Séance du 26 novembre 1994

Jacques

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Thanks to the members of the French translation group who have just translated that session.

Session 26 November 1994

Merci aux membres de l'équipe française pour cette traduction.
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Séance du 26 novembre 1994

Participants : « Frank », Laura, Terry et Jan

Q : Bonjour.

R : Merci d’avoir modifié la planche. [Nous avions installé davantage de signes de ponctuation.] Nous avons travaillé sur vos psychés pour que vous le fassiez.

Q : (L) Vous n’aviez pas besoin d’agir sur nos psychés pour que nous le fassions. Cela accélère aussi les choses pour nous. Nous voulions le faire.

R : Tout est interactif lorsqu’il est question de l’« esprit collectif ».

Q : (T) « Fin de mot » c’est pour la fin de chaque mot, pas pour la fin d’une phrase. Comme ça, on peut aisément distinguer les mots les uns des autres… (J) Je n’en ai pas besoin.

R : Tu sauras distinguer les mots à mesure qu’ils arriveront.

Q : (L) Maintenant, pour les questions…

R : Qui suis-je Laura ? Tu te laisses aller.

Q : (L) Eh bien, vous m’avez dit la dernière fois que je n’étais pas obligée de poser la question à chaque fois. D’accord, qui est avec nous ce soir ?

R : Humour.

Q : (L) Votre nom est Humour ?

R : Absurde.

Q : (T) Nous sommes absurdes ou nous allons passer une drôle de soirée absurde ?

R : Laura a besoin de se détendre un peu.

Q : (L) OK, pouvons-nous avoir votre nom s’il vous plaît ?

R : Murean.

Q : (L) Contents de vous avoir avec nous, Murean. [Tentative pour prononcer le nom]

R : Accent sur la 2e syllabe.

Q : (T) Bien, ce soir, il y a Laura, Frank et Terry à la planchette, et Jan à la transcription. Est-ce que ça convient ?

R : Bien sûr, Terry.

Q : (T) Merci.

R : De rien.

Q : (T) Samedi dernier, j’ai remarqué que vous aviez besoin de notre énergie pour faire marcher la planchette. Il n’est pas nécessaire que l’un ou…

R : Vous ajoutez de l’énergie.

Q : (T) J’ajoute de l’énergie ?

R : Et Jan.

Q : (L) Simplement en étant là ? (T) Eh bien, je ne veux pas avoir l’impression d’usurper la place de V__…

R : V__ est à un stade antérieur du processus d’apprentissage, donc moins d’énergie.

Q : (L) Eh bien, V__ fait partie du groupe et apprend avec nous, et nous sommes tous à différents stades d’une manière ou d’une autre. Elle possède un grand don de guérison qui est définitivement indispensable au groupe. (T) Et LM est pêcheur.

R : V__ est plus émotive à la façon d’une amoureuse « Gémeau ». Son Reiki est meilleur à cause de ses facultés émotionnelles.

Q : (T) Eh bien, je ne veux tout simplement pas qu’elle se sente blessée ou pense qu’on la remplace si je participe.

R : Détends-toi Terry.

Q : (J) J’ai rêvé que de la vigne poussait sur mes cheveux. Je passais devant un miroir et en voyant cela, je me suis dit « Je vais devoir me débarrasser de ce truc ! » Ce rêve a-t-il un sens ?

R : Aucun.

Q : (J) À quoi sont dus mes problèmes de sinus ?

R : Refoulement émotionnel.

Q : (J) De quoi ?

R : Des sentiments. Appris à ne pas être démonstrative dans l’enfance.

Q : (J) Il y avait beaucoup de refoulement des pensées et de la créativité chez moi quand j’ai grandi. Alors, que puis-je faire pour aider mes sinus ?

R : Sortir et fracasser quelques pots de fleurs. [Éclats de rire] Sérieusement. Sans danger pour les autres.

Q : (T) Eh bien, il y en a un paquet dehors. (J) Devrais-je identifier ce qui me met en colère et nommer les pots de fleurs quand je les fracasse ?

R : Si elle veut. Nous avons suggéré les pots de fleurs parce que tu en as trop. [Rires]

Q : (T) C’est vrai, carrément ! [Quelqu’un suggère de tirer dessus]

R : Les fusils peuvent blesser à moins d’être extrêmement prudent.

Q : (J) Pourquoi la maman de Terry avait-elle aussi peur de se faire opérer de la cataracte, pourquoi n’a-t-elle pas guéri et que peut-elle faire ? (T) Trop de questions. Ma mère vient juste de se faire opérer de la cataracte et plusieurs autres membres de la famille ont subi la même opération, et ils ont tous guéri correctement et rapidement. Elle ne guérit pas correctement et elle a une peur bleue de perdre la vue de cet œil. Elle était paniquée par cette opération, pourtant elle a subi d’autres opérations qui ne l’avaient pas effrayée.

R : Trop de modes de pensée.

Q : Pourquoi était-elle effrayée par cette opération ?

R : Sa nature est d’être effrayée.

Q : (J) Elle prétend qu’elle n’a jamais eu peur d’aucune opération.

R : Faux.

Q : Son œil va-t-il guérir ?

R : Si elle change ses pensées.

Q : (L) Avez-vous pratiqué le Reiki sur son œil ? (J) Non. (T) Eh bien, vas-y la semaine prochaine et fais-le.

R : Pas recommandé. Elle résistera fortement.

Q : (L) Qu’est-ce que Terry ou Jan pourraient faire… (J) ou que peut-elle faire…

R : Sa leçon, pas la vôtre. S’il vous plaît, limitez les demandes de nature personnelle.

Q : (T) C’est un univers de libre arbitre alors ils ne peuvent rien nous dire. Vous voyez, j’ai lu le livre !

R : Bravo, Terry. [Rires]

Q : (T) J’apprends lentement mais sûrement.

R : Pas si lentement.

Q : (L) Pouvons-nous au moins demander quelle sorte d’esprit animal auraient Jan et Terry ?

R : Jan, souris. Terry, serpent. [Rires]

Q : (T) Mon serpent totem fait-il référence aux lézards ou aux dragons ?

R : Non. On te l’a dit.

Q : (T) Eh bien, j’aime bien les dragons parce que je suis un mordu de littérature fantastique. Je ne suis pas vraiment fana des lézards.

R : Donjons et…

Q : (T) Donjons & Dragons, un de mes jeux préférés. Puisque j’aime bien Donjons et Dragons, et que j’ai ce penchant pour ce genre de choses…

R : On sait.

Q : (T) On a tous nos passe-temps. Pourquoi ai-je l’impression d’avoir un lien avec les armes blanches dans ma vie ? Quelle est l’origine de mon goût pour les jeux médiévaux, etc. ?

R : Épées. A été tué par un pirate en 1713.

Q : (T) Pourquoi ai-je été tué par un pirate en 1713 ? (L) Parce que tu étais là. (T) Mauvais endroit au mauvais moment !

R : Assez proche.

Q : (L) Quel était son nom lors de cette vie-là ?

R : George Caldwell. Vivait à Plymouth, en Angleterre. Métier : Marine.

Q : (L) Qui était le groupe de pirates qui lui ont enlevé la vie ?

R : Coupeurs de gorges britanniques.

