đź“š SĂ©ance du 31 mai 1997

Jacques

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Merci aux membres de l’équipe française pour cette traduction.
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Date de la séance : 31 mai 1997

Participants : Laura, « Frank », Alice

Q : (L) Bon, pour commencer, j’ai une ou deux questions de la part d’Ark, ensuite on passera aux miennes. La première est…

R : Tu n’as pas demandé : « Bonsoir ».

Q : (L) Désolée ! Bonsoir !

R : Un peu pressée, non ?

Q : (L) Et qui est avec nous ce soir ?

R : Zollanah.

Q : (L) Et d’où transmettez-vous ?

R : Cassiopée.

Q : (L) En fait, je ne suis pas vraiment pressée, c’est juste que je veux aborder le plus de choses possibles. Première question : Vous dites que l’EM et la gravité sont entremêlés. Santilli dit que l’EM et la gravité sont identiques. Mais ensuite, il y a la lumière. La lumière est un rayonnement EM. Dans ce cas, comment se fait-il que la gravité – qui est conjuguée à l’électromagnétisme – voyage plus vite que l’EM, c’est-à-dire supplante la vitesse de la lumière ?

R : La gravité ne « voyage » pas.

Q : (L) Eh bien, quand vous dites que la gravité « supplante » la vitesse de la lumière, qu’entendez-vous exactement par là ?

R : La gravité est répartie à parts égales dans tous les mondes simultanément, dans l’espace/temps.

Q : (L) Maintenant, la réponse possible serait que la gravité voyage en tant que phase, tandis que la lumière voyage en tant que « paquet » d’ondes. Est-ce la bonne façon de comprendre ?

R : L’onde de gravité est simplement un « pli » dans le tissu omniprésent ; le facilitateur énergétique de base.

Q : (L) Qu’est-ce qu’un facilitateur de tissu de base ?

R : La gravité est le tissu, et aussi le facilitateur énergétique.

Q : (L) Si la gravité est le tissu, la base, et le facilitateur, qu’est-ce qui est facilité ?

R : Tu as mal compris. Base dans le sens de facilitateur énergétique « basique ».

Q : (L) Comment la gravité facilite… (A) Qu’est-ce qu’elle facilite ?

R : Nous vous avons déjà dit que la gravité était la force fondamentale d’absolument tout !!! Ce qui veut dire à tous les niveaux de densité, dans toutes les dimensions… elle est « l’étoffe » de toute existence. Sans elle, rien n’existerait. Vos pensées prennent elles aussi leur source dans la gravité !!

Q : (L) D’accord, vous avez dit que la lumière est l’expression énergétique de la gravité. Comment la lumière se manifeste-t-elle en 7e densité ?

R : La lumière est la septième densité.

Q : (L) Bon, donc la lumière est la 7e densité. Et vous avez dit que la lumière est l’expression énergétique de la gravité. Et aussi que la gravité est Dieu. Alors, cela veut-il dire également que la lumière est la gravité ?

R : Non.

Q : (L) D’accord, qu’est-ce qui distingue la gravité de la lumière ?

R : Qu’est-ce qui distingue le béton du ciment ?

Q : (L) Eh bien, je n’en suis pas tout à fait sûre. Je crois que le ciment est un truc concentré et que le béton contient du sable, des cailloux, etc, mélangés avec pour qu’il prenne mieux. Et il y a aussi de l’eau. Comment la lumière se manifeste-t-elle en 6e densité ? Pouvez-vous me donner une relation ?

R : Vague.

Q : (L) Je sais que c’est vague ! Vous dites que la lumière est la 7e densité. Vous dites que la gravité est Dieu, et que Dieu et la 7e densité font un, et…

R : Non. La 7e densité est l’« union avec le Un ».

Q : (L) Quelle est la différence entre l’union avec le Un et Dieu ?

R : Dieu est unifié en 7e densité uniquement.

