đź“š SĂ©ance du 11 janvier 1997

Jacques

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Thanks to the members of the French translation group who have just translated that session.

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Merci aux membres de l’équipe française pour cette traduction.
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Pour plus de détails sur l'invité de cette session MM, lisez ce chapitre de L'Onde :

Date de la séance : 11 janvier 1997

Participants : «Frank», Laura, Terry, Jan, MM

Q : (L) Bonsoir, et quel nom devrions-nous utiliser ce soir ?

R : Bonsoir. Yonnuro.

Q : (L) Et d’où transmettez-vous ?

R : Cassiopée.

Q : (L) Nous avons MM avec nous ici ce soir, et toute l’équipe habituelle. VG est absente, ses parents lui rendent visite. Nous étions en train de parler de…

R : De prophéties, peut-être ?

Q : (L) Non, nous ne parlions pas de prophéties… (T) D’accord, mais peut-être veulent-ils que nous en parlions…

R : Mais oui, pourquoi pas ?

Q : (T) Eh bien, puisqu’ils/nous ont/avons amené le sujet… (L) Très bien, donnez-nous un point de départ au sujet des prophéties, et est-ce que les événements bizarres…

R : Eh bien, vous savez, c’est important. Quelqu’un parmi vous, ici, ce soir, a été gravement induit en erreur, contrôlé et programmé. En grave, grave danger. Comme… cet autre, qui a essayé d’établir un contact aujourd’hui.

Q : (T) Commencez par le commencement, et on va démarrer avec MM puis on passera à Jan.

R : Doit changer immédiatement !!!!

Q : (L) Changer quoi ?

R : De direction.

Q : (L) Changer de direction en quoi ?

R : Études, situations de la vie, etc. Cette personne a été reconnue comme possédant un immense potentiel pour une transition définitive en 4e densité SDA à un stade très précoce. C’est pourquoi elle a été prise pour cible, et l’attaque s’est ensuite lentement et régulièrement accrue avec, pour but ultime, son éradication. Malheureusement, ce but est sur le point d’être atteint.

Q : (T) Qui est ce type [nom expurgé – l’homme en contact avec MM et par lequel elle était obsédée] ?

R : Est-ce vraiment pertinent ?

Q : (L) Eh bien, c’est ce que je pensais… (T) Ce type est-il impliqué ?

R : Non ! Ce qui importe, c’est que ce sujet a été programmé pour mener une vie qui le destinerait à «ouvrir les mauvaises portes». Et quand cela se produit, si ces sujets cibles ne se font pas aider ou, plus important, n’écoutent pas les directives, ils sont détruits conformément à un vaste plan.

[Discussion Ă  propos des conjoints et des proches, y compris les enfants, qui peuvent pomper notre Ă©nergie.]

Q : (L) Est-ce de cela dont il s’agit ?

R : Pas loin. Ils ne sont pas les seuls dangers. Tu nous as interrogés sur le «visiteur». Eh bien, qu’en dis-tu ?? Et quid de la maladie de ton fils ? Quid de cette femme, de l’autre côté de la rue ? De Wilma et de son fils ? Et du lien possible entre lui et ton mari ? Et si ton mari travaillait pour «le gouvernement secret» ? Et quid de ton père, et de ceux pour qui il a travaillé ? Quel est le sens de tout cela ?

[Discussion Ă  propos de MM]

Q : (T) Quoi d’autre, à propos de MM ?

R : Seulement si elle le demande.

Q : (MM) Qu’en est-il du 26 janvier, et pourquoi a-t-il voulu que je passe la nuit avec lui ?

R : RevoilĂ  cette porte !

Q : (L) La mauvaise porte ! (MM) Eh bien, ce n’est même pas moi qui l’ai ouverte, si ? (L) Le simple fait d’y penser et d’envisager qu’il pourrait y avoir un lien l’a ouverte. Nous parlons de blocage mental. (T) Tu dois décider de la manière de gérer les choses avec lui, parce que ce n’est qu’un des éléments, le dernier… ne reste pas seule avec lui, jamais. Car tu ne sais pas ce qu’il veut. Je ne parle pas seulement de meurtre ou de viol, mais tu n’as aucune idée des pouvoirs qu’il peut avoir. (MM) Eh bien, il est déjà… oh que non ! (T) S’il pompe ton énergie, ce n’est pas ce que tu veux. Tu ne veux certainement pas ça ! (L) Vous avez évoqué la maladie de son fils… des commentaires à ce sujet ?

R : Partie de l’attaque.

