📚 Séance du 18 août 2002

Jacques

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Merci aux membres de l’équipe française pour cette traduction.
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Séance du 18 août 2002

Laura, Ark, Terry, Jan

Q : (L) Bonjour.

R : Bonjour.

Q : (L) Et qui est avec nous ce soir ?

R : Xtqf.

Q : (L) C’est un nom ?

R : Oui.

Q : (L) Et d’où transmettez-vous ?

R : Cassiopée.

Q : (L) Ce n’est pas la façon dont vous l’épelez habituellement, pourquoi l’avez-vous épelé différemment ?

R : 3 intention.

Q : (L) 3 intention ? (T) Vous êtes de Cassiopée ?

R : Bonjour. Non.

Q : (T) Qui êtes-vous ?

R : Intention.

Q : (T) Votre intention ?

R : Vous aider.

Q : (T) Mais vous n’êtes pas de Cassiopée ?

R : Non.

Q : (T) Et votre nom est Xtqf ?

R : Pir.

Q : (L) Hmmm étrange, je n’ai jamais eu quelque chose comme ça. (T) Qu’est-ce que Pir ?

R : Pirpimmoonikknqe.

Q : (L) Est-ce qu’ils changent l’énergie avec la présence de Terry ?

R : !

Q : (L) Il est évident que nous devons regrouper ou changer les énergies ici.

R : O !

Q : (T) Vous écrivez en sténographie ou en phonétique ?

R : !

Q : (T) Quand vous indiquez ! qu’est-ce que cela signifie en plus de !, l’utilisez-vous pour une abréviation de quelque chose ?

R : Oui.

Q : (T) Quel genre de sténographie ?

R : Rhhjlmos perdu.

Q : (T) Avons-nous perdu la connexion ?

R : Vers malade.

Q : (J) Vers malade ?

R : Oui.

Q : (J) Qui est malade ?

R : Temporaire.

Q : (T) Qu’est-ce qui est temporaire, que le canal est malade ?

R : Regardez Bonjour Regardez Bonjour !

Q : (T) Vous avez dit bonjour maintenant… Cassiopée est quelque part ici ?

R : Oui.

Q : (T) Est-ce qu’ils vont parler avec nous ce soir ? Est-ce qu’on va parler avec nous ce soir ?

{La planchette s’envole et s’immobilise près de Laura et Ark.}

Q : (T) Êtes-vous parti ? Comment allez-vous nous aider ? Êtes-vous toujours là ? Il y a quelqu’un ?

R : Autre.

Q : (T) Qui d’autre ?

R : TQ.

Q : (L) Rien. (T) Eh bien, c’est différent. (L) Avez-vous été malade ? (T) Non.

L : Eh bien, pourquoi parlent-ils de « vers malade », et ils ont dit t-o et non t-o-o.

R : Eith1.

Q : (T) Eith ?

R : Vous combattez.

Q : (T) On se bat contre quoi ? (L) Vous vous battez. (A) Ok, essayez maintenant, allez ensemble, essayez…

R : Oui.

Q : (T) Non, nous ne nous battons pas, nous discutons simplement.

R : Terry.

Q : (T) Oui c’est moi Terry, je me bats ?

R : Oui.

Q : (T) Je me bats ? Je me bats contre quoi ?

R : Cassiopée.

Q : (T) Je me bats contre quoi ?

R : Piighkmor

{Laura et Terri constatent que le pointeur ne fait que « rebondir » sur la planchette.}

Q : (L) D’accord, pousse-toi pour voir ce qui va se passer. {Terry retire sa main de la planchette.}

Q : (L) Bonjour, bonjour, quelqu’un ?

R : Donnez du repos à Terry.

Q : (L) Que voulez-vous dire par « donner du repos à Terry » ?

R : Il est désaccordé en raison d’une longue absence.

Q : (L) Qu’est-ce que ça signifie « malade » ?

R : Une résonance énergétique mal adaptée. Terry a besoin de se réharmoniser.

Q : (L) Comment Terry peut-il se réharmoniser ? (T) Oui, comment puis-je me réharmoniser ? (L) Comment une personne peut-elle se réharmoniser ?

R : D’abord en passant du temps à apprendre au même niveau que les autres en résonance.

