đź“š SĂ©ance du 12 avril 1997

Jacques

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Thanks to the members of the French translation group who have just translated that session.

Please post your comments in the original session: Session 12 April 1997

Merci aux membres de l’équipe française pour cette traduction.
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Date de la séance : 12 avril 1997

Participants : Laura, «Frank», Alice, Melissa (amie de VG), VG

Q : (L) Bonsoir.

R : Bonsoir.

Q : (L) Et qui est avec nous ce soir ?

R : Wosarriea.

Q : (L) Et d’où transmettez-vous ?

R : Cassiopée.

Q : (L) Nous avons une invitée ce soir, Melissa, et j’ai plusieurs questions que j’ai notées durant la semaine. Mais je suppose qu’on doit poser celle qui taraude VG pour qu’elle se calme.

R : Crash.

Q : (L) Oui, le récent accident d’avion au Colorado. Pouvez-vous nous dire ce qui s’est passé ?

R : Le pilote s’est éclipsé, l’avion a continué sur une trajectoire tracée par les magnétomètres employés par le radar et les systèmes de contrôle au sol.

Q : (L) Que voulez-vous dire par «le pilote s’est éclipsé» ?

R : Cessation de la conscience.

Q : (L) De manière naturelle ou à cause d’une source extérieure ?

R : Surveillez les futurs communiqués pour des indices.

Q : (V) Eh bien, je voulais savoir si ça avait un quelconque rapport avec des ovnis. (L) J’allais y venir, mais ils ont dit d’être attentifs aux indices.

R : Vous verrez bien.

{Button sur Wikipedia : Craig David Button (24 novembre 1964 – 2 avril 1997) était un pilote de l’Air Force des États-Unis mort en écrasant un A-10 Thunderbolt II dans de mystérieuses circonstances le 2~avril 1997. Lors de l’incident, le Capitaine Button a inexplicablement parcouru des centaines de kilomètres en déviant de son cap, sans contact radio, en paraissant manœuvrer avec un but précis, et n’a pas tenté de s’éjecter avant de s’écraseR. Étant donné qu’aucune autre théorie n’explique ces événements, sa mort est considérée comme un suicide. Son appareil transportait des bombes actives qui ne furent jamais retrouvées. Il fallut trois semaines pour trouver l’endroit où l’avion s’était écrasé. Pendant ce temps, les spéculations concernant les intentions du Capitaine Button et sa position allèrent bon train.

Le Capitaine Button se trouvait dans son avion d’attaque monoplace A-10 Thunderbolt II quand il décolla pour une mission d’entraînement avec deux autres A-10 de la base de l’Air Force Davis-Monthan de Tucson, en Arizona. Son avion à réaction était équipé de quatre bombes Mk-82, 60 leurres au magnésium, 120 lanceurs de paillettes et de 575 cartouches de 30 millimètres. Cette mission d’entraînement aurait été la première fois où le Capitaine Button aurait largué des munitions actives.

Près de Gila Bend, en Arizona, le Capitaine Button a inopinément quitté la formation après avoir été ravitaillé en vol. Il prit une direction nord-est vers la région des Four Corners du Colorado, Nouveau-Mexique, Arizona et Utah. Son appareil fut repéré plusieurs fois par des observateurs au sol. L’un d’eux, un pilote n’étant pas en service, a déclaré que l’avion semblait manœuvrer dans le cadre de mauvaises conditions météo. Cette remarque suggéra à l’Air Force que l’appareil était piloté manuellement et délibérément. Le vol fut suivi par radar à Phoenix, Albuquerque et Denver. Mais étant donné que le transpondeur du Capitaine Button était éteint, l’appareil ne put être que suivi et non identifié. Ce n’est qu’après avoir ultérieurement analysé les données radar que les enquêteurs purent retracer la trajectoire de Button.

