📚SĂ©ance du 25 septembre 1999

Jacques

SuperModerator
Moderator
FOTCM Member
Thanks to the members of the French translation group who have just translated that session.

Please post your comments in the original session: Session 25 September 1999

Merci aux membres de l’équipe française pour cette traduction.
......................................................................................................................................................................................................

SĂ©ance du 25 septembre 1999

Pas de liste des participants, Laura s’en est expliquĂ©e sur le forum ici [NdT].

Q : Bonsoir.

R : Bonsoir.

Q : Et qui est avec nous ce soir ?

R : Klorhn.

Q : Et d’oĂč transmettez-vous ?

R : Cassiopée.

Q : Je voudrais aborder certaines questions particuliĂšres. Apparemment, il y a beaucoup de spĂ©culations sur internet Ă  divers endroits sur les « catastrophes » de toutes sortes. Il y a eu la comĂšte Lee il y a quelques mois, puis la question de Nostradamus a Ă©tĂ© soulevĂ©e, crĂ©ant une panique gĂ©nĂ©rale ; maintenant, d’autres cris d’alarme sont lancĂ©s. Les catastrophes sur la planĂšte sont attribuĂ©es, entre autres, au passage de la comĂšte Lee Ă  travers le systĂšme solaire. On spĂ©cule que les astĂ©roĂŻdes ou autres corps de type comĂ©taire vont provoquer des catastrophes imminentes en raison de leurs interactions Ă©lectriques avec le Soleil et d’autres corps du systĂšme solaire. Internet est devenu, pour l’essentiel, un grand forum pour les pronostics de l’apocalypse. De site en site, on attend une frappe imminente de la planĂšte par un corps cĂ©leste quelconque. Selon un site, il ne nous reste que quelques jours ! Je sais que nous avons dĂ©jĂ  traitĂ© beaucoup de ces questions auparavant, mais l’hystĂ©rie de certains groupes s’accroĂźt, se dĂ©veloppe, se gĂ©nĂšre, se transmet et s’encourage via Internet. Pourriez-vous commenter s’il vous plaĂźt ?

R : Normalement, nous ne « commentons » pas une non-enquĂȘte, mais il faut dire que beaucoup s’accrochent Ă  des calamitĂ©s prophĂ©tiques « apocalyptiques » comme moyen d’absoudre leurs frustrations personnelles envers les autres. « Il suffit d’attendre, Henry Higgins, il suffit d’attendre !! »

Q : Sur un site, une personne a lu une partie des transcriptions publiĂ©es sur le site web, oĂč vous aviez demandĂ© une planchette diffĂ©rente (en fait, ce n’est pas une « planchette » mais juste une indication, mais nous utilisons le mot parce qu’il est pratique), parce qu’il y avait une pierre collĂ©e sur l’ancienne avec de la super-glue. Cette personne a donnĂ© une interprĂ©tation folle Ă  cette simple demande de nouvelle planchette, comme s’il s’agissait d’un message secret et codĂ© qui lui Ă©tait adressĂ© Ă  elle seule ! Pour elle, il Ă©tait symbolique de la « fusion du carbone de la planĂšte », conduisant ainsi Ă  la « dĂ©volution » de l’humanitĂ© ! J’ai dĂ» expliquer Ă  tout le monde qu’il ne s’agissait que d’une simple demande d’un autre instrument de communication car le premier Ă©tait « dĂ©synchronisĂ© ». Mais, ce n’est ni ici ni lĂ , mais, juste pour ĂȘtre sĂ»r : Y avait-il un sens cachĂ© dans cette demande d’une autre planchette ?

R : De toute Ă©vidence, elle est « fruitloop ». Mais, les fruitloops sont sucrĂ©s, ils sont pleins de produits chimiques et vides de calories. [Les fruitloops sont des cĂ©rĂ©ales en formes d’anneau rond et colorĂ© comme un donut. Dans le langage courant, se dit d’une personne un peu cinglĂ©e – NdT]

Q : Un autre de ses thĂšmes est la dĂ©volution de la planĂšte
 mais nous avons dĂ©jĂ  discutĂ© de cette question dans le passĂ©, donc nous n’avons pas besoin d’y aller.

R : Non, pas besoin.

