Séance du 12 août 1995

Jacques

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Merci aux membres de l'équipe française pour cette traduction.
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Séance du 12 août 1995

Participants : « Frank », Laura et SV

Les mises en garde habituelles concernant les séances de channeling en état de transe s'appliquent bien que ce fût l'une des meilleures.

Induction de la transe

Q : (L) Êtes-vous prêts pour nos questions ?

R : Oui.

[Suggestions pour améliorer la clarté de la communication]

Q : (L) Avez-vous un message pour S__ ou moi en ce moment ?

R : Non.

Q : (L) Très bien. Alors, passons à nos questions. La première est : quelle est la source des Védas, le système philosophique hindou ?

R : Ils ont plus d’une source.

Q : (L) Comment était la source générale, positive ou… ?

R : Question très vague.

Q : (L) Est-ce un groupe de personnes qui les ont rassemblés au cours des siècles, ou était-ce des informations canalisées, ou… ?

R : Ils résultent de la méditation.

Q : (L) Et quelle race est à l’origine de ces informations ?

R : Les Caucasiens.

Q : (L) À quelle époque les Védas ont-ils été reçus ?

R : Des fragments d’information ont été reçus ici et là, puis ont été assemblés plus tard sous le titre qui est le leur aujourd’hui.

Q : (L) De quel monde provenaient les informations reçues au cours de ces méditations ?

R : Du monde du subconscient.

Q : (L) Certaines des informations védiques ont-elles été transmises au genre humain par des extraterrestres ?

R : Pas comme tu le définirais.

Q : (L) De quels types d’êtres ou de quel niveau de densité ces informations provenaient-elles ?

R : Troisième.

Q : (L) Pouvez-vous nous en dire plus en général ?

R : Si tu le demandes.

Q : (L) Quel est le taux d’exactitude des informations contenues dans les Védas ? Dans l’ensemble ?

R : Exactes à quel niveau ?

Q : (L) De 3e densité.

R : Exactes dans quelle mesure et de quelle manière ?

Q : (L) Eh bien, en général, en termes de façon de vivre et de percevoir l’Univers.

R : Il est extrêmement difficile de répondre à cette question, car l’exactitude, dès qu’il s’agit de percevoir l’Univers et la vie, est entièrement sujette à interprétation : chacun peut s’aligner sur l’univers parallèle correspondant à l’information donnée. Or, nous avons déjà dit qu’il est possible de créer des univers parallèles par l’énergie de la pensée ; une fois créés naturellement, ils correspondent forcément à l’interprétation donnée à leur sujet.

Q : (L) Faire usage de mantras peut-il être bénéfique ?

R : Particulièrement lorsque le mental pense que ce sera le cas. Rappelle-toi : pratiquement tout le pouvoir nécessaire à la modification de la réalité et de la physicalité est contenu dans le centre de croyance du mental. C’est quelque chose que tu comprendras mieux lorsque tu auras atteint la 4e densité, où la physicalité n’est plus une prison, mais une demeure modifiable à ta guise. Dans ton état présent, tu fais une erreur d’interprétation en croyant que la réalité est finie : là résident tes difficultés avec l’existence physique finie. Nous nous étonnons que tu ne puisses pas encore saisir complètement ce concept.

Q : (L) Eh bien, je pense ne pas si mal saisir le concept que ça, mais je pose des questions pour obtenir des réponses afin que les autres comprennent.

R : Ce n’est pas totalement honnête.

Q : (L) Touché. Est-il vrai que la récitation de mantras peut avoir l’effet d’un détachement d'esprits, ou d’un exorcisme ?

R : Si cela te plaît.

Q : (L) La semaine dernière, à propos du détachement d’esprits et de l’exorcisme, la remarque a été faite que s’ils sont pratiqués de manière adéquate par la « bonne » personne, alors ni les individus ni les lieux impliqués n’encourront d’effets secondaires, ni d’événements néfastes. Que veut dire « pratiqués de manière adéquate » ? Quelle est la forme ou quel est le mode adéquat pour réaliser un exorcisme ?

R : La manière adéquate suppose sincérité et compréhension, et d’avoir pleine conscience et foi dans les actions entreprises. Autrement dit, lorsqu’on pose un acte en prétendant qu’il aura l’effet escompté, et qu’on n’est pas entièrement convaincu qu’il produira réellement le résultat souhaité, alors l’effort échouera par manque de foi. Tandis que lorsqu’on possède une foi totale et une compréhension des différentes densités, alors ces actes sont véridiques, et utiles tels que prescrits, et c’est la bonne manière de les accomplir.

