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Merci aux membres de lâĂ©quipe française pour cette traduction.
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SĂ©ance du 19 septembre 1998
Laura, Frank, Ark
Q : Bonsoir
R : Bonsoir
Q : Et qui est avec nous ce soir ?
R : Loxacca
Q : Et dâoĂč transmettez-vous ?
R : Cassiopée
Q : Jâai plusieurs choses de la petite liste de diffusion que jâaimerais aborder en premier parce que je pense quâelles vont passer assez vite. La premiĂšre est ce livre intitulĂ© « Trance Formation of America ; The true life story of a CIA slave (NdT : La vĂ©ritable histoire dâun esclave de la CIA) » par Cathy O'Brien avec Mark Phillips. Il y a une citation assez longue de ce livre que nous avons tous lue. Je ne vais certainement pas la lire Ă haute voix parce que je ne veux pas avoir Ă taper une telle chose moi-mĂȘme, donc je ne la lirai pas, mais je suis sĂ»re que vous ĂȘtes au courant de ce quâelle dit. Ce que je voudrais savoir, câest quelle est la motivation des auteurs de ce livre ?
R : La perturbation
Q : Perturber quoi ?
R : Toute personne susceptible dâĂȘtre perturbĂ©e.
Q : Ce livre semble viser spĂ©cifiquement les Clinton ou la structure du pouvoir. Les descriptions des comportements dâHillary et de Bill Clinton, telles quâelles figurent dans cet extrait, sont-elles proches de la rĂ©alitĂ© ?
R : Proches ? Disons, peut-ĂȘtre, mais pas de la maniĂšre dĂ©crite.
Q : Existe-t-il une telle chose que cette fille dĂ©crit ? Ces esclaves de la CIA qui sont sexuellement mutilĂ©s et programmĂ©s avec ce programme de contrĂŽle de lâesprit, comme elle lâa dĂ©crit ?
R : Toute expĂ©rience de ce type serait gĂ©rĂ©e par la structure cellulaire dâun satellite pseudo-gouvernemental et, normalement, pas par la CIA.
Q : Ce que vous semblez dire, câest que ce qui est dĂ©crit ici EST en train de se produire ?
R : Dans une certaine mesure, mais lâhistoire telle quâelle est racontĂ©e est fictive.
Q : Les Clinton sont-ils aussi dĂ©pravĂ©s quâelle les prĂ©sente ?
R : Non, mais il est possible quâils aient consommĂ© des drogues Ă des fins rĂ©crĂ©atives. Toutefois, nous vous suggĂ©rons de ne pas partager cette information !
Q : Bon, passons Ă autre chose. Voici une note de Mike C-T. Il Ă©crit : « Laura, jâai Ă©tĂ© trĂšs consternĂ© de lire votre article sur le RĂ©gime Alimentaire et la Nutrition sur la Page Web. Les Câs disent que lâAmour est suffisant et que le sexe est une pure envie physique et que lâĂ©nergie de lâorgasme nourrit les sales types SDS de la 4e D. Ensuite, ils disent que tu devrais fumer et consommer x mg de nicotine, parce que tu en as besoin. Ces deux idĂ©es me semblent contraires puisque fumer est Ă©galement une « envie physique ». Oui, les gens prennent du poids aprĂšs avoir arrĂȘtĂ© de fumer, mais le mĂ©tabolisme se stabilise au bout dâun an environ. Ătes-vous sĂ»r de la source de ce message ? Les SDS pourraient-ils ĂȘtre en train de sâinfiltrer et de vous inciter, vous et dâautres, Ă essayer de vous tuer Ă petit feu ? Couvrir ses poumons de cendres ne peut pas ĂȘtre bon pour la santĂ©, quelle que soit la composition de ces cendres. MĂȘme la fumĂ©e de bois provoque des troubles respiratoires. Je me suis senti mal Ă lâaise en lisant cette partie. Cela ne correspondait pas Ă ma vision du monde des âCâsâ ». SignĂ© Mike. Pouvez-vous commenter ses remarques ?
R : Nous nâavons pas suggĂ©rĂ© quâil Ă©tait conseillĂ© de fumer en soi, la rĂ©ponse concernait une question personnelle sur les difficultĂ©s rencontrĂ©es par Laura pour perdre du poids. Et nous nâavons pas dit quâil sâagissait dâune solution permanente.
Q : En revanche, vous avez dit que cela augmentait la rĂ©sistance aux maladies et que cela avait dâautres effets bĂ©nĂ©fiques.
R : Oui, mais il est prĂ©fĂ©rable dâutiliser des produits du tabac purs et non la variĂ©tĂ© corrompue que lâon trouve sur le marchĂ© de masse.
Q : Quâen est-il de la question du sexe ?
R : Plus exactement, sâil te plaĂźt.
Q : Il dit que les deux idĂ©es semblent contrairesâŠ
R : Comment cela ?
Q : Je suppose que son idĂ©e est que si vous renoncez au sexe, vous devriez Ă©galement renoncer Ă fumer car il sâagit de deux envies physiques. Ou bien, si fumer est acceptable alors le sexe devrait lâĂȘtre aussi. Je nâai pas tout Ă fait compris la perspective. Jâai rĂ©pondu que jâavais compris que ce nâĂ©tait pas le sexe, en soi, qui Ă©tait mauvais, mais plutĂŽt la pulsion dâautosatisfaction qui alimentait le SDS.
R : Câest vrai.
Q : Il dit ensuite : « Ătes-vous sĂ»r de la source de ce message ? Est-ce que les SDS pourraient ĂȘtre en train de sâinfiltrer et de vous inciter, vous et dâautres, Ă essayer de vous tuer lentement ?
R : Non et, dâailleurs, le « meurtre Ă petit feu » se produit de toute façon, quâil soit dĂ©clenchĂ© par lâindividu lui-mĂȘme ou non.
Q : Il dit : « Couvrir ses poumons de cendres ne peut pas ĂȘtre bon pour vous, quelle que soit la composition de ces cendres ».
R : Un produit du tabac non corrompu nâa pas cet effet.
Q : Jâai Ă©galement mentionnĂ© le fait que ce professeur dâHĂ©matologie Ă Gainesville mâa dit que la seule chose quâils connaissent, Ă part un processus pathologique, qui augmente le nombre de globules rouges, donc lâhĂ©moglobine, et donc la teneur en fer du sang et du cerveau, câest le fait de fumer du tabac.
R : Câest vrai.
Q : DâaprĂšs cette information, associĂ©e Ă tout le travail effectuĂ© sur le suivi de cette « question du sang » qui est si dominante dans la « quĂȘte du Graal » et la littĂ©rature ancienne, lâaugmentation du nombre de globules rouges Ă©tait une chose TRĂS souhaitable Ă faire pour amĂ©liorer la capacitĂ© dâune personne Ă traverser les densitĂ©s avec aisance. Est-ce une idĂ©e correcte ?
R : Oui et cela rend une personne plus résistante aux infections microbiennes.
Q : (A) OĂč peut-on trouver des produits du tabac non corrompus ?
R : Dans un magasin de tabac.
Q : Alors, je suppose que je dois rouler moi-mĂȘme mon tabac !
R : Il est possible dâacheter une machine qui permet de le faire.
Q : Il a dit : « Je me suis senti malade quand jâai lu ça ». Je peux mâidentifier Ă ce sentiment parce quâil y a un certain nombre de choses que jâai apprises au cours de ce processus qui ont eu le mĂȘme effet sur moi. Mais jâai aussi appris que lorsque cela se produit, câest seulement ma rĂ©sistance qui cause cette souffrance. Pouvez-vous nous dire ce que vous en pensez ?
R : Les Ă©motions provoquent des points de vue.
Q : (A) Jâai aussi subi un lavage de cerveau de cette façon et je suis en train de changer. (F) Nous avons TOUS subi un lavage de cerveau ! (L) Ok, maintenant Eddie dit : « Laura a fait plusieurs commentaires sur lâAmour qui mâont troublĂ©. Je ne comprends pas comment le fait de donner de lâamour sans quâon nous le demande peut nuire au lieu dâamĂ©liorer. » Pouvez-vous nous dire ce que vous en pensez ?
R : Dans ce cas, « donner » de lâamour nâest pas donner.
Q : Donc, si vous donnez de lâamour alors quâon ne vous lâa pas demandĂ©, vous ne donnez PAS ?
R : Vous prenez, comme dâhabitude.
Q : Quand vous dites que vous « prenez », que prenez-vous ?
R : De lâĂ©nergie, Ă la maniĂšre SDS.
Q : Comment se fait-il que vous preniez de lâĂ©nergie Ă quelquâun en lui donnant de lâamour qui nâa pas Ă©tĂ© demandĂ© ?
R : Parce quâun vĂ©hicule SDS nâapprend pas Ă ĂȘtre un candidat SDA en dĂ©terminant les besoins dâun autre.
Q : Je ne comprends pas en quoi cela signifie que vous lui prenez de lâĂ©nergie ?
R : Parce quâil sâagit alors dâun acte dâauto-gratification. Si lâon « donne » alors quâil nây a pas de demande, donc pas de besoin, il sâagit dâune violation du libre arbitre ! Et dâailleurs, quelle autre motivation pourrait-il y avoir dans un tel scĂ©nario ? RĂ©flĂ©chissez attentivement et objectivement Ă cette question.