Q : (L) Hormis le fait de l’anéantir elle, ont-ils des intentions vis-à-vis de son fils ?

R : Pas nécessaire.

Q : (L) Qu’est-ce que ça veut dire «pas nécessaire» ?

R : Ouvert.

Q : (L) Ils n’ont pas d’intentions car quelque chose a déjà été fait ?

R : Ouvert.

Q : (T) Ils n’aborderont pas cette question ! C’est à toi… (MM) J’ai un peu l’impression qu’un tas de gens m’ont anéantie, je veux dire, lui et moi sommes tellement liés. Nous sommes très liés. C’est inhabituel. (L) OK, vous avez d’autres…

R : Et si tu «prends le large», tout ce qu’on peut dire c’est : à bientôt en 5e densité !

Q : (L) Si prendre le large n’est pas la solution… (J) Alors quelle est-elle ?

R : Regarde en toi, pas à l’extérieur !

Q : (L) Ta puissance intérieure. Le blocage mental. C’est ça ? Le blocage mental, le principe de 4e densité ?

R : Pas loin.

Q : (L) Vas-y, demande des détails. Vois si tu peux obtenir des détails. (MM) Qu’est-ce que je peux dire, je ne sais même pas comment formuler ça… Les gens d’en face qu’est-ce qu’ils avaient à voir avec tout ça ? Je me le demande. (L) Ils te l’ont déjà dit… des liens avec le gouvernement secret… Avec Greenbaum… (MM) En face ? (L) La femme… ils l’ont mentionnée par rapport à ton mari, à ce Randy, à ton père, à ce type… Donc, je veux dire, quand tu poses une question à propos du 26 janvier, tu évoques un type du gouvernement secret qui tripatouille ton esprit… ce n’est même pas la peine de poser la question. Tu le sais déjà, alors bloque-le. (MM) Ne pas lui parler, en gros. Je sais que… Les êtres de 4e densité se reconnaissent entre eux, c’est bien ça ?

R : Parfois.

Q : (L) Parfois oui, et parfois non. S’ils sont incarnés dans des corps physiques, ils pourraient en être incapables tant qu’ils ne se sont pas réveillés. Mais, de 4e densité à 4e densité, non…

R : Non, de quoi parles-tu ?

Q : (L) Oh, c’est ce qu’ils voulaient dire. Leur point d’interrogation c’est pour te demander de quoi tu parles. Les êtres de 4e densité se reconnaissent mutuellement. (T) Développe… (MM) Eh bien, ce gars a pas mal de capacités, le même genre que moi. (L) Ça ne veut pas dire qu’il est de 4e densité… (MM) Non… (L) Non, ça veut dire qu’il est programmé pour en avoir l’air. Comment sais-tu que tu possèdes ces capacités ? OK, tu sais que tu as entendu quelque chose… (MM) Je l’ai vu à l’œuvre… et je veux savoir : est-il de 4e densité ?

R : Ouvert.

Q : (L) Autrement dit, peut-être… Oui, sa fréquence est différente… (MM) Il donne le sentiment d’être différent, et le blocage mental le met en colère. (L) Aucune importance. Tout se passe en 4e densité… (T) Si le blocage mental le met en colère, alors tu sais quelque chose… (MM) Oui, mais je ne sais pas si je serai ravie de ce que je saurai… (L) Eh bien, peu importe, il ne peut pas te faire de mal, car ton blocage mental l’en empêchera.

R : Pourquoi t’inquiètes-tu ?