Q : (T) Quel était mon grade ?

R : Lieutenant.

Q : (T) Comment s’appelait le navire ?

R : HMS Siderail.

Q : (T) Quel type de bateau était-ce ?

R : Goélette.

Q : (T) Alors ce n’était pas un bateau militaire ?

R : Si.

Q : (T) Eh bien, ce n’était pas un vaisseau de combat. (LM) Ils n’ont jamais utilisé de goélettes comme vaisseaux de combat.

R : Si. Réquisitionné, LM. [Rires]

Q : (T) La Marine britannique avait réquisitionné cette goélette ?

R : Oui.

Q : (T) Est-ce répertorié quelque part dans les archives de l’Amirauté britannique ? Y a-t-il quoi que ce soit de cela de consigné ?

R : Non. Dissimulé.

Q : (T) Reste-t-il des archives sur le personnel de la Marine ?

R : Oui. Va à Londres. Contacte New Scotland Yard pour y avoir accès.

Q : (T) Qui commandait la goélette ?

R : Ian Miller de Plymouth.

Q : (L) Terry était-il marié ?

R : Non.

Q : (T) À quel âge suis-je mort ?

R : 23.

Q : (T) M’étais-je amusé avant cela ?

R : Ouvert.

Q : (J) Pouvez-vous me parler d’un jeu précis auquel je jouais avec les autres filles quand j’étais au collège, surtout Margaret S ?

R : Le sous-sol de Margaret semble très sombre. Des bougies ou des points lumineux. Des mots prononcés de façon « rituelle ».

Q : (F) Que faisiez-vous ? (J) Oui. (L) Tu plaisantes ? (J) Non. (F) Que faisiez-vous ? (J) [Rit]

R : Nous voyons la scène dont tu parles dans le « temps » présent. C’est difficile à interpréter, car il semble y avoir un effort pour « dissimuler » aux autres les activités d’une façon quelque peu « sournoise ». Mais cela semble être une tentative pour influencer les événements ou jeter des « sorts ».

Q : (L) C’est vrai ? (J) Hum humm. (L) Ça a fonctionné ?

R : Ouvert.

Q : (J) Ne pouvez-vous rien obtenir de spécifique à propos des mots ?

R : Nous ne pouvons pas déchiffrer.

Q : (J) Et si je me concentrais davantage ?

R : Peut-être.

Q : (T) Souhaitez-vous nous dire quelque chose sans que nous posions de question ?

R : Clarifiez les vibrations. Il y a beaucoup d’interférence en ce moment.

Q : (T) Quelle est la source de cette interférence ?

R : Nombreuses et variées.

Q : (L) Est-ce notre tension ou notre attente vis-à-vis de ces mots qui ont créé des parasites ?

R : En partie. Mais rappelez-vous, l’objectif premier de cette communication est d’apporter à tous des informations d’importance universelle plutôt que des devoirs et des données personnelles. Nous voulons clarifier et développer la déclaration précédente. Aucun souci si vous préférez utiliser cette tribune pour des données et des gains personnels, car c’est le libre arbitre. Toutefois, si vous souhaitez que cette connexion conserve sa force, et en fait s’accroisse, alors il serait sage de limiter les demandes personnelles, car cela relève du domaine du service de soi, et ce domaine est limitant et finira par aboutir à une contamination par des forces orientées vers le service de soi, contrairement à celle-ci.

Q : (L) Je suis fatiguée. Avez-vous vraiment besoin de ma présence à la planche les gars ?

R : « Plus il y a de fous, plus on rit. »

Q : (L) Puis-je poser ma question maintenant ?

R : OK, Laura. Vas-y.

Q : (L) L’autre soir, nous avons parlé de la « marque de Caïn », et j’ai perdu une partie de l’enregistrement. J’aimerais revenir un petit peu plus sur le sujet cette fois. Quel véritable événement cache le récit sur la « Marque de Caïn » ?

R : Apparition de la jalousie.

Q : (L) Qu’est-ce qui a permis à la jalousie d’entrer en jeu dans les relations humaines ?

R : Prise de pouvoir par les Lézards.

Q : (L) La prise de pouvoir par les Lézards ne s’est-elle pas produite au moment de la Chute au jardin d’Éden ?

R : Oui.

Q : (L) L’histoire de Caïn et Abel faisait-elle partie de cette prise de pouvoir ?

R : Symbolisme du récit.

Q : (L) Cela symbolisait la prise de pouvoir par les Lizzies, l’apparition de la jalousie, et l’attitude de « frère contre frère », est-ce exact ?

R : En partie. La marque de Caïn renvoie au « facteur jalousie » instauré dans le cadre du changement facilité par la prise de pouvoir par les Lézards sur la fréquence vibratoire de la Terre. Le nœud au niveau de la colonne vertébrale est un vestige physique de la limitation de l’ADN délibérément ajoutée par les Lézards. Vous voyez ?

Q : (L) D’accord, Jan va passer sa main le long de mon dos. Faites-nous signe lorsqu’elle aura atteint le « nœud ».

R : OK.

Q : (L) Vous voulez dire la crête occipitale ?

R : Oui.

Q : (L) Quelle était la configuration de la colonne vertébrale et du crâne avant cet ajout ?

R : La colonne n’avait pas de crête à cet endroit. La jalousie émane de là, vous pouvez même la sentir.

Q : (L) Toutes ces émotions que nous avons mentionnées, celles qui ont été générées par la dégradation de l’ADN, certaines sont-elles liées à ce que Carl Sagan appelle le cerveau reptilien ?

R : Indirectement.

Q : (L) D’accord, à l’époque de l’apparition de cette marque de Caïn, y avait-il d’autres humains sur la planète qui ne possédaient pas cette configuration ?

R : Elle a été ajoutée à tous simultanément.

Q : (L) Comment s’y sont-ils pris physiquement pour accomplir cet acte ? Quel était le mécanisme de ce résultat, les détails techniques ?

R : Êtes-vous prêts ? Le cœur de l’ADN est une enzyme qui n’a pas encore été découverte et qui est liée au carbone. Des ondes lumineuses ont été utilisées pour neutraliser par combustion les dix premiers facteurs de l’ADN. Dès lors, un certain nombre de changements physiques ont eu lieu, dont l’apparition du nœud en haut de la colonne. Chacun d’eux se reflète en tous points dans l’éthérique.

Q : (L) Et c’est tout ?

R : Non. Mais, as-tu besoin de plus ?

Q : (L) Eh bien, ma question est : combien de gens y avait-il sur la planète, et ont-ils dû les prendre un par un pour procéder à ce changement individuellement ?

R : Ouh là !

Q : (L) Combien de personnes ?

R : 6 milliards.

Q : (T) C’est 500 millions de plus qu’actuellement.

R : Non, 200 millions.

Q : (L) Mais il y avait beaucoup de gens sur la planète, comment s’y sont-ils pris pour effectuer ce changement sur tous ?

R : Altération des ondes lumineuses.

Q : (L) Et les ondes lumineuses, les vraies ondes lumineuses, affectent l’ADN ?

R : Oui.

Q : (T) Quelle était l’origine de ces ondes lumineuses ?

R : Notre centre.

Q : (L) C’est quoi votre centre ?

