đź“š SĂ©ance du 31 octobre 2001

Jacques

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Thanks to the members of the French translation group who have just translated that session.

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Merci aux membres de l’équipe française pour cette traduction.
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SĂ©ance du 31 octobre 2001

Laura, Ark

Q : (L) Bonsoir

R : Bonsoir ! Bien chers

Q : (L) Qui avons-nous ce soir ?

R : Hifaa

Q : (L) Et d’où transmettez-vous ?

R : Cassiopée.

Q : (L) Bruce a quelques questions à poser, aussi je vais commencer par les siennes. Bruce se demande si le concept d’énergie d’orgone tel que redécouvert par Albert Pike est similaire à la Force Odique du Baron Von Reichenbach ?

R : Oui.

Q : (L) Est-il préférable de connaître le rite Écossais pour comprendre et utiliser cette énergie ?

R : Pas vraiment.

Q : L’orgone était-elle l’énergie utilisée pour alimenter la pyramide de Gizeh ?

R : Non.

Q : (L) Était-ce l’énergie utilisée pour alimenter Stonehenge ?

R : Non

Q : (L) L’énergie d’orgone peut-elle être utilisée pour soigner la maladie ?

R : Ça aide.

Q : (L) Est-ce la même énergie utilisée dans la baguette de silicium dont vous avez parlé précédemment ?

R : Non.

Q : (L) Le silicium est-il nécessaire pour utiliser l’énergie d’orgone ?

R : Non.

Q : (L) L’orgone peut-elle être utilisée pour activer la partie d’ADN qui a été brûlée ou désactivée par des ondes lumineuses ?

R : Pas nécessaire

Q : (L) D’accord, la géométrie de l’alphabet runique Elder Futhark est-elle utile pour exploiter l’orgone ?

R : Non.

Q : (L) Le concept d’énergie d’orgone est-il utile pour compléter la théorie du champ unifié ?

R : Un portail nécessaire pour la TCU, l’orgone est universelle.

Q : (L) L’énergie de l’orgone est-elle la même force que celle qui a été découverte par la Société du Vril pour développer la propulsion dans l’espace ?

R : Non.

Q : (L) Cette force odique est-elle la même qui émanait des cristaux utilisés en Atlantide ?

R : Non, ceci a été traité.

Q : (L) Oui, je sais. Hum… Les Égyptiens ont-ils utilisé cette force avec un bandeau métallique autour du front ?

R : Non.

Q : (L) Le fer est-il nécessaire pour se servir de cette énergie ?

R : Non.

Q : (L) Cette force a-t-elle une composante positive et négative ?

R : Non.

Q : (L) Einstein a-t-il reconnu le concept d’énergie d’orgone ?

R : Oui.

Q : (L) Cela l’a-t-il aidé pour sa TCU ?

R : Non.

Q : (L) Le gouvernement a-t-il utilisé l’énergie d’orgone dans l’Expérience de Philadelphie ?

R : Non.

Q : (L) L’énergie d’orgone peut-elle être utilisée pour se déplacer d’un point à un autre de la Terre ?

R : Non.

Q : (L) Les Nephilim sont-ils à l’origine de la force odique ?

R : Non

Q : (L) Je sais que ce sont des questions stupides. Les Nephilim ont-ils fait alliance avec la tribu de Benjamin ?

R : Non.

Q : (L) Puisque la force odique est originaire de Scandinavie, est-elle associée avec Sinclair et Oak Island ?

R : Non-sens.

Q : (L) L’Arche d’Alliance activait-il l’énergie Vril ?

R : Non.

Q : (L) Était-il composé d’or et de quartz rutile ?

R : Non.

Q : (L) Il doit lire de véritables inepties. Est-ce que l’énergie Vril est comme la Kundalini ?

R : Non. Oui, c’est n’importe quoi.

Q : (L) Ah, Bruce est sur une tangente. Il lit ces fichues choses de Dan Winter et il est persuadé avoir trouvé quelque chose qui va le remettre d’équerre. Bon, assez avec ça. Maintenant, je suppose que nous devrions poser des questions sensées. Nous avons déjà traité le WTC… Ohhhh ! (A) J’ai un tas de questions à propos de cette bascule des pôles. Bon, vas-y, pose ta question. (L) C’est probablement là où j’allais en venir. Je partais pour Novossibirsk. Vous avez fait remarquer un jour que le mystère se situe dans un col de montagne Russe et quelque chose à propos d’une ligne reliant Novossibirsk et Irkoutsk. Y a-t-il un col de montagne dans cette zone où quelque chose d’important attend qu’on le découvre ?