À la fin de son parcours, l’appareil avait zigzagué. Il avait été repéré une dernière fois dans les airs à environ 160~km à l’ouest de Denver. L’avion a impacté un terrain à environ 24~km au sud-ouest de Vail, au Colorado, sur Gold Dust Peak (39°28'44N 106°35'40~W) dans une partie reculée d’Eagle County. L’Air Force a conclu que l’appareil ne disposait probablement plus que de deux à cinq minutes de carburant avant de s’écraser. L’impact s’est produit à environ 4 000~m d’altitude, à 30~m du sommet. Le champ de débris couvrit une superficie de plus de 0,64~km². Des parties de la verrière et du cockpit ont franchi une crête.

La recherche du site du crash a été conduite par l’US Air Force, la Garde nationale aérienne du Colorado et la Patrouille aérienne civile. Un avion de reconnaissance U-2 de la base Beale de l’Air Force en Californie avait survolé la région et identifié cinq sites possibles. Vingt jours après la disparition de l’appareil de Button, un hélicoptère TH-53A de l’Air Force avait repéré des fragments de métal dans la neige sur Gold Dust Peak. Terrain escarpé, mauvais temps, vents violents, neige abondante, éboulements et avalanches avaient empêché l’accès au site. Des rongeurs avaient même grignoté les cordes de l’équipe de récupération. Ce n’est que plusieurs jours plus tard qu’on a pu confirmer que l’épave était bien l’A-10 disparu du Capitaine Button. Il fallut encore quatre mois pour retrouver son corps.

Les quatre bombes Mk-82 de 225 kg ne furent jamais retrouvées malgré des fouilles intensives avec des détecteurs de métaux et un géoradar. Ces bombes étaient conçues pour résister à un crash et l’Air Force s’attendait donc à les retrouver sur le site. De plus, les râteliers à bombes avaient été retrouvés dans les débris, et ils indiquaient que les bombes n’avaient pas été larguées. Pourtant, plus d’une cinquantaine de témoins avaient signalé avoir entendu de fortes explosions en Arizona du Nord, et aussi près de Telluride et d’Aspen, au Colorado. Cependant, on ne put trouver aucune preuve pour étayer l’idée que Button avait largué les bombes là où les explosions avaient été entendues. Les bombes Mk-82 peuvent projeter des éclats jusqu’à 1,6 km, et le site du crash se trouvait à moins d’1,2 km d’un profond lac de montagne.}

Q : (L) Question suivante : j’aimerais savoir ce qu’est le «Conseil des Neuf» évoqué dans plusieurs livres que j’ai lus. Bon, il y a eu un ancien conseil des neuf, et il y a celui dont parle Phyllis Schlemmer qui est censé être un groupe d’aliens situé quelque part dans le Dakota du Nord, ou quelque chose comme ça. Pourriez-vous nous indiquer des sources sur ce Conseil des Neuf ?

R : Tromperie partielle.

Q : (L) Concernant les anciennes sources, ou les modernes ?

R : Prends les anciennes références et interprète les récits modernes en fonction du profil d’événements actuel.  ;

Q : (L) D’accord. Je peux le faire. Passons aux autres questions. Un des anciens textes apocryphes relate l’histoire que Joseph, l’époux de Marie, mère de Jésus, a raconté le soir où Jésus est né, et dans ce récit, il décrit un événement qu’on ne peut que qualifier de «temps figé». Autrement dit, que le temps s’était arrêté. Il décrit des gens assis à un dîner avec la nourriture à mi-chemin de leur bouche, les bras immobiles, les mâchoires figées en plein mastiquage, et pareil pour le bétail, etc. Et qu’il était en route pour trouver une sage-femme quand cela s’est produit. Le temps s’est-il réellement arrêté au moment de la naissance de Jésus ?

R : Pour beaucoup, le temps «s’arrête» à de nombreuses occasions selon leur niveau de sensibilité individuel.

Q : (L) En fonction de leur niveau de sensibilité. Pourquoi le niveau de sensibilité a-t-il un rapport avec l’arrêt du temps ?

R : Il s’est arrêté pour toi aussi.

Q : (L) S’est-il déjà arrêté en même temps pour la planète entière ?