Q : Je pense que, dans un tel scĂ©nario, si on donne de lâamour Ă quelquâun qui ne lâa pas demandĂ©, cela traduit un dĂ©sir de changer lâautre, câest-Ă -dire un dĂ©sir de contrĂŽle.
R : Tu as compris !
Q : Il ajoute ensuite : « Oui, tout est leçon et si une personne a choisi un chemin spĂ©cifique, elle devrait ĂȘtre autorisĂ©e Ă aller de lâavant et Ă apprendre son chemin. Mais, disons que cela arrive Ă quelquâun que vous aimez vraiment. Et disons que cette personne est, peut-ĂȘtre, dans une pĂ©riode de sa vie oĂč ses pensĂ©es lâamĂšnent probablement Ă commettre, disons, un meurtre. Ne pensez-vous pas que si vous envoyez de lâamour Ă cette personne, mĂȘme inconsciemment, cela pourrait fournir lâĂ©nergie nĂ©cessaire (lâinfluence) pour arrĂȘter ce meurtre ? Commentaire sâil vous plaĂźt.
R : Non, non, non !!! En fait, un tel transfert dâĂ©nergie pourrait mĂȘme renforcer lâeffet.
Q : De quelle maniĂšre ?
R : Les ondes dĂ©sĂ©quilibrĂ©es pourraient ĂȘtre utilisĂ©es par le rĂ©cepteur.
Q : Je pense que le mot quâil a utilisĂ© est un indice : « Ne pensez-vous pas que si vous envoyez de lâamour Ă la personne, cela pourrait lui fournir lâĂ©nergie nĂ©cessaire » et, entre parenthĂšses, il y a le mot « influencer » qui implique le contrĂŽle du comportement de lâautre personne, pour « arrĂȘter ce meurtre ». Il semble donc quâil y ait un dĂ©sir de contrĂŽler les actions de lâautre personne.
R : Oui
Q : Mais son intention est tout Ă fait bienveillante car il veut mettre fin Ă un meurtre, ce qui sauve une vie, tout en empĂȘchant lâĂȘtre aimĂ© dâaller en prison. Il SEMBLE donc que son intention soit bienveillante. Cela ne fait-il pas une diffĂ©rence ?
R : Avons-nous oublié le Karma ?
Q : En fait, toutes les deux, Sylvia et moi, avons mentionnĂ© le fait que lâon ne peut pas toujours juger ces situations parce que nous ne savons pas. Nous ne pouvons pas savoir. Tout ce que nous savons, câest que la victime potentielle du meurtre est un Adolf Hitler ou le parent potentiel dâun Adolf Hitler, ou quelque chose comme ça, et que le meurtre sauverait de nombreuses vies en sacrifiant deux vies, ou que ce meurtre est censĂ© se produire en raison dâune interaction karmique essentielle entre le meurtrier et la victime et que nous ne pouvons tout simplement pas SAVOIR ces choses et les juger.
R : Oui
Q : Un autre commentaire Ă ce sujet ?
R : Non
Q : Il dit : « Je crois que si nous nâenvoyons pas dâĂ©nergie dâamour au monde, lâĂ©nergie Ă©gocentrique SDS dominera. »
R : Pourquoi choisir dâenvoyer cette Ă©nergie ? Quelle est la motivation ?
Q : Pour le changer selon votre idĂ©e de ce quâil devrait ĂȘtre. Pour le contrĂŽler afin quâil suive votre jugement sur la façon dont les choses devraient ĂȘtre.
R : Exactement. Les Ă©lĂšves ne sont pas censĂ©s ĂȘtre les architectes de lâĂ©cole.
Q : Donc, lorsque vous cherchez Ă imposer ou Ă exercer une influence quelconque, vous essayez, en fait, de jouer Ă Dieu et vous prenez sur vous de dĂ©cider quâil y a quelque chose qui ne va pas dans lâunivers et quâil vous appartient de rectifier, ce qui Ă©quivaut Ă un jugement.
R : Oui, vous voyez, on peut conseiller, câest bien, mais il ne faut pas essayer de modifier la leçon.
Q : Il dit aussi : « Je crois quâun ĂȘtre illuminĂ© Ă©met de lâamour partout oĂč il se trouve et, ce, mĂȘme sans quâon le lui demande. Cela se produit simplement parce que câest ce quâils sont â amour. » Commentez, sâil vous plaĂźt.
R : Un ĂȘtre illuminĂ© nâest pas lâamour. Et un rĂ©frigĂ©rateur nâest pas une autoroute.
Q : Quoi ? Tu parles dâun mĂ©lange de mĂ©taphores ! Je ne comprends pas celle-lĂ !
R : Pourquoi pas ?
Q : Elles nâont rien Ă voir lâune avec lâautre !
R : Exactement !!!
Q : QuâEST-ce quâun ĂȘtre illuminĂ© ?
R : Un ĂȘtre illuminĂ©.
Q : Quels sont les critĂšres pour ĂȘtre un ĂȘtre illuminĂ© ?
R : Ătre illuminĂ© !
Q : Quand on est illuminé, quel est le profil ?
R : Cela ne mÚne nulle part parce que vous faites la proverbiale routine du trou rond, de la cheville carrée.
Q : Ce que jâessaie de comprendre, câest ce quâest un ĂȘtre illuminĂ©. Eddie et BEAUCOUP dâautres personnes ont lâidĂ©e quâun ĂȘtre illuminĂ© EST AMOUR, et que câest ce quâil rayonne et que câest une consĂ©quence de lâillumination.
R : Non, non, non, non, non. « IlluminĂ© » ne signifie pas bon. Câest juste intelligent.
Q : Dâaccord, il y a donc des ĂȘtres illuminĂ©s SDS et SDA ?
R : Oui, nous pensons que la proportion globale est de 50/50.
Q : Dâaccord, quel est le profil dâun ĂȘtre SDA illuminĂ© ?
R : Un ĂȘtre intelligent qui ne fait que donner.
Q : Puisque nous avons abordĂ© lâidĂ©e de ne pas donner dâamour Ă ceux qui ne le demandent pas, que donnent-ils et Ă qui le donnent-ils ?
R : Tout ; Ă ceux qui le demandent.
Q : Il dit : « Comme vous pouvez le voir, je crois au pouvoir de lâamour. Je suis ouvert pour essayer de comprendre ce que je nâai pas encore pu comprendre. Câest peut-ĂȘtre pour cela que je suis ici avec vous. Alors, pourrions-nous parler davantage de ce sujet ? Pourrions-nous fournir plus dâinformations sur ce que les Câs ont dit Ă propos de lâAmour ? » Jâai recueilli les extraits du texte sur lâamour et sur la façon dont vous avez dit que la Connaissance Ă©tait lâamour et que la lumiĂšre Ă©tait la connaissance et tout le reste. Pouvez-vous ajouter quelque chose Ă cela ?
R : Non, parce que le destinataire ne souhaite pas recevoir.
Q : Dâaccord. Sylvia a rĂ©pondu : « Eddie, je te remercie dâavoir soulignĂ© le paradoxe du concept de lâexpression de lâamour entre les Câs et le fait que certains dâentre nous pensent savoir, mais SAVENT ce quâils expĂ©rimentent. Jâai le sentiment quâil peut ĂȘtre trĂšs difficile pour les Câs dâapporter une comprĂ©hension adĂ©quate Ă notre 3e densitĂ© ou dimension. [âŠ] Mon point de vue sur le paradoxe est le suivant : Si lâon Ă©met de lâamour comme un cours naturel de lâUnivers, ce nâest pas consciemment limitĂ© ou dirigĂ© â du moins, pour ma part, je ne peux pas faire cela ; câest simplement la façon dont certains dâentre nous sont la plupart du âtempsâ. Ăliminer des groupes ou des individus dĂ©passe mon entendement et ne peut ĂȘtre dĂ©fini, en permanence, car cela se fait souvent de maniĂšre inconsciente ; et cela compromettrait certainement mon expĂ©rience de lâenvoi dâamour. Ă moins dâĂȘtre un Bodhisattva, lâamour nâest probablement dirigĂ© avec plus dâintensitĂ© que lorsquâil est dirigĂ© vers un individu ; comment savoir si le destinataire prĂ©vu nâest pas prĂȘt/apte Ă recevoir » [âŠ] Et « recevoir », je pense que câest un indice : le destinataire prĂ©vu peut soit rester inconscient, soit repousser lâĂ©nergie de lâamour â le libre arbitre.
R : Oui
Q : Sâil sâAGIT dâune « Ă©nergie dâamour », est-elle ensuite corrompue par le SDS ?
R : Peut-ĂȘtre
Q : Elle dit ensuite : « Si lâon dirige lâamour de façon trĂšs spĂ©cifique vers un individu, il peut ĂȘtre dirigĂ© librement, avec jugement, subjectivement⊠Lâun des dĂ©fis consiste Ă diriger lâamour librement⊠»
R : Non
Q : « Donner de lâamour Ă lâUnivers est peut-ĂȘtre le meilleur moyen, en gĂ©nĂ©ral, mais si lâon se concentre sur un ĂȘtre cher et que cela PEUT ĂȘtre efficace, lâUnivers en gĂ©nĂ©ral pourrait-il ĂȘtre AUSSI efficace ? »
R : Lâunivers est une question dâĂ©quilibre. Câest tout ce quâil y a Ă dire !
