Thanks to the members of the French translation group who have just translated that session.
Please post your comments in the original session: Session 24 June 2000
Merci aux membres de l’équipe française pour cette traduction.
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SĂ©ance du 24 juin 2000
Ark, Laura, Frank, BT, Johan M
{Johan M était un homme d’affaires européen en visite qui était quelque peu séduit par les C’s et avait dans l’idée que nous devrions former un partenariat avec lui pour promouvoir notre travail. Nous étions incertains et avons donc décidé d’en discuter avec les C’s. Mon sentiment au cours de cette séance était que l’énergie marché boursier/jeux d’argent de Frank était assez omniprésente. Je pense qu’il cherchait à être embauché comme conseiller financier par Johan M. Aussi, tant que les questions portaient sur ces questions financières, je pense qu’il y avait une influence émotionnelle venant de Frank. Dès que je le pouvais, je changeais de sujet.}
Q : Bonsoir.
R : Bonsoir.
Q : Et qui avons-nous avec nous ce soir ?
R : Morrah.
Q : Et d’où transmettez-vous ?
R : Cassiopée.
Q : (J) Je ne sais pas dans quelle mesure il est utile de poser des questions sur un montage financier, mais j’avais une question plus générale : De quelle manière puis-je aider au mieux Laura et Ark dans leur quête ?
R : La « quête » est universelle. Nous devrions être plus clairs en ajoutant qu’elle ne se limite pas à Ark et Laura.
Q : (J) Est-ce important de mettre en place la structure maintenant  ?
R : Nous aimerions souligner que nous avons précédemment déconseillé toute restriction, cependant, votre arène recèle des choix.
Q : (L) Êtes-vous en train de dire que vous avez déconseillé tout ce qui restreignait, mais que dans le cadre de la mise en place d’une structure, il y a des choix que l’on peut faire sans conseil ?
R : Non.
Q : (A) Je crois que je sais. Auparavant, ils déconseillaient les restrictions, donc nous devions sortir au grand jour. Mais au grand jour, il y a des choix, et certains de ces choix font partie de la mise en œuvre d’un plan. La question est donc la suivante : quels sont ces choix ?
R : Essayons une autre approche ; la restriction exige l’anticipation. Le chemin que vous avez emprunté n’est pas celui d’une société. Cependant, si vous désirez apprendre des leçons liées à ce fait de manière plus directe, qui sommes-nous pour faire obstacle à vos choix !
Q : (L) Cela signifie-t-il que nous devons agir 100 % à l’instinct, à l’intuition ? (A) Ad hoc ?
R : Peut-être qu’un examen du chemin parcouru jusqu’ici nous donnera un indice. Est-ce que quelque chose d’intéressant s’est produit jusqu’à présent ?!?
Q : (L) Je suppose qu’on n’est pas censé anticiper les bonnes choses, mais on est censé anticiper les attaques ?
R : Les attaques ne sont pas anticipées, c’est de la conscience, ma chère !
Q : (L) Donc, c’est la conscience que cela peut arriver à tout moment, et non pas qu’on l’anticipe ?
R : C’est la conscience que cela existe.
Q : (L) Bon, en ce qui concerne la préparation d’un livre, sa publication et sa promotion, nous sommes toujours confrontés à la nécessité éventuelle de disposer d’une structure financière pour payer les factures et les dépenses de chacun pour ce qu’il doit faire. Est-ce que c’est…
R : Nous vous avons dit que tout serait fourni. Bien sûr, nous nous sommes trompés, non ?
Q : (L) Non, vous ne vous êtes pas trompés.
R : Te souviens-tu des «  jours anciens » ?
Q : (L) Oui.
R : Ils étaient financièrement comparables au présent perçu, n’est-ce pas ?
Q : (L) Faux. Je comprends. En d’autres termes, agir par foi !
R : Vous avez été amenés jusqu’au seuil d’une source de financement lucrative. Nous supposons que vous devez être « frileux ». Peut-être que franchir le seuil vous réchauffera un peu  !?!
Q : (L) Vous voulez dire le livre, du point de vue d’une source de financement lucrative ? Il suffit de le faire ?
R : On ne parle pas du livre, ma chère !
Q : (L) Vous ne parlez pas du livre ? (B) Peut-être qu’ils ne parlent que de choses en général, par opposition à …
R : Non.
Q : (L) De quoi parlez-vous ?!
R : Nous vous accordons 20 propositions !
Q : (J) « Vous avez été amenés… » Qui est ce « vous » ? Laura ? (L) À qui parlez-vous ?
R : Tous.
Q : (L) Oh. Ils parlent à nous tous. (A) Et pas d’un livre.
R : Le livre convient, mais il ne représente pas un potentiel financier immédiat.
Q : (L) Maintenant, vous êtes vraiment mystérieux. De quoi diable parlez-vous ? (B) Font-ils référence à la dernière séance où ils ont donné des tuyaux sur les secteurs de la bourse à observer et à étudier ?
R : Bravo, Barry ! Tu as gagné  !
Q : (B) Souvenez-vous, lors de la dernière séance, vous parliez d’actions, et vous vous inquiétiez de savoir si le marché allait même continuer à exister, et ils ont dit de se concentrer sur l’industrie technologique et biotechnologique. Ils ont dit de commencer à faire des recherches. (L) Nous laissez-vous entendre que le marché va exploser, et que si nous y entrons maintenant, nous pourrons en profiter ?
R : Si vous « entrez » à n’importe quel moment, vous serez plus riches, à condition d’être prudents, patients et persévérants.
Q : (L) Eh bien, vous venez de parler de « source financière immédiate ». Ça ne ressemble pas à une source financière immédiate pour moi !
R : Toute ascension commence par la première marche.
Q : (L) Quel est le rapport avec notre préoccupation immédiate, qui est de rendre les informations disponibles au monde entier ?
R : Tout se mettra en place.
Q : (L) Vous n’arrêtez pas de dire ça !
R : Pourquoi manques-tu de foi ? Ton expérience n’est-elle pas un guide ? Ou peut-être préférerais-tu revenir à ta vie d’avant ?
Q : (L) Quelque chose de plus à ce sujet ?
R : Oh, il y a beaucoup de choses, mais si tu es impatiente, nous comprenons.
Q : (L) Vous avez parlé de « technologie » et de « biotechnologie », est-ce encore la voie à suivre ou y a-t-il quelque chose à ajouter ?
R : Ce ne sont pas seulement la « technologie » et la « biotechnologie » qui comptent, mais aussi les différents acteurs qui y sont impliqués. Une recherche patiente, en association avec ceux qui ont le « feeling » pour ça et vous guider dans votre travail en réseau, fournit la clé.
Q : (B) Visez-vous l’ascension rapide d’une personne plutôt que d’une entreprise ?
R : L’un ou l’autre.
Q : (A) Il y a quelque chose que je ne comprends pas. Lorsque nous parlions de ces actions, l’idée était que la seule chose qu’on puisse faire, c’était d’acheter ces actions, d’investir, etc., alors on n’a pas de véritables finances, car si on commence à vendre, on paye des taxes et cela n’a aucun sens. Donc, cet expert venait de nous dire que nous nous contenterons d’investir à long terme, jusqu’à ce que ça devienne moins taxable, pour ainsi dire, lorsque nous aurons plus de 59 ans, n’est-ce pas ? Donc ce n’est pas clair !
R : Un portail d’attaque vous met sur une fausse piste !!
Q : (F) Quelqu’un vous a dit que si vous vendez, vous devez payer des taxes ? (L) Oh, oui ! (F) Pensez-vous que vous devez payer chaque centime de profit en impôts. (J) La seule solution serait de gagner BEAUCOUP d’argent, de sorte que ce qu’on paye en taxe reste très inférieur à ce qu’on a gagné, et qu’on fasse toujours un gros bénéfice ! (F) Oui, vous payez beaucoup de taxes, mais il vous reste encore beaucoup d’argent. (J) Oui, imaginez ce qui se serait passé si vous aviez acheté Microsoft au début ! Vous trouverez peut-être le prochain Microsoft ! (L) D’accord, donnez-nous un indice sur le prochain Microsoft. (B) Je pense qu’ils donnent la clé avec la personne concernée que vous êtes censés chercher.
R : Recherche patiente ; travail en réseau. Associer les énergies.
Q : (L) Donc, ils disent que nous sommes tous censés faire de la recherche, travailler en réseau et associer nos énergies. (B) Je me demande s’ils veulent dire « patient » au sens médical du terme plutôt qu’au sens de « patience » ?
R : Oh, c’est les deux.
Q : (B) Eh bien, nous avons un indice ici. Donc, ce n’est pas seulement la patience en termes de temps…
R : Nous ferons un dernier effort pour vous aider sur ce point : si vous cherchez un « diamant brut », comment procéder ?
Q : (B) En creusant dans la terre à proximité d’une mine de diamants connue ! (L) Oui. On creuse dans la terre !
R : Eh bien, enfoncez-vous votre pelle dans la terre frénétiquement ?
