📚 Séance du 23 février 2002

Jacques

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Thanks to the members of the French translation group who have just translated that session.

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Merci aux membres de l’équipe française pour cette traduction.
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Séance du 23 février 2002

Ark, Laura, Barry T, Rick O, VG, Jeannine & M N ****

Q : (L) Bonjour.

R : Oui. Bonjour.

Q : (L) Et qui est avec nous ce soir ?

R : Fiilia.

Q : (L) Et d’où transmettez-vous ?

R : Oui. Cassiopée.

Q : (L) Ils n’ont pas l’habitude d’avoir autant de monde. D’accord, qui veut commencer ? (silence du groupe) Eh bien, je vais commencer ! Aviez-vous une question ? (B) Y a-t-il une corrélation avec les noms se terminant par « A » ou qui résonnent comme un « A » qui ont été discutés sur la liste ? (L) Corrélation avec quoi ? (B) La véracité de la source. (L) Ah !

R : Proche, génère une fréquence.

Q : (B) L’absence de cela est-elle un indicateur de quelque chose ?

R : Peut indiquer une énergie fracturée.

Q : (V) Huh. (B) L’une des personnes figurant sur la liste avait indiqué que les séances qui semblaient les plus précises étaient délivrées à partir d’un « nom » qui se terminait par un « A » ou se terminait par une combinaison de voyelles qui avaient un son « A » en anglais. En même temps, certaines des séances qui semblaient un peu fausses, y compris en considérant l’implication de Frank, n’avaient pas cela. (L) Très bien, pose ta question V. (V) Est-ce que le DG qui m’a appelé le 1er décembre est en fait mon mari/ex-mari que je n’ai pas vu depuis 22 ans ?

R : Oui.

Q : (V) Wow.

R : Vérifiez les enregistrements. Problème de santé.

Q : (V) Il a un problème de santé ?

R : Oui.

Q : (L) Eh bien, pourquoi t’appellerait-il sinon ? (V) Est-ce un problème de santé qui peut avoir des ramifications génétiques pour mon fils ?

R : Non.

Q : (V) Donc, il se sent vraiment merdique de nous avoir ignorés pendant 22 ans. Je ne demande pas, c’est juste…

R : Non.

Q : (V) Pourquoi cela devrait-il me surprendre ! [Rires.] Eh bien, devrions-nous…

R : Pleurnicheur.

Q : (V) Qui est un pleurnicheur ? Je suis une pleurnicheuse ? (L) Non. Tu as posé des questions sur lui. (V) Oh. Problème de santé… son problème de santé gémit ? Je suis toujours tourmenté du fait que c’est lui qui a appelé. Je vais être vraiment honnête — et je suis dans une pièce pleine d’étrangers ici qui ne me connaissent pas vraiment — mais mon mari est parti quand mon fils avait quelques mois et il n’y avait aucun soutien à partir de ce moment-là, aucun soutien financier ou quoique ce soit. J’ai vraiment lutté contre moi-même depuis le 1er décembre Je n’ai jamais rappelé le numéro et il n’y avait aucun message. Une partie de moi veut le conduire devant un tribunal civil et…

R : Perte de temps.

Q : (V) D’accord. Est-il remarié ?

R : Non.

Q : (V) Il n’a jamais demandé le divorce ?

R : Non.

Q : (J) Tu es toujours mariée avec lui ? (V) Je n’ai jamais divorcé parce que je pensais que c’était ma clause de sécurité — si j’étais mariée, je ne pourrais plus recommencer.

R : Remplissez la vie de joie en son absence.

Q : (V) D’accord. (L) Cela aurait pu être bien pire. (V) Oh je sais, mon Dieu ! Bon Dieu, c’était juste un conflit, ce n’était pas un marteau sur la tête alors…

R : Lâche prise et réjouis-toi.

Q : (V) Est-il mourant ?

R : Pas encore. [Éclat de rire dans la pièce.]

Q : (Jeannine) Puis-je poser ma question ? (L) Vas-y. (DN) Les « alliés de l’humanité » sont-ils une ressource de valeur ?

R : Tout a de la valeur si c’est examiné avec un esprit ouvert et une perspective appropriée.

Q : (L) Tu peux être plus précis, tu sais : imprécis à l’entrée, imprécis à la sortie. La chose la plus difficile à propos du processus est de réfléchir à la question. (V) Eh bien, rien qu’en lisant la table des matières de ce livre des Alliés de l’humanité, on dirait qu’ils essaient de définir beaucoup de sujets, ils essaient de définir ce qu’est Dieu, ce qui est… (DG) Spirituel.

R : Ou de leur point de vue.

Q : (V) D’où proviennent les informations ?

R : Canalisées.

Q : (V) Canalisées par qui ? (JN) Canalisées par Marshall Summers. (V) Mais qui Marshall Summers canalise-t-il ? (JN) Les alliés de l’humanité. (V) Vous ne comprenez pas ce que je veux dire. C’est un nom qu’ils se donnent. Je veux savoir : de quel type de source s’agit-il

R : 4e densité.

Q : (V) SDS, SDA ?

R : SDA prédomine.

Q : (V) Eh bien, c’est cool.

R : Gardez à l’esprit que la perspective SDA de 4e densité a tendance à exclure certains facteurs en raison du choix de la fréquence du monde. Cela signifie que le profil de leçon de la 4e densité SDA est d’améliorer l’énergie par association dans des réseaux qui n’incluent pas de contact permanent avec les SDS, et donc leur point de vue est sur l’expérience positive de SDA.