Q : Ensuite, en ce qui concerne le fait de ne pas donner dâamour lorsquâon cela nâest pas demandĂ©, elle dit : « Cela ne sâaccorde pas avec le fait de travailler en rĂ©seau pour rĂ©pandre la CONNAISSANCE parmi ceux qui sâinquiĂštent et qui aiment. CELA est dirigé⊠»
R : Quoi ?
Q : Eh bien, jâAI fait remarquer que la seule raison pour laquelle nous avons obtenu quoi que ce soit est que nous avons demandĂ© pendant LONGTEMPS, de façon rĂ©pĂ©tĂ©e et sincĂšre.
R : Le fond du problĂšme est le suivant : Vous occupez la 3e densitĂ©. Vous ĂȘtes, par nature, SDS. Vous pouvez ĂȘtre un candidat SDA, mais vous nâĂȘtes PAS SDA tant que vous nâĂȘtes pas en 4e densitĂ©. Vous ne saisirez JAMAIS le sens de ces tentatives de conceptualisation tant que vous ne serez pas en 4e densitĂ© et plus.
Q : Elle dit aussi : « Et il y a ceux qui nâont pas dâĂąme ». Est-ce vrai ?
R : Non
Q : Je pense que ce quâelle veut dire par lĂ , câest quâil y a ceux qui sont SDS dans leur essence mĂȘme et que beaucoup de gens considĂšrent que câest un Ă©tat « sans Ăąme », je crois.
R : Mais le SDS nâest pas « sans Ăąme ».
Q : Sylvia demande aussi : « Peut-il y avoir un moment oĂč lâon doit choisir entre le moindre de deux karmas ? »
R : Non parce que le karma dicte sa propre existence.
Q : Quâentendez-vous par lĂ ?
R : Il nây a pas de bifurcation sur la route parce quâil nây a pas de temps linĂ©aire. Câest une illusion et lorsque vous aurez obtenu votre promotion, vous le saurez.
Q : Dâaccord, elle ajoute Ă propos du point de vue des Câs sur la sexualitĂ© : « Leur point de vue implique trĂšs fortement que les Ătres humains sont conçus dans le pĂ©chĂ© aprĂšs tout. Pour moi, cela ne cadre pas avec une GĂ©omĂ©trie de la DivinitĂ© bienveillante et non vengeresse. »
R : Non, le sexe nâest pas un pĂ©chĂ©. La nourriture non plus. Câest simplement physiologique. Vous vous souvenez de ce que nous vous avons dit Ă propos de la physicalitĂ© variable ?
Q : Oui, la 4e densitĂ© est le niveau de variabilitĂ© de la physicalitĂ©. Apparemment, dâaprĂšs ce que je peux comprendre, quand on est dans cet Ă©tat, on trouve que dans la plupart des circonstances, on choisirait lâĂ©tat de pure conscience plutĂŽt que le physique parce quâil y aurait une plus grande libertĂ© dans cet Ă©tat et, donc, si on choisit consciemment dâĂȘtre dans lâĂ©tat non-physique, on choisirait aussi de ne pas avoir de relations sexuelles ou de ne pas manger.
R : Presque
Q : Son autre affirmation est la suivante : « Les Câs ont dĂ©clarĂ© quâils Ă©taient une continuation des PlĂ©iadiens. Le point de vue des PlĂ©iadiens sur la sexualitĂ©, qui doit ĂȘtre exprimĂ©e librement, semble en opposition directe. »
R : Eh bien, il sâagit lĂ dâun amalgame de concepts. Mais, pour en aborder un, qui peut dire que les reprĂ©sentations des concepts PlĂ©iadiens sont vraiment les mĂȘmes ?
Q : Lâune de ses derniĂšres remarques est la suivante : « Je rĂ©flĂ©chis Ă la maniĂšre dâĂ©tudier les arbres ». Pouvez-vous nous dire ce que vous en pensez ?
R : Ătudiez-les comme vous le souhaitez. Il ne sâagit que de leçons.
Q : Ce nâest quâun commentaire secondaire. JâespĂ©rais que lâeffort de groupe amĂ©liorerait la comprĂ©hension grĂące Ă la discussion mais je crains que ce ne soit pas le cas.
R : Il nây a pas lieu dâespĂ©rer. Ceux qui comprendront, comprendront.
Q : TrĂšs bien. Pour Ark, permettez-moi de lire cet extrait du livre de Kozyrev : Kozyrev imaginait le temps comme un flux puissant englobant tous les processus matĂ©riels de lâunivers et tous les processus se dĂ©roulant dans ces systĂšmes Ă©taient des sources alimentant ce flux. Il parle de lâintensitĂ© ou de la densitĂ© du flux temporel, de lâĂ©nergie quâil transporte, de son Ă©mission et de son absorption ; de la rectilinĂ©aritĂ© de sa propagation, de sa rĂ©flexion sur les obstacles et de son absorption par la matiĂšre. Kozyrev a dit : « Le temps sâĂ©coule dans un systĂšme par le biais dâune cause Ă un effet. On a lâimpression que le temps est attirĂ© Ă lâintĂ©rieur par une cause et quâil se densifie Ă lâendroit dâun effet. Dans chaque processus de la nature, le temps peut ĂȘtre formĂ© ou dĂ©pensĂ©. » Par consĂ©quent, il semble raisonnable dâidentifier le flux de Kozyrev Ă un flux substantiel dont la source est, selon Kozyrev, un processus irrĂ©versible et hors dâĂ©quilibre. En ce qui concerne ses remarques sur le temps, dans quelle mesure Ă©tait-il proche dâune comprĂ©hension exacte lorsquâil a fait ces commentaires ?
R : Proche
Q : Il dit aussi ici : « Kozyrev a soulignĂ© les contradictions flagrantes entre la deuxiĂšme loi de la thermodynamique, qui rapproche la mort thermique de lâunivers, et lâabsence de tout signe dâĂ©quilibre dans la diversitĂ© observĂ©e de lâunivers. Il a soulignĂ© que les tentatives dâexplication de lâabsence de mort thermique ont Ă©tĂ© trĂšs Ă©loignĂ©es de lâunivers rĂ©el observĂ© par les astronomes. Le fait est que les corps cĂ©lestes et leurs systĂšmes sont tellement isolĂ©s les uns des autres que leur mort thermique DOIT sâĂȘtre produite bien avant quâun systĂšme extĂ©rieur nâait pu intervenir. Par consĂ©quent, les Ă©tats dĂ©gradĂ©s des systĂšmes devraient dominer alors quâils ne se sont presque JAMAIS rencontrĂ©s. La question est de savoir pourquoi les systĂšmes cĂ©lestes continuent Ă vivre en dĂ©pit de la briĂšvetĂ© thĂ©orique des temps de relaxation ». Il ajoute ensuite : « Le problĂšme qui consiste Ă surmonter la mort thermique du monde est Ă©troitement liĂ© Ă lâorigine du rayonnement solaire et stellaire. Il est intĂ©ressant de noter quâune question aussi concrĂšte que âpourquoi le soleil et les Ă©toiles brillent-ils ? Pourquoi sont-ils en dĂ©sĂ©quilibre avec lâespace ambiant ?â. Les lois physiques connues ne permettent pas de rĂ©pondre Ă cette question. Lâanalyse des donnĂ©es astronomiques permet de conclure que les durĂ©es de vie des Ă©toiles DEVRAIENT ĂȘtre courtes mais que ce nâest pas le cas observĂ© ». Il affirme donc que, puisque les Ă©toiles vivent beaucoup plus longtemps quâelles ne le devraient selon les lois thĂ©oriques et quâelles font des choses qui ne sont pas couvertes par ces thĂ©ories, ce qui se trouve Ă lâintĂ©rieur dâelles ne peut pas ĂȘtre ce qui a Ă©tĂ© thĂ©orisĂ©. Il dit donc : « Les Ă©toiles sont des machines qui tirent leur Ă©nergie du flux temporel ». Il dit Ă©galement que lâintĂ©rieur de lâĂ©toile ne peut pas ĂȘtre la rĂ©action thermo-nuclĂ©aire telle quâelle est dĂ©crite. Que pouvez-vous dire de cette idĂ©e que les Ă©toiles sont soutenues par le flux temporel ?
R : Les Ă©toiles ne sont pas des machines mais des fenĂȘtres.
Q : Quây a-t-il Ă lâintĂ©rieur de notre soleil ? Quel est son Ă©tat interne ?
R : Lâouverture sur un autre monde.
Q : LâintĂ©rieur du soleil, comment nous apparaĂźt-il en 3e densitĂ© ?
R : Il nâapparaĂźt pas.
Q : Câest donc quelque chose qui nous est totalement inconnaissable ?
R : Proche
Q : Se prĂ©sente-t-il sous la forme dâune matiĂšre quelconque, super condensĂ©e ou autre ?
R : Proche
Q : (A) Le fait est que nous ne pouvons pas aller Ă lâintĂ©rieur, donc demander Ă quoi il ressemble nâa pas beaucoup de sens.
