đź“š SĂ©ance du 4 janvier 1997

Jacques

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Thanks to the members of the French translation group who have just translated that session.

Please post your comments in the original session: Session 4 January 1997

Merci aux membres de l’équipe française pour cette traduction.
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Date de la séance : 4 janvier 1997

Participants : «Frank», Laura, Terry, Jan

Q : (L) Bonsoir.

R : Bonsoir.

Q : (L) Quel nom allons-nous utiliser ce soir ?

R : Njorrg.

Q : (L) [Tentative de prononciation]

R : Pron : Ny or g ; «Ni or dji».

Q : (L) OK ! D’où transmettez-vous ?

R : Cassiopée.

Q : (L) Puisque nous étions en train d’en parler, puis-je poser des questions sur Kryeon ?

R : Si vous le souhaitez.

Q : (L) Peut-on être plus précis ? La source Kryeon vient-elle d’une densité supérieure ?

R : La «source» de la plupart des choses dans votre densité vient, d’une manière ou d’une autre, d’une densité supérieure.

Q : (L) D’accord, je comprends ça, mais ce que je voudrais savoir, c’est si cette source particulière est un être d’une densité supérieure qui se fait appeler Kryeon ?

R : Déduis comme bon te semble !

Q : (J) Si vous me passez l’expression, il faut considérer la source. (L) Ce soir, en écrivant une réponse à Jim, l’ami d’Ark, et en réfléchissant à la meilleure façon de lui répondre, il m’est venu à l’esprit qu’il est très étrange que Val me réclamait, quasiment en suppliant, chaque séance que j’avais retranscrite ; je les lui envoyais au fur et à mesure et il appelait toutes les semaines pour en discuter. Et puis soudain, silence, aucune réponse. Et pratiquement la semaine après notre dernier contact, il a sorti Alex Collier et ses Andromédiens. Et c’est drôle, car j’ai repensé l’autre jour au fait qu’Andromède est la fille de Cassiopée ! Le truc, c’est que dans les transmissions des Andromédiens, il y a un noyau d’information qui est très semblable, mais qui est enveloppé dans de la camelote de 3e densité. Est-il possible que la raison à cette étrange interaction soit que les transmissions que je lui ai envoyées ont été, disons, empruntées ?

R : Il faut considérer les influences dérivées de nos messages envers vous comme de plus en plus dues à votre large partage de ces derniers.

Q : (L) Bon, je ne désapprouve pas… Je souhaite que les gens aient ces messages, donc ça ne me gêne pas vraiment…

R : Bien, peut-être, mais… la possibilité de corruption augmente d’autant plus !

Q : (L) Bon, c’est manifestement vrai si on considère les trucs qui me reviennent à propos de l’Onde. Mais tout ce que j’écris sur internet est daté, donc c’est assez simple à retracer. Nous avons quelques questions. Les physiciens parlent d’univers multidimensionnels. Leur idée est que notre espace tridimensionnel et notre temps unidimensionnel sont des illusions perçues par les êtres du plat pays ; l’univers aurait en réalité davantage de dimensions, perpendiculaires à celles susmentionnées. Les physiciens diffèrent dans leurs estimations : 5, 6, 7, 11, 256. Combien de dimensions le vrai univers a-t-il ?

R : Concept inexact. Devrait être : combien d’univers la «vraie» dimension a-t-elle ?

Q : (L) Très bien, alors. Il me semble qu’au cours d’une séance précédente, vous nous avez dit que les univers étaient indénombrables. Est-ce exact ?

R : Infinis, peut-être, mais plus précisément : variables et discriminants.

Q : (L) Est-ce à dire qu’il peut y en avoir plus à un moment, et moins à un autre ?

R : Non.

Q : (L) Cela veut-il dire qu’on peut choisir n’importe quel univers potentiel, n’importe quand, comme celui qui sera «mesuré» ? (T) Non, le concept du «jukebox» se rapporte au temps. Pourriez-vous expliquer «variables et discriminants» ?