Q : (L) Il ne peut rien faire. Ne comprends-tu pas ? Le blocage mental les arrête ! (T) Ça les désarçonne. Ils sont programmés. Tu leur lances quelque chose pour lequel ils ne sont pas programmés, ils ne savent pas quoi faire. Ce type sur lequel on est tombé à Las Vegas, il était prêt à… faire des menaces à peine déguisées. Et le bouclier s’est levé, et… (L) Dis-leur ce que tu as dit à ce type. (T) Quelque chose du genre : «Hé, on n’a pas de problème ici, n’est-ce pas ?» Le bouclier s’est levé, même si je ne le savais pas, et je l’ai regardé et lui ai dit : «Hé, a‑t‑on un problème ici ?» Et on s’est regardé tous les deux. (L) Oui, il l’a regardé droit dans les yeux. A‑t‑on un problème ici ? (T) «Est-ce qu’on a… Je ne pense pas…» et ce type a soutenu mon regard, on s’est regardé pendant environ 30 secondes et subitement, il a reculé et j’ai pu voir de la confusion dans ses yeux. Tout à coup, il a secoué la tête, il ne savait pas quoi faire. Il ne savait pas quoi dire. Si c’était un truand de Vegas, il nous aurait attendus quelque part et nous aurait probablement flingué tous les deux. C’est ce qu’ils font là-bas. C’était bien au-delà des truands bizarres de Vegas. Et ce type aurait été un homme de main de bas étage. (MM) Eh bien, j’ai déjà fait des choses pour le faire partir. J’ai fait des trucs et il s’est levé et avait l’air perdu. Il ne savait pas quoi dire et il est parti… (T) Tu vois ! De la confusion ! C’est ça ! Ils ne savent pas quoi faire. Parce qu’ils n’y sont pas programmés. (J) Ils ne sont programmés que pour certaines réactions. (T) Tant que tu réagis selon le programme, ils continuent. Si tu ne réagis pas comme ils s’y attendent… Bon pas tous ! Juste ceux qui sont programmés. (L) En fonction de ce qu’ils attendent… (T) Comme quand on lit la littérature sur les Gris. Les Gris font leur truc, et si on fait quelque chose de bizarre, ils sont désorientés. Ils ne savent pas quoi faire ; ça sort du cadre de leur programme. (MM) Il me raconte ces choses, et j’essaye d’être gentille, mais je ne compte rien faire de tout ça avec lui, alors je l’écoute et lui dit : «Oh, oui, hmm, hmm, ouais», et je laisse passer mais il n’est pas question que je fasse des trucs comme ça. (L) Bon, demandons-leur. Qu’attend-il d’elle ?

R : Pourquoi t’en soucies-tu ?

Q : (L) Pourquoi t’en soucier si tu sais ce qu’il est et ce qu’il fait, peu importe ce qu’il veut. (MM) Pourquoi ? (J) Cela a-t-il de l’importance ? (MM) Non… (T) Tu es curieuse, et c’est le premier pas avant de donner sa permission. Ne…

R : Oui.

Q : (T) Ça n’a pas d’importance. Je me fiche de ce que ce type à Vegas pensait ou voulait. Il est parti. C’est tout ce qui m’importe. (L) Tu éprouves de la curiosité pour le négatif. Ne sois même pas curieuse. (T) Ne t’en soucie pas. On est sorti de cet hôtel tellement vite quand il est parti… Bon, il n’est pas parti, c’est nous. Il était toujours assis là, je me suis levé et… j’ai tiré Jan derrière moi, on a zigzagué à travers les machines à sous, dans tout le casino, dans les allées, les étages, de long en large, pour ensuite revenir vers la sortie. Je l’ai entraînée au fin fond du casino et ensuite de nouveau vers la sortie. Je regardais pour être sûr. Et au premier tournant, j’ai regardé derrière, et il n’était plus au bar. Il s’était levé et était parti, peut-être quelques secondes après nous. On a franchi cette porte, et j’ai donné au portier environ dix dollars pour qu’il nous trouve un taxi sur le champ et qu’on se barre de là. Je me fiche de ce qu’il voulait, totalement. Ne… c’est le premier truc, la curiosité… Tu connais le dicton, la curiosité est un vilain défaut… (MM) Alors tu t’en débarrasses, sans jamais savoir, OK, et tu te dis «Ils sont partis !» mais il y a toujours la curiosité de savoir pourquoi. Tu sais que tu t’en es débarrassé mais, au fond de toi, tu te demandes toujours pourquoi… Moi oui, en tout cas ! (J) Eh bien, il y a des choses qu’il vaut mieux ne pas savoir !

R : Ça ouvre une autre porte.

Q : (T) Tout ce que tu dois savoir… (L) On parle d’un truc mental… (T) Tout ce que tu dois savoir quand tu t’es débarrassé de l’un d’eux, c’est qu’ils avaient un but, que tu les as arrêtés, et que tu dois te barrer ! (MM) Des blocages mentaux. Quelle sorte de blocages mentaux ? (L) La première chose, c’est la conscience…

R : Spécifique.

Q : (L) Spécifique… autrement dit, spécifique à la personne ? (MM) Oui ! (L) Spécifique à l’événement ? (MM) Spécifique à l’énergie ? (L) Et autrement dit, être tout le temps conscient, c’est ça ? Avoir tout le temps conscience de qui est utilisé ou non contre nous ?

R : Oui.

Q : (L) Et quand quelqu’un… Même si, même si…

R : Apprendre les signes.