R : Oui
Q : (A) Mais, bien sĂ»r, nous pouvons essayer dâĂ©tudier ces ouvertures par dâautres moyens dont nous ne savons pas encore exactement ce quâils sont. Certaines de ces inventions de Kozyrev peuvent ĂȘtre utiles Ă cet Ă©gard. Mais dâabord, nous devons avoir une comprĂ©hension thĂ©orique, non seulement en termes de mots, mais aussi en ce qui concerne les liens avec dâautres concepts que nous connaissons. Je voudrais poser une question sur les ondes gravitationnelles. Ă un moment donnĂ©, vous avez mentionnĂ© Sakharov. Voici donc un livre de Sakharov. Mais il sâagit de lâidĂ©e ordinaire des ondes gravitationnelles qui se propagent Ă la vitesse de la lumiĂšre, comme tout le monde le croit.
R : Non
Q : (A) Ce nâest pas le cas ?
R : Eh bien, quâen penses-tu ?
Q : (A) Ce que je pense, câest quâil y a une confusion. Le concept actuel des ondes gravitationnelles est quâelles se propagent comme des champs Ă©lectromagnĂ©tiques Ă la vitesse de la lumiĂšre. Les scientifiques ont essayĂ© de les mesurer sur la base de cette idĂ©e mais nây sont pas parvenus jusquâĂ prĂ©sent. Il existe une thĂ©orie mathĂ©matique et des machines censĂ©es mesurer la gravitĂ© mais elles nây parviennent pas. Par exemple : si vous avez un systĂšme dâĂ©toiles binaires, une Ă©toile tournant autour de lâautre, elles devraient produire des ondulations sur la courbure de lâespace-temps, et ces ondulations devraient se propager et nous devrions ĂȘtre en mesure de dĂ©tecter et de mesurer ces ondulations. Le livre de Sakharov traite de ce type dâondes gravitationnelles. Je nâen sais rien. Existent-elles de cette maniĂšre ?
R : Non. Intemporel, mon cher Arkadiusz, intemporel. Comment peut-on assimiler les ondes gravitationnelles au vide de la vitesse de la lumiÚre ? La vitesse de la lumiÚre existe dans le cadre plus large de la gravité, tout comme le temps.
Q : (A) Dâaccord, une question connexe : ce Sakharov dit que nous devrions quantifier la gravitĂ© et que la vraie thĂ©orie inclura la quantification de la gravitĂ©. Je pense que nous ne devrions PAS quantifier la gravitĂ©. Je me demande donc pourquoi il dit ces choses qui sont si courantes alors quâil est censĂ© ĂȘtre un penseur non conventionnel.
R : Pour des raisons politiques, en quelque sorte. Il vaut mieux lire entre les lignes lorsquâon Ă©tudie ses Ă©crits.
Q : (A) La derniĂšre fois, vous avez dit que les ondes gravitationnelles avaient une empreinte instantanĂ©e. Cela signifie que lâonde se propage instantanĂ©ment dans lâespace. Comment son intensitĂ© varie-t-elle lorsquâon sâĂ©loigne de la source ? Son intensitĂ© devient-elle de plus en plus faible ?
R : Non
Q : (A) Vous dites non. Câest curieux. Sâil y a une source, comment pouvons-nous reconnaĂźtre la source de lâonde ? OĂč se trouve-t-elle ?
R : Il faut dâabord se faire une idĂ©e correcte de la gravitĂ©. La gravitĂ© est le lien entre la matiĂšre et lâantimatiĂšre.
Q : (A) Vous utilisez le mot « gravitĂ© ». Les scientifiques lâutilisent Ă©galement. Apparemment, il y a deux significations diffĂ©rentes ?
R : Comment ça ?
Q : (A) Parce que, selon la science, la gravitĂ© est une force, comme dâautres forces, est un champ, comme dâautres champs, et Ă©tant un champâŠ
R : Mais câest le champ fondamental dâoĂč Ă©manent tous les autres champs.
Q : (A) Il y a quelque chose que nous appelons « espace ». Lâespace existe-t-il ? Est-ce lâune des choses fondamentales ? Le concept dâespace ? Est-il secondaire ?
R : Câest ici que tous les types de 3e densitĂ© se perdent en chemin, parce quâils nâont jamais Ă©tĂ© capables de rectifier la dĂ©finition de lâespace. Par exemple, oĂč commence et oĂč finit « lâespace ». Et si ce nâest pas le cas, comment cela se fait-il ?
Q : (A) Je voudrais connaĂźtre le modĂšle mathĂ©matique, comment modĂ©liser lâespace mathĂ©matiquement. Je connais la façon standard de modĂ©liser lâespace, qui vient dâEuclide et de Newton, et qui dit que lâespace nâest quâune variĂ©tĂ© tridimensionnelle. Mais, il y a aussi ce Français de Paris, Nottale, qui dit que lâespace est chaotique, fractal, non lisse ; et en partant de cette idĂ©e que lâespace est un objet trĂšs compliquĂ©, de type fractal, il dĂ©rive des Ă©quations pour les orbites planĂ©taires, un peu comme les thĂ©ories de Velikovsky selon lesquelles les systĂšmes planĂ©taires sont comme des atomes et quâune sorte de thĂ©orie quantique peut ĂȘtre utilisĂ©e pour obtenir ces orbites, et que des sauts quantiques peuvent alors se produire. Il dĂ©duit des Ă©quations de son concept dâespace. Jâai obtenu un certain nombre dâarticles de cet homme parce que je pense quâils valent la peine dâĂȘtre Ă©tudiĂ©s et poursuivis dans cette direction. Jâaimerais savoir si mon intuition Ă cet Ă©gard est correcte ?
R : Oui
Q : (L) Puis-je poser une question ? (A) Oui. (L) Lâespace a-t-il un dĂ©but ou une fin ?
R : RĂ©pondre Ă cette question pour vous serait comme dire Ă un enfant humain de quatre ans que le PĂšre NoĂ«l nâexiste pas.
Q : (L) Eh bien, je peux le supporter ! Si câest le cas ou non. Parce que ma prochaine question, si cela A un dĂ©but ou une fin, serait : dans quel espace notre espace existe-t-il ?
R : Pas aujourdâhui, Gracie !
Q : (A) Un autre jour. (L) Apparemment, je pose des questions auxquelles ils ne veulent pas rĂ©pondre ! Je suis dĂ©solĂ©e. (A) Lundi, jâirai Ă ConTech et câest un moment crucial, car il sera dĂ©cidĂ© si le contrat sera prolongĂ©, etc. Comment dois-je agir pour obtenirâŠ
R : Veux-tu que le contrat se poursuive ?
Q : (A) La question nâest pas de savoir ce que je veux ou non mais de savoir quâil sâagit dâune source dâargent nĂ©cessaire, donc la rĂ©ponse est oui.
R : Alors, expose ton point de vue honnĂȘtement et sincĂšrement.
Q : (A) Dâaccord, cela rĂ©pond Ă lâune de mes questions. Lâautre question est la suivante : ce contrat est bien meilleur que lâenseignement mais il me prend presque tout mon temps, et maintenant nous avons ces choses passionnantes, comme ce livre de Kozyrev, qui peut ĂȘtre le dĂ©but dâune rechercheâŠ
R : Nous avons dĂ©jĂ conseillĂ© de profiter de la situation car elle nâaboutira pas Ă des conclusions nĂ©gatives. JusquâĂ prĂ©sent, lorsque nos conseils ont Ă©tĂ© suivis, quels ont Ă©tĂ© les rĂ©sultats ?
Q : (L) Permettez-moi de poser rapidement une question sur ce que lâon appelle lâ« hĂ©ritage Meadows ». Il sâest produit dâune maniĂšre si Ă©trange que jâai commencĂ© Ă me demander sâil ne sâagissait pas dâun des « arrangements » auxquels vous avez fait allusion dans certaines des recherches sur la lignĂ©e que jâai effectuĂ©es. Est-ce possible ?
R : Mais sâinterroger est une expĂ©rience tellement stimulante !
Q : (L) Est-il possible quâil en rĂ©sulte quelque chose ? (A) Je pense que tu devrais demander ce que tu devrais faire pour que cela se produise.
R : Non, tu ne devrais pas.
Q : (L) Que dois-je demander ?
R : Laura, il suffit de laisser faire.
Q : (L) Dâaccord. (A) Jâaimerais poser une question Ă propos de Barry qui mâa Ă©crit au sujet de lâOr Monoatomique. Laura a suggĂ©rĂ© quâil sâagissait dâune distraction. Mais, il mâa orientĂ© vers un Finlandais plutĂŽt Ă©trange dont les thĂ©ories me paraissent logiques. Avez-vous un commentaire Ă faire sur ce scĂ©nario de distraction possible ?
R : Nous ne ferons aucun commentaire.
Q : (A) Ce Finlandais a dĂ©veloppĂ© une GĂ©omĂ©trodynamique Topologique qui inclut des mathĂ©matiques qui peuvent ĂȘtre utiles pour accommoder la conscience. Cela a quelque chose Ă voir avec les nombres premiers et jâaime cette idĂ©e.
R : Alors, explore ! Sur ce, bonne nuit.