Q : (L) Quand Dieu se « désunifie », ou se « déstabilise », ou se « disperse », où – et je sais que « où » n’est pas le terme approprié – quelle densité se manifeste alors ?

R : Concept totalement erroné.

Q : (L) Quel est le bon concept ?

R : Eh bien, avant tout, Dieu ne se déstabilise pas, ni ne se disperse, d’ailleurs. Débarrasse-toi du concept linéaire intérieur.

Q : (L) D’accord, je m’en débarrasse. Tout est, simplement. En 7e densité, il y a l’union avec le Un. En 6e densité, il y a… quoi ? Un parfait équilibre entre ténèbres et lumière, ou entre être et non-être. C’est bien ça ?

R : Pure conscience pas besoin de physicaliser.

Q : (L) Et je pense qu’il y a les 3 densités éthériques, les 3 densités matérielles, et la densité intermédiaire, la densité physico-éthérique variable…

R : Pas loin.

Q : (L) Et ces densités ne se distinguent que par leur proximité de l’union avec l’Un, est-ce exact ?

R : Proximité ?

Q : (L) Eh bien, vous savez que ce n’est pas ce que je voulais dire… Aidez-moi !

R : Non, tu t’en sors très bien.

Q : (L) Bon. Je vois ça en quelque sorte comme l’image de la réalité perpendiculaire. Le cercle au centre, et les réalités perpendiculaires qui rayonnent à l’infini, pour finir par revenir au centre parce que la gravité au centre les y ramène. Il se passe quelque chose de concentrique, comme dans l’idée des couches d’un atome, qui distingue les couches, ou les états d’être, par rapport à ce centre et ces réalités perpendiculaires. Quel est le niveau des couches, des mondes, quelle est la relation entre la réalité perpendiculaire et sa progression vers l’extérieur qui la distingue, à certains points relatifs, du centre lui-même ? Je comprends que c’est de la conscience, mais le non-être entre aussi en jeu. L’être et le non-être. Quelle est la relation de ces réalités perpendiculaires avec les sept plans d’existence ?

R : Inexact dans l’absolu. La réalité perpendiculaire est la matrice de connaissance/conscience/être. Les mondes ne sont que des divisions empiriques fondées sur des directeurs énergétiques de conscience. ?

Q : (L) Que sont des directeurs énergétiques de conscience ?

R : Compare-toi avec l’hôte de ton arrière-cour. Comment chacun de vous considère-t-il le calcul infinitésimal ?

Q : (L) Eh bien, je ne sais pas exactement ce qu’est le calcul infinitésimal, mais je sais que c’est important. Je n’ai jamais pensé être capable d’apprendre une chose pareille, alors je n’ai pas essayé. Mais je pense que c’est important, et qu’un jour j’en saurai quelque chose. Je suis sûre que non seulement le chien ne pense pas que ce soit utile, mais aussi qu’il n’en a même pas conscience. Quel est le rapport avec les directeurs énergétiques de conscience ?

R : Tout dans la nature recherche l’équilibre. Un jour, pour ainsi dire, « Percy » aura effectivement une opinion sur le calcul infinitésimal.

Q : (L) D’accord, donc les directeurs énergétiques de conscience seraient comme une réalité horizontale liée aux réalités perpendiculaires ?

R : Des fentes, ma chère, des fentes.

Q : (L) Ces fentes sont-elles comparables à l’apparition et la disparition d’électrons dans les couches d’un atome ?

R : Pas la question. Tu tentes encore d’utiliser la conscience de 3e densité pour mesurer les paramètres de réalité de tous les autres niveaux de densité… Autant résoudre la quadrature du cercle ! Dis à Arkadiusz d’avoir confiance dans le fait que les ondes de gravité sont simplement sa voie vers une compréhension supérieure, pas une fin en soi.

Q : (L) Bien, vous avez mentionné ces « fentes ». Que sont-elles, et comment passe-t-on d’une fente à une autre ?