Q : (L) Non, on creuse avec précaution.
R : Et comment avez-vous su qu’il y avait une mine de diamants dans les environs ?
Q : (L) Peut-être y a-t-il un panneau indiquant « Mine de diamants » ou peut-être s’agit-il d’un endroit fermé et clôturé par rapport au reste de la zone ! (B) Ou vous faites des recherches ?
R : Bingo ! Barry va les terrasser ce soir !
Q : (L) Je veux juste que vous sachiez que nous nous sommes assis ici ce soir pour parler d’un livre ! Vous voulez dire que ce n’est pas important ?
R : Un livre, c’est bien, mais chaque chose à sa place.
Q : (L) Donc, nous devons gagner de l’argent pour pouvoir faire le livre. (B) Eh bien, la pire chose que l’on puisse faire quand on essaie de faire quelque chose, c’est de manquer de capital. (J) Oui. (B) Même si les idées ne visent pas le profit ici, on ne peut pas vraiment faire quoi que ce soit sans avoir du capital. Je pense que c’est le problème que les C’s essaient de résoudre ici. Maintenant, pourquoi pas une sorte de société qui combine « patient » et « recherche » d’une autre manière ; une sorte de société Internet qui rend les recherches disponibles sur Internet, comme j’en ai récemment entendu parler ? (L) Barry est-il sur une piste ici ? Est-ce le genre de « diamant brut » que nous sommes censés rechercher ?
R : Ça peut être bien, mais peut-être ne devrions-nous pas essayer de deviner la disposition du trésor avant d’avoir ouvert la porte.
Q : (L) Quel montant suggérez-vous comme capital d’investissement initial pour accomplir…
R : Nous ne pouvons pas vous mener plus loin, désolés !
Q : (J) Vous avez dit à Laura d’aller sur internet, et cela a marché pour trouver Ark. Quel serait le résultat équivalent dans mon cas ? (L) Bien joué !!! (En référence à l’intelligence de la question).
R : Tu dois plaisanter !
Q : (L) Non, il ne plaisante pas ! Il est sérieux ! Mais à l’époque, je ne suis pas allée sur Internet parce que je ne m’intéressais qu’à mes recherches. Cela faisait partie de ma mission. Donc, je suppose que c’est ce centre d’intérêt qui m’a ouvert les bonnes portes. Je n’avais aucune idée, aucune attente, aucune anticipation — RIEN. Peut-être même que si tu cherches, tu bloqueras ce dont tu as besoin dans ta vie ? Peut-être pour toujours.
R : Ouaip !
Q : (L) Eh bien, Johan pensait qu’Ivey était le bon !
R : Il anticipait. Nous devrions maintenant savoir que c’est un rien décevant.
Q : (L) Je pense que tu dois abandonner. Je l’ai fait. J’étais concentrée sur une chose et une seule : la recherche de la vérité. Et, il se trouve qu’Ark avait les mêmes intérêts, et c’est ce qui nous a fait nous croiser. (B) Oui. C’est comme un rendez-vous. Tu t’habilles et tu vas dans un bar, et tu restes assis là , seul, toute la nuit. Ensuite, tu changes un pneu, tu te salis et tu as chaud, et tu vas dans le bar chercher quelque chose pour te rafraîchir, et tu rencontres quelqu’un !
(L) Bon, je vais passer à mes questions dans le dossier ici. LS, du site Karinya, a un petit sondage sur l’histoire du Lézard sur son site web. Il demande aux gens s’ils pensent que l’histoire est vraie ou non, et s’ils ont des commentaires à faire. Une personne a écrit (et je colle ici le commentaire exactement tel qu’il a été posté) : « ça ressemble à la Vérité, tout comme la série de l’Onde. J’aimerais avoir des suggestions sur la protection, s’il vous plaît. Il y a tellement d’informations justes ici que j’en ai les yeux injectés de sang depuis 3 jours, à force de parcourir le site Mon site préféré : infos des transcriptions Cassiopéennes… Quelle aide formidable !! Merci d’avoir mis cette Connaissance en ligne ».
Tout cela est bien joli, mais une autre personne écrit alors : « L’histoire est un fait, mais certaines parties ne sont pas des faits pour notre réalité/temporalité. Dans notre ligne temporelle, les choses ne sont pas exactement les mêmes que l’histoire perçue par les Cassiopéens. Nous allons rencontrer une dixième planète (Nibiru) qui est aiguillée artificiellement, plutôt qu’un groupe de comètes incontrôlables. Les reptoïdes opèrent depuis le niveau de 4e densité/astral, mais les désignations de « densité » sont purement relatives, et la notion de 7 niveaux seulement est assez trompeuse. Tous les reptoïdes ou gris ne sont pas enfermés dans les plans SDS, et les choses ne sont pas aussi simples ou lugubres que l’histoire le suggère. J’espère que cela aidera les gens à mieux comprendre le drame ». Et, bien sûr, il est vivement conseillé de visiter le site web Nibiruan où l’on peut apprendre la VÉRITÉ sur les niveaux de densité, etc.
Maintenant, je voudrais savoir si quelque chose a changé, comme cela est suggéré ici. Avons-nous affaire à une « ancienne chronologie », comme on le suggère ici ?
R : Non.
Q : (L) Y a-t-il une dixième planète, Nibiru, dans la ligne temporelle actuelle, naturellement ?
R : Si vous souhaitez l’appeler ainsi, vous pouvez le faire.
Q : (L) Cette 10e planète, que certains pourraient vouloir appeler Nibiru, est-ce une planète dont la trajectoire est artificielle ?
R : Lorsque tu poses ces questions, Laura, sens-tu que tu as déjà une idée ?
Q : (L) Bien sûr. Je sais que les Reptoïdes et les Gris sont SDS, et qu’ils SONT de 4e densité, ce qui signifie implicitement qu’ils sont plus POLARISÉS en mode SDS, ce qui implique bien sûr un niveau de méchanceté plus profond, et que si quelques-uns existent en tant qu’êtres SDA, c’est si rare que ça ne vaut pas la peine d’être considéré. J’ai également fait suffisamment de recherches sur les niveaux de densité, en dehors des sources canalisées, que c’est à peu près une donnée historiquement parlant, et mathématiquement parlant…
R : Les gris et les reptoïdes sont SDS, tout comme VOUS. Nous supposons donc que cela signifie que quelqu’un, quelque part, considère les humains terriens de troisième densité comme les « méchants ».
Q : (L) Oh, oui. Les cafards, en particulier. En ce qui les concerne, je suis soit un dieu vengeur, soit le diable ! Un lecteur écrit : « Laura, je te félicite pour ta vision, ta force d’âme, ton courage… J’ai lu la plupart des textes avec beaucoup d’intérêt. Ça sonne juste, mais j’ai quelques questions : Je ne peux pas concilier l’idée que nous soyons piégés ou attirés (par la sensualité) dans un état physique avec l’idée que nous avons progressé en passant par les états végétatif et animal ». C’est une bonne question. Il semble que l’énergie de la création ait progressé en passant par les états végétatif et animal, que les animaux peuvent passer en troisième densité et devenir humains, tout comme les humains peuvent passer en quatrième densité. Comment concilier cela avec l’idée que les âmes humaines ont été piégées dans des corps de troisième densité à partir de la quatrième densité, par les Lézards ? S’agit-il de deux fonctions différentes ? De deux groupes différents ?
R : Les humains n’ont pas été piégés par les « Lézards ».
Q : (B) Nous nous sommes portés volontaires ! (L) Ils ont pourtant dit que les Lézards attendaient la bonne matrice d’âme pour « entrer en scène », donc nous étions la bonne matrice d’âme et nous sommes entrés dans ces corps artificiels que les Lézards ont créés. C’est ce que vous avez dit. Alors, comment pouvons-nous concilier notre entrée dans ces corps de troisième densité avec l’évolution de l’âme à travers les états végétatif et animal ?
R : Si vous regardez de plus près les transmissions, il n’a pas été dit que les niveaux de conscience actuellement représentés par les humains et beaucoup d’autres « sont entrés » dans autre chose en particulier que la PHYSICALITÉ.
Q : (F) Peut-être que les unités de conscience individuelles ont revêtu différentes formes physiques. Certaines peuvent être « entrées » directement sous forme d’êtres humains, et d’autres peuvent avoir agi autrement. (B) On ne peut pas se raccrocher à un quelconque système d’évolution. C’est continu et simultané. (F) C’est simplement que NOUS avons choisi d’expérimenter la physicalité sous de nombreuses formes, peut-être simultanées plutôt qu’en suivant une progression linéaire, mais étant donné notre perception du temps, ça donne l’impression d’une progression. Nous pourrions être toutes sortes de choses dans d’autres réalités. (L) Cela renvoie donc à l’idée de « dispersion simultanée ? » : la moitié du Tout a choisi de « s’endormir » sous forme de matière, et d’autres « unités » ou groupes ont choisi d’interagir avec la matière en l’« informant » de toutes les variétés de vie, plus ou moins simultanément ? Nous pouvons donc avoir des âmes qui sont de lentes accrétions de matière au cours du cycle à onde longue, traversant les densités pendant des éons, et des âmes qui pensaient accélérer un peu les choses grâce à une méthode différente consistant à entrer directement dans les corps et à les modifier. Eh bien, cela semble être une sorte de violation « immédiate » du libre arbitre des énergies de ces corps et de leurs consciences émergentes au cours du cycle à onde longue. C’est là que c’est SDS, même si cela n’a pas été réalisé comme tel à l’époque. Et un tel acte pourrait avoir d’énormes implications du point de vue de ce que vous avez appelé un « déséquilibre fondé sur le désir », ce qui nous ramène à l’histoire du Fils prodigue. Nous avons donc une idée très complexe des âmes et de leur évolution sur plus d’un mode.
