Thanks to the members of the French translation group who have just translated that session.
Please post your comments in the original session: Session 3 May 1997
Merci aux membres de l’équipe française pour cette traduction.
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Date de la séance : 3 mai 1997
Participants : Laura, « Frank », Alice, Tom K
Q : (L) Bonsoir.
R : Bonsoir.
Q : (L) Et quel nom devons-nous utiliser ce soir ?
R : Jimmorra.
Q : (L) Et d’où transmettez-vous ?
R : Cassiopée.
Q : (L) J’ai pas mal de questions ce soir. La première est : une personne peut-elle être utilisée comme dispositif de surveillance visuel et auditif, afin d’espionner les activités d’autres personnes ?
R : Possible, mais rarement nécessaire.
Q : (L) Vous avez dit un jour que la fonction de PZ était celle d’un dispositif de surveillance ; que, partout où elle allait, elle enregistrait les fréquences auriques pour le compte de ceux qui lui avaient mis un implant. Était-ce une situation inhabituelle ?
R : Très probablement.
Q : (L) La semaine dernière, nous n’avons pas tenu de séance, mais nous avons passé en revue les notes que j’ai commencées à prendre à Gainesville. Frank a eu un gros coup de fatigue et il est rentré chez lui. Moi, je n’étais pas fatiguée. Je voudrais vous interroger là -dessus. D’habitude, Frank n’est pas fatigué et c’est moi qui suis épuisée. Je voudrais donc vous poser une question à ce sujet. Une sorte d’échange énergétique a-t-il lieu lors des séances de channeling ?
R : Pas de cette façon.
Q : (L) Eh bien, Terry et Jan ont donné leur opinion à ce propos, et je voudrais savoir s’il existe une relation entre ce retournement de situation et le fait que nous n’avons pas tenu de séance ?
R : Les commentaires de Terry et Jan à ce sujet devraient être considérés avec précaution, car leurs intentions sont possiblement nébuleuses.
Q : (L) Lorsque vous dites nébuleuses… ma perception était qu’ils voulaient développer un canal distinct, comme avant.
R : Ils voulaient poursuivre leur propre idée consistant à jeter le doute sur Frank.
Q : (L) Eh bien, non seulement cela, mais lorsque j’ai partagé les informations que j’avais rassemblées à la suite des indices fournis dans les transcriptions, j’ai eu l’impression que cela ne les intéressait pas. Pourtant, je pensais que le fait que des indices contenus dans les transmissions avaient mené à de telles découvertes était extrêmement important…
R : Pour certains, n’est intéressant que ce qui les met en avant.
Q : (L) D’accord. Je vois l’idée. À présent, permettez-moi de vous interroger à propos des bizarreries que je suis en train de découvrir. Je suis sûre que je n’en suis même pas à la moitié. Mais, dites-moi : ai-je raison de penser que suivre les pistes génétiques fait partie de la solution…
R : Relie les points, et quand tu auras fini, tu auras un « Gauguin ».
Q : (L) Hmmm… (A) Autrement dit, un chef-d’œuvre… (L) OK, nous savons que la lignée est importante de par l’héritage nordique ou celtique. En parcourant les transcriptions, je suis tombée de nombreuses fois sur la mention mystérieuse d’une « secte ». Je pense que cette secte, comme vous l’appelez, est cette organisation que l’on désigne sous le nom de « Quorum ».
R : De quoi le mot « secte » est-il la racine ?
Q : (L) Secteur, section… (T) sectaire… (A) Une ramification… (L) Autre chose que vous souhaitez ajouter ?
R : Demande.
Q : (L) Est-ce qu’ils ne font qu’un avec cet autre groupe que vous avez mentionné, la Nation du Troisième Œil  ?
R : Le Troisième Œil étend la vision dans l’invisible.
Q : (L) Voir l’invisible. Vous avez mentionné une fois que les « Rosicruciens se comportent comme un voleur dans la nuit ». Vous avez aussi dit que je devais creuser le sujet des Rosicruciens, je suis allée à la bibliothèque universitaire et il n’y avait quasiment rien…
R : Relie les rosicruciens à ton île favorite par le « hêtre ». Dans le sens arboricole, s’il te plaît, et de la même famille.
Q : (L) Oak Island, l’île aux Chênes ?
R : Ouaip ! Ensuite, relie les Pyrénées aux Canaries.
