Séance du 8 juillet 1995

Jacques

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Merci aux membres de l'équipe française pour cette traduction.
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Séance du 8 juillet 1995

Participants : « Frank », Laura, Terry et Jan, SV, Tom French et Cherie Diez,

Q : Bonjour.

R : Oui.

Q : (L) Qui est avec nous ce soir ?

R : Tqv.

Q : (L) Que veut dire TQV ?

R : Message entrecoupé.[Nous utilisions une nouvelle table qui avait nécessité plusieurs ajustements. Nous l'avons finalement abandonnée et avons ressorti l’ancienne.]

Q : (L) D’accord, quel est votre nom s’il vous plaît ?

R : Tora.

Q : (L) Et d’où venez-vous ?

R : Cassiopée.

Q : (L) Comme vous pouvez le constater, nous utilisons la planche ce soir.

R : Oui.

Q : (L) On pense que c’est un petit peu plus convivial. Quand Frank est en transe, il ne peut pas participer.

R : Oui.

Q : (L) Bien, nous avons plusieurs questions. Peut-on commencer ?

R : Oui.

Q : (L) Existe-t-il une conspiration juive visant à assujettir le monde ?

R : Pas juive, nous vous en avons largement parlé auparavant, étrange que vous ayez déjà besoin de réviser !

Q : (L) Si je pose cette question c’est uniquement parce que John W est resté ici un bon moment aujourd’hui et [rires et grommellements] j’ai dégainé mon livre commémoratif sur Dachau, lui ai posé sur les genoux et nous avons approfondi le sujet ; il est tellement convaincu qu’il existe un complot juif de domination et de gouvernance mondiales que je me suis dit que je poserai la question pour voir les commentaires qu’il en ressortirait, hormis ce qui est évident. Merci beaucoup pour cette réponse. Question suivante : à propos des crop circles, je sais qu’on nous a dit qu’ils venaient de la 6e densité, mais j’aimerais connaître le mode ou le mécanisme exact grâce auquel ils sont réalisés. Est-ce un genre d’empreinte électromagnétique, est-ce comme un tourbillon ? Pouvez-vous nous parler un peu de la façon dont ils sont créés physiquement ?

R : Transfert de champ.

Q : (L) Quel genre de champ ?

R : Magnétique.

Q : (L) Sont-ils transférés directement de la 6e à la 3e densité ?

R : Non.

Q : (L) Sont-ils confectionnés par un objet entré en 3e densité, comme une sorte d’appareil d’un genre ou l’autre ?

R : Non.

Q : (L) Pouvez-vous nous donner un indice ?

R : Nous pouvons donner un « indice ».

Q : (L) Bien, quel est cet indice ?

R : Voir Hoagland.

Q : (L) Que dit Hoagland ? (T) En gros, il dit que ce qu’on voit dans cette densité est un reflet tridimensionnel de la 4e dimension et qu’on peut le constater mathématiquement en regardant les configurations nuageuses sur les différentes planètes. S’il n’y avait pas une autre dimension au-dessus de nous, un cercle serait rond et le mouvement circulaire des nuages serait conservé. Mais s’il y a transfert de la 4e densité vers la 3e, quand on regarde un objet de 4e densité, sa version de 3e densité ressemblerait à une forme hexagonale avec des angles, et les photographies de la sonde Voyager montrent que les configurations nuageuses aux pôles Nord et Sud de la plupart des planètes ne sont pas circulaires, elles sont hexagonales. (L) D’accord, en 6e densité, que sont les crop circles ?

R : Des pensées.

Q : (L) Qui nourrit ces pensées ?

R : Vos humbles serviteurs.

Q : (L) Bon, si ce sont des pensées… (J) Ce sont des messages, donc ça pourrait être des pensées avant d’être des messages. (T) Eh bien, ils ont décrit la 6e densité comme de l’énergie pure, par conséquent, il n’y a rien de physique en 6e densité qui puisse se refléter à travers les densités. Donc, la seule chose qui peut venir de là, c’est la pensée. Car c’est tout ce qu’il y a. (L) Donc c’est un transfert de champ de pensée. (T) Quand la 6e densité pense et transmet son message, le plus probablement en sautant la 5e densité pour la 4e densité, puis en descendant de la 4e à la 3e, on se retrouve avec un crop circle tridimensionnel. Mais à quoi ressemble un crop circle en 4e densité ?

R : « Ressembler » n’est pas la question.

Q : (L) C’est quoi la question ?

R : Vous avez besoin de stimuli visuels afin de vous souvenir.

Q : (L) Oh ! (J) Qu’est-ce qu’ils ont dit ? Vous avez besoin de stimuli visuels… ? (L) Donc, autrement dit, ce sont des pensées destinées à nous remémorer des choses quand on les regarde ?

R : Votre existence dépend du physique.

Q : (J) Oui ! (L) OK, si on faisait des diagrammes des crop circles, qu’on les accrochait au mur et qu’on les contemplait ou méditait dessus, cela aurait-il un effet sur notre cerveau, nos configurations électromagnétiques, ou est-ce que cela éveillerait des informations en nous ?

R : Peu probable.

Q : (L) Bon, que sommes-nous censés faire avec ?

R : Rien de particulier.

Q : (L) Ont-ils un effet sur nous ? (T) C’est l’impression que j’avais…

R : Vous verrez bien.

Q : (L) OK. Nous avons un peu parlé du labyrinthe sur le sol de la cathédrale de Chartres…

R : Vos médias résistent, pourquoi ? Suggérons d’en discuter.

Q : (L) Les médias résistent aux crop circles, et ça je le sais parce que quand je suis allée à la bibliothèque pour faire des recherches, il n’y avait pas un seul livre, magazine ou article traitant des crop circles dans tout le système du comté.

(J) Il n’y avait rien non plus chez Barnes & Noble.

(L) Les deux livres que j’ai sur le sujet, j’ai dû spécialement les commander. Pourquoi les médias résisteraient-ils aux crop circles ?

(SV) Pour la même raison qu’ils résistent à tout le reste.

(F) Mais ils ne résistent pas au reste autant qu’aux crop circles.

(T) Abordons-nous cela du mauvais point de vue ? Ils n’y résistent ou ne les ignorent pas plus que n’importe qui d’autre. On vient juste de nous dire que les crop circles n’étaient pas importants pour nous.

(F) Je ne pense pas que c’est ce qu’ils voulaient dire.

