Thanks to the members of the French translation group who have just translated that session.
Please post your comments in the original session: Session 15 March 1997
Merci aux membres de l’équipe française pour cette traduction.
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Date de la séance : 15 mars 1997
Participants : Laura, Ark, «Frank», VG, Alice
Q : (L) Bonsoir.
R : Bonsoir.
Q : (L) Et quel nom devons-nous utiliser ce soir ?
R : Torra.
Q : (L) Et d’où transmettez-vous ?
R : Cassiopée.
Q : (L) À l’état naturel, on sait qu’un photon peut se diviser en un positron et un électron à la suite d’une interaction. À l’état naturel, les électrons viennent-ils des photons ?
R : Non.
Q : (L) D’accord. À l’état naturel, d’où viennent les électrons ?
R : Frontière entre l’éther et le continuum matériel
Q : (L) D’où vient le proton ?
R : 7e densité.
Q : (L) Donc, un proton provient de la 7e densité, mais pas l’électron.
R : L’un n’exclut pas l’autre.
Q : (L) Dans un matériau qui conduit l’électricité, disons un fil électrique, on a un circuit où, en gros, les électrons passent d’atome en atome le long de celui-ci. Et pourtant, ils ne se tarissent pas, ils s'épuisent, ce n’est que la résistance qui produit la chaleur qui provoque l’incandescence…
R : Le centre de gravité planétaire est aussi une «fenêtre» vers tous les autres niveaux de densité et plans dimensionnels de l’existence, c’est pourquoi les atomes chargés électriquement «se relient à la terre» afin de passer à d’autres plans par le liant gravitationnel.
Q : (L) Pour en revenir à ma question du passage des électrons le long d’un circuit : quelle force initie le passage d’un électron d’un atome à un autre ce qui se manifeste sous forme d’électricité ?
R : L’énergie électrique est simplement «puisée», collectée, piégée, puis canalisée.
Q : (L) Si elle est puisée, d’où l’est-elle ?
R : Collecte d’électrons.
Q : (L) Qu’est-ce qu’un électron collecté ?
R : Pas «un» électron collecté. En collectant des électrons.
Q : (L) Qu’est-ce qui collecte les électrons ?
R : Les utilisateurs. Les électrons sont de l’énergie «libre».
Q : (L) D’accord, mais où… Je pense que dans un circuit électrique, les électrons qui sont là , sont ceux par qui ça commence, ceux qui sont transmis, et ceux qui restent une fois que le circuit est coupé et que le passage d’électrons cesse. Ai-je tort ?
R : Oui.
Q : (L) OK… alors…
R : Il n’y a ni début ni fin.
Q : (L) Alors, en essence, l’électricité est un flux d’électrons ?
R : Oui.
Q : (L) Vous dites qu’ils sont puisés ? Où sont-ils puisés ? Quelle est l’origine de ces électrons libres ?
R : Tous matériaux. Toute matière. Tout éther.
Q : (L) Ce sont les électrons du conducteur lui-même qui sont transmis, et c’est comme cela que se manifeste le flux électrique ?
R : Peut-ĂŞtre.
Q : (L) Dans quel sens est-ce que je me trompe ?
R : En limitant le concept au «conducteur».
Q : (L) L’énergie électrique sera présente dans tout. Mais dans certains matériaux spécifiques, comme ce qu’on appelle des conducteurs, l’énergie électrique est, comme vous dites, collectée, piégée et canalisée, ce qui s’avère utile, car cela crée de la lumière et fait fonctionner des machines, etc.
R : Primitif.
Q : (L) D’accord. C’est primitif. On comprend ça. Dans ce qu’on appelle un supraconducteur, en quoi le mouvement de l’électricité est-il différent par rapport à un conducteur ordinaire, comme un fil en cuivre ?
R : Accélère le flux, ce qui sépare les électrons, ce qui «stimule» le processus.
Q : (L) Quelles sont les propriétés que possède un supraconducteur qui contribuent à cette accélération du flux ?
R : Pulsation magnétique cyclique.
Q : (L) Qu’est-ce qui crée une pulsation magnétique cyclique ?
R : Matière au sein d’un vide gravitationnel.
Q : (L) Comment crée-t-on un vide gravitationnel ?
