Séance du 27 juillet 1996

Jacques

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Thanks to the members of the French translation group who have just translated that session.

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Merci aux membres de l'équipe française pour cette traduction.
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Séance du 27 juillet 1996

Participants : «Frank» et Laura

Q : (L) Bonjour.

R : Bonjour.

Q : (L) Et qui est avec nous ce soir ?

R : Wonikha.

Q : (L) Et d'où transmettez-vous ?

R : Cassiopée.

Q : (L) Je m'inquiète pour ma fille. Est-ce qu'elle va bien ? [Elle était sortie plus tard que d'habitude et n'avait pas appelé. J'étais sur les nerfs.]

R : Oui.

Q : (L) Va-t-elle bientôt rentrer à la maison ?

R : Ouvert.

Q : (L) Je me suis beaucoup inquiété pour elle dernièrement.

R : Elle doit vivre ce qu'elle doit vivre.

Q : (L) Et c'est vrai pour tout le monde, même les enfants.

R : En quelque sorte.

Q : (L) Je deviens folle à me poser des tas de questions au sujet d'Ark J. Puis-je vous interroger s'il vous plaît ?

R : Tu peux demander tout ce que tu souhaites.

Q : (L) Eh bien, un jour c'est comme ceci, et je pense savoir ce qui se passe, et le lendemain, on dirait qu'une mouche l'a piqué et l'ambiance change totalement. Pouvez-vous me dire ce qui se passe ?

R : Pourquoi ?

Q : (L) Qu'est-ce que j'ai dit pour qu'il devienne aussi froid envers moi ?

R : Apprends-tu ?

Q : (L) Probablement. Je crois que oui. Mais qu'a-t-il en tête ? Qu'ai-je dit ou fait ?

R : Sans importance.

Q : (L) Qu'est-ce qui est important alors ? Cela a-t-il une quelconque importance ?

R : Tu verras bien.

Q : (L) Que pourrais-je bien demander ? Qu'est-ce qui m'arrive ? Je suis en pleine tourmente émotionnelle... Y a-t-il un rapport avec ce que je perçois comme un lien dans une vie antérieure ?

R : Est-ce que tu apprends lorsque nous te prenons par la main ? Tu as tous les outils nécessaires pour découvrir cela par toi-même.

Q : (L) Eh bien, je pensais que vous étiez l'un de ces outils ! Que vous étiez ici pour nous aider...

R : Mais pas en donnant les réponses aux questions de «Niveau Un».

Q : (L) J'aimerais juste savoir une chose : quelle est la source de cette énergie émotionnelle qui est quasiment en train de me déchirer ? Est-elle extérieure ou intérieure à moi ?

R : La chose que nous aimerions savoir est : où en es-tu dans ton travail de retranscription ?

Q : (L) J'ai relu mes carnets de notes, j'ai fait du tri... Je suis prête à commencer à taper...

R : Les «réponses» s'y trouvent.

Q : (L) Eh bien, je suis tombée sur une remarque, faite il y a presque deux ans, mentionnant que quelque chose allait se produire et que quelqu'un aurait une reconnaissance instantanée, mais que les autres pourraient douter. Pour moi, c'était bien une reconnaissance instantanée. Mais par définition, la reconnaissance signifie connaître quelqu'un à nouveau. Donc je pense que quand vous avez utilisé le terme reconnaissance, vous parliez d'une personne, et pas nécessairement d'un événement.

R : Et apprendre t'aide d'une manière incommensurable.

Q : (L) Une dernière question. S'il existe une question que je pourrais poser et grâce à laquelle je pourrais recevoir un indice, considérez-la comme posée... Je suis déroutée !

R : Déroutée oui, mais pas ballottée.

Q : (L) Donc, je ne suis pas ballottée par les événements, mais déroutée intérieurement.

R : Oui.

Q : (L) Ark me prend-il de l'énergie d'une manière ou d'une autre ? [C'était ce que Frank avait suggéré.]

R : Ouvert.

