Séance du 13 mars 1996

Jacques

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Merci aux membres de l'équipe française pour cette traduction.
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Séance du 13 mars 1996

Participants : « Frank » et Laura

Q : (L) Bonjour.

R : Bonjour.

Q : (L) Qui est avec nous ce soir ?

R : Vinxyoh.

Q : (L) Et d’où venez-vous ?

R : Cassiopée.

Q : (L) Vous avez dit un jour que vous étiez toujours avec nous. Si tel est le cas, alors vous avez dû entendre notre discussion de tout à l’heure relative au fait que depuis qu’on a commencé ce projet, le magazine, etc., on dirait que les attaques les plus horribles affluent de toutes parts. Je suis vraiment épuisée. On m’attaque à l’extérieur, et on m’attaque à la maison. Je suis fatiguée de ces scènes. Je suis fatiguée des récriminations et de l’exaspération. Je suis fatiguée d’abattre tout le travail et de voir tout le monde débarquer pour que je résolve leurs problèmes. Je suis fatiguée d’être malade. Je suis fatiguée d’avoir mal. Je suis fatiguée de ne pas connaître les réponses. Je suis tout simplement épuisée. Je suis prête à jeter l’éponge. À arrêter. À me contenter de rester assise et à végéter. Des commentaires ?

R : Que veux-tu savoir ?

Q : (L) Je veux savoir si l’application de la loi de Murphy va s’arrêter.

R : Ce n’est pas le problème.

Q : (L) Eh bien, pour des êtres censés être capables de lire les pensées, vous n’êtes pas d’une grande aide ! Pourquoi ne lisez-vous pas tout simplement dans mes pensées pour me dire ce que j’ai besoin de savoir ?

R : Tu as besoin de lire dans tes propres pensées !

Q : (L) Si l’on considère l’état d’esprit dans lequel je me trouve actuellement, on dirait presque une réponse sarcastique !

R : Non.

Q : (L) Qu’ai-je dans la tête ?

R : Interroge-toi. Découvre.

Q : (L) Eh bien, ce qui s’en rapprocherait le plus serait de dire que je souffre de la plus grave perte de foi que j’ai jamais connue. Sue et sa mère. Pat et les ennuis pour imprimer le magazine. Le conseil scolaire. Les givrés de l’ISCNI. Mike Lindemann...

R : Nous t’avons prévenue qu’il y aurait des attaques.

Q : (L) J’en suis au point où je ne pourrai pas en supporter davantage. On peut arrêter le channeling, les écrits, internet... tout. Je veux arrêter.

R : Et à ton avis, quelles en seront les conséquences pour toi ?

Q : (L) Eh bien, peut-être que certaines attaques cesseront.

R : Ou peut-être pas !!

Q : (L) Alors j’ai besoin que vous me disiez ce que je peux faire. Je suis en train de me noyer là ! J’ai besoin de savoir comment me protéger.

R : Réoriente quelque peu la direction prise.

R : (L) Vers quoi ?

R : Interroge-toi.

Q : (L) Manifestement, puisque le magazine a été aussi stressant, tout faire sans aucune aide, je suppose que je vais devoir l’abandonner.

R : Si tu le souhaites, ou peut-être changer de format ?

Q : (L) Changer le format en quoi ?

R : Tout ce qui génère moins de stress.

Q : (L) Eh bien, tout l’intérêt était de créer un vecteur pour les transcriptions. Et c’est cela qui semble générer le stress, parce que les gens ne veulent pas en entendre parler !

R : Ce n’est pas vrai, c’est la façon dont il est présenté !!

Q : (L) Nous l’avons envoyé à des centaines d’adresses. J’ai une liste de distribution. L’autorisation d’envoi en nombre et l’affranchissement coûtent une fortune, sans oublier l’impression. J’en ai envoyé un à D__ et à Val, et des tonnes à d’autres personnes. D__ m’a dit l’autre soir que Val l’avait appelé pour lui dire qu’il ne voulait pas y participer parce que c’était trop décousu et désorganisé. Que c’était un vrai bazar.

R : Si le magazine ne contenait que nos messages, cela ne serait-il pas moins stressant ?

Q : (L) Eh bien, il n’y aura pas d’autre numéro si c’est aussi stressant. Mon but était d’en apporter suffisamment pour qu’une multitude de gens soient intéressés et s’abonnent.

R : Ton « but » est-il le seul et unique ?

Q : (L) Bien sûr que non ! Mais c’est moi qui en ai hérité et je fais simplement du mieux que je peux sans être beaucoup aidée !