R : Dans ce cas-ci, il se crée involontairement en tant que produit dérivé de la supraconductivité.
Q : (L) Vous dites qu’un supraconducteur sépare les électrons, ce qui stimule le flux. Qu’entendez-vous par «séparer» ?
R : L’un de l’autre.
Q : (L) En quoi est-ce différent d’un flux électrique normal ?
R : Pas aussi espacés.
Q : (L) Cette séparation des électrons est-elle essentielle à ce processus ?
R : Oui.
Q : (L) Quelles conditions ou propriétés supplémentaires contribuent à la séparation des électrons ?
R : Demandez-vous maintenant quelles conditions définissent un supraconducteur.
Q : (L) Ce qui définit un supraconducteur ? (A) Une résistance nulle. (V) Il y a absence de gravité ? (A) Aucun échauffement. (L) Comment parvient-on à une résistance nulle ?
R : Conception artificielle.
Q : (L) Voulez-vous dire qu’il s’agit d’une idée artificielle ou que le seul objet pouvant avoir une résistance nulle serait conçu artificiellement ?
R : Les deux.
Q : (L) Donc, un véritable supraconducteur avec absolument aucune résistance n’est pas réellement possible ? Mais la résistance peut être réduite à un très faible niveau.
R : Pas loin.
Q : (L) Le froid a-t-il forcément un rapport avec la supraconductivité ?
R : Quelles conditions règnent dans l’espace intersidéral ?
Q : (L) Eh bien, il y fait très froid… (A) C’est presque du vide. (L) Il n’y a pas de gravité. (A) Si, il y a de la gravité, mais c’est tout. Je pense qu’on devrait demander quelle est la relation entre la supraconductivité et la gravité. Ils ont mentionné quelque chose… qu’ont-ils dit à propos de l’éther ?
R : Sphère d’existence non matérielle.
Q : (L) Autrement dit, la conscience. Bon, vous avez mentionné une pulsation magnétique cyclique qui était un produit dérivé involontaire de la supraconductivité, et quelque chose au sujet de la matière au sein d’un vide gravitationnel… Pourriez-vous préciser ce qu’est une pulsation magnétique cyclique ?
R : Les mots parlent d’eux-mêmes.
Q : (L) Vous avez dit que ça dérivait de la matière au sein d’un vide gravitationnel. Cela signifie-t-il que la supraconductivité crée un vide gravitationnel ?
R : Oui.
Q : (A) Où ? Dans le supraconducteur ou à l’extérieur ?
R : Dedans.
Q : (A) D’après ce que l’on sait, cela crée aussi un vide électromagnétique. Est-il vrai qu’il n’y a pas de champ magnétique dans un supraconducteur ?
R : Nous avons déjà indiqué que ces deux propriétés étaient entrelacées.
Q : (L) L’électromagnétisme et la gravité. Donc, s’il n’y a pas de gravité, il n’y a pas d’électromagnétisme. Mais alors, où se trouve la pulsation magnétique ?
R : La pulsation existe à l’extérieur du vide gravitationnel, mais à l’intérieur du supraconducteur. Imaginez une structure tubulaire.
Q : (L) L’état de supraconductivité se trouve-t-il au sein du vide gravitationnel ou dans la pulsation électromagnétique ?
R : Tout ensemble. La structure normale pour canaliser un flux d’électron dans un conducteur est un «tube» solide ; dans un supraconducteur, il s’agit d’une structure tubulaire «creuse», d’où la présence de vide.
Q : (L) Cette structure tubulaire creuse a-t-elle une incidence sur la séparation des électrons que vous avez mentionnés ?
R : Manifestation de la mĂŞme chose.
Q : (L) Donc, pour avoir un supraconducteur, on doit avoir une température similaire à celle de l’espace ainsi que peut-être une composition chimique semblable aux propriétés ambiantes de l’espace, mais en beaucoup plus condensé, c’est ça ?
R : Pas loin.
Q : (A) Sous-entendent-ils qu’il n’y a aucune gravité sans supraconducteur ? Ils parlent d’un vide, ce qui implique quoi ? Pas de gravité ?
R : Dedans.
Q : (A) Aucune gravité dedans.
R : Pas «aucune», juste beaucoup moins, et de nature fragmentaire.
