Thanks to the members of the French translation group who have just translated that session.
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Merci aux membres de l’équipe française pour cette traduction.
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« Frank » a quitté le groupe en novembre 2000. La dernière séance à laquelle il a participé a eu lieu le 23 septembre 2000. Il y a eu une interruption pendant que je travaillais sur Amazing Grace. Nous attendions toujours que Frank se ressaisisse et nous avons pensé qu’il reviendrait après une période de transition. Mon frère est venu me rendre visite en décembre et nous avons donc pensé que nous pourrions faire des séances sans Frank.
Séance du 2 décembre 2000
Ark, Laura, Tom K., Barry T.
Q : Bonsoir.
R : Bonsoir.
Q : Et qui est avec nous ce soir ?
R : Soalam.
Q : Et d’où transmettez-vous ?
R : Cassiopée.
Q : Puisque nous nous réajustons avec Tom, commençons par des questions oui/non. Nous aimerions savoir combien de séances seraient nécessaires pour établir un nouveau conduit, pour nous réajuster, puisque Frank est parti ?
R : Quatre. Travaillez sur la mise au point.
Q : Est-ce une meilleure association qu’avec Frank ?
R : Oui. Possiblement.
Q : (TK) [Indique un grand cristal sur la table.] Aimez-vous le nouveau cristal ?
R : Oui.
Q : (L) Est-il utile de l’avoir sur la planche ?
R : Aucune différence.
Q : (L) Qu’est-ce qui a contrarié Frank pour qu’il veuille quitter le groupe ?
R : La bague.
Q : (TK) Quelle « bague » ?
R : Son importance.
Q : (TK) Il est contrarié par sa perte d’importance dans le groupe à cause du mariage d’Ark et Laura ? Est-ce que c’est ça la bague ?
R : Oui.
Q : (L) Est-il possible qu’il soit manipulé par d’autres forces ?
R : Via d’autres forces.
Q : (L) En d’autres termes, ses pensées et ses sentiments sont les siens, mais ils sont utilisés par amplification. (BT) Frank était-il utilisé pour surveiller ?
R : Oui. Un peu.
Q : (L) Frank a-t-il lui-même influencé le contenu ?
R : Seulement quand il Ă©tait hors phase. Comme cette lune.
Q : (L) Frank était hors phase ? (B) Ou bien sa désinformation était cyclique comme la lune ? (L) Ça croissait et ça décroissait. En d’autres termes, nous pourrions revenir sur le contenu et utiliser un processus cyclique pour découvrir les influences ?
A : Oui.
Q : (L) Bon, quel était ce bip que nous avons entendu dans la maison l’autre jour ?
R : Non. Dispositif de détection 318.
Q : [Rires] (L) Un détecteur physique ?
R : Oui.
Q : (L) Quelque chose dans notre maison, et c’est toujours là  ?
R : Un dispositif de détection. Oui.
Q : (L) A-t-il eu une sorte de défaillance qui a fait qu’il s’est mis à biper soudainement ?
R : Oui.
Q : (L) Qui l’a mis là  ? Je veux dire, physiquement ?
R : D***.
Q : (L) Le gars qui a fait les travaux dans la maison ?! Dans le grenier ?
R : Oui. C’est tout petit.
Q : (L) Est-ce que D*** savait ce qu’il faisait ?
R : Non.
Q : (L) Ce qui me rappelle : est-ce que D*** a oublié de rendre notre agrafeuse à percussion ?
R : Oui.
Q : (TK) Y a-t-il un moyen d’augmenter la désinformation par le biais de ce détecteur ?
R : Oui.
Q : (BT) Est-ce que c’est quelque chose que nous devrions essayer de faire ?
R : Non.
Q : (R) Bon, vous dites le dispositif de détection « nº 318 ». Est-ce que cela suggère qu’il y a au moins autant de détecteurs dans notre maison ? Est-ce parce qu’ils sont petits ? J’ai imaginé que lorsqu’ils ont amené le camion pour répandre l’isolation dans le grenier, cela aurait été un moyen parfait pour installer des dispositifs d’écoute. Mais il faudrait qu’ils soient petits et nombreux. (TK) Oui. Combien de détecteurs y a-t-il dans cette maison ?
A : 85.
Q : (BT) Est-ce que cela est lié aux voitures qui s’arrêtaient régulièrement devant ?
R : Non.
Q : (TK) Ils n’ont pas vraiment besoin de s’approcher pour ce genre de travail. Doivent-ils s’approcher pour accéder à ces appareils ?
R : Non.
Q : (BT) Sont-ils supervisés par la 3D ou par la 4D ?
R : La 4e.
Q : (L) Ces voitures qui s’arrêtent devant la maison ont-elles un rapport avec nous, même si elles n’ont pas de rapport avec les appareils de détection ?
R : Oui.
Q : (L) Qu’est-ce qu’elles faisaient ? Qu’en est-il des personnes qui sont venues à la porte ? Ont-elles été envoyées à des fins de contrôle ?
R : Oui. Une Ă©quipe de taupes.
Q : (BT) Comme des agents secrets ou sous couverture ?
R : Oui. Gestion mécanique.
Q : (L) Cela signifie-t-il qu’il s’agit de machines ? Ils ont fait une très bonne imitation de Sammy Davis Jr. (A) Je voudrais revenir sur les responsables de la mise en place de ces appareils.
R : Les chevaliers Illuminati Nacionale.
Q : (R) Ça sonne italien. Hmmm. (L) Est-ce que Tom a quelques-uns de ces trucs marrants dans sa maison ? (TK) Oui !
R : Oui.
Q : (TK) Combien ?
A : 85.
Q : (TK) Ils aiment vraiment ce nombre ! (A) Qu’est-ce qu’ils surveillent ?
