Thanks to the members of the French translation group who have just translated that session.
Please post your comments in the original session: Session 28 August 1999
Merci aux membres de lâĂ©quipe française pour cette traduction.
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Date de la séance : 28 août 1999
Q : Bonsoir.
R : Bonsoir.
Q : Et qui est avec nous ce soirâ?
R : Kiolorra.
Q : Et dâoĂč transmettez-vousâ?
R : Cassiopée.
Q : Nous avons parlĂ© des Ă©tranges visiteurs de notre site web. Il semble quâil y ait beaucoup dâintĂ©rĂȘt de la part de groupes qui sont liĂ©s aux services de renseignements et aux organisations militaires. Pouvez-vous nous dire quel est leur intĂ©rĂȘt pour notre matĂ©rielâ?
R : Le matériel est en grande partie exact.
Q : Comprennent-ils que ce matĂ©riel est en grande partie exact et est-ce la raison de leur intĂ©rĂȘtâ?
R : Oui.
Q : Devons-nous nous inquiĂ©ter des consĂ©quences de leur intĂ©rĂȘtâ?
R : Si oui, la nĂ©cessitĂ© de sâinquiĂ©ter a commencĂ© avec vos naissances respectivesâ!
Q : Pourquoi lâintĂ©rĂȘt a-t-il commencĂ© avec nos naissancesâ?
R : Ce nâest pas de lâintĂ©rĂȘt dont nous parlons, mais de destinĂ©e.
Q : Eh bien, depuis que nous avons rĂ©organisĂ© le site web, il y a eu beaucoup dâintĂ©rĂȘt. Nous avons donc dĂ©cidĂ© que ce serait une bonne idĂ©e de sortir un livre, car je vois dĂ©jĂ des signes de plagiat sur dâautres sites, et ils prennent des morceaux entiers de notre matĂ©riel et le font passer sur certains des groupes de discussion. Il faut que je mette tout cela en place. Des conseils sur le livreâ? Avez-vous des suggestions ou des ajouts Ă faireâ?
R : Faites attention à la validité des attributions.
Q : Je ne pense pas que ce sera un problĂšme. Autre choseâ?
R : RĂ©sistez Ă lâenvie de vous/nous attribuer le mĂ©rite. Par exemple, si «âvous savez ce qui dĂ©clenche le troubleâ», souhaitez-vous ĂȘtre dans la ligne de mireâ?
Q : Je ne pense pas que ce soit un problĂšme non plus.
R : Oh, mais ça pourrait lâĂȘtreâ!
Q : Maintenant, jâai demandĂ© Ă Terry et Jan de contribuer au livre, et jâaimerais savoir comment les placer dans le contexte ? Pouvez-vous me conseillerâ? Devraient-ils ĂȘtre de simples observateurs et parfois des participantsâ?
R : Oui.
Q : Devraient-ils Ă©galement ĂȘtre dans le contexte de contributeurs importants Ă la rĂ©ception de lâinformationâ?
R : Ouvert.
Q : Jâai remarquĂ©, dâaprĂšs lâaction Ă©nergique lorsquâils Ă©taient prĂ©sents, quâils semblaient presque ĂȘtre un fil de terre, pour ainsi direâ? Serait-ce une Ă©valuation prĂ©ciseâ?
R : Peut-ĂȘtre.
Q : Pouvez-vous donner dâautres indices concernant cette interactionâ?
R : Non.
Q : Est-elle significativeâ?
R :â?
Q : (A) Je pense quâils Ă©taient des participants actifs et animĂ©s.
R : Racontez lâhistoire telle quâelle sâest dĂ©roulĂ©e.
Q : Jâavais pensĂ© limiter lâhistoire et me concentrer sur le matĂ©riel.
R : Le matĂ©riel fait partie de lâhistoire. Les participants le sont aussi.
Q : Quâen est-il de toutes les personnes pĂ©riphĂ©riquesâ?
R : Chacune dâentre elles mĂ©rite dâĂȘtre mentionnĂ©e en fonction de sa contribution/impact.
Q : Bon sangâ! Ce sera une ĂNORME histoire pour raconter tout celaâ!
R : Pas nécessairement.
Q : Jâai ce livre, ce truc de Marcia Schafer : «âConfessions dâune anthropologue intergalactiqueâ», et câest un tas de trucs canalisĂ©sâ; une chose quâelle dit : «âle serpent est associĂ© au signe de la sagesse et de lâapprentissage supĂ©rieur, et il est souvent trĂšs bien considĂ©rĂ© dans les cercles mystiquesâ». Elle a eu une interaction avec un serpent Ă sonnette, pour lequel elle a ressenti de la sympathie, et elle a Ă©galement eu des interactions sympathiques avec des Lizzies. Jâaimerais avoir un commentaire sur lâidĂ©e du serpent comme «âsigne de sagesse et de hautes Ă©tudesâ». Cela reprĂ©sente-t-il vraiment ce que symbolise le serpentâ?
R : Le serpent est/Ă©tait prĂ©sentĂ© dans le contexte du point de vue de lâobservateur.
Q : Vous voulez dire que lorsque le point de vue de lâobservateur est que le serpent est un symbole de lâapprentissage supĂ©rieur, peut-ĂȘtreâŠ
R : Peut-ĂȘtre que lâobservateur a simplement Ă©tĂ© «âĂ©poustouflé⻠par lâexpĂ©rience.
Q : Clarifiez, sâil vous plaĂźt.
R : Si vous viviez dans le dĂ©sert, ou dans la jungle, il y a environ 7 000 ans, tel que vous mesurez le temps, ne seriez-vous pas impressionnĂ©s si ces «âmecsâ» reptoĂŻdes descendaient du ciel dans des objets argentĂ©s et vous faisaient la dĂ©monstration de merveilles technologiques datant de milliers dâannĂ©es dans le futur, et vous apprenaient le calcul, la gĂ©omĂ©trie et lâastrophysique en plusâ?
Q : Est-ce bien ce qui sâest passĂ©â?
R : Ouais.
Q : Eh bien, câest lâun des problĂšmes auxquels je suis confrontĂ©e en essayant dâĂ©crire cette histoire de lâhumanitĂ©. DâaprĂšs ce que je comprends, ou dâaprĂšs ce que jâessaie de comprendre dans la littĂ©rature, avant la «âChute de lâĂdenâ», lâhumanitĂ© vivait dans un Ă©tat de 4e densitĂ©. Est-ce exactâ?
A : Semi. En quelque sorte.
Q : Veuillez ĂȘtre plus prĂ©cis.
R : 4e densité dans un autre monde, comme le continuum espace-temps, etc.
Q : Dâaccord, ce monde a donc changĂ©, dans le cadre du cycleâ; plusieurs choix ont Ă©tĂ© faits : la race humaine a franchi la porte pour aller aprĂšs «âlâorâ», pour ainsi dire, et sâest alignĂ©e sur les Lizzies aprĂšs que «âlâĂ©nergie fĂ©minineâ» se soit alliĂ©e avec le mauvais cĂŽtĂ©, en quelque sorte. VoilĂ ce que vous avez dit. Il en a rĂ©sultĂ© un certain nombre dâeffets : la rupture de lâADN, la combustion des dix premiers brins de lâADN, la sĂ©paration des hĂ©misphĂšres du cerveauâŠ
R : Une seule raison Ă cela : si vous jouez dans la boue, vous allez vous salir.
Q : Quel Ă©tait le facteur de motivation pour jouer dans la saletĂ©â? Quelle est la chose essentielle qui sâest produiteâ? Vous avez dit un jour que câĂ©tait le «âdĂ©sĂ©quilibre basĂ© sur le dĂ©sirâ». CâĂ©tait un dĂ©sir de quoiâ?
R : Une physicalité accrue.
Q : Quel Ă©tait lâobjectif recherchĂ© dans ce dĂ©sir dâune physicalitĂ© accrueâ?
R : Sensation.
Q : Comment les sens ont-ils Ă©tĂ© expĂ©rimentĂ©s pour que ces ĂȘtres aient lâidĂ©e quâils pourraient obtenir plus sâils augmentaient leur physicalitĂ©â?
R : Pas expérimentée, démontrée.
Q : DĂ©montrĂ©e comment, par quiâ?
R : Vous ne savez pasâ?
Q : Elle a Ă©tĂ© dĂ©montrĂ©e par les Lizziesâ?
R : En gros, oui.
Q : DĂ©montrĂ©e de quelle maniĂšreâ? Ont-ils dit : «âTiens, essaie çaâ! Ou ont-ils fait une dĂ©monstration en montrant ou en faisantâ?
R : Plus prÚs de la derniÚre méthode.
Q : Ils faisaient, expĂ©rimentaient, jouaient et disaient : «âRegardez, nous faisons ceci, câest tellement gĂ©nial, venez et essayezâ?
R : Pas vraiment. PlutĂŽt : «âVous pourriez avoir ça.â»
Q : Quâest-ce qui semblait si dĂ©sirable dans cette physicalitĂ© accrue lorsquâils disaient «âvous pouvez avoir ceciâ»â?
R : Utilisez votre imaginationâ!
Q : Y avait-il une comprĂ©hension ou une rĂ©alisation de quelque maniĂšre que ce soit, quâune augmentation de la physicalitĂ© pourrait ĂȘtre comme Osiris attirĂ© dans son propre cercueil par Setâ? Quâils claqueraient ensuite le couvercle et le cloueraientâ?
R : De toute évidence, une telle compréhension faisait défaut.
Q : Quelle bande de naĂŻfsâ! Lâabsence de cette comprĂ©hension reflĂšte-t-elle un manque de connaissanceâ?
R : Bien sĂ»r. Mais plus encore, câest le dĂ©sir qui fait obstacle Ă âŠ
Q : Dâaccord. La «âChuteâ» a eu lieu. Il semble, et certaines Ă©tudes archĂ©ologiques lâindiquent, que pendant plusieurs milliers dâannĂ©es, il y a eu une existence pacifique et une belle sociĂ©tĂ© agraire oĂč la dĂ©esse ou les forces crĂ©atrices fĂ©minines Ă©taient adorĂ©es. Du moins, câest ce que proposent de nombreux livres actuelsâŠ
R : Non. Ces Ă©vĂ©nements ont eu lieu il y a 309 000 ans, comme vous le mesurez. Câest Ă cette Ă©poque que le premier prototype de ce que vous appelez «âlâhomme moderneâ» a Ă©tĂ© créé. Les contrĂŽleurs avaient prĂ©parĂ© les corps, il leur fallait juste la bonne matrice dâĂąme pour accepter de «âsauter dedansâ».
Q : Donc, avant cette Ă©poque, cet Ă©tat Ă©dĂ©nique antĂ©rieurâŠ
R : Ătait plutĂŽt comme la 4e densitĂ©.
Q : Mais cela implique quâil y avait un certain niveau de physicalitĂ©. Y avait-il une physicalitĂ© dans le sens de corps qui ressemblent aux humains actuelsâ?
R : Pas tout Ă fait.
Q : Quâont fait ces prĂ©-chuteâŠ
R : Nous ne pouvons pas rĂ©pondre parce que câest trop complexe pour que vous puissiez comprendre.
Q : Cela signifie-t-il que lâon fait lâexpĂ©rience⊠que les corps dans lesquels nous pourrions entrer en tant quâĂȘtres de 4e densitĂ©, en supposant que ce soit le cas, seraient Ă©galement trop complexes pour que nous puissions les comprendreâ? Vous dites que cette «âsorte dâĂ©tat 4e densité⻠dâavant la Chute, en termes de corps physiques, est trop complexe pour ĂȘtre comprise. Si revenir Ă la 4e densitĂ© est un peu comme venir de la 4e densitĂ©, cela signifie-t-il que ce Ă quoi nous retournerions est quelque chose de trop complexe Ă comprendreâ? Cette variabilitĂ© de physicalitĂ© que vous avez dĂ©criteâ?
R : Oui.
Q : Alors, y avait-il une sorte de culte de Dieu, ou une activitĂ© religieuse dans cet Ă©tat dâavant la Chuteâ; cet Ă©tat Ă©dĂ©nique, de 4e densitĂ©â?