Q : (A) Mais, d’un autre côté, ils parlent de vide… (L) Mais chéri, le vide parfait, ça n’existe pas ! (A) Oui. Tu as raison. OK. Je désire comprendre cette 7e densité. Les protons viennent de la 7e densité ? Ou ce sont des fenêtres vers la 7e densité, ou… quoi ? (L) Vous avez dit que les protons venaient de la 7e densité. Qu’entendiez-vous précisément par là  ?
R : Au sens ultime.
Q : (L) Donc, un proton est une petite manifestation de la conscience de Dieu ?
R : Non.
Q : (L) Bon, c’est comme ça que je comprendrais «sens ultime». Corrigez-moi s’il vous plaît.
R : Trop complexe.
Q : (L) D’accord. (F) Araignée ! (A) En effet ! Une araignée ! [À ce moment précis, une araignée est descendue du plafond par un fil.] (L) Minuscule petite araignée… (A) C’est un espion ! (F) Oui, mais de 2e densité. (A) Mais qui possède beaucoup de protons ! (F) C’est sa connexion avec la 7e densité. [L’araignée est secourue et mise ailleurs.] (L) Bon, revenons aux questions. Pourriez-vous me donner un indice sur cette histoire de proton ?
R : Demande.
Q : (L) D’accord, un proton est associé à un électron… (V) Est-ce que la 7e densité détermine combien de protons descendent ou sont disponibles à un moment donné ? (L) Je pense que cette question nous amènerait beaucoup trop loin…
R : Oui, en effet.
Q : (L) Calme-toi, VG. J’ai une toile d’araignée sur la main. OK. Les protons. (V) Les protons ne sont-ils pas juste des fragments d’énergie plus petits ? (L) Un proton est un fermion. (A) Oui. Un proton est un fermion. D’accord voilà une question concernant ce proton. Est-ce quelque chose d’éternel ou quelque chose qui se dégrade ? Si c’est de 7e densité… Combien de temps vit un proton ?
R : Une explosion atomique fusionne la fenĂŞtre densitaire.
Q : (A) Comment ça, fusionne ? Ça explose ! Fusionne avec quoi ?
R : Où les protons interviennent-ils dans l’équation de réaction en chaîne atomique ?
Q : (L) Qu’est-ce qui arrive aux protons dans une réaction en chaîne atomique ? (A) D’accord. Je vais devoir vérifier. Je vais aller voir ça. Mais, quel est le rapport avec ça ? (L) Eh bien, si un proton vient de la 7e densité, c’est de toute évidence une fenêtre. (A) Oui, une fenêtre. Une minuscule fenêtre. (V) Je dois partir. (L) D’accord, on va arrêter là pour l’instant et on reviendra sur la réaction en chaîne quand on saura quelles questions formuler. Permettez-moi de demander très rapidement ce qui m’a rendue aussi brutalement malade hier soir ?
R : PtomaĂŻne, mauvais jus de viande ou sauce.
Q : (L) Ces dernières nuits, des choses très étranges me sont arrivées durant mon sommeil. Je me suis réveillée en sursaut, ou en me débattant, ou en sentant quelque chose me toucher… Qu’est-ce qui se passe ?
R : Cimetière.
Q : (L) Vous voulez dire que le lieu où nous nous trouvons était autrefois un cimetière ?
R : Il y a 400 ans.
Q : (L) Génial ! Tout ce que j’avais besoin d’entendre ! Puis-je faire quelque chose pour limiter ces phénomènes ?
R : Non.
Q : (L) Est-ce particulièrement néfaste, ou juste embêtant ?
R : Plus ce dernier.
Q : (L) Comment se fait-il que cela me perturbe, et pas Ark ?
R : Profil de sensibilité.
Q : (L) Un conseil en général ? (A) Demandons s’il y a quelque chose que nous devrions faire avant d’aller à la conférence ufologique de Gulf Breeze ?
R : Bien se reposer.
Q : (L) Bien se reposer ?! Ça, on le sait. Est-il souhaitable d’aller à cette conférence en particulier ?
R : Oui.
Q : (L) Quoi d’autre ?
R : À vous de voir.
Q : (L) Alors nous vous remercions et vous souhaitons bonne nuit.