Q : (L) D’accord, un « voleur dans la nuit ». La destruction des Templiers…
R : Étudie l’histoire des Îles Canaries pour trouver des indices.
Q : (L) Y a-t-il un rapport avec les communications de ces gars de l’Université de Tenerife en février et mars derniers ? Pourrait-il y avoir plus d’une relation ?
R : Peut-être, mais connais-tu l’histoire de cet endroit ?
Q : (L) Eh bien, non. Cette piste m’a échappée. Je vais la suivre. Vous avez également dit auparavant que lorsqu’un certain groupe de 7 personnes se rassemblerait dans une réalité perpendiculaire, l’apprentissage serait exponentiel. Je suis sûre que nous n’en sommes pas encore là , mais je me demande si les informations que j’ai découvertes sur les lignées et l’activation potentielle de l’ADN a un quelconque rapport avec cette idée ?
R : Construis ton escalier une marche Ă la fois.
Q : (L) J’ai relu la séance du 23 mai de l’année dernière, à laquelle Tom avait participé. Nous avions abordé la question de sa présence à O’Brien et vous aviez demandé qui l’avait supplié de ne pas partir. À un moment, vous avez mentionné un vecteur électromagnétique. Ce que j’en ai déduit, c’est qu’une personne peut être un vecteur électromagnétique. Est-ce possible ?
R : Vecteur signifie axe de direction.
Q : (L) Cela voudrait dire qu’un être humain peut, par sa seule présence, être un vecteur d’ondes électromagnétiques ? J’ai aussi remarqué que plusieurs d’entre nous ont eu affaire à des personnes, ou ont eu des relations, qui semblaient destinées à désorienter, désamorcer, déformer notre apprentissage et à nous vider de notre énergie. Bref, à nous maintenir dans un état de tension tel qu’il nous soit impossible de réaliser notre potentiel. Cette observation est-elle fondée ?
R : Élémentaire, ma chère Knight !
Q : (L) Une chose que j’ai apprise est que ce genre d’individus semblent s’attacher au moyen d’une sorte de crochet psychique qui entre en nous par nos réactions d’apitoiement. Pouvez-vous nous parler de ce qu’est la pitié ?
R : Ayez pitié de ceux qui prennent en pitié.
Q : (L) Mais ceux qui nous apitoient, ceux qui suscitent la pitié, n’ont en fait pitié que d’eux-mêmes.
R : Oui, et… ?
Q : (L) Et, comme dit mon fils, quand on prend en pitié, quand on envoie de l’amour et de la lumière à ceux qui se trouvent dans les ténèbres, ou à ceux qui se plaignent et désirent être « sauvés » sans avoir à faire aucun effort, quand on répond par la gentillesse aux abus et à la manipulation, on ne fait, au fond, qu’accélérer leur désintégration ultime, ou leur contraction en eux-mêmes ? On accentue leur descente dans le SDS ?
R : Tu connais la réponse !
Q : (L) Oui. Je l’ai très souvent constaté. Ces personnes ont-elles été sélectionnées dans nos vies pour la nature extrêmement subtile de leur faculté à susciter la pitié, ou bien avons-nous été programmés pour répondre à la pitié, de sorte à être aveugles à ce qui est évident pour d’autres ?
R : Ni l’un ni l’autre. Vous avez été choisis pour interagir avec ceux qui déclenchent une réponse hypnotique menant, en fin de compte, à un soutirage d’énergie.
Q : (T) Eh Bien, c’est un fait, parce qu’il est clair que je me sens vidé. (L) Quel est le but de ce soutirage d’énergie ?
R : À votre avis ?
Q : (T) C’est pour qu’on ne puisse ni se concentrer, ni faire quoi que ce soit. Pour qu’on ne puisse rien mener à bien.
R : Ou du moins pas les choses importantes.
Q : (T) Est-ce pour cela que mon niveau de concentration est aussi bas ?
R : Oui.
Q : (T) L__ est-elle une personne de type robot ?
R : Tu es face à une situation perdue d’avance !!
Q : (L) La situation est perdue d’avance…
R : Tu le sais bien.
Q : (T) Ainsi, si je n’en sors pas, je continuerai à sombrer. Est-ce dû à la région ou à la personne ?
R : Les deux. L’une est enveloppée dans l’autre.