R : Pas besoin lorsque lâon a une idĂ©e de la rĂ©alitĂ©.
Q : Ce que jâessaie de comprendre ici, câest le passage du culte de la dĂ©esse au culte du dieuâ; le passage de la comprĂ©hension du temps cyclique exprimĂ© dans les cycles fĂ©minins, et exprimĂ© en tant que dĂ©esseâ; au concept de temps linĂ©aire, exprimĂ© en tant que principe masculin. Il me semble que ce sont des Ă©tapes dâinversion des concepts qui ont progressivement conduit aux idĂ©es que les Lizzies nous imposent, et semblent travailler dans cette direction depuis des millĂ©naires â lâexpĂ©rience dominatrice qui sâexprime ainsi : croyez en quelque chose dâextĂ©rieur Ă vous-mĂȘme qui vous sauvera, sinon vous ĂȘtes damnĂ©s parce que le monde va sâĂ©crouler, et vous allez ĂȘtre jugĂ©s. Câest le concept que jâessaie de traiter ici. Jâessaie de comprendre ce qui Ă©tait vĂ©nĂ©rĂ©. Dâaccord, nous avons eu ces typesâ; ils sont tombĂ©s de lâĂden, mais ils Ă©taient encore assez proches des concepts originaux, en certains termes. Une fois quâils ont sautĂ© dans les corps physiques, comme vous le dites, quel Ă©tait leur niveau de conceptualisation concernant lâuniversâ? Avaient-ils encore une certaine comprĂ©hension Ă ce moment-lĂ â?
R : Un peu comme la comprĂ©hension que lâon a aprĂšs un grave traumatisme crĂąnien, par rapport Ă votre comprĂ©hension normale dans votre Ă©tat actuel.
Q : Ils ont donc Ă©tĂ© traumatisĂ©sâ; ils ont peut-ĂȘtre eu des bribes dâidĂ©es et des souvenirs, mais ils ont peut-ĂȘtre aussi perdu beaucoup de choses. Il se peut mĂȘme quâil y ait eu une sorte de «âcomaâ» de lâhumanitĂ© pendant plusieurs millĂ©naires. Mais, aprĂšs leur rĂ©veil, avec les bouts et les morceaux flottant dans leur tĂȘte, ils peuvent avoir commencĂ© Ă essayer de tout remettre en place. Alors, ils ont commencĂ© Ă tout reconstituer. Quelle a Ă©tĂ© la premiĂšre chose quâils ont mise en place concernant le cosmos qui les entoureâ?
A : Le sexe.
Q : Quâont-ils dĂ©cidĂ© au sujet du sexeâ? Je veux dire, le sexe Ă©tait lĂ . Ils avaient des relations sexuelles. Câest toutâ? Ou, ont-ils compris le cosmos comme Ă©tant le sexeâ?
R : PlutĂŽt le premier. AprĂšs tout, câest ce qui vous a mis dans ce pĂ©trin en premier lieuâ! Imaginez le travail de vendeur si vous le pouvez : «âRegardez comme câest amusantâ! Vous voulez lâessayer ? !? Oups, dĂ©solĂ©, on a oubliĂ© de vous le dire, vous ne pouvez pas revenir en arriĂšreâ!â»
Q : Je ne comprends vraiment pas â et je sais que câest une question importante Ă laquelle on a fait allusion, et que des affirmations catĂ©goriques ont Ă©tĂ© faites concernant le sexe dans toutes les religions et mythologies â mais je ne comprends pas comment cela peut ĂȘtre lâingĂ©nierie dâune «âchuteâ». Quels sont prĂ©cisĂ©ment ces mĂ©canismesâ? Quelle est lâĂ©nergie produiteâ? Comment est-elle produiteâ? Quelle est la conceptualisation de la mauvaise utilisation de cette Ă©nergie, ou de lâutilisation de lâĂ©nergieâ?
R : Il sâagit simplement de lâintroduction du concept dâauto-gratification dâordre physique.
Q : Vous avez dit Ă de nombreuses reprises que lâidĂ©al est dâavoir un Ă©quilibre parfait entre la physicalitĂ© et lâĂ©thĂ©rĂ©itĂ©. Cela a Ă©tĂ© dit Ă plusieurs reprises. Maintenant, je ne comprends pas comment il se fait que la satisfaction dâun corps physique puisse ĂȘtre la mĂ©canique par laquelle on est piĂ©gĂ© ? Nâest-il pas gratifiant de regarder quelque chose de beauâ? Est-ce mal, un pĂ©chĂ©, ou une forme de chute, de regarder la beautĂ©, dâentendre quelque chose de beau comme de la musique, ou de toucher quelque chose qui est sensuellement dĂ©licieux comme un morceau de soie ou la peau dâun ĂȘtre cherâ? Ces diverses choses dont lâĂȘtre humain tire du plaisir les Ă©lĂšvent trĂšs souvent Ă un Ă©tat spirituel.
R : La possession est la clé.
Q : Que voulez-vous direâ?
R : Dans le SDS, vous possédez.
Q : Câest ce que je dis iciâŠ
R : Si vous vous dĂ©placez Ă travers les belles fleurs, la soie, la peau dâun autre, mais que vous ne cherchez pas Ă possĂ©derâŠ
Q : Il me semble quâil est possible dâexpĂ©rimenter toutes ces choses, y compris le sexe, sans besoin ou dĂ©sir de possĂ©derâ; seulement de donner. Dans ce cas, je ne comprends toujours pas comment cela peut ĂȘtre un mĂ©canisme de «âchuteâ».
R : Si câest dĂ©sirĂ©, alors le mĂ©canisme est de ne pas donner. Mangez-vous un morceau de gĂąteau au chocolat parce quâil est bon Ă donner Ă lâestomacâ?
Q : Eh bien, câest possibleâ!
R : Non, dans le SDS, qui est votre rĂ©alitĂ© nâoubliez pas, on donne Ă cause de la sensation agrĂ©able qui en rĂ©sulte.
Q : Ne pourrait-on pas dire que, si tout ce qui existe fait partie de Dieu, y compris la chair, que si lâon donne Ă la chair, sans ĂȘtre attachĂ© au don, cela pourrait ĂȘtre considĂ©rĂ© comme un don au «âToutâ»â?
R : Expliquez le processus.
Q : Par exemple : il y a des gens qui aiment souffrir, parce quâils croient que la chair est pĂ©cheresse. Câest une grande chose que les Lizzies ont instituĂ©e. Pendant des siĂšcles, ils ont voulu que les gens souffrent, et ils ont fait tout un plat du sexe et que tout ce qui pourrait ĂȘtre considĂ©rĂ© comme agrĂ©able ou dĂ©sirable devrait ĂȘtre refusĂ©, et quâune personne devrait souffrir, et se rĂ©jouir de sa souffrance. Et, en fait, faire quâune personneâŠ
R : Si une personne cherche Ă souffrir, elle le fait dans lâattente dâune rĂ©compense future. Ils dĂ©sirent possĂ©der quelque chose Ă la fin.
Q : Ce que je veux dire, câest que si une personne peut simplement ĂTRE, en faisant et en Ă©tant ce quâelle est, en toute simplicitĂ©â; sâengager Ă tout faire comme une mĂ©ditation, ou comme une consĂ©cration, quâelle marche dans la rue et ne fasse quâun avec lâair, le soleil, les oiseaux, les arbres et les autres personnesâ; dans cet Ă©tat dâunitĂ©, cela ne constitue-t-il pas un don Ă lâunivers, comme se donner soi-mĂȘme comme un canal pour que lâunivers puisse expĂ©rimenter toutes ces chosesâ?
R : Pas si lâon «âressent cette unitĂ©â».
Q : Nous sommes ce que nous sommes. La nature est la nature. La progression est la progression. Et si les gens se dĂ©tendaient et Ă©taient qui et ce quâils sont en toute honnĂȘtetĂ©, et faisaient ce qui est conforme Ă leur nature sans violer le Libre Arbitre des autres, que câest une forme dâĂȘtre plus pure que de faire des choses Ă partir dâun quelconque sentiment dâattente ou de dĂ©sirâ; dâĂTRE simplement, de ne pas vouloir⊠dâĂTRE simplementâ?
R : Oui, mais le SDS ne fait pas cela.
Q : (A) DâoĂč je tire des conclusions : sâil y a des SDS autour de nous, nous ne pouvons pas simplementâŠ
R : Vous ĂȘtes tous des SDS. Si vous ne lâĂ©tiez pas, vous ne seriez pas lĂ oĂč vous ĂȘtes.
Q : (A) Il y a ceux qui sont heureux en mode SDSâ; et il y a ceux qui essaient de sortir du mode SDSâŠ
R : Candidat SDA.
Q : (A) Ces candidats SDA ne peuvent pas simplement ĂTRE, mĂȘme thĂ©oriquement, parce quâalors, les SDS les mangeraient.
R : Non.
Q : Pourquoi pasâ?
R : SDS ne mange pas selon le protocole.
Q : Quâest-ce que cela signifieâ?
R : Quâest-ce que vous pensezâ?
Q : Je nâen ai aucune idĂ©eâ!
R : Le SDS «âmangeâ» tout ce quâil veut, sâil en est capable.
Q : Câest ce que nous avons dit. Si vous ĂȘtes SDA dans un monde SDS, vous ĂȘtes fondamentalement sans dĂ©fense et ils vous mangent.
R : Non.
Q : Pourquoiâ? Quâest-ce qui rend les SDA indisponibles ou «ânon comestiblesâ»â?
R : La frĂ©quence de rĂ©sonance nâest pas synchronisĂ©e.
Q : (A) Mais alors, cela voudrait dire que tous ces gens qui disent que nous devons simplement aimer tout et tout le monde, ont raison. Ils se contentent dâĂȘtre, dâaimer, ne rien faire, de tout donner aux Lizzies⊠ils ont raisonâ!
R : Non, parce que la motivation est SDS.
Q : Comment la motivation Ă aimer tout et tout le monde, et Ă donner, est-elle SDSâ?
R : On se sent bien.
Q : Alors, ils veulent le faire parce quâils se sentent bienâ?
R : Le désir est un concept SDS.
Q : Vous semblez donc suggĂ©rer que le vrai truc est de se dĂ©tacher de tout et de tout le monde, de ne rien faire et de se dissoudre dans le nĂ©antâ? Pas de pensĂ©e, pas de dĂ©sir, pas de faire, pas dâĂȘtre, pas de quoi que ce soitâ!
R : Si vous ĂȘtes SDS, cela ne correspond pas, mais si vous faisiez exactement cela, vous vous rĂ©incarneriez dans un monde SDA, oĂč cette Ă©nergie a sa place.
Q : Mais, si vous ĂȘtes devenu rien, comment vous rĂ©incarnez-vousâ? Et quand vous dites «âse rĂ©incarnerâ», cela implique dâĂȘtre dans un corpsâ!
R : Vous ne devenez pas le néant.
Q : Mais sâincarner, câest ĂȘtre dans un corpsâ?
R : Non.
Q : Vous voulez dire se dĂ©placer dans un monde qui ne signifie pas nĂ©cessairement ĂȘtre dans un corpsâ?
R : Presque. Mais la 4e densité est en partie physique. Elle ne consomme pas et ne possÚde pas.
Q : (A) Cela est contradictoire avec ce que nous faisons. (L) Pourquoi Ă©crire un livre ou faire quoi que ce soitâ? Il nây a pas de raison. Nous devrions simplement nous asseoir, ne rien faire dâautre que contempler notre nombril et ne rien faire. (F) Pourquoi dis-tu celaâ? (L) Parce que faire quoi que ce soit, câest vouloir, avoir besoin, possĂ©der, avoir, et ainsi de suite. (F) Bien sĂ»r, parce que câest un monde SDS. (L) Donc, nous ne devrions rien faire. Nous devrions contempler notre nombril et essayer de nous en sortir et au diable tous les autresâ! (F) Je ne suis pas dâaccord. (L) Sinon, câest contradictoire. Si tu essaies dâaider quelquâun dâautre, ou si tu le fais pour quelquâun dâautre, tu souhaites lâaider. Par consĂ©quent, tu souhaites changer quelque chose⊠(F) Bien sĂ»r, mais câest un monde SDS. (L) Quoi quâil en soit, jâaimerais savoir qui et ce que cette Marcia Schafer canalise. Elle semble canaliser plusieurs sources, ou prĂ©tend le faire. Pouvez-vous me dire qui et quoiâ?