R : Notre monde. SDA.

Q : (L) Alors comment les Lizzies s’y sont-ils pris pour utiliser la lumière provenant du monde du Service d’Autrui…

R : Ils ont utilisé une technologie sophistiquée pour interrompre les ondes de fréquence lumineuse.

Q : (L) Eh bien, ce que je déduis de vos non-dits, c’est qu’on a l’impression que, eh bien, il y a eu une bataille et que vous, les gars, vous l’avez perdue ?

R : Oui.

Q : (L) Est-ce la même bataille que celle dont parlent les Pléiadiens ?

R : Oui.

Q : (T) Sans vouloir digresser, mais c’est tout nouveau pour moi, vous êtes les Cassiopéens ?

R : Oui.

Q : (T) Êtes-vous aussi les Pléiadiens ?

R : Non.

Q : (T) Êtes-vous liés aux Pléiadiens ?

R : Oui, et d’autres le sont aussi.

Q : (T) Vous êtes tous de la famille de la lumière ?

R : Oui. Exactement. Tu as bien « fait tes devoirs ».

Q : (T) J’essaie. Alors, dans ce que nous appelons le passé, une autre force vous a vaincus et a utilisé le pouvoir de la lumière afin de nous altérer de différentes manières, est-ce exact ?

R : Oui. Maintenant, comprenez bien : tout cela fait partie d’un grand cycle naturel.

Q : (L) Si tout cela fait partie d’un grand cycle naturel, et corrigez-moi si je me trompe, on a presque l’impression que vous, les gars, les « gentils », et les autres, les « méchants », vous participez à tout ça juste pour vous amuser — façon de parler ; est-ce vrai ?

R : Non.

Q : (L) Mais vous dites que c’est une chose naturelle ou que cela fait partie d’un grand cycle naturel. Ce grand cycle naturel fait-il juste partie de l’interaction entre la lumière et l’obscurité, dont l’existence est tout simplement dans l’ordre des choses ?

R : Oui. Nous sommes en « première ligne » du système d’équilibre naturel de l’univers. C’est vers ce niveau qu’on s’élève, avant d’atteindre l’union totale avec « L’Un ». Le 6e niveau.

Q : (L) Aimez-vous être au 6e niveau ?

R : Aimez-vous être au 3e niveau ?

Q : (L) Franchement, non. (T) Si vous répondez en retournant la question, et comme on sait qu’on s’efforce d’atteindre un niveau supérieur, cela veut-il dire qu’il y a d’autres niveaux au-dessus du 6e ?

R : Oui. Un.

Q : (L) L’Union avec le Un.

R : Oui.

Q : (T) Bon, la bataille que vous avez menée contre l’autre camp…

R : Que nous menons.

Q : (T) Cette bataille se poursuit. … avez-vous récupéré le pouvoir de la lumière ?

R : Ne l’avons jamais perdue, vous oui.

Q : (T) D’accord, j’imagine que pour nous, les Lizzies sont la force principale, même si d’autres entités sont de leur côté…

R : Oui.

Q : (T) Ils ont pris notre lumière, pas la vôtre ?

R : Pas contre vous. Présentement en union avec vous.

Q : (T) Alors nous ne sommes qu’une bataille dans l’univers, au sein d’une lutte globale, permanente ?

R : Oui. L’équilibre est naturel. Rappelez-vous, tout n’est que leçons dans le grand cycle.

Q : (L) J’aimerais vraiment savoir… quand vous, les gars, vous vous « bagarrez » avec les Lizzies, comment vous y prenez-vous ? Je veux dire, de toute évidence, vous ne vous tirez pas dessus avec des armes, et vous n’avez pas de chars…

R : Trop compliqué à comprendre pour vous, parce que vous n’êtes pas encore au 4e niveau.

Q : (J) Quand vous vous battez, avons-nous la moindre possibilité de détecter cette bataille ?

R : Premièrement : nous ne nous « battons » pas. Deuxièmement, oui ; c’est la nature, du genre météorologie et changements terrestres.

Q : (T) Votre forme de confrontation prend la forme de changements physiques dans l’atmosphère et l’environnement de la planète ?

R : Et dans l’espace.

Q : (T) Mais c’est comme cela que nous la détectons ? Plus il y a d’activité [météorologique], plus le conflit est intense ?

R : Rappelez-vous, nous sommes la lumière. Ils sont l’obscurité. Nous sommes tous deux des formes pensées de niveau supérieur reflétées à tous les niveaux de réalité.

Q : (T) Donc, ce que nous percevons, c’est ce qui transparaît en 3e densité, mais ce n’est pas ce que nous percevrions si nous regardions depuis la 4e, la 5e ou la 6e.

R : Oui.

Q : (T) Nous parlons de la 4e densité vers la 3e. Est-ce à cela qu’Hoagland fait référence quand il parle de la forme tétraédrique qu’il a repérée dans les structures martiennes qu’il a étudiées et qu’il a postulées…

R : Oui. C’est un pont vers la 4e densité.

Q : (L) Le combat n’est-il pas quelque peu inégal ? Vous, les gars, au 6e niveau, vous vous battez contre les Lizzies, qui ne sont qu’au 4e niveau ?

R : Les « Lizzies » sont des représentants au 4e niveau des forces des ténèbres, non le 6e niveau, et vous en êtes des représentants au 3e niveau.

Q : (L) Y a-t-il un représentant au 6e niveau des forces des ténèbres ?

R : Oui.

Q : (L) Et sous quel nom est connu ce représentant du 6e niveau, à quoi ressemble-t-il, etc. ?

R : Orion dans votre « voisinage ».

Q : (L) Les Orions sont des êtres SDS de 6e niveau ?

R : Oui.

Q : (L) Sont-ils comme vous, des formes-pensées ?

R : Oui.

Q : (L) Apparaissent-ils jamais dans la matière physique ?

R : Le peuvent.

Q : (L) Et ils sont la force motrice qui contrôle les Lizzies ?

R : Pas loin.

Q : (L) Y a-t-il un intermédiaire entre les Orions du 6e niveau et les Lizzies du 4e niveau ; par exemple, une force ou un être au 5e niveau ?

R : Le 5e niveau est une zone de contemplation pour les deux « camps ».

Q : (L) Cela signifie-t-il qu’au niveau de la contemplation, il n’y a aucune activité ? (J) C’est comme un « temps mort » ?

R : Pas loin. Équilibreur.

Q : (L) Y a-t-il un représentant au 3e niveau des forces de la lumière ?

R : Oui.

Q : (L) Qui ou que sont-ils ?

R : N’existent pas sur votre planète.

Q : (L) Ont-ils une planète à eux ?

R : En ont des billiards.

Q : (L) Eh bien, à vous entendre, on est dans une sacrée panade, ici. Ce monde, c’est la Sibérie de l’Univers, comme disait Gurdjieff.

R : L’Univers est infiniment immense.

Q : (L) S’il y a des planètes où il y a des êtres 3D d’orientation SDS, autrement dit dans des corps physiques, est-ce qu’ils nous ressemblent ?

R : Vous êtes d’orientation SDS. Voulais-tu en fait dire SDA ?

Q : (T) Y a-t-il une race 3D SDA dans cet univers ?

R : Oui. Déjà répondu.