Fin de la séance
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Merci aux membres de lâĂ©quipe française pour cette traduction.
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SĂ©ance du 19 septembre 1998
Laura, Frank, Ark
Q : Bonsoir
R : Bonsoir
Q : Et qui est avec nous ce soir ?
R : Loxacca
Q : Et dâoĂč transmettez-vous ?
R : Cassiopée
Q : Jâai plusieurs choses de la petite liste de diffusion que jâaimerais aborder en premier parce que je pense quâelles vont passer assez vite. La premiĂšre est ce livre intitulĂ© « Trance Formation of America ; The true life story of a CIA slave (NdT : La vĂ©ritable histoire dâun esclave de la CIA) » par Cathy O'Brien avec Mark Phillips. Il y a une citation assez longue de ce livre que nous avons tous lue. Je ne vais certainement pas la lire Ă haute voix parce que je ne veux pas avoir Ă taper une telle chose moi-mĂȘme, donc je ne la lirai pas, mais je suis sĂ»re que vous ĂȘtes au courant de ce quâelle dit. Ce que je voudrais savoir, câest quelle est la motivation des auteurs de ce livre ?
R : La perturbation
Q : Perturber quoi ?
R : Toute personne susceptible dâĂȘtre perturbĂ©e.
Q : Ce livre semble viser spĂ©cifiquement les Clinton ou la structure du pouvoir. Les descriptions des comportements dâHillary et de Bill Clinton, telles quâelles figurent dans cet extrait, sont-elles proches de la rĂ©alitĂ© ?
R : Proches ? Disons, peut-ĂȘtre, mais pas de la maniĂšre dĂ©crite.
Q : Existe-t-il une telle chose que cette fille dĂ©crit ? Ces esclaves de la CIA qui sont sexuellement mutilĂ©s et programmĂ©s avec ce programme de contrĂŽle de lâesprit, comme elle lâa dĂ©crit ?
R : Toute expĂ©rience de ce type serait gĂ©rĂ©e par la structure cellulaire dâun satellite pseudo-gouvernemental et, normalement, pas par la CIA.
Q : Ce que vous semblez dire, câest que ce qui est dĂ©crit ici EST en train de se produire ?
R : Dans une certaine mesure, mais lâhistoire telle quâelle est racontĂ©e est fictive.
Q : Les Clinton sont-ils aussi dĂ©pravĂ©s quâelle les prĂ©sente ?
R : Non, mais il est possible quâils aient consommĂ© des drogues Ă des fins rĂ©crĂ©atives. Toutefois, nous vous suggĂ©rons de ne pas partager cette information !
Q : Bon, passons Ă autre chose. Voici une note de Mike C-T. Il Ă©crit : « Laura, jâai Ă©tĂ© trĂšs consternĂ© de lire votre article sur le RĂ©gime Alimentaire et la Nutrition sur la Page Web. Les Câs disent que lâAmour est suffisant et que le sexe est une pure envie physique et que lâĂ©nergie de lâorgasme nourrit les sales types SDS de la 4e D. Ensuite, ils disent que tu devrais fumer et consommer x mg de nicotine, parce que tu en as besoin. Ces deux idĂ©es me semblent contraires puisque fumer est Ă©galement une « envie physique ». Oui, les gens prennent du poids aprĂšs avoir arrĂȘtĂ© de fumer, mais le mĂ©tabolisme se stabilise au bout dâun an environ. Ătes-vous sĂ»r de la source de ce message ? Les SDS pourraient-ils ĂȘtre en train de sâinfiltrer et de vous inciter, vous et dâautres, Ă essayer de vous tuer Ă petit feu ? Couvrir ses poumons de cendres ne peut pas ĂȘtre bon pour la santĂ©, quelle que soit la composition de ces cendres. MĂȘme la fumĂ©e de bois provoque des troubles respiratoires. Je me suis senti mal Ă lâaise en lisant cette partie. Cela ne correspondait pas Ă ma vision du monde des âCâsâ ». SignĂ© Mike. Pouvez-vous commenter ses remarques ?
R : Nous nâavons pas suggĂ©rĂ© quâil Ă©tait conseillĂ© de fumer en soi, la rĂ©ponse concernait une question personnelle sur les difficultĂ©s rencontrĂ©es par Laura pour perdre du poids. Et nous nâavons pas dit quâil sâagissait dâune solution permanente.
Q : En revanche, vous avez dit que cela augmentait la rĂ©sistance aux maladies et que cela avait dâautres effets bĂ©nĂ©fiques.
R : Oui, mais il est prĂ©fĂ©rable dâutiliser des produits du tabac purs et non la variĂ©tĂ© corrompue que lâon trouve sur le marchĂ© de masse.
Q : Quâen est-il de la question du sexe ?
R : Plus exactement, sâil te plaĂźt.
Q : Il dit que les deux idĂ©es semblent contrairesâŠ
R : Comment cela ?
Q : Je suppose que son idĂ©e est que si vous renoncez au sexe, vous devriez Ă©galement renoncer Ă fumer car il sâagit de deux envies physiques. Ou bien, si fumer est acceptable alors le sexe devrait lâĂȘtre aussi. Je nâai pas tout Ă fait compris la perspective. Jâai rĂ©pondu que jâavais compris que ce nâĂ©tait pas le sexe, en soi, qui Ă©tait mauvais, mais plutĂŽt la pulsion dâautosatisfaction qui alimentait le SDS.
R : Câest vrai.
Q : Il dit ensuite : « Ătes-vous sĂ»r de la source de ce message ? Est-ce que les SDS pourraient ĂȘtre en train de sâinfiltrer et de vous inciter, vous et dâautres, Ă essayer de vous tuer lentement ?
R : Non et, dâailleurs, le « meurtre Ă petit feu » se produit de toute façon, quâil soit dĂ©clenchĂ© par lâindividu lui-mĂȘme ou non.
Q : Il dit : « Couvrir ses poumons de cendres ne peut pas ĂȘtre bon pour vous, quelle que soit la composition de ces cendres ».
R : Un produit du tabac non corrompu nâa pas cet effet.
Q : Jâai Ă©galement mentionnĂ© le fait que ce professeur dâHĂ©matologie Ă Gainesville mâa dit que la seule chose quâils connaissent, Ă part un processus pathologique, qui augmente le nombre de globules rouges, donc lâhĂ©moglobine, et donc la teneur en fer du sang et du cerveau, câest le fait de fumer du tabac.
R : Câest vrai.
Q : DâaprĂšs cette information, associĂ©e Ă tout le travail effectuĂ© sur le suivi de cette « question du sang » qui est si dominante dans la « quĂȘte du Graal » et la littĂ©rature ancienne, lâaugmentation du nombre de globules rouges Ă©tait une chose TRĂS souhaitable Ă faire pour amĂ©liorer la capacitĂ© dâune personne Ă traverser les densitĂ©s avec aisance. Est-ce une idĂ©e correcte ?
R : Oui et cela rend une personne plus résistante aux infections microbiennes.
Q : (A) OĂč peut-on trouver des produits du tabac non corrompus ?
R : Dans un magasin de tabac.
Q : Alors, je suppose que je dois rouler moi-mĂȘme mon tabac !
R : Il est possible dâacheter une machine qui permet de le faire.
Q : Il a dit : « Je me suis senti malade quand jâai lu ça ». Je peux mâidentifier Ă ce sentiment parce quâil y a un certain nombre de choses que jâai apprises au cours de ce processus qui ont eu le mĂȘme effet sur moi. Mais jâai aussi appris que lorsque cela se produit, câest seulement ma rĂ©sistance qui cause cette souffrance. Pouvez-vous nous dire ce que vous en pensez ?
R : Les Ă©motions provoquent des points de vue.
Q : (A) Jâai aussi subi un lavage de cerveau de cette façon et je suis en train de changer. (F) Nous avons TOUS subi un lavage de cerveau ! (L) Ok, maintenant Eddie dit : « Laura a fait plusieurs commentaires sur lâAmour qui mâont troublĂ©. Je ne comprends pas comment le fait de donner de lâamour sans quâon nous le demande peut nuire au lieu dâamĂ©liorer. » Pouvez-vous nous dire ce que vous en pensez ?
R : Dans ce cas, « donner » de lâamour nâest pas donner.
Q : Donc, si vous donnez de lâamour alors quâon ne vous lâa pas demandĂ©, vous ne donnez PAS ?
R : Vous prenez, comme dâhabitude.
Q : Quand vous dites que vous « prenez », que prenez-vous ?
R : De lâĂ©nergie, Ă la maniĂšre SDS.
Q : Comment se fait-il que vous preniez de lâĂ©nergie Ă quelquâun en lui donnant de lâamour qui nâa pas Ă©tĂ© demandĂ© ?
R : Parce quâun vĂ©hicule SDS nâapprend pas Ă ĂȘtre un candidat SDA en dĂ©terminant les besoins dâun autre.
Q : Je ne comprends pas en quoi cela signifie que vous lui prenez de lâĂ©nergie ?
R : Parce quâil sâagit alors dâun acte dâauto-gratification. Si lâon « donne » alors quâil nây a pas de demande, donc pas de besoin, il sâagit dâune violation du libre arbitre ! Et dâailleurs, quelle autre motivation pourrait-il y avoir dans un tel scĂ©nario ? RĂ©flĂ©chissez attentivement et objectivement Ă cette question.