R : Oui.
Q : (L) Et en fin de compte, il s’agit d’une division et d’une dispersion collective et atemporelle qui a été, est, et sera ?
R : Oui.
Q : (L) Certaines questions ont été posées sur les types d’humanoïdes qui pourraient provenir de la Lyre. Je réalise que la Lyre est une constellation, et non une planète, mais cette personne déclare : « apparemment, toute la race humaine vient de la Lyre ».
R : Non.
Q : (L) Eh bien, beaucoup d’informations qui circulent vont dans ce sens. Billy Meier fait même cette affirmation. Cette personne dit : « La race humaine n’existait pas à l’origine dans la Lyre ; elle venait d’une autre galaxie, mais a commencé à évoluer dans notre galaxie dans le système de la Lyre. »
R : Plus proche.
Q : (L) Selon les Andromèdiens, « il y a plus de 135 milliards d’êtres humains dans les 8 galaxies les plus proches de la nôtre. Maintenant, il y a aussi d’autres races. Certaines de ces races ont eu beaucoup de conflits avec la race humaine et ces conflits continuent, mais il y a des choses qui se passent qui, espérons-le, atténueront ce problème… »
R : Votre forme physique actuelle a été finement calibrée pour votre emplacement actuel grâce à une ingénierie biogénétique avancée. Il s’agit d’un processus continu.
Q : (L) Il est dit ici que « de nombreux membres des races extraterrestres vivent en moyenne de mille à mille cinq cents ans », alors que vous nous avez déjà dit que de tels âges existent en 4e densité. Mais ici, il est dit : « Les Andromèdiens vivent en moyenne jusqu’à 2007 ans. Ils ne voient pas le temps de la même façon que nous. Ils disent que notre univers, qui consiste en tout ce que nous connaissons ou non, est un hologramme vieux de 21 billions d’années. Ils disent que toute la matière qui se trouve dans notre univers a émergé des trous noirs. Sous chaque galaxie, dit-on, il y a un trou noir d’où tout vient ». Maintenant, est-ce que tout ce qui se trouve dans notre galaxie émerge d’un trou noir ? Est-ce que le centre…
R : Whoa ! Attendez une minute ! Le terme « année » est un concept de 3e densité de type terrien.
Q : (L) Donc, en d’autres termes, tout cela est ridicule ?
R : Non, tout cela n’est pas ridicule. Certaines choses peuvent l’être, mais pas toutes.
Q : (L) Eh bien, voici une chose intéressante : selon les Andromédiens, le 23 mars 1994, une fréquence spécifique de son et de couleur a commencé à émaner de tous les trous noirs de l’univers connu. Cette énergie et cette fréquence créent une empreinte holographique à travers tous les niveaux dimensionnels, dont ils disent qu’ils comportent onze densités de création. Cette nouvelle empreinte holographique est devenue une 12e densité. Ils disent que cette nouvelle empreinte holographique a une fréquence. Cette fréquence fait remonter tous les niveaux dimensionnels en dessous d’elle. Ils disent qu’en décembre 2013, la troisième densité telle que nous la connaissons cessera d’exister. Elle implose sur elle-même tandis que tout est en train de remonter. Ceux du 11e niveau passeront au 12e. Nous sommes censés passer à la 4e puis à la 5e densité. Dans la perspective Andromédienne, la 4e densité est une conscience. C’est là qu’une race entière est collectivement télépathe. Ils sont conscients les uns des autres, ils se ressentent, ils ont un seul esprit, des individus séparés, mais ne faisant qu’un. La cinquième densité est celle où les êtres, considérés depuis la troisième densité, sont lumière. Ils disent que c’est ce qui va nous arriver au plus tard en décembre 2013, sur la base de leur science. Alex Collier commente : « Est-ce que je sais si c’est vrai ? Je le saurai quand vous le saurez, mais ils ne se sont pas encore trompés »…
R : Pas de commentaire.
Q : (L) Vous n’allez pas nous dire si ce truc de son et de couleur émanant des trous noirs est vraiment en train de se produire ?
R : C’est à vous de décider.
Q : (L) Eh bien, selon ces Andromédiens, et aussi selon Carla McCarty, le canal de Râ, la planète qui est devenue la ceinture d’astéroïdes s’appelait Maldek, et non Kantek.
R : Mais qui lui a donné son nom ?
Q : (L) De toute Ă©vidence, PAS les habitants. Vous me donnez du fil Ă retordre ce soir.
R : Non, vous nous donnez du fil Ă retordre.
Q : (L) Maintenant, [montre un morceau de métal en forme d’étoile] Johan a ce petit gadget et il l’a passé au-dessus de mes pieds, ce qui a semblé faire disparaître la douleur de mes chevilles. Pouvez-vous me dire pourquoi cela aurait un tel effet ?
R : C’est un petit gadget intéressant !
Q : (L) Pourquoi semble-t-il faire disparaître la douleur ? Je l’ai testé. Nous avons fait un pied un jour et l’autre pied le deuxième jour. Est-ce que n’importe quel morceau de métal ferait la même chose ?
R : Si correctement conditionné.
Q : (L) La personne ou le gadget ?
R : Les deux.
Q : (L) Cela semble fonctionner. (R) La forme est-elle importante pour que cela fonctionne, ou existe-t-il d’autres formes qui fonctionneraient de la même manière ?
R : La forme aide.
Q : (L) Qu’en est-il des symboles qui y sont gravés ? Sont-ils utiles ?
R : Peut-ĂŞtre.
Q : (L) Qu’en est-il du métal dont il est fait ?
R : Peut-ĂŞtre.
Q : (L) Donc, la forme est la chose la plus importante. (B) Qu’en est-il de l’intention de la personne qui l’utilise ?
R : Oui.
Q : (L) Que me suggéreriez-vous comme sujet approprié pour me mettre sur la bonne voie ?
R : Suis simplement le courant, ma chère !
Q : (L) Je voudrais savoir si le temple de Salomon c’est pareil que Stonehenge, ou si le temple de Salomon c’est pareil que la pyramide ? Il est évident qu’il n’y a jamais eu de temple de Salomon en Israël, pas avant la captivité à Babylone, lorsque les Juifs ont été nourris de toute une ligne de propagande à propos de l’intégralité de leur histoire afin de générer un sentiment nationaliste pour les faire rentrer chez eux et CONSTRUIRE bel et bien un temple ! Ou alors, est-ce tout à fait autre chose ?
R : Il s’agit probablement d’au moins une des situations ci-dessus.
Q : (L) C’est génial ! C’est soit Stonehenge, la Grande Pyramide, ou quelque chose de tout à fait différent ! Tout devient une option !
R : Et c’est là tout le problème, n’est-ce pas ? Tout devient une option !
Q : (B) Au milieu des années 70, je travaillais avec une filiale du bureau agricole californien de Berkeley et mon affiliation à ce qui semblait être une organisation secrète a apparemment été envisagée par le directeur financier de cette société. Qu’est-ce que c’était ou qui était-ce ? Et mon refus de cette invitation a-t-il eu un rapport avec l’interruption de mon voyage intérieur ?
R : C’est probablement une bonne chose que tu ais refusé, à moins que tu n’aimes être un pantin au bout d’un fil. L’organisation était liée à un consortium financier du nom de « Zebulon ».
Q : (L) Eh bien, c’est un nom tiré de la Bible. (J) J’aimerais savoir ce qui s’est passé quand j’étais à Milwaukee. J’étais dans ma chambre d’hôtel, allongé dans mon lit, à poser des questions, et il s’est passé quelque chose. Qui était-ce, qui parlait. J’avais un magnétophone. J’ai demandé aux Cs de venir et j’aimerais savoir qui c’était ?
R : Capitaine de 4e densité.
Q : (L) Qu’est-ce qu’un capitaine ?
R : Celui qui cherche à communiquer de manière transdensitaire.
Q : (L) Alors, que se passe-t-il ici ? Je ne comprends pas. Vous voulez dire que Johan est le « capitaine » ?
R : Non.
Q : (L) Cet être qui lui parlait est un « capitaine » ?
R : Oui.
Q : (L) Cet être était-il SDS ou SDA ?
R : SDS.
