Thanks to the members of the French translation group who have just translated that session.
Please post your comments in the original session: Session 5 April 1997
Merci aux membres de l’équipe française pour cette traduction.
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Date de la séance : 5 avril 1997
Participants : Laura, Ark, «Frank», Alice, Tom [chroniqueur du St. Petersburg Times], Cherie [photographe du St. Petersburg Times], Tom H
Q : (L) Bonsoir.
R : Bonsoir.
Q : (L) Et quel nom allons-nous utiliser ce soir ?
R : Marra.
Q : (L) Et d’où transmettez-vous ?
R : Cassiopée.
Q : (L) Voici ma première question : si, comme vous le dites, la mémoire est l’enregistrement conscient et subconscient de perceptions, et qu’il se produit une «fusion de réalités», comme vous l’avez également décrit précédemment – une espèce de manipulation du temps – les perceptions individuelles en sont-elles automatiquement modifiées ?
R : Les perceptions «sautent» en place selon des points de repère dans le continuum éternellement présent.
Q : (L) Quels sont ces points de repère ?
R : Ruptures expérientielles dans le domaine perceptuel de la continuité.
Q : (L) Les points de repère sont des ruptures expérientielles. Donc, on fait l’expérience de ruptures, lesquelles deviennent des points de repère… les perceptions se mettent en place… cela veut-il dire que quand il y a perception d’une rupture, une partie de la psyché cherche à colmater cette brèche en sautant dans une sorte de…
R : La définition des réponses précédentes ne te deviendra claire qu’après réflexion, ma chère !
Q : (L) Mmm… ce saut perceptif se produit-il collectivement ou certaines personnes sont-elles immunisées contre ça ?
R : ! Como !?! Quoi, dirent les perplexes, d’un air incrédule !
Q : (L) Bon, vous avez dit que la mémoire était subjective, mais pas l’atome. Si la mémoire est subjective, ce que vous décrivez signifie que chacun a une perspective légèrement différente, même s’il est impliqué dans un même incident ou une même séquence temporelle.
R : Bien sûr !
Q : (L) Mais ça implique aussi que…
R : C’est le trésor de l’apprentissage.
Q : (L) Qui est le trésorier ?
R : L’apprenti.
Q : (L) Mais malgré tout, vous sous-entendez qu’un atome a une existence objective. C’est bien ça ?
R : Oui.
Q : (L) Pourriez-vous nous dire, s’il vous plaît, en quoi consiste l’objectivité ?
R : L’effort de la part de l’observateur de laisser les préjugés «à la porte».
Q : (L) Quel rapport y a-t-il entre l’effort de la part de l’observateur de laisser les préjugés à la porte et l’existence objective de l’atome ?
R : Un atome – et il en va de même pour tout le reste – ne peut exister sans observateur.
Q : (L) Alors dans le cas de l’objectivité de l’atome, si les observateurs humains ne sont pas objectifs, où se trouve l’observateur qui rend l’atome objectif ? À moins que l’atome n’existe pas s’il n’y a pas d’observateur ?
R : Oui. À cette dernière proposition.
Q : (L) Oui à quelle partie ?
R : La dernière proposition.
Q : (L) Il doit donc y avoir un observateur. L’observateur doit-il être humain ?
R : L’observateur doit être une conscience.
Q : (L) Si vous dites qu’un atome a une existence objective mais qu’il ne peut exister que s’il est perçu par une conscience, alors un atome n’a pas d’existence objective, exact ?
R : Non.
Q : (L) D’accord, quelle est la distinction ? Vous dites que l’objectivité est la tentative de la part de l’observateur de laisser les préjugés à la porte.
R : Sans conscience, il n’y a ni objectif, ni subjectif !!
Q : (L) Donc l’important est de tenter de laisser les préjugés à la porte, de la même manière qu’on ne devrait pas anticiper pour pouvoir créer ?
R : Oui.
Q : (L) Eh bien, c’est vraiment coton… (A) La conscience est-elle objective ?
R : La conscience est objective, jusqu’à ce qu’elle soit capable de choisir d’être autrement.
Q : (L) Qu’est-ce qui stimule ce changement, qui donne cette capacité de choisir ?
R : L’introduction du préjugé.