Q : (R) Ils peuvent donc choisir des mondes avec des fréquences où ils n’ont pas de contact avec des SDS parce que les SDS ne sont pas de la même fréquence. (L) En 4D, ceux qui graduent en SDA travaillent à l’amélioration de ce qui est déjà un choix plutôt qu’au problème de faire le choix. C’est là, c’est choisi, c’est fait. (R) Ça revient à la question que vous avez commencée avec les Alliés de 4D parce que, « tout est de valeur si on l’examine avec un esprit ouvert et une perspective appropriée. » De notre point de vue, toute aide que nous obtiendrions de la 4D SDA comprend le fait que nous devons garder à l’esprit qu’ils n’ont pas à gérer les choses que nous gérons. (L) C’est vrai. (R) Donc, toute aide que nous obtenons d’eux, nous devrons ajouter le contexte supplémentaire… (L) De notre réalité.

R : La prise de conscience du choix vient en premier. Par la suite, faire le choix. Enfin, améliorer l’énergie pour graduer. Le problème de la 3e densité est d’identifier ce qu’il y a à choisir, car tant de choses vous sont voilées.

Q : (R) Ça rejoint la discussion que nous avons eue sur l’egroup il y a quelques semaines, je pense, quand nous avons dit qu’il y avait tellement de choses possibles, mais si vous ne le savez pas, vous ne le choisirez pas. Comment pouvez-vous choisir si vous ne le savez pas ? (B) Le choix doit être fait ici avant de pouvoir glaner les avantages de ce choix. (L) C’est vrai. Si vous ne savez pas que vous avez un choix, vous ne pouvez pas faire de choix, si tout est… (R) C’est comme le poisson rouge dans la mauvaise eau. (L) Ouais. Ouais, je veux dire que vous apprenez à exister dans cet environnement et que vous vous y adaptez et vous ne savez pas comment être dans un autre. D’accord, ensuite. (R) Puis-je demander quelque chose de personnel ? Il s’agit maintenant de mon ex-petite amie. Je suis un peu inquiet pour elle car elle a réellement peur du noir et ne veut pas vraiment en parler et je suis vraiment curieux de savoir quelle en est la cause.

R : Lorsque ça deviendra un problème suffisamment débilitant, elle en parlera.

Q : (JN) Est-ce une façon polie de dire que cela ne vous regarde pas ?

R : La cause est peut-être la préoccupation qu’elle engendre.

Q : (V) Elle crée sa propre obscurité ? Elle perpétue la sienne… (J) Peur de l’inconnu. (R) Oui. Oh Oui. Absolument. (V) Elle se le fait à elle-même. En d’autres termes, ce n’était peut-être pas quelque chose comme si elle était enfermée dans un placard sombre quand elle était enfant. (R) En fait, c’est ce qu’elle dit. (V) Oh (rires) ! (R) C’est ce qu’elle a dit. Je ne la croyais pas. Cela semble tellement extrême que… (V) As-tu rencontré ses parents ? (R) Bien sûr. (L) Le feraient-ils ? (R) Non, non, son petit frère l’a enfermée… (JN) Oui, j’allais dire que cela ressemble à quelque chose qu’un frère ferait. (V) Mon frère avait l’habitude de me faire des trucs de merde aussi (rires). (R) D’accord, alors il l’a chassée dans la salle de bain et a fermé la porte et l’interrupteur était à l’extérieur. J’étais curieux de savoir si c’était vraiment… (V) Oui, mais il y a plus que cela. (R) Donc, cela semble dire qu’elle perpétue, qu’elle renforce cela elle-même et que jusqu’à ce que cela devienne un vrai problème, elle l’aura. (L) Eh bien, c’est une chose utile pour obtenir de la sympathie. (J) Elle s’y accroche pour une raison quelconque (V) Drame, drame, drame. Très dramatique. Cela vous a amené à être dramatique envers elle, n’est-ce pas ? (R) Eh bien, non, c’est juste, ouais, j’ai toujours dû… (J) Tu as dû laisser la lumière allumée. (R) Exactement.

R : Shakespeare l’a dit : le son et la fureur ne signifient rien.

Q : (L) Je pense que nous devrions vérifier la citation entière à un moment donné et voir ce qu’il disait. Je ne suis pas une admiratrice de Shakespeare. (V) De quelle œuvre est cette citation ? (L) Je veux juste que vous sachiez tous que je ne suis pas une admiratrice de Shakespeare alors… arrêtez (rire quand elle en parle à la planchette) ! (V) Pouvez-vous nous dire de quelle œuvre Shakespearienne il s’agit pour pouvoir approfondir…

R : TempĂŞte.

{C’est en fait de Macbeth bien que je soupçonne que les C’s avaient un but en disant « Tempête » :

Out, out, brief candle !
Life's but a walking shadow, a poor player
That struts and frets his hour upon the stage
And then is heard no more : it is a tale
Told by an idiot, full of sound and fury,
Signifying nothing.

[« Éteins-toi, éteins-toi, court flambeau ! — La vie n’est qu’un fantôme errant, un pauvre comédien — qui se pavane et s’agite durant son heure sur la scène — et qu’ensuite on n’entend plus ; c’est une histoire — dite par un idiot, pleine de fracas et de furie, — et qui ne signifie rien… »
Traduction François-Victor Hugo, Pagnerre, 1865/1866 — NdT]

La TempĂŞte nous dit :

We are such stuff
As dreams are made on ; and our little life
Is rounded with a sleep.

Ce qui donne un sens similaire, mais avec des mots différents.

[« Nous sommes de l’étoffe — dont sont faits les rêves, et notre petite vie — est enveloppée dans un somme… »
Traduction François-Victor Hugo, Pagnerre, 1865/1866 — NdT]}

Q : (R) Très bien, je pense que j’en ai fini avec ça, je suis d’accord avec les réponses. (V) Je vais demander quelque chose à moins que quelqu’un d’autre ne soit prêt à y aller. Deux fois peut-être au cours des 3 ou 4 dernières années — une fois à l’USF et une fois dans mon appartement — je marchais et tout à coup, l’environnement avait totalement changé et c’était comme si j’étais une personne légère. Pouvez-vous me dire ce que c’était ?

R : Infiltration de la 4D. Nous avons mentionné auparavant que vous devriez vous y habituer.