R : Oui.

Q : (L) D’après les types qui ont écrit cette page web sur la bascule des pôles, ils disent qu’on peut prévoir où les pôles vont se déplacer. Est-ce réellement le cas ?

R : Non.

Q : (L) Pourquoi ne peut-on pas prévoir la bascule des pôles ? Ne peut-on pas savoir où se situera le nouveau pôle ?

R : C’est une fonction chaotique dans ce cas.

Q : (L) OK, dans une bascule de pôles la lithosphère de la planète glisse-t-elle sur le noyau ? (A) Non. Il faut être très précis. Le terme bascule des pôles peut s’appliquer à trois types de choses. Une seule d’entre elles peut se produire, ou deux, ou trois, OK ? Et ce sont les suivantes : 1) l’axe de rotation par rapport aux étoiles est en train de changer, par exemple en se redressant ; c’est une chose ; tandis que tout le reste se mobilise avec l’axe, la lithosphère et le champ magnétique. 2) L’axe conserve sa position, peut-être se déplace-t-il un peu ; la lithosphère demeure à sa place — peut-être en tremblant un peu — mais le champ magnétique se modifie ; par exemple il s’inverse. 3) L’axe, le champ magnétique demeurent inchangés, mais la lithosphère se déplace. Ce sont les trois possibilités de bascule des pôles. Et bien sûr, il y a des événements associés. Le plus dramatique, vu de l’extérieur, c’est lorsque l’axe de rotation change. Ensuite c’est probablement lorsque la lithosphère est remaniée. Et la troisième aux conséquences inconnues c’est lorsque le pôle magnétique s’inverse, d’accord ? Nous avons donc besoin de comprendre ce que sera le changement principal. (L) Eh bien, je suppose que nous devrions poser une question encore plus élémentaire : est-ce que nous nous dirigeons vers une bascule des pôles ? Ça c’est commencer par le début. (A) D’accord. (L) Dans les dix prochaines années. Une bascule des pôles est-elle possible dans les dix prochaines années ?

R : Oui.

Q : (L) Est-ce une bascule de l’axe… (A) Chérie, tu demandes si une bascule des pôles est possible, bien sûr qu’elle l’est. Mais imagine que la probabilité soit quasiment nulle ? « Est-ce possible » n’est pas la bonne question. « Est-ce que cela va se produire ? » C’est une question. (L) C’est bon, tu demandes, continuons. (A) Y a-t-il une très forte probabilité que nous ayons une bascule des pôles dans les dix prochaines années ou à peu près ?

R : Oui.

Q : (A) Dans l’idée d’une bascule des pôles, de toutes celles dont nous avons discutées, quelle serait la caractéristique principale ?

R : Nouvelle orientation de l’axe et inversion magnétique.

Q : (L) C’est carrément énorme. (A) D’accord, maintenant, modifions l’axe ou l’orientation de l’axe de rotation : peut-on dire qu’on se redresserait, en devenant presque perpendiculaire à l’écliptique ? Ou l’autre possibilité étant qu’on tombe en étant presque parallèle au plan de l’écliptique. La troisième étant qu’on se retourne complètement de 180 degrés. Nous savons que c’est hautement imprévisible, mais pouvons-nous avoir un indice sur qui va prédominer, pour ainsi dire ?

R : La perpendicularité sera rétablie.

Q : (A) Nous savons que l’axe va changer radicalement et qu’il y aura une inversion magnétique. Vous ne faites pas état d’une modification ou d’un mouvement de la lithosphère seule. Pouvons-nous...

R : Le mouvement de la lithosphère se produira, d’une certaine manière.

Q : (A) Mais, cela signifie finalement que l’équateur ne changera presque pas parce que…

R : Exact.

Q : (A) Donc il ne se déplacera que très peu, il n’ira pas jusqu’à Hawaï ? (L) Oh mince ! C’était mon hypothèse ! Eh bien, c’était une bonne idée. (A) À propos des modifications de la lithosphère : peut-on prévoir quelques transformations géographiques en raison de mouvements de la lithosphère et de modifications des niveaux des mers ?

R : Les caractéristiques chaotiques prédominent mais d’une manière générale l’intérieur des terres et les zones de montagne seront plus sûrs puisqu’il se produit moins de plissements dans ces endroits.