Q : (L) Pourquoi est-ce principalement notre peur de blesser les autres qui nous empêche de réagir à de telles situations ? C’est la raison principale pour laquelle je suis restée aussi longtemps avec mon mari. Et c’est seulement quand j’ai réalisé que les enfants souffriraient davantage si je restais avec lui que j’ai eu le courage de partir. Pourquoi avons-nous aussi peur de blesser les gens qui nous font du mal ?
R : Concept inexact. Il ne vous faut pas « agir contre eux », vous devez agir dans l’intérêt de votre destinée.
Q : (L) Mais quand on fait cela, ces gens vous rendent la vie tellement impossible qu’il ne semble pas y avoir d’autre choix que de se séparer.
R : Oui, mais cela n’est pas « agir contre ». Bien au contraire. Rappelez-vous qu’il faut être deux pour danser le tango, et que si vous dansez ensemble lorsqu’un incendie éclate dans la salle de bal, c’est vous deux qui êtes brûlés vifs !!!
Q : (L) Pourquoi, quand on essaie de se dégager d’un tel « tango », ces gens-là refusent-ils aussi violemment de nous laisser partir, alors qu’il devient évident, tellement évident, qu’ils n’éprouvent plus rien pour nous en tant qu’êtres humains ?
R : Ce n’est pas « eux ». Ce ne sont que des canaux d’attaque.
Q : (L) Qu’est-ce qui les rend susceptibles de devenir des canaux d’attaque ?
R : Tous les SDS y sont candidats. Et vous n’êtes que six milliards sur Terre…
Q : (L) D’accord. Tout le monde peut être un canal d’attaque. Et s’il venait travailler ici avec nous tous les samedis, est-ce que ça l’aiderait à récupérer sa concentration ?
R : Pour ça, il faudrait opérer les changements nécessaires.
Q : (L) Est-il vrai qu’en présence de telles personnes, on est sous l’influence d’une énergie, de quelque chose qui émane d’elles physiquement, qui rend l’esprit confus et empêche de réfléchir à un moyen de se tirer d’affaire ?
R : La confusion mentale vient du soutirage d’énergie.
Q : (L) Où cette énergie va-t-elle ?
R : SDS de 4e densité.
Q : (L) Ils pompent notre énergie, et les SDS de 4e densité l’extraient d’eux ?
R : « Ils » ne font rien !!!! Ce sont les SDS de 4e densité qui font tout par leur intermédiaire !
Q : (T) Eh bien, je voudrais bien savoir ce qui nous attire vers de telles personnes.
R : C’était l’idée des SDS de 4e densité.
Q : (L) Cela veut dire qu’ils peuvent contrôler nos pensées et nos émotions, et nous mettre des idées dans la tête, comme de penser que ce serait une bonne idée de « sauver » quelqu’un. Nous sommes ignorants. Nos religions et nos cultures nous apprennent à donner jusqu’à en avoir mal, et en fait, à donner parce que cela fait mal. La situation est tout à fait voulue, et pilotée depuis un autre niveau. Quelque chose à ajouter ?
R : Une fois que vous avez bien appris le programme, il suffit de le connecter.
Q : (L) J’imagine qu’une fois qu’on a bien appris ce qu’ils nous disent ici, il suffit de tout connecter…
R : Non. Ce que nous voulons dire, c’est que tout ce que vous avez à faire, c’est d’apprendre à reconnaître les comportements caractéristiques, les signes subtils, et vous aurez alors toujours la capacité de les éviter. Les vôtres autant que ceux des autres.
Q : (L) Donc, une fois qu’on a appris le programme en interagissant avec une telle personne, on devient capable d’éviter de tomber sur une autre personne du même genre. (T) Mais j’aurais dû l’avoir appris de H__. J’ai fait la même chose deux fois. (L) Oui mais quand tu es blessé par la vie, c’est difficile d’y voir clair.
R : Les signes Ă©taient lĂ , mais tu ne les as pas reconnus.
Q : (L à Tom) Tu les as ignorés.
R : Non, il ne connaissait pas encore le programme. N’anticipez pas !
Q : (L) J’imagine que ça veut dire que lorsqu’on pense pouvoir changer une autre personne, ou si on croit que changer la manière dont on agit naturellement pourra l’aider, on anticipe.
R : Ou lorsqu’on pense que le résultat aurait été différent.
Q : (L) Bon, tu savais qu’il y avait beaucoup de choses qui n’allaient pas au départ, mais tu pensais que ce serait différent. La mère d’Ark est malade. Se remettra-t-elle bientôt ?