Q : (V) Eh bien, il ne s’agit pas de « s’habituer à la chose ». Cela ne s’est produit que deux fois et c’était magnifique. Je veux dire que c’était une expérience. Je peux dire maintenant que j’ai de l’expérience. [Rires.] (L) Et pas Jimmy Hendrix ! (V) Y a-t-il un moyen de générer ça moi-même ? C’était tellement spontané ?

R : Les SDS le font.

Q : (V) Faire quoi ? (L) Cherchez à générer de telles expériences pour le plaisir de l’expérience. (R) Amenez-le à travers la matrice, à travers la technologie, les rituels, les drogues, peu importe. (JN) Que fumais-tu à l’époque (rires) ? (V) Ouais, c’est ça. Y a-t-il donc un aspect positif ou négatif à cela ?

R : Non, sauf si vous n’êtes pas expérimenté ! [L rit fort pendant l’appel des lettres.]

Q : (L) J’ai senti ça venir et c’était tellement drôle ! (V) Pendant que j’étais dans cet état modifié, est-ce que j’avais l’air différent aux yeux des autres personnes autour de moi ?

R : Oui.

Q : (R) Tu vois que ce n’est qu’une perspective d’un point de vue individuel.

R : La perception est liée à la conscience. Les autres sont liées à leur conscience de toi et de tout le reste.

Q : (V) Eh bien, pendant que cela m’arrivait, est-ce que cela arrivait aussi à d’autres dans mon environnement général ?

R : Non. Peu probable. Vous ne réalisez pas encore à quel point la conscience supérieure est rare.

Q : (JN) Qu’est-ce qui l’a déclenché ?

R : Amincissement de l’enveloppe fréquentielle en raison de la répétition de l’empreinte de V dans son environnement.

Q : (V) Très bien, vous, les types intelligents, qu’est-ce qu’une enveloppe fréquentielle. (R) En fait, l’enveloppe fréquentielle, [demandant à Ark] n’est-ce pas ce que nous faisions avec le programme informatique générateur d’ondes ? (A) L’enveloppe fréquentielle est quelque chose comme ça.

R : Votre conscience maintient une émanation de fréquence de concert avec ceux de votre environnement. Lorsqu’il y a des fluctuations dans les fréquences de liaison entre vous et votre environnement, et la liaison de fréquence d’un autre, les fluctuations créent des discontinuités.

Q : (R) D’accord, cela a du sens. (L) Oui ? (V) D’accord alors dis-moi. (R) D’accord. C’est comme une résonance. Si l’environnement a une fréquence particulière… hmm… (V) Nous nous interrogions sur l’enveloppe fréquentielle et ce qu’elle est. (R) Et c’est V. Et le violet est de haute énergie, non ? Le spectre de couleurs non ? [Le groupe examine la réponse précédente des C’s…] (R) Exactement, c’est donc un saut quantique. GROUPE : Ouais. (R) Parce que vous êtes à un niveau et à moins qu’il ne se passe quelque chose d’étrange, c’est là où vous en êtes. (L) En d’autres termes — vous émettez de l’énergie, l’autre personne émet de l’énergie, et l’échange d’énergie se fait entre vous et l’environnement, et entre vous et la personne et l’environnement, et votre environnement est maintenu, et l’enveloppe d’énergie est maintenue autour de vous. Mais s’il y a… quoi ? Des fluctuations ? (R) Ah ! « Votre conscience maintient une émanation de fréquence de concert avec ceux de votre environnement. » Par conséquent, si votre environnement a une fréquence qui permet une fréquence plus élevée, je veux dire, elle a toujours la plus basse, mais dans certains cas, elle peut permettre une fréquence plus élevée. (L) Ils parlent de fluctuations de l’environnement. Si quelqu’un ou quelque chose dans votre environnement est… (A) Mais la question est — quelles propriétés de l’environnement que nous pouvons décrire en termes de… (L) Eh bien, ils disent que les fluctuations sont en V. (R) De concert avec l’environnement. (L) Et de concert avec les gens qui sont dans l’environnement. En d’autres termes, quelque chose se désagrège et vous n’êtes plus lié à la fréquence des personnes dans l’environnement de la même manière ; il y a là une fluctuation. Comment ça s’appelle lorsque vous ajoutez trop d’énergie à quelque chose ? Cela devient instable. Votre construction de la réalité est instable. Voilà ce que je dirais. (R) Vous avez une plus grande bille que vous pouvez insérer dans un plus grand trou si le trou se trouve là. (L) C’est vrai.

R : Réjouis-toi ! Tu sors de tes chaussures.

Q : (L) Tes pieds ne vont plus ! Tu as besoin de nouvelles chaussures !

R : La base : les chaussures.

Q : (V) D’accord. La perspective est un mot qui revient beaucoup, je vais donc aller de l’avant et poser des questions à ce sujet. Nous vivons tous dans le même monde, mais pourtant nous considérons notre environnement, ce qui nous entoure différemment. Il y a quelques années, j’étais avec un conseiller psychique, pour ainsi dire, une femme nommée P, et elle a insisté sur le fait que dans son monde la forêt tropicale n’était pas dégradée…

R : Les SDS ont tendance à faire de telles déclarations en raison du déni du principe même qui vient d’être décrit.

Q : (V) Nous étions assis là, et je me plaignais de la façon dont les humains traitent la terre — c’était quand j’étudiais les sciences de l’environnement — et elle soutenait juste que, dans son monde, la forêt tropicale allait bien. Et vous savez, j’étais juste assise là à la regarder, et je n’arrivais pas à croire que ce qu’elle disait était la vérité. Et j’ai pensé : « D’accord, est-ce que cette femme va-et-vient entre les mondes ou les réalités ou quel est le problème ? »

R : Elle réfutait toute réponse… capacité.

Q : (V) Eh bien, vous savez que j’ai cessé d’aller voir ces gens psychiques il y a un moment. [rires]

R : Bon plan ! Affiche ta propre enseigne et laissez-les venir à toi !