Q : Ensuite, il y a eu d’autres remarques selon lesquelles les CassiopĂ©ens allaient Ă©videmment utiliser tout notre « jus » et ensuite s’emparer de nos carcasses ! Avez-vous de tels plans ?

R : Qu’en pensez-vous ?

Q : Eh bien, avec une existence aussi paisible que celle que vous menez, pourquoi voudriez-vous venir ici ? Je veux dire que cette existence 3D est TRÈS surfaite ! Et le corps particulier que j’ai est plutît inutile pour beaucoup de choses à ce stade de toute façon ! Je ne peux pas imaginer que quelqu’un d’autre veuille l’utiliser !

R : Nous sommes au service des autres.

Q : Allez-vous nous servir sur un plateau avec une sauce Ă  la menthe ? [Rires]

R : Maintenant Laura, vraiment !

Q : Eh bien, c’est Ă©videmment la rĂ©ponse que nous recevons souvent Ă  ce sujet. Certaines personnes sont tout simplement obligĂ©es et dĂ©terminĂ©es Ă  dĂ©sinformer le public !

R : Et ainsi de suite


Q : Il y a beaucoup de choses bizarres qui se passent ! Il y a eu un tremblement de terre en Turquie, un tremblement de terre Ă  TaĂŻwan, des ouragans, une boule de feu en Turquie, d’étranges anomalies radar, comme ils les appellent. En fait, une de ces choses circulaires est apparue sur notre radar local lorsque la tempĂȘte tropicale se dirigeait vers nous. Pourriez-vous nous dire ce qui se cache derriĂšre tout ça


R : Eh bien, tout d’abord, il est vrai que certains corps cĂ©lestes qui transitent par le systĂšme solaire, comme certaines comĂštes, interagissent Ă©lectriquement avec le Soleil et les planĂštes. Cela entraĂźne une augmentation des calamitĂ©s naturelles, mais ce n’est pas nouveau.

Q : Il existe Ă©galement une thĂ©orie de Paul La Violette, selon laquelle il y a une onde qui provient des explosions du noyau galactique, et que c’est ce qui est Ă  l’origine de cette activitĂ© accrue.

R : De telles ondes existent.

Q : Ces ondes font-elles partie des doubles catastrophes cataclysmiques qui devraient ĂȘtre « en route » ?

R : Qui le dit ?

Q : Eh bien, Paul La Violette et Vincent Bridges, et Jay Weidner, par exemple.

R : Vous n’ĂȘtes pas encore capables de prĂ©dire de telles choses.

Q : Nous ne sommes pas capables de prĂ©dire beaucoup de choses. Vous ĂȘtes capables de prĂ©dire mieux que nous.

R : Peut-ĂȘtre bien, mais nous le faisons si discrĂštement.

Q : Lorsque vous avez donnĂ© l’information, il y a quelques semaines, au sujet de l’affaire « Kaboom ! Splat ! », je l’ai mise sur le site web et j’ai expliquĂ© qu’il n’y avait pas moyen de l’interprĂ©ter exactement. Bien sĂ»r, il y a eu des interprĂ©tations les plus dĂ©sastreuses que d’autres ont faites. Pourriez-vous clarifier la remarque « Kaboom ! Splat ! » ?

R : Nous avons aussi dit de « se détendre ».

Q : Dites-vous que vous plaisantiez ?

R : Peut-ĂȘtre.

Q : Quand vous dites que nous devrions « nous détendre », vous faites référence à nos fréquences ?

R : Eh bien, il est important de ne pas s’inquiĂ©ter de ce qui n’est pas modifiable et qui est trivial dans le tableau d’ensemble. Si la surface 3D de votre localisation est sur le point d’ĂȘtre dĂ©truite, pourquoi cela vous importe-t-il, ou plus exactement, pourquoi cela vous effraie-t-il autant ? Vous ĂȘtes censĂ©s dĂ©passer ce mode de pensĂ©e de 3D SDS.

Q : Quel est l’intĂ©rĂȘt de vous parler, alors ?

R : Pensez-vous cesser de nous parler aprĂšs votre transition ?