R : Tu verras bien.
Q : (L) Il porte un lourd fardeau en ce moment et je m’inquiète pour lui.
R : Cela te surprend-il ? Malheureusement, Ark ne connaît pas encore tout à fait ce programme.
Q : (L) Êtes-vous en train de suggérer que la maladie de sa mère a été causée par les SDS de 4e densité ?
R : Leçon n° 1 : attendez-vous toujours à des attaques. Leçon n° 2 : apprenez à en reconnaître les signes. Leçon n° 3 : apprenez à les parer.
Q : (L) Lorsqu’une personne – sa propre mère – est âgée et malade… la seule chose à faire est de gérer le problème. Mais je suppose que tout ce qui tend à interférer avec ce que nous avons à faire ici pourrait être considéré comme une attaque. Que ce soit votre mère qui tombe malade, ou votre enfant qui se casse le bras en tombant de bicyclette. Tout cela résulte d’une baisse de vigilance de la part de celui qui est le canal de l’attaque.
R : Quand vous faites l’objet d’une attaque, attendez-vous à l’inattendu, si cela peut causer des problèmes…
Q : Donc, si quelque chose peut causer des problèmes, il faut s’attendre à ce que ça arrive.
R : Mais si vous vous y attendez, vous apprenez à « parer », et donc à neutraliser l’attaque. Cela s’appelle la vigilance, laquelle se fonde sur la connaissance. Et que fait la connaissance ?
Q : (L) Elle protège ! Puis-je l’aider en quoi que ce soit ?
R : Comment ça ?
Q : (L) Eh bien, je ne sais pas. Je pense qu’on doit en arriver à réaliser pleinement que pratiquement tout ce qui se produit sur la planète, sans exception, est le symbole d’une interaction énergétique entre SDS et SDA à des niveaux supérieurs.
R : Oui, et pour beaucoup, ce n’est pas encore compris. Cela doit faire partie d’un processus naturel d’apprentissage.
Q : (L) Eh bien, j’imagine que nous avons tous tendance à considérer tel ou tel domaine comme sacro-saint et protégé de toute attaque, ou que nous pouvons faire appel à la logique et à la pensée de 3e densité pour l’expliquer. Jusqu’à ce qu’on réalise que l’attaque peut venir de partout y compris de soi-même, ou de son conjoint, de ses enfants, de ses parents, de ses amis, pratiquement n’importe qui – personne n’est à l’abri.
R : Le blocage réside en un manque de foi dans le concept. Rappelez-vous que lorsqu’on a été endoctriné par la religion, la culture et/ou la science, on est enclin à voir toutes choses exclusivement sous l'angle de la réalité physique mesurable.
Q : (L) Bon, dans le cas d’Ark, quelque chose va-t-il se produire qui lui permettra de voir au-delà des apparences, pour ainsi dire ?
R : N’anticipe pas, s’il te plaît. C’est une obstruction de proportion « quantique ».
Q : (L) Bon, je crois qu’il est guéri de son idée que certaines personnes peuvent être aidées.
R : Mais il n’est pas guéri de son manque de foi en la réalité des attaques non physiques.
Q : (L) En parlant d’attaque non physique, j’ai eu une assez mauvaise passe ce matin. J’ai ensuite découvert qu’au moment où je ressentais ce malaise, Ark recevait des courriels de Sue Brana. Y a-t-il un lien entre sa correspondance avec cette femme et ma sensation d’avoir un éléphant sur la poitrine ? Quand ça se produit, j’ai l’impression que mon âme est douloureusement compressée. Y a-t-il un lien avec cette Sue Brana ?
R : Peut-ĂŞtre.
Q : (L) Y a-t-il un lien entre sa correspondance avec Brana et le fait que Jim lui a aussi écrit, et que JW, la taupe, m’a appelée aujourd’hui ?
R : Peut-ĂŞtre.
Q : (L) Y a-t-il un lien entre tous ces portails d’attaque et les choses que j’ai découvertes la semaine dernière ?
R : Peut-ĂŞtre.
Q : (L) Ne pouvez-vous rien me dire à ce sujet ?
R : Si cette question ne requiert pas de réponse, c’est peut-être parce que la réponse a déjà été donnée, simplement parce que, bien que tu aies encore beaucoup à apprendre, tu as déjà tant appris, ma chère. Et sur ce, bonne nuit.