Q : (L) S’il y a des planètes avec des êtres SDA…

R : Certains vous ressemblent.

Q : (L) À quoi ressemble la vie dans ce genre d’endroit ? (T) Ils ne vont pas nous le dire. C’est quelque chose qu’on va devoir concevoir pour le découvrir.

R : Exactement.

Q : (J) Est-ce parce que nous sommes SDS que nous sommes autant axés sur les apparences ?

R : Pas une question physique au 3e niveau.

Q : (T) Qui donc me parle quand je me parle à moi-même dans ma tête ?

R : Toi.

Q : Est-ce que je parle à d’autres êtres ?

R : C’est arrivé.

Q : Faisons-nous tous cela ?

R : Non.

Q : (T) Laura communique-t-elle ainsi ?

R : C’est arrivé.

Q : (T) Frank ?

R : Idem.

Q : (T) Devrais-je continuer à communiquer avec qui que ce soit dont il s’agit ?

R : À toi de voir.

Q : (T) Sont-ils en lien avec vous ?

R : Non.

Q : (T) Savez-vous de qui je parle ?

R : Oui.

Q : (T) Pouvez-vous me dire qui ils sont ?

R : Lézards.

Q : (T) Pourquoi me parlent-ils ?

R : Tentent de te convertir. Rappelle-toi, Terry, ta dépression chronique est une zone de « combat ».

Q : (T) Je ne suis plus déprimé, mais ils me parlent encore plus. (J) Ils tentent de te replonger dans la dépression. (T) Mais ils ne font rien pour me convaincre de déprimer.

R : Sois vigilant !

Q : (T) Est-ce que je peux les débrancher ?

R : Oui.

Q : (T) Qui est « Sing » ?

R : Le leader de forces ayant pour mission de t’influencer.

Q : (T) Des forces ? Ça veut dire qu’ils sont nombreux à s’occuper de moi personnellement ?

R : Oui.

Q : (T) Et ils sont combien ?

R : Sept.

Q : (T) Est-ce qu’ils se servent de mes implants pour faire ça ?

R : Ça fait partie du processus.

Q : (T) Est-ce que j’ai des implants ?

R : Oui.

Q : (T) Ils se servent de ces implants pour contrôler et amplifier mes émotions de façon à pouvoir s’en nourrir ?

R : Pas contrôler, influencer.

Q : (T) Non, pas pour contrôler, influencer. Quand, disons, je me mets en colère, ça ne dure pas longtemps, mais quand ça dure longtemps, ça veut dire qu’ils ont utilisé cette technologie pour amplifier et exacerber cette colère, c’est bien ça ?

R : Oui. La connaissance protège, l’ignorance expose au péril.

Q : (T) Est-ce que je peux leur renvoyer ce que je veux, via leur technologie ?

R : Pas nécessaire.

Q : (T) Autrement dit, si je me mets en colère et que je réalise que je le suis plus que la normale, que je la transforme en quelque chose de positif et que je le leur renvoie pendant qu’ils ont leurs amplificateurs grands ouverts, est-ce que ça les affectera ? Est-ce que ça fera tout « capoter » chez eux ?

R : Là, tu « combats le feu par le feu ».

Q : (T) Et c’est ce que nous sommes censés faire ?

R : Ouvert. Mais qu’est-ce que cette phrase implique ?

Q : (L) Si tu leur renvoies la pareille… il me semble que ce qu’ils veulent dire, c’est que quand on sent qu’on se met en colère, la seule façon de stopper ça est d’arrêter d’être en colère, et se sentir heureux ou en paix. Quand on est heureux et en paix, alors on n’a aucun désir de renvoyer quoi que ce soit.

R : Bingo.

Q : (J) Convertir l’énergie en quelque chose de positif. (F) On ne peut pas combattre le feu par le feu. (LM) Eh bien, si, on peut en réalité. (T) Ce que je voudrais savoir, c’est s’il est possible de changer son état émotionnel en quelque chose de plus positif que ce qu’ils espèrent, et le leur renvoyer. Est-ce une possibilité ?

R : Pourquoi ?

Q : (T) Juste pour leur rendre la pareille, pour changer. (J) Tu veux les contrarier ? Tu les nourris encore de ton énergie comme ça. (L) Le seul changement que tu pourrais vraiment effectuer, ce serait l’émotion opposée, la paix, et si tu ressens véritablement la paix…

R : Les êtres SDS de 4e densité se nourrissent d’énergie négative.

Q : (J) Donc, ne leur donne rien. (T) Mais je pense à l’énergie… J’ai une nature… Ils se nourrissent d’énergie négative. Ils ont implanté quelque chose en moi, un truc technologique, parce qu’ils viennent dans la 3e densité pour nous embêter…

R : Oui.

Q : (T)… ce qui amplifiera l’émotion pour eux. La rendra encore plus forte.

R : Voici une analogie : quelle est l’efficacité de la douille d’une ampoule si elle n’est pas raccordée ?

Q : (T) Eh bien, à quoi sert la douille d’une ampoule sans prise… J’essaie d’apprendre là, alors laissez-moi une certaine latitude.

R : Comme ?

Q : (T) Si l’on prend une douille et qu’on retire la prise… si l’on enlève la prise, on n’a plus de lumière. (L) Eh bien, les Lizzies sont l’ampoule et tu es la source d’énergie, donc tu n’as qu’à débrancher leur prise. (J) Débranche-toi. (T) Je suis la prise ?

R : Quelle est l’efficacité d’un moteur qu’on ne met jamais en marche ?

Q : (J) Ne sois pas leur source. S’ils se nourrissent d’énergie négative, affame-les.

R : Les implants n’opèrent pas s’ils ne sont pas utilisés.

Q : (J) La source d’énergie doit être active pour qu’ils puissent utiliser l’implant pour extraire le jus ; et l’énergie, ce sont les pensées et les émotions négatives. (T) Mais je ne suis encore qu’un être de 3e densité. J’ai toutes les émotions d’un être de 3e densité, toute la gamme — c’est ce qui fait de moi un être de 3e densité. Je ne peux donc pas « éteindre » une émotion sans compromettre l’équilibre des autres émotions. Les émotions représentent presque une analogie de la lumière et de l’obscurité.

R : Non.

Q : (T) J’ai des émotions positives et des émotions négatives ; toutes les deux font ce que je suis.

R : Il est possible de choisir de n’avoir que des émotions positives.

Q : (T) Si je n’ai que des émotions positives — ce qui est une bonne chose, et ça me plairait — quel effet cela aura-t-il sur les capteurs des Lizzies ?

R : Les neutralisera.

Q : (T) Ils sont donc accordés sur les fréquences négatives ?

R : Oui.

Q : (T) Avoir des sentiments positifs neutralise les implants. Si je neutralise leurs capteurs en ayant des émotions positives, que feront les Lézards ?

R : Iront voir ailleurs.

Q : (L) Ai-je raison de penser que si l’on commence à « débrancher » tout ça, il est possible que les Lézards redoublent d’efforts pendant un certain temps, avant de réaliser qu’on a vraiment pris les choses en main et de partir pour de bon ?

R : Exactement.