Q : (T) Ça va encore vite. (L) Donc, en d’autres termes, euh… eh bien, je ne sais pas. (A) Nous ne parlons pas aux Cassiopéens, nous parlons à un inconnu.

R : Si, Cassiopée.

Q : (L) Pourquoi l’orthographe était-elle bizarre la première fois ?

R : Manque de résonance.

Q : (T) Je suppose que je ne suis plus en résonance. (L) Pourquoi Terry n’est-il plus en résonance ?

R : Trop longue absence et soucis de la vie.

Q : (T) Trop de 3e densité ?

R : Oui.

Q : (T) L’été a été très chargé. (J) Il s’est passé beaucoup de choses. (L) Oui, vraiment, je sais. Bon, dites-nous ce qu’il faut faire, vous voulez savoir ce qu’il faut faire ? (T) Qu’est-ce qu’on fait ?

R : L’interaction est hautement souhaitable. Même si c’est seulement en contact par courriel.

Q : (T) Courriel ? Y a-t-il des courriels en 6e densité ? (J) Non.

R : L’harmonisation est un processus long.

Q : {Terry regarde Laura avec curiosité} (L) Eh bien, demandez. L’harmonisation est aussi un processus de demande. (T) Donc, être absent trop longtemps est une perte de l’harmonisation, de la fréquence ? (L) Je ne pense pas que ce soit une perte. (T) Un changement ? (L) Je ne pense pas que c’est un changement, demandez. (T) Si le processus est long, que faut-il pour le démarrer ?

R : Ce n’est pas une perte, c’est un échec à suivre le rythme de l’avancement rapide du processus du réseau.

Q : (T) Eh bien, cela pourrait être le cas. (L) Eh bien, tu n’as rien perdu. (T) Je n’ai simplement rien gagné. (J) Nous n’avons pas suivi l’histoire parce que nous nous sommes concentrés sur d’autres choses. Nous avons été absents pendant quatre ans. Mais je pense que jusqu’à un certain moment, il est resté en contact et a continué à s’impliquer dans l’histoire. Mais je pense qu’avec tout ce qui s’est passé, il n’a pas eu le temps. (L) Trop occupé, bon sang. (T) Je dois survivre ici aussi.

R : Il tient bon.

Q : (T) Tenir bon c’est mieux que rien, je suppose. Au moins, je peux être considéré comme stable. (L) C’est amusant. (T) Je peux toucher ça à nouveau ? (L) Essaie-le, vas-y donc. (T) Bon, je leur demande si je peux le toucher.

R : Oui, continuez à faire des signaux.

Q : (T) Bonjour. Bonjour. (L) Nous y avons beaucoup réfléchi et c’est un bruit pour signaler quelque chose et puis bien sûr… (J) C’est presque comme régler une station de radio. (L) Oui.

R : Vache.

Q : (Rires) (L) Ok, je dois trouver ce que veut dire « vache ». (T) Tu me traites de vache ? Moooo (Rires).

R : Vaches sacrées.

Q : (T) Je suis une vache sacrée ? (L) As-tu des vaches sacrées ? (T) J’ai des chats, ce sont des chats sacrés. Nous avons des vaches en bas de la rue. Quel genre de vaches sacrées ? (L) Pour le groupe, les vaches sacrées, c’est comme quand on s’accroche à certaines idées qu’on devrait laisser tomber et qu’on s’accroche à des suppositions et des idées… (J) Elles vous retiennent… (L) C’est ça. En fait, vous avez vu notre petit aimant sur le réfrigérateur : Pas de vaches sacrées, pas de taureau. (L) Vous dites que Terry a des vaches sacrées ?

R : Quelque peu.

Q : (T) N’est-ce pas le cas de tout le monde ? (L) Pas nous. Nous n’en avons plus. Nous avons appris à nous en débarrasser, très péniblement. C’est douloureux. (T) Elles font toujours mal. Et moi, je me suis toujours considéré comme un briseur de vaches sacrées.

R : Terry a besoin de se mettre dans le bain.

Q : (T) Comment puis-je me mettre dans le bain ?

R : Avec la mise en réseau, ça marche.