Q : (L) Bonne nuit.
Fin de la séance
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Date de la séance : 3 mai 1997
Participants : Laura, « Frank », Alice, Tom K
Q : (L) Bonsoir.
R : Bonsoir.
Q : (L) Et quel nom devons-nous utiliser ce soir ?
R : Jimmorra.
Q : (L) Et d’où transmettez-vous ?
R : Cassiopée.
Q : (L) J’ai pas mal de questions ce soir. La première est : une personne peut-elle être utilisée comme dispositif de surveillance visuel et auditif, afin d’espionner les activités d’autres personnes ?
R : Possible, mais rarement nécessaire.
Q : (L) Vous avez dit un jour que la fonction de PZ était celle d’un dispositif de surveillance ; que, partout où elle allait, elle enregistrait les fréquences auriques pour le compte de ceux qui lui avaient mis un implant. Était-ce une situation inhabituelle ?
R : Très probablement.
Q : (L) La semaine dernière, nous n’avons pas tenu de séance, mais nous avons passé en revue les notes que j’ai commencées à prendre à Gainesville. Frank a eu un gros coup de fatigue et il est rentré chez lui. Moi, je n’étais pas fatiguée. Je voudrais vous interroger là -dessus. D’habitude, Frank n’est pas fatigué et c’est moi qui suis épuisée. Je voudrais donc vous poser une question à ce sujet. Une sorte d’échange énergétique a-t-il lieu lors des séances de channeling ?
R : Pas de cette façon.
Q : (L) Eh bien, Terry et Jan ont donné leur opinion à ce propos, et je voudrais savoir s’il existe une relation entre ce retournement de situation et le fait que nous n’avons pas tenu de séance ?
R : Les commentaires de Terry et Jan à ce sujet devraient être considérés avec précaution, car leurs intentions sont possiblement nébuleuses.
Q : (L) Lorsque vous dites nébuleuses… ma perception était qu’ils voulaient développer un canal distinct, comme avant.
R : Ils voulaient poursuivre leur propre idée consistant à jeter le doute sur Frank.
Q : (L) Eh bien, non seulement cela, mais lorsque j’ai partagé les informations que j’avais rassemblées à la suite des indices fournis dans les transcriptions, j’ai eu l’impression que cela ne les intéressait pas. Pourtant, je pensais que le fait que des indices contenus dans les transmissions avaient mené à de telles découvertes était extrêmement important…
R : Pour certains, n’est intéressant que ce qui les met en avant.
Q : (L) D’accord. Je vois l’idée. À présent, permettez-moi de vous interroger à propos des bizarreries que je suis en train de découvrir. Je suis sûre que je n’en suis même pas à la moitié. Mais, dites-moi : ai-je raison de penser que suivre les pistes génétiques fait partie de la solution…
R : Relie les points, et quand tu auras fini, tu auras un « Gauguin ».
Q : (L) Hmmm… (A) Autrement dit, un chef-d’œuvre… (L) OK, nous savons que la lignée est importante de par l’héritage nordique ou celtique. En parcourant les transcriptions, je suis tombée de nombreuses fois sur la mention mystérieuse d’une « secte ». Je pense que cette secte, comme vous l’appelez, est cette organisation que l’on désigne sous le nom de « Quorum ».
R : De quoi le mot « secte » est-il la racine ?
Q : (L) Secteur, section… (T) sectaire… (A) Une ramification… (L) Autre chose que vous souhaitez ajouter ?
R : Demande.
Q : (L) Est-ce qu’ils ne font qu’un avec cet autre groupe que vous avez mentionné, la Nation du Troisième Œil  ?
R : Le Troisième Œil étend la vision dans l’invisible.
Q : (L) Voir l’invisible. Vous avez mentionné une fois que les « Rosicruciens se comportent comme un voleur dans la nuit ». Vous avez aussi dit que je devais creuser le sujet des Rosicruciens, je suis allée à la bibliothèque universitaire et il n’y avait quasiment rien…
R : Relie les rosicruciens à ton île favorite par le « hêtre ». Dans le sens arboricole, s’il te plaît, et de la même famille.
Q : (L) Oak Island, l’île aux Chênes ?
R : Ouaip ! Ensuite, relie les Pyrénées aux Canaries.
Q : (L) D’accord, un « voleur dans la nuit ». La destruction des Templiers…
R : Étudie l’histoire des Îles Canaries pour trouver des indices.