Q : (L) La foi n’est-elle pas une denrée difficile à acquérir ?

R : Pas du tout. Lorsqu’on découvre un fragment de vérité, on reçoit des démonstrations qui ancrent la foi.

Q : (L) Je vois. Quels sont les critères qui définissent la « bonne personne » pour réaliser un exorcisme ou un détachement d’esprits ?

R : Les mêmes que la réponse précédente.

Q : (SV) J’ai une question. Jan et Terry ont suivi des sortes de cours auprès d’un moine bouddhiste. Cela peut-il les aider, ou nous aider, à entrer en eux et à résoudre des problèmes ?

R : N’importe quelle méthode employée peut être utile pour, comme tu dis, résoudre des problèmes ou trouver des réponses, si l’effort est effectivement sincère et la quête authentique plutôt que de faire les choses machinalement, pour ainsi dire.

Q : (L) Il y a plusieurs semaines, nous avons procédé à une vision spirituelle de Terry et Jan, et nous avons vu quelque chose qui obscurcissait Terry, ainsi qu’autre chose à l’intérieur. On a ensuite pratiqué un détachement d’esprits direct et rien de ressemblant à ce qui avait été observé ne s’est vaguement révélé ou dévoilé. Pourquoi cela ?

R : Compliqué, complexe.

Q : (L) La vision était-elle erronée ?

R : Non.

Q : (L) Qu’est-ce qui a été vu lorsqu’on a pratiqué le détachement sur Terry ?

R : Ce n’est pas la bonne question.

Q : (L) Quelle est la bonne question ?

R : Variabilité des circonstances.

Q : (L) Donc, dans la circonstance où il se trouvait lors de la vision, il y avait quelque chose qui n’était plus là quand la circonstance a changé ?

R : Pas exactement. Deux types d’activités différents impliqués. L’une était une vision de loin, l’autre un détachement d’esprits. Ce sont deux types d’activités distincts employant le processus de channeling parapsychique ou éthérique, par conséquent les points de vue peuvent être altérés par de multiples facteurs, dont les blocages émotionnels ou le changement de circonstances, pour n’en citer que deux.

Q : (L) Lors d’une séance précédente, nous avons demandé s’il y avait déjà eu quelqu’un dans notre groupe, ou quelqu’un ici, qui avait été envoyé pour perturber le groupe ou entraver le canal ? La réponse a été que c’était fort probable, mais que nous devions apprendre à le déceler par nos propres moyens. Nous en avons discuté sous différents angles, et il semble apparaître qu’une partie de ce potentiel de perturbation est venu au travers de Terry ou Jan, si ce n’est de Terry et Jan, comme vous l’aviez dit précédemment.

R : Eh bien, à nouveau, tu simplifies un problème complexe en cherchant une vaste réponse générale à des questions qui mériteraient d’être scindées en questions plus simples.

Q : (L) Terry et Jan ont-ils été envoyés dans notre groupe pour le perturber ?

R : Non.

Q : (L) Eh bien, la réponse semblait indiquer qu’il y avait un perturbateur, et si ce ne sont pas eux, alors ça doit être l’un de nous ?

R : Non.

Q : (L) Était-ce quelqu’un d’autre à un autre moment ?

R : Il ne s’agit pas de quelqu’un au sens d’un être physique de 3e densité, mais de quelqu’un attaché à un être physique de 3e densité qui peut passer d’être en être au gré des circonstances. Pourquoi devrais-tu penser que tout individu physique donné compte exactement les mêmes environnements et attachements en tout temps ? Cela peut évidemment changer. Par conséquent, s’il y a attaque, ne serait-il pas bien plus efficace de la lancer à travers toutes les personnes présentes à un moment donné afin de l’entretenir ? Il est assez naïf de supposer qu’elle soit si limitée que la suppression physique d’un quelconque être de 3e densité donné écartera toute possibilité d’attaque lorsqu’un mode d’attaque résultant de la présence dudit être a été identifié.

Q : (L) Certaines personnes sont-elles plus prédisposées à des manœuvres d’attaque que d’autres ?

R : Eh bien, à nouveau, une composante de variabilité plutôt que de fixité est impliquée ici.

Q : (L) Eh bien, si je me souviens bien, lorsque j’ai posé la question au départ, je crois avoir précisé une personne de 3e densité et non quelque chose d’éphémère.