Q : (A) Maintenant, le plus important, le changement d’orientation de l’axe, quel principal déclencheur, force, ou activité ou quelle sorte d’événement déclenchera ce changement d’axe ?

R : Corps cométaires.

Q : (L) Les planètes du système solaire vont-elles quitter leur orbite et devenir incontrôlables ? Est-ce une éventualité ?

R : Oui.

Q : (A) Seulement du fait des trajectoires cométaires ?

R : Oui. Aussi le soleil jumeau.

Q : (A) Quand nous parlons de ces corps cométaires, parlons-nous d’impacts ?

R : Il y aura des collisions.

Q : (A) Quel serait — le cas échéant — le rôle des phénomènes électriques ?

R : Le courant de masse du soleil jumeau s’écoule à travers le système tout entier en régulant le fonctionnement du moteur.

Q : (L) Cela signifie-t-il que tous les différents corps du système solaire sont comme des pièces d’une sorte de gigantesque machine, et lorsque ce courant électrique circule à travers eux et selon leurs positions relatives les uns par rapport aux autres au moment où ce courant circule, cela affecte le fonctionnement de la machine ?

R : Oui, plus ou moins.

Q : (A) À propos de l’inversion magnétique des pôles, j’aimerais savoir : la théorie ou l’interprétation actuelle du champ magnétique des planètes est basée sur le mécanisme de la dynamo, dans laquelle un métal liquide — le fer — qui est surchauffé — induit des courants de convection, et il y a auto-excitation par le champ magnétique. C’est le modèle actuel. Ils ont pu modéliser cette inversion magnétique des pôles en utilisant le magnétohydrodynamisme. Cette modélisation est-elle correcte ?

R : En partie seulement.

Q : (A) Quel est le principal élément, essentiel et absent dans ce modèle ?

R : Le noyau d’ammoniac cristallin.

Q : (A) Tout le monde pense que le noyau est composé de fer cristallin ; c’est l’opinion actuelle. Disons que c’est un noyau d’ammoniac : toutes les planètes possédant un champ magnétique ont-elles un noyau d’ammoniac ? Est-ce ainsi ?

R : Pas de ce point de vue, mais sous l’angle de la vie organique, oui.

Q : (A) Lorsque vous dites ammoniac cristallin, voulez-vous parler d’une nouvelle sorte d’ammoniac cristallin encore inconnu sur Terre de nos scientifiques ?

R : Plus ou moins.

Q : (L) Je pense qu’on doit découvrir quelque chose sur cet ammoniac cristallin. (A) Qu’est-ce qui le ferait pénétrer dans le cœur même ? (L) Je ne sais pas. On n’a pas assez de connaissance là-dessus pour même savoir comment formuler une question. Je sais bien qu’on pensait que ce qu’ils disaient sur Jupiter et l’ammoniac était insensé, et alors bien sûr tout cet ammoniac apparait sur Jupiter. Et je me souviens qu’ils ont dit quelque chose là-dessus à l’époque, mais nous n’y avons jamais fait suite parce qu’il me semblait que c’était bien trop absurde pour donner lieu à réflexion. On doit peut-être découvrir quelque chose sur l’ammoniac, l’ammoniac cristallin. (A) Y a-t-il un mini trou noir au centre de la Terre ?

R : Non.

Q : (L) Je me souviens quand j’étais enfant — c’était amusant — cette expérience de chimie. On rassemble ces produits chimiques et il pousse des cristaux. Je pense que l’ammoniac en faisait partie. Je crois qu’on doit utiliser l’ammoniac pour faire pousser des cristaux. (A) Bien, maintenant pouvons-nous avoir une idée de la grosseur, du rayon de ce noyau d’ammoniac cristallin à l’intérieur de la Terre ?

R : 300 km.

Q : (L) Qu’est-ce qui le recouvre, quelle est la couche suivante ? (A) Normalement, ça devrait être du cristal de fer. Quelle est la couche suivante ?

R : Exact.

Q : (A) Il y a cet ammoniac — cristallin… (L) Recouvert par le cristal de fer. Est-ce du fer cristallisé ? (A) Sûrement qu’à cette pression, il peut très bien s’agir de cristal. (L) D’accord, le fer qui recouvre l’ammoniac est-il cristallisé ?

R : Oui.

Q : (L) Quelle est la couche suivante ?

R : Fer en fusion.