R : Les voix.
Q : (TK) Est-ce qu’ils sont activés par le son ?
R : Oui.
Q : (L) Peut-être devrions-nous encourager les enfants à jouer de la musique bizarre à l’étage. (TK) Ils enregistrent tout son qui les active, puis sont téléchargés par la suite ?
R : Oui. Souvent.
Q : (L) En dehors de l’enregistrement de ce que nous disons, quel est l’objectif de ces détecteurs ?
R : Le contrĂ´le.
Q : (L) Ces détecteurs émettent-ils aussi quelque chose ? (B) Sont-ils actifs et passifs ?
R : Oui.
Q : (TK) Tous, ou est-ce une combinaison de différents types de détecteurs qui sont interactifs ou reliés ?
R : Oui.
Q : (L) Est-ce que Barry en a aussi chez lui ?
R : Oui.
Q : (BT) Est-ce que cela a un rapport avec le déclenchement de la sonnette de la porte ?
R : Oui.
Q : (A) Eh bien, le fait qu’il s’agisse de détecteurs, je peux vivre avec. Mais le fait qu’ils ne soient pas seulement passifs, mais aussi actifs, me contrarie quelque peu. S’ils sont actifs, ils produisent probablement une sorte de vibration qui agit sur nous en permanence, pour ainsi dire.
R : Oui.
Q : (TK) C’est un son — ou des vibrations ? (A) De quel type d’action s’agit-il ?
R : Psychique.
Q : (L) C’est un domaine assez vaste. (A) Maintenant, ce qui est important pour nous, je pense, c’est de savoir si nous pouvons contrecarrer cette surveillance par des moyens parapsychiques, en étant conscients, dans tel ou tel état, ou s’il y a une action physique que nous ne pouvons pas contrôler parce qu’elle agit sur nos gènes, ou directement sur nos cellules — la chimie de notre corps — et qu’elle perturbe ce que nous faisons. Dans ce cas, il serait raisonnable de réagir d’une manière ou d’une autre. (TK) OK, si ces choses sont des émetteurs de fréquence, et qu’elles nous affectent psychiquement, y a-t-il un moyen de les contrecarrer, de les neutraliser ?
R : Oui.
Q : (L) Est-ce que c’est quelque chose de physique ou de psychique ?
R : Physique.
Q : (TK) Une contre-vibration pourrait-elle annuler cela ?
R : Oui.
Q : (L) Nous avons donc besoin d’un appareil qui produit une certaine fréquence ?
R : Oui.
Q : (TK) Est-ce qu’un tel dispositif est disponible dans le commerce ?
R : Autrement.
Q : (L) Il faut le construire. (TK) Des cristaux sont-ils impliqués ?
R : Oui.
Q : (A) Eh bien, nous avons un problème ici parce que nous avons ces 85 appareils. Ils enregistrent les sons. Cela signifie qu’ils sont en train de le faire maintenant.
R : Oui.
Q : (TK) Donc, si nous découvrons ce que nous devons construire ou faire pour les contrer, alors tout cela sera une perte de temps parce qu’ils viendront et en installeront de nouveaux ou agiront pour annuler ce que nous avons fait. Est-ce vrai ?
R : Oui.
Q : (TK) Est-ce que c’est une impasse ?
R : Non.
Q : (L) Il y a donc un moyen de résoudre ça. (TK) Pouvons-nous avoir une idée sur la manière de contrer cette situation ? (L) Oui, de l’essence et une allumette. [Rires.] (TK) Par exemple, en discuter lors d’une séance tenue ailleurs ?
R : Peut-ĂŞtre.
Q : (TK) Cela veut dire que ça n’aiderait pas nécessairement. Ce ne serait pas un traitement à long terme.
R : Oui.
Q : (L) Eh bien, nous pourrions vendre la maison et les laisser surveiller quelqu’un d’autre.
R : Non.
Q : (TK) Y a-t-il un moyen de protéger cette pièce ? Au moins temporairement.
R : Oui.
Q : (TK) Mais cela n’apporte pas d’aide entre les séances. Nous serions toujours bombardés par ces fréquences entre les séances. Mais si la zone était sécurisée pendant que nous recevons les informations… Devons-nous fabriquer ou construire une sorte d’appareil personnel que les gens peuvent transporter ou porter sur eux pour se protéger contre ce type de manipulation ? Est-ce une option viable ?
R : Oui.
Q : (A) Eh bien, ces choses doivent être rechargées en énergie depuis quelque part. Elles pourraient être alimentées par le champ électromagnétique qui est partout. (TK) Les cristaux ont-ils quelque chose à voir avec le dispositif proposé — le dispositif de protection ?
R : Oui.
Q : (L) Ils ont mentionné que les cristaux avec des champs d’énergie sont utiles de cette façon. Apparemment, l’énergie du soleil est également utile. (TK) D’accord, si nous devions trouver comment fabriquer de tels dispositifs, peut-on modifier une telle chose pour contrer les changements de la fréquence des attaques ?
R : Oui.
Q : (L) J’ai pensé à ces hangars métalliques. Il suffit d’y faire passer un courant électrique, d’aller à l’intérieur et de le mettre en marche. (BT) N’est-ce pas quelque chose comme une cage de Faraday. (TK) Eh bien, cela fournirait une zone qui protégerait les séances. Mais ça ne serait pas utile entre les séances. Est-ce que ce serait une sorte de gros, d’énorme truc… (L) Par exemple vraiment cher et difficile à fabriquer ?
R : Non.
Q : (L) Bon, les ondes sont des choses. On peut faire des ondes… (TK) Et on peut les annuler. Comme avec un bruit blanc ou quelque chose de ce genre. (L) On devrait peut-être se procurer une de ces machines à bruit blanc. Ça aiderait ?