R : Pas encore, car cette question nâest pas encore rĂ©solue. Vous ĂȘtes confus parce que vous semblez penser que vous devez ĂȘtre SDA pour ĂȘtre candidat SDA. Vous ĂȘtes SDS, et vous ne pouvez tout simplement pas ĂȘtre autrement, jusquâĂ ce que vous vous rĂ©incarniez ou vous transformiez au passage de lâOnde.
Q : TrĂšs bien, jâai compris.
R : Mais, est-ce que Ark a comprisâ?
Q : Nous sommes ici, nous sommes ce que nous sommes, et jusquâĂ ce que la frontiĂšre du monde arrive, nous ne pouvons pas ĂȘtre autre chose. (F) Donc, ne vous inquiĂ©tez pas dâĂȘtre SDS. Câest ce que nous sommes tous. Tant que nous mangeons de la nourriture, câest ce que nous sommes. Câest aussi simple que cela. Vous pouvez vous diriger vers SDA, mais vous nâen ĂȘtes pas encore lĂ , et il nây a rien de mal Ă cela. (A) Nous posons une question, et vous rĂ©pondez Ă cette question, et cette rĂ©ponse peut ĂȘtre interprĂ©tĂ©e de diffĂ©rentes maniĂšres. Je ne suis pas sĂ»r de la façon dont cette rĂ©ponse a Ă©tĂ© interprĂ©tĂ©e. La rĂ©ponse Ă©tait : si vous ĂȘtes SDS, la rĂ©ponse ne correspond pas. Je veux dire, sâasseoir et ne rien faire. Si vous ĂȘtes SDS, cela ne correspond pas. Mais si vous faites exactement cela, vous vous rĂ©incarnerez dans un monde SDA oĂč une telle Ă©nergie sâinscrit. Il y a plusieurs interprĂ©tations. Lâune dâentre elles est que si nous faisons exactement cela, nous nous rĂ©incarnons dans un monde SDA oĂč lâĂ©nergie sâadapte, et ce serait la bonne chose Ă faire, parce que nous VOULONS ĂȘtre dans un monde SDA. Donc, une façon sĂ»re dâaller dans un monde SDA est de sâasseoir sous un arbre et de ne rien faire et de contempler son nombril, mais sans trop sâamuser⊠ne rien manger, ne rien dĂ©sirer⊠typique du Zen. Il y a une autre interprĂ©tation possible : si vous faites exactement cela, alors vous vous rĂ©incarnerez dans un monde SDA oĂč une telle Ă©nergie sâintĂšgre, mais il peut y avoir dâautres mondes SDA qui ne sont PAS constituĂ©s de telles Ă©nergies. Donc, il y a peut-ĂȘtre un autre chemin vers un autre monde SDA vers lequel cette Ă©nergie ne va PAS, mais dâautres chemins iraient. (L) Et il y a un autre problĂšme ici : le fait mĂȘme que lâon fasse cela est le dĂ©sir dâaller dans un monde SDAâ! Ce qui empĂȘche dây aller. Si vous dĂ©sirez ĂȘtre SDA, vous ĂȘtes foutuâ! (A) Ne pas lâĂȘtre, câest ce quâenseignent certains professeurs. Le Nirvana. Est-ce quelque chose qui est censĂ© ĂȘtre la seule voie, et est-ce quelque chose que lâon nous encourage Ă suivre parce que ce nâest pas un dĂ©sir, rien. Ou bien, y a-t-il diffĂ©rents mondes SDAâ?
R : Pas des mondes diffĂ©rents, en tant que tels, mais des façons diffĂ©rentes dây parvenir. Vos dĂ©veloppements respectifs vous ont menĂ©s lĂ oĂč vous ĂȘtes.
Q : TrĂšs bien. Je voudrais poser quelques questions rapides sur ces livresâŠ
R : Les livresâ? ConsidĂ©rez-les comme des fragments dâinformations provenant de sources Ă©thĂ©rĂ©es.
Q : Une chose quâelle dit ici : «âLes espĂšces reptiliennes sont un visiteur commun, du moins pour moi. Ils portent toujours un uniforme⊠leur civilisation met lâaccent sur la culture et la formation scolaireâŠâ» Elle Ă©crit Ă©galement quâelle a lu un livre dâun autre homme qui dĂ©crivait ses expĂ©riences avec des crĂ©atures qui Ă©taient «âterriblement similairesâ», bien que ses rencontres nâaient pas Ă©tĂ© avec des ReptoĂŻdes. Elle juge le rĂ©cit de lâautre homme authentique en se basant sur ses propres expĂ©riences, et Ă©tablit en quelque sorte un lien entre cet autre groupe dâaliens et son propre groupe en se basant sur la similitude des noms. Elle dit ensuite que «âcâest une sociĂ©tĂ© trĂšs aimante, et je ne crois pas que la confusion de noms, sâil y en avait une, serait due Ă un humour mal placĂ©â». La conclusion quâelle tire de cette comparaison, basĂ©e sur le nom, est que les ReptoĂŻdes sont une «âsociĂ©tĂ© aimanteâ». Elle dit ici que «âles Gris lâont toujours considĂ©rĂ©e avec amabilitĂ© et lâont bien traitĂ©eâ». Elle dit ici : «âNous avons maintenant beaucoup de contacts avec les AndromĂšdes. Je continue Ă voir un ĂȘtre trĂšs humain qui nous ressemble un peu quand jâessaie de me souvenir de leur image. Ils sont trĂšs avancĂ©s sur le plan scientifique. Beaucoup de gens qui ont un intellect scientifique ou mĂ©dical finement dĂ©veloppĂ© ont des liens avec cette civilisation planĂ©taire. Je dis cela, parce que lorsque je rencontre ces gens, je suis tĂ©lĂ©pathe de leur civilisation. Les AndromĂšdes ont une forte prĂ©senceâŠâ» Eh bien, je suppose quâelle nâest pas consciente que les AndromĂšdes sont trĂšs probablement lâinvention de lâimagination sauvage de quelquâun dâautre aprĂšs avoir empruntĂ© une Ă©norme partie de nos fichiers textesâ!
R : Les loups sâen sortent bien lorsquâils se prĂ©sentent dans des vĂȘtements de mouton.
Q : En dehors de la plupart des absurditĂ©s de ce livre, il y a une chose qui mâa dĂ©rangĂ© : Le 19 mars 1997, elle dit quâelle a eu un enlĂšvement important. Elle remarque que «âje me souviens avoir Ă©tĂ© prĂ©sente Ă une rĂ©union avec des centaines dâautres humains. RĂ©trospectivement, cela me dĂ©range. On nous a dit quâon nous testait pour voir si nous pouvions nous souvenir de la formation spĂ©cifique que nous avions reçue au cours de notre vie pour utiliser leur technologie. Chacun de nous avait un partenaire et on nous a demandĂ© dâactiver un petit vaisseau spatial de trois places. Je ne sais pas ce quâon a dit aux autres, mais je me souviens de ce qui mâest arrivĂ©. Ils avaient beaucoup dâinformations et elles Ă©taient donnĂ©es par morceaux. On mâa informĂ© que je ne serais plus autorisĂ© Ă rejeter ou Ă rĂ©primer mon travail avec dâautres personnes nâappartenant pas Ă cette planĂšte. Ils ont dit que le moment Ă©tait venu, et je devais me souvenir complĂštement. Ils mâont montrĂ© une revue de vie. Ils mâont rĂ©vĂ©lĂ© toutes les visites et les interactions que jâai eues dans cette vie. Alors quâils Ă©taient sur le point de commencer, je me souviens dâavoir eu une vive discussion avec eux. En fait, je me souviens avoir dit : «âPas questionâ! Je ne vais pas vivre ça. RĂ©trospectivement, je trouve cette attitude juvĂ©nile assez drĂŽle que je les ai insultĂ©s. Jâai reçu en retour la rĂ©ponse tĂ©lĂ©pathique : «âHors de questionâ!â» En dâautres termes, je nâavais pas le choix et cela allait arriver. En gĂ©nĂ©ral, mes souhaits Ă©taient dans ce type dâaffaires. Mais pas maintenantâ; ils ont dit quâil Ă©tait temps et quâon allait me mettre en «âactivation complĂšteâ» conformĂ©ment au calendrier, quoi que cela signifieâ».
Il se trouve que cet Ă©vĂ©nement {dĂ©crit ci-dessus dans un extrait du livre} sâest produit Ă peu prĂšs au mĂȘme moment que les principales observations dâOVNI Ă Phoenix, et, si je me souviens bien, vous avez dĂ©clarĂ© Ă lâĂ©poque que les choses se prĂ©paraient vraiment Ă chauffer, bien que nous nâayons pas eu connaissance de ces observations Ă lâĂ©poque, Ă©tant si occupĂ©s Ă faire des allers-retours Ă Gainesville. Vous avez indiquĂ© que cela avait quelque chose Ă voir avec le fait quâArk et moi Ă©tions enfin ensemble et que les premiĂšres Ă©tapes dâun grand destin se mettaient en place.
{Nous avons eu une sĂ©ance dans la nuit du 15, et jâai posĂ© la question de savoir ce qui mâavait rendu si violemment malade la nuit prĂ©cĂ©dente, et pendant plusieurs nuits avant cela, je mâĂ©tais rĂ©veillĂ©e en sursaut et en lutte, sentant des prĂ©sences dans la piĂšce et des choses qui me touchaient. De plus, le soir de cette sĂ©ance, lâaraignĂ©e est descendue sur la table au beau milieu de nos questions sur les protons.}
Y a-t-il un lien entre ce qui se passait avec cette Marcia Schafer et ce qui se passait avec nousâ?
R : Eh bien, il vaut mieux considĂ©rer ce livre, et lâauteur, comme un amalgame de choses lues et de choses imaginĂ©es.
Q : (A) Il y a quelque chose de drĂŽle. Avant, ils ont dit quâils ne pouvaient pas rĂ©vĂ©ler qui cette femme canalisait. (L) Non, ils ne voulaient pas parler du livre Ă cause de lâautre question. Maintenant, Olga Quartidi a des expĂ©riences intĂ©ressantes dans un laboratoire de physique Ă Novossibirsk, en Russie, câest ce quâelle affirme. Elle affirme avoir eu dâautres expĂ©riences intĂ©ressantes avec des chamans dans les montagnes de lâAltaĂŻ. Puis, jâai lu plus tard quâil y avait des preuves archĂ©ologiques que les montagnes de lâAltaĂŻ avaient des traces de civilisation qui remontaient Ă 300 000 ans. Ma question est la suivante : les montagnes de lâAltaĂŻ sont-elles le mĂ©ridien magnĂ©tique que vous nous indiquiez lorsque vous parliez de Novossibirsk et dâIrkoutsk, et cela a-t-il un rapport avec les dĂ©couvertes archĂ©ologiques qui y ont Ă©tĂ© faites Ă peu prĂšs Ă lâĂ©poque oĂč elle vivait des expĂ©riences chamaniques iciâŠ
R : Câest une bonne piste pour vous.
Q : Oui, ce livre a une saveur tout Ă fait diffĂ©rente des autres. (A) Cette histoire quâelle raconte sur ce laboratoire de physique nuclĂ©aire Ă Novossibirsk est-elle une histoire vraieâ?
R : Assez proche.
Q : A-t-elle dĂ©guisĂ© les noms et le lieu prĂ©cisâ?
R : Oui.
Q : (A) Ătait-ce Ă Novossibirskâ?
R : Oui.
Q : (A) Ătait-ce lâInstitut de physique nuclĂ©aireâ?
R : Le nom est proche, mais il y a 12 grandes installations lĂ -bas.