Q : (L) Apprendre les signes… que les gens dégagent quand ils servent de portail ou sont utilisés par la 4e densité. Ils peuvent ne pas être de 4e densité, mais n’importe qui peut être une porte… n’importe quand. N’importe qui. Et quand tu apprends les signes, quand tu apprends les comportements… et ce n’est pas comme si c’était écrit dans un livre… Ils doivent être spécifiques à ta vie. (T) Sers-toi de… suis ce que ton essence te dit de faire. (MM) Donc, la plupart des gens qui m’entourent, pas nécessairement dans cette pièce, mais la plupart des gens qui m’entourent actuellement sont des portes ?

R : Eh bien, apprends les signes, et tu n’as pas à demander ça.

Q : (L) D’accord, quels sont les signes ? On l’a un peu appris à la dure par l’expérience, mais pourriez-vous en faire une sorte de résumé pour… (T) C’est probablement comme ça qu’on apprend, à la dure… (L) Oui, parce que c’est comme… oui. D’accord, mais vas-y… (T) Il faut… Je ne crois pas qu’ils répondront à ça. (MM) Y a-t-il de grands signes de base ? Quelque chose de fondamental, ou comme… (L) Un point commun… (T) Ce type t’a fourni un signe de base… tu as capté une énergie étrange. C’est un truc important.

R : Non, réalise simplement que si cela ne te va pas comme un gant, ne le porte pas.

Q : (T) C’est vrai. Les signes peuvent être n’importe quoi. (MM) Bien… (T) Mon signe, le premier signe avec le type à la Camaro, il a soulevé le capot et il n’y avait pas de fumée.

[Pause]

Q : (T) Demande s’il y autre chose pour MM. Elle doit demander.

R : Non. Dites à Ark que nous lui suggérons fortement d’éliminer Tel-Aviv de son itinéraire. Il règne une sérieuse aura de danger sur Israël. Quelque chose de très très très gros va s’y produire. Nous ne pouvons dire «quand» exactement, et nous ne dirons pas exactement quoi, mais ce sera nettement négatif !!!!

[La suite de la discussion a été perdue car la cassette avait été arrêtée et n’avait été remise en route qu’après que la question soit posée. D’après mes souvenirs, elle portait sur le fait de savoir si les choix d’une personne pouvaient provoquer une scission de réalités, c’est-à-dire le passage d’une ligne temporelle à une autre pour éviter un désastre.]

Q : (L)… très bien, comment formuler ça… si chaque décision scinde… (T) Bon, ils ont entendu la question, laissons-les répondre. Ou, quel est le commentaire ?

R : Proche.

Q : (T) Eh bien, c’est une réponse en un mot ! (L) Oui, vous avez triché les gars ! (T) C’est ce qu’ils ont dit : infini. L’infini est infini. (L) Ensuite, j’en suis venue à l’idée que lorsque nous cogitons fort, méditons, et faisons des choix conscients, alors davantage d’univers sont créés sur cette voie plutôt que sur l’autre. Je l’ai dit… de sorte qu’on équilibre les créations résultant du choix d’un bon univers, en en engendrant davantage qu’il n’y a d’univers créés inconsciemment, inconsidérément, en choisissant «par défaut» et ignorance… (T) Eh bien, n’est-ce pas ce que font les Lézards ? (L) Oui, en effet… (T) Ils les manipulent pour produire du négatif. Mais ils ne peuvent pas en créer plus qu’il n’y en a au départ – plus de négatif que de positif – parce que l’univers recherche en permanence l’équilibre. Donc, pour chaque endroit où ils créent une ramification négative, il y a un autre endroit qui devient positif. On ne peut jamais en faire plus. On peut toujours essayer.

R : Vrai.

Q : (T) Cependant, ils partent du faux principe qu’ils peuvent le faire. (L) «Douce illusion».

R : Non, ils partent du faux principe qu’ils peuvent «figer» les mondes en «4e» densité SDS, et en 3e, 2e et 1e pour l’éternité.

[La suite de la discussion a été perdue, car la cassette avait été arrêtée et n’avait été remise en route qu’après que la question soit posée. Selon mes souvenirs, la réponse précédente – l’idée de mondes figés sous emprise négative – nous avait plutôt choqués. En réalité, c’était carrément terrifiant.]

R : Non, pas la physicalité à travers toutes les densités, seulement de la 4e à la 1e densité SDS.

Q : (L) Ohhh !! (T) Ils s’en fichent si c’est physique ou non. Ils sont en 4e. Ils veulent juste les figer dans le mode SDS pour pouvoir s’en nourrir. (J) Ohhh, ils veulent leur petit potager à eux ! Leur petit potager à «siroter».