Q : (A) Bien, maintenant nous savons que quelques planètes disposent de cet ammoniac cristallin, et d’autres pas. Si nous considérons les planètes qui ont cet ammoniac cristallin, comment est-il arrivé là ? Les planètes se sont-elles formées autour d’un noyau au départ, ou bien se sont-elles d’abord formées et puis au cours de certains processus, l’ammoniac s’est enfoncé à l’intérieur puis a cristallisé ? J’aimerais savoir comment il est parvenu là ?

R : C’est le processus naturel de formation de l’ammoniac pour accréter le fer des supernovæ.

Q : (L) J’ai lu quelque part — sur les supernovæ — que la seule façon pour laquelle nous avons du fer est parce qu’il est produit dans les supernovæ. Ce qui voudrait dire que notre système solaire s’est formé à partir d’une supernova, exact ? Dans ce cas qu’est-ce qui a explosé et quand ? (A) Je comprends que ce noyau d’ammoniac cristallin — de 300 km de rayon — doit avoir certaines propriétés magnétiques qui sont importantes. Parce qu’il était souligné qu’il était absent dans la théorie de la dynamo ou certaines propriétés très importantes concernant la convection thermique. Il y a donc ces deux choses principales dans la théorie de la dynamo - d’une part la conductivité et les propriétés électriques — d’autre part les propriétés de convection thermique. Pourquoi cet ammoniac est-il important pour le champ magnétique, en raison de quelles propriétés ?

R : Supraconducteur.

Q : (A) D’après ce que nous savons la chaleur est très intense à l’intérieur de la terre du fait de la pression. Est-ce que l’ammoniac est également chaud, aussi chaud que le fer ?

R : Passe alternativement du froid au chaud.

Q : (A) Est-il supraconducteur même quand il est très chaud ?

R : Non.

Q : (A) Quand il refroidit, à combien refroidit-il ?

R : 55 degrés en deçà du zéro absolu.

Q : (L) Qu’est-ce que c’est le zéro absolu ? (A) C’est quelque chose en dessous duquel on ne peut pas descendre. C’est pourquoi il est appelé zéro absolu. C’est de la thermodynamique actuelle. (L) A quelle fréquence alterne-t-il ?

R : Des périodes de près d’une heure.

Q : (L) Donc quand il refroidit et devient supraconducteur, la supraconduction entraîne son réchauffement ? C’est ça ?

R : Oui.

Q : (L) Une fois réchauffé, comment refroidit-il de nouveau ?

R : Il n’est plus conducteur.

Q : (L) Qu’est-ce qu’il conduit ? Quand quelque chose est supraconducteur, qu’est-ce qu’il conduit ?

R : Des Ă©lectrons.

Q : (A) Tu vois, le fait est que lorsque quelque chose est supraconducteur il n’offre aucune résistance. Cela signifie que le courant qui le traverse, ne le chauffe pas. Eh bien, nous avons appris qu’il devient chaud parce qu’il est supraconducteur, exact ? Ce qui est quelque peu contradictoire parce que quand il est supraconducteur il n’a aucune raison d’être chaud, à moins qu’il le devienne du fait de la chaleur de l’enveloppe externe de fer. C’est donc très probablement pour ça qu’il devient chaud. Parce que par la définition même de la supraconductivité on ne devient pas chaud quand on est conducteur, tu vois ? Bon, s’il y a de forts, très forts courants, alors OK, ils peuvent interrompre la supraconductivité, ensuite ça se réchauffe.

R : Les courants de cette nature déterminent la vibration du fer environnant ce qui produit de la chaleur, ce n’est pas la chaleur produite par le courant.

Q : (A) Maintenant, je voudrais revenir sur ce 55 degrés sous le zéro absolu. Et là j’aimerais avoir confirmation de ce 55 degrés sous zéro. Parce que, d’après les connaissances actuelles de la physique, le zéro absolu a été fixé par définition, selon les principes de la thermodynamique, comme la température en degrés pour laquelle — pour ainsi dire — plus rien ne bouge, si bien que vous ne pouvez pas descendre plus bas que cette température. Si vous confirmez 55 degrés au-dessous de zéro cela veut dire que nous devons repenser la physique et repenser la thermodynamique.

R : Vous êtes entrés dans un autre domaine.

Q : (A) Quoi ?

R : L’absence de mouvement telle qu’évaluée par la physique est basée sur des conventions de 3e densité.