Q : (L) Y a-t-il un rapport avec les communications de ces gars de l’Université de Tenerife en février et mars derniers ? Pourrait-il y avoir plus d’une relation ?
R : Peut-être, mais connais-tu l’histoire de cet endroit ?
Q : (L) Eh bien, non. Cette piste m’a échappée. Je vais la suivre. Vous avez également dit auparavant que lorsqu’un certain groupe de 7 personnes se rassemblerait dans une réalité perpendiculaire, l’apprentissage serait exponentiel. Je suis sûre que nous n’en sommes pas encore là , mais je me demande si les informations que j’ai découvertes sur les lignées et l’activation potentielle de l’ADN a un quelconque rapport avec cette idée ?
R : Construis ton escalier une marche Ă la fois.
Q : (L) J’ai relu la séance du 23 mai de l’année dernière, à laquelle Tom avait participé. Nous avions abordé la question de sa présence à O’Brien et vous aviez demandé qui l’avait supplié de ne pas partir. À un moment, vous avez mentionné un vecteur électromagnétique. Ce que j’en ai déduit, c’est qu’une personne peut être un vecteur électromagnétique. Est-ce possible ?
R : Vecteur signifie axe de direction.
Q : (L) Cela voudrait dire qu’un être humain peut, par sa seule présence, être un vecteur d’ondes électromagnétiques ? J’ai aussi remarqué que plusieurs d’entre nous ont eu affaire à des personnes, ou ont eu des relations, qui semblaient destinées à désorienter, désamorcer, déformer notre apprentissage et à nous vider de notre énergie. Bref, à nous maintenir dans un état de tension tel qu’il nous soit impossible de réaliser notre potentiel. Cette observation est-elle fondée ?
R : Élémentaire, ma chère Knight !
Q : (L) Une chose que j’ai apprise est que ce genre d’individus semblent s’attacher au moyen d’une sorte de crochet psychique qui entre en nous par nos réactions d’apitoiement. Pouvez-vous nous parler de ce qu’est la pitié ?
R : Ayez pitié de ceux qui prennent en pitié.
Q : (L) Mais ceux qui nous apitoient, ceux qui suscitent la pitié, n’ont en fait pitié que d’eux-mêmes.
R : Oui, et… ?
Q : (L) Et, comme dit mon fils, quand on prend en pitié, quand on envoie de l’amour et de la lumière à ceux qui se trouvent dans les ténèbres, ou à ceux qui se plaignent et désirent être « sauvés » sans avoir à faire aucun effort, quand on répond par la gentillesse aux abus et à la manipulation, on ne fait, au fond, qu’accélérer leur désintégration ultime, ou leur contraction en eux-mêmes ? On accentue leur descente dans le SDS ?
R : Tu connais la réponse !
Q : (L) Oui. Je l’ai très souvent constaté. Ces personnes ont-elles été sélectionnées dans nos vies pour la nature extrêmement subtile de leur faculté à susciter la pitié, ou bien avons-nous été programmés pour répondre à la pitié, de sorte à être aveugles à ce qui est évident pour d’autres ?
R : Ni l’un ni l’autre. Vous avez été choisis pour interagir avec ceux qui déclenchent une réponse hypnotique menant, en fin de compte, à un soutirage d’énergie.
Q : (T) Eh Bien, c’est un fait, parce qu’il est clair que je me sens vidé. (L) Quel est le but de ce soutirage d’énergie ?
R : À votre avis ?
Q : (T) C’est pour qu’on ne puisse ni se concentrer, ni faire quoi que ce soit. Pour qu’on ne puisse rien mener à bien.
R : Ou du moins pas les choses importantes.
Q : (T) Est-ce pour cela que mon niveau de concentration est aussi bas ?
R : Oui.
Q : (T) L__ est-elle une personne de type robot ?
R : Tu es face à une situation perdue d’avance !!
Q : (L) La situation est perdue d’avance…
R : Tu le sais bien.
Q : (T) Ainsi, si je n’en sors pas, je continuerai à sombrer. Est-ce dû à la région ou à la personne ?
R : Les deux. L’une est enveloppée dans l’autre.