R : Ceux qui savent comment s’y prendre ont la possibilité de créer des univers à volonté afin de trans-modifier la fusion des réalités.

Q : (L) Qu’est-ce que la fusion des réalités ?

R : Que cela vous évoque-t-il ?

Q : (T) La fusion des réalités d’un univers avec celles d’un autre ? La création d’une nouvelle réalité, qui est ensuite fusionnée avec l’ancienne pour créer un nouvel univers. (L) Peut-être cela veut-il dire que les réalités de différentes personnes fusionnent pour créer une sorte d’«univers mutuel» ? Comme dans le concept «on crée sa propre réalité» ?

R : Terry est plus proche ; Laura est «à l’Ouest».

Q : (L) Question suivante : les Cassiopéens, les Andromédiens et d’autres parlent de «densités». Nous sommes censés vivre en 3e densité. Ce nombre 3 a-t-il quelque chose à voir avec les 3 dimensions de l’espace ?

R : Pas loin. À savoir : Définition originelle plus proche d’un 3e niveau d’expérience, en lien avec le spectre matériel/éthérique ; mais leur subconscient étant influencé par la connexion de la mémoire de l’âme aux archives akashiques, les habitants du locateur Terre en sont venus à parler de «3e dimension».

Q : (L) Jim parle de dimensions, de densités, et d’états. Qu’en est-il des états ? (T) Oui, il y a la Géorgie et l’Arkansas… non, ça, ce n’est pas vraiment un état…

R : Tu as oublié le pauvre petit Rhode Island ! Tss-tss ! Humour !

Q : (L) D’accord, le terme «état» fait-il référence à un état d’être que des entités peuvent connaître ?

R : À ce sujet, consulte des manuels de psychologie pour davantage d’information, si le cœur t’en dit, car c’est le seul domaine où ce terme s’applique.

Q : (L) Bon, à partir d’une formule quelque peu obscure, Jim aboutit à un nombre de 384 dimensions. Il dit aussi que ces dimensions diffèrent par leur entropie et que la dimension juste après la nôtre est une dimension supraconductrice, qu’il y a des dimensions d’obscurité et de lumière, et des dimensions où le temps avance et d’autres où le temps recule. Indépendamment du fait qu’on a déjà réglé le problème du nombre de dimensions…

R : Nous suggérons à Jim de créer l’univers correspondant.

Q : (L) D’accord, les densités diffèrent-elles par leur entropie ?

R : Non, mais peut-être par «atrophie».

Q : (L) Et existe-t-il des densités supraconductrices ?

R : ???

Q : (L) Voulez-vous dire qu’on doit le découvrir par nous-mêmes ? Existe-t-il des densités d’obscurité et de lumière ?

R : Cette direction n’est pas productive pour votre quête.

Q : (T) Eh bien, ce Jim ne semble pas saisir l’idée que le temps n’est pas une dimension mais juste une variable localisée. (L) Les C’s ont dit un jour que la 4e densité «va à la vitesse de la lumière». Je crois me souvenir que vous avez dit qu’il n’y avait pas de vitesse de la lumière, car la «vitesse» est un concept de 3e densité.

R : S’il vous plaît… on s’égare ! Dites à Ark qu’en physique, l’«éther» est la tentative de la science matérialiste terrienne d’aborder l’éther. L’ennui est qu’il n’y a tout simplement aucun moyen de «physicaliser» un plan d’existence entièrement constitué de conscience. C’est l’union du parfait équilibre entre les deux «états», ou plans, qui est le fondement et l’essence de toute création/réalité. L’un ne va pas sans l’autre !

Q : (L) Quand vous dites «les deux états ou plans», vous parlez de l’état physique et de l’état de conscience…

R : Oui.

Q : (L) Et l’un ne va pas sans l’autre. L’état de conscience et l’état d’existence physique sont à ce point connectés que tous deux sont infinis ? L’un ne peut exister sans l’autre…

R : Oui, connectés, entrelacés, liés… Fusionnés.