Q : Je pense que, dans un tel scĂ©nario, si on donne de lâamour Ă quelquâun qui ne lâa pas demandĂ©, cela traduit un dĂ©sir de changer lâautre, câest-Ă -dire un dĂ©sir de contrĂŽle.
R : Tu as compris !
Q : Il ajoute ensuite : « Oui, tout est leçon et si une personne a choisi un chemin spĂ©cifique, elle devrait ĂȘtre autorisĂ©e Ă aller de lâavant et Ă apprendre son chemin. Mais, disons que cela arrive Ă quelquâun que vous aimez vraiment. Et disons que cette personne est, peut-ĂȘtre, dans une pĂ©riode de sa vie oĂč ses pensĂ©es lâamĂšnent probablement Ă commettre, disons, un meurtre. Ne pensez-vous pas que si vous envoyez de lâamour Ă cette personne, mĂȘme inconsciemment, cela pourrait fournir lâĂ©nergie nĂ©cessaire (lâinfluence) pour arrĂȘter ce meurtre ? Commentaire sâil vous plaĂźt.
R : Non, non, non !!! En fait, un tel transfert dâĂ©nergie pourrait mĂȘme renforcer lâeffet.
Q : De quelle maniĂšre ?
R : Les ondes dĂ©sĂ©quilibrĂ©es pourraient ĂȘtre utilisĂ©es par le rĂ©cepteur.
Q : Je pense que le mot quâil a utilisĂ© est un indice : « Ne pensez-vous pas que si vous envoyez de lâamour Ă la personne, cela pourrait lui fournir lâĂ©nergie nĂ©cessaire » et, entre parenthĂšses, il y a le mot « influencer » qui implique le contrĂŽle du comportement de lâautre personne, pour « arrĂȘter ce meurtre ». Il semble donc quâil y ait un dĂ©sir de contrĂŽler les actions de lâautre personne.
R : Oui
Q : Mais son intention est tout Ă fait bienveillante car il veut mettre fin Ă un meurtre, ce qui sauve une vie, tout en empĂȘchant lâĂȘtre aimĂ© dâaller en prison. Il SEMBLE donc que son intention soit bienveillante. Cela ne fait-il pas une diffĂ©rence ?
R : Avons-nous oublié le Karma ?
Q : En fait, toutes les deux, Sylvia et moi, avons mentionnĂ© le fait que lâon ne peut pas toujours juger ces situations parce que nous ne savons pas. Nous ne pouvons pas savoir. Tout ce que nous savons, câest que la victime potentielle du meurtre est un Adolf Hitler ou le parent potentiel dâun Adolf Hitler, ou quelque chose comme ça, et que le meurtre sauverait de nombreuses vies en sacrifiant deux vies, ou que ce meurtre est censĂ© se produire en raison dâune interaction karmique essentielle entre le meurtrier et la victime et que nous ne pouvons tout simplement pas SAVOIR ces choses et les juger.
R : Oui
Q : Un autre commentaire Ă ce sujet ?
R : Non
Q : Il dit : « Je crois que si nous nâenvoyons pas dâĂ©nergie dâamour au monde, lâĂ©nergie Ă©gocentrique SDS dominera. »
R : Pourquoi choisir dâenvoyer cette Ă©nergie ? Quelle est la motivation ?
Q : Pour le changer selon votre idĂ©e de ce quâil devrait ĂȘtre. Pour le contrĂŽler afin quâil suive votre jugement sur la façon dont les choses devraient ĂȘtre.
R : Exactement. Les Ă©lĂšves ne sont pas censĂ©s ĂȘtre les architectes de lâĂ©cole.
Q : Donc, lorsque vous cherchez Ă imposer ou Ă exercer une influence quelconque, vous essayez, en fait, de jouer Ă Dieu et vous prenez sur vous de dĂ©cider quâil y a quelque chose qui ne va pas dans lâunivers et quâil vous appartient de rectifier, ce qui Ă©quivaut Ă un jugement.
R : Oui, vous voyez, on peut conseiller, câest bien, mais il ne faut pas essayer de modifier la leçon.
Q : Il dit aussi : « Je crois quâun ĂȘtre illuminĂ© Ă©met de lâamour partout oĂč il se trouve et, ce, mĂȘme sans quâon le lui demande. Cela se produit simplement parce que câest ce quâils sont â amour. » Commentez, sâil vous plaĂźt.
R : Un ĂȘtre illuminĂ© nâest pas lâamour. Et un rĂ©frigĂ©rateur nâest pas une autoroute.
Q : Quoi ? Tu parles dâun mĂ©lange de mĂ©taphores ! Je ne comprends pas celle-lĂ !
R : Pourquoi pas ?
Q : Elles nâont rien Ă voir lâune avec lâautre !
R : Exactement !!!
Q : QuâEST-ce quâun ĂȘtre illuminĂ© ?
R : Un ĂȘtre illuminĂ©.
Q : Quels sont les critĂšres pour ĂȘtre un ĂȘtre illuminĂ© ?
R : Ătre illuminĂ© !
Q : Quand on est illuminé, quel est le profil ?
R : Cela ne mÚne nulle part parce que vous faites la proverbiale routine du trou rond, de la cheville carrée.
Q : Ce que jâessaie de comprendre, câest ce quâest un ĂȘtre illuminĂ©. Eddie et BEAUCOUP dâautres personnes ont lâidĂ©e quâun ĂȘtre illuminĂ© EST AMOUR, et que câest ce quâil rayonne et que câest une consĂ©quence de lâillumination.
R : Non, non, non, non, non. « IlluminĂ© » ne signifie pas bon. Câest juste intelligent.
Q : Dâaccord, il y a donc des ĂȘtres illuminĂ©s SDS et SDA ?
R : Oui, nous pensons que la proportion globale est de 50/50.
Q : Dâaccord, quel est le profil dâun ĂȘtre SDA illuminĂ© ?
R : Un ĂȘtre intelligent qui ne fait que donner.
Q : Puisque nous avons abordĂ© lâidĂ©e de ne pas donner dâamour Ă ceux qui ne le demandent pas, que donnent-ils et Ă qui le donnent-ils ?
R : Tout ; Ă ceux qui le demandent.
Q : Il dit : « Comme vous pouvez le voir, je crois au pouvoir de lâamour. Je suis ouvert pour essayer de comprendre ce que je nâai pas encore pu comprendre. Câest peut-ĂȘtre pour cela que je suis ici avec vous. Alors, pourrions-nous parler davantage de ce sujet ? Pourrions-nous fournir plus dâinformations sur ce que les Câs ont dit Ă propos de lâAmour ? » Jâai recueilli les extraits du texte sur lâamour et sur la façon dont vous avez dit que la Connaissance Ă©tait lâamour et que la lumiĂšre Ă©tait la connaissance et tout le reste. Pouvez-vous ajouter quelque chose Ă cela ?
R : Non, parce que le destinataire ne souhaite pas recevoir.
Q : Dâaccord. Sylvia a rĂ©pondu : « Eddie, je te remercie dâavoir soulignĂ© le paradoxe du concept de lâexpression de lâamour entre les Câs et le fait que certains dâentre nous pensent savoir, mais SAVENT ce quâils expĂ©rimentent. Jâai le sentiment quâil peut ĂȘtre trĂšs difficile pour les Câs dâapporter une comprĂ©hension adĂ©quate Ă notre 3e densitĂ© ou dimension. [âŠ] Mon point de vue sur le paradoxe est le suivant : Si lâon Ă©met de lâamour comme un cours naturel de lâUnivers, ce nâest pas consciemment limitĂ© ou dirigĂ© â du moins, pour ma part, je ne peux pas faire cela ; câest simplement la façon dont certains dâentre nous sont la plupart du âtempsâ. Ăliminer des groupes ou des individus dĂ©passe mon entendement et ne peut ĂȘtre dĂ©fini, en permanence, car cela se fait souvent de maniĂšre inconsciente ; et cela compromettrait certainement mon expĂ©rience de lâenvoi dâamour. Ă moins dâĂȘtre un Bodhisattva, lâamour nâest probablement dirigĂ© avec plus dâintensitĂ© que lorsquâil est dirigĂ© vers un individu ; comment savoir si le destinataire prĂ©vu nâest pas prĂȘt/apte Ă recevoir » [âŠ] Et « recevoir », je pense que câest un indice : le destinataire prĂ©vu peut soit rester inconscient, soit repousser lâĂ©nergie de lâamour â le libre arbitre.
R : Oui
Q : Sâil sâAGIT dâune « Ă©nergie dâamour », est-elle ensuite corrompue par le SDS ?
R : Peut-ĂȘtre
Q : Elle dit ensuite : « Si lâon dirige lâamour de façon trĂšs spĂ©cifique vers un individu, il peut ĂȘtre dirigĂ© librement, avec jugement, subjectivement⊠Lâun des dĂ©fis consiste Ă diriger lâamour librement⊠»
R : Non
Q : « Donner de lâamour Ă lâUnivers est peut-ĂȘtre le meilleur moyen, en gĂ©nĂ©ral, mais si lâon se concentre sur un ĂȘtre cher et que cela PEUT ĂȘtre efficace, lâUnivers en gĂ©nĂ©ral pourrait-il ĂȘtre AUSSI efficace ? »
R : Lâunivers est une question dâĂ©quilibre. Câest tout ce quâil y a Ă dire !