Q : Une des choses quâelle a faites : ils lâont fait entrer dans un tube, dont lâintĂ©rieur Ă©tait poli comme un miroir, et câest dans ce tube que se sont produits tous les trucs de vision et dâaudition de voix. Câest en quelque sorte dans la ligne du psychomantium, Ă une exception prĂšs, elle portait des Ă©couteurs qui bloquaient tout son. Je me suis demandĂ© sâil serait utile ou souhaitable que nous utilisions aussi la technique des Ă©couteurs et de la musique.
R : Dâaccord.
Q : ConsidĂ©rez-vous toujours que lâutilisation du psychomantium est une technique Ă suivreâ?
R : Oui.
Q : Je me suis demandé si le fait de peindre le cadre du miroir en noir pouvait aider.
R : Peut-ĂȘtre.
Q : Pour une raison quelconque, je nâarrive pas Ă me motiver pour le faire. Je ne sais pas pourquoi.
R : Trop de distractions, comme le «âbruit des pieds des enfantsâ».
Q : Je ne peux pas faire grand-chose Ă ce sujetâ! Jâai ici «âMascarade des angesâ» de Carla Turner, lâhistoire de Ted Rice et de toutes ses expĂ©riences. La mĂ©thode utilisĂ©e par Barbara Bartholic pour dĂ©pouiller les souvenirs Ă lâĂ©cran est-elle valable, ou est-il possible quâelle crĂ©e des souvenirs qui nâexistent pas par son approcheâ?
R : Les deux.
Q : Cette idĂ©e qui est sortie avec Ted Rice Ă©tait parfaitement horrible. Il a dit quâil se souvenait que sa grand-mĂšre avait Ă©tĂ© violĂ©e par un reptoĂŻde qui prĂ©tendait ĂȘtre son mari dĂ©cĂ©dĂ©, et quâen gros, les reptoĂŻdes avaient tuĂ© sa grand-mĂšre. Il est venu pour voir toutes ses expĂ©riences psychiques et tout ce qui lui est arrivĂ© comme Ă©tant instituĂ© et contrĂŽlĂ© par les LĂ©zards. Est-ce bien le casâ? Ou bien, avait-il aussi de bons gars qui travaillaient avec luiâ?
R : Le dernier.
Q : A-t-il, en gros, jetĂ© le bĂ©bĂ© avec lâeau du bain Ă cause de son travail avec Bartholicâ?
R : Proche.
Q : Eh bien, il ne semble pas y avoir beaucoup de discernement et de discrimination dans cette foule. Tout est soit noir, soit blanc.
Q : (L) Plusieurs traĂźnĂ©es sombres ont Ă©tĂ© observĂ©es dans le ciel au moment de la rĂ©cente Ă©clipse solaire. Il y a eu beaucoup de commentaires Ă ce sujet sur divers sites Internet, y compris certains sites de «âscience dureâ» astronomique, mais il nây a pas de consensus gĂ©nĂ©ral sur ce quâelles Ă©taient. On a Ă©galement vu des lumiĂšres et des objets Ă©tranges autour du soleil, et plus tard, traversant la surface de la lune. Il y a Ă©galement une discussion en cours sur une sorte «âdâobjet approchantâ» comme sâil y avait un objet anormal dans notre systĂšme solaire qui crĂ©ait cet effet. Maintenant, je me rends compte que vous avez dit auparavant que nous devrions surveiller quelque chose APRĂS la comĂšte Lee, les mots exacts Ă©tant «âMaintenant, vous devez connaĂźtre la composition de cette comĂšte⊠Et de toute autre comĂšte qui la suivrait de prĂšs. Nous avons dĂ©jĂ fait allusion Ă lâaugmentation de lâactivitĂ© comĂ©taire. Oort, et ce qui le perturbe cycliquement. Donc, il semble que ce Ă quoi vous faisiez allusion se manifeste actuellement. Je veux dire que «âsuivre de prĂšsâ» signifie probablement aussi suivre de prĂšs en termes de temps. Et vous avez dit que les comĂštes qui ont Ă©tĂ© perturbĂ©es sâapprocheraient selon un «âschĂ©ma de dispersionâ», ce qui signifierait quâelles viendraient de toutes les directions. Pouvez-vous commenter ces Ă©vĂ©nements actuelsâ?
R : Pas encore.
Q : Pourquoiâ? Y a-t-il quelque chose que nous devrions surveillerâ?
R : Il est prĂ©fĂ©rable de continuer Ă surveillerâŠ
Q : Y a-t-il quelque chose en particulier que nous devrions surveillerâ?
R : Non. Soyez ouverts à toutes les possibilités.
Q : Sommes-nous au bord a) dâune invasion extraterrestreâ; b) dâun impact comĂ©taireâ; c) de lâapparition dâun soleil jumeau, dâune Ă©toile de la mort dans notre systĂšme solaireâ?
R : Attendez et vous verrez.
Q : Je ne veux pas attendre et voirâ! (A) Attendre et voirâ! Quand cela nous frappera, nous le sauronsâ! (L) Laissez-moi vous demander ceciâŠ
R : Quelle glorieuse transition vers la 4e densitĂ© SDA. Avec peut-ĂȘtre un arrĂȘt rapide en 5e pour prendre quelques affaires pour le voyageâ!
Q : Vous voulez dire que nous nous prĂ©parons pour le Big Kahunaâ?
R : Seul Don Ho le sait avec certitude.
Q : Quoiâ?
R : Vous avez bien dit «âKaahunaâ», ouiâ?
Q : Bon, vous avez fait allusion Ă plusieurs reprises, au cours de lâannĂ©e derniĂšre, Ă quelque chose que nous sommes censĂ©s surveiller, que nous sommes censĂ©s «âapprĂ©cier le spectacleâ», et tout ça. Maintenant, vous avez fait cette remarque sur la 5e densitĂ©, oĂč la 3e densitĂ© va Ă la mort. SuggĂ©rez-vous que beaucoup de gens vont mourirâ?
R : Peut-ĂȘtre que nous essayions dâallĂ©ger un peu les chosesâ!
Q : Câest trĂšs bien, mais je veux juste un mot ici, un indice sur ce qui va se passer dans un futur proche et sur lequel vous faites toutes ces allusions⊠juste un indice en un motâ?
R : KABOOMâ!
Q : Maintenant, attendez une minuteâ! Vous ne pouvez pas faire çaâ! Que voulez-vous dire par «âkaboomâ». Jâai changĂ© dâavis, je veux deux motsâ! Un mot de plusâ!
R : SPLAT !
Q : Dâaccord, un mot qui sâapplique Ă nous qui sommes assis juste iciâŠ
R : Floride.
Q : Nous SAVONS que câest la Florideâ! Et un mot qui me donnera un indice sur notre emplacementâ?
R : Câest chaud.
Q : (A) Je suppose que cela veut dire quâil fera chaud ici, mais en toute sĂ©curitĂ©.
R : Dâaccord. Chaud mais sĂ©curitaire, peut-ĂȘtre.
Q : Kaboom et splatâ? Est-ce que cela a un rapport avec ce que vous avez dit Ă propos de C____ lâannĂ©e derniĂšre lorsque jâai demandĂ© si elle avait un plan Ă rĂ©aliser quâelle ne rĂ©alisait pas pour le moment et que vous avez dit «âLe destin interviendraâ». Et lorsque jâai demandĂ© COMMENT le destin allait intervenir, vous avez dit «âVoulez-vous vraiment savoirâ? Alors, jâai dit que je voulais juste un mot comme indice, et vous avez dit : «âCRUNCHâ», câest de cela quâil sâagit iciâ? Pouvons-nous relier ces pointsâ?
R : Oh non, elle est dans les montagnes. Alors bien sĂ»r, elle est en sĂ©curitĂ©â!!!
Q : (A) Elle est en sĂ©curitĂ© parce quâelle est dans les montagnesâ?
R : De lâhumour, les gensâ!
Q : Alors câest un indice Ă lâenversâ?
R : Ouvert.
Q : (A) Je ne sais pas pour quelle raison, mais je veux Ă©crire sur la dĂ©sinformation, ou le mensonge, de Bearden et la tromperie de Richard Hoagland. Je veux les dĂ©noncer. Je ne sais pas si câest une bonne chose, mais lâidĂ©e que je devrais le faire, Ă condition que ce soit fait de maniĂšre appropriĂ©eâŠ
R : Le problĂšme avec M. Hoagland est quâil a Ă©tĂ© trompĂ© par dâautres.
Q : (A) Il a Ă©tĂ© Ă©garĂ© par dâautres, et maintenant il en Ă©garera beaucoup dâautres lui-mĂȘme.
R : Oui.
Q : (A) Je ne sais pas pourquoi, mais dâune maniĂšre ou dâune autre, je veux empĂȘcher cela. La question principale est la suivante : il prend beaucoup dâinformations et propage certaines des idĂ©es qui viennent de Bearden, et qui, pour moi, sont manifestement fausses. Je crois que Bearden sait quâil ment tout simplementâ; sur les Ă©quations de Maxwell, par exempleâ; sur la façon dont les physiciens ont Ă©tĂ© trompĂ©s et sur leur stupiditĂ© et leur ignorance. Ma question est la suivante : en supposant que, parce quâil est presque Ă©vident pour moi, quâil ment et quâil sait quâil ment, pourquoi fait-il celaâ?
R : Peut-ĂȘtre a-t-il Ă©tĂ© payĂ© pour le faire. Ă qui cela profiterait-ilâ? {Mensonges de Hoagland et Bearden.}
Q : (A) Le gouvernement, le gouvernement secret, les LizziesâŠ
R : Oui ouiâŠ
Q : (A) La question suivante est : aurai-je des ennuisâŠ
R : Il vaut mieux le contacter directement, en privé.
Q : (A) Luiâ? Bearden ou Hoaglandâ?
R : Le premier. Hoagland nâa plus le contrĂŽle.
Q : Que rĂ©sulterait-il dâun contact avec Beardenâ? (A) Sâil est payĂ© pour mentir, quâest-ce qui sâensuivraitâ?
R : Si vous le faites bien, vous obtiendrez peut-ĂȘtre une rĂ©ponse Ă©clairĂ©e.
Q : (A) Une rĂ©ponse perspicace possible serait de me persuader de publier ceci. Dâaccord, mais je veux obtenir plus dâinformations sur ce Bearden. Mon hypothĂšse est la suivante : oui, il est payĂ© pour mentirâ; et il nâest pas non plus complĂštement libreâ; nĂ©anmoins, il a une certaine bonne volontĂ©, alors il essaie de mentir de telle maniĂšre queâŠ
R : Oui, mais peu le voient.
Q : (R) Quel effet positif pourrait rĂ©sulter du fait de le contacter et dâĂ©crire Ă ce sujet, Ă supposer que cela soit fait de la bonne maniĂšreâ?
R : En y allant doucement.
Q : (A) Jâai un problĂšme : nous avons ce livre dâOsho. Je lâai lu, et ce texte dit ceci : vous ne devriez pas regarder ce que font les autres, sâils mentent ou quoi que ce soit, parce que vous devriez vous concentrer sur vous-mĂȘme, et sur les choses que vous devriez faire. Observer ses voisins ne fait que dĂ©tourner votre attention de ce que vous devriez faire. Donc, je ne sais pas. (A) Peut-ĂȘtre que mon envie de faire cela est une distractionâ?
R : Câest vrai. La vĂ©ritĂ© expose les mensonges pour ceux qui ont besoin dâapprendre.
Q : Je suppose quâil vaut mieux se contenter de parler de ce qui est bon, juste et vrai, et passer moins de temps Ă souligner ce que font les autres qui sont des mensonges. Ceux qui sont prĂȘts Ă le recevoir, le recevront. Ceux qui veulent croire Hoagland et Bearden, le feront quoi que vous disiez parce quâils veulent croire aux mensonges.
R : Câest vraiâ!
Q : (A) Je ne sais pas ce quâest la vĂ©ritĂ©âŠ
R : Mais vous le saurezâ!
Q : (A) Dâaccord, nous avons terminĂ©. (L) Et les derniers mots, consolation, conseil⊠Je veux dire, vous nous avez en quelque sorte laissĂ©s en planâ!
R : Profitez des événements à venir. Bonne nuit.