(L) J’ai demandé ce qu’on était censé faire avec, et ils ont répondu : « rien de particulier ».

(F) Et ensuite tu as demandé s’ils auraient un effet sur nous, et ils ont dit « Vous verrez bien ».

(T) Serait-ce parce que personne n’est censé y prêter attention ? Est-ce en partie cela ? Peut-être qu’on cherche un truc qui n’est pas réel en disant « Oh, les médias ne reconnaissent pas les crop circles, ils ne sortent pas tout un paquet d’articles pour alerter le public à leur sujet ». Peut-être qu’ils ne sont pas censés faire ça. Peut-être que les crop circles sont censés agir tous seuls sans attention majeure.

(F) Je ne pense pas.

(L) Voici ce que j’ai récemment trouvé sur internet :

« Pour certaines personnes, les cercles qui ont commencé à apparaître depuis environ une décennie représentent l’œuvre d’envahisseurs extraterrestres ou d’ouvriers habiles enclins à faire des frasques après une soirée au pub, ou même des hordes d’étudiants de troisième cycle poussés par des professeurs fous. Pour les autres, ces cercles suggèrent l’action de micro-ondes générées par de la foudre en boule, de nombreux tourbillons ou autres phénomènes atmosphériques étranges. Ces scénarios ont apparemment pris une grande claque l’été dernier quand deux peintres paysagistes d’âge canonique, David et Doug, ont avoué avoir créé nombre des motifs circulaires géants dans les champs de blé qui sont apparus ces dix dernières années dans le Sud de l’Angleterre. Ces farceurs rigolards ont fièrement exposé les planches en bois, rouleau de corde et appareil de visée optique primitif qu’ils ont prétendu avoir utilisé pour construire les cercles.

Mais cet aveu orchestré par les journaux et largement relayé n’a pas résolu tout le mystère. Gerald Hawkins, astronome à la retraite qui partage désormais son temps entre un appartement à Washington et une ferme à Woodville, s’est senti obligé d’écrire à Dave et Doug en septembre dernier pour leur demander comment ils avaient réussi à découvrir et intégrer à leurs « œuvres » dans les champs nombre de théorèmes géométriques ingénieux d’un certain type, auparavant inconnus, qui apparaissent dans les manuels antiques. Il conclut sa lettre ainsi : « Les médias ne vous ont pas salués pour l’intelligence inhabituelle avec laquelle ces motifs et ces dessins ont été tracés. »

Ensuite, il déclare qu’il y trouve des rapports de petits nombres entiers qui « correspondent précisément aux rapports définissant l’échelle diatonique. Ces rapports produisent les huit tons d’une octave dans l’échelle musicale correspondant aux notes d’un piano. » Ça, c’était la première surprise, dit-il. Il s’est mis à chercher des relations géométriques parmi les cercles, les anneaux et les lignes puis a découvert que les mesures révélaient que le rapport du diamètre des grands cercles — tracé de sorte qu’il passe par le centre des trois cercles d’origine — à celui de l’un des cercles d’origine, est proche de 4 sur 3. Il a découvert des relations géométriques qui ne sont tout simplement plus enseignées dans les mathématiques modernes. Et pour finir, il conclut que ces gars qui se sont présentés comme les auteurs de ces motifs ne pouvaient pas les avoir réalisés.


(F) Eh bien, je trouve très étrange qu’aucun média américain n’ait parlé de ce phénomène depuis 1992. (Laura à Tom) Aurais-tu un moyen de vérifier ça ? [Tom est journaliste pour un grand journal]

(TF) Je l’ai déjà fait. (L) Ah oui ? Qu’as-tu trouvé ?

(TF) Il n’y a pas grand-chose.

(L) Quel genre de truc et qui disait quoi ? Quand ?

(TF) Je n’ai pas fait attention aux dates. Je n’ai pas fait attention s’il y avait un bon truc après 1992…

(F) Il n’y en a pas…

(TF) J’ai tellement aimé ma photo [d’un crop circle] que j’ai demandé à quelqu’un de se renseigner. Un des bibliothécaires. Quand tu demandes certaines choses, tu obtiens un paquet de références épais comme ça. [Fait le geste d’un dossier très épais.] Là, ça a donné ça. [Fait le geste d’un dossier minuscule.]

(L) Donc, il y a quelque chose ?

(TF) Mais je ne sais pas de quelles années ça date.

(F) Eh bien, pas après 1992, je peux vous l’assurer car j’ai suivi ça de près.

(TF) Je sais que ça n’est pas passé aux infos. Je ne me souviens pas d’avoir vu quoi que ce soit aux infos depuis plusieurs années.

(F) Pas ici, mais en Angleterre oui.

(TF) Exact !

(F) C’est très étrange de voir un blackout télévisuel ici alors qu’on est accro aux chaînes d’information câblées. Autre chose, Linda Howe a montré les nouveaux crop circles depuis 1994 et ils sont plus spectaculaires que jamais. Alors, si c’est toujours l’œuvre de ces artistes…

(T) C’est bizarre, Michael m’a fait des copies de la conférence de Cornet et de celle de Linda Howe [sur les crop circles]. Quand j’ai passé les cassettes, celle de Cornet était parfaite. Mike a un bon équipement. Mais la conférence de Linda Howe ne s’est pas enregistrée. J’ai deux heures d’écran noir zébré d’éclairs lumineux sur la cassette. J’ai appelé Mike pour le lui dire, et il a répondu : « Mince, je l’ai faite tard le soir et j’ai dû appuyer sur le mauvais bouton ».

(L) Eh bien, je déteste devenir paranoïaque, mais sous-entends-tu que les déclarations de Dave et Doug sont un coup monté visant à ce que les médias aient une réponse à balancer et qu’ils laissent tomber l’affaire ? Si oui, pourquoi ?

(F) Parce que c’est trop effrayant. Je me souviens en 1991 et en 1992, ça n’arrêtait pas de s’intensifier…

(TF) C’est vrai.