Q : (L) Dans un sens cosmique – celui de la conscience cosmique, de la Conscience Unique Unifiée – qu’est-ce qui stimule la capacité de choisir ?
R : Quand le voyage atteint l’union avec l’Un, toutes ces leçons sont terminées.
Q : (L) Mais ça ne répond pas à la question.
R : Oh que si !
Q : (L) Petit changement de sujet. La nuit dernière, j’ai vécu une expérience bizarre. Je ne pense pas qu’on puisse appeler ça un rêve, mais c’était similaire à ce qui s’est passé il y a quelques semaines. De cette expérience, je n’ai pu ramener que deux mots : «trois dominos», qui semblaient être très importants. Mais maintenant, ils n’ont absolument aucun sens. Pourriez-vous me donner un indice concernant la signification des trois dominos et de ces expériences que je vis ?
R : Une signification possible : trois points de vente Domino’s Pizza à Gainesville.
Q : (L) Très bien, une autre signification possible ?
R : Il manque trois dominos dans ta boîte de dominos.
Q : (L) D’accord, une autre ?
R : À ton tour !
Q : (L) Quoi que c’ait été ça venait d’un niveau très profond du subconscient, et je savais que si je ne le remontais pas, je le perdrais. OK, quand ces événements se produisent…
R : Pas un rĂŞve important, Laura.
Q : (L) Bon, peut-être que ce n’était pas un rêve important, mais c’était accompagné par de très sérieux… qu’est-ce que je faisais ? (A) Tu te débattais. (L) C’est ce que je faisais avant ce rêve. Lutter et me débattre. Et à ma connaissance, je n’ai jamais fait ça auparavant dans ma vie. Je suis considérée comme une dormeuse monophasique. (A) Comment le sais-tu ? (L) Parce qu’on me l’a dit. Que j’avais l’habitude de me coucher dans une position et de me réveiller exactement dans la même position, et les couvertures n’étaient même pas froissées.
R : La maison est «affectée».
Q : (L) Cette maison est affectée ?
R : Non.
Q : (L) La maison où nous étions à Gainesville ?
R : Oui.
Q : (L) Est-ce que ça a été ramené de là -bas ?
R : Oui.
Q : (L) À quoi est-ce relié ?
R : Oakwood Drive.
Q : (L) La maison où nous vivions à la campagne…
R : Retournée dans le lit.
Q : (L) Cela renvoie à la nuit où je me suis réveillée retournée dans le lit, avec ma chemise de nuit mouillée jusqu’aux genoux, alors qu’il m’aurait été absolument impossible de me retourner, parce que je dormais contre le mur et qu’il n’y avait tout simplement pas assez d’espace pour ça. Êtes-vous en train de dire que ce sont ces souvenirs qui remontent à la surface ?
R : Souvenirs moteurs.
Q : (L) Des mémoires du corps ?
R : Pas loin.
Q : (L) L’autre soir, Ark et moi avons discuté du symbole qui est apparu dans l’allée [de mon ex-mari] il y a des années.
R : Sceptre ailé.
Q : (A) Nous voulions savoir pourquoi vous l’avez rattaché aux Gris mais n’avez pas voulu dire si un enlèvement avait eu lieu, et plus tard, vous avez dit que l’[ex de Laura] n’avait jamais été enlevé. Donc, quel est le rapport ? Quelle est la connexion ?
R : Les connexions ne sont pas toujours «suivies dans le temps».
Q : (L) Eh bien, Ark a fait remarquer que cela n’avait peut-être rien à avoir avec [mon ex], mais que c’était un message pour nous dans le présent. Quel était le message, et à qui était-il destiné ?
R : Pas un message. Un point de repère.
Q : (L) Est-ce un point de repère au sens où vous l’avez décrit il y a un instant, en relation avec la mémoire ?
R : Pas loin.
Q : (L) Qui ce point de repère était-il censé affecter ?
R : Concept inexact.
Q : (L) Quel est le bon concept ?
R : Tous les événements sont synchrones uniquement quand la perception devient un catalyseur d’apprentissage.
Q : (TH) Que signifie synchrone dans ce contexte ?
R : Découvert uniquement quand la leçon est terminée.
Q : (TH) Est-ce qu’ils veulent dire que tous les événements existent quelque part en dehors du temps, et que nous en faisons juste l’expérience séquentiellement ?