Q : (V) Je ne sais pas si je veux vivre la vie d’un médium. (L) Je pense que c’était une blague. (V) Ah ouais, parce que je pense, « pas question que je fasse ça ! » (R) Mais le fait est que lorsque cette femme a dit : « Dans mon monde, la forêt tropicale va bien », cela signifie qu’elle avait déjà jugé que… (V) Ouais, qu’elle était en quelque sorte dans un meilleur endroit que moi j’étais. (L) Eh bien, c’était aussi un jugement contre la sagesse de l’univers. Cela évite de comprendre que si les forêts tropicales meurent, il y a peut-être une raison à cela. (R) Exactement. Il n’y a que des leçons. (V) Eh bien, vous savez, c’était drôle parce que je suivais un cours de géologie à l’époque et nous étions censés faire un voyage de plongée dans le sud de la Floride, et il a été arrêté par un ouragan. Mais avant cela, cette soi-disant voyante m’a dit qu’elle pouvait me voir descendre là-bas, suivant ses recommandations de guérison, et que tous les coraux morts reviendraient à la vie.

R : Lorsque l’univers est prêt à faire revivre le corail mort, vous pouvez parier qu’il va revivre.

Q : (V) Eh bien, je pensais que c’était une tâche assez difficile pour moi de m’occuper de cela tout seul. Pour revenir à la perspective, à la perception personnelle…

R : Les enveloppes fréquentielles sont des mondes, mais elles sont « de concert », ce qui implique un certain niveau de scénario à un certain niveau. Certains membres de l’orchestre ne jouent pas bien. Certains ne jouent pas en harmonie. Certains sont désynchronisés. D’autres attendent que celui à côté d’eux joue leur partition.

Q : (R) Ce qui est encore plus logique, c’est que dans la 4D, SDS et SDA n’aiment pas se mélanger car s’ils le faisaient, ils joueraient de façon complètement désynchronisée. (L) Très mauvaise musique. (V) Est-ce que mon enveloppe fréquentielle est ma conscience, la représentation de ma conscience ? (R) Non, les enveloppes fréquentielles sont des mondes. (V) D’accord, donc je suis un monde à moi tout seul ? (JN) Tu es la reine de ton monde. (L) Mais ton monde fait partie d’un orchestre ce qui signifie qu’il émet un son — vous émettez un son — vous jouez votre partition ; et soit vous le jouez bien, soit vous ne la jouez pas bien. (R) Mais même si vous la jouez bien… (L) Ceux qui vous entourent ne la jouent peut-être pas bien. (R) Exactement. C’est aussi une sorte de raison pour laquelle la 3D est une si basse densité car il y a tellement d’annulations. Je veux dire que si vous mettez beaucoup de gens 3D orientés SDS à un endroit et si vous mettez des gens SDA à un autre endroit, physiquement, il n’y aurait pas autant d’annulations. Ainsi, il ne serait pas nécessaire d’être aussi conscient individuellement pour utiliser des fréquences plus élevées, car vous pourriez avoir un orchestre. (V) Parce que vous seriez réunis harmonieusement. (L) Vous pouvez avoir un orchestre. D’accord, une rapide : est-ce que quelque chose va se passer en 2003 comme une apparition de la planète Nibiru ou de la planète X ou quelque chose d’un intérêt particulier ?

R : Découvrez !

Q : (L) Ils ne nous donneront aucun indice. (R) Puis-je continuer sur le sujet précédent ? Donc, en ce qui concerne les enveloppes fréquentielles et le lien entre la conscience et la perception, je me demandais si c’était lié à la création du conduit. Les C’s ont dit que vous créez un conduit ici ? (L) Um-hmm. (R) D’accord, se pourrait-il que la résonance de fréquence de tous ceux qui sont ici avec vous soit due au fait que la résonance ici est plus facile, elle réduit la quantité d’énergie nécessaire à l’environnement pour faire…

R : L’orchestre est capable de produire un plus grand volume en concert.

Q : (R) C’est vrai. Alors, est-ce que ce concept — dans cette phrase qui dit « l’orchestre est capable de produire un plus grand volume en concert » — est-ce que c’est ce qu’on entend par créer un conduit ?

A : Proche. L’enveloppe fréquentielle a de nombreuses applications.

Q : (R) Pourriez-vous décrire certaines de ces applications ? Est-ce trop vague ? (V) Cela me semble assez particulier. (R) Oui, mais cela a de nombreuses applications et un tel conduit aurait tant d’applications, et je suppose que nous en utilisons une maintenant.

R : Pour ne citer qu’un exemple : Josué et les « Murs de Jéricho ».

Q : (R) Bien sûr. Ils ont donc utilisé un conduit, c’est-à-dire la résonance d’un orchestre de personnes pour abattre les murs de Jéricho.

R : Plus ou moins, même si ce n’était pas Jéricho.

Q : (R) D’accord, mais le principe s’applique. (V) Puisque vous utilisez cette métaphore d’orchestre, quel genre d’instrument sommes-nous chacun ?

R : V **** veut être une flûte. RO : cor français. Laura : Harpe. BT : Tuba. JN : Piano. MN : Glockenspiel. Ark : Violon.

Q : (V) Merci, c’était amusant. (R) J’ai une question. Si ce n’est pas les murs de Jéricho, alors les murs de quoi ?

R : Recherchez les événements atlantes pour les racines des mythes.

Q : (R) D’accord, j’ai compris. {Laura chante : Josué a combattu à la bataille de Jéricho…} (R) D’accord, posons des questions sur le programme informatique sur lequel nous travaillons. [Ark et RO, un expert en java, avaient passé la semaine précédente à travailler sur la création de ce programme, basé sur l’équation de Schrödinger et la théorie améliorée des événements quantiques d’Ark. Le programme simule graphiquement la diffusion, l’interférence et l’effondrement des ondes de probabilité quantique.] Les artefacts graphiques que nous voyons dans le programme sont-ils réels ou sont-ils causés par des problèmes ou des erreurs numériques dans le programme ?