Q : (L) C'est tout ce que vous pouvez me dire ?

R : Peut-être.

Q : (L) Que pense-t-il de moi, quelles sont ses intentions envers moi ?

R : Non.

Q : (L) Eh bien, vous avez déjà répondu à ce type de question auparavant ! Vous m’avez parlé de tant d’autres gens ! Comment se fait-il que vous ne vouliez pas me répondre à son sujet ?

R : Ce n’est pas approprié.

Q : (L) Pourquoi n’est-ce pas approprié ? J’essaie juste de comprendre ! Je suis complètement chamboulée… s’il vous plaaaaaaaît….

R : Tu verras bien.

Q : (L) Ça présage du bon ou du mauvais ?

R : Ça veut dire : que fait donc Anna avec ces clés ?

Q : (L) De quoi parlez-vous ? Anna n’a aucune clé !? Je suis épuisée, et vous êtes trop abscons. Des indices quant à la conduite que je devrais adopter ? Court-il le moindre danger en envisageant de venir ici ?

R : Pas plus que d’habitude.

Q : (L) Il croit que nous pouvons faire des choses, que c’est possible, que nous pouvons avoir un effet positif [pour l'humanité].

R : Alors concentrez-vous là-dessus !

Q : (L) Eh bien, comment se fait-il que cette autre chose nous ait distraits ? Est-ce une forme d'attaque ?

R : Peut-être.

Q : (L) Eh bien, je ne veux pas lui faire courir le moindre danger.

R : Il y a des pistes.

Q : (L) Y a-t-il quoi que ce soit qu’on puisse faire concernant cette histoire d’ondes gravitationnelles ? Lui aussi s’y intéresse beaucoup.

R : Alors planche dessus avec lui !! Revois les transcriptions et ce qui n’a pas encore été retranscrit.

Q : (L) D'accord. Je vais m'y mettre.

R : Mais lentement.

Q : (L) D'accord, lentement mais sûrement. Je suis fatiguée. Alors bonne nuit et désolée pour cette courte visite.

R : Courte mais agréable. Bonne nuit.

Fin de la séance

Note : Cette question bizarre «que fait Anna avec ces clés» n'avait aucun sens pour moi à l'époque, mais c'était parce que je ne savais pas que la future ex-femme d'Ark se prénommait Anna. J'ai cru que cette remarque concernait ma fille qui porte le même prénom. Cependant, il semble qu'Ark était le «spin doctor», le «super hypnothérapeute» qui détenait les clés pour déverrouiller ce qui se cachait dans mon subconscient.

24 février 1996 :

Q : (L) Eh bien, que peut-elle faire pour maximiser la présence SDA et minimiser l’utilisation SDS du conduit ?

R : Oh Laura, ma chère, apparemment tu as besoin d’une petite séance de révision des transcriptions. Nous te suggérons de les lire, de te relaxer et de réécouter dans ton coin celles que tu n’as pas encore retranscrites. Cela t’aiderait aussi énormément dans tes communications de plus en plus nombreuses sur le «net». Rappelle-toi, nous t’aidons à libérer des réponses qui ont été scellées dans les fichiers de ta supraconscience avant le «temps» de la naissance de ton corps physique. Par ailleurs, de fausses informations sont pires que pas d’information du tout.
Remarquez la référence aux communications par internet en lien avec la «libération» de réponses ; c'est en communiquant sur internet que j'ai rencontré Ark.

24 avril 1996 :

Q : (L) Cela veut-il dire qu’il y a des choses dans lesquelles certains aspects de nous sont impliqués, mais dont nous ne sommes pas conscients ?

R : Pas loin.

Q : (L) Cela arrive-t-il pendant des états de conscience modifiée ou pendant le sommeil ?

R : Pas «arrive» : est arrivé.

Q : (L) C’est arrivé dans le passé ?

R : Laura, il te faudrait consulter un hypnothérapeute très fort, expérimenté et efficace : lui pourrait te donner la clé qui te permettrait de répondre à ces questions.