Q : (T) Une structure de l’univers grâce à laquelle les niveaux tiennent ensemble… tout est relié. La conscience de 6e densité est en parfaite liaison et en parfait équilibre avec la 3e densité, avec le niveau quasi physique de la 4e densité, avec les niveaux entièrement physiques des densités 1 à 3, avec le Tout — le UN de la 7e — et avec la 5e (quoi que cela puisse être). (L) Il y a quatre niveaux d’expression physique, pour ainsi dire, depuis le niveau 1, totalement dense et où la conscience est minimale, à…

R : Oui, mais les scientifiques terriens ont été programmés à croire qu’aucune chose ne peut exister si elle n’est pas mesurable, estimable, quantifiable et représentée d’une manière ou d’une autre dans le plan matériel, physique. C’est faux !!!!!!! Par exemple : nous ne sommes EN RIEN physiques.

Q : (L) Eh bien, je voudrais aussi savoir pourquoi vous faites référence, sous le nom de «remolécularisateur transdimensionnel», à ce procédé technologique censé transporter quelqu’un d’une densité vers une autre ?

R : Pour reconstruire la 3e densité dans la 4e densité physique, il faut utiliser d’autres dimensions. Souvenez-vous : nous parlons de répliques exactes, lesquelles sont fusionnées.

Q : (L) Mais vous avez dit, il y a peu, qu’il n’y avait qu’une seule dimension et de nombreux univers, et maintenant vous parlez d’utiliser une autre dimension : la terminologie devient un peu confuse… (T) C’est comme de charger un programme sur un ordinateur. Certains programmes se chargent directement. Mais pour d’autres, il faut créer un espace libre sur le disque dur pour y placer les fichiers qui permettent de charger le programme, sans qu’ils fassent pour autant partie du programme. Une fois le chargement terminé, le programme efface les «instructions de chargement». Le disque dur est toujours le disque dur, mais pendant un temps le programme a utilisé un secteur du disque dur et créé une dimension temporaire, disons. (L) Est-ce à cela que nous avons affaire ?

R : Pas loin. Et rappelez-vous que nous avons parlé de «vraie» dimension !

Q : (L) C’est donc comme un disque dur, avec de nombreux programmes qui chargent des instructions pour de nouveaux programmes, et qui sont ensuite effacés, etc. S’il y a une «vraie dimension» et un nombre infini d’univers à l’intérieur de celle-ci, un univers en particulier existe-t-il de et par lui-même à un moment donné, jusqu’à ce qu’il fusionne avec un nouvel univers ? Ou bien y a-t-il, à l’intérieur de cette vraie dimension, de multiples univers aussi réels que le nôtre, dans lesquels nous pourrions nous rendre et qui existeraient pour ainsi dire parallèlement au nôtre ?

R : Oui à la dernière proposition.

Q : (L) Et se peut-il qu’existent, ne serait-ce que temporairement, un nombre infini de «dimensions» à l’intérieur de chaque niveau de densité ?

R : Oui. Si vous voulez retourner en arrière pour changer l’«Histoire», individuelle ou perçue comme universelle, vous devez d’abord créer un univers alternatif. Vos «amis» SDS de la 4e densité font ça depuis un bout de temps.

Q : (L) Si l’«on» — terme général — crée un univers alternatif, le précédent continue-t-il à exister, ou se fond-il dans le nouveau ?

R : Les deux.

Q : (L) Si le précédent continue à exister, est-ce qu’il existe et évolue de son côté, de manière dissociée du second, ou de son rejeton ?

R : Clarifie.

Q : (T) Depuis l’univers dans lequel on se trouve, on se dit : «J’ai envie de créer un nouvel univers»… On le fait, on s’y installe, et l’on emmène l’ancien : c’est la fusion des réalités. Mais quand on s’installe dans le nouvel univers, on ne se trouve plus dans l’univers d’origine, qui continue de son côté. On apporte le schéma de l’ancien univers dans le nouveau, et quand on commence à faire partie de l’univers qu’on vient juste de créer, on ne fait plus partie de celui qu’on vient juste de quitter. Il poursuit tout simplement sa course avec tous ceux qui s’y trouvent. (L) Est-ce exact ?