Fin de la séance
Please post your comments in the original session: Session 28 August 1999
Merci aux membres de lâĂ©quipe française pour cette traduction.
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Date de la séance : 28 août 1999
Q : Bonsoir.
R : Bonsoir.
Q : Et qui est avec nous ce soirâ?
R : Kiolorra.
Q : Et dâoĂč transmettez-vousâ?
R : Cassiopée.
Q : Nous avons parlĂ© des Ă©tranges visiteurs de notre site web. Il semble quâil y ait beaucoup dâintĂ©rĂȘt de la part de groupes qui sont liĂ©s aux services de renseignements et aux organisations militaires. Pouvez-vous nous dire quel est leur intĂ©rĂȘt pour notre matĂ©rielâ?
R : Le matériel est en grande partie exact.
Q : Comprennent-ils que ce matĂ©riel est en grande partie exact et est-ce la raison de leur intĂ©rĂȘtâ?
R : Oui.
Q : Devons-nous nous inquiĂ©ter des consĂ©quences de leur intĂ©rĂȘtâ?
R : Si oui, la nĂ©cessitĂ© de sâinquiĂ©ter a commencĂ© avec vos naissances respectivesâ!
Q : Pourquoi lâintĂ©rĂȘt a-t-il commencĂ© avec nos naissancesâ?
R : Ce nâest pas de lâintĂ©rĂȘt dont nous parlons, mais de destinĂ©e.
Q : Eh bien, depuis que nous avons rĂ©organisĂ© le site web, il y a eu beaucoup dâintĂ©rĂȘt. Nous avons donc dĂ©cidĂ© que ce serait une bonne idĂ©e de sortir un livre, car je vois dĂ©jĂ des signes de plagiat sur dâautres sites, et ils prennent des morceaux entiers de notre matĂ©riel et le font passer sur certains des groupes de discussion. Il faut que je mette tout cela en place. Des conseils sur le livreâ? Avez-vous des suggestions ou des ajouts Ă faireâ?
R : Faites attention à la validité des attributions.
Q : Je ne pense pas que ce sera un problĂšme. Autre choseâ?
R : RĂ©sistez Ă lâenvie de vous/nous attribuer le mĂ©rite. Par exemple, si «âvous savez ce qui dĂ©clenche le troubleâ», souhaitez-vous ĂȘtre dans la ligne de mireâ?
Q : Je ne pense pas que ce soit un problĂšme non plus.
R : Oh, mais ça pourrait lâĂȘtreâ!
Q : Maintenant, jâai demandĂ© Ă Terry et Jan de contribuer au livre, et jâaimerais savoir comment les placer dans le contexte ? Pouvez-vous me conseillerâ? Devraient-ils ĂȘtre de simples observateurs et parfois des participantsâ?
R : Oui.
Q : Devraient-ils Ă©galement ĂȘtre dans le contexte de contributeurs importants Ă la rĂ©ception de lâinformationâ?
R : Ouvert.
Q : Jâai remarquĂ©, dâaprĂšs lâaction Ă©nergique lorsquâils Ă©taient prĂ©sents, quâils semblaient presque ĂȘtre un fil de terre, pour ainsi direâ? Serait-ce une Ă©valuation prĂ©ciseâ?
R : Peut-ĂȘtre.
Q : Pouvez-vous donner dâautres indices concernant cette interactionâ?
R : Non.
Q : Est-elle significativeâ?
R :â?
Q : (A) Je pense quâils Ă©taient des participants actifs et animĂ©s.
R : Racontez lâhistoire telle quâelle sâest dĂ©roulĂ©e.
Q : Jâavais pensĂ© limiter lâhistoire et me concentrer sur le matĂ©riel.
R : Le matĂ©riel fait partie de lâhistoire. Les participants le sont aussi.
Q : Quâen est-il de toutes les personnes pĂ©riphĂ©riquesâ?
R : Chacune dâentre elles mĂ©rite dâĂȘtre mentionnĂ©e en fonction de sa contribution/impact.
Q : Bon sangâ! Ce sera une ĂNORME histoire pour raconter tout celaâ!
R : Pas nécessairement.
Q : Jâai ce livre, ce truc de Marcia Schafer : «âConfessions dâune anthropologue intergalactiqueâ», et câest un tas de trucs canalisĂ©sâ; une chose quâelle dit : «âle serpent est associĂ© au signe de la sagesse et de lâapprentissage supĂ©rieur, et il est souvent trĂšs bien considĂ©rĂ© dans les cercles mystiquesâ». Elle a eu une interaction avec un serpent Ă sonnette, pour lequel elle a ressenti de la sympathie, et elle a Ă©galement eu des interactions sympathiques avec des Lizzies. Jâaimerais avoir un commentaire sur lâidĂ©e du serpent comme «âsigne de sagesse et de hautes Ă©tudesâ». Cela reprĂ©sente-t-il vraiment ce que symbolise le serpentâ?
R : Le serpent est/Ă©tait prĂ©sentĂ© dans le contexte du point de vue de lâobservateur.
Q : Vous voulez dire que lorsque le point de vue de lâobservateur est que le serpent est un symbole de lâapprentissage supĂ©rieur, peut-ĂȘtreâŠ
R : Peut-ĂȘtre que lâobservateur a simplement Ă©tĂ© «âĂ©poustouflé⻠par lâexpĂ©rience.
Q : Clarifiez, sâil vous plaĂźt.
R : Si vous viviez dans le dĂ©sert, ou dans la jungle, il y a environ 7 000 ans, tel que vous mesurez le temps, ne seriez-vous pas impressionnĂ©s si ces «âmecsâ» reptoĂŻdes descendaient du ciel dans des objets argentĂ©s et vous faisaient la dĂ©monstration de merveilles technologiques datant de milliers dâannĂ©es dans le futur, et vous apprenaient le calcul, la gĂ©omĂ©trie et lâastrophysique en plusâ?
Q : Est-ce bien ce qui sâest passĂ©â?
R : Ouais.
Q : Eh bien, câest lâun des problĂšmes auxquels je suis confrontĂ©e en essayant dâĂ©crire cette histoire de lâhumanitĂ©. DâaprĂšs ce que je comprends, ou dâaprĂšs ce que jâessaie de comprendre dans la littĂ©rature, avant la «âChute de lâĂdenâ», lâhumanitĂ© vivait dans un Ă©tat de 4e densitĂ©. Est-ce exactâ?
A : Semi. En quelque sorte.
Q : Veuillez ĂȘtre plus prĂ©cis.
R : 4e densité dans un autre monde, comme le continuum espace-temps, etc.
Q : Dâaccord, ce monde a donc changĂ©, dans le cadre du cycleâ; plusieurs choix ont Ă©tĂ© faits : la race humaine a franchi la porte pour aller aprĂšs «âlâorâ», pour ainsi dire, et sâest alignĂ©e sur les Lizzies aprĂšs que «âlâĂ©nergie fĂ©minineâ» se soit alliĂ©e avec le mauvais cĂŽtĂ©, en quelque sorte. VoilĂ ce que vous avez dit. Il en a rĂ©sultĂ© un certain nombre dâeffets : la rupture de lâADN, la combustion des dix premiers brins de lâADN, la sĂ©paration des hĂ©misphĂšres du cerveauâŠ
R : Une seule raison Ă cela : si vous jouez dans la boue, vous allez vous salir.
Q : Quel Ă©tait le facteur de motivation pour jouer dans la saletĂ©â? Quelle est la chose essentielle qui sâest produiteâ? Vous avez dit un jour que câĂ©tait le «âdĂ©sĂ©quilibre basĂ© sur le dĂ©sirâ». CâĂ©tait un dĂ©sir de quoiâ?
R : Une physicalité accrue.
Q : Quel Ă©tait lâobjectif recherchĂ© dans ce dĂ©sir dâune physicalitĂ© accrueâ?
R : Sensation.
Q : Comment les sens ont-ils Ă©tĂ© expĂ©rimentĂ©s pour que ces ĂȘtres aient lâidĂ©e quâils pourraient obtenir plus sâils augmentaient leur physicalitĂ©â?
R : Pas expérimentée, démontrée.
Q : DĂ©montrĂ©e comment, par quiâ?
R : Vous ne savez pasâ?
Q : Elle a Ă©tĂ© dĂ©montrĂ©e par les Lizziesâ?
R : En gros, oui.
Q : DĂ©montrĂ©e de quelle maniĂšreâ? Ont-ils dit : «âTiens, essaie çaâ! Ou ont-ils fait une dĂ©monstration en montrant ou en faisantâ?
R : Plus prÚs de la derniÚre méthode.
Q : Ils faisaient, expĂ©rimentaient, jouaient et disaient : «âRegardez, nous faisons ceci, câest tellement gĂ©nial, venez et essayezâ?
R : Pas vraiment. PlutĂŽt : «âVous pourriez avoir ça.â»
Q : Quâest-ce qui semblait si dĂ©sirable dans cette physicalitĂ© accrue lorsquâils disaient «âvous pouvez avoir ceciâ»â?
R : Utilisez votre imaginationâ!
Q : Y avait-il une comprĂ©hension ou une rĂ©alisation de quelque maniĂšre que ce soit, quâune augmentation de la physicalitĂ© pourrait ĂȘtre comme Osiris attirĂ© dans son propre cercueil par Setâ? Quâils claqueraient ensuite le couvercle et le cloueraientâ?
R : De toute évidence, une telle compréhension faisait défaut.
Q : Quelle bande de naĂŻfsâ! Lâabsence de cette comprĂ©hension reflĂšte-t-elle un manque de connaissanceâ?
R : Bien sĂ»r. Mais plus encore, câest le dĂ©sir qui fait obstacle Ă âŠ
Q : Dâaccord. La «âChuteâ» a eu lieu. Il semble, et certaines Ă©tudes archĂ©ologiques lâindiquent, que pendant plusieurs milliers dâannĂ©es, il y a eu une existence pacifique et une belle sociĂ©tĂ© agraire oĂč la dĂ©esse ou les forces crĂ©atrices fĂ©minines Ă©taient adorĂ©es. Du moins, câest ce que proposent de nombreux livres actuelsâŠ
R : Non. Ces Ă©vĂ©nements ont eu lieu il y a 309 000 ans, comme vous le mesurez. Câest Ă cette Ă©poque que le premier prototype de ce que vous appelez «âlâhomme moderneâ» a Ă©tĂ© créé. Les contrĂŽleurs avaient prĂ©parĂ© les corps, il leur fallait juste la bonne matrice dâĂąme pour accepter de «âsauter dedansâ».
Q : Donc, avant cette Ă©poque, cet Ă©tat Ă©dĂ©nique antĂ©rieurâŠ
R : Ătait plutĂŽt comme la 4e densitĂ©.
Q : Mais cela implique quâil y avait un certain niveau de physicalitĂ©. Y avait-il une physicalitĂ© dans le sens de corps qui ressemblent aux humains actuelsâ?
R : Pas tout Ă fait.
Q : Quâont fait ces prĂ©-chuteâŠ
R : Nous ne pouvons pas rĂ©pondre parce que câest trop complexe pour que vous puissiez comprendre.
Q : Cela signifie-t-il que lâon fait lâexpĂ©rience⊠que les corps dans lesquels nous pourrions entrer en tant quâĂȘtres de 4e densitĂ©, en supposant que ce soit le cas, seraient Ă©galement trop complexes pour que nous puissions les comprendreâ? Vous dites que cette «âsorte dâĂ©tat 4e densité⻠dâavant la Chute, en termes de corps physiques, est trop complexe pour ĂȘtre comprise. Si revenir Ă la 4e densitĂ© est un peu comme venir de la 4e densitĂ©, cela signifie-t-il que ce Ă quoi nous retournerions est quelque chose de trop complexe Ă comprendreâ? Cette variabilitĂ© de physicalitĂ© que vous avez dĂ©criteâ?
R : Oui.
Q : Alors, y avait-il une sorte de culte de Dieu, ou une activitĂ© religieuse dans cet Ă©tat dâavant la Chuteâ; cet Ă©tat Ă©dĂ©nique, de 4e densitĂ©â?