(F) C’est inhabituel car normalement, les médias ne traitent pas beaucoup de ce genre de sujet. Quand il y a une grande vague d’ovnis, il peut y avoir un entrefilet sur des lumières étranges signalées par diverses personnes. En fait, tous les grands réseaux, toutes les grandes agences de presse se sont focalisées sur ce sujet, c’était partout. Et tout à coup, ces deux artistes ivrognes sont apparus et ils se sont tous exclamés : « Oh ! Ce n’est que ça ! OK, oubliez ça ! » C’était tellement étrange car j’ai toujours eu l’impression que les journalistes, du moins avant cela, voulaient déterrer la vérité et là, des explications superficielles, un pur placebo, qui n’expliquent rien et sont insuffisantes leur ont soudain fait perdre tout intérêt. Ce serait comme pour le Watergate : « Oh, le trou de 18 minutes… eh bien c’est Mary Unetelle qui a marché sur la pédale. Ah, OK, pas de problème ! » Évidemment que ça n’est pas arrivé ! Ça n’a tout simplement aucune logique pour ceux, comme nous, qui ont étudié les crop circles, et même les gens qui ne suivent pas ce genre de sujet de près, des gens à qui j’ai parlé, des gens qui ne prennent pas les ovnis au sérieux, m’ont dit que cette explication ne tenait pas debout ! Ces deux types ont fait tout ça sous le nez de milliers de chercheurs qui s’évertuaient comme de beaux diables à apercevoir quelque chose au milieu de la nuit, et au milieu de tout ça, une explication toute simple et ridicule, en fin de compte, est proposée et tout le phénomène est balayé d’un revers de la main ?!

(J) Et cette explication ne tiendrait que si les crop circles se situaient à leur portée physique, logistiquement parlant.

(F) Eh bien, non seulement ça, as-tu déjà calculé ce que ça implique ? Ça a commencé en 1973 avec juste une poignée de crop circles au cours de l’été, et en 1992, il y en a eu des centaines sur toute la planète. Ces types auraient dû travailler sans arrêt 24 heures par jour, faire le tour du globe en avion… [Rires] Et je me demande comment ils peuvent accepter une explication pareille ? Autre chose : si c’était la véritable explication, aussi dingue semble-t-elle, s’ils pouvaient réellement faire ça tout seuls, ce qui est physiquement et mathématiquement impossible — mais peu importe — on se demande alors naturellement pourquoi des crop circles apparaissent encore. Si ces deux types ont monté un canular et que plus personne ne va y porter attention, pourquoi s’embêter à continuer chaque été depuis ? Quelqu’un ne les surprendrait-il pas maintenant ? On peut penser à une centaine d’arguments à l’encontre de cette explication. Pourtant, dans ce pays, ils sont totalement ignorés. Ma théorie est qu’il s’agit d’un sujet trop sensible. Ici on a quelque chose qui peut être pris en photo.

(L) Ça prouve qu’il y a quelqu’un d’autre ailleurs.

(F) Ça ne prouve pas…

(J)… qu’il se passe quelque chose d’autre…

(F) Je ne pense pas que ça le prouve mais ça fait qu’il est très difficile de l’ignorer. Comme je l’ai déjà dit, mon père était physicien, c’était aussi un sceptique. Un homme très brillant… Quand à la télé, on voyait… Je me souviens d’un soir en particulier où on a vu une rubrique très complète sur les crop circles et il s’est fâché quand je lui ai indiqué que ce phénomène paraissait terriblement bizarre, terriblement intense, répandu, etc. Il a essayé de balayer tout ça : « Oh, je pense que c’est un effet de mode » ; ce sont les mots qu’il a utilisés. Et c’est un scientifique !

(L) Il a plongé la tête la première dans le fleuve le plus profond du monde ! Le déni.

(F) Comment un tourbillon peut-il former une figure géométrique complexe ? Allez ! C’est sûr ! Il s’est accroché à cette théorie des tourbillons, et quand je lui ai signalé que c’était illogique, il s’est fâché ; pour moi, c’était par peur. Il était sur la défensive, car c’était un coup de poignard asséné en plein cœur de son travail de toute une vie.

(L) Voilà la réponse, culturellement parlant.

(F) Exactement !

(L) C’est un coup de poignard en plein cœur du matérialisme.

(F) Quelqu’un dans ce pays ne veut pas qu’on parle de ce phénomène, car on ne peut pas l’esquiver. On peut rejeter les ovnis… bon, pas si l’on étudie vraiment la question, mais si l’on n’y accorde pas trop d’attention, on peut les rejeter…

(J)… parce qu’il n’y a pas de preuves physiques. Il y a des preuves avec les crop circles. Ils sont là. On peut les voir.

(L) Et ils sont époustouflants ! Le simple fait de les regarder est sidérant !

(F) N’importe lequel, vraiment, enfin hormis les plus simples. Rien qu’en se servant de la logique pure et simple, qui aurait le temps, l’énergie, l’expertise de réaliser ces choses ?

(J) Et faire ça dans l’obscurité, sans lumière…

(F) Et en un rien de temps ! Ça n’a tout simplement pas de sens. Imaginez seulement, M. French, on vous donne pour mission de vous rendre dans des champs de blé en Angleterre, dans le noir, et de réaliser cette figure complexe…

(TF) Je leur demanderais de le faire pour me montrer comment s’y prendre !

(F) Exact !

(SV) Je ne sais pas si c’était dans Sightings ou dans Encounters, mais une fois il y a eu une rubrique sur les crop circles au Mexique, et ils apparaissent même sur des parois rocheuses.

(F) Oui, c’est ce qui se passe à Puerto Rico. Et paraît-il que des véhicules de l’armée sont venus les détruire pour que les gens ne voient rien. Ce qui, avec mon esprit suspicieux, me pousse à croire que quelqu’un ne veut pas de ce phénomène pour une raison ou une autre.

(L) Oui, qu’allez-vous faire avec une population qui vous demande subitement : « Bon, vous êtes aux commandes – qu’est-ce que c’est que ça ? Qu’est-ce qui se passe ? » Et vous ne pouvez pas leur répondre. Vous perdez toute crédibilité en tant qu’autorité.

(F) Et aucune des réponses qu’on peut imaginer n’est sans danger. Ça dérange l’église parce qu’elle ne peut rien expliquer. Ça dérange la communauté scientifique parce qu’elle ne peut rien expliquer.

(L) Oui, pour l’église, tout ce qu’elle ne peut pas expliquer est « l’œuvre du démon ».

(T) Lequel ?

(L) Nous pensons avoir trouvé une réponse. Sommes-nous sur la bonne voie ?

R : Peut-être.

Q : (L) Aimeriez-vous ajouter quoi que ce soit à ce que nous avons dit ?