Q : (T) Cela signifie-t-il que je dois publier des messages sur le forum de temps en temps ? (L) Je ne sais pas, lis-tu les messages ? Même si tu ne publies pas. (T) La plupart du temps. Je n’y vais pas là tous les jours. J’essaie de me tenir au courant de ce que vous écrivez. C’est en soi beaucoup de travail. (L) Je ne peux même pas faire ça ! J’ai déjà tout oublié.

R : L’attention est un signal bidirectionnel. Ça fonctionne mieux dans un échange.

Q : (J) Alors, le simple fait de lire les messages ne permet pas de maintenir l’énergie autant que la participation, c’est ce que vous voulez dire ? (A) C’est un peu comme lorsque vous apprenez quelque chose et que vous ne le mettez pas en pratique, ce n’est pas la même chose. La pratique est une réponse qui vient de vous, c’est seulement quand vous répondez que cela vous aide vraiment à progresser. Si vous vous contentez de lire sans répondre, le résultat est différent. C’est peut-être cela. (T) C’est très possible. Dans quelle mesure la planchette a-t-elle bien fonctionné avec les autres quand ils étaient tous là ? Des gens qui n’avaient jamais touché à la planchette auparavant ? (L) Eh bien, personne n’y a jamais touché. Nous le faisons tout simplement et tout le monde s’assied autour de la table. Je suppose qu’il y a une résonance ou autre. On s’est habitués à y travailler par nous-mêmes. (A) Mais au début, nous avons eu des difficultés. (J) Combien de fois y a-t-il quelqu’un d’autre que vous deux à la planchette ? (L) Jamais. Nous ne le faisons plus, nous ne le faisons même plus. (J) Alors c’est toujours juste vous deux ? (L) Oui, c’est la résonance, je suppose. (J) C’est donc autant le fait que personne d’autre n’ait été impliqué dans tout ça que le fait que c’est harmonisé pour vous deux… (A) Oui, c’est probable. (J)… associé au fait que Terry n’était pas là et qu’il n’a peut-être pas été autant impliqué dans l’énergie à cause de tout ce qui s’est passé. (T) Se peut-il que l’énergie elle-même ait changé ? Ou que chaque personne apporte une énergie différente ? (J) Eh bien, nous le savons.

R : La résonance pure est une propriété de la colinéarité. Elle peut ainsi résonner en un signal plus fort de pureté similaire.

Q : (A) La colinéarité signifie essentiellement aller dans la même direction. (J) Courir dans la même direction de façon similaire. (L) Donc, quand vous devenez colinéaires… (J) Vous êtes colinéaires en ce moment, vous l’êtes depuis que vous êtes connectés, vous avez toujours été colinéaires. Donc c’est comme ça que ça s’est harmonisé à votre résonance mutuelle. (L) Ouais. (J) C’est comme ça que je le prends, que ce soit bien ou pas, je ne sais pas. (T) Est-ce que ça veut dire que nous sommes colinéaires, avec plus de variantes peut-être (à Jan) ? (J) Eh bien je pense que nous le sommes. (L) Je pense que ce qui s’est produit ou se produit dans le groupe à cause de l’interaction, c’est que tout le monde devient plus ou moins colinéaire. C’est comme si cela augmentait, c’est comme si tout le monde… arrivait à la même chose… je ne sais même pas comment le dire. Ce n’est pas la même chose parce que chacun a sa propre perspective, c’est comme s’il y contribuait. C’est comme si tout un groupe de personnes différentes dans un cercle regardaient quelque chose, et qu’elles décrivaient toutes leur perspective particulière… (T) Comme si elles décrivaient un éléphant. (L)… et l’éléphant tout entier en sort peu à peu. (J) En d’autres termes, cela s’appuie sur la concentration de chacun et sur leur point de vue particulier. C’est comme si chacun apportait son… (L)… et contribuait à… (J)… son attention à la table et tout se construit à partir de cela. (L) Oui, c’est la seule façon que je peux le décrire parce que chacun a des perceptions individuelles, mais ce que nous apprenons, c’est quelque chose au centre qui se développe à partir de la contribution de chacun. Et puis bien sûr, ici cette personne apporte son point de vue, là cette autre personne peut y avoir accès, le connaître. (J) Eh bien, si ça se construit au fur et à mesure, la perception de chacun change au fur et à mesure que ça se construit parce que ça change. Et on observe, et comme on le regarde on continue à apporter différentes choses au fur et à mesure que ça change. (L) Oui, et puis l’acte même de cet échange relie… (T) C’est logique. J’ai toujours pensé qu’en diffusant les documents sur Internet, plus les gens les lisent, plus ils s’y adaptent. Ceux qui s’y opposent n’arrivent à rien. Ceux qui ne font pas. (L) Qu’en pensez-vous ?