Q : (L) Donc quand on commence à comprendre ce qui se passe et à maîtriser ses émotions, à faire face à tout ce qui nous arrive en acceptant et en comprenant que tout est une manifestation de notre propre création et, qu’en fin de compte, tout ça, c’est pour notre bien, il se peut que pendant un certain temps, ils redoublent d’efforts pour récupérer leur source de nourriture, mais une fois qu’ils réalisent que c’est impossible, ils lâchent prise pour de bon ?

R : Toi et Frank êtes en train d’en faire l’expérience en ce moment même.

Q : (L) C’est vrai. (F) Nous avons tous deux subi des attaques sévères dernièrement. Avec tout ce qui nous tombait dessus, c’était vraiment difficile de garder le cap. (L) Le plus dur était de rester dans le bon état d’esprit pour continuer. (J) Suis-je soumise à des attaques ?

R : Pas encore.

Q : (T) Ce que je subis depuis quelques mois est-il le premier assaut ?

R : Oui.

Q : (T) Maintenant ils essaient de me baratiner ?

R : Seulement le premier assaut.

Q : (T) Donc plus je deviens positif, plus ils vont persévérer ; puisque vous dites qu’ils sont sept à « s’occuper » de moi, j’imagine qu’ils me trouvent quelque chose d’intéressant, quelque chose qu’ils veulent conserver ?

R : Pas loin.

Q : (T) Est-ce que je devrais me réjouir du fait d’être suffisamment important au point d’en avoir sept qui se chargent de moi personnellement ? Devrais-je prendre ça comme un compliment ?

R : Non.

Q : (J) Est-ce le niveau de négativité de Terry qui les attire autant ? Son potentiel de forte négativité ?

R : Vice versa.

Q : (J) Expliquez, s’il vous plaît. (L) Bon, qu’ont-ils dit ? Est-ce sa négativité qui les attire ? Non. Il les a attirés et c’est ce qui le rend négatif ? Qu’est-ce qui le rend attrayant pour eux ?

R : Pas attrayant, une menace.

Q : (L) Ça, c’est une raison. Je crois qu’ils commencent à travailler très tôt sur pas mal de gens ; ils doivent lire ou scanner leur aura pour déterminer leur potentiel lumineux, et si le potentiel est grand, ils commencent à travailler sur eux quand ils sont jeunes et sans défense, pour essayer de les mettre hors-jeu, si je puis dire. (F) Pas seulement leur potentiel pour le bien, mais le potentiel de connaissance. (L) Est-ce le cas ici ?

R : Oui.

Q : (L) Voilà. Ce n’est pas ton potentiel de négativité, mais ton potentiel pour le bien.

(F) Exact. Quand on regarde autour de soi, qu’on voit les gens ordinaires, ils semblent simplement vivre leur vie et adorer se vautrer dans la matérialité. Ces gens n’ont pas l’air de souffrir autant.

(L) Apparemment, les Lizzies s’intéressent à deux catégories de personnes : les très faibles, qu’ils enlèvent pour les consommer ou s’en servir comme cobayes, et ceux qui ont un potentiel de force et de positivité.

(F) Pour donner un exemple, ceux qu’ils n’attaquent pas sont déjà sous leur coupe, donc ils n’ont pas besoin de s’occuper d’eux. Mais ceux qui ont le potentiel de dépasser l’orientation Service de Soi sont une menace. Et si tu regardes la plupart des gens qui « réussissent » dans ce monde, ce sont ceux qui sont généralement le plus violemment au service d’eux-mêmes.

(T) Très vrai.

(J) C’est comme ça.

(L) Et combien de fois a-t-on entendu ces maîtres « new age » dire : « Si vous avez l’impression que les gens qui possèdent des biens matériels sont négatifs, alors c’est ce que vous vous attirez et vous devrez vous concentrer encore plus sur la prospérité ». C’est une manière détournée de promouvoir la philosophie du Service de Soi. Ce n’est pas mal de posséder des choses, l’argent n’est pas mauvais, ce qui l’est c’est de se focaliser dessus envers et contre l’altruisme.

(T) Je voudrais vous raconter une petite histoire. Un gars pour lequel je travaille est un « chrétien né de nouveau ». Né de nouveau depuis seulement un an et demi. C’est son dada. Il recherche une hygiène de vie. Un jour, il a balayé d’un revers de la main la métaphysique et les philosophies New Age en général en disant : « Le New Age ! C’est l’œuvre du diable ! » Il n’a aucune idée de ce que c’est, mais il coupe court à tout ça parce que quelqu’un lui a dit de le faire et que ça fait partie de l’hygiène de vie. Je lui ai demandé d’où il tenait ça. Il a répondu : « C’est dans la Bible ». J’ai dit : « Ça veut dire quoi, c’est dans la Bible ? » Il a répondu : « Eh bien, c’est dans les livres ». Donc je lui ai demandé : « D’où viennent ces livres ? Certains ont été écrits il y a des centaines d’années, et les livres du Nouveau Testament ont été écrits des centaines d’années après la vie du Christ, donc, après les faits. »

Alors il a répondu : « Tu vois, ceux qui ont écrit la Bible ne l’ont pas réellement écrite, ils l’ont reçue du Saint-Esprit ». J’ai dit d’accord, je peux avaler ça. Le Saint-Esprit a écrit la Bible. Je peux l’admettre. Parfait. Je lui demande : « Comment savent-ils qu’il s’agissait du Saint-Esprit ? » Et je pose seulement une question, je ne le rabaisse pas. Alors, il rétorque : « Les livres disent que le Saint-Esprit est descendu et l’a fait, et puisque c’est dans le livre, ça doit être vrai ». J’ai répondu : « Attends une minute. Le Saint-Esprit est descendu et a écrit ces livres par l’intermédiaire de ces gens, leur a donné ces informations et les a aidés à le faire, et a écrit dans le livre que c’est le Saint-Esprit qui l’a fait. Donc, c’est vrai parce que celui qui a apporté ces informations a dit qu’il les avait apportées. Mais à un tout autre niveau, le Saint-Esprit a transmis ces informations à ces gens qui n’ont pas écrit les livres, alors n’ont-ils pas “canalisé” ces livres ? » Et là, il a eu un moment d’arrêt du style « Mince, je n’avais jamais vu ça sous cet angle ».

Et j’ai continué : « Tu viens juste de dire que tout ça c’était le diable, le New Age, le paranormal, les ovnis, les Rolling Stones… » Alors il a réfléchi une minute et il a répondu : « Mais là ça va. C’était le “bon” canal ! » Et j’ai dit : « Attends une minute ! Ralentis ! Rentre chez toi et réfléchis-y pendant quelques jours. Ces livres dans lesquels tu places ta foi, dont tu ne sais pas d’où ils viennent, ont été canalisés par des moyens que tu dis être l’œuvre du diable si n’importe qui d’autre les utilise. Et ta seule raison pour les accepter, c’est parce que dans ces livres, il est dit qu’ils sont l’œuvre du Saint-Esprit, mais c’est le Saint-Esprit qui leur a dit de le faire. »

(F) Et c’est le Saint-Esprit qui leur a dit que c’était le Saint-Esprit.

(T) Oui, exactement ! Je lui ai dit : « Penses-y. Réfléchis à ce que tu dis. » Mais il ne le voit pas.