Q : (L) Pouvez-vous m’expliquer pourquoi, lorsque les êtres SDS communiquent, ils sont capables de produire des sensations aussi bienveillantes qui font chaud au cœur ? N’y a-t-il pas en nous une sorte d’instinct qui puisse nous aider à faire le tri ?
R : Un peu comme le « Petit Chaperon rouge ».
Q : (L) Vous voulez dire que nous sommes comme le Petit Chaperon rouge ? Et ils s’habillent comme la grand-mère. (B) Et nous voyons la grand-mère parce que c’est ce que nous VOULONS voir. (J) Oui. Et si vous voulez voir les Cassiopéens, ils peuvent s’habiller comme eux ! (L) Comment le Petit Chaperon rouge a-t-il compris ? Elle n’a pas compris avant que le loup saute et l’attaque. Ouais ! Et il avait déjà mangé la grand-mère ! Jusqu’au moment où le loup a sauté du lit pour la dévorer, le Petit Chaperon Rouge était dans le flou, même si elle VOYAIT quelque chose qui la rendait perplexe ! Vous savez : les grands yeux et tout ça…
R : Elle a vérifié avec les Cassiopéens à la planche.
Q : (L) Vous avez dit à un moment donné que vous communiquiez avec d’autres personnes sur la planète. Oui, nous étions les seuls à utiliser une planche qui produit une certaine clarté d’information — une certaine objectivité — qu’on ne peut obtenir autrement…
R : Oui.
Q : (L) Avec combien d’autres personnes sur la planète communiquez-vous ?
R : Variable, mais jusqu’à 50.
Q : (L) Ce n’est pas un grand nombre. Eh bien, lorsque vous communiquez habituellement, et je sais qu’une méthode collective avec une planche a à la fois ses avantages ET ses limites, lorsque vous communiquez avec ces autres personnes, quel est la forme ou le mode général ?
R : Canalisation individuelle.
Q : (L) Ces personnes canalisent-elles en transe, reçoivent-elles directement les informations dans leur tête lorsqu’elles marchent dans la rue, ou doivent-elles être dans un état méditatif, ou bien écrivent-elles tout cela et le partagent-elles ?
R : Tout ce qui précède.
Q : (L) Savent-elles qu’il s’agit des Cassiopéens, selon cette désignation ?
R : En général, non.
Q : (B) Est-ce à cause de leurs propres perceptions ?
R : En partie.
Q : (L) Eh bien, si elles ne savent pas que ce sont les Cassiopéens, et que cela fait partie de leur perception, est-ce que leur perception influence aussi, dans une certaine mesure, les transmissions de sorte que nous ne les reconnaîtrions pas ?
R : Pas loin.
Q : (L) Eh bien, Johan a eu cette expérience incroyable dans un train en Thaïlande, et il a RECONNU que ça venait de Cassiopée. C’est vous qui lui avez donné un petit coup de pouce ?
R : Oui.
Q : (L) Serait-il souhaitable que nous recherchions ces autres personnes ?
R : Si nécessaire, elles vous trouveront.
Q : (B) Une nuit, dans les années 50, je me suis endormi avec un enchaînement d’idées spécifiques dans ma tête, et je me suis réveillé le lendemain matin avec les mêmes idées, juste là où je m’étais arrêté. (L) Comme si la nuit entière n’était pas passée.
R : Voyage Astral.
Q : (B) Est-ce que c’est la même chose quand j’ai vu la lumière ?
R : Non.
Q : (L) Qu’est-ce que c’était ? (B) C’était une expérience classique de mort imminente.
R : Oui. Barry a connu quelques turbulences qu’il ne révèle pas entièrement et qui sont liées à une partie de cela.
Q : (L) Étais-tu une personne turbulente à l’époque ? (B) Probablement. (L) Hmmmm. (B) Qu’est-ce que je ne révèle pas ?
R : Nature teigneuse dans la période concernée.
Q : (L) As-tu été impliqué dans des bagarres ou autre chose ? (B) J’étais assez calme à l’époque. (L) Je ne sais pas à quoi il font précisément référence  : voir la lumière ou voyager dans l’astral ? Lequel des deux ?
R : Il s’agit d’une pléthore.
Q : (L) As-tu vécu plus que ces deux expériences ? (B) Oh, beaucoup de choses. Ça relèverait de la catégorie parapsychique en général. À l’époque, j’avais le sentiment que mon implication était expérimentale et devait avoir un but, alors j’ai en quelque sorte fait marche arrière.
R : Les énergies se développaient.
Q : (L) Quels types d’énergies ?
R : Nombreuses.
Q : (L) Eh bien, certaines des personnes figurant sur la petite liste de diffusion ont fait des rêves effrayants. Caroline s’est fait voler son sac à main, il y a eu des rêves d’agression, et ce genre de choses. Le truc avec le rêve de Caroline, c’est qu’elle a rêvé qu’on lui avait volé des provisions, et puis quelques jours plus tard, elle était dans une épicerie et on lui a volé son sac à main. Elle nous a écrit et nous a raconté ce rêve avant l’incident. Nous l’avons analysé, mais apparemment nous avons en quelque sorte raté le coche. Pouvez-vous commenter le rêve de Caroline de se faire voler ses courses, suivi du vol réel de son sac à main ? S’agit-il d’une forme d’attaque ou d’un événement aléatoire ? (A) Il y a une troisième possibilité : qu’elle ait fait ce rêve et qu’elle ait ensuite attiré l’événement…
R : Avertissement. Le rêve était un avertissement d’un événement à venir.
Q : (L) Est-ce que ce rêve ET l’événement qui a suivi sont une sorte d’avertissement sur le danger que représente le livre qu’elle écrit ?
R : Non.
Q : (L) Donc, l’événement n’était en aucun cas lié au fait de se dévoiler ou aux personnes qui l’entouraient ?
R : Attaque.
Q : (L) Donc, vous dites que le rêve a averti de l’événement, et que l’événement était une attaque. Serait-elle capable de réduire le niveau d’attaque en s’éloignant des personnes liées à cet organisme religieux ?
R : Elle doit apprendre ses leçons. Ce qui est plus important, les relations ou la quête. Quand les deux s’affrontent, beaucoup trop choisissent de ne pas le voir !!!!!
Q : (L) D’accord. Y a-t-il une autre série de questions que nous devrions suivre à ce stade ?
R : C’est à vous de décider.
Q : (J) Il y a quelques semaines, j’étais allongé sur le lit à côté de ma fille, et en même temps j’étais dans une sorte d’autre réalité. Dans cette autre réalité, j’arrachais de ma tête une sorte de fil de fer, et quand il a cassé, ma dent s’est engourdie. Je me suis demandé ce que c’était, parce que ce n’était pas dans cette réalité. Ma belle-sœur était là , dans l’autre réalité, et je lui ai dit de regarder ce fil et de s’en souvenir parce que c’était important. Qu’est-ce que c’était ?
R : Exercice parapsychique d’une nature fréquemment investie.
Q : (L) Quoi ? (J) Je ne comprends pas. (R) Qui était fréquemment impliqué dans cette affaire ?
R : L’expérimentateur.
Q : (L) Voulez-vous dire que Johan fait souvent ce genre de choses, mais qu’il ne le sait pas ?
R : Il en sait un peu.
Q : (L) Quelle était la nature du fil qu’il tirait de sa tête ?
R : Visualisation.
Q : (L) Visualisation de quoi ?
R : Le fil.
Q : (L) Que représente ce fil ?
R : Vous ĂŞtes sur la mauvaise voie.
Q : (L) Était-ce un vrai fil dans une autre réalité, ou était-ce un fil psychique ?
R : Les deux.
Q : (L) En le retirant, qu’a accompli Johan ?
R : Une reconnaissance d’aptitude.
Q : (J) Ouais ! C’est la première fois que j’ai été CONSCIENT de cela !
R : Routine d’auto-vérification.
Q : (L) Qu’est-ce qui l’a incité à en prendre soudainement conscience, ou du moins à être capable de conserver cette conscience ?
R : Ce n’est pas ce qui s’est passé. Il pratique souvent ce genre de choses, plus pour l’expérience, en soi.
Q : (L) Comment se fait-il que ce soit la première fois qu’il en ait eu conscience ? Vous dites qu’il le fait fréquemment, mais il n’est pas conscient qu’il le fait fréquemment.
R : Si, il l’est.
Q : (J) Eh bien, oui, je suis conscient de la double conscience, mais rien d’aussi conscient ! J’étais à la fois éveillé et endormi. C’était la première fois que je faisais l’expérience de quelque chose d’aussi profond.
R : Il y a une première fois à tout.
Q : (L) Eh bien, nous pensions assurément avoir quelque chose d’intéressant à discuter avec cette histoire de livre… mais vous n’étiez pas intéressés. (A) Eh bien, il Y A une question : non lucratif ou coopératif ?
R : Quelque chose comme une coopérative est plus proche de la cible.
Q : (L) OK, autre chose concernant l’un des sujets dont nous avons parlé ?