R : En quelque sorte… Rappelez-vous : on peut créer tout un éventail de types de possibilités alternatives.

Q : (L) On peut donc aussi créer un nouvel univers avec un nouveau «passé» ?

R : Oui.

Q : (L) Et de cette manière, les deux coexistent effectivement. On peut ainsi tout changer ?

R : Après fusion, le précédent n’a jamais existé.

Q : (T) Pour la personne qui a créé le nouvel univers ; mais pour tous les autres, le précédent continuera à exister.

R : Pas loin.

Q : (L) Pour la personne qui crée le nouvel univers, l’ancien n’a donc jamais existé, mais ceux qui sont satisfaits de l’ancien univers et s’en «contentent», continuent comme si de rien n’était…

R : Les restrictions de votre mental de 3e densité limitent la portée de votre compréhension dans ce domaine.

Q : (L) Si l’on décide qu’on n’aime pas l’univers dans lequel on se trouve, qu’on travaille comme un fou pour apprendre à en créer un nouveau, et qu’on y arrive, oublie-t-on qu’on l’a fait, et pourquoi on l’a fait ? Oublie-t-on l’ancien ?

R : Si vous le souhaitez.

Q : (L) Alors on peut, ou pas… (T) En parlant d’«univers malheureux»… on perçoit l’univers comme étant malheureux parce qu’il reflète ce que l’on est, ainsi que là où on se situe en matière d’apprentissage,  et on se crée un nouvel univers, juste par désir de changer celui dans lequel on baigne alors qu’en fait, le problème vient de nous, pas de l’univers…

R : Hors sujet.

Q : (L) Donc, l’univers dans lequel on se trouve est ce qu’il est, et l’on s’y trouve pour une bonne raison… (T) On y est pour apprendre des leçons… Changer l’univers simplement parce qu’on ne veut pas apprendre les leçons qu’on a choisies d’apprendre… (L) Ou alors, on les a apprises et, donc, on peut changer l’univers. (T) Quand on apprend, on progresse de manière automatique. On n’a pas besoin de changer l’univers. L’univers change pour nous.

R : Un «déjà-vu» vous est envoyé avec les compliments des SDS de 4e densité.

Q : (L) Les «déjà-vu» viendraient de la sensation que l’univers a changé ?

R : Ou… de la sensation d’un pont entre réalités.

Q : (T) Quand on entre dans un nouvel univers, reste-t-il quelque chose du précédent ?

R : Non.

Q : (L) C’est quoi un pont entre réalités ?

R : À quoi cela te fait-il penser ?

Q : (L) À la fusion des univers, ce genre de choses ? (T) Un pont, c’est quelque chose qu’on met entre deux choses…

R : Vous voulez limiter : attendez la 4e densité, quand le mot deviendra obsolète !

Q : (L) Ça ne m’aide toujours pas à comprendre le «déjà-vu» comme une «sensation d’un pont entre réalités». Résulte-t-il de l’irruption dans notre réalité de quelque chose qui vient d’une autre ?

R : Une possibilité.

Q : (T) N’avons-nous pas déjà parlé de cela ? Qu’il s’agit d’une infiltration d’autres dimensions... Que, quand nous pensons que nous avons déjà été quelque part, c’est parce que nous y avons été dans une autre dimension...

R : Oui.

Q : (L) Comme si l’on se trouvait à un moment donné dans un univers particulier créé et fusionné par des SDS de 4e densité, et que l’ancien univers existait toujours, et qu’on ressentait une connexion, ou un pont, parce qu’un soi alternatif se trouvait dans cet univers alternatif, vivant une autre expérience… ou quelque chose de ce genre.

R : Les possibilités n’ont pas de limites.