Q : (L) Je peux faire ça pour Frank, en attendant ? Ça ne m’étonnerait pas que Frank ait sous clé, là-haut, une sacrée pièce du puzzle...

R : Vous deux et d’autres. Les verrous ont été disposés de manière qu’il vous soit littéralement impossible de les faire sauter, car ils ont été installés en pleine connaissance des circonstances présentes.

Q : (L) Qui a installé ces verrous ?

R : Consortium SDS extrêmement puissant !!

Q : (L) Et quelles étaient ces circonstances dont, selon vous, ils étaient conscients lorsqu’ils ont installé ces verrous ?

R : Toutes.

R : (L) Vous êtes les Cassiopéens, n’est-ce pas ?

R : Oui.

Q : (L) Et vous êtes SDA ?

R : Oui.

Q : (L) Et vous nous dites qu’un consortium SDS extrêmement puissant a verrouillé nos connaissances. Ne pouvons-nous pas tout simplement refuser consciemment cette programmation et vous demander ces informations ?

R : Pas possible !

Q : (L) Qu’est-ce qui n’est pas possible ?

R : Ce que tu viens de demander.

Q : (L) Vous voulez dire que nous ne pouvons pas refuser, ou que vous ne pouvez pas nous donner les informations ?

R : Analyse incorrecte.

Q : (L) Donnez-moi l’analyse correcte.

R : Vous ne pouvez pas les débloquer, et nous ne pouvons pas vous donner de détails sur le quoi ni le pourquoi.

Q : (L) Pourquoi ne le pouvez-vous pas ?

R : Viol du libre arbitre, et nous vous mettrions en danger en agissant ainsi.

Q : (L) Y a-t-il un moyen de le faire sans nous mettre en danger ?

R : Nous te l’avons dit.

Q : (L) Y a-t-il danger pour nous à ne pas débloquer ces choses-là ?

R : En un sens.

4 mai 1996 :

R : D’abord, une primeur pour les Adoubés... Refaites votre parcours en détail et méditez, repensez aux voyages en solitaire du passé, et commencez à déterrer des secrets époustouflants. Cela vous mènera à des révélations qui à leur tour ouvriront la porte à une explosion de connaissances inouïe !!

15 juin 1996 :

R : Les ondes instables de gravité sont la clé de secrets enfouis concernant la physique quantique, clé qui rendra le tableau clair comme de l’eau de roche. …

R : La gravité est manipulée par le son lorsque la pensée, manipulée par la gravité, choisit de produire du son, ce qui manipule la gravité.

Q : (L) Le type qui a construit le Château de Corail, est-ce qu’il tourbillonnait dans son siège d’avion tout en échafaudant ses manipulations dans sa tête ?

22 Juin 1996 :

Q : (L) Y a-t-il un point du corps qui peut servir à aider à ouvrir la porte du subconscient ?

R : Ce genre d’aide n’est pas nécessaire. D’abord, nous aimerions te suggérer de rechercher un «spin» doctor, dans le cadre de ta quête !!

Q : (L) Un «spin» doctor pourrait-il être un maître soufi ?

R : Un exemple.

Q : (L) Oui. Nous sommes censés faire plusieurs choses comportant des mouvements giratoires.

R : Hilliard. Leedskallen. Le Château de Corail.

Q : (L) Eh bien, ils insistent vraiment sur cette affaire de gravité.

31 août 1996 :

Q : [Frank se plaint parce que Laura n’arrête pas d’enlever sa main du pointeur pour la laisser reposer sur ses genoux à cause de ses douleurs] (L) Écoute Franck, ça me fait mal, ne serait-ce que rester assise là m’est difficile ! Rends-toi compte que j’ai mal.

R : Rends-toi compte du fait que tu as reçu les clés pour mettre fin à toute cette souffrance.

Q : (L) Quand vous dites «mettre fin à toute cette souffrance», on dirait que vous ne parlez pas seulement de mes douleurs à l’épaule ! Je veux dire, c’est assez suggestif.

R : Oui.
 
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