonne !? (T) C’est à toi de décider… (J) À toi de voir Laura… (T) Ce qu’on fait ici, même si les effets qui ont été décrits comme l’aboutissement du travail ont cours dans d’autres endroits, ils ne surviendront pas avant de nombreuses années. Mais le processus d’apprentissage doit bien commencer à un moment donné. Ce processus d’apprentissage peut être très important dans les temps à venir… (L) Tu veux parler du détachement d’esprits ? (J) Oui… (T) Pas seulement le détachement d’esprits, mais le channeling… il serait probablement trop tard de commencer ce travail ultérieurement… il faudra plusieurs années pour réellement comprendre ce qui se passe et pour être capable de se défendre dans les situations qui pourraient survenir…

R : Le commentaire le plus important que nous ayons est que nous sommes heureux de voir la discussion progresser plus librement… et quelle somme phénoménale d’apprentissage a lieu dans l’interaction et le partage des idées, des notions, des sentiments. Cela tend bien à faire progresser l’apprentissage, et aussi un type d’apprentissage plus ancré, et nous avons déjà parlé d’« ancrage » auparavant, pour indiquer un canal ou une voie qui mène plus distinctement à un but désiré, et par conséquent, nous sommes ravis de voir la réalisation de ce progrès, et nous espérons que notre participation a contribué à faciliter ce processus.

Q : (J) Nous apprenons. (T) C’est votre participation qui a rendu cet apprentissage possible. (J) Je vous vois comme un facilitateur. (SV) Laura a dit une chose au sujet de sa peur lors de l’exorcisme l’autre soir : c’est la peur qui a livré Victor à l’attaque. Si elle ressent de la peur, cela la livrera-t-elle au même genre d’attaque ?

R : Ensemble d’idées vagues…

Q : (J) Elle était consciente malgré la peur. Victor n’avait pas cette conscience, et je pense que c’est là la différence. (L) Je l’espère. (T) Le fait est que tu as maintenant atteint le stade où tu sais que tu ne peux plus continuer à faire ça toute seule. (L) Non. (T) L’intensité devient physiquement dangereuse. La dernière chose dont tu aies besoin, c’est que les flics frappent à la porte, ou défoncent la porte pour trouver des corps étendus là ! Mais le travail que tu fais est important… il aide les autres. Le sujet ne va pas être conscient de ce qui se passe. (L) Ils sont sans défense… (T) Mais les gens que tu vas devoir impliquer là-dedans à partir de maintenant vont devoir être conscients de ce dans quoi ils s’engagent. Ils doivent savoir le niveau d’intensité, la gravité de ce qui se passe, et le danger impliqué. (J) Oui, et hormis les gens dans cette pièce, combien savent cela ? (T) Quand on ouvre l’inconscient des gens et qu’on le laisse s’exprimer… on ne sait jamais ce qui va venir se faufiler. (J) Oui… cela ouvre la boîte de Pandore à chaque fois ! (T) Qu’arrivera-t-il la prochaine fois que tu pratiqueras cela sur un sujet qui s’avère être un walk-in SDS qui ne sait pas encore qui il est ? (L) Aïe. (T) Que vas-tu faire de ça ? Tu ne veux pas te retrouver seule dans cette situation. Et Frank, en état de transe, incapable de se défendre physiquement, face à un truc du genre qui vient se faufiler. (L) Tu as raison. Il ne faut plus pratiquer de la sorte, mais le besoin est si grand… Je pense qu’on doit ramener Frank maintenant. Nous voulons vous remercier de votre présence ce soir, à moins que vous n’ayez autre chose à dire.

R : Non à moins que vous n’ayez d’autres questions.

Q : (L) Eh bien, nous avons plein de questions mais Frank est endormi depuis suffisamment longtemps et nous devons le ramener. Nous aimerions que vous laissiez des effets positifs, peut-être sous la forme de suggestions, pour son bien-être.

R : Nous suggérerions que tu aies conscience du fait que le sujet est le canal, et, en tant que tel, nous sommes mutuellement en constante communication, pour ainsi dire. Ceci, nous te l’avons déjà dit, par conséquent, inutile de t’inquiéter à propos du cours de la destinée de ce sujet en particulier. Comprends-tu ?

Q : (L) Je comprends, mais je suis aussi celle qui le voit subir des tourments, et j’aimerais que ceux-ci soient atténués autant que possible.

R : Nous comprenons ton inquiétude et ta préoccupation, mais il peut aussi être vrai que les tourments soient les précurseurs de développements explosifs qui seraient impossibles sans ces « tourments ».

Q : (T) Nous aimerions vous remercier pour votre aide.

R : Il n’y a vraiment pas de quoi.

Q : (L) Nous allons arrêter alors. Bonne nuit.

Fin de la séance
 
Merci pour la traduction de cette séance des plus intéressantes...

Thank you for the translation of this most interesting session....
 
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