R : Oui, un peu.
Q : (TK) Comment sauriez-vous sur quoi le régler ? Il faut que ce soit une fréquence super basse ou super haute… (A) Il y a une autre possibilité. Maintenant, quand nous utilisons des zappeurs, un courant nous traverse. Quelque chose de ce genre peut-il annuler l’activation des changements physiques générés par ces appareils ?
R : Oui. Jusqu’à un certain point.
Q : (BT) Est-ce que cette surveillance numéro 318 est courante, ou est-elle réservée à des personnes « spéciales » ? C’est-à -dire qu’elle est courante pour l’ensemble de la population ?
R : Non.
Q : (R) Que signifie 318 ? S’agit-il d’un numéro de modèle ?
R : Numéro du dispositif de surveillance.
Q : (R) Donc, c’est comme notre numéro d’utilisateur. Nous sommes le lieu 318. Ils doivent donc avoir une carte.
R : Un gros registre.
Q : [Rires] (L) Pas une carte, juste un gros registre. Bon sang, si nous ne sommes que le numéro 318, qui est le numéro 1 ? (TK) Le numéro est-il lié à l’ordre d’importance ?
R : Non.
Q : (BT) Juste un numéro de localisation pour l’identification. (A) Je suppose qu’ils ont un certain nombre de places et qu’ils attribuent des numéros. Si la « surveillance » est réussie et que les personnes meurent, ils peuvent alors attribuer le numéro à quelqu’un d’autre. (L) C’est vrai, comme les numéros de sécurité sociale. Revenons au problème. Est-ce que le fait de recouvrir la pièce de métal (papier d’aluminium) aiderait ?
R : Non.
Q : (L) Est-ce que le fait de recouvrir la pièce de papier d’aluminium et de l’électrifier aiderait ?
R : Non.
Q : (TK) Qu’en est-il d’un treillis en cuivre ?
R : Mieux.
Q : (TK) Lorsque nous avons effectué des tests à bord du navire, ils ont chargé quelques remorques sur le pont qui sert de hangar et elles contenaient de véritables équipements sophistiqués et classifiés. Pour les protéger des balayages radar, ils ont recouvert les remorques d’un treillis de cuivre. Il n’avait pas besoin d’être activé par un courant quelconque, mais il devait être mis à la terre. Son rôle était d’absorber les ondes radar et de les dériver vers la terre au lieu de leur permettre de « déchiffrer ». Ensuite, il y a quelque chose d’autre appelé « RAM », ou Radar Absorbent Material.
R : Oui.
Q : (TK) Ce truc est cher. (L) Et la soie ?
R : Oui.
Q : (L) Les alchimistes disent que pour protéger le corps des fréquences extérieures, il faut porter de la soie. Je sais que cela semble fou, mais c’est ce qu’ils ont dit et fait. La soie est un sacré isolant. (TK) Si on protégeait la zone avec une tente en soie, ou si on portait des vêtements en soie… (A) La soie en elle-même peut ne pas fonctionner, ou alors elle ne fonctionne que lorsqu’elle est en contact avec le corps. (TK) Un treillis de cuivre autour de la zone serait utile.
R : Oui.
Q : (TK) La RAM serait utile ?
R : Oui.
Q : (TK) La soie serait utile ?
R : Oui.
Q : (TK) Les trois en combinaison seraient-ils nécessaires ?
R : Oui.
Q : (L) Eh bien, vous parlez de beaucoup d’argent là  ! (TK) Y a-t-il un autre moyen de faire que ce ne soit pas aussi compliqué ? Ce niveau de protection est-il nécessaire ?
R : Oui.
Q : (L) Ce que nous avons compris, c’est que si nous produisons une fréquence d’annulation, tout ce qu’ils feront c’est de changer la fréquence. Cela pourrait durer indéfiniment. (A) Ils ont des appareils de surveillance standard. Ils peuvent les accorder un peu différemment, mais ils ne peuvent pas faire grand-chose sans implanter continuellement de nouveaux appareils. Il y a peut-être une limite au changement de fréquence. Donc, si nous savons comment accorder notre dispositif à leur dispositif, nous pouvons y arriver. (TK) Je ne sais pas si ce dont nous avons besoin est un appareil aussi compliqué. Probablement juste un générateur de fréquences. Un simple appareil connecté à un cristal. Est-ce que ça va dans la bonne direction ?
R : Oui.
Q : (A) Notre zappeur, par exemple, est un dispositif très simple. Il fonctionne sur un seul circuit intégré. (TK) Un transmetteur de fréquence peut être bon marché. On le connecte à un cristal pour l’amplifier.
R : Prévoyez de nombreuses fréquences.
Q : (A) Nous devons en connaître la gamme. (TK) Pouvez-vous nous dire quelle est la gamme des fréquences ?
R : Oui. De 549 Hz Ă 832 Hz.
{Les fréquences vocales classiques peuvent varier d’environ 90 hertz pour une voix masculine grave à environ 300 hertz pour une voix d’enfant aiguë. Les bandes de fréquences audibles commencent à environ 10 hertz. 1035 hertz est celle des rayons cosmiques. Les communications sans fil varient d’environ 3 KHz, toujours dans la gamme audible, jusqu’à la gamme de la lumière visible à environ 1015 hertz où fonctionnent certains systèmes à base de laser. Ces fréquences varient toutes dans leurs caractéristiques de propagation et leur sensibilité aux interférences, ce qui détermine leur valeur pour un usage particulier. Pour la plupart des applications, le spectre utilisable s’arrête à environ 300 GHz, au début de la bande infrarouge. Un être humain normal peut entendre entre 20 Hz et 20 000 Hz.}
Q : (A) C’est donc du son. Un son standard. Bon, le bruit blanc serait une solution partielle. Ces chiffres signifient qu’il faudrait produire toute une gamme de fréquences. (TK) J’avais l’impression que ce serait une très basse fréquence ou une très haute fréquence, quelque chose au-delà de la gamme d’audition. (L) Eh bien, cela pourrait être lié au fait qu’il s’agit de détecteurs de son. (TK) D’où les téléchargent-ils ?