R : Cela ressemble plus à la sérendipité numérique.

Q : (A) Quoi, quoi ? (L) Je pense que « sérendipité » est une agréable découverte, à partir d’une histoire sur le Pays de Serendip. (R) D’accord, alors, est-ce quelque chose que nous devrions approfondir ou devrions-nous nous concentrer sur d’autres choses ?

R : Absolument. Souvenez-vous de l’anneau de benzène. La structure des idées a été conçue en premier, puis elle a été expliquée lorsque l’application a été réalisée.

Q : (R) Si nous pouvons en voir une application, alors ce sera tel que nous pourrons faire de la rétro-ingénierie et en trouver la cause. Maintenant, nous examinons simplement la question en termes de quoi s’agit-il ? Qu’est-ce que ça fait ? Qu’est-ce que c’est ? Mais si nous pouvons voir une application… (A) Eh bien, nous voyons une application, un économiseur d’écran. [Rires.] (R) Je pense que nous devrions peut-être trouver une application plus intéressante, mais c’est un bon principe d’en trouver une application parce que c’est ce qui peut nous ramener à ce que c’est. (A) Oui, c’est vrai. Eh bien, pouvez-vous nous aider avec quelle application, donnez-nous une direction ?

R : Pensez à « l’anneau » de benzène.

Q : (R) Est-ce uniquement utilisé en chimie ? Ou est-ce également utilisé en mathématiques ? (L) Connaissez-vous l’histoire de l’anneau de benzène ? (R) Non. Je n’en ai entendu parler qu’en chimie. (M) L’histoire de l’anneau de benzène est le gars à qui c’est venu et l’a appliqué à la chimie, a rêvé d’un serpent se mordant la queue et roulant, et il l’a donc appliqué à la structure moléculaire du benzène qui a de doubles liaisons et une séquence de liaison simple. (R) Cela semble donc signifier que nous sommes sur la bonne voie en essayant de voir s’il y a quelque chose là-dedans. (L) Peut-être que la clé est le mot anneau. (A) Non vous voyez, ce qui est mystérieux, le fait que les choses se forment, d’accord, c’est une structure discrète, des erreurs numériques, des arrondis, vous connaissez toutes les sortes de ces artefacts. Mais, le fait qu’ils ressemblent à des spirales en trois dimensions — même s’ils sont créés dans une seule dimension — je n’ai aucune explication. Je ne sais même pas comment expliquer pourquoi créeraient-ils ces spirales ? D’où viennent ces dimensions supplémentaires ? Je n’en ai aucune idée. (MN) Pourtant, il n’y a pas d’application à moins que vous ne puissiez la résoudre.

R : Un anneau.

Q : (R) Oui, car c’est un cycle. C’est ce qui a été dit auparavant. C’est comme une boucle. (L) Eh bien, laissez-moi vous demander ceci — vous l’avez fait aller et venir entre deux barrières, n’est-ce pas ? Pouvez-vous relier les extrémités ? (R) Oui. Mais alors rien ne se passe parce qu’alors ça bouge et bouge et bouge, c’est juste la forme initiale qui se déplace et entre dans une autre. Donc rien ne se passe la seule chose… (M) L’onde ne change pas. (R) Exactement. Cela ne se produit donc que lorsqu’il doit réagir avec une barrière. (L) Uh-huh. (R) C’est la seule fois que cela se produit parce que c’est ce qui cause… (B) La barrière pourrait-elle représenter une densité ? (R) Ça pourrait, oui, en fait.

R : Double boucle.

Q : (R) Double boucle, oui, exactement. (MN) Double hélice ? (R) Oui, parce que ça boucle… parce que si vous regardez la partie 3D, ce n’est pas une spirale, c’est un cône. (A) C’est vrai. (R) Parce qu’il est en spirale comme ça, et si vous augmentez la résolution, alors ce sera un cône parfait qui bouge comme ça en même temps qu’il bouge comme ça. [Démontre avec des gestes de la main.] Et il bouge comme ça à cause de l’équilibre — parce qu’il doit provenir d’une quantité égale [d’énergie] de chaque côté. (V) Il le construit à partir de lui-même ? (R) Oui, la chose est comme ça, si vous avez un paquet d’énergie qui va comme ça et qu’il rencontre une frontière, soit il peut se replier comme ça — juste sous sa propre pression — puis revenir en arrière. Ou alors, il peut utiliser les dimensions et l’enroulement supplémentaires. Comme si vous avez une chaîne et que vous faites comme ça, ce ne sera pas à un moment donné. Je pense donc que c’est la même chose ici. Mais comment le savoir ? Nous avons besoin d’un algorithme pour la troisième dimension pour ce pliage. (A) Um-hmm. (V) Et s’il se passe effectivement quelque chose que vous ne voyez pas ? Comme nous en parlions au début de la séance ici : que vous ne pouvez pas savoir ce que vous ne pouvez pas savoir parce que vous ne pouvez pas le voir parce qu’il est voilé ? Quelles sont les possibilités qu’il se passe quelque chose d’autre ici à découvrir ou à révéler ? (R) Et je pense que cela semble être la seule raison pour laquelle cela se manifeste parce que l’onde frappe un obstacle. Donc, la troisième dimension — elle était toujours là comme une possibilité — mais elle ne s’est manifestée que lorsque l’onde a heurté un obstacle. Ainsi, l’obstacle, en effet, crée la dimension supplémentaire. Elle était toujours là mais elle ne s’est manifestée que lorsqu’un obstacle a été placé sur le chemin de l’onde.

R : Directeurs de l’énergie de la conscience.