Q : (L) Donc ça peut être tous ces cas de figure, y compris un pont entre réalités «passées» et «futures». Est-il possible de changer le passé dans un univers singulier, ou bien tout changement implique-t-il un univers neuf ou alternatif ?

R : Singulier ?

Q : (L) Eh bien, peut-on, dans un univers particulier donné, remonter le temps — dans cet univers — et en changer le passé et tout ce qui se passe ensuite, comme un effet domino ?

R : Dans ce cas précis, oui.

Q : (L) Mais vous nous avez dit que pour changer le passé, il fallait créer un univers alternatif… (T) Non, tu leur as parlé de changer le passé, et ils ont répondu qu’il fallait créer un espace temporaire depuis lequel travailler, une base depuis laquelle on pouvait manipuler la réalité…

R : Cela concerne des activités spécifiques.

Q : (L) Alors, la création d’un univers alternatif a été utilisée pour des choses spéciales et non pour un changement historique global ?

R : Ce qui a été décrit n’est pas la même chose qu’un «univers alternatif».

Q : (L) Il s’agit d’un fichier temporaire qui disparaît quand on a fini de télécharger le programme. Et ça, ce n’est pas créer un univers alternatif mais plutôt une dimension temporaire…

R : Pas loin.

Q : (L) Dans notre univers particulier, quel est le mode de base ? Est-ce que nous basculons et fusionnons constamment d’un univers à l’autre, ou bien est-ce notre passé qui est changé et qui crée un effet domino… du moins ces dernières années… (T) Mais on ne peut pas savoir si le passé a été changé, puisqu’on ne le remarque pas…

R : Vos mesures sont inadéquates.

Q : (L) Quel est le rapport avec ma question ? Dans quel cas sommes-nous ? Notre univers singulier est-il modifié par effet domino, ou est-il continuellement fusionné avec un nouveau, puis un autre, et un autre... (T) Ce que tu demandes là, c’est une mesure. (L) Est-ce que toutes les possibilités auront/ont lieu ?

R : Plus proche.

Q : (L) Pouvez-vous clarifier quelque peu cela pour moi ?

R : Non, parce que vous ne saisiriez tout simplement pas.

Q : (T) Est-ce que cela fait partie de l’infrastructure de l’univers que nous ne sommes pas à même de comprendre pour le moment ? On ne comprend déjà pas très bien les quarks.

R : Oui.

Q : (L) Les mots «univers» et «dimension» sont-ils synonymes ?

R : Oui et non.

Q : (L) Oui dans quel sens ?

R : Pour vous, il s’agit de zones «floues», et peu importe vos efforts, tant que votre perception n’aura pas basculé fondamentalement, vous ne capterez pas !

Q : (J) Je suppose que c’est une question de foi. (L) Tous les univers sont-ils des univers de «libre arbitre» ?

R : Si on le choisit.

Q : (L) Y a-t-il des univers où tout est prédestiné ?

R : Dans le cadre d’un lien de séparation cyclique.

Q : (L) Qu’est-ce qu’un «lien de séparation cyclique» ? Je crois que ça me dépasse.

R : Seulement parce que «tu ES dépassée».

Q : (L) Mais vous ne me dites pas ce qu’est un lien de séparation cyclique !

R : Et si nous le faisions, tu demanderais : «Qu’entendez-vous par là ?»

Q : (L) Bon, là-dessus, vous avez raison. (J) C’est comme un gamin qui demande : «Papa, pourquoi est-ce que l’air existe ?» (L) Y a-t-il des univers où le temps va dans l’autre sens, comme des univers d’antimatière ?

R : Pourquoi demandes-tu cela ?

Q : (T) Ils n’arrêtent pas de nous dire que le temps tel que nous le percevons n’existe pas. (L) Bon, je suppose que je voulais juste dire un univers d’«antimatière». OK. Il y a quatre densités physiques…

R : Non, trois.

Q : (L) Bon. Il y a trois densités physiques, et la quatrième est…

R : L’une est variable. Trois sont éthérées.