R : Non.

Q : (L) Bon, nous avons quelque peu épuisé le sujet à ce stade. Pour en revenir au labyrinthe de la cathédrale de Chartres, nous avons dans l’idée de le reproduire pour l’utiliser. (J) Est-ce dans la même veine que le concept de spirale et de tournoiement ?

R : Peut-être.

Q : (L) Quelle forme serait la plus avantageuse à utiliser : la spirale, le cho ku rei ou le labyrinthe ?

R : Tu n’as pas posé les questions préliminaires.

Q : (L) Quelle est la source de ce labyrinthe ?

R : Ouvert.

Q : (L) Quelles questions préliminaires souhaitez-vous ? Qui l’a construit ?

R : Ouvert.

Q : (L) Quelles questions préliminaires souhaitez-vous ?

R : Nous te retournerons la question.

Q : (J) Super ! (L) On veut savoir si emprunter ce motif spécifique, l’utiliser, est bénéfique…

R : Bien, maintenant on est sur la bonne voie ! À vous de le découvrir.

Q : (L) Vous ne nous direz rien sur la spirale ; c’est à nous de jouer avec.

R : Et d’expérimenter ; c’est une méthode d’apprentissage.

Q : (T) Bon, ce n’était pas vraiment une bonne question de demander si j’allais ou non en faire quelque chose avec le groupe ; c’était déjà dans mon intention. (L) Alors ils ne nous diront rien si c’est déjà prévu. (T) Je l’ai su dès que j’ai pris le livre. Je me suis dit : « On doit le faire. Il n’y a pas le choix, c’est un truc qu’on doit faire. » (L) OK, pouvez-vous nous donner de quelconques informations à propos de ce dessin ? Que signifie-t-il ? [Montre le glyphe que Ken Eagle Feather a donné à Jan.]

R : Le créateur laisse entendre son importance.

Q : (L) Donc, la personne qui a dessiné cela insinuait que c’était important ?

R : Oui.

Q : (L) Est-ce réellement important ou significatif ?

R : Ouvert.

Q : (T) Que signifient les symboles ? (L) Eh bien, le chiffre huit couché est le symbole de l’éternité, ça c’est juste un triangle… (J) Est-ce une équation… (T) Est-ce une formule ?

R : Une question à la fois.

Q : (L) Est-ce une formule ?

R : La création existe parce qu’elle a été créée.

Q : (T) Que symbolise le triangle ?

R : Vous ne saisissez pas le message.

Q : (J) Je suppose que non. (L) Eh bien, je comprends que le type qui l’a dessiné voulait paraître mystérieux et laisser entendre que ce dessin recelait quelque chose d’important et d’énigmatique alors qu’en fait, il est dénué de sens ?

R : Oui.

Q : (T) D’accord, donc il n’a pas le moindre sens ?

R : Faux.

Q : (L) Il a un sens, le sens que la personne qui l’a dessiné y a mis. Mais je peux tout de suite te dire que ce n’est pas une formule mathématique.

R : Demande le sens au créateur.

Q : (T) Donc, seule la personne qui l’a dessiné sait ce que ça signifie. (L) Parce que c’est elle qui l’a dessiné. Il n’a de sens que celui qu’elle lui a donné.

R : Oui.

Q : (L) Question suivante. Êtes-vous toujours avec nous ?

R : Comme toujours.

Q : (L) Merci. Il se produit en ce moment un phénomène où beaucoup de gens ont accusé leurs parents d’abus sexuels pendant leur enfance, faits qui se sont plus tard révélés être faux, ce qui a causé un tas de problèmes. Ça a entraîné une polémique au sujet de la pratique de l’hypnose…

R : Notions préconçues de la part de thérapeutes partiaux, c.-à-d. usage impropre du pouvoir de suggestion.

Q : (L) Cela a entraîné pas mal de conjectures sur le fait que tous les souvenirs d’abduction sont de faux souvenirs et que l’hypnose en soi est, en général, une technique inutile ou viciée. Est-il possible que bon nombre des gens qui pensent avoir été enlevés par des aliens répondent simplement aux suggestions des thérapeutes ?

R : Deux concepts à la fois.

Q : (L) Est-il possible que certaines personnes pensent à tort avoir été abductées ?

R : Oui.

Q : (L) Est-il possible pour un thérapeute d’implanter ces idées dans l’esprit de quelqu’un grâce à l’hypnose et de leur faire…

R : Oui.

Q : (T) Ça peut aussi marcher dans l’autre sens. (L) Qu’est-ce que tu veux dire ?

R : Que veux-tu dire ?

Q : (T) Tu as demandé si certaines personnes qui pensent avoir été abductées avaient en fait été abusées, et ils ont répondu « oui ». (L) Non, ce n’est pas ce que j’ai demandé. (T) Qu’as-tu demandé ? (L) J’ai demandé si certaines personnes qui pensaient avoir été abductées ne l’avaient pas été, ou si certaines personnes pensaient avoir été abductées et que cette idée leur avait été implantée par le thérapeute. Et ils ont répondu « oui ». (T) D’accord, est-ce que certaines personnes qui pensent avoir été abusées ne l’ont pas été ? La même question en remplaçant le mot abducté par abusé ?

R : Déjà répondu oui.

Q : (L) Mais la question qui se pose ensuite c’est s’il y a des personnes qui ont été abductées qui pensent avoir subi des sévices ?

R : Toutes les combinaisons existent.

Q : (L) Y a-t-il… (T) Ça dépend du thérapeute et de ses croyances quant à l’issue de la thérapie… (J) Oui, s’ils se fient beaucoup à Freud ?

R : Non. Dépend des actions du thérapeute, pas des croyances.

Q : (L) Y a-t-il un type de personnalité qui soit plus susceptible d’être enlevé qu’un autre ?

R : Question ridiculement ouverte.

Q : (L) Eh bien, je n’avais pas l’intention de prendre la tête ! (J) Nous aurons bientôt un anniversaire à fêter. (L) Oui, je sais. Le 16. (J) Non, je veux dire notre anniversaire, celui de Terry et moi. (L) Oh. (J) Votre anniversaire c’est le 16, et le nôtre c’est le 17.

R : Idem.

Q : (L) Que voulez-vous dire par « idem » ? (J) Eh bien, vous avez pu commencer dans la soirée du 16, mais la séance a pu durer jusqu’au petit matin du 17.