Q : (R) Exactement. Parce que si l’onde heurte un obstacle, si elle suit juste la mécanique, elle va se replier parce que c’est la loi. Mais, si vous avez une conscience qui interagit avec l’énergie, alors elle peut dire, « Hé, regardez, c’est plus efficace si vous ne vous pliez pas, c’est plus efficace si vous utilisez cette dimension supplémentaire, car il y a alors moins de pression dans l’onde si vous utilisez cette dimension supplémentaire. » Mais vous avez besoin de cette conscience pour dire, « hé regardez, il y a cette dimension supplémentaire que vous pouvez utiliser. » Et elle doit dire comment l’utiliser car elle doit choisir une direction dans laquelle commencer à se replier. (B) Si notre conscience définit les paramètres de la troisième densité, les barrières de chaque côté de l’onde pourraient-elles représenter les barrières des paramètres extérieurs de la troisième densité qui provoquent ce bouclage continuel d’avant en arrière ? Et peut-être faire autre chose dans une densité différente qui n’a pas ces barrières ?

R : Enveloppe de résonance de fréquence.

Q : (R) Exactement, c’est tout à fait logique. Les enveloppes de résonance de fréquence sont donc des mondes. Et notre programme montre que la seule fois où des choses intéressantes arrivent à une onde, c’est quand elle heurte un obstacle. Et cela ne manifeste la dimension supplémentaire que si quelqu’un aide l’onde à choisir la façon de commencer à se déplier dans la dimension supplémentaire. Donc, si les densités en vigueur sont des enveloppes de résonance de fréquence, qui existent en tant qu’obstacles, ces ondes d’énergie peuvent résonner à l’intérieur… ouais, exactement… cela a du sens. (JN) Et si le niveau de conscience est la barrière ? (R) Ouais, exactement. Directeurs de l’énergie de la conscience, et plus vous avez de conscience, plus vous pouvez voir de possibilités pour diriger l’énergie. (JN) Le moins d’obstruction. (R) Ouais, ou tu peux choisir ça… (V) Tu dis que tu crois quelque chose parce que c’est la loi, mais… (R) Oui, parce que ce sont les paramètres que tu vois, mais plus tu es conscient, plus tu vois, plus tu peux trouver, alors tu peux connaître les dimensions dans lesquelles tu peux t’échapper. Vous avez la boîte, vous dites qu’elle est fermée, nous ne pouvons pas en sortir. Mais si vous avez plus de conscience, vous pouvez dire : Eh bien, il y a une autre dimension hors de la boîte que nous pouvons utiliser. Est-ce que ça a du sens ?

R : Vous allez dans la bonne direction…

Q : (R) Ce qui est bien sûr un peu humoristique car ils viennent de parler de la conscience en tant que directeurs d’énergie et nous allons dans la bonne direction. Nous dirigeons donc l’énergie de manière consciente vers la bonne enveloppe de résonance de fréquence. (L) Je suis contente que tu saches de quoi tu parles. (JN) Maintenant, personne ne lèche cette enveloppe et ne la scelle ! (R) D’accord, ça se tient. Donc, le concept de base pour récapituler est que les densités sont des enveloppes de résonance de fréquence de la même manière que les barrières dans notre programme sont des barrières. Nous avons modélisé les densités sur un programme informatique. Les densités sont des enveloppes. Enveloppes de résonance de fréquence. Vous avez de l’énergie qui rebondit d’avant en arrière et sans diriger consciemment cette énergie, elle n’utilisera rien de plus que les chemins qui sont assez évidents — la valeur par défaut. Mais dès que vous commencez à diriger cette énergie, vous pouvez la diriger de telle manière qu’elle dépasse l’enveloppe. (J) Alors, pensez en dehors de l’enveloppe. (R) Exactement parce que vous redéfinissez l’enveloppe. Vous trouvez des emplacements de plus en plus grands.

R : Les nombres premiers montrent la porte.

Q : (R) C’est parfait. Ainsi, dans la simulation, les spirales semblent toujours être des nombres premiers. Nous avons 3, 5, 7, 11, 19 — je pense que nous l’avons vu à un moment donné. (A) Deux est également un nombre premier (rires). (V) Mais pas un 13 ? (R) Je pense que nous avons vu 13. Cela dépend des paramètres que vous définissez. Je pense que nous pouvons trouver à peu près n’importe quel nombre premier en fonction des valeurs. (A) Je ne le crois pas. (R) Il ne le croit pas. (A) Non. C’est une hypothèse. (R) Le nombre de spirales apparentes est-il toujours un nombre premier ?

R : Ark n’a pas mis dans le mille.

Q : (A) Si. Je vais vous montrer ! (B) Est-ce à dire qu’il est proche ? (R) Vous ne pouvez pas être proche. Soit ce sont des nombres premiers, soit ce n’est pas le cas. (A) Qu’ont-ils dit que je n’ai pas raison ? D’accord ? (R) Exactement. (A) D’accord, je vais vous montrer les gars. (L) Comment vas-tu leur montrer ? (A) Nous ferons une expérience et nous montrerons que ce ne sont pas des nombres premiers. Et les C’s devront se rétracter ! [Rires.] Mais il existe de nombreuses autres façons dont les nombres premiers peuvent entrer dans ce jeu et probablement ils entrent dans ce jeu et ce sera très agréable de le découvrir.

R : DĂ©couvrez, en acte.

Q : (L) Eh bien, c’est une sorte de jeu de mots, découvrez en acte — en le faisant [Jeux de mots entre « in deed » et « indeed » NdT]. (R) Nous sommes sur un chemin très, très intéressant ici parce que nous venons de définir ce qu’est une densité. C’est une enveloppe de résonance de fréquence. (A) La question est la fréquence de quoi ?

R : Oui, de ceux qui sont dans l’orchestre.

Q : (L) C’est donc par accord. (A) Qu’est-ce qui est par accord ? (L) Être dans l’orchestre, enveloppe de résonance de fréquence. (B) Non seulement pour être, mais pour jouer à l’intérieur de ces paramètres. (L) Qui peut choisir ce qui se joue ?

R : Ah ! C’est là que le bât blesse !