R : Parce que tu veux diriger sans conseils.

Q : (L) Attendez une minute. Ce n’est pas juste. J’ai demandé des conseils et il m’a été répondu de découvrir par moi-même. C’est ce que j’ai fait en fonction de ce que je pensais être la meilleure façon d’agir !

R : Nous essayons de t’aider, pas de t’entraver, mais tu dois être disposée à comprendre ce qui est dit. Et cela exige de bien vouloir avoir la foi et être réellement guidé. Il n’est pas bon de « se perdre », comme cela peut arriver quand d’autres problèmes interviennent, tels que les aprioris et le manque de réceptivité, c’est-à-dire l’obsession.

Q : (L) C’est précisément là où je veux en venir. Comment rester réceptive, sans obsession, ou quoi que ce soit d’autre du style ? Ce n’est pas le problème, mais une conséquence des problèmes. Les problèmes ce sont les attaques, comme cette situation avec ma mère, Sue et tous ses problèmes, les enfants, le mari, le magazine, Pat et Patrick...

R : Essaie d’éviter les fardeaux, si possible. Te suggérons aussi d’essayer d’arrêter de résoudre les problèmes à la place des autres, surtout quand ton instinct te le dit ! Souviens-toi, tous suivent un « programme », ou une voie, d’apprentissage différent.

Q : (L) Eh bien, tout ça est bien joli, mais quand les problèmes des autres empêchent de travailler, de sortir le magazine, et d’avoir la sérénité qui m’est nécessaire pour pouvoir me concentrer, il est difficile pour moi de ne pas essayer d’aider à résoudre ces problèmes !

R : Maintenant, cite-nous un exemple d’un problème qui empêche la publication du magazine, s’il te plaît.

Q : (L) Eh bien, le gamin de Pat à l’imprimerie, qui est incapable de mener une quelconque tâche à bien, et encore moins d’avoir les idées claires, m’a obligée à y aller plusieurs fois et à travailler comme une forcenée pour que les exemplaires soient assemblés à temps. Et ça, après avoir passé 18 heures par jour à dactylographier ou à mettre en page ! Je peux vous assurer que si je ne l’avais pas fait, il n’y aurait pas de magazine. Et pendant ce temps, Sue se conduit comme une abrutie parce que sa mère se conduit comme une abrutie... Allez ! Vous pouvez bien voir tout ça, les gars !

R : Nous pouvons aussi « voir » ce que tu ne vois pas !

Q : (L) Et c’est pour ça que je suis assise là à vous poser des questions. Et c’est pour ça que je me suis mise à vous poser des questions... et tout ce que vous m’avez répondu c’est « ouvert », « à toi de voir » et « tu verras bien ». Et maintenant, je suis physiquement épuisée, lessivée, et je suis malade depuis des mois... Vous auriez pu nous le dire ! Sue aurait pu laisser sa mère à la maison de retraite ! Tout ce que je veux, c’est me terrer dans un trou et arrêter !

R : Si on te l’avait dit, tu n’aurais pas appris !!!

Q : (L) Pour commencer, vous auriez pu simplement me dire que Sue n’était pas fiable et qu’elle me causerait tous ces tracas !

R : Subjectif.

Q : (L) Je sais que c’est subjectif, et ce n’est pas vraiment ce que je veux dire, mais si Sue avait endossé ce qui relevait de sa responsabilité et ne m’avait pas sans cesse appelée en pleurs, ou n’avait pas déboulé chez moi pour me culpabiliser, alors j’aurais pu gérer ce que je devais gérer... et elle n’a strictement rien fait de ce qui ne lui plaisait pas, et c’est moi qui en paie le prix !

R : Si tu n’avais rien fait, la situation se serait résolue d’elle-même.

Q : (L) Je déteste vous dire ça, mais ne pas aider les gens quand ils appellent à l’aide ressemble vraiment à une attitude SDS.

R : Non.

Q : (L) Je suis désolée, mais c’est l’impression que ça donne. Dire à quelqu’un : « C’est ton problème, sayonara ! » ne me paraît pas très serviable !

R : Ce n’est pas ce qui doit être dit.