R : Terry a beaucoup de valeur à apporter et beaucoup à gagner.

Q : (T) Bon, quelles sont mes vaches sacrées en quelque sorte ?

R : Tes opinions.

Q : (T) Mes opinions sont des vaches sacrées ? Quelles opinions, j’en ai trop. Mes opinions sur quoi ?

R : Sur de nombreuses questions qui pourraient être ouvertes à une plus grande sensibilisation par l’acte de mise en réseau avec de nombreuses perspectives. Il est important de ne fermer aucune porte.

Q : (T) C’est vrai, mais mes opinions sont alors extrêmement scandaleuses et j’offense beaucoup de gens avec elles. (J) Ou alors, tu fermes des portes. (T) Est-ce que je ferme des portes en n’exprimant pas mes opinions ?

R : On ferme des portes en ne se confrontant pas aux opinions d’une « étrangeté » équivalente.

Q : (T) Mais les opinions sont des opinions et offenser quelqu’un est une chose totalement différente et je n’ai aucun intérêt à offenser les gens avec mes opinions. (L) Je ne pense pas que c’était le but. Tu ne parles qu’à des gens qui n’ont pas d’opinions étranges. (T) Umm, eh bien je parle à des gens qui ont des opinions vraiment étranges qui me font paraître presque normal. (J) Il est dit : « On ferme des portes en ne se confrontant pas aux opinions d’une étrangeté équivalente. » (A) Normalement, le fait est que lorsque vous avez une opinion forte et que cette opinion se heurte à celle de quelqu’un d’autre, il y a un conflit et la question est : vous pouvez dire que je m’en fiche ou vous pouvez essayer de résoudre le conflit en analysant tout en étant ouvert à une modification de votre opinion ; sans nécessairement être d’accord avec l’opinion de l’autre. Mais en analysant ces deux différentes choses, vous pouvez faire un pas pour voir comment il est possible de changer votre opinion dans une certaine direction complètement nouvelle. Tu vois, c’est noir, c’est blanc. Que peut-on en déduire ? Eh bien, nous pouvons découvrir qu’il y a tout un éventail de couleurs, que nous pouvons découvrir un arc-en-ciel, vous voyez. Oh mon Dieu, ha, un arc-en-ciel ! (J) Quand je n’ai pas vu ton blanc par rapport à mon noir, aucun de nous n’a vu ce qu’il y a entre les deux. (L) Une des choses qu’on a vues et qui se passe avec le groupe, c’est que quelqu’un aura une opinion, j’aurai une opinion, n’importe qui peut avoir une opinion, mais on dira qu’on n’aime pas trop parler d’opinions, vous avez vu ça, vous pouvez dire que vous avez une opinion et quelqu’un dira : « Sur quoi vous basez-vous pour avoir une opinion, expliquez-la ». Et généralement, au cours de l’explication d’une opinion, on dira « Oh, huh, ok, réfléchissons à cette opinion », et ensuite tout le monde parlera de l’opinion. Et puis, à la fin, nous pouvons toujours avoir la même opinion, mais pour une raison différente de celle que nous avions au départ. Ou alors, nous pouvons la changer. (A) Mais je pense que le point principal est probablement que les gens apprennent que cet échange ou cette mise en réseau n’est pas seulement l’obstacle d’une discussion difficile, mais qu’il a une application directe dans leur vie. Ils veulent faire quelque chose comme se libérer de leur programmation ou comprendre un mécanisme interne ou voir la matrice fonctionner sur chacun d’entre eux ; noter, voir, interpréter les choses qui leur arrivent en fonction du cadre général et mieux comprendre leur propre place. Et puis cela devient une chose pratique et c’est pourquoi les gens apprennent qu’en étant ouvert à la nouveauté, on peut discerner des choses qui sont utiles.