R : D’un vaisseau.
Q : (BT) Ils ont dit qu’il s’agissait de la 4e densité, n’est-ce pas ? (TK) Vaisseau spatial ?
R : Oui.
Q : (A) Ces petites choses peuvent-elles envoyer des informations directement à un vaisseau spatial ? (L) Eh bien, étant donné que c’est censé être de la technologie de 4e densité… (TK) Est-ce exact ?
R : Oui.
Q : (A) Je veux en discuter. Si nous pouvons contrecarrer avec la technologie de 3e densité… (L) Alors un élément quelconque de la technologie de 3e densité doit être impliqué. (A) C’est ça. (L) Eh bien, il doit probablement y en avoir un. Ils ont peut-être une puce super-développée que nous n’avons même pas encore imaginée. Ils utilisent peut-être des nanotechnologies autant que nous pouvons le savoir. Nous avons peut-être ce genre de moniteurs dans notre corps, basés sur la nanotechnologie. (TK) Comment pouvons-nous déterminer le type de dispositif personnel que nous pouvons construire ou fabriquer pour nous protéger ?
R : Plus de soie.
Q : (L) La plus grande part de cette pratique est-elle conçue pour interagir avec le système glandulaire ou avec des neuropeptides ?
R : Label meier.
Q : (BT) Un fabricant de vêtements avec la marque Meier ? (L) Qu’en est-il de Billy Meier ? (TK) S’agit-il d’un fabricant de vêtements ?
R : Label Meier.
Q : (L) Sur une échelle de 1 à 10, quelle était la qualité de la transmission en collaborant avec Frank ?
A : 5.
Q : (L) D’accord, sur une échelle de 1 à 10, où en sommes-nous maintenant ?
R : 2.
Q : (TK) Nous recevons donc des informations altérées. (L) C’est toujours comme ça quand on met en place un nouveau groupe de récepteurs. (L) Je dirais que nous devons vraiment « épurer » ce que nous recevons en ce moment et peut-être y revenir plus tard. (TK) Oui. Certaines informations sont bonnes, mais il faut savoir lesquelles le sont. (L) Et nous devons continuer à « canaliser » parce que c’est en faisant cela que ça marche. (TK) C’est mieux que la dernière fois ?
R : Non.
Q : (TK) À peu près la même chose ?
R : Oui.
Q : (A) Clarifier le canal signifie deux choses : être plus sensible et quand on devient plus sensible, plus d’informations arrivent, et on est content, tellement content que, sans le savoir, on intervient sur les données. On peut déformer les informations. Plus on en reçoit, plus on est enclin à agir par soi-même. Donc, quand on en reçoit plus, il faut s’efforcer d’être plus silencieux.
R : Labyrinthe.
Q : (BT) La transmission est un labyrinthe, ou l’appareil doit ressembler davantage à un labyrinthe ? (L) Je pense qu’ils font référence au fait que pour sortir de la mélasse c’est un parcours de labyrinthe. Nous sommes dans un labyrinthe en général, comme l’a fait remarquer Ark. (L) Eh bien, il y a quelque chose que je voudrais savoir. Auparavant, vers la fin de la période de notre collaboration avec Frank, on encourageait beaucoup l’investissement en bourse. C’était l’ambition de Frank. S’agissait-il d’une information biaisée de la part de Frank ?
R : Regardez maintenant.
Q : (BT) Cela signifie-t-il que le moment est bien choisi pour se pencher sur les actions ?
R : Non.
Q : (BT) Est-ce que c’est le bon moment pour divulguer le programme d’investissement ?
R : Non.
Q : (L) S’occuper de la bourse maintenant ?
R : Non.
Q : (L) On nous a également dit que nous n’étions pas censés nous inquiéter au sujet de la publication d’un livre, que cela se ferait tout seul ? Que ce n’était pas un problème.
R : Non, pas un problème.
Q : (L) Y a-t-il quelque chose que nous puissions faire pour accélérer le processus de canalisation ?
R : Plus de channeling.
Q : (L) Simplement en faire davantage ?
R : Oui.
Q : (L) Quelle est la cause de l’état d’esprit dans lequel j’aie été avec l’écriture ces dernières semaines. J’ai été essentiellement dans un état très confus, incapable d’écrire. Est-ce le résultat des actions et de la pensée de Frank ?
R : Les dispositifs de surveillance.
Q : (L) Quelle réaction chimique produisent-ils ? {Le téléphone portable de BT émet des bips sonores et est éteint. Rires.}
R : Fe fe fe fe fe fe fe.
Q : (L) Qu’est-ce que c’est ? (A) Fe c’est le fer. (L) Oh ! Oui, nous avons demandé ce qui se passait par rapport à mon état de confusion. (TK) Est-ce la réponse à la question de Laura ? (L) Mon niveau de fer est-il bas ?
R : Oui.
Q : (L) Y a-t-il quelque chose que nous devons savoir pour la semaine ou les deux semaines à venir et sur laquelle vous pourriez nous donner des conseils, sans poser de questions spécifiques ?
R : Tout le monde doit ĂŞtre prudent.
Q : (L) Eh bien, c’est assez général. (BT) D’un point de vue physique, mental ou émotionnel ?
R : Tous.
Q : (L) Sommes-nous actuellement soumis à une période d’attaque particulièrement intense ?
R : Non.
Q : (L) Rien de plus que d’habitude.
R : Oui. Au revoir.