Q : (L) Pourquoi est-ce principalement notre peur de blesser les autres qui nous empêche de réagir à de telles situations ? C’est la raison principale pour laquelle je suis restée aussi longtemps avec mon mari. Et c’est seulement quand j’ai réalisé que les enfants souffriraient davantage si je restais avec lui que j’ai eu le courage de partir. Pourquoi avons-nous aussi peur de blesser les gens qui nous font du mal ?
R : Concept inexact. Il ne vous faut pas « agir contre eux », vous devez agir dans l’intérêt de votre destinée.
Q : (L) Mais quand on fait cela, ces gens vous rendent la vie tellement impossible qu’il ne semble pas y avoir d’autre choix que de se séparer.
R : Oui, mais cela n’est pas « agir contre ». Bien au contraire. Rappelez-vous qu’il faut être deux pour danser le tango, et que si vous dansez ensemble lorsqu’un incendie éclate dans la salle de bal, c’est vous deux qui êtes brûlés vifs !!!
Q : (L) Pourquoi, quand on essaie de se dégager d’un tel « tango », ces gens-là refusent-ils aussi violemment de nous laisser partir, alors qu’il devient évident, tellement évident, qu’ils n’éprouvent plus rien pour nous en tant qu’êtres humains ?
R : Ce n’est pas « eux ». Ce ne sont que des canaux d’attaque.
Q : (L) Qu’est-ce qui les rend susceptibles de devenir des canaux d’attaque ?
R : Tous les SDS y sont candidats. Et vous n’êtes que six milliards sur Terre…
Q : (L) D’accord. Tout le monde peut être un canal d’attaque. Et s’il venait travailler ici avec nous tous les samedis, est-ce que ça l’aiderait à récupérer sa concentration ?
R : Pour ça, il faudrait opérer les changements nécessaires.
Q : (L) Est-il vrai qu’en présence de telles personnes, on est sous l’influence d’une énergie, de quelque chose qui émane d’elles physiquement, qui rend l’esprit confus et empêche de réfléchir à un moyen de se tirer d’affaire ?
R : La confusion mentale vient du soutirage d’énergie.
Q : (L) Où cette énergie va-t-elle ?
R : SDS de 4e densité.
Q : (L) Ils pompent notre énergie, et les SDS de 4e densité l’extraient d’eux ?
R : « Ils » ne font rien !!!! Ce sont les SDS de 4e densité qui font tout par leur intermédiaire !
Q : (T) Eh bien, je voudrais bien savoir ce qui nous attire vers de telles personnes.
R : C’était l’idée des SDS de 4e densité.
Q : (L) Cela veut dire qu’ils peuvent contrôler nos pensées et nos émotions, et nous mettre des idées dans la tête, comme de penser que ce serait une bonne idée de « sauver » quelqu’un. Nous sommes ignorants. Nos religions et nos cultures nous apprennent à donner jusqu’à en avoir mal, et en fait, à donner parce que cela fait mal. La situation est tout à fait voulue, et pilotée depuis un autre niveau. Quelque chose à ajouter ?
R : Une fois que vous avez bien appris le programme, il suffit de le connecter.
Q : (L) J’imagine qu’une fois qu’on a bien appris ce qu’ils nous disent ici, il suffit de tout connecter…
R : Non. Ce que nous voulons dire, c’est que tout ce que vous avez à faire, c’est d’apprendre à reconnaître les comportements caractéristiques, les signes subtils, et vous aurez alors toujours la capacité de les éviter. Les vôtres autant que ceux des autres.
Q : (L) Donc, une fois qu’on a appris le programme en interagissant avec une telle personne, on devient capable d’éviter de tomber sur une autre personne du même genre. (T) Mais j’aurais dû l’avoir appris de H__. J’ai fait la même chose deux fois. (L) Oui mais quand tu es blessé par la vie, c’est difficile d’y voir clair.
R : Les signes Ă©taient lĂ , mais tu ne les as pas reconnus.
Q : (L à Tom) Tu les as ignorés.
R : Non, il ne connaissait pas encore le programme. N’anticipez pas !
Q : (L) J’imagine que ça veut dire que lorsqu’on pense pouvoir changer une autre personne, ou si on croit que changer la manière dont on agit naturellement pourra l’aider, on anticipe.
R : Ou lorsqu’on pense que le résultat aurait été différent.
Q : (L) Bon, tu savais qu’il y avait beaucoup de choses qui n’allaient pas au départ, mais tu pensais que ce serait différent. La mère d’Ark est malade. Se remettra-t-elle bientôt ?
R : Tu verras bien.