R : Pas loin, Tom.
Q : (L) Et pourquoi discutions-nous de ce sujet particulier dans cette maison de Gainesville… [Le portable de TF indique que la batterie est presque déchargée en annonçant «Hasta la vista, Baby !»] (TH) Voici ta réponse ! Deus ex machina ! (L) Pourquoi la discussion sur ce symbole a-t-elle été évoquée, et plus ou moins en synchronicité avec mes rêves agités, et qu’ensuite, vous avez mentionné les souvenirs moteurs et l’incident d’Oakwood Drive…
R : Réfléchissez. S’il vous plaît, ne partez pas tout de suite, M. French !
Q : (L) Pourquoi ne voulez-vous pas que Tom parte ?
R : Nous pourrions avoir certaines choses Ă lui dire.
Q : (L) Quoi ?
R : Pas encore.
Q : (L) C’est Cherie qui doit partir. Elle fait une réaction allergique à la fumée.
R : Vraiment ? Que penses-tu des choses, des changements que nous t’avons mentionnés lors de notre dernière communication avec toi ?
Q : (TF) C’était nécessaire. Content que ce… que l’année passée soit terminée.
R : Ce n’est pas terminé.
Q : (TF) Oui, plusieurs choses restent à faire…
R : Beaucoup de changements restent Ă venir.
Q : (TF) C’est vrai. (L) Est-ce que Tom va ressentir positivement au moins 50% d’entre eux ?
R : Environ 100~\%. Quand la conclusion sera atteinte, tu verras, Tom, que cette «lutte» ou ce «défi» relatif aux perceptions de fin/début imminents de millénaire, était en réalité un passage ouvert par ton subconscient pour entamer le processus nécessaire consistant à examiner la métamorphose de ton propre être.
Q : (TF) Donc, j’avais des motivations subconscientes personnelles quand j’ai décidé de suivre ce sujet ? C’était pour moi ?
R : Oui.
Q : (TF) Eh bien, cela a assurément apporté beaucoup de souffrances.
R : Avec la souffrance vient le renouveau.
Q : (TF) Qu’en est-il de la maladie que j’ai eue en début d’année ?
R : Purge de «poisons» accumulés de nature émotionnelle/spirituelle.
Q : (TF) Ça je le vois bien ! Oui, c’est très vrai. Mais, vous avez indiqué qu’il y avait plus. Qu’est-ce qui peut arriver de plus ?
R : Désormais, finalement, tu vas pouvoir avancer et faire des progrès significatifs, y compris dans des voies pas encore imaginées !
Q : (C) Et en ce qui me concerne ?
R : Précise.
Q : (C) L’année prochaine sera-t-elle comme l’année passée ?
R : Eh bien, évidemment que non. Attention à ceux dont la nature est de penser qu’il y a des plans gravés dans le marbre et qui requièrent ta participation !
Q : (C) Je ne comprends pas. Donnez-moi un indice.
R : Quelqu’un proche de toi croit que ta participation est nécessaire pour son succès ou son bonheur. Cherche à perturber les efforts pour couper les liens légaux.
Q : (L) Nous aimerions pouvoir parler avec Max Planck, et aussi Nicola Tesla. Pensez-vous que vous pourriez arranger ça, comme vous avez arrangé notre discussion avec Sandra ?
R : Peut-être, mais les énergies sont éparpillées dans le plan intemporel de la 5e densité quand il n’y a pas eu connaissance personnelle.
Q : (TH) Eh bien, on connaît la constante de Planck ! (L) Oui, et hop !
R : Non, pas hop.
Q : (L) Donc, vous dites que c’est possible mais que ça nécessite un petit effort ?
R : Oui.
Q : (L) Apparemment, Sandra et Keith ont pu nous joindre à cause des liens psychiques. Pourriez-vous prendre un genre de rendez-vous avec Max et Tesla pour qu’on puisse leur parler ? Peut-on supposer qu’ils sont toujours là -bas, qu’ils ne se sont pas réincarnés ?
R : Un rendez-vous ? Atterris ! Cette dimension est intemporelle, c.-à -d. que les extensions de l’essence de vos êtres sont «toujours» là -bas aussi !
Q : (L) Eh bien, sur ce, on va dire bonne nuit et garder la conversation avec Planck pour une séance ultérieure.