[Suite de la discussion]

Q : (T) Pouvez-vous commencer à me donner des opinions particulières sur lesquelles je pourrais travailler ? (L) Oh Terry, tu sais que tu n’es pas censé demander ça, tu le sais bien ! (rires)

R : Il essaie de berner mère Cassiopée. Pas aujourd’hui !

Q : (T) Bien essayé, raté ! (rires)

R : Pas de raccourcis !

Q : (T) Eh bien, j’ai beaucoup de choses à faire, n’est-ce pas ? J’ai des opinions sur tout. (L) Comme tout le monde, n’est-ce pas ? (T) Laquelle...(L) Commence à les exprimer. (T) Comment puis-je les exprimer sans être offensant ? J’essaie juste très fort de ne pas être offensant pour les gens… parce que je n’ai aucune raison…

R : Pose des questions !

Q : (A) C’est très simple, si je n’ai que des opinions et que mon truc est juste d’exprimer mon opinion à d’autres personnes, c’est un signal que je ne veux rien apprendre. Je sais tout, alors comment changer ? Il suffit de suspendre toute opinion et d’être curieux, de poser des questions et de voir si vous pouvez apprendre. Faites simplement : « Je suspends toutes les opinions. Même si j’en ai une, je ne vais pas l’exprimer ». Parce que tôt ou tard, si vous posez des questions, les gens commenceront à vous demander : « Eh bien, dites-nous ce que vous pensez. N’est-ce pas ? C’est suspect, il ne fait que poser des questions et il ne donne rien de lui-même » (rires). (T) C’est bien. Ok, est-ce que vous avez quelque chose à…

R : Le travail en réseau fonctionne !!!

Q : (T) En fait, depuis que nous faisons les émissions d’antiquités, je parle à plus de gens que je n’en ai eu l’occasion depuis longtemps ; des gens que je n’ai jamais rencontrés, vous savez ; des gens qui viennent de partout. Certains d’entre eux ont des opinions qui me font du bien !

R : Sont-ils colinéaires ?

Q : (L) Colinéaire. Colinéaire signifie aller dans la même direction. (T) En d’autres termes, ont-ils les mêmes opinions que moi ? (A) Non. Non. Aller dans la même direction. (L) Vous n’avez pas besoin d’avoir les mêmes opinions, mais vous voulez aller dans la même direction. Quels sont leurs objectifs ? (T) Je ne sais pas, pour la plupart, ce sont juste des gens à qui je parle en passant dans les émissions. Je ne leur parle que quelques minutes. (J) Il n’y a pas de colinéarité. (A) Ils ne sont même pas colinéaires dans leur intérêt ; sauf commercial. (T) Bon, ça ne fait pas de mal d’essayer de leur expliquer la philosophie SDA en passant ; soyons gentils et amicaux. (A) Oui, bien sûr. (T) Montrez-leur que le monde entier ne les déteste pas. (J) Nous ne sommes pas encore tout à fait en mesure de sortir les gens de la rue. (T) Avez-vous d’autres commentaires à faire à ce sujet ?

R : Vous devez d’abord choisir vos objectifs. Ensuite, vous vous mettez en réseau avec d’autres personnes ayant des objectifs similaires pour les atteindre. Quels sont vos objectifs ? Obtenir un diplôme ou redoubler la classe ?

Q : (T) Oh, eh bien, le diplôme est toujours mieux. (L) Vous savez ce que Gurdjieff a dit : « Personne ne peut s’en sortir seul. Il faut avoir un groupe et un plan, et il faut travailler ». Personne ne peut le faire seul et vous devez le faire avec l’aide de quelqu’un qui l’a déjà fait. C’est une chose très importante qu’il a dite à ce sujet. Il a dit que vous devez d’abord comprendre que vous êtes en prison et ensuite vous devez apprendre à connaître la prison et à en sortir, et vous ne pouvez apprendre cela que de quelqu’un qui en est déjà sorti. Et vous ne pouvez pas le faire seul parce qu’il faut toute une équipe. (T) Pour sortir ? (L) Oui, c’est ce qu’il a dit, et c’est tellement vrai. Parce qu’à la minute où vous commencez à vous agiter dans la matrice, ça vous tombe sur la tête. (T) Eh bien la matrice est programmée pour nous garder ici. Et nous garder stupides. (L) Ouais. Ok, on en a fini avec toi Terry ? (T) Je pense que oui ! Mais j’ai une question. Qu’est-il arrivé au système informatique d’Ark et Laura ce week-end ?