R : Imagine-toi ceci : tu as 7 tailles de billes. Tu as 7 largeurs de fentes. Auxquelles « correspondent » les billes.

Q : (L) Les billes représentent-elles les unités de conscience ?

R : Pas loin. Ou bien, les profils de résonance énergétique des divisions du niveau de conscience.

Q : (L) Ces divisions de conscience croissent-elles et changent-elles ?

R : Oui.

Q : (L) Et elles croissent et changent en acquérant de la connaissance ; c’est bien ça ?

R : En gros.

Q : (L) Et acquérir des connaissances, c’est acquérir de l’énergie ? Ou de la lumière ? De l’énergie lumineuse ?

R : Pas exactement. Cela reviendrait à dire que « faire le plein » à la station-service équivaut à acquérir de la vitesse.

Q : (L) Donc, la connaissance et la lumière sont le carburant pour la voiture, mais la vitesse vient de leur utilisation ?

R : Oui.

Q : (L) Et utilisation veut dire…

R : Application de la connaissance ce qui génère de l’énergie, ce qui, à son tour, génère de la lumière.

Q : (L) Donc, quand l’une des billes est dans une fente, elle fait le plein de carburant ce qui lui permet de passer à une autre fente ?

R : Quoi !?!

Q : (L) Eh bien, j’utilise votre analogie !

R : Non, tu mélanges les analogies !

Q : (L) Laissez-moi revenir en arrière, et restructurer. Nous avons des billes dans des fentes…

R : Qu’est-ce qui fait entrer ces billes dans ces fentes ? Le carburant ?!??

Q : (L) D’accord. Où trouvent-elles le carburant ?

R : Il s’agissait d’une analogie entièrement différente servant uniquement à rétorquer à une supposition erronée, rien de plus !

Q : (L) Laissez-moi encore revenir en arrière. Des billes dans des fentes. Que sont les fentes ?

R : Une analogie pour vous décrire les mondes.

Q : (L) Les billes passent-elles d’une fente à une autre ?

R : Quand, et seulement quand, elles ont atteint la taille adéquate.

Q : (L) Oh. Comment acquièrent-elles la taille adéquate ?

R : Comment le fait-on ?

Q : (L) En grandissant, je suppose ?

R : OK.

Q : (L) Permettez-moi de changer de cap parce que je m’enfonce tellement que je ne sais même plus par quel bout le prendre. Mon cerveau a du mal à faire face. Ark veut savoir si la théorie de 1925-27 est meilleure que les tentatives ultérieures.

R : Meilleure dans le sens d’une moindre corruption politique. Faire face n’est nécessaire que lorsqu’on n’est pas ouvert.

Q : (L) Eh bien, je suis ouverte, mais je dois m’asseoir pour dactylographier ça, et y réfléchir pour savoir quelle direction prendre…

R : Et qu’arrive-t-il quand tu fais cela ?

Q : (L) Eh bien, j’absorbe les informations. Et ça mène à d’autres questions. Cela convient-il ?

R : OK.

Q : (L) J’ai ici cette prétendue lettre envoyée par un certain Carlos Allende au Dr Jessup. Maintenant, que Carlos existe vraiment ou non, ce que je veux savoir, c’est si ces informations sont un tant soit peu véridiques. Est-ce une source d’informations fiable ?

R : N’est-ce pas évident ?

Q : (L) C’est ce que je pensais. Il a dit qu’Einstein avait fait des calculs sur les cycles de civilisation et de progrès humains, les avait comparés à l’évolution de l’homme et de son caractère et son développement en général, et que cela l’avait horrifié. Maintenant, c’est exactement ce que vous m’avez suggéré de faire pour trouver des indices. Et je suis en train de le faire. Ici, il est dit qu’Einstein faisait la même chose. Est-ce exact ?

R : Oui.

Q : (L) Qu’est-ce qui l’a horrifié ?