(L) C’est de l’hypnose.

(T) Et il recherche une hygiène de vie. Il raconte : « J’ai entendu ce super groupe l’autre jour, c’est un groupe chrétien ». Et quelques jours plus tard : « Hé, as-tu entendu untel ou untel, ce sont des groupes chrétiens ». J’ai répondu : « La vache, James, tu connais de bons groupes musulmans ? » Je lui ai dit que j’aimais bien Garrison Keilor et il m’a dit que c’était une émission chrétienne. Je lui ai demandé d’où il tenait ça et il a répondu : « Mon pasteur a dit que ça l’était parce qu’il est du Minnesota ! »

(F) Eh bien, cela soulève deux points. Le premier c’est cette pensée circulaire et cette idée de suivre ce que les autres disent, ou ce qui a été écrit, sans rien remettre en question. On n’est pas censé penser. Et le second, cette source a dit un jour : « Ne prenez rien pour argent comptant, y compris ceci ». Une partie de la lumière de la connaissance, c’est qu’on sera toujours ouvert à de nouvelles informations.

(L) C’est la parabole des talents. J’insiste souvent sur celle-là, et un de ces jours, j’écrirai une petite monographie sur les paraboles de Jésus. La parabole des talents est introduite par la phrase : « Le Royaume des cieux ressemble à ceci : Un homme part en voyage… » et il appelle ses trois serviteurs et donne à chacun un certain nombre de talents. Les talents représentent la connaissance. Deux des serviteurs investissent leurs talents. Ils veulent prendre des risques et se défaire de ce qu’ils ont reçu pour en obtenir plus. Le troisième a peur de perdre le peu qu’il a et enterre son talent. Donc, les deux premiers ont accru leur connaissance en renonçant à leurs biens et en recevant plus. Le maître revient et les deux serviteurs lui montrent comment ils ont fait fortune sur le marché, et le maître est ravi. Mais le serviteur qui avait enterré son talent dit :  « Maître, je le savais : tu es un homme dur, tu récoltes où tu n’as pas semé. J’ai eu peur… » Et le maître le jette dehors dans la nuit. Mais souvenez-vous bien qu’on parle de connaissance. Il a pris son petit bout de connaissance, il s’est fermé et s’est accroché à ce petit bout de toutes ses forces…

(F) Encore une autre démonstration du Service de Soi. Il l’a enterré pour le conserver au lieu de le partager. On l’observe continuellement toujours et encore. Tout le monde à son unique petit talent et l’enterre comme si sa vie en dépendait.

(T) Tout à fait. Où en étions-nous ? Le simple fait d’être positif coupera aux Lizzies l’envie de me faire des embrouilles ?

R : Oui.

Q : (T) Et c’est tout ? Mais les implants seront toujours là ?

R : Et alors ?

Q : (T) Les implants servent-ils à autre chose qu’à transmettre la fréquence ?

R : Non.

Q : (T) Et tant que je suis négatif, ils transmettent, ce qui permet aux Lézards de me pister ?

R : Pas loin.

Q : (T) Si je les débranche par ma positivité, ils ne pourront plus me pister ?

R : Pourront pister, mais pas influencer.

Q : (T) Pourquoi m’ont-ils dit que je les avais autorisés à m’enlever ?

R : « N’importe quoi ! »

Q : (T) Si je leur dis que c’est des conneries, me laisseront-ils tranquille ?

R : Non.

Q : (T) Si je les débranche, continueront-ils à m’enlever ?

R : Non.

Q : (T) Le côté « victime », très peu pour moi. (L) Il y a un autre aspect. La connaissance mène à la conscience, ce qui te permet de détecter leurs tentatives d’influence subtiles ; au moindre signe, tu peux commencer à maîtriser ton mental et résister — c’est ça, la clé.

R : Assez proche.

Q : (L) Et il faut persévérer dans les pensées et les sentiments positifs, même dans les épreuves les plus pénibles. Personne n’a dit que ce serait facile, mais ça en vaut la peine. (T) Mes cartes de tarot me disent-elles la vérité ?

R : Peut-être. Assez parlé de ce sujet, s’il te plaît.

Q : (T) Une dernière question. Comment savoir si vous me dites la vérité ?

R : Ouvert. À toi de décider. Écoutez : des révélations suivent. Il serait « temps » pour vous, les amis, de réexaminer certaines prophéties très populaires sur les « changements planétaires ». Pourquoi, vous demandez-vous. Parce que, rappelez-vous, vous êtes des êtres de 3e densité et donc, les véritables prophéties vous sont présentées en termes que vous comprenez, c’est-à-dire le monde physique, c’est-à-dire les changements planétaires. Cela « peut » être symbolique. La majorité des chercheurs intéressés par le sujet comprendraient-ils les prophéties si elles étaient exprimées directement en « jargon » de 4e densité ?

Q : (L) Peut-on comparer ça à ma théorie sur la symbolique des rêves ? Prenons par exemple le rêve que j’ai fait d’un nuage tourbillonnant que je voyais au loin et dont je savais qu’il s’agissait de la mort, et que j’ai interprété comme une tornade, alors qu’en fait il s’agissait de l’accident de la navette Challenger. Je l’ai interprété comme une tornade, alors qu’en réalité, « j’ai vu ce que j’ai vu » : une force de mort dans le ciel, un vortex au loin. J’imagine que mon rêve était une représentation de 4e densité, mais j’ai tenté de l’interpréter en des termes qui m’étaient familiers. Est-ce bien ce que vous voulez dire ?

R : Pas loin. Mais pour la plupart des gens, il est facile de se perdre en interprétant les prophéties au pied de la lettre.

Q : (L) Avez-vous l’intention de nous livrer davantage d’informations à ce sujet ?

R : OK.

Q : (L) Juste une petite question. Les six de Gulf Breeze, comme on les appelle, qui auraient reçu des informations par le biais d’une planche Ouija, ont-ils reçu des sortes d’informations prophétiques ?

R : Oui.

Q : (L) Et de quelle source ont-ils reçu ces informations ?

R : Mélangé.

Q : (L) Leurs informations étaient-elles exactes ?

R : Mélangé.

Q : (L) Pourquoi ont-ils été emprisonnés, et leur planche et leurs transcriptions confisquées ? [La rumeur voulait qu’ils avaient été arrêtés par l’armée et que leur travail avait été confisqué et classifié.]

R : Paranoïa.

Q : (L) Edgar Cayce s’est taillé l’une des plus solides réputations du siècle pour ses pronostics sur les changements planétaires. Un grand nombre de ses prophéties ne se sont pas réalisées, et peuvent de ce fait paraître erronées. Par exemple, il avait prophétisé que l’Atlantide referait surface en 1969. Or, ça n’a pas été le cas, bien qu’au large des côtes de Bimini, on ait découvert certaines structures que beaucoup considèrent comme des vestiges de l’Atlantide. Il semble qu’elles aient émergé du sable à cette période-là.

R : Exemple d’une forme de symbolisme.

R : (L) Eh bien, en termes de symbolisme, ceci pourrait-il s’appliquer aux remarques que vous avez faites à propos des deux petits garçons qui ont disparu en Caroline du Sud ?

R : Oui.