R : Oui.

Q : (J) Bonne appréhension du temps ! (L) Bien, revenons à la question. Ce que je veux savoir c’est ceci : dans tous les articles que je lis au sujet des abductions, beaucoup prétendent que les personnes qui vivent ces expériences sont de tel ou tel type de personnalité, c’est-à-dire enclines à fantasmer. Eh bien, je ne suis définitivement pas une personnalité encline à fantasmer, et je ne pense pas que les autres le soient non plus.

R : Qu’est-ce qu’un « type de personnalité » ?

Q : (L) Eh bien, je ne pense pas vraiment que ça existe si c’est là où vous voulez en venir. (T) Disons simplement que les types de personnalité ont été développés par des chercheurs pour cataloguer les gens à des fins d’analyse statistique. Ça n’a vraiment rien à voir avec le phénomène d’abduction en soi. (J) Ou autre chose.

R : Bonne remarque, Terry !

Q : (L) L’autre soir, quand j’étais dans la cambrousse, avec mon cousin nous avons parlé des abductions, des ovnis, de l’espace-temps et tout ça. Il a fait la remarque qu’il pensait qu’il était très probable qu’il existe un autre univers où celui-ci « finit » et dans lequel la constante de la lumière représente le « minimum ». Est-ce un concept valable ou utile ?

R : Trop simplifié.

Q : (T) Que nous ont-ils déjà dit à propos de la vitesse de la lumière ? Que c’est une mesure « temporelle » et que le temps n’existe que dans notre illusion, par conséquent il n’y a pas de vitesse de la lumière. (L) Donc, il existerait un état où la constante n’est pas une « vitesse », mais simplement ce qu’elle est. Il n’y a pas de vitesse de la lumière parce qu’il n’y a pas de temps.

R : Toutes les combinaisons imaginables existent parce qu’elles sont imaginées !

Q : (J) J’adore. (L) OK, le 9 décembre 1965, un écrasement d’ovni a été signalé à Kecksburg, en Pennsylvanie. Les militaires ont prétendu qu’il s’agissait de la chute d’un satellite-espion soviétique. Un tas de trucs ont circulé à ce sujet et c’est même évoqué dans X-Files. L’événement qui s’est produit le 9 décembre 1965 à Kecksburg, en Pennsylvanie, était-il un écrasement d’ovni ?

R : Définis « ovni », s’il te plaît.

Q : (L) Un ovni dans le sens d’un vaisseau spatial alien.

R : Pas loin.

Q : (L) Il ne s’agissait pas d’un satellite-espion soviétique ?

R : Non.

Q : (L) Vous dites « pas loin ». Qu’est-ce que c’était précisément ?

R : Nous vous avons enseigné de nouvelles méthodes d’imagerie, nous attendons patiemment que vous les utilisiez !

Q : (L) Que voulez-vous dire par « nouvelles méthodes d’imagerie » ? (T) D’en discuter ? (L) On n’en sait pas assez… c’est tout ce qu’on sait. (T) Eh bien, à partir de ce qu’on sait, on peut probablement en discuter et trouver ce que c’était.

R : Densité 1, 2, 3, 4, 5, 6, maintenant, comment le concept de « vaisseau » s’applique-t-il ici ?

Q : (L) Était-ce une projection ? Un objet transdimensionnel atomiquement remolécularisé ?

R : Plus proche.

Q : (L) Piloté par les Gris, je suppose ? (T) Pas nécessairement.

R : ! Si tu veux.

Q : (T) Eh bien, si c’était un appareil venant de la 4e densité, comme ils nous l’ont dit, ce serait les Lézards, ou quelqu’un d’autre de l’autre camp, de l’Union [d’Orion].

R : La question, c’est le mode de transfert.

Q : (L) D’accord, donc il se peut qu’il ne se soit pas écrasé, que c’était… Il s’est passé quelque chose et un objet a traversé le rideau dimensionnel ? C’est ça ? (T) Eh bien, il ne s’est pas écrasé, il a atterri ! Ou il s’est matérialisé, ou est devenu solide. (L) Je crois que le NORAD l’a pisté. (J) On a vu une boule de lumière.

R : Vous refroidissez.

Q : (T) Bon, ce n’est qu’une théorie, juste une idée jetée en l’air, rien d’affirmatif… l’armée était « sur le qui-vive ». Ils se sont démenés pour l’extirper de là et ont menacé tout le monde. Et s’il avait été mis là, ou envoyé là, pour eux ? Il ne se serait pas écrasé, mais aurait été envoyé de là à là et l’Oncle Sam l’aurait ramassé ?

R : Non.

Q : (L) La question c’est le « mode de transfert ». (T) La question c’est que c’était « inter-densité ». (J) Bon, on sait que tous les ovnis sont « inter-densité ». (T) Non, pas tous, certains viennent de cette densité. (L) La question c’est le « mode de transfert ». Qu’essaient-ils de nous dire ? (T) Qu’il s’est matérialisé ici depuis la 4e densité. Il ne volait pas dans la 3e densité. (L) Bon, ce n’était pas un ovni parce qu’il n’a jamais « volé ». (T) La traînée qu’on a vue arriver, c’était lui qui se matérialisait dans l’atmosphère. (L) En fait, il s’est matérialisé au même endroit, c’est l’atmosphère qui a bougé. (T) Il a laissé une trajectoire visible… (J) Je pense qu’on devrait arrêter d’utiliser le terme « ovni ».

R : N’est-ce pas amusant ?!

Q : [Rires et grommellements] (L) Bon, c’est quoi l’essentiel ? (T) L’essentiel c’est le « mode de transport ». (L) Bon, il a été projeté à travers le rideau dimensionnel ; c’était un voyageur temporel…

R : La question est pourquoi chercher du « tôle et boulons ». Souhaitez-vous rejoindre Gene et ses acolytes ?[Gene est un membre du MUFON entretenant une vision extrêmement matérialiste des ovnis. Il clame qu’ils viennent tous d’autres planètes, point final.]

Q : (L) Donc, autrement dit… êtes-vous en train de dire qu’il s’est passé quelque chose, que l’armée est arrivée et n’a rien trouvé ?

R : Non.

Q : (T) Bon, nous tentons de trouver le « mode de transport » et pourquoi c’est important. (L) L’armée savait-elle qu’il allait se produire quelque chose à cet endroit et à cet instant ?