Fin de la séance
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Merci aux membres de l’équipe française pour cette traduction.
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« Frank » a quitté le groupe en novembre 2000. La dernière séance à laquelle il a participé a eu lieu le 23 septembre 2000. Il y a eu une interruption pendant que je travaillais sur Amazing Grace. Nous attendions toujours que Frank se ressaisisse et nous avons pensé qu’il reviendrait après une période de transition. Mon frère est venu me rendre visite en décembre et nous avons donc pensé que nous pourrions faire des séances sans Frank.
Séance du 2 décembre 2000
Ark, Laura, Tom K., Barry T.
Q : Bonsoir.
R : Bonsoir.
Q : Et qui est avec nous ce soir ?
R : Soalam.
Q : Et d’où transmettez-vous ?
R : Cassiopée.
Q : Puisque nous nous réajustons avec Tom, commençons par des questions oui/non. Nous aimerions savoir combien de séances seraient nécessaires pour établir un nouveau conduit, pour nous réajuster, puisque Frank est parti ?
R : Quatre. Travaillez sur la mise au point.
Q : Est-ce une meilleure association qu’avec Frank ?
R : Oui. Possiblement.
Q : (TK) [Indique un grand cristal sur la table.] Aimez-vous le nouveau cristal ?
R : Oui.
Q : (L) Est-il utile de l’avoir sur la planche ?
R : Aucune différence.
Q : (L) Qu’est-ce qui a contrarié Frank pour qu’il veuille quitter le groupe ?
R : La bague.
Q : (TK) Quelle « bague » ?
R : Son importance.
Q : (TK) Il est contrarié par sa perte d’importance dans le groupe à cause du mariage d’Ark et Laura ? Est-ce que c’est ça la bague ?
R : Oui.
Q : (L) Est-il possible qu’il soit manipulé par d’autres forces ?
R : Via d’autres forces.
Q : (L) En d’autres termes, ses pensées et ses sentiments sont les siens, mais ils sont utilisés par amplification. (BT) Frank était-il utilisé pour surveiller ?
R : Oui. Un peu.
Q : (L) Frank a-t-il lui-même influencé le contenu ?
R : Seulement quand il Ă©tait hors phase. Comme cette lune.
Q : (L) Frank était hors phase ? (B) Ou bien sa désinformation était cyclique comme la lune ? (L) Ça croissait et ça décroissait. En d’autres termes, nous pourrions revenir sur le contenu et utiliser un processus cyclique pour découvrir les influences ?
A : Oui.
Q : (L) Bon, quel était ce bip que nous avons entendu dans la maison l’autre jour ?
R : Non. Dispositif de détection 318.
Q : [Rires] (L) Un détecteur physique ?
R : Oui.
Q : (L) Quelque chose dans notre maison, et c’est toujours là  ?
R : Un dispositif de détection. Oui.
Q : (L) A-t-il eu une sorte de défaillance qui a fait qu’il s’est mis à biper soudainement ?
R : Oui.
Q : (L) Qui l’a mis là  ? Je veux dire, physiquement ?
R : D***.
Q : (L) Le gars qui a fait les travaux dans la maison ?! Dans le grenier ?
R : Oui. C’est tout petit.
Q : (L) Est-ce que D*** savait ce qu’il faisait ?
R : Non.
Q : (L) Ce qui me rappelle : est-ce que D*** a oublié de rendre notre agrafeuse à percussion ?
R : Oui.
Q : (TK) Y a-t-il un moyen d’augmenter la désinformation par le biais de ce détecteur ?
R : Oui.
Q : (BT) Est-ce que c’est quelque chose que nous devrions essayer de faire ?
R : Non.
Q : (R) Bon, vous dites le dispositif de détection « nº 318 ». Est-ce que cela suggère qu’il y a au moins autant de détecteurs dans notre maison ? Est-ce parce qu’ils sont petits ? J’ai imaginé que lorsqu’ils ont amené le camion pour répandre l’isolation dans le grenier, cela aurait été un moyen parfait pour installer des dispositifs d’écoute. Mais il faudrait qu’ils soient petits et nombreux. (TK) Oui. Combien de détecteurs y a-t-il dans cette maison ?
A : 85.
Q : (BT) Est-ce que cela est lié aux voitures qui s’arrêtaient régulièrement devant ?
R : Non.
Q : (TK) Ils n’ont pas vraiment besoin de s’approcher pour ce genre de travail. Doivent-ils s’approcher pour accéder à ces appareils ?
R : Non.
Q : (BT) Sont-ils supervisés par la 3D ou par la 4D ?
R : La 4e.
Q : (L) Ces voitures qui s’arrêtent devant la maison ont-elles un rapport avec nous, même si elles n’ont pas de rapport avec les appareils de détection ?
R : Oui.
Q : (L) Qu’est-ce qu’elles faisaient ? Qu’en est-il des personnes qui sont venues à la porte ? Ont-elles été envoyées à des fins de contrôle ?
R : Oui. Une Ă©quipe de taupes.
Q : (BT) Comme des agents secrets ou sous couverture ?
R : Oui. Gestion mécanique.
Q : (L) Cela signifie-t-il qu’il s’agit de machines ? Ils ont fait une très bonne imitation de Sammy Davis Jr. (A) Je voudrais revenir sur les responsables de la mise en place de ces appareils.
R : Les chevaliers Illuminati Nacionale.
Q : (R) Ça sonne italien. Hmmm. (L) Est-ce que Tom a quelques-uns de ces trucs marrants dans sa maison ? (TK) Oui !
R : Oui.
Q : (TK) Combien ?
A : 85.
Q : (TK) Ils aiment vraiment ce nombre ! (A) Qu’est-ce qu’ils surveillent ?
R : Les voix.