Q : Ensuite, en ce qui concerne le fait de ne pas donner dâamour lorsquâon cela nâest pas demandĂ©, elle dit : « Cela ne sâaccorde pas avec le fait de travailler en rĂ©seau pour rĂ©pandre la CONNAISSANCE parmi ceux qui sâinquiĂštent et qui aiment. CELA est dirigé⊠»
R : Quoi ?
Q : Eh bien, jâAI fait remarquer que la seule raison pour laquelle nous avons obtenu quoi que ce soit est que nous avons demandĂ© pendant LONGTEMPS, de façon rĂ©pĂ©tĂ©e et sincĂšre.
R : Le fond du problĂšme est le suivant : Vous occupez la 3e densitĂ©. Vous ĂȘtes, par nature, SDS. Vous pouvez ĂȘtre un candidat SDA, mais vous nâĂȘtes PAS SDA tant que vous nâĂȘtes pas en 4e densitĂ©. Vous ne saisirez JAMAIS le sens de ces tentatives de conceptualisation tant que vous ne serez pas en 4e densitĂ© et plus.
Q : Elle dit aussi : « Et il y a ceux qui nâont pas dâĂąme ». Est-ce vrai ?
R : Non
Q : Je pense que ce quâelle veut dire par lĂ , câest quâil y a ceux qui sont SDS dans leur essence mĂȘme et que beaucoup de gens considĂšrent que câest un Ă©tat « sans Ăąme », je crois.
R : Mais le SDS nâest pas « sans Ăąme ».
Q : Sylvia demande aussi : « Peut-il y avoir un moment oĂč lâon doit choisir entre le moindre de deux karmas ? »
R : Non parce que le karma dicte sa propre existence.
Q : Quâentendez-vous par lĂ ?
R : Il nây a pas de bifurcation sur la route parce quâil nây a pas de temps linĂ©aire. Câest une illusion et lorsque vous aurez obtenu votre promotion, vous le saurez.
Q : Dâaccord, elle ajoute Ă propos du point de vue des Câs sur la sexualitĂ© : « Leur point de vue implique trĂšs fortement que les Ătres humains sont conçus dans le pĂ©chĂ© aprĂšs tout. Pour moi, cela ne cadre pas avec une GĂ©omĂ©trie de la DivinitĂ© bienveillante et non vengeresse. »
R : Non, le sexe nâest pas un pĂ©chĂ©. La nourriture non plus. Câest simplement physiologique. Vous vous souvenez de ce que nous vous avons dit Ă propos de la physicalitĂ© variable ?
Q : Oui, la 4e densitĂ© est le niveau de variabilitĂ© de la physicalitĂ©. Apparemment, dâaprĂšs ce que je peux comprendre, quand on est dans cet Ă©tat, on trouve que dans la plupart des circonstances, on choisirait lâĂ©tat de pure conscience plutĂŽt que le physique parce quâil y aurait une plus grande libertĂ© dans cet Ă©tat et, donc, si on choisit consciemment dâĂȘtre dans lâĂ©tat non-physique, on choisirait aussi de ne pas avoir de relations sexuelles ou de ne pas manger.
R : Presque
Q : Son autre affirmation est la suivante : « Les Câs ont dĂ©clarĂ© quâils Ă©taient une continuation des PlĂ©iadiens. Le point de vue des PlĂ©iadiens sur la sexualitĂ©, qui doit ĂȘtre exprimĂ©e librement, semble en opposition directe. »
R : Eh bien, il sâagit lĂ dâun amalgame de concepts. Mais, pour en aborder un, qui peut dire que les reprĂ©sentations des concepts PlĂ©iadiens sont vraiment les mĂȘmes ?
Q : Lâune de ses derniĂšres remarques est la suivante : « Je rĂ©flĂ©chis Ă la maniĂšre dâĂ©tudier les arbres ». Pouvez-vous nous dire ce que vous en pensez ?
R : Ătudiez-les comme vous le souhaitez. Il ne sâagit que de leçons.
Q : Ce nâest quâun commentaire secondaire. JâespĂ©rais que lâeffort de groupe amĂ©liorerait la comprĂ©hension grĂące Ă la discussion mais je crains que ce ne soit pas le cas.
R : Il nây a pas lieu dâespĂ©rer. Ceux qui comprendront, comprendront.
Q : TrĂšs bien. Pour Ark, permettez-moi de lire cet extrait du livre de Kozyrev : Kozyrev imaginait le temps comme un flux puissant englobant tous les processus matĂ©riels de lâunivers et tous les processus se dĂ©roulant dans ces systĂšmes Ă©taient des sources alimentant ce flux. Il parle de lâintensitĂ© ou de la densitĂ© du flux temporel, de lâĂ©nergie quâil transporte, de son Ă©mission et de son absorption ; de la rectilinĂ©aritĂ© de sa propagation, de sa rĂ©flexion sur les obstacles et de son absorption par la matiĂšre. Kozyrev a dit : « Le temps sâĂ©coule dans un systĂšme par le biais dâune cause Ă un effet. On a lâimpression que le temps est attirĂ© Ă lâintĂ©rieur par une cause et quâil se densifie Ă lâendroit dâun effet. Dans chaque processus de la nature, le temps peut ĂȘtre formĂ© ou dĂ©pensĂ©. » Par consĂ©quent, il semble raisonnable dâidentifier le flux de Kozyrev Ă un flux substantiel dont la source est, selon Kozyrev, un processus irrĂ©versible et hors dâĂ©quilibre. En ce qui concerne ses remarques sur le temps, dans quelle mesure Ă©tait-il proche dâune comprĂ©hension exacte lorsquâil a fait ces commentaires ?
R : Proche
Q : Il dit aussi ici : « Kozyrev a soulignĂ© les contradictions flagrantes entre la deuxiĂšme loi de la thermodynamique, qui rapproche la mort thermique de lâunivers, et lâabsence de tout signe dâĂ©quilibre dans la diversitĂ© observĂ©e de lâunivers. Il a soulignĂ© que les tentatives dâexplication de lâabsence de mort thermique ont Ă©tĂ© trĂšs Ă©loignĂ©es de lâunivers rĂ©el observĂ© par les astronomes. Le fait est que les corps cĂ©lestes et leurs systĂšmes sont tellement isolĂ©s les uns des autres que leur mort thermique DOIT sâĂȘtre produite bien avant quâun systĂšme extĂ©rieur nâait pu intervenir. Par consĂ©quent, les Ă©tats dĂ©gradĂ©s des systĂšmes devraient dominer alors quâils ne se sont presque JAMAIS rencontrĂ©s. La question est de savoir pourquoi les systĂšmes cĂ©lestes continuent Ă vivre en dĂ©pit de la briĂšvetĂ© thĂ©orique des temps de relaxation ». Il ajoute ensuite : « Le problĂšme qui consiste Ă surmonter la mort thermique du monde est Ă©troitement liĂ© Ă lâorigine du rayonnement solaire et stellaire. Il est intĂ©ressant de noter quâune question aussi concrĂšte que âpourquoi le soleil et les Ă©toiles brillent-ils ? Pourquoi sont-ils en dĂ©sĂ©quilibre avec lâespace ambiant ?â. Les lois physiques connues ne permettent pas de rĂ©pondre Ă cette question. Lâanalyse des donnĂ©es astronomiques permet de conclure que les durĂ©es de vie des Ă©toiles DEVRAIENT ĂȘtre courtes mais que ce nâest pas le cas observĂ© ». Il affirme donc que, puisque les Ă©toiles vivent beaucoup plus longtemps quâelles ne le devraient selon les lois thĂ©oriques et quâelles font des choses qui ne sont pas couvertes par ces thĂ©ories, ce qui se trouve Ă lâintĂ©rieur dâelles ne peut pas ĂȘtre ce qui a Ă©tĂ© thĂ©orisĂ©. Il dit donc : « Les Ă©toiles sont des machines qui tirent leur Ă©nergie du flux temporel ». Il dit Ă©galement que lâintĂ©rieur de lâĂ©toile ne peut pas ĂȘtre la rĂ©action thermo-nuclĂ©aire telle quâelle est dĂ©crite. Que pouvez-vous dire de cette idĂ©e que les Ă©toiles sont soutenues par le flux temporel ?
R : Les Ă©toiles ne sont pas des machines mais des fenĂȘtres.
Q : Quây a-t-il Ă lâintĂ©rieur de notre soleil ? Quel est son Ă©tat interne ?
R : Lâouverture sur un autre monde.
Q : LâintĂ©rieur du soleil, comment nous apparaĂźt-il en 3e densitĂ© ?
R : Il nâapparaĂźt pas.
Q : Câest donc quelque chose qui nous est totalement inconnaissable ?
R : Proche
Q : Se prĂ©sente-t-il sous la forme dâune matiĂšre quelconque, super condensĂ©e ou autre ?
R : Proche
Q : (A) Le fait est que nous ne pouvons pas aller Ă lâintĂ©rieur, donc demander Ă quoi il ressemble nâa pas beaucoup de sens.
