📚 Séance du 12 février 1997

Jacques

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Thanks to the members of the French translation group who have just translated that session.

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Merci aux membres de l’équipe française pour cette traduction.
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Date de la séance : 12 février 1997

Participants : Laura, «Frank», Ark, Alice
{La première séance ou ARk était physiquement présent}

Q : (L) Bonjour.

R : Bonjour.

Q : (L) Et quel nom devons-nous utiliser ce soir ?

R : Wardleh.

Q : (L) Et d’où transmettez-vous ?

R : Cassiopée.

Q : (L) Bon, les questions…

R : C’est vous qui avez les questions !!

Q : (L) Moi ?

R : Parlions-nous au singulier ? Ou au pluriel ?

Q : (L) Pose une question. (A) Moi ? Je n’ai pas réfléchi à une question… Je n’en trouve pas…

R : Arkadiusz, tes pensées se bousculent, ce qui te fatigue et te rend très alerte en même «temps».

Q : (A) Oui…

R : Nous voyons ces pensées… Ne rechigne pas à chercher du soulagement. Une question non posée mène à un problème non résolu, comme te l’ont appris toutes ces années de formation, d’éducation, de recherche et de partage.

Q : (A) Voici ma première question : je veux comprendre ce qu’est cette «mission prédestinée», en quoi elle consiste ?

R : Elle consiste à suivre le chemin qui s’est présenté à toi.

Q : (A) D’accord.

R : Nous ne te parlons pas de ta mission prédestinée, parce qu’alors elle ne serait plus «prédestinée». Tu apprends par l’expérience, et comme tu le pressens, tu es au seuil d’une expérience pour le moins profonde.

Q : (L) Quel genre d’expérience ? (A) Oui ! Quel genre ?

R : Nous pourrions vous demander la même chose !

Q : (A) Donc, nous ne savons pas quel genre d’expérience…

R : Si, nous le savons !!

Q : (L) Qui ça nous ? Nous ici, ou nous/vous en 6e densité ?

R : Qu’en pensez-vous ?

Q : (L) Arrêtez de me taquiner ! (A) Ce que j’en pense ? OK… (L) Cette expérience impliquera-t-elle un échange avec l’extérieur, une expérience intérieure, une expérience d’apprentissage ? Pouvez-vous me donner un indice ? (A) Oui…

R : Nous préférerions que ce soit Arkadiusz qui pose ces questions… Nous avons toujours été extrêmement impressionnés par ses compétences en la matière. Te rappelles-tu avoir été surpris par une pluie glaciale lors de la «longue marche», et comment, à travers ton irritation, tu as eu une idée qui a «ouvert une nouvelle porte» ? Nous nous souvenons de 1996 comme d’un tournant. Eh bien, en voici un autre, Arkadiusz, et les émotions te paraissent étrangement familières, mais cette fois, tu as l’aide d’autres personnes en 3e densité.

Q : (A) Mmmm. Je voudrais savoir si la physique est d’une quelconque utilité, ou si c’est quelque chose de totalement différent. Je suis censé me concentrer sur ce sur quoi nous sommes censés nous concentrer, alors cela requiert-il des compétences en physique, ou bien des compétences complètement différentes ?

R : Ne peux-tu pas combiner ?

Q : (A) D’accord. Je pourrais combiner. Mais quelles sont ces autres compétences ? Je n’en ai aucune idée.

R : Mais si, Arkadiusz. Tu as des réticences, comme un petit enfant qui apprend à marcher. Mais pourtant tu ne manques pas d’idées. Avant, lorsque la peur s’insinuait, tu avais la sagesse de ne pas «regarder en arrière», même si tu étais tenté de le faire. Regarde ce qui est arrivé !

Q : (A) OK, je ne crois pas qu’il y ait le moindre danger parce que je pense savoir comment éviter le danger ; je pense que ce sont des illusions. Je ne veux pas être… C’est juste que… Je n’y crois pas. Je suis en sécurité. Je ne crois pas qu’il y ait des dangers que je ne vois pas. Maintenant, y a-t-il des dangers dont je ne suis pas conscient ? Quelque chose de nouveau ?

R : Ce serait bien si ceux de troisième densité pouvaient en permanence être conscients de tous les dangers qui existent, mais à nouveau, l’apprentissage en serait entravé, n’est-ce pas ?

Q : (A) D’accord. Ce n’est rien. Rien, au fond. Ils évitent juste de répondre aux questions. Je pourrais tout aussi bien expliquer les choses moi-même. J’ai demandé s’il y avait quoi que ce soit de nouveau, quoi que ce soit dont je ne serais pas conscient !

R : Tu es actuellement moins en danger Ă  cause du lieu oĂą tu te trouves physiquement.

Q : (A) OK, ça, c’est nouveau. Pourquoi ?

R : Tu demandes pourquoi ? Eh bien, parce que les vecteurs d’attaque qui te sont spécifiques se trouvent là où tu as établi tes principales attaches.