Q : Eh bien, je suppose que cela dĂ©pend de l’endroit oĂč je fais la transition. Allons-nous faire la grande transition vers la 5D


R : OĂč que vous alliez, la communication sera plus succincte. Maintenant, mĂȘme si « rien ne se passe », combien de temps penses-tu rester dans ton Ă©tat actuel ? Te rappelles-tu « il y a 35 ans » ? Bien ??

Q : Je pense ! Je n’étais qu’une enfant Ă  l’époque. Oui, je m’en souviens.

R : Cela te semble-t-il lointain ?

Q : Parfois, cela semble une Ă©ternité 

R : Non.

Q : D’une certaine façon, c’est comme si c’était hier.

R : Oui.

Q : Cela dĂ©pend juste de l’humeur dans laquelle je suis.

R : Pas longtemps, hein ?

Q : Eh bien, vous n’amĂ©liorez PAS mon humeur ! Je ne veux pas dire aux gens des choses comme ça, qu’ils doivent se considĂ©rer comme des Ăąmes et que le corps physique n’est qu’un vĂȘtement Ă  porter et Ă  jeter. Ils ne peuvent pas le supporter quand ils sont confrontĂ©s Ă  une Ă©ventuelle souffrance imminente. Ils vont devenir hystĂ©riques !

R : Peut-ĂȘtre bien. Et peut-ĂȘtre qu’ils en ont besoin. Peut-ĂȘtre qu’ils ont besoin d’apprendre quelque chose. Rien ne dure Ă©ternellement, et Dieu merci !

Q : Vous avez parlĂ© de batailles dans l’espace et de luttes cosmiques et d’individus et de races d’ĂȘtres venant de toutes parts pour jouer un rĂŽle dans ce drame cosmique


R : Il fait partie intĂ©grante de l’énergie qui maintient toute existence, comme vous tous.

Q : Vous avez Ă©galement dit un jour qu’il y avait des « bons gars » et des « mĂ©chants gars ».

R : D’un certain point de vue, oui.

Q : Cela signifie-t-il que les « bons gars » et les « mĂ©chants gars » CHOISISSENT d’assumer ces rĂŽles pour le bien de ce Drame Cosmique ?

R : Oui, dans une certaine mesure. Cela signifie aussi que pour les poissons et les cafards, et d’autres, « vous ĂȘtes de mauvais gars ». La subjectivitĂ© rĂšgne chez les SDS !

Q : Pourriez-vous nommer ces groupes ? Vous avez dit qu’il y a la FĂ©dĂ©ration d’Orion et l’Union d’Orion. La FĂ©dĂ©ration est censĂ©e ĂȘtre SDA, et l’Union est censĂ©e ĂȘtre SDS. Y a-t-il aussi un groupe appelĂ© « ConfĂ©dĂ©ration Markab », comme l’a demandĂ© une personne ?

R : Cette Ă©tape est si Ă©norme qu’il y a tous les « groupes » que vous puissiez imaginer ! Et, si vous les imaginez, ils sont lĂ .

Q : Vous avez laissĂ© entendre Ă  un moment donnĂ© que nous entrerions en contact ou interagirions avec des ĂȘtres de 4D SDA qui nous aideraient d’une maniĂšre ou d’une autre.

R : Oui, ĂȘtes-vous impatients ?

Q : Eh bien
 oui.

R : Alors vous devriez savoir ceci : vous n’entrerez pas en contact avec eux avant que les choses ne deviennent trĂšs « intĂ©ressantes ». Le moment importe peu.

Q : Eh bien, je veux revenir Ă  tout ce qui se passe dans le systĂšme solaire. Je suis curieuse de voir toutes ces choses qui volent. Les astĂ©roĂŻdes, les comĂštes, les boules de feu, les mĂ©tĂ©ores, et les choses qui semblent ĂȘtre un croisement entre des mĂ©tĂ©ores et des vaisseaux spatiaux ; tout cela est rapportĂ© avec une grande rĂ©gularitĂ© ces derniers temps. Toutes sortes d’activitĂ©s en cours. On a Ă©galement parlĂ© de l’étoile Eta Carinae qui est devenue trĂšs active de maniĂšre trĂšs inhabituelle. Est-ce une sorte de signe avant-coureur de quelque chose ?

R : Les signes avant-coureurs unissent la conscience mentale.