R : C’est surtout un signal psychique de changement quantique imminent.

Q : (T) Juste parce que les ordinateurs sont tombés en panne ? Pouvez-vous nous en dire plus ?

R : La fluidité de la réalité affecte un tel « matériel informatique » qui est sensible à un tel flux.

Q : (A) Donc quelque chose va changer, la réalité est fluide, le matériel est affecté, et toutes sortes de choses se produisent probablement en raison de l’interaction de ce qui est à l’extérieur de nous et du matériel. Il est difficile de trouver la vraie raison principale. (L) Je pense que ce qui se passe parfois, c’est que la réalité commence à fluctuer, que vous en êtes psychiquement conscient et que l’énergie psychique dans votre propre système affecte alors les choses dans votre environnement qui sont en accord ou sensibles à votre énergie psychique, et ensuite, en fonction de la fluctuation de votre énergie psychique, elle peut vous envoyer un signal. Je suppose que c’est comme si le chat noir passait deux fois, ce serait une façon de le dire. (A) Je pense que c’est comme avec ce magicien, les vrais magiciens comme celui dont vous parliez aujourd’hui, qui mélangent ce qu’on appelle le jeu des mains avec de la vraie magie, n’est-ce pas ? Et l’un aide l’autre et vous pouvez dire : Il ne montre pas de vraie magie parce que ce ne sont que des tours. Non ! Certains oui, mais certains sont de la vraie magie. Mais il les mélange ensemble parce que, eh bien, ça marche. La vraie magie ne fonctionne pas toujours. Elle fonctionne de temps en temps et vous n’avez pas le contrôle total, donc vous devez contribuer avec vos mouvements. C’est la même chose quand nous interagissons avec notre réalité. Elle est fluide lorsque nous sommes dans un certain état. Et, quand elle est fluide à cause de notre état, les choses électriques sont aussi dans un certain état. Et certaines des choses qui se produisent sont probablement dues à notre interaction. Quelle en est la raison ? En partie parce qu’il s’est passé quelque chose d’inhabituel, parce que des milliers de fois vous changez et peut-être que vous changez de manière différente que d’habitude, n’est-ce pas ? C’est donc ce que je pense.

R : Le chaos fait partie des conditions ou de la création d’une nouvelle réalité.

Q : (T) Il y a beaucoup de réalité qui doit s’effondrer… (L) Il faut qu’elle s’effondre. (T) Elle est en train de s’effondrer. Quel est le changement quantique à venir ? Le saut quantique.

R : Cela dépend de l’observateur.

Q : (T) Ok, c’est logique. En fonction de l’effet du changement, vous aurez une relation différente avec lui, et tout le monde aura une relation un peu différente. Ils ont aussi joliment contourné la question. (J) Non, il n’y aurait pas de réponse unique. Donc, quelque chose arrive, c’est ce que l’ordinateur a détecté.

{Un bruit d’écrasement, de claquement se fait entendre à proximité du bureau et des appareils de musculation. Tous se lèvent pour aller voir, mais rien n’est déplacé.}

Q : (T) Venez-vous de nous ouvrir une porte quantique ?

R : Ha ha ! Je vous ai fait marcher.

Q : (T) Je vous ai fait marcher ? (J) Oui, nous avons quitté la pièce, n’est-ce pas ? (T) Vous avez fait ça ?

R : Vous l’avez fait.

Q : (T) Nous l’avons fait ? Je l’ai fait. (A) Umhmm. (T) J’ai fait ça ? Comment ai-je fait ? (A) Je n’en ai aucune idée.

R : Flux psychique.

Q : (T) J’espère que quoi que ce soit, ce n’était pas l’ordinateur. Ark a passé trop de temps aujourd’hui à les faire fonctionner à nouveau. (J) Les trois écrans étaient totalement vides, mais les économiseurs d’écran, qu’est-il arrivé à vos économiseurs d’écran, sont-ils partis ?