R : Bonne nuit.
Fin de la séance
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Merci aux membres de l’équipe française pour cette traduction.
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Date de la séance : 15 mars 1997
Participants : Laura, Ark, «Frank», VG, Alice
Q : (L) Bonsoir.
R : Bonsoir.
Q : (L) Et quel nom devons-nous utiliser ce soir ?
R : Torra.
Q : (L) Et d’où transmettez-vous ?
R : Cassiopée.
Q : (L) À l’état naturel, on sait qu’un photon peut se diviser en un positron et un électron à la suite d’une interaction. À l’état naturel, les électrons viennent-ils des photons ?
R : Non.
Q : (L) D’accord. À l’état naturel, d’où viennent les électrons ?
R : Frontière entre l’éther et le continuum matériel
Q : (L) D’où vient le proton ?
R : 7e densité.
Q : (L) Donc, un proton provient de la 7e densité, mais pas l’électron.
R : L’un n’exclut pas l’autre.
Q : (L) Dans un matériau qui conduit l’électricité, disons un fil électrique, on a un circuit où, en gros, les électrons passent d’atome en atome le long de celui-ci. Et pourtant, ils ne se tarissent pas, ils s'épuisent, ce n’est que la résistance qui produit la chaleur qui provoque l’incandescence…
R : Le centre de gravité planétaire est aussi une «fenêtre» vers tous les autres niveaux de densité et plans dimensionnels de l’existence, c’est pourquoi les atomes chargés électriquement «se relient à la terre» afin de passer à d’autres plans par le liant gravitationnel.
Q : (L) Pour en revenir à ma question du passage des électrons le long d’un circuit : quelle force initie le passage d’un électron d’un atome à un autre ce qui se manifeste sous forme d’électricité ?
R : L’énergie électrique est simplement «puisée», collectée, piégée, puis canalisée.
Q : (L) Si elle est puisée, d’où l’est-elle ?
R : Collecte d’électrons.
Q : (L) Qu’est-ce qu’un électron collecté ?
R : Pas «un» électron collecté. En collectant des électrons.
Q : (L) Qu’est-ce qui collecte les électrons ?
R : Les utilisateurs. Les électrons sont de l’énergie «libre».
Q : (L) D’accord, mais où… Je pense que dans un circuit électrique, les électrons qui sont là , sont ceux par qui ça commence, ceux qui sont transmis, et ceux qui restent une fois que le circuit est coupé et que le passage d’électrons cesse. Ai-je tort ?
R : Oui.
Q : (L) OK… alors…
R : Il n’y a ni début ni fin.
Q : (L) Alors, en essence, l’électricité est un flux d’électrons ?
R : Oui.
Q : (L) Vous dites qu’ils sont puisés ? Où sont-ils puisés ? Quelle est l’origine de ces électrons libres ?
R : Tous matériaux. Toute matière. Tout éther.
Q : (L) Ce sont les électrons du conducteur lui-même qui sont transmis, et c’est comme cela que se manifeste le flux électrique ?
R : Peut-ĂŞtre.
Q : (L) Dans quel sens est-ce que je me trompe ?
R : En limitant le concept au «conducteur».
Q : (L) L’énergie électrique sera présente dans tout. Mais dans certains matériaux spécifiques, comme ce qu’on appelle des conducteurs, l’énergie électrique est, comme vous dites, collectée, piégée et canalisée, ce qui s’avère utile, car cela crée de la lumière et fait fonctionner des machines, etc.
R : Primitif.
Q : (L) D’accord. C’est primitif. On comprend ça. Dans ce qu’on appelle un supraconducteur, en quoi le mouvement de l’électricité est-il différent par rapport à un conducteur ordinaire, comme un fil en cuivre ?
R : Accélère le flux, ce qui sépare les électrons, ce qui «stimule» le processus.
Q : (L) Quelles sont les propriétés que possède un supraconducteur qui contribuent à cette accélération du flux ?
R : Pulsation magnétique cyclique.
Q : (L) Qu’est-ce qui crée une pulsation magnétique cyclique ?
R : Matière au sein d’un vide gravitationnel.
Q : (L) Comment crée-t-on un vide gravitationnel ?
R : Dans ce cas-ci, il se crée involontairement en tant que produit dérivé de la supraconductivité.