Q : (L) Il porte un lourd fardeau en ce moment et je m’inquiète pour lui.
R : Cela te surprend-il ? Malheureusement, Ark ne connaît pas encore tout à fait ce programme.
Q : (L) Êtes-vous en train de suggérer que la maladie de sa mère a été causée par les SDS de 4e densité ?
R : Leçon n° 1 : attendez-vous toujours à des attaques. Leçon n° 2 : apprenez à en reconnaître les signes. Leçon n° 3 : apprenez à les parer.
Q : (L) Lorsqu’une personne – sa propre mère – est âgée et malade… la seule chose à faire est de gérer le problème. Mais je suppose que tout ce qui tend à interférer avec ce que nous avons à faire ici pourrait être considéré comme une attaque. Que ce soit votre mère qui tombe malade, ou votre enfant qui se casse le bras en tombant de bicyclette. Tout cela résulte d’une baisse de vigilance de la part de celui qui est le canal de l’attaque.
R : Quand vous faites l’objet d’une attaque, attendez-vous à l’inattendu, si cela peut causer des problèmes…
Q : Donc, si quelque chose peut causer des problèmes, il faut s’attendre à ce que ça arrive.
R : Mais si vous vous y attendez, vous apprenez à « parer », et donc à neutraliser l’attaque. Cela s’appelle la vigilance, laquelle se fonde sur la connaissance. Et que fait la connaissance ?
Q : (L) Elle protège ! Puis-je l’aider en quoi que ce soit ?
R : Comment ça ?
Q : (L) Eh bien, je ne sais pas. Je pense qu’on doit en arriver à réaliser pleinement que pratiquement tout ce qui se produit sur la planète, sans exception, est le symbole d’une interaction énergétique entre SDS et SDA à des niveaux supérieurs.
R : Oui, et pour beaucoup, ce n’est pas encore compris. Cela doit faire partie d’un processus naturel d’apprentissage.
Q : (L) Eh bien, j’imagine que nous avons tous tendance à considérer tel ou tel domaine comme sacro-saint et protégé de toute attaque, ou que nous pouvons faire appel à la logique et à la pensée de 3e densité pour l’expliquer. Jusqu’à ce qu’on réalise que l’attaque peut venir de partout y compris de soi-même, ou de son conjoint, de ses enfants, de ses parents, de ses amis, pratiquement n’importe qui – personne n’est à l’abri.
R : Le blocage réside en un manque de foi dans le concept. Rappelez-vous que lorsqu’on a été endoctriné par la religion, la culture et/ou la science, on est enclin à voir toutes choses exclusivement sous l'angle de la réalité physique mesurable.
Q : (L) Bon, dans le cas d’Ark, quelque chose va-t-il se produire qui lui permettra de voir au-delà des apparences, pour ainsi dire ?
R : N’anticipe pas, s’il te plaît. C’est une obstruction de proportion « quantique ».
Q : (L) Bon, je crois qu’il est guéri de son idée que certaines personnes peuvent être aidées.
R : Mais il n’est pas guéri de son manque de foi en la réalité des attaques non physiques.
Q : (L) En parlant d’attaque non physique, j’ai eu une assez mauvaise passe ce matin. J’ai ensuite découvert qu’au moment où je ressentais ce malaise, Ark recevait des courriels de Sue Brana. Y a-t-il un lien entre sa correspondance avec cette femme et ma sensation d’avoir un éléphant sur la poitrine ? Quand ça se produit, j’ai l’impression que mon âme est douloureusement compressée. Y a-t-il un lien avec cette Sue Brana ?
R : Peut-ĂŞtre.
Q : (L) Y a-t-il un lien entre sa correspondance avec Brana et le fait que Jim lui a aussi écrit, et que JW, la taupe, m’a appelée aujourd’hui ?
R : Peut-ĂŞtre.
Q : (L) Y a-t-il un lien entre tous ces portails d’attaque et les choses que j’ai découvertes la semaine dernière ?
R : Peut-ĂŞtre.
Q : (L) Ne pouvez-vous rien me dire à ce sujet ?
R : Si cette question ne requiert pas de réponse, c’est peut-être parce que la réponse a déjà été donnée, simplement parce que, bien que tu aies encore beaucoup à apprendre, tu as déjà tant appris, ma chère. Et sur ce, bonne nuit.
Q : (L) Bonne nuit.
Fin de la séance
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