R : La découverte de la variabilité de la physicalité, et tout ce que cela implique, quand on sait tout ce qu’Einstein savait jusqu’alors.

Q : (L) Donc la 4e densité l’a médusé !

R : Et les autres niveaux de densité. On part du postulat que le monde matériel représente « l’alpha et l’oméga », on découvre que ce n’est pas le cas, et on doit tout repenser.

Q : (L) Donc, Einstein s’est pris ça en pleine poire. Changement de sujet : Ark a du mal à dormir la nuit et à rester éveillé au bureau. Le bâtiment est le numéro 9, mais il y a aussi l’Institut Max Planck juste en face. Est-ce que le problème vient du numéro 9, ou de l’Institut Max Planck ?

R : Eh bien, nous votons pour Max !

Q : (L) Et que font-ils là-bas pour que ça l’affecte ainsi ?

R : Une meilleure question : que font – « ils » en 4e densité pour que ça l’affecte ainsi ?

Q : (L) Puisque c’est une meilleure question, alors que font-ils en 4e densité qui affecte Ark ?

R : Devine.

Q : (L) Est-ce qu’ils l’enlèvent depuis cet immeuble ?

R : Non.

Q : (L) S’agit-il de SDS ou de SDA ?

R : SDS.

Q : (L) Sont-ils en train de le bombarder avec certaines modulations de fréquence ?

R : Pas loin.

Q : (L) Pourquoi est-ce plus efficace dans ce bâtiment qu’au sous-sol ou à son hôtel ?

R : À cause de Max.

Q : (L) OK, il se passe des choses dans ce bâtiment, et ils s’en servent pour bombarder Ark. Et ils y font aussi d’autres choses ?

R : Oui.

Q : (L) Pouvez-vous me dire quoi ?

R : Non.

Q : (L) Font-ils autre chose à Ark ?

R : Oui.

Q : (L) Pouvez-vous me le dire ?

R : Altération de la chimie du corps.

Q : (L) Dans quel sens y a-t-il altération de la chimie du corps ?

R : Facteurs d’ondes cérébrales.

Q : (L) Peut-il faire quelque chose pour se protéger ?

R : Il va bientĂ´t quitter cet endroit.

Q : (L) Mais en attendant son départ, combien de torts peuvent-ils lui causer ?

R : Probablement pas beaucoup.

Q : (L) Y a-t-il d’autres mesures qu’il pourrait prendre, à part rester dans la bibliothèque ou à l’hôtel ?

R : Bonne idée !

Q : (L) Quoi d’autre ?

R : Une petite rasade de whisky par jour pourra l’aider.

Q : (L) Ça alors, en voilà une réflexion bizarre ! Une rasade de whisky ?! Ça équilibrera la chimie de son cerveau ?

R : Dans une certaine mesure.

Q : (L) Et cette altération de sa chimie cérébrale est censée faire quoi ?

R : Lui embrouiller l’esprit.

Q : (L) Eh bien, je crois que ça marche. D’autres suggestions ? Allez, nous sommes vous dans le passé ! Aidez-nous, là !

R : Alors tu sauras dans le « futur ».

Q : (L) Bon, eh bien, puisque je sais dans le futur, pourquoi est-ce que je ne révèle pas à mon moi du passé les choses qui pourraient aider, hormis rester à l’hôtel ou au sous-sol et boire un verre de whisky par jour ?

R : Pas nécessaire.

Q : (L) Et vous n’allez pas nous dire ce qu’ils sont en train de faire à l’Institut Max Planck ?

R : Pour paraphraser Carlos Allende : « Si vous le saviez, le choc vous tuerait ».

Q : (L) Ce n’est pas sympa ! Je ne veux pas entendre des choses qui ne sont pas sympa. Vous m’avez tellement effrayée maintenant que je ne veux même pas savoir si le chemin que je suis en train de suivre – mes recherches sur l’Histoire et tout le reste – vaut le coup ou a une quelconque utilité.