R : Non. Bonne nuit.
Fin de la séance
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Merci aux membres de l’équipe française pour cette traduction.
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SĂ©ance du 24 juin 2000
Ark, Laura, Frank, BT, Johan M
{Johan M était un homme d’affaires européen en visite qui était quelque peu séduit par les C’s et avait dans l’idée que nous devrions former un partenariat avec lui pour promouvoir notre travail. Nous étions incertains et avons donc décidé d’en discuter avec les C’s. Mon sentiment au cours de cette séance était que l’énergie marché boursier/jeux d’argent de Frank était assez omniprésente. Je pense qu’il cherchait à être embauché comme conseiller financier par Johan M. Aussi, tant que les questions portaient sur ces questions financières, je pense qu’il y avait une influence émotionnelle venant de Frank. Dès que je le pouvais, je changeais de sujet.}
Q : Bonsoir.
R : Bonsoir.
Q : Et qui avons-nous avec nous ce soir ?
R : Morrah.
Q : Et d’où transmettez-vous ?
R : Cassiopée.
Q : (J) Je ne sais pas dans quelle mesure il est utile de poser des questions sur un montage financier, mais j’avais une question plus générale : De quelle manière puis-je aider au mieux Laura et Ark dans leur quête ?
R : La « quête » est universelle. Nous devrions être plus clairs en ajoutant qu’elle ne se limite pas à Ark et Laura.
Q : (J) Est-ce important de mettre en place la structure maintenant  ?
R : Nous aimerions souligner que nous avons précédemment déconseillé toute restriction, cependant, votre arène recèle des choix.
Q : (L) Êtes-vous en train de dire que vous avez déconseillé tout ce qui restreignait, mais que dans le cadre de la mise en place d’une structure, il y a des choix que l’on peut faire sans conseil ?
R : Non.
Q : (A) Je crois que je sais. Auparavant, ils déconseillaient les restrictions, donc nous devions sortir au grand jour. Mais au grand jour, il y a des choix, et certains de ces choix font partie de la mise en œuvre d’un plan. La question est donc la suivante : quels sont ces choix ?
R : Essayons une autre approche ; la restriction exige l’anticipation. Le chemin que vous avez emprunté n’est pas celui d’une société. Cependant, si vous désirez apprendre des leçons liées à ce fait de manière plus directe, qui sommes-nous pour faire obstacle à vos choix !
Q : (L) Cela signifie-t-il que nous devons agir 100 % à l’instinct, à l’intuition ? (A) Ad hoc ?
R : Peut-être qu’un examen du chemin parcouru jusqu’ici nous donnera un indice. Est-ce que quelque chose d’intéressant s’est produit jusqu’à présent ?!?
Q : (L) Je suppose qu’on n’est pas censé anticiper les bonnes choses, mais on est censé anticiper les attaques ?
R : Les attaques ne sont pas anticipées, c’est de la conscience, ma chère !
Q : (L) Donc, c’est la conscience que cela peut arriver à tout moment, et non pas qu’on l’anticipe ?
R : C’est la conscience que cela existe.
Q : (L) Bon, en ce qui concerne la préparation d’un livre, sa publication et sa promotion, nous sommes toujours confrontés à la nécessité éventuelle de disposer d’une structure financière pour payer les factures et les dépenses de chacun pour ce qu’il doit faire. Est-ce que c’est…
R : Nous vous avons dit que tout serait fourni. Bien sûr, nous nous sommes trompés, non ?
Q : (L) Non, vous ne vous êtes pas trompés.
R : Te souviens-tu des «  jours anciens » ?
Q : (L) Oui.
R : Ils étaient financièrement comparables au présent perçu, n’est-ce pas ?
Q : (L) Faux. Je comprends. En d’autres termes, agir par foi !
R : Vous avez été amenés jusqu’au seuil d’une source de financement lucrative. Nous supposons que vous devez être « frileux ». Peut-être que franchir le seuil vous réchauffera un peu  !?!
Q : (L) Vous voulez dire le livre, du point de vue d’une source de financement lucrative ? Il suffit de le faire ?
R : On ne parle pas du livre, ma chère !
Q : (L) Vous ne parlez pas du livre ? (B) Peut-être qu’ils ne parlent que de choses en général, par opposition à …
R : Non.
Q : (L) De quoi parlez-vous ?!
R : Nous vous accordons 20 propositions !
Q : (J) « Vous avez été amenés… » Qui est ce « vous » ? Laura ? (L) À qui parlez-vous ?
R : Tous.
Q : (L) Oh. Ils parlent à nous tous. (A) Et pas d’un livre.
R : Le livre convient, mais il ne représente pas un potentiel financier immédiat.
Q : (L) Maintenant, vous êtes vraiment mystérieux. De quoi diable parlez-vous ? (B) Font-ils référence à la dernière séance où ils ont donné des tuyaux sur les secteurs de la bourse à observer et à étudier ?
R : Bravo, Barry ! Tu as gagné  !
Q : (B) Souvenez-vous, lors de la dernière séance, vous parliez d’actions, et vous vous inquiétiez de savoir si le marché allait même continuer à exister, et ils ont dit de se concentrer sur l’industrie technologique et biotechnologique. Ils ont dit de commencer à faire des recherches. (L) Nous laissez-vous entendre que le marché va exploser, et que si nous y entrons maintenant, nous pourrons en profiter ?
R : Si vous « entrez » à n’importe quel moment, vous serez plus riches, à condition d’être prudents, patients et persévérants.
Q : (L) Eh bien, vous venez de parler de « source financière immédiate ». Ça ne ressemble pas à une source financière immédiate pour moi !
R : Toute ascension commence par la première marche.
Q : (L) Quel est le rapport avec notre préoccupation immédiate, qui est de rendre les informations disponibles au monde entier ?
R : Tout se mettra en place.
Q : (L) Vous n’arrêtez pas de dire ça !
R : Pourquoi manques-tu de foi ? Ton expérience n’est-elle pas un guide ? Ou peut-être préférerais-tu revenir à ta vie d’avant ?
Q : (L) Quelque chose de plus à ce sujet ?
R : Oh, il y a beaucoup de choses, mais si tu es impatiente, nous comprenons.
Q : (L) Vous avez parlé de « technologie » et de « biotechnologie », est-ce encore la voie à suivre ou y a-t-il quelque chose à ajouter ?
R : Ce ne sont pas seulement la « technologie » et la « biotechnologie » qui comptent, mais aussi les différents acteurs qui y sont impliqués. Une recherche patiente, en association avec ceux qui ont le « feeling » pour ça et vous guider dans votre travail en réseau, fournit la clé.
Q : (B) Visez-vous l’ascension rapide d’une personne plutôt que d’une entreprise ?
R : L’un ou l’autre.
Q : (A) Il y a quelque chose que je ne comprends pas. Lorsque nous parlions de ces actions, l’idée était que la seule chose qu’on puisse faire, c’était d’acheter ces actions, d’investir, etc., alors on n’a pas de véritables finances, car si on commence à vendre, on paye des taxes et cela n’a aucun sens. Donc, cet expert venait de nous dire que nous nous contenterons d’investir à long terme, jusqu’à ce que ça devienne moins taxable, pour ainsi dire, lorsque nous aurons plus de 59 ans, n’est-ce pas ? Donc ce n’est pas clair !
R : Un portail d’attaque vous met sur une fausse piste !!
Q : (F) Quelqu’un vous a dit que si vous vendez, vous devez payer des taxes ? (L) Oh, oui ! (F) Pensez-vous que vous devez payer chaque centime de profit en impôts. (J) La seule solution serait de gagner BEAUCOUP d’argent, de sorte que ce qu’on paye en taxe reste très inférieur à ce qu’on a gagné, et qu’on fasse toujours un gros bénéfice ! (F) Oui, vous payez beaucoup de taxes, mais il vous reste encore beaucoup d’argent. (J) Oui, imaginez ce qui se serait passé si vous aviez acheté Microsoft au début ! Vous trouverez peut-être le prochain Microsoft ! (L) D’accord, donnez-nous un indice sur le prochain Microsoft. (B) Je pense qu’ils donnent la clé avec la personne concernée que vous êtes censés chercher.
R : Recherche patiente ; travail en réseau. Associer les énergies.
Q : (L) Donc, ils disent que nous sommes tous censés faire de la recherche, travailler en réseau et associer nos énergies. (B) Je me demande s’ils veulent dire « patient » au sens médical du terme plutôt qu’au sens de « patience » ?
R : Oh, c’est les deux.
Q : (B) Eh bien, nous avons un indice ici. Donc, ce n’est pas seulement la patience en termes de temps…
R : Nous ferons un dernier effort pour vous aider sur ce point : si vous cherchez un « diamant brut », comment procéder ?
Q : (B) En creusant dans la terre à proximité d’une mine de diamants connue ! (L) Oui. On creuse dans la terre !
R : Eh bien, enfoncez-vous votre pelle dans la terre frénétiquement ?
Q : (L) Non, on creuse avec précaution.