R : Bonne nuit.
Fin de la séance
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Date de la séance : 5 avril 1997
Participants : Laura, Ark, «Frank», Alice, Tom [chroniqueur du St. Petersburg Times], Cherie [photographe du St. Petersburg Times], Tom H
Q : (L) Bonsoir.
R : Bonsoir.
Q : (L) Et quel nom allons-nous utiliser ce soir ?
R : Marra.
Q : (L) Et d’où transmettez-vous ?
R : Cassiopée.
Q : (L) Voici ma première question : si, comme vous le dites, la mémoire est l’enregistrement conscient et subconscient de perceptions, et qu’il se produit une «fusion de réalités», comme vous l’avez également décrit précédemment – une espèce de manipulation du temps – les perceptions individuelles en sont-elles automatiquement modifiées ?
R : Les perceptions «sautent» en place selon des points de repère dans le continuum éternellement présent.
Q : (L) Quels sont ces points de repère ?
R : Ruptures expérientielles dans le domaine perceptuel de la continuité.
Q : (L) Les points de repère sont des ruptures expérientielles. Donc, on fait l’expérience de ruptures, lesquelles deviennent des points de repère… les perceptions se mettent en place… cela veut-il dire que quand il y a perception d’une rupture, une partie de la psyché cherche à colmater cette brèche en sautant dans une sorte de…
R : La définition des réponses précédentes ne te deviendra claire qu’après réflexion, ma chère !
Q : (L) Mmm… ce saut perceptif se produit-il collectivement ou certaines personnes sont-elles immunisées contre ça ?
R : ! Como !?! Quoi, dirent les perplexes, d’un air incrédule !
Q : (L) Bon, vous avez dit que la mémoire était subjective, mais pas l’atome. Si la mémoire est subjective, ce que vous décrivez signifie que chacun a une perspective légèrement différente, même s’il est impliqué dans un même incident ou une même séquence temporelle.
R : Bien sûr !
Q : (L) Mais ça implique aussi que…
R : C’est le trésor de l’apprentissage.
Q : (L) Qui est le trésorier ?
R : L’apprenti.
Q : (L) Mais malgré tout, vous sous-entendez qu’un atome a une existence objective. C’est bien ça ?
R : Oui.
Q : (L) Pourriez-vous nous dire, s’il vous plaît, en quoi consiste l’objectivité ?
R : L’effort de la part de l’observateur de laisser les préjugés «à la porte».
Q : (L) Quel rapport y a-t-il entre l’effort de la part de l’observateur de laisser les préjugés à la porte et l’existence objective de l’atome ?
R : Un atome – et il en va de même pour tout le reste – ne peut exister sans observateur.
Q : (L) Alors dans le cas de l’objectivité de l’atome, si les observateurs humains ne sont pas objectifs, où se trouve l’observateur qui rend l’atome objectif ? À moins que l’atome n’existe pas s’il n’y a pas d’observateur ?
R : Oui. À cette dernière proposition.
Q : (L) Oui à quelle partie ?
R : La dernière proposition.
Q : (L) Il doit donc y avoir un observateur. L’observateur doit-il être humain ?
R : L’observateur doit être une conscience.
Q : (L) Si vous dites qu’un atome a une existence objective mais qu’il ne peut exister que s’il est perçu par une conscience, alors un atome n’a pas d’existence objective, exact ?
R : Non.
Q : (L) D’accord, quelle est la distinction ? Vous dites que l’objectivité est la tentative de la part de l’observateur de laisser les préjugés à la porte.
R : Sans conscience, il n’y a ni objectif, ni subjectif !!
Q : (L) Donc l’important est de tenter de laisser les préjugés à la porte, de la même manière qu’on ne devrait pas anticiper pour pouvoir créer ?
R : Oui.
Q : (L) Eh bien, c’est vraiment coton… (A) La conscience est-elle objective ?
R : La conscience est objective, jusqu’à ce qu’elle soit capable de choisir d’être autrement.
Q : (L) Qu’est-ce qui stimule ce changement, qui donne cette capacité de choisir ?
R : L’introduction du préjugé.
Q : (L) Dans un sens cosmique – celui de la conscience cosmique, de la Conscience Unique Unifiée – qu’est-ce qui stimule la capacité de choisir ?