R : Pas besoin lorsque lâon a une idĂ©e de la rĂ©alitĂ©.
Q : Ce que jâessaie de comprendre ici, câest le passage du culte de la dĂ©esse au culte du dieuâ; le passage de la comprĂ©hension du temps cyclique exprimĂ© dans les cycles fĂ©minins, et exprimĂ© en tant que dĂ©esseâ; au concept de temps linĂ©aire, exprimĂ© en tant que principe masculin. Il me semble que ce sont des Ă©tapes dâinversion des concepts qui ont progressivement conduit aux idĂ©es que les Lizzies nous imposent, et semblent travailler dans cette direction depuis des millĂ©naires â lâexpĂ©rience dominatrice qui sâexprime ainsi : croyez en quelque chose dâextĂ©rieur Ă vous-mĂȘme qui vous sauvera, sinon vous ĂȘtes damnĂ©s parce que le monde va sâĂ©crouler, et vous allez ĂȘtre jugĂ©s. Câest le concept que jâessaie de traiter ici. Jâessaie de comprendre ce qui Ă©tait vĂ©nĂ©rĂ©. Dâaccord, nous avons eu ces typesâ; ils sont tombĂ©s de lâĂden, mais ils Ă©taient encore assez proches des concepts originaux, en certains termes. Une fois quâils ont sautĂ© dans les corps physiques, comme vous le dites, quel Ă©tait leur niveau de conceptualisation concernant lâuniversâ? Avaient-ils encore une certaine comprĂ©hension Ă ce moment-lĂ â?
R : Un peu comme la comprĂ©hension que lâon a aprĂšs un grave traumatisme crĂąnien, par rapport Ă votre comprĂ©hension normale dans votre Ă©tat actuel.
Q : Ils ont donc Ă©tĂ© traumatisĂ©sâ; ils ont peut-ĂȘtre eu des bribes dâidĂ©es et des souvenirs, mais ils ont peut-ĂȘtre aussi perdu beaucoup de choses. Il se peut mĂȘme quâil y ait eu une sorte de «âcomaâ» de lâhumanitĂ© pendant plusieurs millĂ©naires. Mais, aprĂšs leur rĂ©veil, avec les bouts et les morceaux flottant dans leur tĂȘte, ils peuvent avoir commencĂ© Ă essayer de tout remettre en place. Alors, ils ont commencĂ© Ă tout reconstituer. Quelle a Ă©tĂ© la premiĂšre chose quâils ont mise en place concernant le cosmos qui les entoureâ?
A : Le sexe.
Q : Quâont-ils dĂ©cidĂ© au sujet du sexeâ? Je veux dire, le sexe Ă©tait lĂ . Ils avaient des relations sexuelles. Câest toutâ? Ou, ont-ils compris le cosmos comme Ă©tant le sexeâ?
R : PlutĂŽt le premier. AprĂšs tout, câest ce qui vous a mis dans ce pĂ©trin en premier lieuâ! Imaginez le travail de vendeur si vous le pouvez : «âRegardez comme câest amusantâ! Vous voulez lâessayer ? !? Oups, dĂ©solĂ©, on a oubliĂ© de vous le dire, vous ne pouvez pas revenir en arriĂšreâ!â»
Q : Je ne comprends vraiment pas â et je sais que câest une question importante Ă laquelle on a fait allusion, et que des affirmations catĂ©goriques ont Ă©tĂ© faites concernant le sexe dans toutes les religions et mythologies â mais je ne comprends pas comment cela peut ĂȘtre lâingĂ©nierie dâune «âchuteâ». Quels sont prĂ©cisĂ©ment ces mĂ©canismesâ? Quelle est lâĂ©nergie produiteâ? Comment est-elle produiteâ? Quelle est la conceptualisation de la mauvaise utilisation de cette Ă©nergie, ou de lâutilisation de lâĂ©nergieâ?
R : Il sâagit simplement de lâintroduction du concept dâauto-gratification dâordre physique.
Q : Vous avez dit Ă de nombreuses reprises que lâidĂ©al est dâavoir un Ă©quilibre parfait entre la physicalitĂ© et lâĂ©thĂ©rĂ©itĂ©. Cela a Ă©tĂ© dit Ă plusieurs reprises. Maintenant, je ne comprends pas comment il se fait que la satisfaction dâun corps physique puisse ĂȘtre la mĂ©canique par laquelle on est piĂ©gĂ© ? Nâest-il pas gratifiant de regarder quelque chose de beauâ? Est-ce mal, un pĂ©chĂ©, ou une forme de chute, de regarder la beautĂ©, dâentendre quelque chose de beau comme de la musique, ou de toucher quelque chose qui est sensuellement dĂ©licieux comme un morceau de soie ou la peau dâun ĂȘtre cherâ? Ces diverses choses dont lâĂȘtre humain tire du plaisir les Ă©lĂšvent trĂšs souvent Ă un Ă©tat spirituel.
R : La possession est la clé.
Q : Que voulez-vous direâ?
R : Dans le SDS, vous possédez.
Q : Câest ce que je dis iciâŠ
R : Si vous vous dĂ©placez Ă travers les belles fleurs, la soie, la peau dâun autre, mais que vous ne cherchez pas Ă possĂ©derâŠ
Q : Il me semble quâil est possible dâexpĂ©rimenter toutes ces choses, y compris le sexe, sans besoin ou dĂ©sir de possĂ©derâ; seulement de donner. Dans ce cas, je ne comprends toujours pas comment cela peut ĂȘtre un mĂ©canisme de «âchuteâ».
R : Si câest dĂ©sirĂ©, alors le mĂ©canisme est de ne pas donner. Mangez-vous un morceau de gĂąteau au chocolat parce quâil est bon Ă donner Ă lâestomacâ?
Q : Eh bien, câest possibleâ!
R : Non, dans le SDS, qui est votre rĂ©alitĂ© nâoubliez pas, on donne Ă cause de la sensation agrĂ©able qui en rĂ©sulte.
Q : Ne pourrait-on pas dire que, si tout ce qui existe fait partie de Dieu, y compris la chair, que si lâon donne Ă la chair, sans ĂȘtre attachĂ© au don, cela pourrait ĂȘtre considĂ©rĂ© comme un don au «âToutâ»â?
R : Expliquez le processus.
Q : Par exemple : il y a des gens qui aiment souffrir, parce quâils croient que la chair est pĂ©cheresse. Câest une grande chose que les Lizzies ont instituĂ©e. Pendant des siĂšcles, ils ont voulu que les gens souffrent, et ils ont fait tout un plat du sexe et que tout ce qui pourrait ĂȘtre considĂ©rĂ© comme agrĂ©able ou dĂ©sirable devrait ĂȘtre refusĂ©, et quâune personne devrait souffrir, et se rĂ©jouir de sa souffrance. Et, en fait, faire quâune personneâŠ
R : Si une personne cherche Ă souffrir, elle le fait dans lâattente dâune rĂ©compense future. Ils dĂ©sirent possĂ©der quelque chose Ă la fin.
Q : Ce que je veux dire, câest que si une personne peut simplement ĂTRE, en faisant et en Ă©tant ce quâelle est, en toute simplicitĂ©â; sâengager Ă tout faire comme une mĂ©ditation, ou comme une consĂ©cration, quâelle marche dans la rue et ne fasse quâun avec lâair, le soleil, les oiseaux, les arbres et les autres personnesâ; dans cet Ă©tat dâunitĂ©, cela ne constitue-t-il pas un don Ă lâunivers, comme se donner soi-mĂȘme comme un canal pour que lâunivers puisse expĂ©rimenter toutes ces chosesâ?
R : Pas si lâon «âressent cette unitĂ©â».
Q : Nous sommes ce que nous sommes. La nature est la nature. La progression est la progression. Et si les gens se dĂ©tendaient et Ă©taient qui et ce quâils sont en toute honnĂȘtetĂ©, et faisaient ce qui est conforme Ă leur nature sans violer le Libre Arbitre des autres, que câest une forme dâĂȘtre plus pure que de faire des choses Ă partir dâun quelconque sentiment dâattente ou de dĂ©sirâ; dâĂTRE simplement, de ne pas vouloir⊠dâĂTRE simplementâ?
R : Oui, mais le SDS ne fait pas cela.
Q : (A) DâoĂč je tire des conclusions : sâil y a des SDS autour de nous, nous ne pouvons pas simplementâŠ
R : Vous ĂȘtes tous des SDS. Si vous ne lâĂ©tiez pas, vous ne seriez pas lĂ oĂč vous ĂȘtes.
Q : (A) Il y a ceux qui sont heureux en mode SDSâ; et il y a ceux qui essaient de sortir du mode SDSâŠ
R : Candidat SDA.
Q : (A) Ces candidats SDA ne peuvent pas simplement ĂTRE, mĂȘme thĂ©oriquement, parce quâalors, les SDS les mangeraient.
R : Non.
Q : Pourquoi pasâ?
R : SDS ne mange pas selon le protocole.
Q : Quâest-ce que cela signifieâ?
R : Quâest-ce que vous pensezâ?
Q : Je nâen ai aucune idĂ©eâ!
R : Le SDS «âmangeâ» tout ce quâil veut, sâil en est capable.
Q : Câest ce que nous avons dit. Si vous ĂȘtes SDA dans un monde SDS, vous ĂȘtes fondamentalement sans dĂ©fense et ils vous mangent.
R : Non.
Q : Pourquoiâ? Quâest-ce qui rend les SDA indisponibles ou «ânon comestiblesâ»â?
R : La frĂ©quence de rĂ©sonance nâest pas synchronisĂ©e.
Q : (A) Mais alors, cela voudrait dire que tous ces gens qui disent que nous devons simplement aimer tout et tout le monde, ont raison. Ils se contentent dâĂȘtre, dâaimer, ne rien faire, de tout donner aux Lizzies⊠ils ont raisonâ!
R : Non, parce que la motivation est SDS.
Q : Comment la motivation Ă aimer tout et tout le monde, et Ă donner, est-elle SDSâ?
R : On se sent bien.
Q : Alors, ils veulent le faire parce quâils se sentent bienâ?
R : Le désir est un concept SDS.
Q : Vous semblez donc suggĂ©rer que le vrai truc est de se dĂ©tacher de tout et de tout le monde, de ne rien faire et de se dissoudre dans le nĂ©antâ? Pas de pensĂ©e, pas de dĂ©sir, pas de faire, pas dâĂȘtre, pas de quoi que ce soitâ!
R : Si vous ĂȘtes SDS, cela ne correspond pas, mais si vous faisiez exactement cela, vous vous rĂ©incarneriez dans un monde SDA, oĂč cette Ă©nergie a sa place.
Q : Mais, si vous ĂȘtes devenu rien, comment vous rĂ©incarnez-vousâ? Et quand vous dites «âse rĂ©incarnerâ», cela implique dâĂȘtre dans un corpsâ!
R : Vous ne devenez pas le néant.
Q : Mais sâincarner, câest ĂȘtre dans un corpsâ?
R : Non.
Q : Vous voulez dire se dĂ©placer dans un monde qui ne signifie pas nĂ©cessairement ĂȘtre dans un corpsâ?
R : Presque. Mais la 4e densité est en partie physique. Elle ne consomme pas et ne possÚde pas.
Q : (A) Cela est contradictoire avec ce que nous faisons. (L) Pourquoi Ă©crire un livre ou faire quoi que ce soitâ? Il nây a pas de raison. Nous devrions simplement nous asseoir, ne rien faire dâautre que contempler notre nombril et ne rien faire. (F) Pourquoi dis-tu celaâ? (L) Parce que faire quoi que ce soit, câest vouloir, avoir besoin, possĂ©der, avoir, et ainsi de suite. (F) Bien sĂ»r, parce que câest un monde SDS. (L) Donc, nous ne devrions rien faire. Nous devrions contempler notre nombril et essayer de nous en sortir et au diable tous les autresâ! (F) Je ne suis pas dâaccord. (L) Sinon, câest contradictoire. Si tu essaies dâaider quelquâun dâautre, ou si tu le fais pour quelquâun dâautre, tu souhaites lâaider. Par consĂ©quent, tu souhaites changer quelque chose⊠(F) Bien sĂ»r, mais câest un monde SDS. (L) Quoi quâil en soit, jâaimerais savoir qui et ce que cette Marcia Schafer canalise. Elle semble canaliser plusieurs sources, ou prĂ©tend le faire. Pouvez-vous me dire qui et quoiâ?