R : Si tu demandes s’il est possible qu’un être de 3e densité cherche consciemment à perturber vos activités, oui, c’est assurément possible. Est-ce déjà arrivé ? Non. Cela signifie-t-il que ça ne peut pas arriver ? Non. Cela veut-il dire que ça va arriver ? Il y a toujours une forte chance, car vos activités sont de nature à susciter des attaques de toutes sortes. Par conséquent, vous devez être aux aguets. Cependant, il est également sage de ne pas devenir obsédé par un quelconque mode d’attaque en particulier puisque de très, très, très nombreux types peuvent être utilisés. Des types que tu ne peux même pas imaginer.

Q : (L) OK. Est-ce que ma sensibilité à l’atmosphère, aux attitudes, etc. pourrait être une forme d’attaque contre moi ?

R : C’est une possibilité. L’attaque peut ne pas consciemment émaner de l’être physique de 3e densité comme c’est le cas pour tous les êtres de 3e densité.

Q : (L) Ce que je voulais demander c’est si ma réaction émotionnelle est faussée ?

R : Possible, et si tel est le cas, alors l’attaque est évidemment réussie.

Q : (L) Comment puis-je le déterminer ?

R : En étant totalement sincère et en communiquant avec toutes les parties en tout temps. Garder des secrets ne peut que mener à l’échec.

Q : (L) Bien, est-ce que Terry et Jan sont très importants pour ce groupe ? J’essaye de leur parler mais il semble que leurs émotions les empêchent de m’entendre, ou que leurs attitudes et leurs réponses stoppent net mes tentatives d’aborder les problèmes. Il m’est quasiment insupportable d’être sans cesse interrompue, et c’est une constante avec eux… quand ils n’essayent pas de surenchérir mutuellement.

R : Eh bien, nous suggérons à nouveau que tu essayes d’éviter les demandes subjectives. Nous te prions de t’arrêter pour te demander, avant de porter un jugement, si ceux que tu appelles Terry et Jan, et toutes les parties dans une quelconque mesure, peuvent quand même être d’un quelconque bénéfice pour tous ceux qui sont impliqués.

Q : (L) Eh bien, je ne saisis pas trop le sens, là. Frank est le canal. C’est évidemment une fonction importante. Sans canal, il est évident qu’il n’y a pas de groupe. N’est-ce pas ?

R : Exact.

Q : (L) Donc, par conséquent, hormis Frank, aucun de nous n’est concrètement vraiment important ?

R : Faux.

Q : (L) Pourquoi cela ?

R : Vague.

Q : (L) Pouvez-vous définir nos rôles ?

R : C’est à chacun de vous de définir le rôle que vous considérez remplir et de vous les communiquer mutuellement. Si vous le faites, cela pourra donner à chacun une image plus claire de la situation et évitera aussi les possibilités de malentendus, de conflits d’intérêts, comme cela peut se produire dans toute situation où il y a un manque de communication. Tu vois, c’est l’un des nombreux modes d’attaque employés avec grand succès par ceux qui souhaitent voir ces efforts cesser, et l’attaque est des plus ingénieuses, car elle suppose de jouer avec le subconscient d’où émanent 92 % de tous les processus de réflexion en 3e densité.

Q : (L) Eh bien, je n’ai pas l’impression que Terry et Jan soient ouverts à la communication honnête. Ils sont tout à fait disposés à pointer les problèmes des autres, mais ils ne veulent rien entendre si quelqu’un a un problème avec eux.

R : Alors il semblerait que ce ne soit pas une tribune libre.

Q : (L) Comment une tribune peut-elle être libre avec des gens qui ne sont pas honnêtes envers eux-mêmes ?

R : Subjectif.

Q : (L) Bien sûr que c’est subjectif. N’est-il pas significatif que depuis leur arrivée dans le groupe, le niveau d’information se soit détérioré avec l’apparition de non-réponses vagues ?

R : Attention à ne pas interpréter des approches mécaniques incorrectes comme des caractéristiques déficientes de la personnalité ou de la nature. Il est important de faire la différence entre ce qui est modifiable, guérissable, ou qui peut être amélioré, avec ce qui est incurable, immuable, et ne peut pas être amélioré. De même, réalise aussi qu’en tant qu’êtres SDS de 3e densité, il est très facile pour vous tous, pour chacun d’entre vous, de tomber dans le piège, qui constitue évidemment une forme d’attaque émanant de la 4e densité SDS ; de tomber dans le piège de chercher à servir le soi même lorsqu’on coopère ou communique avec d’autres. Au final, cela peut entraîner un déraillement de toutes les activités visant à améliorer une situation ou à susciter une vaste assistance.