R : Oui
Q : (A) Mais, bien sĂ»r, nous pouvons essayer dâĂ©tudier ces ouvertures par dâautres moyens dont nous ne savons pas encore exactement ce quâils sont. Certaines de ces inventions de Kozyrev peuvent ĂȘtre utiles Ă cet Ă©gard. Mais dâabord, nous devons avoir une comprĂ©hension thĂ©orique, non seulement en termes de mots, mais aussi en ce qui concerne les liens avec dâautres concepts que nous connaissons. Je voudrais poser une question sur les ondes gravitationnelles. Ă un moment donnĂ©, vous avez mentionnĂ© Sakharov. Voici donc un livre de Sakharov. Mais il sâagit de lâidĂ©e ordinaire des ondes gravitationnelles qui se propagent Ă la vitesse de la lumiĂšre, comme tout le monde le croit.
R : Non
Q : (A) Ce nâest pas le cas ?
R : Eh bien, quâen penses-tu ?
Q : (A) Ce que je pense, câest quâil y a une confusion. Le concept actuel des ondes gravitationnelles est quâelles se propagent comme des champs Ă©lectromagnĂ©tiques Ă la vitesse de la lumiĂšre. Les scientifiques ont essayĂ© de les mesurer sur la base de cette idĂ©e mais nây sont pas parvenus jusquâĂ prĂ©sent. Il existe une thĂ©orie mathĂ©matique et des machines censĂ©es mesurer la gravitĂ© mais elles nây parviennent pas. Par exemple : si vous avez un systĂšme dâĂ©toiles binaires, une Ă©toile tournant autour de lâautre, elles devraient produire des ondulations sur la courbure de lâespace-temps, et ces ondulations devraient se propager et nous devrions ĂȘtre en mesure de dĂ©tecter et de mesurer ces ondulations. Le livre de Sakharov traite de ce type dâondes gravitationnelles. Je nâen sais rien. Existent-elles de cette maniĂšre ?
R : Non. Intemporel, mon cher Arkadiusz, intemporel. Comment peut-on assimiler les ondes gravitationnelles au vide de la vitesse de la lumiÚre ? La vitesse de la lumiÚre existe dans le cadre plus large de la gravité, tout comme le temps.
Q : (A) Dâaccord, une question connexe : ce Sakharov dit que nous devrions quantifier la gravitĂ© et que la vraie thĂ©orie inclura la quantification de la gravitĂ©. Je pense que nous ne devrions PAS quantifier la gravitĂ©. Je me demande donc pourquoi il dit ces choses qui sont si courantes alors quâil est censĂ© ĂȘtre un penseur non conventionnel.
R : Pour des raisons politiques, en quelque sorte. Il vaut mieux lire entre les lignes lorsquâon Ă©tudie ses Ă©crits.
Q : (A) La derniĂšre fois, vous avez dit que les ondes gravitationnelles avaient une empreinte instantanĂ©e. Cela signifie que lâonde se propage instantanĂ©ment dans lâespace. Comment son intensitĂ© varie-t-elle lorsquâon sâĂ©loigne de la source ? Son intensitĂ© devient-elle de plus en plus faible ?
R : Non
Q : (A) Vous dites non. Câest curieux. Sâil y a une source, comment pouvons-nous reconnaĂźtre la source de lâonde ? OĂč se trouve-t-elle ?
R : Il faut dâabord se faire une idĂ©e correcte de la gravitĂ©. La gravitĂ© est le lien entre la matiĂšre et lâantimatiĂšre.
Q : (A) Vous utilisez le mot « gravitĂ© ». Les scientifiques lâutilisent Ă©galement. Apparemment, il y a deux significations diffĂ©rentes ?
R : Comment ça ?
Q : (A) Parce que, selon la science, la gravitĂ© est une force, comme dâautres forces, est un champ, comme dâautres champs, et Ă©tant un champâŠ
R : Mais câest le champ fondamental dâoĂč Ă©manent tous les autres champs.
Q : (A) Il y a quelque chose que nous appelons « espace ». Lâespace existe-t-il ? Est-ce lâune des choses fondamentales ? Le concept dâespace ? Est-il secondaire ?
R : Câest ici que tous les types de 3e densitĂ© se perdent en chemin, parce quâils nâont jamais Ă©tĂ© capables de rectifier la dĂ©finition de lâespace. Par exemple, oĂč commence et oĂč finit « lâespace ». Et si ce nâest pas le cas, comment cela se fait-il ?
Q : (A) Je voudrais connaĂźtre le modĂšle mathĂ©matique, comment modĂ©liser lâespace mathĂ©matiquement. Je connais la façon standard de modĂ©liser lâespace, qui vient dâEuclide et de Newton, et qui dit que lâespace nâest quâune variĂ©tĂ© tridimensionnelle. Mais, il y a aussi ce Français de Paris, Nottale, qui dit que lâespace est chaotique, fractal, non lisse ; et en partant de cette idĂ©e que lâespace est un objet trĂšs compliquĂ©, de type fractal, il dĂ©rive des Ă©quations pour les orbites planĂ©taires, un peu comme les thĂ©ories de Velikovsky selon lesquelles les systĂšmes planĂ©taires sont comme des atomes et quâune sorte de thĂ©orie quantique peut ĂȘtre utilisĂ©e pour obtenir ces orbites, et que des sauts quantiques peuvent alors se produire. Il dĂ©duit des Ă©quations de son concept dâespace. Jâai obtenu un certain nombre dâarticles de cet homme parce que je pense quâils valent la peine dâĂȘtre Ă©tudiĂ©s et poursuivis dans cette direction. Jâaimerais savoir si mon intuition Ă cet Ă©gard est correcte ?
R : Oui
Q : (L) Puis-je poser une question ? (A) Oui. (L) Lâespace a-t-il un dĂ©but ou une fin ?
R : RĂ©pondre Ă cette question pour vous serait comme dire Ă un enfant humain de quatre ans que le PĂšre NoĂ«l nâexiste pas.
Q : (L) Eh bien, je peux le supporter ! Si câest le cas ou non. Parce que ma prochaine question, si cela A un dĂ©but ou une fin, serait : dans quel espace notre espace existe-t-il ?
R : Pas aujourdâhui, Gracie !
Q : (A) Un autre jour. (L) Apparemment, je pose des questions auxquelles ils ne veulent pas rĂ©pondre ! Je suis dĂ©solĂ©e. (A) Lundi, jâirai Ă ConTech et câest un moment crucial, car il sera dĂ©cidĂ© si le contrat sera prolongĂ©, etc. Comment dois-je agir pour obtenirâŠ
R : Veux-tu que le contrat se poursuive ?
Q : (A) La question nâest pas de savoir ce que je veux ou non mais de savoir quâil sâagit dâune source dâargent nĂ©cessaire, donc la rĂ©ponse est oui.
R : Alors, expose ton point de vue honnĂȘtement et sincĂšrement.
Q : (A) Dâaccord, cela rĂ©pond Ă lâune de mes questions. Lâautre question est la suivante : ce contrat est bien meilleur que lâenseignement mais il me prend presque tout mon temps, et maintenant nous avons ces choses passionnantes, comme ce livre de Kozyrev, qui peut ĂȘtre le dĂ©but dâune rechercheâŠ
R : Nous avons dĂ©jĂ conseillĂ© de profiter de la situation car elle nâaboutira pas Ă des conclusions nĂ©gatives. JusquâĂ prĂ©sent, lorsque nos conseils ont Ă©tĂ© suivis, quels ont Ă©tĂ© les rĂ©sultats ?
Q : (L) Permettez-moi de poser rapidement une question sur ce que lâon appelle lâ« hĂ©ritage Meadows ». Il sâest produit dâune maniĂšre si Ă©trange que jâai commencĂ© Ă me demander sâil ne sâagissait pas dâun des « arrangements » auxquels vous avez fait allusion dans certaines des recherches sur la lignĂ©e que jâai effectuĂ©es. Est-ce possible ?
R : Mais sâinterroger est une expĂ©rience tellement stimulante !
Q : (L) Est-il possible quâil en rĂ©sulte quelque chose ? (A) Je pense que tu devrais demander ce que tu devrais faire pour que cela se produise.
R : Non, tu ne devrais pas.
Q : (L) Que dois-je demander ?
R : Laura, il suffit de laisser faire.
Q : (L) Dâaccord. (A) Jâaimerais poser une question Ă propos de Barry qui mâa Ă©crit au sujet de lâOr Monoatomique. Laura a suggĂ©rĂ© quâil sâagissait dâune distraction. Mais, il mâa orientĂ© vers un Finlandais plutĂŽt Ă©trange dont les thĂ©ories me paraissent logiques. Avez-vous un commentaire Ă faire sur ce scĂ©nario de distraction possible ?
R : Nous ne ferons aucun commentaire.
Q : (A) Ce Finlandais a dĂ©veloppĂ© une GĂ©omĂ©trodynamique Topologique qui inclut des mathĂ©matiques qui peuvent ĂȘtre utiles pour accommoder la conscience. Cela a quelque chose Ă voir avec les nombres premiers et jâaime cette idĂ©e.
R : Alors, explore ! Sur ce, bonne nuit.
Fin de la séance
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