Q : (L) D’accord : trois physiques, trois éthérées, et au milieu, une qui est les deux à la fois.

R : Pas loin.

Q : (L) Est-ce qu’on passe plusieurs fois de la 4e à la 5e jusqu’à ce qu’on soit prêt à aller en 6e, ou est-ce qu’on passe de la 4e à la 6e, ou de la 5e à la 6e ?

R : De par les détails déjà communiqués, c’est élémentaire, ma chère Martin, élémentaire !

Q : (L) Je ne m’appelle plus Martin ! Non mais !

R : Tu es dans une réalité alternative.

Q : (L) Oh, mon Dieu ! Je ne veux même pas y penser ! C’est horrible ! Est-ce que ça veut dire que quand vous m’avez sorti le mot «nouveau», vous faisiez allusion à un nouvel univers ? Une nouvelle réalité ? (T) Eh bien, tu es dans une réalité alternative parce que tu as changé. Mais pas nous.

R : Pourquoi est-ce toujours à Njorrg que reviennent les tâches les plus dures ?!?

Q : (T) Parce qu’il a de la chance !

R : Z'est bon de rire !

Q : (L) Arrêtez de plaisanter, les gars… L’intégralité du système universel, tout combiné, est-elle similaire à une structure dissipative, en tout ou partie ?

R : Non.

Q : (L) D’une manière générale — et je sais que vous vous arrachez les cheveux avec moi, si vous aviez des cheveux à vous arracher — que pourriez-vous nous dire sur ce qui, en dehors de la conscience, détermine le niveau de densité où l’on se trouve ? Y a-t-il un point de bascule, comme une fleur qui éclot ou quelque chose qui traverse une membrane, ou est-ce quelque chose qui se passe plus progressivement ? Est-ce que tout à coup on atteint un certain niveau de conscience et, pouf, on y est ?!

R : Trop.

Q : (L) Le niveau de conscience est-il le seul facteur qui détermine dans quelle densité on existe ?

R : Non.

Q : (L) Quoi d’autre ? (T) Ta façon de faire des biscuits de Noël…

R : La conscience est le lien qui unit la réalité.

Q : (L) Vous avez dit que la chaleur que je ressens est un «développement de fibres», ou une «infiltration» de la nouvelle réalité. Cet effet se produit-il graduellement ? (T) Cela a un rapport avec l’approche de l’Onde… (J) Je ne sais pas trop comment formuler ma question.

R : Parce que tu ne sais pas trop comment comprendre les réponses.

Q : (L) Vous avez dit que c’était la gravité qui liait toute la réalité.

R : Oui.

Q : (L) Et maintenant, vous dites que c’est la perception.

R : Oui. Maintenant, essaye d’imaginer comment la gravité lie toute réalité !!!

Q : (L) Si c’est la gravité qui est le liant, la gravité est-elle conscience ?

R : Pas exactement. Savais-tu qu’il n’y a ni «droite» ni «gauche» de la 4e à la 7e densité ? Si tu peux imaginer ce que ça donne exactement, alors peut-être seras-tu à même de comprendre les réponses à toutes ces questions. Sinon, mieux vaut «laisser reposer». Car l’apprentissage ne deviendra productif que lorsque tu méditeras, réfléchiras/repenseras à tout cela «plus tard».

Q : (A) Les C’s ont dit à Ruggero que nos équations — à nous les physiciens — ne constituent qu’un septième de l’ensemble. Comment devrais-je interpréter cela ? Littéralement ? Qu’on devrait assigner un exposant, de 1 à 7, à chacune de nos équations et les modifier en ce sens ?

R : Une possibilité. Ruggero se limitait au monde déjà partiellement cartographié. Temps de dire bonne nuit. Vous êtes fatigués.

Fin de la SĂ©ance
 
Gandalf, je n'avais pas vu que vous aviez commencé la traduction des séances de l'année 1997... merci pour ce travail.
Gandalf, I didn't see that you started translating the sessions for 1997 ... thank you for this work.
 
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