R : Pas encore, car cette question nâest pas encore rĂ©solue. Vous ĂȘtes confus parce que vous semblez penser que vous devez ĂȘtre SDA pour ĂȘtre candidat SDA. Vous ĂȘtes SDS, et vous ne pouvez tout simplement pas ĂȘtre autrement, jusquâĂ ce que vous vous rĂ©incarniez ou vous transformiez au passage de lâOnde.
Q : TrĂšs bien, jâai compris.
R : Mais, est-ce que Ark a comprisâ?
Q : Nous sommes ici, nous sommes ce que nous sommes, et jusquâĂ ce que la frontiĂšre du monde arrive, nous ne pouvons pas ĂȘtre autre chose. (F) Donc, ne vous inquiĂ©tez pas dâĂȘtre SDS. Câest ce que nous sommes tous. Tant que nous mangeons de la nourriture, câest ce que nous sommes. Câest aussi simple que cela. Vous pouvez vous diriger vers SDA, mais vous nâen ĂȘtes pas encore lĂ , et il nây a rien de mal Ă cela. (A) Nous posons une question, et vous rĂ©pondez Ă cette question, et cette rĂ©ponse peut ĂȘtre interprĂ©tĂ©e de diffĂ©rentes maniĂšres. Je ne suis pas sĂ»r de la façon dont cette rĂ©ponse a Ă©tĂ© interprĂ©tĂ©e. La rĂ©ponse Ă©tait : si vous ĂȘtes SDS, la rĂ©ponse ne correspond pas. Je veux dire, sâasseoir et ne rien faire. Si vous ĂȘtes SDS, cela ne correspond pas. Mais si vous faites exactement cela, vous vous rĂ©incarnerez dans un monde SDA oĂč une telle Ă©nergie sâinscrit. Il y a plusieurs interprĂ©tations. Lâune dâentre elles est que si nous faisons exactement cela, nous nous rĂ©incarnons dans un monde SDA oĂč lâĂ©nergie sâadapte, et ce serait la bonne chose Ă faire, parce que nous VOULONS ĂȘtre dans un monde SDA. Donc, une façon sĂ»re dâaller dans un monde SDA est de sâasseoir sous un arbre et de ne rien faire et de contempler son nombril, mais sans trop sâamuser⊠ne rien manger, ne rien dĂ©sirer⊠typique du Zen. Il y a une autre interprĂ©tation possible : si vous faites exactement cela, alors vous vous rĂ©incarnerez dans un monde SDA oĂč une telle Ă©nergie sâintĂšgre, mais il peut y avoir dâautres mondes SDA qui ne sont PAS constituĂ©s de telles Ă©nergies. Donc, il y a peut-ĂȘtre un autre chemin vers un autre monde SDA vers lequel cette Ă©nergie ne va PAS, mais dâautres chemins iraient. (L) Et il y a un autre problĂšme ici : le fait mĂȘme que lâon fasse cela est le dĂ©sir dâaller dans un monde SDAâ! Ce qui empĂȘche dây aller. Si vous dĂ©sirez ĂȘtre SDA, vous ĂȘtes foutuâ! (A) Ne pas lâĂȘtre, câest ce quâenseignent certains professeurs. Le Nirvana. Est-ce quelque chose qui est censĂ© ĂȘtre la seule voie, et est-ce quelque chose que lâon nous encourage Ă suivre parce que ce nâest pas un dĂ©sir, rien. Ou bien, y a-t-il diffĂ©rents mondes SDAâ?
R : Pas des mondes diffĂ©rents, en tant que tels, mais des façons diffĂ©rentes dây parvenir. Vos dĂ©veloppements respectifs vous ont menĂ©s lĂ oĂč vous ĂȘtes.
Q : TrĂšs bien. Je voudrais poser quelques questions rapides sur ces livresâŠ
R : Les livresâ? ConsidĂ©rez-les comme des fragments dâinformations provenant de sources Ă©thĂ©rĂ©es.
Q : Une chose quâelle dit ici : «âLes espĂšces reptiliennes sont un visiteur commun, du moins pour moi. Ils portent toujours un uniforme⊠leur civilisation met lâaccent sur la culture et la formation scolaireâŠâ» Elle Ă©crit Ă©galement quâelle a lu un livre dâun autre homme qui dĂ©crivait ses expĂ©riences avec des crĂ©atures qui Ă©taient «âterriblement similairesâ», bien que ses rencontres nâaient pas Ă©tĂ© avec des ReptoĂŻdes. Elle juge le rĂ©cit de lâautre homme authentique en se basant sur ses propres expĂ©riences, et Ă©tablit en quelque sorte un lien entre cet autre groupe dâaliens et son propre groupe en se basant sur la similitude des noms. Elle dit ensuite que «âcâest une sociĂ©tĂ© trĂšs aimante, et je ne crois pas que la confusion de noms, sâil y en avait une, serait due Ă un humour mal placĂ©â». La conclusion quâelle tire de cette comparaison, basĂ©e sur le nom, est que les ReptoĂŻdes sont une «âsociĂ©tĂ© aimanteâ». Elle dit ici que «âles Gris lâont toujours considĂ©rĂ©e avec amabilitĂ© et lâont bien traitĂ©eâ». Elle dit ici : «âNous avons maintenant beaucoup de contacts avec les AndromĂšdes. Je continue Ă voir un ĂȘtre trĂšs humain qui nous ressemble un peu quand jâessaie de me souvenir de leur image. Ils sont trĂšs avancĂ©s sur le plan scientifique. Beaucoup de gens qui ont un intellect scientifique ou mĂ©dical finement dĂ©veloppĂ© ont des liens avec cette civilisation planĂ©taire. Je dis cela, parce que lorsque je rencontre ces gens, je suis tĂ©lĂ©pathe de leur civilisation. Les AndromĂšdes ont une forte prĂ©senceâŠâ» Eh bien, je suppose quâelle nâest pas consciente que les AndromĂšdes sont trĂšs probablement lâinvention de lâimagination sauvage de quelquâun dâautre aprĂšs avoir empruntĂ© une Ă©norme partie de nos fichiers textesâ!
R : Les loups sâen sortent bien lorsquâils se prĂ©sentent dans des vĂȘtements de mouton.
Q : En dehors de la plupart des absurditĂ©s de ce livre, il y a une chose qui mâa dĂ©rangĂ© : Le 19 mars 1997, elle dit quâelle a eu un enlĂšvement important. Elle remarque que «âje me souviens avoir Ă©tĂ© prĂ©sente Ă une rĂ©union avec des centaines dâautres humains. RĂ©trospectivement, cela me dĂ©range. On nous a dit quâon nous testait pour voir si nous pouvions nous souvenir de la formation spĂ©cifique que nous avions reçue au cours de notre vie pour utiliser leur technologie. Chacun de nous avait un partenaire et on nous a demandĂ© dâactiver un petit vaisseau spatial de trois places. Je ne sais pas ce quâon a dit aux autres, mais je me souviens de ce qui mâest arrivĂ©. Ils avaient beaucoup dâinformations et elles Ă©taient donnĂ©es par morceaux. On mâa informĂ© que je ne serais plus autorisĂ© Ă rejeter ou Ă rĂ©primer mon travail avec dâautres personnes nâappartenant pas Ă cette planĂšte. Ils ont dit que le moment Ă©tait venu, et je devais me souvenir complĂštement. Ils mâont montrĂ© une revue de vie. Ils mâont rĂ©vĂ©lĂ© toutes les visites et les interactions que jâai eues dans cette vie. Alors quâils Ă©taient sur le point de commencer, je me souviens dâavoir eu une vive discussion avec eux. En fait, je me souviens avoir dit : «âPas questionâ! Je ne vais pas vivre ça. RĂ©trospectivement, je trouve cette attitude juvĂ©nile assez drĂŽle que je les ai insultĂ©s. Jâai reçu en retour la rĂ©ponse tĂ©lĂ©pathique : «âHors de questionâ!â» En dâautres termes, je nâavais pas le choix et cela allait arriver. En gĂ©nĂ©ral, mes souhaits Ă©taient dans ce type dâaffaires. Mais pas maintenantâ; ils ont dit quâil Ă©tait temps et quâon allait me mettre en «âactivation complĂšteâ» conformĂ©ment au calendrier, quoi que cela signifieâ».
Il se trouve que cet Ă©vĂ©nement {dĂ©crit ci-dessus dans un extrait du livre} sâest produit Ă peu prĂšs au mĂȘme moment que les principales observations dâOVNI Ă Phoenix, et, si je me souviens bien, vous avez dĂ©clarĂ© Ă lâĂ©poque que les choses se prĂ©paraient vraiment Ă chauffer, bien que nous nâayons pas eu connaissance de ces observations Ă lâĂ©poque, Ă©tant si occupĂ©s Ă faire des allers-retours Ă Gainesville. Vous avez indiquĂ© que cela avait quelque chose Ă voir avec le fait quâArk et moi Ă©tions enfin ensemble et que les premiĂšres Ă©tapes dâun grand destin se mettaient en place.
{Nous avons eu une sĂ©ance dans la nuit du 15, et jâai posĂ© la question de savoir ce qui mâavait rendu si violemment malade la nuit prĂ©cĂ©dente, et pendant plusieurs nuits avant cela, je mâĂ©tais rĂ©veillĂ©e en sursaut et en lutte, sentant des prĂ©sences dans la piĂšce et des choses qui me touchaient. De plus, le soir de cette sĂ©ance, lâaraignĂ©e est descendue sur la table au beau milieu de nos questions sur les protons.}
Y a-t-il un lien entre ce qui se passait avec cette Marcia Schafer et ce qui se passait avec nousâ?
R : Eh bien, il vaut mieux considĂ©rer ce livre, et lâauteur, comme un amalgame de choses lues et de choses imaginĂ©es.
Q : (A) Il y a quelque chose de drĂŽle. Avant, ils ont dit quâils ne pouvaient pas rĂ©vĂ©ler qui cette femme canalisait. (L) Non, ils ne voulaient pas parler du livre Ă cause de lâautre question. Maintenant, Olga Quartidi a des expĂ©riences intĂ©ressantes dans un laboratoire de physique Ă Novossibirsk, en Russie, câest ce quâelle affirme. Elle affirme avoir eu dâautres expĂ©riences intĂ©ressantes avec des chamans dans les montagnes de lâAltaĂŻ. Puis, jâai lu plus tard quâil y avait des preuves archĂ©ologiques que les montagnes de lâAltaĂŻ avaient des traces de civilisation qui remontaient Ă 300 000 ans. Ma question est la suivante : les montagnes de lâAltaĂŻ sont-elles le mĂ©ridien magnĂ©tique que vous nous indiquiez lorsque vous parliez de Novossibirsk et dâIrkoutsk, et cela a-t-il un rapport avec les dĂ©couvertes archĂ©ologiques qui y ont Ă©tĂ© faites Ă peu prĂšs Ă lâĂ©poque oĂč elle vivait des expĂ©riences chamaniques iciâŠ
R : Câest une bonne piste pour vous.
Q : Oui, ce livre a une saveur tout Ă fait diffĂ©rente des autres. (A) Cette histoire quâelle raconte sur ce laboratoire de physique nuclĂ©aire Ă Novossibirsk est-elle une histoire vraieâ?
R : Assez proche.
Q : A-t-elle dĂ©guisĂ© les noms et le lieu prĂ©cisâ?
R : Oui.
Q : (A) Ătait-ce Ă Novossibirskâ?
R : Oui.
Q : (A) Ătait-ce lâInstitut de physique nuclĂ©aireâ?
R : Le nom est proche, mais il y a 12 grandes installations lĂ -bas.