R : «Éternité» est le mot-clé ici. C’est là qu’ils prennent leurs désirs pour des réalités.

Q : (T) Quoi d’autre ? (L) L’éternité. Autrement dit… autrement dit… (T) Eh bien, ça n’existe pas l’éternité. (L) Si, l’éternité existe, mais pas le «temps». (T) Le temps n’est rien. (L) Non, en effet. Autre chose que vous voudriez dire à Ark ?

R : D’abord, transmets-lui le message.

Q : (L) Très bien. Je lui dirai. Arrêtons-nous là… (T) Attends, nous devons demander qui est cette autre personne en grave danger. Est-ce JW ? (L) Oh, d’accord. Pose la question. (T) Qui est la seconde personne en grave danger à qui vous avez fait allusion ?

R : Ce n’est pas qu’il soit en grave danger. C’est qu’il a été méchamment fourvoyé.

Q : (L) D’accord, elle est celle qui était en grave danger et il est celui qui a été méchamment fourvoyé. OK. (Alice) Qui ? Ark ? (L) Non, JW. (T) Ça, on ne le sait pas. De qui s’agit-il ?

R : JW.

Q : (T) D’accord, auriez-vous quelque chose à lui dire ? (L) Ha ! N’essayez même pas ! (J) Par quoi commencerais-tu ? (T) Non, non, non, non ! Voyons s’ils auraient quelque chose à lui dire.

R : Non.

Q : (T) Y a-t-il quelque chose qu’il pourrait faire pour arrêter d’être fourvoyé ? (L) Le vouloir !

R : Choix.

Q : (L) Il choisit d’être fourvoyé. On choisit de croire ce qu’est la réalité physique à laquelle on croit, ou on choisit de croire à la réalité éthérique par foi ; c’est son choix. (T) Bon, je comprends de ce que vous avez dit au départ, je comprends qu’il pourrait très rapidement nous faire du mal.

R : Peut-ĂŞtre.

Q : (T) Court-il le mĂŞme genre de danger que MM ?

R : Un palier légèrement au-dessus.

Q : (T) Donc, c’est plutôt grave ! (J) Oui, je suppose !

R : Ouvert.

Q : (L) Eh bien, le pire là-dedans c’est que je me demande même s’ils ne veulent pas dire anéantir physiquement car ce qu’ils essaient vraiment de faire, c’est d’amener une personne, même par la tromperie, à choisir leur camp afin qu’ils puissent accroître leur énergie. Je veux dire, c’est comme la monnaie : chaque personne qu’ils amènent, vous savez, à suivre leur propagande, devient une âme dans leur poche… pour ainsi dire. Et je dois dire que JW est dangereusement près de faire ce choix. Parce qu’il est tellement accro à la réalité de la 3e densité. Je veux dire, il n’arrive même pas à lâcher l’idée que les Nephilim, et les Annunaki sur la planète Nibiru, sont des seigneurs et des maîtres strictement physiques, qui ont évolué, et blablabla. (T) Eh bien, ils ne le laisseront pas ici quand ils… (L) Est-ce la question fondamentale ici, qu’il y a réellement une guerre pour les âmes ?

R : Le meilleur moyen d’obtenir des âmes est d’éliminer les corps.

Q : (L) Donc, s’ils obtiennent des âmes… (T) JW fréquente-t-il quelqu’un dont il devrait vraiment se méfier ?

R : Plusieurs, en fait.

Q : (T) Cela en est-il toujours à un niveau d’attaque frontale ?

R : Toutes sortes.

Q : (T) Qu’est-ce que JW a besoin de faire ? (L) Ça, ils ne te le diront pas…

R : Nettoyer et reprendre à zéro.

Q : (L) Que vas-tu faire ? L’appeler et lui raconter ça ? Crois-tu qu’il va écouter ? (T) Non, je comptais te laisser le lui dire la prochaine fois qu’il appellera. Dis-lui : «Écoute, JW, voici ce que les C’s ont dit…» (L) Ha ! (T) «… et maintenant, débrouille-toi !» (L) Là, c’est moi qui serai en danger ! (T) Non, dis-lui : «Tu es dangereusement près d’une grande catastrophe, débrouille-toi avec ça !»

R : Nous suggérons d’oublier ça !! Sans plaisanter !!!

Q : (L) Eh bien, je pensais qu’on pouvait encore l’aider une fois ! (L) Autre chose ? Il est tard et nous devons arrêter là.

R : OK. Au revoir.

Fin de la séance
 
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