R : Et comment avez-vous su qu’il y avait une mine de diamants dans les environs ?
Q : (L) Peut-être y a-t-il un panneau indiquant « Mine de diamants » ou peut-être s’agit-il d’un endroit fermé et clôturé par rapport au reste de la zone ! (B) Ou vous faites des recherches ?
R : Bingo ! Barry va les terrasser ce soir !
Q : (L) Je veux juste que vous sachiez que nous nous sommes assis ici ce soir pour parler d’un livre ! Vous voulez dire que ce n’est pas important ?
R : Un livre, c’est bien, mais chaque chose à sa place.
Q : (L) Donc, nous devons gagner de l’argent pour pouvoir faire le livre. (B) Eh bien, la pire chose que l’on puisse faire quand on essaie de faire quelque chose, c’est de manquer de capital. (J) Oui. (B) Même si les idées ne visent pas le profit ici, on ne peut pas vraiment faire quoi que ce soit sans avoir du capital. Je pense que c’est le problème que les C’s essaient de résoudre ici. Maintenant, pourquoi pas une sorte de société qui combine « patient » et « recherche » d’une autre manière ; une sorte de société Internet qui rend les recherches disponibles sur Internet, comme j’en ai récemment entendu parler ? (L) Barry est-il sur une piste ici ? Est-ce le genre de « diamant brut » que nous sommes censés rechercher ?
R : Ça peut être bien, mais peut-être ne devrions-nous pas essayer de deviner la disposition du trésor avant d’avoir ouvert la porte.
Q : (L) Quel montant suggérez-vous comme capital d’investissement initial pour accomplir…
R : Nous ne pouvons pas vous mener plus loin, désolés !
Q : (J) Vous avez dit à Laura d’aller sur internet, et cela a marché pour trouver Ark. Quel serait le résultat équivalent dans mon cas ? (L) Bien joué !!! (En référence à l’intelligence de la question).
R : Tu dois plaisanter !
Q : (L) Non, il ne plaisante pas ! Il est sérieux ! Mais à l’époque, je ne suis pas allée sur Internet parce que je ne m’intéressais qu’à mes recherches. Cela faisait partie de ma mission. Donc, je suppose que c’est ce centre d’intérêt qui m’a ouvert les bonnes portes. Je n’avais aucune idée, aucune attente, aucune anticipation — RIEN. Peut-être même que si tu cherches, tu bloqueras ce dont tu as besoin dans ta vie ? Peut-être pour toujours.
R : Ouaip !
Q : (L) Eh bien, Johan pensait qu’Ivey était le bon !
R : Il anticipait. Nous devrions maintenant savoir que c’est un rien décevant.
Q : (L) Je pense que tu dois abandonner. Je l’ai fait. J’étais concentrée sur une chose et une seule : la recherche de la vérité. Et, il se trouve qu’Ark avait les mêmes intérêts, et c’est ce qui nous a fait nous croiser. (B) Oui. C’est comme un rendez-vous. Tu t’habilles et tu vas dans un bar, et tu restes assis là , seul, toute la nuit. Ensuite, tu changes un pneu, tu te salis et tu as chaud, et tu vas dans le bar chercher quelque chose pour te rafraîchir, et tu rencontres quelqu’un !
(L) Bon, je vais passer à mes questions dans le dossier ici. LS, du site Karinya, a un petit sondage sur l’histoire du Lézard sur son site web. Il demande aux gens s’ils pensent que l’histoire est vraie ou non, et s’ils ont des commentaires à faire. Une personne a écrit (et je colle ici le commentaire exactement tel qu’il a été posté) : « ça ressemble à la Vérité, tout comme la série de l’Onde. J’aimerais avoir des suggestions sur la protection, s’il vous plaît. Il y a tellement d’informations justes ici que j’en ai les yeux injectés de sang depuis 3 jours, à force de parcourir le site Mon site préféré : infos des transcriptions Cassiopéennes… Quelle aide formidable !! Merci d’avoir mis cette Connaissance en ligne ».
Tout cela est bien joli, mais une autre personne écrit alors : « L’histoire est un fait, mais certaines parties ne sont pas des faits pour notre réalité/temporalité. Dans notre ligne temporelle, les choses ne sont pas exactement les mêmes que l’histoire perçue par les Cassiopéens. Nous allons rencontrer une dixième planète (Nibiru) qui est aiguillée artificiellement, plutôt qu’un groupe de comètes incontrôlables. Les reptoïdes opèrent depuis le niveau de 4e densité/astral, mais les désignations de « densité » sont purement relatives, et la notion de 7 niveaux seulement est assez trompeuse. Tous les reptoïdes ou gris ne sont pas enfermés dans les plans SDS, et les choses ne sont pas aussi simples ou lugubres que l’histoire le suggère. J’espère que cela aidera les gens à mieux comprendre le drame ». Et, bien sûr, il est vivement conseillé de visiter le site web Nibiruan où l’on peut apprendre la VÉRITÉ sur les niveaux de densité, etc.
Maintenant, je voudrais savoir si quelque chose a changé, comme cela est suggéré ici. Avons-nous affaire à une « ancienne chronologie », comme on le suggère ici ?
R : Non.
Q : (L) Y a-t-il une dixième planète, Nibiru, dans la ligne temporelle actuelle, naturellement ?
R : Si vous souhaitez l’appeler ainsi, vous pouvez le faire.
Q : (L) Cette 10e planète, que certains pourraient vouloir appeler Nibiru, est-ce une planète dont la trajectoire est artificielle ?
R : Lorsque tu poses ces questions, Laura, sens-tu que tu as déjà une idée ?
Q : (L) Bien sûr. Je sais que les Reptoïdes et les Gris sont SDS, et qu’ils SONT de 4e densité, ce qui signifie implicitement qu’ils sont plus POLARISÉS en mode SDS, ce qui implique bien sûr un niveau de méchanceté plus profond, et que si quelques-uns existent en tant qu’êtres SDA, c’est si rare que ça ne vaut pas la peine d’être considéré. J’ai également fait suffisamment de recherches sur les niveaux de densité, en dehors des sources canalisées, que c’est à peu près une donnée historiquement parlant, et mathématiquement parlant…
R : Les gris et les reptoïdes sont SDS, tout comme VOUS. Nous supposons donc que cela signifie que quelqu’un, quelque part, considère les humains terriens de troisième densité comme les « méchants ».
Q : (L) Oh, oui. Les cafards, en particulier. En ce qui les concerne, je suis soit un dieu vengeur, soit le diable ! Un lecteur écrit : « Laura, je te félicite pour ta vision, ta force d’âme, ton courage… J’ai lu la plupart des textes avec beaucoup d’intérêt. Ça sonne juste, mais j’ai quelques questions : Je ne peux pas concilier l’idée que nous soyons piégés ou attirés (par la sensualité) dans un état physique avec l’idée que nous avons progressé en passant par les états végétatif et animal ». C’est une bonne question. Il semble que l’énergie de la création ait progressé en passant par les états végétatif et animal, que les animaux peuvent passer en troisième densité et devenir humains, tout comme les humains peuvent passer en quatrième densité. Comment concilier cela avec l’idée que les âmes humaines ont été piégées dans des corps de troisième densité à partir de la quatrième densité, par les Lézards ? S’agit-il de deux fonctions différentes ? De deux groupes différents ?
R : Les humains n’ont pas été piégés par les « Lézards ».
Q : (B) Nous nous sommes portés volontaires ! (L) Ils ont pourtant dit que les Lézards attendaient la bonne matrice d’âme pour « entrer en scène », donc nous étions la bonne matrice d’âme et nous sommes entrés dans ces corps artificiels que les Lézards ont créés. C’est ce que vous avez dit. Alors, comment pouvons-nous concilier notre entrée dans ces corps de troisième densité avec l’évolution de l’âme à travers les états végétatif et animal ?
R : Si vous regardez de plus près les transmissions, il n’a pas été dit que les niveaux de conscience actuellement représentés par les humains et beaucoup d’autres « sont entrés » dans autre chose en particulier que la PHYSICALITÉ.
Q : (F) Peut-être que les unités de conscience individuelles ont revêtu différentes formes physiques. Certaines peuvent être « entrées » directement sous forme d’êtres humains, et d’autres peuvent avoir agi autrement. (B) On ne peut pas se raccrocher à un quelconque système d’évolution. C’est continu et simultané. (F) C’est simplement que NOUS avons choisi d’expérimenter la physicalité sous de nombreuses formes, peut-être simultanées plutôt qu’en suivant une progression linéaire, mais étant donné notre perception du temps, ça donne l’impression d’une progression. Nous pourrions être toutes sortes de choses dans d’autres réalités. (L) Cela renvoie donc à l’idée de « dispersion simultanée ? » : la moitié du Tout a choisi de « s’endormir » sous forme de matière, et d’autres « unités » ou groupes ont choisi d’interagir avec la matière en l’« informant » de toutes les variétés de vie, plus ou moins simultanément ? Nous pouvons donc avoir des âmes qui sont de lentes accrétions de matière au cours du cycle à onde longue, traversant les densités pendant des éons, et des âmes qui pensaient accélérer un peu les choses grâce à une méthode différente consistant à entrer directement dans les corps et à les modifier. Eh bien, cela semble être une sorte de violation « immédiate » du libre arbitre des énergies de ces corps et de leurs consciences émergentes au cours du cycle à onde longue. C’est là que c’est SDS, même si cela n’a pas été réalisé comme tel à l’époque. Et un tel acte pourrait avoir d’énormes implications du point de vue de ce que vous avez appelé un « déséquilibre fondé sur le désir », ce qui nous ramène à l’histoire du Fils prodigue. Nous avons donc une idée très complexe des âmes et de leur évolution sur plus d’un mode.