Q : (L) Tout à l’heure, j’ai discuté avec Ram, l’astrologue védique. Il estime que l’idée védique de la nature des Lézards est exacte, à savoir qu’il s’agit de l’activation du principe sexuel, de la kundalini, en nous. Toute activité ovni ou extraterrestre n’est que le reflet de ce qui est en nous tous. Est-ce le cas ?

R : Une partie de la réponse à cette question, si tu te réfères aux réponses et aux questions qui précèdent, est de nature semblable. Mais en vérité, ces questions trouveront leur meilleure réponse en te demandant ce que tu crois vraiment, en te basant sur les connaissances que tu as acquises et sur celles qui t’ont été données.

Q : (L) Il m’arrive en fait de me demander s’ils ne font pas partie de nous, dans un univers parallèle, et s’ils n’émergent pas dans notre monde en interagissant avec nous de manière négative. Et si les histoires des relations entre humains et aliens ne sont pas en fait autre chose que l’accomplissement d’opérations mécaniques humaines guidées par l’aspect négatif du Soi dans une autre dimension ou densité. N’est-ce pas tout à fait possible ?

R : Pas dans le sens où tu l’entends. Rappelle-toi : il est toujours sage, lorsque de nouvelles idées te viennent, de revoir toutes les informations préalablement recueillies. Cela est vrai dans ce cas-ci, mais également dans tous les autres. Par exemple, combien de fois de simples modes de pensée, ou des réalités provenant d’un univers parallèle, apparaissent-ils dans des endroits déserts et sont-ils reçus par des êtres de 3e densité pour être étudiés dans le monde de la 3e densité ? Et si tu crois vraiment que cela s’est produit, ce qui est le cas, alors il faut en examiner la signification, et en quoi cela est lié au postulat selon lequel sont impliqués des niveaux de densité bien plus élevés sur le plan éthérique, et/ou des possibilités interdimensionnelles impossibles à appréhender dans le monde de 3e densité. Ces théories sont certainement des éléments de réponse — mais des éléments seulement — et aucune d’entre elles n’est la réponse tout entière. Et nous te mettons sérieusement en garde : ne tombe pas dans le piège qui consiste à croire dur comme fer à la première explication venue, parce qu’il s’agit là aussi d’une forme d’attaque qui peut avoir des conséquences désastreuses.

Q : (L) Des vaisseaux extraterrestres tangibles ont donc bien été capturés, ou retrouvés et examinés par le gouvernement ?

R : En doutes-tu une seule seconde ?

Q : (L) Eh bien, je me demande parfois si tout cela n’a pas été concocté par le gouvernement pour nous rendre tous fous !

R : Disons que c’est un concept intéressant, mais nous pouvons t’assurer que ce n’est en aucune manière le cas.

Q : (L) Mais si ces vaisseaux émergent dans notre réalité depuis la 4e densité – comme le font certains d’entre eux, je suppose – comment peuvent-ils subsister ici ? Deviennent-ils des objets entièrement physiques, et restent-ils ici ?

R : S’ils tombent en panne en 3e densité, alors ils se retrouvent figés en 3e densité. C’est élémentaire.

Q : (L) C’est vrai aussi pour les créatures ?

R : Précisément.

Q : (L) Ils sont donc, dans un sens très concret, tout à fait réels et physiques…

R : Ils sont très réels et physiques en 4e densité également. La différence est que la physicalité de la 4e densité n’est pas celle de la 3e densité. Mais cela ne veut pas dire qu’il n’y a pas de physicalité en 4e densité. Pour couper tout lien avec la physicalité, il faut atteindre la 6e densité, ou plus. Tout ce qui est en dessous implique un aspect physique ou un attachement à la physicalité, comme en 5e densité — la zone de contemplation — qui est simplement un recyclage, sur le plan éthérique, de ceux qui sont en 1ère, 2e, 3e et 4e densité. Ils sont ramenés et recyclés dans un des mondes physiques. Les niveaux de densité de un à quatre impliquent de moins en moins de physicalité, comme tu le sais, mais de la physicalité quand même. Cependant, la physicalité de 3e densité reste constante en 3e densité et lorsqu’un être, ou un vaisseau, ou tout instrument manufacturé ou conçu en 4e densité arrive en 3e densité, il est capable de naviguer au sein de la réalité de la 3e densité tout en restant dans la 4e. Mais quand il est endommagé, ce qu’il en reste demeure en 3e densité. Tout récit faisant état d’objets ou de structures matérielles (créatures ou élaborations) qui disparaissent de la 3e densité pour aller en 4e concerne, dans tous les cas, un objet ou un être, ou une construction, qui n’est pas endommagé. Quelque chose d’encore tout à fait opérationnel dans son monde de 4e densité. C’est seulement la visite en 3e densité qui a des effets restrictifs et, comme vous mesurez le temps au passage de l’objet, il disparaît naturellement, à un moment donné, en 4e densité. Cependant, si l’objet est un tant soit peu endommagé, cassé, ou modifié, il reste en 3e densité.