R : Peut-être, mais ce n’est toujours pas l’objet de cette requête.

Q : (L) Eh bien, c’est quoi l’objet alors ? Je voulais juste savoir si ce satané truc était un ovni ou un satellite-espion. Il ne s’agissait pas d’un écrasement ? (T) Il a été prétendu que c’était un écrasement, mais on ne sait pas s’il s’est écrasé ou s’il a atterri. (J) On ne sait pas ce qui s’est réellement passé. (L) Était-ce l’écrasement d’un appareil ?

R : Que définit le terme « écrasement » ?

Q : (L) A-t-il fait quelque chose qu’il ne voulait pas ? [Rires] Un écrasement c’est quand on fait youpla sans en avoir l’intention.

R : Les formes pensées s’écrasent-elles ?

Q : (L) Je suppose que non. (J) OK ! C’était une forme pensée ; elle a traversé la densité et pourtant ils ont transporté quelque chose dans un camion. Qu’ont-ils emporté dans un camion ? Ou, ont-ils emporté quelque chose ?

R : Oui.

Q : (L) Qu’ont-ils emporté ? (SV) Une forme pensée ! [Rires]

R : Désolé ! Question à 64 000 dollars !

Q : (L) Je déteste quand ils font ça ! (T) Qu’ont-ils emporté ? Ils ont emporté un objet…

R : Comment apprendrez-vous sinon ?

Q : (J) Quoi ?

R : Ne faisons pas « ça » !

Q : (J) Je suppose que l’essentiel c’est qu’on ne sait pas vraiment ce que l’armée a déplacé !

(L) On ne sait absolument pas s’ils ont transporté quoi que ce soit. Ce n’est qu’une rumeur.

(J) Exactement.

(T) Tout ce qu’on sait, c’est que le 9 décembre, les habitants de Kecksburg, en Pennsylvanie, ont vu quelque chose tomber, ou ont pensé voir quelque chose tomber…

(J) Une lumière descendre…

(T) Ils ont vu l’armée arriver…

(J) Et ils ont vu quelque chose sortir…

(T) Et ils ont vu l’armée emporter quelque chose…

(J) Donc, qu’est-ce que ça nous dit ?

(T) Des habitants ont dit qu’ils avaient vu un grand objet métallique dans les bois, et on sait seulement ce qu’ils ont dit avoir vu… La plupart de la ville, et les services de police, ainsi que les pompiers, ont bien vu l’armée arriver, parce qu’elle a donné des ordres aux pompiers…

(L) Bon, voici ce que l’on sait [lit] :

« Le cas en question implique le présumé écrasement dudit ovni de Kecksburg récemment mis en avant dans les magazines, et même reconstitué à la télévision. L’objet en forme de « gland » serait tombé au sol dans l’Ouest de la Pennsylvanie le 9 décembre 1965. D’après les dires, des équipes de recherches de l’Air Force ont bouclé la zone boisée et emporté un grand objet. Il aurait plus tard été vu à la base Wright Patterson de l’Air Force près de Dayton, dans l’Ohio… » Il a été suggéré que le mystérieux intrus était le satellite soviétique Cosmos 96 qui est bien retombé dans l’atmosphère ce jour-là. Mais selon les porte-paroles de l’Air Force, cet appareil était tombé sur une autre partie de la planète 12 heures auparavant. Quel dommage, évidemment, car Cosmos 96 aurait fait un magnifique ovni…

En mai 1991, le Pittsburg Press a décidé de vérifier par lui-même les déclarations de l’Air Force. À cette fin, des journalistes se sont procurés les données de poursuite spatiale officielles du NORAD, à Cheyenne Mountain. Ces données vieilles de plusieurs décennies sont parvenues sous la forme de 8 clichés de la position orbitale du satellite. Le dernier cliché, quand il fut projeté dans l’espace et le temps par un éminent observateur de satellite souhaitant rester anonyme, sembla confirmer le compte-rendu officiel de l’Air Force. Mais, pris d’un soupçon et puisant dans ma propre expertise en opération spatiale et en pistage de satellite, je décidai de vérifier moi-même les données. Les données de poursuite dévoilées ne pouvaient pas correspondre aux pièces de la sonde défaillante. Pourquoi diable notre gouvernement ment-il ?

Dans les années 1960, les services de renseignement de l’armée des États-Unis, intéressés par la technologie ennemie, recueillaient avidement tous les débris spatiaux et balistiques soviétiques qu’ils pouvaient trouver. La législation internationale exigeait que les débris soient rendus au pays d’origine. Le Cosmos 96 était équipé d’un bouclier spécial détecteur de missiles ; trop précieux pour être rendu. Les sceptiques forcenés doutent toujours que quoi ce soit ait atterri en Pennsylvanie. Robert Young, enquêteur à Harrisburg, continue à trouver de nouvelles « failles » dans les dires des témoins. « Je suis maintenant plus convaincu que jamais que rien n’est tombé à Kecksburg », déclare-t-il. Et l’archi-sceptique Philip Klass… « [Hourra, Phil !] »… attribue les données du NORAD à des cafouillages, pas à une dissimulation.

Mais ceux qui, comme nous, étudient les relations entre le Renseignement Militaire des États-Unis et l’ancienne Union Soviétique, se demandent toujours, s’il n’y a pas, après tout, de meilleurs camouflages que de laisser les gens penser que l’objet tombé du ciel n’était pas une sonde soviétique, mais une soucoupe volante. Les Russes ne se douteraient jamais de rien ; les laboratoires de l’Air Force pourraient examiner le spécimen à loisir, et si la suspicion perdurait, on pouvait compter sur les férus d’ovnis pour entretenir l’histoire de couverture bidon protégeant l’authentique vérité. »


Voilà tout ce qu’on sait sur le prétendu atterrissage de Kecksburg.

(T) Pourquoi quelqu’un volerait-il dans une petite capsule en forme de gland ?

(L) Personne ne le voudrait. Mais souviens-toi, ça peut paraître très petit à l’extérieur mais être énorme à l’intérieur. (T) Et ils ont emporté quelque chose qui peut ou non avoir… Quoi que ce soit, ça a fait du chemin ! Quelque chose est passé à l’époque. Mes parents l’ont vu quand ça a survolé les Grands Lacs ! J’ai manqué ça. J’étais chez un ami. On est sorti de la maison dix minutes après qu’il soit passé et tout le monde disait, « Avez-vous vu ça ! Avez-vous vu ça ! » Et que dites-vous de ça : le mode c’est le truc important. Regroupons simplement tous les types non-humains sous le terme « alien ».