R : Il n’a jamais «démarré».

Q : (L) Ce n’est qu’une perception. Une question amusante : j’ai une tache de naissance rouge à l’arrière de ma tête, dans les cheveux, mon frère aussi, et j’ai remarqué qu’Ark aussi. Quelle est la signification de cette tache de naissance, s’il y en a une ?

R : Plus tard.

Q : (L) D’accord. Vous ne répondrez pas. Maintenant, j’aimerais savoir qui étaient les Olmèques.

R : Sois plus spécifique.

Q : (L) D’accord, quelle est l’origine génétique des Olmèques ?

R : Fondamentalement la mĂŞme que la vĂ´tre.

Q : (L) Dans certaines des sculptures olmèques anciennes, ils sont toujours représentés avec une fossette sur le front. Cela correspondait-il à une réelle fossette physique ?

R : Désignation artistique de la «Nation du Troisième Œil».

Q : (L) On a déjà parlé de la Nation du Troisième Œil. Qu’est-ce que le troisième œil, et comment l’active-t-on ?

R : À ton avis ?

Q : (L) Eh bien, je pourrais me tromper. Est-ce la glande pinéale ?

R : Peut constituer un élément.

Q : (L) Le troisième œil peut-il servir à voir leur réalité ?

R : Idem.

Q : (L) Quelle est la meilleure méthode pour l’activer ?

R : Ceci en est une bonne, par exemple.

Q : (L) Oh, vous voulez parler du channeling. Il existait une ancienne coutume de trépanation du crâne. Pourquoi les anciens étaient-ils si nombreux à se porter volontaires pour se faire ouvrir la tête ?

R : Tentaient de localiser la source du mystère.

Q : (L) Y en a-t-il qui ont réussi avec cette opération ?

R : Nous en doutons sérieusement.

Q : (L) Bon, bon. Quelle était l’origine de la pratique du sacrifice humain ?

R : Nous avons déjà répondu à nombre de ces interrogations pour vous, de bien des façons.

Q : (L) Oui, je sais. Mais je ne pense pas avoir jamais posé cette question directement, même s’il pouvait y avoir des allusions.

R : Les allusions fournissent des pièces de la mosaïque, stimulant ainsi votre canal d’apprentissage.

Q : (L) Pourquoi pointez-vous toutes les lettres à côté ce soir ?

R : Les champs énergétiques varient en fonction des fluctuations électromagnétiques dans l’atmosphère qui entoure votre position en 3e densité.

Q : (L) Quelle est la source de cette variation actuelle ?

R : Éruption solaire.

Q : (V) La récente éruption solaire a donc un impact ! Et les journalistes qui ont dit qu’elle n’était pas assez puissante pour qu’on en ressente l’effet. (L) Hier soir, j’ai cherché le mot «brana» sur le Web, parce que nous avons un intérêt particulier à découvrir si ce nom a une quelconque signification. Et j’ai trouvé des éléments très intéressants. J’ai découvert que ce mot désignait un oiseau noir ou un corbeau en vieil anglais. Ça peut aussi être un nom en Yougoslavie et en Russie. C’était aussi le nom d’un grand roi irlandais. Pouvez-vous ajouter d’autres choses à cette liste ?

R : Qu’est-ce que ça te dit ?

Q : (L) Eh bien, que la source de financement ne se trouve peut-être pas dans ce pays. Peut-être en Russie ?

R : Méfiez-vous d’une aide inattendue.

Q : (L) Nous pouvons être méfiants et l’utiliser quand même, non ?

R : À vous de voir.

Q : (L) Si, en fait, le monde est dirigé par une clique avide de pouvoir, quelle différence cela ferait-il de recevoir de l’argent d’un pays ou d’un autre ?

R : Là n’est pas la question : qui «dirige» la «clique avide de pouvoir» ?

Q : (L) Donc… (V) Les Lizzies, les Lizzies…

R : OK…

Q : (L) Donc, ce que vous indiquez en fait d’une manière détournée, c’est que nous devrions décliner cette offre ?