Q : (TK) Est-ce qu’ils sont activés par le son ?
R : Oui.
Q : (L) Peut-être devrions-nous encourager les enfants à jouer de la musique bizarre à l’étage. (TK) Ils enregistrent tout son qui les active, puis sont téléchargés par la suite ?
R : Oui. Souvent.
Q : (L) En dehors de l’enregistrement de ce que nous disons, quel est l’objectif de ces détecteurs ?
R : Le contrĂ´le.
Q : (L) Ces détecteurs émettent-ils aussi quelque chose ? (B) Sont-ils actifs et passifs ?
R : Oui.
Q : (TK) Tous, ou est-ce une combinaison de différents types de détecteurs qui sont interactifs ou reliés ?
R : Oui.
Q : (L) Est-ce que Barry en a aussi chez lui ?
R : Oui.
Q : (BT) Est-ce que cela a un rapport avec le déclenchement de la sonnette de la porte ?
R : Oui.
Q : (A) Eh bien, le fait qu’il s’agisse de détecteurs, je peux vivre avec. Mais le fait qu’ils ne soient pas seulement passifs, mais aussi actifs, me contrarie quelque peu. S’ils sont actifs, ils produisent probablement une sorte de vibration qui agit sur nous en permanence, pour ainsi dire.
R : Oui.
Q : (TK) C’est un son — ou des vibrations ? (A) De quel type d’action s’agit-il ?
R : Psychique.
Q : (L) C’est un domaine assez vaste. (A) Maintenant, ce qui est important pour nous, je pense, c’est de savoir si nous pouvons contrecarrer cette surveillance par des moyens parapsychiques, en étant conscients, dans tel ou tel état, ou s’il y a une action physique que nous ne pouvons pas contrôler parce qu’elle agit sur nos gènes, ou directement sur nos cellules — la chimie de notre corps — et qu’elle perturbe ce que nous faisons. Dans ce cas, il serait raisonnable de réagir d’une manière ou d’une autre. (TK) OK, si ces choses sont des émetteurs de fréquence, et qu’elles nous affectent psychiquement, y a-t-il un moyen de les contrecarrer, de les neutraliser ?
R : Oui.
Q : (L) Est-ce que c’est quelque chose de physique ou de psychique ?
R : Physique.
Q : (TK) Une contre-vibration pourrait-elle annuler cela ?
R : Oui.
Q : (L) Nous avons donc besoin d’un appareil qui produit une certaine fréquence ?
R : Oui.
Q : (TK) Est-ce qu’un tel dispositif est disponible dans le commerce ?
R : Autrement.
Q : (L) Il faut le construire. (TK) Des cristaux sont-ils impliqués ?
R : Oui.
Q : (A) Eh bien, nous avons un problème ici parce que nous avons ces 85 appareils. Ils enregistrent les sons. Cela signifie qu’ils sont en train de le faire maintenant.
R : Oui.
Q : (TK) Donc, si nous découvrons ce que nous devons construire ou faire pour les contrer, alors tout cela sera une perte de temps parce qu’ils viendront et en installeront de nouveaux ou agiront pour annuler ce que nous avons fait. Est-ce vrai ?
R : Oui.
Q : (TK) Est-ce que c’est une impasse ?
R : Non.
Q : (L) Il y a donc un moyen de résoudre ça. (TK) Pouvons-nous avoir une idée sur la manière de contrer cette situation ? (L) Oui, de l’essence et une allumette. [Rires.] (TK) Par exemple, en discuter lors d’une séance tenue ailleurs ?
R : Peut-ĂŞtre.
Q : (TK) Cela veut dire que ça n’aiderait pas nécessairement. Ce ne serait pas un traitement à long terme.
R : Oui.
Q : (L) Eh bien, nous pourrions vendre la maison et les laisser surveiller quelqu’un d’autre.
R : Non.
Q : (TK) Y a-t-il un moyen de protéger cette pièce ? Au moins temporairement.
R : Oui.
Q : (TK) Mais cela n’apporte pas d’aide entre les séances. Nous serions toujours bombardés par ces fréquences entre les séances. Mais si la zone était sécurisée pendant que nous recevons les informations… Devons-nous fabriquer ou construire une sorte d’appareil personnel que les gens peuvent transporter ou porter sur eux pour se protéger contre ce type de manipulation ? Est-ce une option viable ?
R : Oui.
Q : (A) Eh bien, ces choses doivent être rechargées en énergie depuis quelque part. Elles pourraient être alimentées par le champ électromagnétique qui est partout. (TK) Les cristaux ont-ils quelque chose à voir avec le dispositif proposé — le dispositif de protection ?
R : Oui.
Q : (L) Ils ont mentionné que les cristaux avec des champs d’énergie sont utiles de cette façon. Apparemment, l’énergie du soleil est également utile. (TK) D’accord, si nous devions trouver comment fabriquer de tels dispositifs, peut-on modifier une telle chose pour contrer les changements de la fréquence des attaques ?
R : Oui.
Q : (L) J’ai pensé à ces hangars métalliques. Il suffit d’y faire passer un courant électrique, d’aller à l’intérieur et de le mettre en marche. (BT) N’est-ce pas quelque chose comme une cage de Faraday. (TK) Eh bien, cela fournirait une zone qui protégerait les séances. Mais ça ne serait pas utile entre les séances. Est-ce que ce serait une sorte de gros, d’énorme truc… (L) Par exemple vraiment cher et difficile à fabriquer ?
R : Non.
Q : (L) Bon, les ondes sont des choses. On peut faire des ondes… (TK) Et on peut les annuler. Comme avec un bruit blanc ou quelque chose de ce genre. (L) On devrait peut-être se procurer une de ces machines à bruit blanc. Ça aiderait ?
R : Oui, un peu.