Q : (L) Et ce symbolisme était que vous interprétiez cet événement de 3e densité en termes de 6e densité, pour nous le retransmettre ensuite en termes de 3e densité ? Et, même si l’idée transmise était exacte, les détails précis, en termes de 3e densité, se trouvaient être légèrement déformés. C’est bien à cela qu’on a affaire ?

R : 99,9 pour cent des gens ne comprendraient pas ce concept. La plupart recherchent toujours une traduction littérale des données. On peut comparer ça à un novice qui visite une galerie d’art, regarde une peinture abstraite et dit qu’il n’y comprend rien.

Q : (L) Bon, ne dénigrons pas les traductions littérales, ou du moins les tentatives pour présenter les choses de façon littérale. J’aime l’art réaliste. Je suis une réaliste dans mes préférences artistiques. J’aime que les arbres ressemblent à des arbres et que les gens n’aient que deux bras et deux jambes. C’est pourquoi j’aime aussi que les prévisions aient une certaine littéralité.

R : Sans excès, ça passe. Mais prudence, car sinon : « La Californie sombrera dans l’océan » sera toujours interprété comme « la Californie sombrera dans l’océan ».

Q : [Brouhaha général] (F) Attendez un instant, quelle était la question ?

(L) J’ai juste dit que j’aimais les prophéties concrètes.

(F) Oh, je vois ce qu’ils veulent dire. Les gens pensent que la Californie fera « splash ! » et que Phoenix se retrouvera sur la côte — qu’importe si cette ville se situe à cinq cents mètres d’altitude, elle s’affaissera tout bonnement jusqu’au niveau de la mer ; ou alors, le niveau de la mer montera, mais cela n’affectera en rien Virginia Beach, qui est pourtant au niveau de la mer ! Je veux dire que… d’une manière ou d’une autre, Phoenix va tout bonnement s’enfoncer sans qu’aucun bâtiment soit endommagé, même si la chute fait cinq-cents mètres…

(T) La chute sera progressive. Il y aura une stabilisation.

(F) Progressive ? Il faudrait que ce soit d’une lenteur invraisemblable !

(T) Ça fait cinq millions d’années que ça stabilise ; il doit y avoir moyen de continuer pendant un an et demi !

(F) Exact ! C’est là où je voulais en venir.

(T) Autrement dit, quand des gens comme Scallion, Sun Bear et d’autres disent que la Californie sombrera dans l’océan, ils ne disent pas que l’État tout entier, dans ses frontières, sombrera ; ils utilisent le terme « Californie » pour indiquer qu’il y a une probabilité de rupture et d’affaissement dans l’océan le long de la faille littorale parce qu’il s’agit d’une ligne de fracture majeure. Nous saisissons qu’il ne faut pas prendre ça au pied de la lettre. Êtes-vous en train de nous dire que ces prédictions en disent plus long qu’on ne le pense ?

R : Oui.

Q : (T) Comprenons-nous bien ce que vous dites ?

R : Dans une certaine mesure.

Q : (T) Donc, quand nous disons que la Californie sombrera dans l’océan, nous ne disons pas littéralement que l’État tout entier s’enfoncera dans l’océan ?

R : De toute manière, en admettant qu’il le fasse, combien de temps cela prendrait-il ?

Q : (LM) Cela pourrait prendre de trois minutes à trois cents ans. (T) Oui. Cela reste « ouvert », comme vous dites.

R : Oui. Mais la plupart de vos prophètes ne pensent pas que ce soit « ouvert ».

Q : (J) Oui, parce qu’ils pensent avoir la seule explication possible. (T) Tout à fait. Ils pensent donc que la Californie peut disparaître entièrement d’une minute à l’autre. C’est bien ce que vous voulez dire ?

R : Ou quelque chose d’approchant.

Q : (T) Donc, quand nous disons : « La Californie sombrera dans l’océan » — c’est juste un exemple ici — nous parlons en fait de l’éventualité de plusieurs séismes le long de la faille, séismes d’une ampleur inconnue…

R : Ou alors, cela pourrait symboliser autre chose.

Q : (L) Comme quoi ? (J) Tous les cinglés de Californie vont tous se mettre à débloquer en même temps. (L) Symboliser quoi ?

R : À vous d’examiner et d’apprendre.

Q : (L) Eh, une minute ! Ça revient à nous demander de traduire un livre écrit en latin sans nous donner de dictionnaire.

R : Non, pas du tout. Nous vous avons demandé d’envisager un réexamen.

Q : (L) Vous nous avez dit qu’un essaim de comètes en interaction avec notre système solaire pénétrait dans le plan de l’écliptique tous les trois mille six cents ans. C’est bien ça ?

R : Oui. Mais cette fois, il sera porté par l’onde-frontière qui vous sépare de la 4e densité, où toutes les réalités sont différentes.

Q : (L) D’accord. Donc l’essaim de comètes est porté par l’onde-frontière de mondes. Cela veut-il dire que quand il atteindra le système solaire, son effet sur ce dernier ou sur ses planètes, pourra ou non être atténué par cette transition ? Est-elle un facteur d’atténuation ?

R : Sera atténué.

Q : (T) Est-ce que c’est de ça dont parle le film de Star Trek Generations ?

R : Possible.

Q : (T) Est-ce que vous, ou quelqu’un dans la Fédération, influencez les scénaristes de ce programme ?

R : Ouvert.

Q : (L) Est-ce que ça veut dire que les changements terrestres qui ont été prédits pourraient en réalité ne pas se produire dans la réalité physique, telle que nous la comprenons ?

R : Et comment !

Q : (L) Alors, ça veut dire que toute cette effervescence, cette agitation dans tous les sens pour s’installer ici ou là, et faire ceci ou cela……

R : Tout ça relève strictement d’un raisonnement de 3e densité.

Q : (L) Bon, si c’est un raisonnement de 3e densité et si tout est en grande partie symbolique, alors j’imagine qu’il s’agit de symboles de mouvements ou de changements d’énergie.

R : Oui.

Q : (L) Cela veut-il dire que, si ces changements énergétiques ont lieu, la population de la planète — peut-être en groupes ou en ensembles de groupes spécifiques — représente ces énergies qui, dans les prophéties, subissent des changements lors d’événements cataclysmiques de grande ampleur ? Pourrait-on voir ça comme un cataclysme de l’âme, individuellement ou collectivement ?

R : Pas loin.

Q : (L) Quand l’énergie évoluera vers la 4e densité — et vous nous avez déjà dit que les gens qui basculeront en 4e densité au moment de la transition vivront une sorte de processus de rajeunissement — il leur poussera une nouvelle dentition, ou autre — qu’arrivera-t-il aux gens qui ne passeront pas en 4e densité, et qui ne savent rien de tout ça ? Seront-ils aussi emmenés sur l’Onde, autrement dit, portés par ceux qui sont conscients et sont déjà en train de changer de fréquence, ou bien iront-ils ailleurs, pour faire autre chose ?

R : Étape par étape.

Q : (T) Autrement dit, nous parlons du fait que ce qui est sur le point d’arriver est une onde qui va permettre à l’espèce humaine de passer en 4e densité ?

R : Et la planète, et tout votre secteur d’espace-temps.