R : Rien de tel. Nous indiquons d’une manière directe que vous devriez vous efforcer à l’objectivité à tout moment, et en particulier aux moments-clés comme celui-ci, et ne pas laisser la subjectivité, les émotions ou des idées ou décisions prises dans la précipitation vous gouverner !

Q : (L) Serait-il possible que cette source, cette «Brana», soit en contact avec le prétendu groupe Orion ?

R : Pardon ?

Q : (L) Je veux dire le Quorum tel que vous l’avez décrit ?

R : Soyez toujours vigilants, de sorte à éviter de percevoir une toile enchevêtrée comme une boucle bien construite.

Q : (L) Il a été suggéré dans une autre séance qu’il nous fallait consacrer du temps et de l’énergie au problème des crop circles.

R : Oui…

Q : (L) Et trouver des financements pour le faire correctement – par exemple en travaillant en réseau, etc. — est difficile, c’est le moins qu’on puisse dire.

R : La patience paie… «Vite fait, mal fait».

Q : (L) Bon, à la base, nous ne le ferions pas pour développer une technologie, mais pour obtenir des informations de nature plus cosmique ou théorique. Maintenant, savoir si cela pourrait conduire à une technologie est une autre question.

R : Revoyez d’où émanait cette offre et comment elle est arrivée, avant de «sauter dessus», si vous voulez éviter de devenir le poisson attiré par l’appât tout scintillant et appétissant !

Q : (L) Bon, alors…

R : Revoyez pour comprendre… cela viendra !

Q : (L) Qui est responsable de la perte des bagages ? [Comme relaté ci-dessus, Ark était rentré en Pologne, et ses bagages avaient été «perdus». Ils n’avaient été «retrouvés» qu’un jour ou deux plus tard, et avaient été livrés par erreur à l’appartement de son ex-femme.]

R : Les autorités polonaises. Maintenant, en addendum à la discussion précédente : Demandez et vous recevrez. Recevez sans demander, et vous serez floués !

Q : (L) Demandez et vous recevrez. Sur quoi axer la demande sans risquer d’être floués ?

R : Vous suggérons de commencer par approcher les réseaux que vous connaissez quelque peu et en qui vous avez une certaine confiance ! Contactez Colin Andrews, peut-être ? Mais gardez toutes les options et les pistes de recherches et de financement ouvertes.

Q : (L) C’est le mieux que l’on puisse obtenir pour l’instant ?

R : Probablement…

Q : (L) Revenons aux bagages. Les autorités polonaises, mais quelle branche ?

R : Police secrète.

Q : (L) Que cherchaient-ils ? N’importe quoi ?

R : Oui.

Q : (L) Est-ce que ça leur a suffi de voir qu’il n’y avait rien de subversif dedans ?

R : Oui.

Q : (L) Alors pourquoi ont-ils fait livrer les bagages là-bas ?

R : Erreur en toute bonne foi.

Q : (L) Cette erreur a-t-elle été favorisée par les Lizzies ?

R : Dans cette veine, il y a peu de choses dans votre lieu SDS qui ne le soit pas, en fin de compte.

Q : (L) Quelle a été la réaction de celle qui a reçu les bagages ?

R : Abasourdie.

Q : (L) Étais-je dans le vrai quand j’ai pensé qu’elle a filé chercher quelqu’un pour traduire la cassette ?

R : Eh bien, c’était plutôt filer «trouver mon avocat».

Q : (L) Ces informations seront-elles utilisées de manière préjudiciable contre lui ?

R : Oui.

Q : (L) Les bagages seront-ils rendus ?

R : Vous verrez bien… «Restez à l’écoute, attachez vos ceintures», etc.

Q : (L) Autre chose que vous pourriez me dire pour m’aider à dormir ce soir ?

R : Demande…

Q : (L) Cela va-t-il rallonger la procédure ?

R : Ouvert.

Q : (L) Va-t-elle comparaître à l’audience ?

R : Va très probablement demander un report, sur la base de «nouvelles informations» à verser aux preuves.