Q : (TK) Comment sauriez-vous sur quoi le régler ? Il faut que ce soit une fréquence super basse ou super haute… (A) Il y a une autre possibilité. Maintenant, quand nous utilisons des zappeurs, un courant nous traverse. Quelque chose de ce genre peut-il annuler l’activation des changements physiques générés par ces appareils ?
R : Oui. Jusqu’à un certain point.
Q : (BT) Est-ce que cette surveillance numéro 318 est courante, ou est-elle réservée à des personnes « spéciales » ? C’est-à -dire qu’elle est courante pour l’ensemble de la population ?
R : Non.
Q : (R) Que signifie 318 ? S’agit-il d’un numéro de modèle ?
R : Numéro du dispositif de surveillance.
Q : (R) Donc, c’est comme notre numéro d’utilisateur. Nous sommes le lieu 318. Ils doivent donc avoir une carte.
R : Un gros registre.
Q : [Rires] (L) Pas une carte, juste un gros registre. Bon sang, si nous ne sommes que le numéro 318, qui est le numéro 1 ? (TK) Le numéro est-il lié à l’ordre d’importance ?
R : Non.
Q : (BT) Juste un numéro de localisation pour l’identification. (A) Je suppose qu’ils ont un certain nombre de places et qu’ils attribuent des numéros. Si la « surveillance » est réussie et que les personnes meurent, ils peuvent alors attribuer le numéro à quelqu’un d’autre. (L) C’est vrai, comme les numéros de sécurité sociale. Revenons au problème. Est-ce que le fait de recouvrir la pièce de métal (papier d’aluminium) aiderait ?
R : Non.
Q : (L) Est-ce que le fait de recouvrir la pièce de papier d’aluminium et de l’électrifier aiderait ?
R : Non.
Q : (TK) Qu’en est-il d’un treillis en cuivre ?
R : Mieux.
Q : (TK) Lorsque nous avons effectué des tests à bord du navire, ils ont chargé quelques remorques sur le pont qui sert de hangar et elles contenaient de véritables équipements sophistiqués et classifiés. Pour les protéger des balayages radar, ils ont recouvert les remorques d’un treillis de cuivre. Il n’avait pas besoin d’être activé par un courant quelconque, mais il devait être mis à la terre. Son rôle était d’absorber les ondes radar et de les dériver vers la terre au lieu de leur permettre de « déchiffrer ». Ensuite, il y a quelque chose d’autre appelé « RAM », ou Radar Absorbent Material.
R : Oui.
Q : (TK) Ce truc est cher. (L) Et la soie ?
R : Oui.
Q : (L) Les alchimistes disent que pour protéger le corps des fréquences extérieures, il faut porter de la soie. Je sais que cela semble fou, mais c’est ce qu’ils ont dit et fait. La soie est un sacré isolant. (TK) Si on protégeait la zone avec une tente en soie, ou si on portait des vêtements en soie… (A) La soie en elle-même peut ne pas fonctionner, ou alors elle ne fonctionne que lorsqu’elle est en contact avec le corps. (TK) Un treillis de cuivre autour de la zone serait utile.
R : Oui.
Q : (TK) La RAM serait utile ?
R : Oui.
Q : (TK) La soie serait utile ?
R : Oui.
Q : (TK) Les trois en combinaison seraient-ils nécessaires ?
R : Oui.
Q : (L) Eh bien, vous parlez de beaucoup d’argent là  ! (TK) Y a-t-il un autre moyen de faire que ce ne soit pas aussi compliqué ? Ce niveau de protection est-il nécessaire ?
R : Oui.
Q : (L) Ce que nous avons compris, c’est que si nous produisons une fréquence d’annulation, tout ce qu’ils feront c’est de changer la fréquence. Cela pourrait durer indéfiniment. (A) Ils ont des appareils de surveillance standard. Ils peuvent les accorder un peu différemment, mais ils ne peuvent pas faire grand-chose sans implanter continuellement de nouveaux appareils. Il y a peut-être une limite au changement de fréquence. Donc, si nous savons comment accorder notre dispositif à leur dispositif, nous pouvons y arriver. (TK) Je ne sais pas si ce dont nous avons besoin est un appareil aussi compliqué. Probablement juste un générateur de fréquences. Un simple appareil connecté à un cristal. Est-ce que ça va dans la bonne direction ?
R : Oui.
Q : (A) Notre zappeur, par exemple, est un dispositif très simple. Il fonctionne sur un seul circuit intégré. (TK) Un transmetteur de fréquence peut être bon marché. On le connecte à un cristal pour l’amplifier.
R : Prévoyez de nombreuses fréquences.
Q : (A) Nous devons en connaître la gamme. (TK) Pouvez-vous nous dire quelle est la gamme des fréquences ?
R : Oui. De 549 Hz Ă 832 Hz.
{Les fréquences vocales classiques peuvent varier d’environ 90 hertz pour une voix masculine grave à environ 300 hertz pour une voix d’enfant aiguë. Les bandes de fréquences audibles commencent à environ 10 hertz. 1035 hertz est celle des rayons cosmiques. Les communications sans fil varient d’environ 3 KHz, toujours dans la gamme audible, jusqu’à la gamme de la lumière visible à environ 1015 hertz où fonctionnent certains systèmes à base de laser. Ces fréquences varient toutes dans leurs caractéristiques de propagation et leur sensibilité aux interférences, ce qui détermine leur valeur pour un usage particulier. Pour la plupart des applications, le spectre utilisable s’arrête à environ 300 GHz, au début de la bande infrarouge. Un être humain normal peut entendre entre 20 Hz et 20 000 Hz.}
Q : (A) C’est donc du son. Un son standard. Bon, le bruit blanc serait une solution partielle. Ces chiffres signifient qu’il faudrait produire toute une gamme de fréquences. (TK) J’avais l’impression que ce serait une très basse fréquence ou une très haute fréquence, quelque chose au-delà de la gamme d’audition. (L) Eh bien, cela pourrait être lié au fait qu’il s’agit de détecteurs de son. (TK) D’où les téléchargent-ils ?