R : Oui.
Q : (L) Et en fin de compte, il s’agit d’une division et d’une dispersion collective et atemporelle qui a été, est, et sera ?
R : Oui.
Q : (L) Certaines questions ont été posées sur les types d’humanoïdes qui pourraient provenir de la Lyre. Je réalise que la Lyre est une constellation, et non une planète, mais cette personne déclare : « apparemment, toute la race humaine vient de la Lyre ».
R : Non.
Q : (L) Eh bien, beaucoup d’informations qui circulent vont dans ce sens. Billy Meier fait même cette affirmation. Cette personne dit : « La race humaine n’existait pas à l’origine dans la Lyre ; elle venait d’une autre galaxie, mais a commencé à évoluer dans notre galaxie dans le système de la Lyre. »
R : Plus proche.
Q : (L) Selon les Andromèdiens, « il y a plus de 135 milliards d’êtres humains dans les 8 galaxies les plus proches de la nôtre. Maintenant, il y a aussi d’autres races. Certaines de ces races ont eu beaucoup de conflits avec la race humaine et ces conflits continuent, mais il y a des choses qui se passent qui, espérons-le, atténueront ce problème… »
R : Votre forme physique actuelle a été finement calibrée pour votre emplacement actuel grâce à une ingénierie biogénétique avancée. Il s’agit d’un processus continu.
Q : (L) Il est dit ici que « de nombreux membres des races extraterrestres vivent en moyenne de mille à mille cinq cents ans », alors que vous nous avez déjà dit que de tels âges existent en 4e densité. Mais ici, il est dit : « Les Andromèdiens vivent en moyenne jusqu’à 2007 ans. Ils ne voient pas le temps de la même façon que nous. Ils disent que notre univers, qui consiste en tout ce que nous connaissons ou non, est un hologramme vieux de 21 billions d’années. Ils disent que toute la matière qui se trouve dans notre univers a émergé des trous noirs. Sous chaque galaxie, dit-on, il y a un trou noir d’où tout vient ». Maintenant, est-ce que tout ce qui se trouve dans notre galaxie émerge d’un trou noir ? Est-ce que le centre…
R : Whoa ! Attendez une minute ! Le terme « année » est un concept de 3e densité de type terrien.
Q : (L) Donc, en d’autres termes, tout cela est ridicule ?
R : Non, tout cela n’est pas ridicule. Certaines choses peuvent l’être, mais pas toutes.
Q : (L) Eh bien, voici une chose intéressante : selon les Andromédiens, le 23 mars 1994, une fréquence spécifique de son et de couleur a commencé à émaner de tous les trous noirs de l’univers connu. Cette énergie et cette fréquence créent une empreinte holographique à travers tous les niveaux dimensionnels, dont ils disent qu’ils comportent onze densités de création. Cette nouvelle empreinte holographique est devenue une 12e densité. Ils disent que cette nouvelle empreinte holographique a une fréquence. Cette fréquence fait remonter tous les niveaux dimensionnels en dessous d’elle. Ils disent qu’en décembre 2013, la troisième densité telle que nous la connaissons cessera d’exister. Elle implose sur elle-même tandis que tout est en train de remonter. Ceux du 11e niveau passeront au 12e. Nous sommes censés passer à la 4e puis à la 5e densité. Dans la perspective Andromédienne, la 4e densité est une conscience. C’est là qu’une race entière est collectivement télépathe. Ils sont conscients les uns des autres, ils se ressentent, ils ont un seul esprit, des individus séparés, mais ne faisant qu’un. La cinquième densité est celle où les êtres, considérés depuis la troisième densité, sont lumière. Ils disent que c’est ce qui va nous arriver au plus tard en décembre 2013, sur la base de leur science. Alex Collier commente : « Est-ce que je sais si c’est vrai ? Je le saurai quand vous le saurez, mais ils ne se sont pas encore trompés »…
R : Pas de commentaire.
Q : (L) Vous n’allez pas nous dire si ce truc de son et de couleur émanant des trous noirs est vraiment en train de se produire ?
R : C’est à vous de décider.
Q : (L) Eh bien, selon ces Andromédiens, et aussi selon Carla McCarty, le canal de Râ, la planète qui est devenue la ceinture d’astéroïdes s’appelait Maldek, et non Kantek.
R : Mais qui lui a donné son nom ?
Q : (L) De toute Ă©vidence, PAS les habitants. Vous me donnez du fil Ă retordre ce soir.
R : Non, vous nous donnez du fil Ă retordre.
Q : (L) Maintenant, [montre un morceau de métal en forme d’étoile] Johan a ce petit gadget et il l’a passé au-dessus de mes pieds, ce qui a semblé faire disparaître la douleur de mes chevilles. Pouvez-vous me dire pourquoi cela aurait un tel effet ?
R : C’est un petit gadget intéressant !
Q : (L) Pourquoi semble-t-il faire disparaître la douleur ? Je l’ai testé. Nous avons fait un pied un jour et l’autre pied le deuxième jour. Est-ce que n’importe quel morceau de métal ferait la même chose ?
R : Si correctement conditionné.
Q : (L) La personne ou le gadget ?
R : Les deux.
Q : (L) Cela semble fonctionner. (R) La forme est-elle importante pour que cela fonctionne, ou existe-t-il d’autres formes qui fonctionneraient de la même manière ?
R : La forme aide.
Q : (L) Qu’en est-il des symboles qui y sont gravés ? Sont-ils utiles ?
R : Peut-ĂŞtre.
Q : (L) Qu’en est-il du métal dont il est fait ?
R : Peut-ĂŞtre.
Q : (L) Donc, la forme est la chose la plus importante. (B) Qu’en est-il de l’intention de la personne qui l’utilise ?
R : Oui.
Q : (L) Que me suggéreriez-vous comme sujet approprié pour me mettre sur la bonne voie ?
R : Suis simplement le courant, ma chère !
Q : (L) Je voudrais savoir si le temple de Salomon c’est pareil que Stonehenge, ou si le temple de Salomon c’est pareil que la pyramide ? Il est évident qu’il n’y a jamais eu de temple de Salomon en Israël, pas avant la captivité à Babylone, lorsque les Juifs ont été nourris de toute une ligne de propagande à propos de l’intégralité de leur histoire afin de générer un sentiment nationaliste pour les faire rentrer chez eux et CONSTRUIRE bel et bien un temple ! Ou alors, est-ce tout à fait autre chose ?
R : Il s’agit probablement d’au moins une des situations ci-dessus.
Q : (L) C’est génial ! C’est soit Stonehenge, la Grande Pyramide, ou quelque chose de tout à fait différent ! Tout devient une option !
R : Et c’est là tout le problème, n’est-ce pas ? Tout devient une option !
Q : (B) Au milieu des années 70, je travaillais avec une filiale du bureau agricole californien de Berkeley et mon affiliation à ce qui semblait être une organisation secrète a apparemment été envisagée par le directeur financier de cette société. Qu’est-ce que c’était ou qui était-ce ? Et mon refus de cette invitation a-t-il eu un rapport avec l’interruption de mon voyage intérieur ?
R : C’est probablement une bonne chose que tu ais refusé, à moins que tu n’aimes être un pantin au bout d’un fil. L’organisation était liée à un consortium financier du nom de « Zebulon ».
Q : (L) Eh bien, c’est un nom tiré de la Bible. (J) J’aimerais savoir ce qui s’est passé quand j’étais à Milwaukee. J’étais dans ma chambre d’hôtel, allongé dans mon lit, à poser des questions, et il s’est passé quelque chose. Qui était-ce, qui parlait. J’avais un magnétophone. J’ai demandé aux Cs de venir et j’aimerais savoir qui c’était ?
R : Capitaine de 4e densité.
Q : (L) Qu’est-ce qu’un capitaine ?
R : Celui qui cherche à communiquer de manière transdensitaire.
Q : (L) Alors, que se passe-t-il ici ? Je ne comprends pas. Vous voulez dire que Johan est le « capitaine » ?
R : Non.
Q : (L) Cet être qui lui parlait est un « capitaine » ?
R : Oui.
Q : (L) Cet être était-il SDS ou SDA ?
R : SDS.