Q : Je vois ! Est-ce qu’Eta Carinae va exploser, comme dans « supernova » ?

R : Oui, mais la question est de savoir quand.

Q : Pouvez-vous nous en dire plus sur ces comĂštes Ă  venir ? On a vu des objets voler vers le Soleil ; il y a beaucoup d’activitĂ© excessive du Soleil ces derniers temps, ce qui est cyclique, mais extrĂȘmement Ă©levĂ©e mĂȘme en considĂ©rant le cycle normal. Qu’en est-il de cette possible activitĂ© du Soleil jumeau ?

R : Il y a beaucoup de choses qui se passent, oui. Mais c’est cyclique. Et je ne vais pas vous l’expliquer en dĂ©tail. Le passĂ©, s’il est soigneusement et prĂ©cisĂ©ment retracĂ©, contient toutes les rĂ©ponses pour vous. Comment pensez-vous que les prophĂštes s’y prennent ?

Q : Comment ?

R : Non.

Q : Et bien maintenant, Vincent Bridges et Jay Weidner et leur livre sur la croix cyclique d’Hendaye, parle des cycles du passĂ© et du futur, des Ăąges du monde et ainsi de suite. Ils disent que Fulcanelli a ajoutĂ© un chapitre Ă  la deuxiĂšme Ă©dition de son livre qui a Ă©tĂ© publiĂ© en 1957, et que ce chapitre portait sur la croix cyclique d’Hendaye. Ce chapitre Ă©tait censĂ© rĂ©vĂ©ler tout le secret. Il dit que cette croix reprĂ©sente une double croix, une double catastrophe, et qu’il est Ă©crit en code que « la vie est prĂ©servĂ©e dans un seul espace » au moment de cette double catastrophe. Pourriez-vous nous interprĂ©ter l’intention de Fulcanelli en plaçant cet addendum Ă  ce livre dans cette pĂ©riode particuliĂšre ?

R : Pas besoin.

Q : Pourquoi ?

R : Tu as Ă©tĂ© la mieux Ă  mĂȘme de dĂ©couvrir tes propres indices.

Q : J’ai presque eu l’impression que la raison pour laquelle ce chapitre a Ă©tĂ© ajoutĂ© en 1957, si synchrone avec certains Ă©vĂ©nements cruciaux de ma vie Ă  cette Ă©poque, Ă©tait que c’était un message Ă©crit personnellement pour moi ! Cela semble fou. Est-ce possible ?

R : Si tu souhaites le percevoir comme tel.

Q : Il pourrait y avoir de nombreuses explications. Maintenant, nous avons un correspondant qui a Ă©crit et posĂ© une question. Il a dit qu’il avait remarquĂ© que l’idĂ©e de Hoagland concernant la configuration tĂ©traĂ©drique de 19,5 degrĂ©s Ă©tait promue Ă  un moment donnĂ©, puis une autre idĂ©e concernant l’affaire des parallĂ©logrammes impliquant une marque de 18 degrĂ©s dans une autre section. Quelle est donc la diffĂ©rence entre les commentaires de Hoagland sur les 19,5 degrĂ©s et le point d’intĂ©rĂȘt de 18 degrĂ©s que vous avez Ă©voquĂ© ? S’agit-il de deux choses diffĂ©rentes ?

R : Eh bien, si vous faites le calcul, vous voyez que 18 degrĂ©s correspondent bien Ă  quatre-vingt-dix. Peut-ĂȘtre que 19,5 est dĂ» Ă  un glissement de la croĂ»te terrestre lors d’un Ă©vĂ©nement « marquant » !

Q : Mais, en gĂ©omĂ©trie, ces 19,5 degrĂ©s sont ce que vous obtenez lorsque vous essayez de placer un tĂ©traĂšdre dans une sphĂšre. C’est ainsi que Hoagland l’a obtenu, et non par observation.

R : D’accord, c’est bien aussi.

Q : Comment se fait-il que vous ne le saviez pas ?

R : Nous l’avons fait remarquer dĂšs le dĂ©but.

Q : C’est pour cela que vous avez mis « marquant » entre guillemets ? Ce 19,5 est lĂ  oĂč il touche. C’est la marque du point de contact. C’est cela ?