R : D’un vaisseau.
Q : (BT) Ils ont dit qu’il s’agissait de la 4e densité, n’est-ce pas ? (TK) Vaisseau spatial ?
R : Oui.
Q : (A) Ces petites choses peuvent-elles envoyer des informations directement à un vaisseau spatial ? (L) Eh bien, étant donné que c’est censé être de la technologie de 4e densité… (TK) Est-ce exact ?
R : Oui.
Q : (A) Je veux en discuter. Si nous pouvons contrecarrer avec la technologie de 3e densité… (L) Alors un élément quelconque de la technologie de 3e densité doit être impliqué. (A) C’est ça. (L) Eh bien, il doit probablement y en avoir un. Ils ont peut-être une puce super-développée que nous n’avons même pas encore imaginée. Ils utilisent peut-être des nanotechnologies autant que nous pouvons le savoir. Nous avons peut-être ce genre de moniteurs dans notre corps, basés sur la nanotechnologie. (TK) Comment pouvons-nous déterminer le type de dispositif personnel que nous pouvons construire ou fabriquer pour nous protéger ?
R : Plus de soie.
Q : (L) La plus grande part de cette pratique est-elle conçue pour interagir avec le système glandulaire ou avec des neuropeptides ?
R : Label meier.
Q : (BT) Un fabricant de vêtements avec la marque Meier ? (L) Qu’en est-il de Billy Meier ? (TK) S’agit-il d’un fabricant de vêtements ?
R : Label Meier.
Q : (L) Sur une échelle de 1 à 10, quelle était la qualité de la transmission en collaborant avec Frank ?
A : 5.
Q : (L) D’accord, sur une échelle de 1 à 10, où en sommes-nous maintenant ?
R : 2.
Q : (TK) Nous recevons donc des informations altérées. (L) C’est toujours comme ça quand on met en place un nouveau groupe de récepteurs. (L) Je dirais que nous devons vraiment « épurer » ce que nous recevons en ce moment et peut-être y revenir plus tard. (TK) Oui. Certaines informations sont bonnes, mais il faut savoir lesquelles le sont. (L) Et nous devons continuer à « canaliser » parce que c’est en faisant cela que ça marche. (TK) C’est mieux que la dernière fois ?
R : Non.
Q : (TK) À peu près la même chose ?
R : Oui.
Q : (A) Clarifier le canal signifie deux choses : être plus sensible et quand on devient plus sensible, plus d’informations arrivent, et on est content, tellement content que, sans le savoir, on intervient sur les données. On peut déformer les informations. Plus on en reçoit, plus on est enclin à agir par soi-même. Donc, quand on en reçoit plus, il faut s’efforcer d’être plus silencieux.
R : Labyrinthe.
Q : (BT) La transmission est un labyrinthe, ou l’appareil doit ressembler davantage à un labyrinthe ? (L) Je pense qu’ils font référence au fait que pour sortir de la mélasse c’est un parcours de labyrinthe. Nous sommes dans un labyrinthe en général, comme l’a fait remarquer Ark. (L) Eh bien, il y a quelque chose que je voudrais savoir. Auparavant, vers la fin de la période de notre collaboration avec Frank, on encourageait beaucoup l’investissement en bourse. C’était l’ambition de Frank. S’agissait-il d’une information biaisée de la part de Frank ?
R : Regardez maintenant.
Q : (BT) Cela signifie-t-il que le moment est bien choisi pour se pencher sur les actions ?
R : Non.
Q : (BT) Est-ce que c’est le bon moment pour divulguer le programme d’investissement ?
R : Non.
Q : (L) S’occuper de la bourse maintenant ?
R : Non.
Q : (L) On nous a également dit que nous n’étions pas censés nous inquiéter au sujet de la publication d’un livre, que cela se ferait tout seul ? Que ce n’était pas un problème.
R : Non, pas un problème.
Q : (L) Y a-t-il quelque chose que nous puissions faire pour accélérer le processus de canalisation ?
R : Plus de channeling.
Q : (L) Simplement en faire davantage ?
R : Oui.
Q : (L) Quelle est la cause de l’état d’esprit dans lequel j’aie été avec l’écriture ces dernières semaines. J’ai été essentiellement dans un état très confus, incapable d’écrire. Est-ce le résultat des actions et de la pensée de Frank ?
R : Les dispositifs de surveillance.
Q : (L) Quelle réaction chimique produisent-ils ? {Le téléphone portable de BT émet des bips sonores et est éteint. Rires.}
R : Fe fe fe fe fe fe fe.
Q : (L) Qu’est-ce que c’est ? (A) Fe c’est le fer. (L) Oh ! Oui, nous avons demandé ce qui se passait par rapport à mon état de confusion. (TK) Est-ce la réponse à la question de Laura ? (L) Mon niveau de fer est-il bas ?
R : Oui.
Q : (L) Y a-t-il quelque chose que nous devons savoir pour la semaine ou les deux semaines à venir et sur laquelle vous pourriez nous donner des conseils, sans poser de questions spécifiques ?
R : Tout le monde doit ĂŞtre prudent.
Q : (L) Eh bien, c’est assez général. (BT) D’un point de vue physique, mental ou émotionnel ?
R : Tous.
Q : (L) Sommes-nous actuellement soumis à une période d’attaque particulièrement intense ?
R : Non.
Q : (L) Rien de plus que d’habitude.
R : Oui. Au revoir.
Fin de la séance
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