Q : (L) Pouvez-vous m’expliquer pourquoi, lorsque les êtres SDS communiquent, ils sont capables de produire des sensations aussi bienveillantes qui font chaud au cœur ? N’y a-t-il pas en nous une sorte d’instinct qui puisse nous aider à faire le tri ?
R : Un peu comme le « Petit Chaperon rouge ».
Q : (L) Vous voulez dire que nous sommes comme le Petit Chaperon rouge ? Et ils s’habillent comme la grand-mère. (B) Et nous voyons la grand-mère parce que c’est ce que nous VOULONS voir. (J) Oui. Et si vous voulez voir les Cassiopéens, ils peuvent s’habiller comme eux ! (L) Comment le Petit Chaperon rouge a-t-il compris ? Elle n’a pas compris avant que le loup saute et l’attaque. Ouais ! Et il avait déjà mangé la grand-mère ! Jusqu’au moment où le loup a sauté du lit pour la dévorer, le Petit Chaperon Rouge était dans le flou, même si elle VOYAIT quelque chose qui la rendait perplexe ! Vous savez : les grands yeux et tout ça…
R : Elle a vérifié avec les Cassiopéens à la planche.
Q : (L) Vous avez dit à un moment donné que vous communiquiez avec d’autres personnes sur la planète. Oui, nous étions les seuls à utiliser une planche qui produit une certaine clarté d’information — une certaine objectivité — qu’on ne peut obtenir autrement…
R : Oui.
Q : (L) Avec combien d’autres personnes sur la planète communiquez-vous ?
R : Variable, mais jusqu’à 50.
Q : (L) Ce n’est pas un grand nombre. Eh bien, lorsque vous communiquez habituellement, et je sais qu’une méthode collective avec une planche a à la fois ses avantages ET ses limites, lorsque vous communiquez avec ces autres personnes, quel est la forme ou le mode général ?
R : Canalisation individuelle.
Q : (L) Ces personnes canalisent-elles en transe, reçoivent-elles directement les informations dans leur tête lorsqu’elles marchent dans la rue, ou doivent-elles être dans un état méditatif, ou bien écrivent-elles tout cela et le partagent-elles ?
R : Tout ce qui précède.
Q : (L) Savent-elles qu’il s’agit des Cassiopéens, selon cette désignation ?
R : En général, non.
Q : (B) Est-ce à cause de leurs propres perceptions ?
R : En partie.
Q : (L) Eh bien, si elles ne savent pas que ce sont les Cassiopéens, et que cela fait partie de leur perception, est-ce que leur perception influence aussi, dans une certaine mesure, les transmissions de sorte que nous ne les reconnaîtrions pas ?
R : Pas loin.
Q : (L) Eh bien, Johan a eu cette expérience incroyable dans un train en Thaïlande, et il a RECONNU que ça venait de Cassiopée. C’est vous qui lui avez donné un petit coup de pouce ?
R : Oui.
Q : (L) Serait-il souhaitable que nous recherchions ces autres personnes ?
R : Si nécessaire, elles vous trouveront.
Q : (B) Une nuit, dans les années 50, je me suis endormi avec un enchaînement d’idées spécifiques dans ma tête, et je me suis réveillé le lendemain matin avec les mêmes idées, juste là où je m’étais arrêté. (L) Comme si la nuit entière n’était pas passée.
R : Voyage Astral.
Q : (B) Est-ce que c’est la même chose quand j’ai vu la lumière ?
R : Non.
Q : (L) Qu’est-ce que c’était ? (B) C’était une expérience classique de mort imminente.
R : Oui. Barry a connu quelques turbulences qu’il ne révèle pas entièrement et qui sont liées à une partie de cela.
Q : (L) Étais-tu une personne turbulente à l’époque ? (B) Probablement. (L) Hmmmm. (B) Qu’est-ce que je ne révèle pas ?
R : Nature teigneuse dans la période concernée.
Q : (L) As-tu été impliqué dans des bagarres ou autre chose ? (B) J’étais assez calme à l’époque. (L) Je ne sais pas à quoi il font précisément référence  : voir la lumière ou voyager dans l’astral ? Lequel des deux ?
R : Il s’agit d’une pléthore.
Q : (L) As-tu vécu plus que ces deux expériences ? (B) Oh, beaucoup de choses. Ça relèverait de la catégorie parapsychique en général. À l’époque, j’avais le sentiment que mon implication était expérimentale et devait avoir un but, alors j’ai en quelque sorte fait marche arrière.
R : Les énergies se développaient.
Q : (L) Quels types d’énergies ?
R : Nombreuses.
Q : (L) Eh bien, certaines des personnes figurant sur la petite liste de diffusion ont fait des rêves effrayants. Caroline s’est fait voler son sac à main, il y a eu des rêves d’agression, et ce genre de choses. Le truc avec le rêve de Caroline, c’est qu’elle a rêvé qu’on lui avait volé des provisions, et puis quelques jours plus tard, elle était dans une épicerie et on lui a volé son sac à main. Elle nous a écrit et nous a raconté ce rêve avant l’incident. Nous l’avons analysé, mais apparemment nous avons en quelque sorte raté le coche. Pouvez-vous commenter le rêve de Caroline de se faire voler ses courses, suivi du vol réel de son sac à main ? S’agit-il d’une forme d’attaque ou d’un événement aléatoire ? (A) Il y a une troisième possibilité : qu’elle ait fait ce rêve et qu’elle ait ensuite attiré l’événement…
R : Avertissement. Le rêve était un avertissement d’un événement à venir.
Q : (L) Est-ce que ce rêve ET l’événement qui a suivi sont une sorte d’avertissement sur le danger que représente le livre qu’elle écrit ?
R : Non.
Q : (L) Donc, l’événement n’était en aucun cas lié au fait de se dévoiler ou aux personnes qui l’entouraient ?
R : Attaque.
Q : (L) Donc, vous dites que le rêve a averti de l’événement, et que l’événement était une attaque. Serait-elle capable de réduire le niveau d’attaque en s’éloignant des personnes liées à cet organisme religieux ?
R : Elle doit apprendre ses leçons. Ce qui est plus important, les relations ou la quête. Quand les deux s’affrontent, beaucoup trop choisissent de ne pas le voir !!!!!
Q : (L) D’accord. Y a-t-il une autre série de questions que nous devrions suivre à ce stade ?
R : C’est à vous de décider.
Q : (J) Il y a quelques semaines, j’étais allongé sur le lit à côté de ma fille, et en même temps j’étais dans une sorte d’autre réalité. Dans cette autre réalité, j’arrachais de ma tête une sorte de fil de fer, et quand il a cassé, ma dent s’est engourdie. Je me suis demandé ce que c’était, parce que ce n’était pas dans cette réalité. Ma belle-sœur était là , dans l’autre réalité, et je lui ai dit de regarder ce fil et de s’en souvenir parce que c’était important. Qu’est-ce que c’était ?
R : Exercice parapsychique d’une nature fréquemment investie.
Q : (L) Quoi ? (J) Je ne comprends pas. (R) Qui était fréquemment impliqué dans cette affaire ?
R : L’expérimentateur.
Q : (L) Voulez-vous dire que Johan fait souvent ce genre de choses, mais qu’il ne le sait pas ?
R : Il en sait un peu.
Q : (L) Quelle était la nature du fil qu’il tirait de sa tête ?
R : Visualisation.
Q : (L) Visualisation de quoi ?
R : Le fil.
Q : (L) Que représente ce fil ?
R : Vous ĂŞtes sur la mauvaise voie.
Q : (L) Était-ce un vrai fil dans une autre réalité, ou était-ce un fil psychique ?
R : Les deux.
Q : (L) En le retirant, qu’a accompli Johan ?
R : Une reconnaissance d’aptitude.
Q : (J) Ouais ! C’est la première fois que j’ai été CONSCIENT de cela !
R : Routine d’auto-vérification.
Q : (L) Qu’est-ce qui l’a incité à en prendre soudainement conscience, ou du moins à être capable de conserver cette conscience ?
R : Ce n’est pas ce qui s’est passé. Il pratique souvent ce genre de choses, plus pour l’expérience, en soi.
Q : (L) Comment se fait-il que ce soit la première fois qu’il en ait eu conscience ? Vous dites qu’il le fait fréquemment, mais il n’est pas conscient qu’il le fait fréquemment.
R : Si, il l’est.
Q : (J) Eh bien, oui, je suis conscient de la double conscience, mais rien d’aussi conscient ! J’étais à la fois éveillé et endormi. C’était la première fois que je faisais l’expérience de quelque chose d’aussi profond.
R : Il y a une première fois à tout.
Q : (L) Eh bien, nous pensions assurément avoir quelque chose d’intéressant à discuter avec cette histoire de livre… mais vous n’étiez pas intéressés. (A) Eh bien, il Y A une question : non lucratif ou coopératif ?
R : Quelque chose comme une coopérative est plus proche de la cible.
Q : (L) OK, autre chose concernant l’un des sujets dont nous avons parlé ?
R : Non. Bonne nuit.
Fin de la séance