Q : (B) Cela signifie que c’est à trouver. C’est pourquoi ils sont intéressés à ce que nous ancrions une certaine résonance de fréquence pour que les SDS ne le fassent pas.

R : Non, vous ne pouvez pas choisir la sélection à ce niveau. Mais vous dans le futur le ferez. La question est : jouez-vous bien et pouvez-vous jouer vrai si les autres ne le font pas ?

Q : (M) C’est la deuxième fois qu’ils disent cela. (R) Ouais, d’accord, donc en gros, cela signifie que ce que nous faisons maintenant est d’assembler l’orchestre avant le concert et d’accorder les instruments. (L) Vous êtes-vous déjà assis dans la salle de concert alors qu’ils se préparaient, se réchauffaient ? (J) C’est le chaos. (L) Oui. (R) Mais après un certain temps, ils commencent à être accordés. Mais c’est de cela qu’il s’agit — toute la Communication Cassiopéenne. Nous ne sommes pas encore en train de jouer. Nous sommes juste en train d’accorder. (L) Ouais. (JN) Donc, si notre niveau de conscience crée les barrières où cette onde peut aller et comment elle se comporte, pouvons-nous… (R) Non, non. Non. Excusez-moi de vous interrompre. Notre niveau de conscience ne crée pas les barrières, il est seulement conscient de ces barrières. Il peut voir, d’accord, quelles sont les barrières : « oh ce sont les barrières. Je peux voir, d’accord. Alors, voici ce que je peux jouer. » Mais si votre conscience grandit, vous pouvez voir un éventail de barrières. « D’accord, je veux jouer avec cette plus grosse. Je peux jouer avec les plus petites si je le souhaite, mais j’ai la conscience de voir d’autres barrières plus étendues. » (L) Je pense que le concept que nous avons du mal à saisir est que — pour l’analogie — la sélection musicale est faite, plus ou moins. Nous à un certain niveau — nous dans le futur — avons choisi quel instrument jouer, quelle partition jouer. Et donc, les options que nous avons vraiment maintenant sont : jouons-nous bien, jouons-nous fort, jouons-nous en harmonie avec les autres ; pouvons-nous pratiquer, pouvons-nous rester en harmonie, pouvons-nous faire un certain nombre de ces choses ? Et même si nous nous retrouvons assis à côté d’un imbécile qui ne peut pas jouer une mélodie et dont l’instrument est hors d’usage, pouvons-nous continuer à jouer juste ? Parce que même si le reste de l’orchestre, entendu à distance, peut sembler assez mélodique, parce que nous sommes assis à côté de ce gars qui ne peut pas jouer, il est possible que nous soyons distraits — éloignés du morceau — puis ensuite distraire le gars de l’autre côté de nous, conduisant au chaos général. (R) Il s’agit de se concentrer. (L) Ouais. Je suis fatiguée. (A) J’ai encore une question, parce que toute la discussion autour de cette modélisation informatique, qu’elle peut être utile ou qu’elle doit être développée, ou qu’elle peut mener à quelque chose ; et toutes ces spirales et barrières ; elles sont toutes à propos, c’est une norme, il n’y a pas d’événements, il n’y a pas encore de détecteurs. Mon idée était que ce sont les détecteurs qui provoquent des événements qui provoquent l’effondrement de l’onde. Jusqu’à présent, dans toutes nos simulations, il n’y a pas d’effondrement ni de sauts. Et pourtant nous parlons de conscience, alors qu’il y a cet autre concept que c’est la conscience qui fait s’effondrer l’onde. D’accord. Je vois donc une contradiction et je ne sais pas comment sortir de cette contradiction. Il n’y a pas d’effondrement, et pourtant il y a eu des encouragements que ce que nous avons se rapporte à…

R : La musique est sur la page bien avant qu’elle ne soit jouée.

Q : (R) Donc, quand l’orchestre commence à jouer, vous avez les notes de musique, les instructions de synchronisation. C’est vrai. C’est donc la même musique. Vous pouvez jouer encore et encore. Mais la différence est à quel point l’orchestre joue bien et à quel point il est bien réglé. D’accord, donc une implication peut être que…

R : L’ERF correspond aux notes sur la page. C’est la sélection. Le « jeu » constitue des « événements. » L’Enveloppe de résonance en fréquence : ERF.

Q : (R) Donc quand vous débutez, vous avez un petit orchestre, vous jouez des notes simples. (L) Un peu comme la première densité. (R) Exactement. Plus on s’améliore, plus l’orchestre s’agrandit, plus on a d’instruments. Il faut faire attention à ce qu’ils soient accordés car sinon… (L) Et vous obtenez plus de notes. (R) Et vous obtenez plus de notes. Mais le jeu constitue des événements. C’est une chose d’avoir un orchestre, c’en est une autre de l’avoir accordé. (L) Très bien, réfléchissons à cette idée d’ERF et à son application, puis revenons aux questions originales de V à ce sujet. L’ERF est émanée et maintenue de concert avec l’environnement et les autres… (R) Eh bien, elle est également liée à la perception à travers la conscience, non ? (L) D’accord. (V relit les notes) « Votre conscience maintient une émanation de fréquence de concert avec votre environnement. Lorsqu’il y a des fluctuations dans les fréquences de liaison entre vous et votre environnement, et la liaison de fréquence d’un autre, les fluctuations créent des discontinuités. » (R) Une discontinuité serait donc un saut quantique, par exemple, oui ou non ?

R : Oui.

Q : (R) Mais cela nécessite que vous ayez un orchestre bien ajusté. Parce que si vous ne l’avez pas bien réglé, ça ne résonne pas, donc peu importe si… (V) Donc l’orchestre ne va pas faire de la musique en quatrième densité. (R) Exactement. Vous avez donc la salle de concert, le public est là, vous avez les notes, mais l’orchestre n’est pas au diapason, donc vous obtenez de la mauvaise musique. Si l’orchestre n’est pas au diapason, c’est pourquoi il est important de…

R : Chantez « Goodnight Ladies », oui ?