Q : (L) Serait-ce une bonne idée pour lui de suggérer qu’il peut obtenir un divorce américain ?

R : Bonne idée !!

Q : (L) Devons-nous laisser fuiter cette information, de sorte qu’elle en entende parler ?

R : Pourquoi ne pas procéder discrètement ?

Q : (L) Serait-il judicieux d’entamer des poursuites pour l’argent ?

R : Il pourrait être judicieux pour Ark de se concentrer simplement sur son nouveau départ, plutôt que sur l’ancien et défunt passé…

Q : (L) Cela signifie-t-il qu’il ne sera pas en mesure d’obtenir le règlement des affaires juridiques en Pologne ?

R : C’est une situation compliquée qui se déroulera de manière convenable si elle est gérée de façon positive, en regardant vers l’avant.

Q : (L) Regarder vers l’avant, ce serait regarder l’avenir ?

R : Oui.

Q : (L) Cela signifie-t-il s’occuper de certains de ses intérêts ?

R : Voir réponse précédente.

Q : (L) Ma première idée était qu’il devrait juste s’extraire de cette situation, et tout lui laisser. Il y a d’autres opportunités.

R : Regardez en avant, pas en arrière.

Q : (L) Je pense que les photos et la cassette ne seront plus là quand il récupérera les bagages.

R : Tu verras bien.

Q : (L) Pourquoi a-t-elle été abasourdie par ce qu’il y avait dans les bagages ?

R : Pense à tout ce qu’il y avait dans les bagages, et tu auras la réponse à cette question.

Q : (L) Étaient-ce les photos ?

R : Voir réponse précédente, l’obsession n’aide point, ma chère !

Q : (L) Je ne suis pas obsédée ! Juste curieuse.

R : Pas d’inquiétude, détends-toi et profite du spectacle !

Q : (L) Je ne peux pas en profiter si je pense qu’elle va le faire souffrir !

R : Assez sur le sujet !

Q : (L) D’accord. Récemment, je vous ai interrogés au sujet des fusions de réalité, et vous avez parlé de ponts de réalité. Et une autre fois, nous avons parlé du changement de vie de Frank à un moment où la «réalité sera restreinte». Y a-t-il une relation entre ces deux concepts ?

R : Bien sûr !

Q : (L) Vous avez mentionné des tournants importants. Ces tournants ont-ils un rapport avec les repères temporels que vous avez aussi mentionnés ?

R : Oui.

Q : (L) Est-il vrai que le fait de faire un certain choix ou de prendre une certaine décision nous permet d’entrer, ou de sortir, voire les deux, d’un univers structurel ou d’un autre ?

R : Peut-ĂŞtre.

Q : (L) D’accord. Si l’on fait certains choix extrêmement importants dans notre vie, à certains moments critiques significatifs, est-ce que notre réalité change du tout au tout ?

R : Rappelez-vous simplement ceci : comme nous vous l’avons déjà dit auparavant, partagez, méditez, apprenez et efforcez-vous de chercher des réponses, et demandez ce dont vous avez besoin. Soyez toujours le capitaine de votre navire…

Q : (M) Il y a un symbole qui me vient toujours à l’esprit, et j’aimerais savoir ce qu’il signifie. [Dessine le symbole qui ressemble à deux spirales dos à dos.]

R : La dualité du corps et de l’esprit… les deux sont parfaitement imbriqués pour ceux qui se trouvent sur les plans physiques/matériels. L’un reflète toujours l’autre dans l’existence intemporelle de toute la création !

Q : (L) Quelle est l’origine de ce symbole ?

R : Les symboles dérivent toujours naturellement d’une forme pensée de pure conscience.

Q : (L) Autre chose à propos de ce symbole ?

R : Non.

Q : (L) Peut-il servir à quelque chose ?

R : Apprendre : le renforcement du potentiel découlant de l’acquisition de connaissances.

Q : (L) Nous vous remercions, et bonne nuit.

R : Bonne nuit.

Fin de la séance
 

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