Q : (L) Un tas de choses m’ont vraiment déplu. Je suis très agacée par le fait que lorsque j’ai demandé à Sue de me rendre un minuscule service, à savoir aller acheter une ramette de papier au magasin alors que cela faisait plus de 24 heures que j’étais debout à faire de la mise en page, elle m’a répondu qu’elle ne pouvait pas parce qu’elle avait un torticolis. Et c’est à moi qu’elle dit ça ! Moi, avec ce pus qui s’écoule de mes yeux. Et je suis agacée par le fait que Pat se plaigne durant des heures et des heures, et ignore complètement la moindre petite chose qu’elle pourrait faire pour consolider ses affaires, quand elle ne fait pas carrément l’opposé. Et Sue n’a pas fait face à sa mère, donc ma mère m’a appelée au téléphone pour me dire grosso modo : « C’est toi qui m’as mise dans cette situation, c’est horrible, que vas-tu faire ? » Et en un sens, elle avait raison. Je me suis sentie responsable. J’ai cru Sue, Sue m’a menti, et tout est parti en vrille.

R : Si tu t’étais concentrée uniquement sur le projet, aucun de ces problèmes ne serait survenu. Et de plus, cette attitude n’est pas SDS. En aucun cas !!! Si tu écoutes ta petite « voix », il est aisé de faire la différence entre un authentique appel à l’aide et un piège de plus, alias un portail d’attaque.

Q : (L) Bon, comprenez-vous le concept du marteau et de l’enclume ? Je n’étais pas en position d’aider ma mère et je suis toujours un être humain. Et, je n’aimais pas non plus voir la mère de Sue souffrir en restant sans rien faire. Cette solution paraissait tellement idéale.

R : Alternative intéressante : et si tu avais suggéré à Sue que sa mère emménage chez elle ?

Q : (L) C’est ce que j’ai fait.

R : Et...

Q : (L) Eh bien, on s’est dit qu’elle devrait arrêter de travailler et changer de vie pour prendre soin de sa mère, ce qu’elle ne pouvait pas faire.

R : Et voilà le point essentiel : si c’était vrai, Sue aurait alors dû trouver une alternative, ce qui lui a toujours été offert. De même, d’autres alternatives s’offraient à ta mère, mis à part choisir de se « reposer » sur toi et te laisser gérer la situation, comme tu l’as toujours fait. C’est un cycle karmique, ce qui, bien qu’éprouvant, accélère le processus d’apprentissage, et donc la progression de l’âme et l’évolution karmique.

Q : (L) Eh bien, je me suis sentie un peu obligée d’aider Sue parce qu’elle achetait tout le temps des choses pour moi et les enfants en insistant pour que je garde ce qu’elle avait amené. Quelles étaient ses motivations ?

R : « Acheter ton amitié ». Ça continue encore...

Q : (L) Eh bien, d’autres éléments interviennent dans cette problématique. Je ne pouvais pas m’offrir certaines de ces choses, et elle le savait. J’ai injecté beaucoup d’argent dans le magazine, ce qui mène à un autre problème. Les finances. Et ce portail d’attaque semble être chronique. Un tas de problèmes seraient résolus si je n’avais pas à me soucier de survivre !

R : Nous t’avons dit que nous t’aiderions financièrement, t’avons aidée, et continuerons à le faire.

Q : (L) D’accord. En l’état, le magazine va-t-il marcher et s’autofinancer ?

R : Nous suggérons d’être ouvert aux modifications.

Q : (L) Il pourra être modifié la prochaine fois... mais plus maintenant, il est imprimé.

R : OK. Comment est-il possible de créer un livre... concentre-toi uniquement sur la rédaction de nos messages, et rien d’autre, à chaque numéro, sauf en cas de transcription prête à reproduire, déjà « en boîte », et à la fin fusionne simplement pour l’éditeur !!

Q : (L) D’accord. J’y avais déjà songé. OK. Avant d’arrêter pour ce soir, je voudrais poser une question qui n’a aucun rapport avec ce dont nous venons de discuter. Une fois, je vous ai interrogés à propos des gènes de Nephilim, et vous avez répondu « Tu ne veux pas savoir ». Alors je vais vous dire ce que j’en pense. On sait déjà que les gens servent de « déjeuner » ou à des expériences, qu’ils sont jetés dans le mixeur et hachés menu pour extraire leur énergie émotionnelle, qu’on les fait souffrir de multiples façons pour de multiples raisons. Et nous ne parlons pas de quelque chose auquel je suis très attachée, de mes bébés disparus, parce que c’était il y a longtemps. Mais je voudrais savoir ce qu’il y a chez ces enfants de Nephilim pour que vous répondiez de la sorte quand je vous ai demandé si j’avais des enfants porteurs de gènes de Nephilim ?

R : Quoi en particulier ?

Q : (L) Je ne sais pas. Laissons ça de côté. Je suis épuisée. Bonne nuit.

R : Au revoir.

Fin de la séance
 
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