R : Oh, tu parles que si !!!!!

Q : (L) Ces recherches historiques vont-elles progressivement m’amener à cette connaissance qui me fera « mourir sous le choc » ?

R : Peut-ĂŞtre.

Q : (L) D’après ce que j’ai découvert sur les Canaries, une étrange icône est apparue sur l’île bien avant la conquête, bien avant l’arrivée des premiers missionnaires ou des Européens. Les natifs étaient de grands blonds. Ils disaient qu’ils savaient que cette icône était divine parce qu’aussitôt après son apparition sur la plage, il y avait eu des processions d’anges ou d’êtres divins ; des lumières, des parfums, des psalmodies, des chants, etc. Comment la statue de la Vierge de Candelaria est-elle arrivée sur la plage de Tenerife ?

R : Téléportation.

Q : (L) Qui l’a téléportée là ?

R : Les « Celtes ».

Q : (L) Celtes dans le sens de druides ?

R : Ou dans le sens d’Atlantes.

Q : (L) Bon, vous avez dit auparavant que les Atlantes n’étaient pas celtes, est-ce exact ?

R : Non.

Q : (L) Les Atlantes étaient celtes ?

R : Les « Celtes, druides » et ainsi de suite ne sont que des désignations tardives.

Q : (L) Revenons en arrière. Vous avez dit que les Celtes venaient de Kantek. Ils ont été transportés par les Lizzies… amenés ici, c’est bien ça ?

R : Oui.

Q : (L) Quand les Lizzies ont fait ça, combien de Celtes ont-ils amenés ici physiquement ?

R : Des centaines de millions.

Q : (L) Combien de temps, selon nos mesures, a-t-il fallu pour emmener ces Celtes sur cette planète ? Ou est-ce toujours en cours ?

R : Eh bien, selon vos mesures, disons environ une semaine.

Q : (L) Les ont-ils transportés dans des vaisseaux, une sorte de structure ? Est-ce à dire qu’ils les ont embarqués, les ont déplacés en 4e densité, puis les ont fait réémerger ici, en 3e densité, ou quelque chose comme ça ?

R : Pas loin.

Q : (L) Et ils les ont débarqués dans la région du Caucase, c’est bien ça ?

R : Et les régions alentours.

Q : (L) Et c’était il y a quoi, 79 ou 80 mille ans ?

R : Plus de 80 000.

Q : (L) De ce que je comprends, l’Atlantide était déjà une civilisation bien avancée à cette époque, non ?

R : Oui, mais les régions changent avec les vagues d’immigration, ou de conquêtes… regardez vos propres terres.

Q : (L) Vous avez aussi dit une fois qu’il y avait eu une guerre nucléaire en Inde, que c’était ce dont parlent les Védas quand ils évoquent des gens « à la peau bleue », qui n’étaient pas vraiment bleus, parce que c’étaient des Celtes, et qu’ils volaient dans des aéronefs et étaient engagés dans cette guerre, etc. Contre qui les Celtes étaient-ils en guerre ?

R : Les Paranthas.

Q : (L) Eh, attendez une minute ! Qui sont les Paranthas ?! Avons-nous un nouvel acteur ici ?

R : Pas nouveau.

Q : (L) Les connaissons-nous sous un autre nom ?

R : Choisis.

Q : (L) Les Atlantes ? Les Celtes d’Inde étaient-ils en guerre contre les Atlantes de l’Atlantique ?

R : L’Atlantide était un simple port d’attache d’une civilisation avancée de 3 races humaines occupants différentes parties d’un énorme empire insulaire qui, en soi, connut 3 incarnations sur une période de 100 000 ans, tel que vous le mesureriez.

Q : (L) Les 3 races étaient celtes… quelles étaient les seconde et troisième ?

R : Ou des Kantekkiens.

Q : (L) Les Kantekkiens diffèrent-ils des Celtes ?