Q : (A) Qu’est-ce qui est à l’origine de la survenue d’une physique nouvelle au centre de la planète ? On ne voit pas la nécessité d’une physique nouvelle autour de nous. Mais curieusement il y a, apparemment, au centre de la planète, des conditions spéciales qui engendrent la nécessité d’introduire cette physique nouvelle.

R : Des fenĂŞtres.

Q : (L) Permettez-moi demander ceci, s’il était possible de mesurer la température de quelque chose soumis à un champ magnétique très intense qu’est-ce que cela montrerait ? (A) Eh bien vois-tu, la question est différente, parce qu’on a d’abord demandé pourquoi il y a cette cristallisation d’ammoniac à l’intérieur, d’accord ? La réponse a été que c’était un processus naturel. Mais maintenant nous comprenons qu’il y a cette fenêtre à l’intérieur. Quelle est la raison de cette fenêtre à l’intérieur ? Maintenant, chérie, tu suggères que cette fenêtre à l’intérieur existe parce qu’il y a — ou parce que qui sait ce qui cause quoi — des champs électromagnétiques extrêmement forts. La fenêtre à l’intérieur tient-elle au fait que nous devons aller au-delà de la physique standard ? Est-ce lié au fait qu’il y a de très forts champs électromagnétiques à l’intérieur ?

R : Fonction réciproque.

Q : (L) De quoi est composé l’ammoniac ? (A) L’ammoniac ? NH3, un atome d’azote et trois d’hydrogène, et ça tourne en quelque sorte, c’est de l’ammoniac. (A) Quel est le numéro atomique de l’azote ? Six ? Ou sept ? Sept c’est le phosphore, ouais ? (L) Je ne sais pas, je ne me souviens pas, je suis trop lasse pour me rappeler. (A) Tu es trop fatiguée.

Q : (L) Nous n’avons reçu aucune offre, vous avez dit que nous aurions une offre et que nous devrions faire quelque chose.

R : Sous peu, soyez confiants.

Q : (A) Pourtant, j’aimerais savoir ce qu’on peut faire, comment pourrions-nous changer notre orientation, nos priorités ou quelque chose pour que cela arrive plus tôt ? Devrions-nous ?

R : Vous vous en sortez très bien.

Q : (L) D’accord, autre chose que nous pourrions nous rappeler et devrions demander avant que nous… va-t-il y avoir des attentats cette nuit ou demain ?

R : Peu probable.

Q : Va-t-il y avoir d’autres attaques terroristes aux États-Unis ?

R : Possible mais peu vraisemblable.

Q : (L) Quel est le prochain… pouvez-vous nous fournir des indices sur le prochain événement important de notre vie ?

R : La lumière va se répandre en abondance.

Q : (L) Eh bien, c’est plutôt vague. Quelle sorte de… (A) La foudre ?
(L) Ouais, allons-nous avoir un autre coup de foudre (rires) ? Bien, autre chose qu’on aurait dû demander et qu’on n’a pas demandée ?

R : Aimez-vous l’un l’autre.

Q : (L) Eh bien, c’était un peu… OK, je suis trop lasse. Bonne nuit, merci.

R : Bonne nuit

Fin de la SĂ©ance
 
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Il y a une erreur de frappe sur "savoir" et sur "R"qui, je pense, fait parti de le question de Ark !

Q : (A) À propos de l’inversion magnétique des pôles, j’aimerais savoi

R : La théorie ou l’interprétation actuelle du champ magnétique des planètes est basée sur le mécanisme de la dynamo, dans laquelle un métal liquide — le fer — qui est surchauffé — induit des courants de convection, et il y a auto-excitation par le champ magnétique. C’est le modèle actuel. Ils ont pu modéliser cette inversion magnétique des pôles en utilisant le magnétohydrodynamisme. Cette modélisation est-elle correcte ?
 
Il y a une erreur de frappe sur "savoir" et sur "R"qui, je pense, fait parti de le question de Ark !

Q : (A) À propos de l’inversion magnétique des pôles, j’aimerais savoi

R : La théorie ou l’interprétation actuelle du champ magnétique des planètes est basée sur le mécanisme de la dynamo, dans laquelle un métal liquide — le fer — qui est surchauffé — induit des courants de convection, et il y a auto-excitation par le champ magnétique. C’est le modèle actuel. Ils ont pu modéliser cette inversion magnétique des pôles en utilisant le magnétohydrodynamisme. Cette modélisation est-elle correcte ?

Merci @Christine, correction faite.
 

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