R : Des indices, ma chĂšre, des indices, et l’éternel besoin de ne pas restreindre le libre arbitre.

Q : Mais, si ces tĂ©traĂšdres s’insĂšrent dans une sphĂšre et qu’ils touchent la sphĂšre Ă  19,5 degrĂ©s, quel est leur rapport avec cet effet qui, selon vous, se manifeste Ă  18 degrĂ©s ?

R : Est-ce que 1,5 correspond Ă  90 degrĂ©s ? Est-ce que 90 correspond Ă  180 ? Est-ce que 180 correspond Ă  360 ? Posez-vous la question : « Qu’est-ce que cela signifie ?

Q : Nous ne savons pas. (A) Le fait est que l’angle dont parle Hoagland n’est pas 19,5, c’est une approximation du point quelque chose, quelque chose, quelque chose
 Donc, si c’est seulement 19,5, c’est la diffĂ©rence entre 19,5 et 18 – c’est 1,5, ce qui, dans ce cas, n’est pas exactement 1,5, c’est un point quelque chose qui ne s’inscrit pas dans quelque chose que nous connaissons.

R : La circonférence.

Q : (A) Oui. 360 degrés. La circonférence est-elle importante ?

R : Elle est importante.

Q : (A) Donc, nous pouvons calculer ces deux circonfĂ©rences, et elles diffĂ©reront d’un certain nombre, et ce nombre s’intĂ©grera Ă  nouveau dans l’une de ces circonfĂ©rences, et le fait est qu’il devrait s’intĂ©grer de sorte qu’il y ait un nombre entier


R : Oui.

Q : (A) Mais, il y aura alors beaucoup plus d’angles. Il n’y aura pas seulement 18 et 19,5


R : Oui. Tout ce que Hoagland a fait, c’est mettre en Ă©vidence un point oĂč les lignes magnĂ©tiques convergent en utilisant le modĂšle du tĂ©traĂšdre.

Q : Si elles convergent à ce point


R : Mais la question est de savoir comment le modĂšle du tĂ©traĂšdre se rapporte Ă  l’espace trans‑dimensionnel ?

Q : Quel est le rapport entre le modĂšle du tĂ©traĂšdre et l’espace trans-dimensionnel ?

R : Une clé qui déverrouille la porte.

Q : En parlant d’une clĂ© qui dĂ©verrouille une porte : il y a des informations qui circulent selon lesquelles un gigantesque ordinateur a Ă©tĂ© installĂ© Ă  l’intĂ©rieur de la terre, mis lĂ  par une race reptilienne, et que la rĂ©cupĂ©ration de cette chose est une des raisons de l‘ « invasion » actuelle ou prochaine par eux. Cette configuration en tĂ©traĂšdre dans la terre est-elle liĂ©e Ă  un ordinateur gĂ©ant extraterrestre ?

R : Non.

Q : Y a-t-il un ordinateur extraterrestre géant enterré dans la Terre ?

R : C’est peu probable.

Q : Revenons au tĂ©traĂšdre. En quoi est-ce une clĂ© de l’espace trans-dimensionnel ? L’active-t-on d’une maniĂšre ou d’une autre ? Placez-vous une sorte de machinerie Ă  ces emplacements ?

R : Non. Le magnétisme.

Q : Est-on censĂ© gĂ©nĂ©rer du magnĂ©tisme, ou s’agit-il d’un magnĂ©tisme naturel ?

R : Naturel.

Q : Est-on censé faire quelque chose à ce magnétisme ou avec lui ?

R : Censé ???

Q : Est-il utile d’en faire quelque chose ?

R : Peut-ĂȘtre.

Q : Dans quel sens ?

R : En voyageant entre les dimensions.

Q : Quelqu’un l’utilise-t-il actuellement de cette maniùre ?

R : Pas les SDS terriens de 3D.

Q : Cela implique que les SDS de 4D le font. Pourrait-on construire un modĂšle Ă  l’échelle d’un tĂ©traĂšdre dans une sphĂšre, le magnĂ©tiser et ouvrir des portails ?

R : Oui.

Q : Cela nécessiterait-il beaucoup de courant électrique ?

R : Oui.

Q : Y a-t-il moyen de voyager entre les dimensions, dans l’espace-temps ou autre, en utilisant trùs peu de courant, en tant que tel ?