R : Seulement au sens d’un métissage racial et génétique sur le long cours.

Q : (L) Donc, il y avait des Kantekkiens en Atlantide, et qui d’autre ?

R : Une race que vous appelleriez « Amérindiens », et une troisième qui n’existe plus qui ressemblait un peu aux aborigènes australiens ou guinéens, mais de teint plus clair.

Q : (L) Ce groupe a-t-il été détruit par les deux autres ?

R : L’un des 3 cataclysmes.

Q : (L) Paranthas. Qui étaient les Paranthas ?

R : Nation d’une race mentionnée précédemment.

Q : (L) Donc, les Paranthas étaient les ancêtres des Aborigènes d’Australie ?

R : Oui, et compare-les aux peuples d’Inde, du Pakistan, du Sri Lanka, d’Australie, et de Nouvelle-Guinée qui existent aujourd’hui pour les similitudes, en gardant à l’esprit le brassage et la dilution génétiques.

Q : (L) Les Védas ont-ils été écrits par les Paranthas ou les Celtes ?

R : Descendants de Parantha, sous « guidance Divine ».

Q : (L) Ça explique beaucoup de choses. J’y réfléchissais justement l’autre jour. Si ces populations en Inde sont liées aux Celtes, comme les philologues voudraient nous le faire croire en raison des racines linguistiques, je n’arrive absolument pas à le comprendre car ils ne leur ressemblent tout simplement en rien… Bon, je crois que vous avez dit que cette guerre nucléaire avait eu lieu il y a environ 50 000 ans. Nous avons traité quelques points : on a 3 races en Atlantide, des Celtes partout… les Celtes ont-ils conquis les Atlantes ?

R : Non.

Q : (L) Ils se sont simplement pointés et ont traîné dans le coin ?

R : Ils ont pris le contrĂ´le de la partie septentrionale.

Q : (L) En même temps, il y avait des Celtes dans le Caucase, le long de la Baltique, en Irlande, en Angleterre, et en Europe…

R : L’Irlande, Angleterre, etc., c’était plus tard.

Q : (L) Mais ils étaient dans les pays scandinaves, comme la Suède, la Norvège et le Danemark, ils étaient le long de la Baltique, et dans le Caucase ?

R : Certaines des régions évoquées étaient recouvertes de glace.

Q : (L) Quand les philologues retracent les racines linguistiques, ils aboutissent à la région de Kourgan, au nord et à l’ouest du Caucase. Est-ce là que les Celtes sont allés quand l’Atlantide a été détruite ?

R : Pas loin.

Q : (L) Les Celtes étaient-ils les grands blonds connus sous le nom de « fils d’Anak » qui ont gouverné les Sumériens, comme le dépeint Sitchin ?

R : Les « Celtes » sont ce qui reste du prototype d’origine.

Q : (L) D’accord. Des Kantekkiens. Quand est-ce que…

R : Les différences gravitationnelles expliquent la différence de taille.

Q : (L) Quand les Kantekkiens, ou les Celtes, ou qui sais-je, sont-ils arrivés aux îles Canaries ?

R : Il y a 12 000 ans.

Q : (L) Sont-ils arrivés directement d’Atlantide ?

R : Pas loin.

Q : (L) D’où ?

R : Désorientés par le traumatisme.

Q : (L) Qu’est-ce que ça veut dire ?

R : Devine.

Q : (L) Venaient-ils de sous la terre ?

R : Certains.

Q : (L) Appartenaient-ils à la race souterraine ?

R : Non, Laura. À quel « traumatisme » penses-tu que nous faisons référence ??

Q : (L) L’essaim cométaire ? Le déluge de Noé ?

R : Assez proche.

Q : (L) Quand les Celtes, ou les Kantekkiens, ont-ils élu résidence pour la première fois dans les îles britanniques ?

R : Idem. Il y a 12 000 ans.