Q : (L) Quelqu’un a-t-il des questions pour conclure ? (R) Ouais. J’en ai une complètement sans aucun rapport. (L) Vas-y. (R) Cela concerne cette fille avec qui je communiquais sur le net. Je me demandais simplement si elle faisait tout cela {manipulation insensée} par elle-même ou si elle était juste aidée.

R : Robot VRF. Vous en rencontrerez beaucoup plus dans les temps Ă  venir.

Q : (L) VRF Vibration de résonance de fréquence. (R) La question est toujours : si elle le faisait seule ou si elle était contrôlée. (L) Eh bien, les robots VRF sont contrôlés. Ils peuvent télécharger un agent dans n’importe qui à tout moment. (V) Permettez-moi de vous demander très rapidement, quel était cet homme à l’épicerie le 12 février qui me regardait et me suivait ?

R : L’avertissement !!!

Q : (J) Qu’a-t-il fait ? (B) Ouais, que s’est-il passé ? (V) Quelqu’un me suivait… mais pourquoi ?

R : N’oubliez pas que des discontinuités se produisent lorsque les fréquences ne sont plus synchronisées.

Q : (R) Donc tant que vous n’êtes pas synchronisé, vous ne pouvez pas rester à la position fixe. (J) Tu ne vas pas à l’épicerie. (R) Non. Vous vous désynchronisez avec… quoi ?

R : Qui partage votre réalité ?

Q : (V) Parlez-vous de ma maison ?

R : Oui !

Q : (V) Attendez, attendez, attendez. Est-ce que cela ressemble à ce que j’ai dit à Laura à propos du projecteur de film qui tombe en panne, qui fait des saccades et qui gâche la séquence ?

R : Disons simplement que la diapositive s’est bloquée.

Q : (V) Une de mes diapositives, ou la diapositive de quelqu’un d’autre ? (R) À un moment donné, nous devrions parler du truc sur l’argent, juste pour garder cela à l’esprit. (L) Que voulons-nous demander au sujet de l’argent ? (V) Quel est ce truc sur l’argent ? (L) Eh bien, nous avons ce problème que nous devons gagner de l’argent rapidement parce que nous sommes sans revenu depuis un an. Nous épuisons nos réserves et ils nous disent sans cesse que l’argent viendra et j’aimerais savoir de quelle direction.

R : Continuez à augmenter la production !

Q : (L) Production de quoi ?

R : Énergie.

Q : (A) Nous devons travailler plus dur. (L) Pouvons-nous ? (R) Est-ce possible ? (J) Arrête de dormir ! (L) C’est vrai ! (V) Production, énergie. Est-ce l’énergie physique ou l’énergie créatrice ?

A : Les deux.

Q : (R) Ouais, parce que l’énergie créatrice va dans des choses qui se feront physiquement, alors… (V) Laura tu es fatiguée. (L) Eh bien, je suis debout depuis tôt ce matin. (V) Nous pourrions rester ici et continuer, mais le fait demeure que tu es fatiguée. (L) Je sais. (V) Donc, nous devons nous arrêter bientôt. (L) Alors, avec quoi voulons-nous finir ? Y a-t-il quelque chose que nous devons savoir que nous n’avons pas demandé, considérez-le comme demandé ?

R : L’argent viendra !

Q : (V) Est-ce que cela fonctionne aussi pour moi ?

R : Avec une augmentation de la production !

Q : (R) L’argent va-t-il provenir de la vente de produits ou de la recherche de fonds ? Il y a bien sûr plus d’options ou est-ce l’une de ces deux ?

R : Oui.

Q : (R) D’accord, est-ce que ça va venir en termes de recherche de fonds ?

R : Oui.

Q : (B) Tu dois demander l’autre. (L) Nous savons que cela ne viendra pas de la vente de quelque chose parce que nous perdons nos chemises en vendant ces livres. (B) Demande-le. (L) Est-ce que ça va venir de la vente du livre ?

R : Peu probable.

Q : (R) Qui financera ?

R : Paul.

Q : (L) Je ne connais personne du nom de Paul. (V) Je pensais avec certitude qu’ils diraient attendez vous verrez. (J) Eh bien, c’est une configuration parfaite pour les SDS, ils pourraient envoyer n’importe qui du nom de Paul et on lui embrasserait les pieds. (R) Laissez tomber ou soyez précis, car Paul est mauvais.

R : Laissez tomber. Anticipation.

Q : (L) Eh bien, vous voyez, ils savent que je ne croirais jamais Paul simplement parce qu’ils l’ont dit. Oublie ça. C’est une blague. Très bien disons bonne nuit. [Tout le monde dit bonsoir et merci.]

Fin de la séance
 
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Q : (R) Ça rejoint la discussion que nous avons eue sur l’egroup il y a quelques semaines, je pense, quand nous avons dit qu’il y avait tellement de choses possibles, mais si vous ne le savez pas, vous ne le choisirez pas. Comment pouvez-vous choisir si vous ne le savez pas ? (B) Le choix doit être fait ici avant de pouvoir glaner les avantages de ce choix. (L) C’est vrai. Si vous ne savez pas que vous avez un choix, vous ne pouvez pas faire de choix, si tout est… (R) C’est comme le poisson rouge dans la mauvaise eau. (L) Ouais. Ouais, je veux dire que vous apprenez à exister dans cet environnement et que vous vous y adaptez et vous ne savez pas comment être dans un autre. D’accord, ensuite. (R) Puis-je demander quelque chose de personnel ? Il s’agit de ma maintenant ex-petite amie. Je suis un peu inquiet pour elle car elle a réellement peur du noir et ne veut pas vraiment en parler et je suis vraiment curieux de savoir quelle en est la cause.

La phrase que j’ai soulignée et mise en gras ci-dessus doit être dite de cette façon : « Il s’agit maintenant de mon ex-petit amie »

 

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