Q : Une des choses quâelle a faites : ils lâont fait entrer dans un tube, dont lâintĂ©rieur Ă©tait poli comme un miroir, et câest dans ce tube que se sont produits tous les trucs de vision et dâaudition de voix. Câest en quelque sorte dans la ligne du psychomantium, Ă une exception prĂšs, elle portait des Ă©couteurs qui bloquaient tout son. Je me suis demandĂ© sâil serait utile ou souhaitable que nous utilisions aussi la technique des Ă©couteurs et de la musique.
R : Dâaccord.
Q : ConsidĂ©rez-vous toujours que lâutilisation du psychomantium est une technique Ă suivreâ?
R : Oui.
Q : Je me suis demandé si le fait de peindre le cadre du miroir en noir pouvait aider.
R : Peut-ĂȘtre.
Q : Pour une raison quelconque, je nâarrive pas Ă me motiver pour le faire. Je ne sais pas pourquoi.
R : Trop de distractions, comme le «âbruit des pieds des enfantsâ».
Q : Je ne peux pas faire grand-chose Ă ce sujetâ! Jâai ici «âMascarade des angesâ» de Carla Turner, lâhistoire de Ted Rice et de toutes ses expĂ©riences. La mĂ©thode utilisĂ©e par Barbara Bartholic pour dĂ©pouiller les souvenirs Ă lâĂ©cran est-elle valable, ou est-il possible quâelle crĂ©e des souvenirs qui nâexistent pas par son approcheâ?
R : Les deux.
Q : Cette idĂ©e qui est sortie avec Ted Rice Ă©tait parfaitement horrible. Il a dit quâil se souvenait que sa grand-mĂšre avait Ă©tĂ© violĂ©e par un reptoĂŻde qui prĂ©tendait ĂȘtre son mari dĂ©cĂ©dĂ©, et quâen gros, les reptoĂŻdes avaient tuĂ© sa grand-mĂšre. Il est venu pour voir toutes ses expĂ©riences psychiques et tout ce qui lui est arrivĂ© comme Ă©tant instituĂ© et contrĂŽlĂ© par les LĂ©zards. Est-ce bien le casâ? Ou bien, avait-il aussi de bons gars qui travaillaient avec luiâ?
R : Le dernier.
Q : A-t-il, en gros, jetĂ© le bĂ©bĂ© avec lâeau du bain Ă cause de son travail avec Bartholicâ?
R : Proche.
Q : Eh bien, il ne semble pas y avoir beaucoup de discernement et de discrimination dans cette foule. Tout est soit noir, soit blanc.
Q : (L) Plusieurs traĂźnĂ©es sombres ont Ă©tĂ© observĂ©es dans le ciel au moment de la rĂ©cente Ă©clipse solaire. Il y a eu beaucoup de commentaires Ă ce sujet sur divers sites Internet, y compris certains sites de «âscience dureâ» astronomique, mais il nây a pas de consensus gĂ©nĂ©ral sur ce quâelles Ă©taient. On a Ă©galement vu des lumiĂšres et des objets Ă©tranges autour du soleil, et plus tard, traversant la surface de la lune. Il y a Ă©galement une discussion en cours sur une sorte «âdâobjet approchantâ» comme sâil y avait un objet anormal dans notre systĂšme solaire qui crĂ©ait cet effet. Maintenant, je me rends compte que vous avez dit auparavant que nous devrions surveiller quelque chose APRĂS la comĂšte Lee, les mots exacts Ă©tant «âMaintenant, vous devez connaĂźtre la composition de cette comĂšte⊠Et de toute autre comĂšte qui la suivrait de prĂšs. Nous avons dĂ©jĂ fait allusion Ă lâaugmentation de lâactivitĂ© comĂ©taire. Oort, et ce qui le perturbe cycliquement. Donc, il semble que ce Ă quoi vous faisiez allusion se manifeste actuellement. Je veux dire que «âsuivre de prĂšsâ» signifie probablement aussi suivre de prĂšs en termes de temps. Et vous avez dit que les comĂštes qui ont Ă©tĂ© perturbĂ©es sâapprocheraient selon un «âschĂ©ma de dispersionâ», ce qui signifierait quâelles viendraient de toutes les directions. Pouvez-vous commenter ces Ă©vĂ©nements actuelsâ?
R : Pas encore.
Q : Pourquoiâ? Y a-t-il quelque chose que nous devrions surveillerâ?
R : Il est prĂ©fĂ©rable de continuer Ă surveillerâŠ
Q : Y a-t-il quelque chose en particulier que nous devrions surveillerâ?
R : Non. Soyez ouverts à toutes les possibilités.
Q : Sommes-nous au bord a) dâune invasion extraterrestreâ; b) dâun impact comĂ©taireâ; c) de lâapparition dâun soleil jumeau, dâune Ă©toile de la mort dans notre systĂšme solaireâ?
R : Attendez et vous verrez.
Q : Je ne veux pas attendre et voirâ! (A) Attendre et voirâ! Quand cela nous frappera, nous le sauronsâ! (L) Laissez-moi vous demander ceciâŠ
R : Quelle glorieuse transition vers la 4e densitĂ© SDA. Avec peut-ĂȘtre un arrĂȘt rapide en 5e pour prendre quelques affaires pour le voyageâ!
Q : Vous voulez dire que nous nous prĂ©parons pour le Big Kahunaâ?
R : Seul Don Ho le sait avec certitude.
Q : Quoiâ?
R : Vous avez bien dit «âKaahunaâ», ouiâ?
Q : Bon, vous avez fait allusion Ă plusieurs reprises, au cours de lâannĂ©e derniĂšre, Ă quelque chose que nous sommes censĂ©s surveiller, que nous sommes censĂ©s «âapprĂ©cier le spectacleâ», et tout ça. Maintenant, vous avez fait cette remarque sur la 5e densitĂ©, oĂč la 3e densitĂ© va Ă la mort. SuggĂ©rez-vous que beaucoup de gens vont mourirâ?
R : Peut-ĂȘtre que nous essayions dâallĂ©ger un peu les chosesâ!
Q : Câest trĂšs bien, mais je veux juste un mot ici, un indice sur ce qui va se passer dans un futur proche et sur lequel vous faites toutes ces allusions⊠juste un indice en un motâ?
R : KABOOMâ!
Q : Maintenant, attendez une minuteâ! Vous ne pouvez pas faire çaâ! Que voulez-vous dire par «âkaboomâ». Jâai changĂ© dâavis, je veux deux motsâ! Un mot de plusâ!
R : SPLAT !
Q : Dâaccord, un mot qui sâapplique Ă nous qui sommes assis juste iciâŠ
R : Floride.
Q : Nous SAVONS que câest la Florideâ! Et un mot qui me donnera un indice sur notre emplacementâ?
R : Câest chaud.
Q : (A) Je suppose que cela veut dire quâil fera chaud ici, mais en toute sĂ©curitĂ©.
R : Dâaccord. Chaud mais sĂ©curitaire, peut-ĂȘtre.
Q : Kaboom et splatâ? Est-ce que cela a un rapport avec ce que vous avez dit Ă propos de C____ lâannĂ©e derniĂšre lorsque jâai demandĂ© si elle avait un plan Ă rĂ©aliser quâelle ne rĂ©alisait pas pour le moment et que vous avez dit «âLe destin interviendraâ». Et lorsque jâai demandĂ© COMMENT le destin allait intervenir, vous avez dit «âVoulez-vous vraiment savoirâ? Alors, jâai dit que je voulais juste un mot comme indice, et vous avez dit : «âCRUNCHâ», câest de cela quâil sâagit iciâ? Pouvons-nous relier ces pointsâ?
R : Oh non, elle est dans les montagnes. Alors bien sĂ»r, elle est en sĂ©curitĂ©â!!!
Q : (A) Elle est en sĂ©curitĂ© parce quâelle est dans les montagnesâ?
R : De lâhumour, les gensâ!
Q : Alors câest un indice Ă lâenversâ?
R : Ouvert.
Q : (A) Je ne sais pas pour quelle raison, mais je veux Ă©crire sur la dĂ©sinformation, ou le mensonge, de Bearden et la tromperie de Richard Hoagland. Je veux les dĂ©noncer. Je ne sais pas si câest une bonne chose, mais lâidĂ©e que je devrais le faire, Ă condition que ce soit fait de maniĂšre appropriĂ©eâŠ
R : Le problĂšme avec M. Hoagland est quâil a Ă©tĂ© trompĂ© par dâautres.
Q : (A) Il a Ă©tĂ© Ă©garĂ© par dâautres, et maintenant il en Ă©garera beaucoup dâautres lui-mĂȘme.
R : Oui.
Q : (A) Je ne sais pas pourquoi, mais dâune maniĂšre ou dâune autre, je veux empĂȘcher cela. La question principale est la suivante : il prend beaucoup dâinformations et propage certaines des idĂ©es qui viennent de Bearden, et qui, pour moi, sont manifestement fausses. Je crois que Bearden sait quâil ment tout simplementâ; sur les Ă©quations de Maxwell, par exempleâ; sur la façon dont les physiciens ont Ă©tĂ© trompĂ©s et sur leur stupiditĂ© et leur ignorance. Ma question est la suivante : en supposant que, parce quâil est presque Ă©vident pour moi, quâil ment et quâil sait quâil ment, pourquoi fait-il celaâ?
R : Peut-ĂȘtre a-t-il Ă©tĂ© payĂ© pour le faire. Ă qui cela profiterait-ilâ? {Mensonges de Hoagland et Bearden.}
Q : (A) Le gouvernement, le gouvernement secret, les LizziesâŠ
R : Oui ouiâŠ
Q : (A) La question suivante est : aurai-je des ennuisâŠ
R : Il vaut mieux le contacter directement, en privé.
Q : (A) Luiâ? Bearden ou Hoaglandâ?
R : Le premier. Hoagland nâa plus le contrĂŽle.
Q : Que rĂ©sulterait-il dâun contact avec Beardenâ? (A) Sâil est payĂ© pour mentir, quâest-ce qui sâensuivraitâ?
R : Si vous le faites bien, vous obtiendrez peut-ĂȘtre une rĂ©ponse Ă©clairĂ©e.
Q : (A) Une rĂ©ponse perspicace possible serait de me persuader de publier ceci. Dâaccord, mais je veux obtenir plus dâinformations sur ce Bearden. Mon hypothĂšse est la suivante : oui, il est payĂ© pour mentirâ; et il nâest pas non plus complĂštement libreâ; nĂ©anmoins, il a une certaine bonne volontĂ©, alors il essaie de mentir de telle maniĂšre queâŠ
R : Oui, mais peu le voient.
Q : (R) Quel effet positif pourrait rĂ©sulter du fait de le contacter et dâĂ©crire Ă ce sujet, Ă supposer que cela soit fait de la bonne maniĂšreâ?
R : En y allant doucement.
Q : (A) Jâai un problĂšme : nous avons ce livre dâOsho. Je lâai lu, et ce texte dit ceci : vous ne devriez pas regarder ce que font les autres, sâils mentent ou quoi que ce soit, parce que vous devriez vous concentrer sur vous-mĂȘme, et sur les choses que vous devriez faire. Observer ses voisins ne fait que dĂ©tourner votre attention de ce que vous devriez faire. Donc, je ne sais pas. (A) Peut-ĂȘtre que mon envie de faire cela est une distractionâ?
R : Câest vrai. La vĂ©ritĂ© expose les mensonges pour ceux qui ont besoin dâapprendre.
Q : Je suppose quâil vaut mieux se contenter de parler de ce qui est bon, juste et vrai, et passer moins de temps Ă souligner ce que font les autres qui sont des mensonges. Ceux qui sont prĂȘts Ă le recevoir, le recevront. Ceux qui veulent croire Hoagland et Bearden, le feront quoi que vous disiez parce quâils veulent croire aux mensonges.
R : Câest vraiâ!
Q : (A) Je ne sais pas ce quâest la vĂ©ritĂ©âŠ
R : Mais vous le saurezâ!
Q : (A) Dâaccord, nous avons terminĂ©. (L) Et les derniers mots, consolation, conseil⊠Je veux dire, vous nous avez en quelque sorte laissĂ©s en planâ!
R : Profitez des événements à venir. Bonne nuit.
Fin de la séance