Q : (L) Vous dites qu’un supraconducteur sépare les électrons, ce qui stimule le flux. Qu’entendez-vous par «séparer» ?
R : L’un de l’autre.
Q : (L) En quoi est-ce différent d’un flux électrique normal ?
R : Pas aussi espacés.
Q : (L) Cette séparation des électrons est-elle essentielle à ce processus ?
R : Oui.
Q : (L) Quelles conditions ou propriétés supplémentaires contribuent à la séparation des électrons ?
R : Demandez-vous maintenant quelles conditions définissent un supraconducteur.
Q : (L) Ce qui définit un supraconducteur ? (A) Une résistance nulle. (V) Il y a absence de gravité ? (A) Aucun échauffement. (L) Comment parvient-on à une résistance nulle ?
R : Conception artificielle.
Q : (L) Voulez-vous dire qu’il s’agit d’une idée artificielle ou que le seul objet pouvant avoir une résistance nulle serait conçu artificiellement ?
R : Les deux.
Q : (L) Donc, un véritable supraconducteur avec absolument aucune résistance n’est pas réellement possible ? Mais la résistance peut être réduite à un très faible niveau.
R : Pas loin.
Q : (L) Le froid a-t-il forcément un rapport avec la supraconductivité ?
R : Quelles conditions règnent dans l’espace intersidéral ?
Q : (L) Eh bien, il y fait très froid… (A) C’est presque du vide. (L) Il n’y a pas de gravité. (A) Si, il y a de la gravité, mais c’est tout. Je pense qu’on devrait demander quelle est la relation entre la supraconductivité et la gravité. Ils ont mentionné quelque chose… qu’ont-ils dit à propos de l’éther ?
R : Sphère d’existence non matérielle.
Q : (L) Autrement dit, la conscience. Bon, vous avez mentionné une pulsation magnétique cyclique qui était un produit dérivé involontaire de la supraconductivité, et quelque chose au sujet de la matière au sein d’un vide gravitationnel… Pourriez-vous préciser ce qu’est une pulsation magnétique cyclique ?
R : Les mots parlent d’eux-mêmes.
Q : (L) Vous avez dit que ça dérivait de la matière au sein d’un vide gravitationnel. Cela signifie-t-il que la supraconductivité crée un vide gravitationnel ?
R : Oui.
Q : (A) Où ? Dans le supraconducteur ou à l’extérieur ?
R : Dedans.
Q : (A) D’après ce que l’on sait, cela crée aussi un vide électromagnétique. Est-il vrai qu’il n’y a pas de champ magnétique dans un supraconducteur ?
R : Nous avons déjà indiqué que ces deux propriétés étaient entrelacées.
Q : (L) L’électromagnétisme et la gravité. Donc, s’il n’y a pas de gravité, il n’y a pas d’électromagnétisme. Mais alors, où se trouve la pulsation magnétique ?
R : La pulsation existe à l’extérieur du vide gravitationnel, mais à l’intérieur du supraconducteur. Imaginez une structure tubulaire.
Q : (L) L’état de supraconductivité se trouve-t-il au sein du vide gravitationnel ou dans la pulsation électromagnétique ?
R : Tout ensemble. La structure normale pour canaliser un flux d’électron dans un conducteur est un «tube» solide ; dans un supraconducteur, il s’agit d’une structure tubulaire «creuse», d’où la présence de vide.
Q : (L) Cette structure tubulaire creuse a-t-elle une incidence sur la séparation des électrons que vous avez mentionnés ?
R : Manifestation de la mĂŞme chose.
Q : (L) Donc, pour avoir un supraconducteur, on doit avoir une température similaire à celle de l’espace ainsi que peut-être une composition chimique semblable aux propriétés ambiantes de l’espace, mais en beaucoup plus condensé, c’est ça ?
R : Pas loin.
Q : (A) Sous-entendent-ils qu’il n’y a aucune gravité sans supraconducteur ? Ils parlent d’un vide, ce qui implique quoi ? Pas de gravité ?
R : Dedans.
Q : (A) Aucune gravité dedans.
R : Pas «aucune», juste beaucoup moins, et de nature fragmentaire.