(J) Disons « non terrestres ».

(T) Non, on ne peut pas dire « non terrestres ». Cela aurait-il pu avoir été une expérimentation humaine utilisant la technologie de la Seconde Guerre mondiale, des travaux d’Einstein, de l’Expérience de Philadelphie ? Auraient-ils pu tripatouiller quelque chose qui est tombé là où ça ne devait pas ?

(L) Bonne question !

(T) L’objet a été décrit comme une petite capsule en forme de gland, ça ressemble beaucoup à ce qu’on lançait à l’époque sur des fusées… (J) Tout à fait ! (L) Terry est-il sur une piste, là ?

R : Peut-être…

Q : (T) Était-ce un prolongement des travaux de Philadelphie et de Montauk ?

R : Maintenant, cela soulève des questions intéressantes, n’est-ce pas ?

Q : (T) Oui. C’était il y a 30 ans !

R : Voulez-vous être ceux qui déchirent le voile ?

Q : (T) Pour sûr ! J’adore déchirer les voiles !

R : Êtes-vous certains que c’est bien prudent ?

Q : (T) Si l’on ne commence pas à déchirer quelques voiles sur certaines de ces questions, on ne pourra pas aller bien loin. Vous continuez à jouer avec ça et ensuite vous nous dites que c’est trop dangereux.

R : Pas la question. Apprendre des vérités pour toi-même ne pose pas de problème, mais est-ce prudent pour tous les autres ?

Q : (L) Est-ce encore un de ces trucs qu’on ne peut pas répéter ? (T) Non, je pense que cela pointait plus le fait que ça ne pose pas de problème pour moi d’apprendre des vérités, mais est-ce que je souhaite vous exposer vous tous ici… (L) Non, je pense que c’est plus le fait que les autres ne veulent pas savoir… (J) Ou ne sont pas prêts. (L) Si, en fait, le gouvernement est… (T) Bon, c’était il y a 30 ans, et si c’était un…

R : Qui est le « gouvernement » ?

Q : (T) Eh bien, je suppose que si nous voyions une liste des gens qui composent le vrai gouvernement, nous ne saurions pas d’où ils sortent ! Ils ne sont certainement jamais sur les bulletins de vote.

(L) Bon, ce qu’on a jusqu’ici c’est qu’il ne s’agissait pas d’un ovni au sens d’un vaisseau spatial, mais que ça a pu avoir été un objet avec lequel jouait le gouvernement lors de ses petites expérimentations pour déplacer des choses dans l’espace-temps… (J) Et qu’ils ne sont pas très doués en la matière. (L) Ils ont merdé ! Bien, question suivante : est-il possible de résister aux abductions grâce à la génération de sons ? Comme un son interne ?

R : Vague.

Q : (L) Eh bien, j’ai lu un article qui disait que différentes personnes avaient recours à plusieurs techniques dont elles pensent que cela les avaient aidées à arrêter, ou à éviter, d’être enlevées par des « aliens ». Une de ces techniques consiste à produire un son « interne », un « bourdonnement mental aigu », une autre est d’invoquer des esprits angéliques comme l’archange Michael, et une autre est de simplement dire « non », et ces gens pensent que cela leur a évité d’être abductés. L’une ou l’autre de ces techniques est-elle utile ?

R : Pot-pourri.

Q : (T) Les pots-pourris ce sont des fleurs séchées qui sentent bon.

R : Sauge, sel, Ôoohm, y a-t-il d’autres rituels qui vous plaisent ?

Q : (L) Autrement dit, rien ne fonctionne ? (T) Ce n’est pas ça qui les arrêtera ! Je maintiens un gros bouclier autour de la maison en plus de toutes ces choses, et ils parviennent quand même à passer !

R : Que diriez-vous de faire la danse du houla hoop avec des poivrons verts enfoncés dans les narines ! [Hilarité générale]

Q : (T) Trentre-trois fois ! Humour !

[Tom French s’assoit à la planche]

(TF) Frank, que ressens-tu quand tu fais ça ?

(L) L’extase ! Désolée !

(F) Eh bien, tu vas vite le savoir. Ce n’est pas comme si on ne sentait rien du tout, vraiment.

(L) Quand tu poses tes doigts, généralement deux doigts, il faut les poser légèrement mais fermement. Le but est d’avoir un contact sans créer de poussée. Généralement, la plupart des gens appuient trop fort, ou pas assez, et soit ils se retrouvent semés, soit ils bloquent le mouvement. [Revenant au sujet de la résistance aux abductions] Bon, les autres timbrés du milieu ufologique ne vont pas vouloir entendre ça, parce qu’ils aiment tous penser qu’ils possèdent toutes sortes de techniques de résistance, ils ont ces armes et ces machines psychotroniques, et ils pensent être tout-puissants avec des petites combines…

(T) Mike a un détecteur d’ovni dans un paquet de cigarettes.

(TF) Quoi ?!

(L) Oui. Mike F, notre ennemi juré.

(T) Il a un bidule électronique qu’il balade dans un paquet de cigarettes et selon lui, ça bipe ou autre quand des ovnis sont dans le coin !

(F) C’est marrant que tu mentionnes ça car quand on est allé à la réunion du MUFON à Clearwater, j’ai bien entendu un bip aigu distinct venir de lui.

(TF) À qui l’a-t-il dit ?

(L) Oh, il le raconte à tout le monde !

(J) Et un détecteur de conneries, ça existe ?

(TF) Maintenant, si je lis les paroles de « Born to Run », on voit bien qu’il y a quelque chose qui cloche.

(T) C’est un lézard. [Discussion sur les lézards, les cafards et les crapauds]

(L) Très bien ; maintenant à propos du cas de Linda Cortile — la femme qui aurait été abductée dans un gratte-ciel — le bruit court que cela se serait passé sous les yeux de Javier Pérez de Cuéllar, de ses gardes du corps, et de son chauffeur… (TF) Le type des Nations Unies. (L) Le témoin de la scène était-il réellement Javier ?

R : Oui, mais pas le seul.