R : Quand le voyage atteint l’union avec l’Un, toutes ces leçons sont terminées.
Q : (L) Mais ça ne répond pas à la question.
R : Oh que si !
Q : (L) Petit changement de sujet. La nuit dernière, j’ai vécu une expérience bizarre. Je ne pense pas qu’on puisse appeler ça un rêve, mais c’était similaire à ce qui s’est passé il y a quelques semaines. De cette expérience, je n’ai pu ramener que deux mots : «trois dominos», qui semblaient être très importants. Mais maintenant, ils n’ont absolument aucun sens. Pourriez-vous me donner un indice concernant la signification des trois dominos et de ces expériences que je vis ?
R : Une signification possible : trois points de vente Domino’s Pizza à Gainesville.
Q : (L) Très bien, une autre signification possible ?
R : Il manque trois dominos dans ta boîte de dominos.
Q : (L) D’accord, une autre ?
R : À ton tour !
Q : (L) Quoi que c’ait été ça venait d’un niveau très profond du subconscient, et je savais que si je ne le remontais pas, je le perdrais. OK, quand ces événements se produisent…
R : Pas un rĂŞve important, Laura.
Q : (L) Bon, peut-être que ce n’était pas un rêve important, mais c’était accompagné par de très sérieux… qu’est-ce que je faisais ? (A) Tu te débattais. (L) C’est ce que je faisais avant ce rêve. Lutter et me débattre. Et à ma connaissance, je n’ai jamais fait ça auparavant dans ma vie. Je suis considérée comme une dormeuse monophasique. (A) Comment le sais-tu ? (L) Parce qu’on me l’a dit. Que j’avais l’habitude de me coucher dans une position et de me réveiller exactement dans la même position, et les couvertures n’étaient même pas froissées.
R : La maison est «affectée».
Q : (L) Cette maison est affectée ?
R : Non.
Q : (L) La maison où nous étions à Gainesville ?
R : Oui.
Q : (L) Est-ce que ça a été ramené de là -bas ?
R : Oui.
Q : (L) À quoi est-ce relié ?
R : Oakwood Drive.
Q : (L) La maison où nous vivions à la campagne…
R : Retournée dans le lit.
Q : (L) Cela renvoie à la nuit où je me suis réveillée retournée dans le lit, avec ma chemise de nuit mouillée jusqu’aux genoux, alors qu’il m’aurait été absolument impossible de me retourner, parce que je dormais contre le mur et qu’il n’y avait tout simplement pas assez d’espace pour ça. Êtes-vous en train de dire que ce sont ces souvenirs qui remontent à la surface ?
R : Souvenirs moteurs.
Q : (L) Des mémoires du corps ?
R : Pas loin.
Q : (L) L’autre soir, Ark et moi avons discuté du symbole qui est apparu dans l’allée [de mon ex-mari] il y a des années.
R : Sceptre ailé.
Q : (A) Nous voulions savoir pourquoi vous l’avez rattaché aux Gris mais n’avez pas voulu dire si un enlèvement avait eu lieu, et plus tard, vous avez dit que l’[ex de Laura] n’avait jamais été enlevé. Donc, quel est le rapport ? Quelle est la connexion ?
R : Les connexions ne sont pas toujours «suivies dans le temps».
Q : (L) Eh bien, Ark a fait remarquer que cela n’avait peut-être rien à avoir avec [mon ex], mais que c’était un message pour nous dans le présent. Quel était le message, et à qui était-il destiné ?
R : Pas un message. Un point de repère.
Q : (L) Est-ce un point de repère au sens où vous l’avez décrit il y a un instant, en relation avec la mémoire ?
R : Pas loin.
Q : (L) Qui ce point de repère était-il censé affecter ?
R : Concept inexact.
Q : (L) Quel est le bon concept ?
R : Tous les événements sont synchrones uniquement quand la perception devient un catalyseur d’apprentissage.
Q : (TH) Que signifie synchrone dans ce contexte ?
R : Découvert uniquement quand la leçon est terminée.
Q : (TH) Est-ce qu’ils veulent dire que tous les événements existent quelque part en dehors du temps, et que nous en faisons juste l’expérience séquentiellement ?
R : Pas loin, Tom.