Q : (A) Mais, d’un autre côté, ils parlent de vide… (L) Mais chéri, le vide parfait, ça n’existe pas ! (A) Oui. Tu as raison. OK. Je désire comprendre cette 7e densité. Les protons viennent de la 7e densité ? Ou ce sont des fenêtres vers la 7e densité, ou… quoi ? (L) Vous avez dit que les protons venaient de la 7e densité. Qu’entendiez-vous précisément par là  ?
R : Au sens ultime.
Q : (L) Donc, un proton est une petite manifestation de la conscience de Dieu ?
R : Non.
Q : (L) Bon, c’est comme ça que je comprendrais «sens ultime». Corrigez-moi s’il vous plaît.
R : Trop complexe.
Q : (L) D’accord. (F) Araignée ! (A) En effet ! Une araignée ! [À ce moment précis, une araignée est descendue du plafond par un fil.] (L) Minuscule petite araignée… (A) C’est un espion ! (F) Oui, mais de 2e densité. (A) Mais qui possède beaucoup de protons ! (F) C’est sa connexion avec la 7e densité. [L’araignée est secourue et mise ailleurs.] (L) Bon, revenons aux questions. Pourriez-vous me donner un indice sur cette histoire de proton ?
R : Demande.
Q : (L) D’accord, un proton est associé à un électron… (V) Est-ce que la 7e densité détermine combien de protons descendent ou sont disponibles à un moment donné ? (L) Je pense que cette question nous amènerait beaucoup trop loin…
R : Oui, en effet.
Q : (L) Calme-toi, VG. J’ai une toile d’araignée sur la main. OK. Les protons. (V) Les protons ne sont-ils pas juste des fragments d’énergie plus petits ? (L) Un proton est un fermion. (A) Oui. Un proton est un fermion. D’accord voilà une question concernant ce proton. Est-ce quelque chose d’éternel ou quelque chose qui se dégrade ? Si c’est de 7e densité… Combien de temps vit un proton ?
R : Une explosion atomique fusionne la fenĂŞtre densitaire.
Q : (A) Comment ça, fusionne ? Ça explose ! Fusionne avec quoi ?
R : Où les protons interviennent-ils dans l’équation de réaction en chaîne atomique ?
Q : (L) Qu’est-ce qui arrive aux protons dans une réaction en chaîne atomique ? (A) D’accord. Je vais devoir vérifier. Je vais aller voir ça. Mais, quel est le rapport avec ça ? (L) Eh bien, si un proton vient de la 7e densité, c’est de toute évidence une fenêtre. (A) Oui, une fenêtre. Une minuscule fenêtre. (V) Je dois partir. (L) D’accord, on va arrêter là pour l’instant et on reviendra sur la réaction en chaîne quand on saura quelles questions formuler. Permettez-moi de demander très rapidement ce qui m’a rendue aussi brutalement malade hier soir ?
R : PtomaĂŻne, mauvais jus de viande ou sauce.
Q : (L) Ces dernières nuits, des choses très étranges me sont arrivées durant mon sommeil. Je me suis réveillée en sursaut, ou en me débattant, ou en sentant quelque chose me toucher… Qu’est-ce qui se passe ?
R : Cimetière.
Q : (L) Vous voulez dire que le lieu où nous nous trouvons était autrefois un cimetière ?
R : Il y a 400 ans.
Q : (L) Génial ! Tout ce que j’avais besoin d’entendre ! Puis-je faire quelque chose pour limiter ces phénomènes ?
R : Non.
Q : (L) Est-ce particulièrement néfaste, ou juste embêtant ?
R : Plus ce dernier.
Q : (L) Comment se fait-il que cela me perturbe, et pas Ark ?
R : Profil de sensibilité.
Q : (L) Un conseil en général ? (A) Demandons s’il y a quelque chose que nous devrions faire avant d’aller à la conférence ufologique de Gulf Breeze ?
R : Bien se reposer.
Q : (L) Bien se reposer ?! Ça, on le sait. Est-il souhaitable d’aller à cette conférence en particulier ?
R : Oui.
Q : (L) Quoi d’autre ?
R : À vous de voir.
Q : (L) Alors nous vous remercions et vous souhaitons bonne nuit.
R : Bonne nuit.
Fin de la séance
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