{Une discussion s’ensuivit concernant le son qu’ils avaient entendu dans une partie de la maison que Terry décrivait comme le bruit d’une porte qui s’ouvre et se ferme.}

R : Pensez à tout le potentiel qui est inexploité.

Q : (T) Eh bien, je promets de ne plus faire tomber l’appareil de musculation. (J) Avons-nous tous fait cela, ou Terry l’a-t-il fait ?

R : Surtout Terry, à cause de son état intérieur chaotique en ce moment.

Q : (T) Bon, je suis dans un état chaotique quelconque. (J) C’est à cause de la caféine et du sucre ?

R : Pas vraiment. Terry voit un chemin et est bouleversé par la conscience intérieure des choix et des possibilités qui s’offrent à lui. Il a abandonné de nombreux objectifs dans le passé et il y a une grande sensation de perte et de désir de reprendre le chemin.

Q : (T) D’accord, c’est assez lourd. (J) Oui, ça l’est.

R : Ça l’était aussi quand c’est tombé !

Q : (T) Ok, humour, fantaisie. Quand c’est tombé. J’aime ça. C’était bien. Ils n’avaient jamais parlé de moi comme ça avant. Je ne sais pas quoi demander. Qu’est-ce que vous avez de plus, allez-y, continuez. Continuez à m’expliquer les choses et je vais voir si je peux trouver des questions. Je suis un peu confus en ce moment ! (A) Vous n’aviez pas quelque chose à dire, une question que vous vouliez poser ? (L) Umhmm. Oui, mais j’ai oublié ce que j’allais demander. Tout est tombé par terre et peu importe. (A) C’est quelque chose dont on parlait tout à l’heure.

(L) J’allais demander si j’avais besoin ou pas d’être plus concernée ou plus attentive à cette autre situation dont nous parlions plus tôt ?

R : Il est bon d’être conscient et de comprendre que même ceux qui se trompent et trompent les autres peuvent être aidés par le fait de feindre d’une certaine façon.

Q : (L) Eh bien, cela aide. Je l’ai un peu compris. Mais je ne veux pas en parler dans l’enregistrement, vous savez, ce dont nous parlions tout à l’heure. (J) D’accord. (L) En d’autres termes, si certains font semblant ou tentent de tromper, tant qu’ils sont conscients, vous savez, ils peuvent toujours être aidés. (T) Oh, tout le monde le peut. (L) Parce que parfois les gens font semblant et puis ils réalisent qu’en interagissant dans l’environnement dans lequel ils ont fait semblant, ils aiment ça en fait et ils deviennent plus réels qu’ils ne le prétendent. Vous voyez ce que je veux dire ? (T) Oh oui, absolument. (L) Alors peut-être que c’est ce qui est applicable. (T) Ça pourrait très bien l’être. Je sais à quoi vous faites allusion. J’ai encore une question sur le problème des ordinateurs, d’accord ? (L) Vas-y. (T) Ark devrait-il envisager de reformater l’autre serveur avec Windows 2000, juste au cas où il y aurait aussi quelque chose ?

R : Ce problème va bientôt être résolu d’une manière inhabituelle.

Q : (T) Oh bien, ok, alors vous n’avez pas besoin de remettre 2000. (A) Peut-être que ça marche maintenant. (T) C’est seulement une idée qui m’est venue parce qu’ils ont fait sauter des pare-feux à 50 $ et ozline ne peut pas vous dire qui a fait sauter des pare-feux à 50 000 $ non plus. (A) Ouais. (L) Une façon inhabituelle… (J) Peut-être de leur côté et pas du nôtre. (T) Ce serait bien non. (L) D’accord, donc on n’a pas de problème informatique dont on doive s’inquiéter. (T) J’ai quelques problèmes à régler, mais ça peut être fait facilement. J’ai un chemin à suivre. (L&J) Je ne sais pas si cela peut être fait facilement. (T) Eh bien, j’essaie de me convaincre, je pense que je préfère de loin recharger Windows 2000 ! Un dernier mot, d’autres questions ? Des conseils, des pensées, des idées, des directions ? À part « découvrir ».

R : Cherchez d’abord le désir du cœur et tout le reste se met en place.