Q : (T) Alors, tout ce plan, c’était pour ça — pour autant que je puisse tous nous compter dedans ! Nous, des êtres de lumière qui nous sommes incarnés ici sous forme humaine, est-ce pour l’Onde que nous ancrons cette fréquence ? Pour qu’assez de monde soit prêt à son arrivée, et que la fréquence soit fixée, de sorte que le changement planétaire puisse se produire de la manière prévue ?

R : Oui.

Q : (L) Quand cela arrivera, est-ce qu’on portera sur notre dos ceux qui seront encore inconscients ?

R : Ouvert.

Q : (T) D’accord. Lorsque les gens parlent de changements terrestres, lorsqu’ils parlent en termes précis de survivants, de morts, de destruction et ainsi de suite, dans la réalité des 3e, 4e et 5e niveaux, il ne s’agit pas de la destruction de la planète en termes physiques de 3e densité, ou de la disparition de quatre-vingt-dix pour cent de la population de 3e densité parce qu’ils sont morts, mais parce qu’ils vont se retrouver en 4e densité ?

R : Ouah ! Tu « chauffes ».

Q : (T) OK. Donc, nous sommes en train d’ancrer cette fréquence. Donc, quand ils parlent de la disparition de quatre-vingt-dix pour cent de la population, ce n’est pas que les gens mourront, mais qu’ils se transformeront. Nous monterons d’un niveau. N’est-ce pas ce que raconte tout ce mouvement Amour et Lumière ?

R : Ou une autre possibilité serait que les cataclysmes physiques ne se produiront que pour ceux qui « resteront en arrière », sur la Terre de 3e densité.

Q : (T) D’accord. Ce que vous êtes en train de dire, c’est que nous sommes en train d’ancrer la fréquence de manière à ce qu’un maximum de gens soient emmenés en 4e densité quand l’Onde arrivera, et qu’ils se libèrent de l’emprise que les « T-shirts Noirs » exercent sur cette planète. Ceux qui resteront en arrière n’auront plus assez d’énergie, de sorte que la planète n’intéressera plus les « T-shirts Noirs ». Ils seront moins nombreux, si bien que la planète pourra se régénérer, et ils pourront poursuivre leurs leçons sans interférences ?

R : Pas loin.

Q : (L) À ce stade de la transition dimensionnelle, ce que nous sommes en train de faire — c’est-à-dire ancrer une fréquence — créera une sorte de réseau de « supercordes » qui créera littéralement une autre Terre en 4e densité, une Terre qui existera alors en 4e densité, en plus de l’ancienne Terre de 3e densité — un peu comme la division d’un organisme unicellulaire, sauf qu’ici, une moitié bascule dans une autre dimension, est énergisée et littéralement créée à partir de la fréquence d’ancrage, tandis que l’autre moitié reste là et fait l’expérience de la réalité de 3e densité ?

R : Étape par étape.

Q : (L) Sommes-nous en train d’ancrer une fréquence pour créer une division ?

R : Développement d’un conduit.

Q : (L) Nous sommes en train de développer un conduit ?

R : Oui. Un.

Q : (J) De combien de conduits avons-nous besoin ?

R : Ouvert.

Q : (T) Ce conduit permettra-t-il à ceux qui resteront en arrière de passer plus facilement en 4e densité quand ils seront prêts ?

R : Non.

Q : (L) À qui ce conduit va-t-il servir ?

R : À vous et à ceux qui vous suivront.

Q : (T) Ah, c’est pour nous autres qui passerons en 4e densité. Nous transiterons et ils nous suivront par le conduit. (J) Oh, d’autres qui sont prêts ?

R : Votre groupe ici ce soir.

Q : (L) Cela implique-t-il que des gens nous suivront ou s’agit-il juste de nous ici et maintenant ?

R : Ouvert. Ça dépend de vous.

Q : (L) Ce conduit… La planète entière transitera-t-elle à travers lui ?

R : Vous en êtes un. Il y en a d’autres.

Q : (L) Il y a d’autres planètes…

R : Non. Conduit.

Q : Nous sommes un conduit et il y en a d’autres…

R : Non. En train de se développer.

Q : (J) Alors, en ce moment, nous sommes en train de développer un conduit ?

R : Oui.

Q : (T) Il y a d’autres groupes sur cette planète qui sont en train de développer leurs propres conduits ?

R : Oui.

Q : (T) Ces conduits nous permettront de passer en 4e densité ?

R : La connaissance est la clé qui permet de développer un conduit.

Q : (T) Je me base sur l’hypothèse que nous tous ici faisons partie de la famille de la lumière. Est-ce le cas ?

R : Oui.

Q : (T) Et nous avons été attirés les uns vers les autres afin de développer ce conduit à partir d’où nous nous trouvons ?

R : Oui.

Q : (T) Y en a-t-il d’autres dans cette région ?

R : Oui.

Q : (T) Sont-ils censés se joindre à nous, ou travaillent-ils de leur côté ?

R : Ouvert.

Q : (T) OK. Donc rien n’est arrêté : nous pouvons nous joindre à eux, ils peuvent se joindre à nous, ou nous pouvons tous travailler indépendamment.

R : Tout dépend de la publicité que vous parviendrez à faire.

Q : (T) Voulons-nous faire de la pub à ce propos ?

R : Ouvert.

Q : (L) Cela nous aiderait-il ?

R : Ouvert.

Q : (T) Nous sommes en train de créer un conduit pour passer de la 3e à la 4e densité. Une fois que nous aurons traversé ce conduit, cela voudra-t-il dire que nous aurons accompli notre « mission » ici-bas, c’est-à-dire ancrer la fréquence ?

R : En partie.

Q : (T) Ce conduit est-il une sorte de sas de secours ?

R : Pas loin.

Q : (L) Récapitulons. Quand nous emprunterons ce conduit, est-ce que les autres…

R : Vous vous retrouverez sur une Terre de 4e densité, par opposition à une Terre de 3e densité.

Q : (L) Ce que j’essaie de faire ici — moi, la Laura pragmatique de toujours — c’est de comprendre tout ça en termes pratiques. Cela veut-il dire qu’une Terre de 4e densité coexistera avec une Terre de 3e densité ? Les deux seront côte à côte ?

R : Pas côte à côte, des mondes totalement différents.

Q : (L) Ces mondes s’interpénétreront, mais seront dans des dimensions différentes…

R : Pas loin.

Q : (L) Donc, en d’autres termes, un être, disons, de 6e densité, pourrait regarder cette planète que nous appelons Terre tournoyer dans l’espace, et voir plusieurs dimensions de cette dernière, et pourtant, le point d’occupation spatio-temporel reste le même, c’est-à-dire que tout est simultané. (J) Ils peuvent regarder en bas, mais nous ne pouvons pas regarder en haut.

R : Oui.

Q : (L) Donc, en d’autres termes, ça veut dire que pendant toute cette activité cataclysmique qui aura lieu sur la Terre de 3e densité, nous nous trouverons sur notre Terre de 4e densité, où tout ça n’aura pas lieu, et nous ne verrons pas les gens de 3e densité, et eux ne nous verront pas, parce que nous serons dans des densités différentes qui ne sont pas « en rapport », pour ainsi dire ?

R : Tu comprends le concept ; maintenant, à toi de décider si c’est factuel.

Fin de la séance
 
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