R : Nous vous avons dĂ©jĂ  dit que toutes les sphĂšres de nature cosmique sont des fenĂȘtres.

Q : En allant dans une direction lĂ©gĂšrement diffĂ©rente. J’ai rĂ©flĂ©chi Ă  la nature de notre rĂ©alitĂ©, et j’ai pensĂ© que sous celle-ci, ou Ă  la base de celle-ci, il y a une rĂ©alitĂ© de 4D similaire Ă  la thĂ©orie de Kaluza-Klein. Ai-je raison jusqu’à prĂ©sent ? Est-ce que je vais quelque part ici ?

R : Poursuit.

Q : D’accord. Sous cette rĂ©alitĂ© de 4D, il y a une rĂ©alitĂ© Ă©thĂ©rique ; et la rĂ©alitĂ© Ă©thĂ©rique consiste en une 5D. D’accord ? Sous la rĂ©alitĂ© de 5D, il y a la rĂ©alitĂ© de 6D que j’essaie de dĂ©crire en termes de gĂ©omĂ©trie. Cette gĂ©omĂ©trie est la chose sous-jacente et essentielle des idĂ©es, des natures ou des aspects des concepts qui naissent dans notre monde matĂ©riel ; cette gĂ©omĂ©trie est la nature essentielle des choses. Est-ce que j’y arrive ? Mais, au-delĂ  de cette gĂ©omĂ©trie, de quoi Ă©mane la gĂ©omĂ©trie ? Je sais que vous allez dire quelque chose comme « L’Un » ou « SeptiĂšme densitĂ© », mais j’aimerais vraiment avoir un concept parce que je ne peux pas aller au-delĂ  de cela. MĂȘme si elle est inadĂ©quate, de quoi Ă©mane la gĂ©omĂ©trie, qui s’exprime sous forme de gravitĂ©, Ă©merge ?

R : Pas en phase.

Q : Qu’est-ce qui me permettra d’ĂȘtre « en phase » ?

R : pas de « dessous ».

Q : D’accord. Puisqu’il n’y a pas de « dessous », quel terme serait un remplacement appropriĂ© ?

R : Autour.

Q : Qu’y a-t-il autour de cette gĂ©omĂ©trie ?

R : Pour que vous puissiez poursuivre.

Q : Pouvez-vous me donner un indice ?

R : Nous venons de le faire.

Q : Pourrait-on dire qu’elle est « imbriquĂ©e » ?

R : Non, non, non. Tu penses toujours en termes de domaine limitĂ©. Quand on va dans l’espace, il n’y a pas de dessus, de dessous, de haut, de bas, de gauche, de droite, de dessous, etc. Il n’y a qu’autour. Dans un sens sphĂ©rique.

Q : Chaque point est le centre ?

R : Plus proche.

Q : Revenons au tĂ©traĂšdre, ces points oĂč ce tĂ©traĂšdre touche cette sphĂšre, et ce sont des lignes de convergence magnĂ©tique ; comment ces lignes de convergence magnĂ©tique apparaissent-elles sur cette sphĂšre ; rayonnent-elles Ă  partir des points de convergence comme des toiles d’araignĂ©e ? Ou convergent-elles du centre vers l’extĂ©rieur de la sphĂšre ? Sont-elles posĂ©es sur la sphĂšre comme la grille de longitude et de latitude ?

R : Plus prĂšs de cette derniĂšre.

Q : Donc, lorsque vous dites qu’il s’agit de lignes de convergence, cela signifie-t-il qu’une ligne de latitude et une ligne de longitude, pour ainsi dire, convergent en ces points ?

R : Penses en termes multidimensionnels. Pas de papier plat, s’il te plaüt.

Q : D’accord, allons maintenant dans une autre direction et essayons de rĂ©pondre Ă  ces questions. Je voudrais demander quelles sont toutes ces configurations sphĂ©riques qui apparaissent sur les radars un peu partout ces derniers temps ? Il est assez scandaleux que cela se produise de maniĂšre aussi rĂ©pĂ©titive et que personne ne l’explique.

R : Restez Ă  l’écoute pour en savoir plus. Et pour l’instant, bonne nuit.

Fin de la séance
 
Back
Top Bottom