Q : (L) Les Pictes étaient-ils aussi celtes ?

R : Non, Atlantes. N’oublie pas que « Celte » est une désignation tardive.

Q : (L) Les Pictes étaient-ils des Kantekkiens ?

R : À l’origine.

Q : (L) Est-ce qu’Abraham était un Kantekkien ? Est-ce que l’histoire d’Abraham c’est l’histoire des Kantekkiens amenés sur Terre ?

R : Non.

Q : (L) Abraham était-il un Kantekkien ou d’origine kantekkienne ?

R : Cette dernière. Mais, vous aussi.

Q : (L) Les Juifs qui ont été génétiquement conçus puis implantés au Moyen-Orient… en quelle année était-ce ?

R : Il y a 130 000 ans.

Q : (L) Bon Sang ! Sont-ils parvenus à conserver une pureté raciale pendant aussi longtemps ?

R : Non.

Q : (L) Cayce parle de la division, en Atlantide, entre les « Fils de la Loi de Un » et les « Fils de Bélial ». S’agissait-il d’une division raciale, ou d’une division philosophique/religieuse ?

R : Ces deux dernières, et auparavant, la première.

Q : (L) Quand la division était raciale, de quel groupe s’agissait-il ?

R : Les Fils de BĂ©lial Ă©taient les Kantekkiens.

Q : (L) Eh bien ! Ça, ce n’est pas bon !

R : Subjectif… vous n’êtes pas des corps, vous êtes des âmes.

Q : (L) Vous avez dit être en contact avec un groupe depuis qu’ils étaient sur Kantek. Ce groupe, est-ce que ce sont les druides ?

R : Non. Nous ne vous dirons pas encore qui ils sont.

Q : (L) Bon, j’en suis venue à la conclusion que les rosicruciens n’étaient que l’incarnation moderne des druides. Je veux dire, les druides ont disparu et peu de temps après, les rosicruciens ont fait leur apparition…

R : Partiellement.

Q : (L) En général, Jules César appliquait une politique de tolérance religieuse. La seule exception semble avoir concerné les druides. Il était déterminé à les éliminer. Pourquoi ?

R : Leurs pouvoirs mystérieux.

Q : (L) D’où tiraient-ils ces pouvoirs mystérieux ?

R : Transmission de connaissance.

Q : (L) Les « êtres angéliques » apparus aux Canaries étaient-ils des druides ou des rosicruciens ?

R : Ils étaient de 4e densité.

Q : (L) Étaient-ils SDS ou SDA ?

R : Les deux.

Q : (L) Les SDS et les SDA se fréquentent ?

R : Est-ce que vous fréquentez tous les types de créatures habitant votre plan ?

Q : (L) Mais ces êtres en procession que les Guanches ont vus sur l’île, ils étaient SDS ou SDA ?

R : Les deux.

Q : (L) Vous voulez dire qu’ils voyaient les uns, puis les autres ?

R : Pas loin.

Q : (L) D’accord. Quelque chose m’ennuie, c’est la propension des Celtes/Kantekkiens à conserver les têtes. Plusieurs explications sont proposées mais aucune ne me paraît vraiment cohérente. C’était quasiment génétique chez eux de couper les têtes de leurs ennemis et leurs héros…

R : Pourquoi serrez-vous les mains ?

Q : (L) Quand on rencontre quelqu’un ?

R : Non. Nous voulons dire pour prier.

Q : (L) Oh là là ! Vous voulez dire qu’ils coupaient les têtes pour engranger de l’énergie négative ? Le pouvoir ?

R : Originellement.

Q : (L) Donc, c’est vraiment comme dans cette série à la télévision : The Highlander. C’est ce que vous voulez dire ?

R : Fais des recherches pour trouver la réponse. Et sur ce…

Q : (L) Mais j’ai plein d’autres questions ! Je n’ai pas fini !

R : Bonne nuit…

Fin de la séance
 
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