Q : (L) Et pourquoi discutions-nous de ce sujet particulier dans cette maison de Gainesville… [Le portable de TF indique que la batterie est presque déchargée en annonçant «Hasta la vista, Baby !»] (TH) Voici ta réponse ! Deus ex machina ! (L) Pourquoi la discussion sur ce symbole a-t-elle été évoquée, et plus ou moins en synchronicité avec mes rêves agités, et qu’ensuite, vous avez mentionné les souvenirs moteurs et l’incident d’Oakwood Drive…
R : Réfléchissez. S’il vous plaît, ne partez pas tout de suite, M. French !
Q : (L) Pourquoi ne voulez-vous pas que Tom parte ?
R : Nous pourrions avoir certaines choses Ă lui dire.
Q : (L) Quoi ?
R : Pas encore.
Q : (L) C’est Cherie qui doit partir. Elle fait une réaction allergique à la fumée.
R : Vraiment ? Que penses-tu des choses, des changements que nous t’avons mentionnés lors de notre dernière communication avec toi ?
Q : (TF) C’était nécessaire. Content que ce… que l’année passée soit terminée.
R : Ce n’est pas terminé.
Q : (TF) Oui, plusieurs choses restent à faire…
R : Beaucoup de changements restent Ă venir.
Q : (TF) C’est vrai. (L) Est-ce que Tom va ressentir positivement au moins 50% d’entre eux ?
R : Environ 100~\%. Quand la conclusion sera atteinte, tu verras, Tom, que cette «lutte» ou ce «défi» relatif aux perceptions de fin/début imminents de millénaire, était en réalité un passage ouvert par ton subconscient pour entamer le processus nécessaire consistant à examiner la métamorphose de ton propre être.
Q : (TF) Donc, j’avais des motivations subconscientes personnelles quand j’ai décidé de suivre ce sujet ? C’était pour moi ?
R : Oui.
Q : (TF) Eh bien, cela a assurément apporté beaucoup de souffrances.
R : Avec la souffrance vient le renouveau.
Q : (TF) Qu’en est-il de la maladie que j’ai eue en début d’année ?
R : Purge de «poisons» accumulés de nature émotionnelle/spirituelle.
Q : (TF) Ça je le vois bien ! Oui, c’est très vrai. Mais, vous avez indiqué qu’il y avait plus. Qu’est-ce qui peut arriver de plus ?
R : Désormais, finalement, tu vas pouvoir avancer et faire des progrès significatifs, y compris dans des voies pas encore imaginées !
Q : (C) Et en ce qui me concerne ?
R : Précise.
Q : (C) L’année prochaine sera-t-elle comme l’année passée ?
R : Eh bien, évidemment que non. Attention à ceux dont la nature est de penser qu’il y a des plans gravés dans le marbre et qui requièrent ta participation !
Q : (C) Je ne comprends pas. Donnez-moi un indice.
R : Quelqu’un proche de toi croit que ta participation est nécessaire pour son succès ou son bonheur. Cherche à perturber les efforts pour couper les liens légaux.
Q : (L) Nous aimerions pouvoir parler avec Max Planck, et aussi Nicola Tesla. Pensez-vous que vous pourriez arranger ça, comme vous avez arrangé notre discussion avec Sandra ?
R : Peut-être, mais les énergies sont éparpillées dans le plan intemporel de la 5e densité quand il n’y a pas eu connaissance personnelle.
Q : (TH) Eh bien, on connaît la constante de Planck ! (L) Oui, et hop !
R : Non, pas hop.
Q : (L) Donc, vous dites que c’est possible mais que ça nécessite un petit effort ?
R : Oui.
Q : (L) Apparemment, Sandra et Keith ont pu nous joindre à cause des liens psychiques. Pourriez-vous prendre un genre de rendez-vous avec Max et Tesla pour qu’on puisse leur parler ? Peut-on supposer qu’ils sont toujours là -bas, qu’ils ne se sont pas réincarnés ?
R : Un rendez-vous ? Atterris ! Cette dimension est intemporelle, c.-à -d. que les extensions de l’essence de vos êtres sont «toujours» là -bas aussi !
Q : (L) Eh bien, sur ce, on va dire bonne nuit et garder la conversation avec Planck pour une séance ultérieure.
R : Bonne nuit.
Fin de la séance