Q : (T) J’aime ça, c’est un petit dicton très classe que nous avons là. Ça ferait un bon T-shirt. D’autres questions ? (L) Non, c’est vous qui aviez des questions. (A) Oh, oui… enfin… pas vraiment. (T) Quelque chose pour Laura ?

R : Shaka Zulu est sincère.

Q : (L) Cela répond à ma question mentale. La seule question à laquelle je pourrais penser… encore ce satané hélicoptère. (T) C’est effrayant, ce n’est pas Bayflight, n’est-ce pas ? (L) Ils se font passer pour toutes sortes d’hélicoptères — la police, Bayflight — voyez ce que cela fait. (T) Vous savez, l’équipe du SWAT débarque, « nous voulons vous parler de 5 millions de dollars d’équipement en provenance de Washington ». (L) Non, mais ce qui m’est venu à l’esprit, c’est cette question à propos de ces… (T) Eh bien, vous devriez avoir une ou deux questions à leur sujet. (L) Nous avons déjà eu une séance pour en parler. (T) Était-ce une séance rassurante ? Que leur cœur est à la bonne place, qu’ils vont vraiment faire ce qu’ils disent qu’ils vont faire ? (L) Oui. (T) Ils ne font pas partie de l’opposition ? (L) Exact. (T) C’est toujours bien d’avoir ce genre de soutien. (L) Ils ont juste dû laisser tomber cette histoire de culte. (T&J) Oui. (L) C’était seulement parce que quelqu’un les influençait. Vous avez une question ? (J) Oui, j’ai une question. Puis-je faire quelque chose pour aider Terry ?

R : Il vaut mieux le laisser faire dans ce cas.

Q : (T) Bon, laissez-moi vous poser une dernière question, je sais que tout le monde est fatigué. Avec ces objectifs que j’ai abandonnés, est-ce parce que j’étais un crétin ou parce que je faisais vraiment quelque chose de bien pour quelqu’un d’autre en les abandonnant ? Je suis désolé d’utiliser ce terme, mais…

R : Surtout la première option avec la particularité que c’était surtout la peur de perdre.

Q : (T) J’essaie de comprendre ce qu’ils disent et de le mettre en perspective avec ma vie. (L) Je ne sais pas, je ne lis pas dans les pensées. (T) Est-ce que j’étais SDS ou SDA au moment où j’ai abandonné ces choses, on dirait que j’étais SDS. Donc je me faisais du mal, juste en faisant ça.

R : Vouloir aider les autres peut souvent être SDS si la raison, à un niveau profond, est la peur.

Q : (T) Peur de quoi ?

R : De perdre.

Q : (T) Hmm, je vais devoir réfléchir un peu à tout cela. (L) Perte de quoi ? (T) C’est une bonne question, la perte de quoi ?

R : Le respect, l’amour, les opinions des autres, et une image de soi importante.

Q : Je pense que ce qu’ils disent, c’est que tu as abandonné des choses que tu voulais faire pour faire d’autres choses que tu pensais devoir faire pour aider les autres, et la raison pour laquelle tu as agi ainsi, c’est que tu pensais que si tu ne te sacrifais pas toi-même et tes propres désirs et besoins, et ces choses que tu voulais suivre et poursuivre, les autres auraient une moins bonne opinion de toi, ou qu’ils ne t'aimeraient pas, ou qu’ils penseraient que tu es juste égoïste et méchant, ou quelque chose comme ça....(J) Parce que tu perdrais ta propre image de toi-même. (L)… et l’image de soi était celle de sauveteur, sauveur, réparateur, assistant. (T) Eh bien, cela résume la situation, n’est-ce pas ? (L) Hé, on est tous passés par là. La peur de la perte. La plus importante, la perte de l’image de soi. (T) C’est drôle parce que je n’ai jamais vraiment eu d’image de moi. (L) Ça dépend de ce que tu définis comme image de soi. (J) Ou peut-être une image de soi différente par opposition à une mauvaise image de soi. (T) C’est possible aussi. Ok, je peux travailler avec ça, c’est quelque chose à considérer. Euh, quelque chose pour Ark, autre chose à dire ?

R : Au revoir.

Fin de la séance
 
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