Q : (A) Je veux savoir s’ils peuvent me dire ce que je devrais réellement faire au cours de ces deux mois que je suis censé passer ici ? Est-ce que je devrais travailler sur ce problème de phase de l’onde… quelle que soit l’onde… électromagnétique ou de gravité ou que sais-je… cette phase… la phase…

R : Les réponses concernant cette association viendront à toi avec une clarté surprenante, et se «dérouleront devant» toi avec une intensité de plus en plus grande à mesure que les jours passent.

Q : (A) D’accord. Parfait. C’est quelque chose qui sera continu. (L) Alors pourquoi as-tu posé la question ? (A) Parce que je pensais qu’il y aurait… (L) Parce que tu pensais qu’ils allaient tout te servir sur un plateau… (A) Non, non, non ! Je voulais un indice ! Mais il n’y a pas d’indice ! (L) Eh bien, ils ont pourtant dit «se dérouleront» et «devant toi». (A) Ça c’est sûr ! Devant moi et pas derrière moi ! (L) Bon, laisse-moi demander ça : y a-t-il un sens caché dans ces termes ? Se dérouler devant ?

R : Peut-ĂŞtre.

Q : (A) Il y a des indices devant moi. Qui m’attendent. Parfait. Peut-être que je ne devrais plus rien demander. OK, je passe. Parce qu’il n’y a rien de complet… Je veux dire, c’était une question complète. Je pensais que la réponse serait complète.

R : Tu te retiens de poser les questions auxquelles tu adorerais avoir les réponses. La clarté de la réponse repose sur le niveau de précision de la question !

Q : (A) Donc, ils me demandent quelles sont ces questions. Les gènes, la théorie du champ unifié, la relativité et le temps. OK, voilà les questions. Quoi d’autre ? D’un côté, il semblerait que ce qu’il faut faire relève clairement du spirituel, qu’il faille être spirituel, et l’on n’y parvient pas en faisant des équations et des mathématiques. Et il a été suggéré… de ce que j’ai compris, que la physique ou les mathématiques ne sont pas nécessaires… (L) Qui a dit ça ? Pas les C’s ! Ils ont dit que les mathématiques étaient très importantes ! (A) Ouiii… d’accord. C’est ce qu’ils ont dit. Mais quand je leur ai demandé quel genre de mathématiques… ils ont dit quelque chose qui… je veux dire, la réponse technique à cette question… (F) Bon, peut-être que s’ils t’ont donné des réponses incompréhensibles au départ, tu devrais les examiner plus en détail et tu pourrais découvrir qu’elles recèlent quelque chose d’important. C’est comme une chasse au trésor. Un trésor enfoui. On n’apprendra rien s’ils ne font que nous donner les réponses. Oui, ils peuvent être très précis, et peut-être même plus précis qu’on ne le pense. Mais les réponses en elles-mêmes doivent être étudiées très attentivement. (A) Mmmmm.

(L) Laissez-moi poser une question. Tout à l’heure, ils ont parlé d’être au seuil d’une expérience. Et maintenant ils disent que quelque chose va se dérouler devant toi. Les deux réponses, «seuil» et «se dérouler devant toi» sont-elles liées ?

R : Bien sûr !!!

Q : (L) OK, il est au seuil d’une sorte d’expérience. Y a-t-il moyen pour nous d’identifier cette expérience ? Sera-t-elle tellement extraordinaire qu’on ne pourra pas la louper ? Ou doit-on vraiment prêter attention, sous peine de la manquer ?

R : Que sous-entend le mot «seuil» ?

Q : (L) Euh, une porte. C’est une porte. Cela veut-il dire qu’il va passer une porte, psychiquement, spirituellement, physiquement ? Aller chez quelqu’un ?

R : Cela ne sous-entend pas seulement une «porte», mais aussi son propre positionnement, et un sentiment d’inévitabilité.

Q : (L) Puis-je aider en quoi que ce soit ?

R : N’as-tu pas déjà aidé ?

Q : (L) Mais je veux dire spécifiquement vis-à-vis de cette expérience de «seuil» et de «déroulement» ?

R : Oui ! Et d’ailleurs, Arkadiusz, la science est bien des plus spirituelles !

Q : (L) Eh bien, compte tenu de certains autres éléments, je me demandais juste si nos chemins de vie sont maintenant censés être parallèles ou diverger… comment s’associent-ils à partir de maintenant…

R : Il nous semble que vos chemins sont en train de s’entrelacer !

Q : (L) Le recours au mot «entrelacer» est curieux. Vous l’avez également utilisé pour décrire la relation entre l’électromagnétisme et la gravité. Y a-t-il un parallèle ?

R : Si tel est ton souhait.

Q : (L) Bon, je suis fatiguée, Ark est fatigué, donc alors y a-t-il autre chose que vous souhaitiez nous dire ce soir ?

R : Conjuguez les énergies dans votre quête de réponses, et le reste se mettra en place.

Q : (L) Une dernière question : vous dites «conjuguez les énergies». En quoi cela facilitera-t-il la quête de réponses ?

R : Âmes complémentaires.

Q : (L) D’accord. Merci et bonne nuit.

R : Bonne nuit.

Fin de la séance
 
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