Q : (L) Donc, si l’on enlève un implant, la meilleure manière de le garder ici [en 3e densité – NdT] est de le détruire ?

R : Si l’on enlève un implant, c’est qu’il ne fonctionne plus comme il le devrait.

Q : (L) OK. Nous sommes donc dans le concret ici, et ce film fournit peut-être la preuve d’une interaction avec des entités et un vaisseau accidentés issus de la 4e densité. Apparemment, il va être diffusé à la télévision. Le film de cette autopsie et de l’examen des restes du vaisseau est-il authentique, ou bien s’agit-il d’un montage ou d’une mystification ?

R : Eh bien, pour en retirer le maximum de connaissances, ce film devrait être vu par ceux qui recherchent la vérité, afin qu’ils déterminent par eux-mêmes s’il est ou non authentique — ce qu’ils pourront faire en le visionnant.

Q : (L) Eh bien, j’en ai bien l’intention. Maintenant, j’aimerais passer à une question personnelle. J’aimerais savoir si mes conditions de vie actuelles sont de nature karmique ?

R : Toutes les difficultés dans la vie personnelle sont karmiques d’une façon ou d’une autre. En particulier, celles qui impliquent des relations avec d’autres êtres dotés d’âme. Et plus ces relations sont étroites, plus elles sont karmiques. Ça, tu le sais déjà.

Q : (L) Eh bien, la difficulté c’est de savoir ce qu’il y a de mieux à faire.

R : Le processus consistant à apprendre des apparences se poursuit au cours de l’intégralité de l’existence et s’accomplit par une action ou une autre. Tout acte, toute action possible, toute orientation de l’action facilite l’apprentissage continu. Par conséquent, il n’est pas possible, au sens ultime, de faire des erreurs. Mais ce qui est karmique doit être pleinement vécu. Les choix qui sont faits reflètent des choix faits avant d’entrer dans le plan physique de 3e densité conjointement à des opportunités qui se présentent avec la variabilité de la réalité dans son état de fluidité. Par conséquent, les décisions à prendre se présenteront d’elles-mêmes quand elles devront l’être, et c’est uniquement la capacité à accepter objectivement l’interprétation qui détermine si le processus d’apprentissage donnera lieu à plus ou moins de souffrance.

Q : (L) Pourquoi l’apprentissage doit-il être douloureux ?

R : Il ne le doit pas.

Q : (L) Eh bien, il semble que ce soit invariablement le cas pour moi.

R : Cela dépend des perceptions de celui qui en fait l’expérience, et non de critères absolus.

Q : (L) Nous aimerions en savoir un peu plus sur les rituels, puisque vous nous avez avertis qu’ils étaient restrictifs à bien des niveaux. Pourquoi cela ?

R : Dès lors qu’on a sincèrement et profondément foi en ses propres actes, ils produisent sans aucun doute certains bienfaits à certains niveaux. Mais se contenter de suivre des routines pour le plaisir de suivre des routines ne génère pas la sincérité ni la foi nécessaires pour que de suprêmes bienfaits en résultent. Dès lors, pour pouvoir répondre à cette question, il faut, comme toujours, partir de l’intérieur et non de l’extérieur. Comprends-tu ? Pour te donner un exemple, c’est une situation que tu rencontres sans cesse. Si un livre te conseille telle ou telle forme de rituel, et que tu mets ce rituel en pratique parce que tu en as lu les mots imprimés sur ses pages, éprouves-tu vraiment en ton for intérieur un intense sentiment de satisfaction et d’accomplissement ? Tandis que si tu poses de toi-même un acte qu’on pourrait, de l’extérieur, qualifier de rituel, alors qu’il vient de ton for intérieur, et qu’il te semble juste, que tu éprouves une foi totale et sincère en lui — cela ne te paraît-il pas plus juste ?

Q : (L) Si.

R : Alors, avons-nous répondu à la question ?

Q : (L) Oui, merci.

R : Alors, nous dirons bonne nuit.

Fin de la séance
 
Merci à l'équipe Française pour la traduction...

Thanks to the French team for the translation....
 
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