Q : (L) Donc, il y en a eu d’autres ? Sur les deux personnes censées être les gardes du corps de la « personnalité », l’une d’elles a manifesté un comportement extrêmement bizarre après l’événement. Quelle en était la cause ? A-t-il voulu effrayer Linda Cortile, ou était-il simplement apeuré lui-même ?

R : Simple choc.

Q : (L) Donc, lui-même a eu du mal à gérer ça. Pendant qu’on discute de ce cas, il semble que cet incident particulier constituait en fait un enlèvement collectif, parce qu’un certain nombre de femmes dans le voisinage ont par la suite affirmé que non seulement elles avaient été abductées au cours de la même soirée, mais aussi que pendant qu’elles étaient emmenées dans le vaisseau elles avaient vu d’autres femmes sortir ensemble dans la rue. Était-ce réellement un enlèvement collectif ?

R : Une partie était de l’hystérie.

Q : (L) Est-ce que cela arrive qu’il y ait des enlèvements collectifs ?

R : Ouvert.

Q : (L) Linda Cortile a-t-elle inventé quoi que ce soit ?

R : Ouvert.

Q : (T) Budd Hopkins va-t-il finir par sortir cette histoire ?

R : Ouvert.

Q : (L) J’ai récemment lu un article d’une femme dénommée Dr Hulda Clark où elle prétend que tous les cancers, en fonction de certaines variations, sont dus à des parasites.

R : Non.

Q : (L) Bon, si la théorie d’Hulda Clark est fausse, quelle est la cause du cancer ?

R : Il y a de nombreuses causes.

Q : (L) Si je demande ça, c’est parce que TG a dû retourner à Houston pour passer des tests, car il avait mal au bras. Cela indique-t-il une récidive de son cancer ?

R : Oui.

Q : (L) Y a-t-il quelque chose à faire dans cette situation ? [Tom suggère de rester seul avec Frank à la planche et Laura retire ses doigts.]

R : Ouvert.

Q : (SV) Dans les thérapies corporelles que je pratique, je me suis retrouvée à faire beaucoup de spirales sur le corps des gens. J’ai obtenu de très bons résultats, mais je m’interroge sur la différence entre le mouvement dans le sens des aiguilles d’une montre et le mouvement en sens inverse ?

R : Attention !

Q : (SV) Eh bien, je ferais mieux de ne plus le faire ! (L) Non, ils ont juste dit de faire attention. (SV) Bon, y a-t-il une différence entre le sens des aiguilles d’une montre et le sens contraire ?

R : Suggérons d’apprendre davantage.

Q : (SV) Comment apprendre ? (Tom à Frank) Ressens-tu le pointeur bouger, et tes doigts le suivent en quelque sorte, ou sens-tu quelque chose se générer dans tes doigts pour leur insuffler le mouvement ? (F) Non, je ne sens rien se générer dans mes doigts. (L) Non, aucun de nous ne ressent quoi que ce soit à ce stade. Ce qui ne veut pas dire que les doigts ne font pas bouger la goutte [disque en plastique]. C’est juste totalement inconscient.

R : Besoin du flux d’énergie.

Q : (L) J’imagine qu’ils veulent dire qu’ils ont besoin du flux d’énergie des différentes personnes ou que le mouvement est un flux d’énergie qui nous traverse. Il est arrivé que la goutte s’échappe de sous nos doigts pour voler hors de la table. Quelque chose d’autre, Sue ? (SV) Oui. De qui obtenir cette formation ?

R : Observe, écoute, ouvre-toi !

Q : (L) OK, tu peux expérimenter sur moi !

R : Prudemment.

Q : (SV) Y a-t-il un danger à faire ça ?

R : Peut-être.

Q : (T) Est-ce parce que la spirale crée un flux d’énergie trop puissant pour la personne ?

R : Pas loin.

Q : (T) Cette technique a-t-elle déjà été utilisée auparavant ?

R : Oui.

Q : (T) Quelqu’un d’autre que Susan l’utilise-t-il actuellement ?

R : Oui.

Q : (T) Cette personne se trouve-t-elle dans notre région ?

R : Ouvert.

Q : (L) D’autres questions ? (TF) La dernière fois, j’ai posé des questions sur mon rêve de la montagne. J’aimerais savoir si les rêves de « M » de mon père cachent quelque chose ? Des rêves dans lesquels il était régulièrement terrorisé par la lettre « M ». (L) Tu l’as demandé la dernière fois et je crois qu’ils ont dit que ça avait un rapport avec la guerre.

R : Ouvert.

Q : (L) Quoi que ce soit d’autre avant que nous fermions boutique ? (T) Quel était le but de l’attaque que nous avons subie ? (L) Le but ?

R : Déjà répondu à ça.

Q : (T) Ici ? (L) Dans la transcription. (J) Oui. C’est dans la transcription. L’as-tu lue ? Et j’ai trouvé que c’était très intéressant. Je n’avais pas réalisé que vous étiez en pleine séance, et juste au moment où ils disent « Terry a besoin de discuter… » le téléphone a sonné et c’était nous qui appelions. (L) Toute la question était de…

R : Découvrir.

Q : (L) Ce jour-là, ils ont dit que l’attaque consistait à casser le groupe et que toute attaque vise essentiellement la foi. As-tu lu cette partie ? (T) Oui, mais ça ne rimait à rien. (L) Eh bien, ils ont dit que si on examine la tendance qui se dessine, toute attaque vise la foi.

R : Oui.

Q : (T) À quelle foi s’attaquaient-ils ?

R : Ouvert. Découvre.

Q : (T) M’a-t-on empêché d’apprendre quelque chose à propos du processus de recueil d’informations ?

R : À toi de le découvrir.

Q : (L) Bon, ça se réglera tout seul. (T) Ce n’était pas une attaque contre le groupe. Et ce n’était pas une attaque contre moi qui aurait vraiment fait une quelconque différence. Était-ce une attaque pour s’exercer ? (TF) Qui se dissimulait derrière le masque au Bal du Prophète Voilé ? C’est un bal des débutantes à Saint-Louis. (L) C’est quelqu’un qui est déguisé ? (TF) Ils sont juste là pour présider le bal.

R : Victor Moeller.

Q : (TF) C’était avant ma naissance. (J) Intéressant qu’ils aient donné un nom ! (TF) Je ne peux pas être plus précis que ça ! C’était en 1958.

R : Bonne nuit.

Fin de la séance
 
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Merci à l'équipe française pour cette traduction...

Thanks to the French team for this translation....
 
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