Séance du 14 octobre 1995

Jacques

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Merci aux membres de l'équipe française pour cette traduction.
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Séance du 14 octobre 1995

Une discussion à propos de la série de livres Matrix, réalisée par Val Valerian, alias John Grace, avait eu lieu avant le début de cette séance. Roxanne avait prêté à Laura ses exemplaires.

Participants : « Frank », Laura, Susan V, Terry et Jan, Tom K

Q : Bonjour.

R : Bonjour. Livres Matrix.

Q : (T) Livres Matrix ?

R : Oui.

Q : (T) Qui en est l’auteur ? (L) Ils sont plusieurs. C’est une compilation de différentes choses. Beaucoup de personnes sont impliquées dans les livres Matrix. (T) Est-ce précisé quelque part ? (L) Oui. (T) Je n’en ai encore consulté aucun. (L) C’est un type qui a édité l’ensemble et a tout organisé en 4 000 pages environ… (T) 4 000 pages, et nous, on n’en a que 300 ? Et l’on ne peut pas les [les nôtres] éditer ? Et lui en a édité 4 000 ? (L) Eh bien… (SV) Ça lui a pris quinze ans. (T) Ça a été écrit quand ? (L) Le dernier est sorti en 1992 ou 1994. (T) Et quand est sorti le premier ? (L) 1988. (F) C’est en majeure partie de simples copies de documents, et de trucs… (L) Comme des photocopies de coupures de journaux, ce genre de choses, mais c’est organisé de manière assez globale. (SV) Il y a un tas de trucs vraiment effrayants. (L) Je voudrais demander une chose à propos des livres Matrix. Je voudrais savoir ce que sont les « Esseseni », qui sont-ils ?

R : Des hybrides, nouveaux.

Q : (L) Ce sont de nouveaux hybrides ? Et de quoi sont-ils l’hybridation ? Quels matériaux ont été hybridés ?

R : Humains et gris.

Q : (L) Les Esseseni sont-ils des êtres d’orientation positive comme certains l’ont suggéré ?

R : Séparation.

Q : (T) Certains sont SDS, d’autres SDA ?

R : Oui.

Q : (L) Bien, nous avons un visiteur ce soir, mon frère, et il est un peu à la marge…

R : Tom Knight.

Q : (L) Il est plus ou moins à la marge sur ce sujet, mais il voudrait poser quelques questions, dont celle-ci : a-t-il déjà été enlevé par des aliens dans cette vie-ci ?

R : Complexe.

Q : (L) Complexe ? OK, alors ça veut dire oui, ou ça veut dire non ? Je sais que c’est complexe, mais…

R : Les navires sont vulnérables aux EBF et au « Transfert de temps zéro ».

Q : (L) Vous suggérez donc que s’il y a eu enlèvement, ça s’est passé lorsqu’il était en mer ?

R : Peut-être.

Q : (T) Tu étais dans la Marine ? (L) Il n’est plus en service. (T) Combien de temps ? 20 ans ? C’est long ! Tu servais sur quel genre de navires ? (TK) Un croiseur Aegis. Je n’ai servi que sur un seul navire, c’était dans les cinq dernières années… (L) Il a passé la majeure partie de sa carrière dans la Marine à terre, ce qui est une prouesse. (T) Oui, c’est pas mal ! Est-ce que ses enlèvements… est-ce qu’il s’est fait enlever lorsqu’il était à bord du navire, du croiseur ? Je sais que c’est ce que vous avez dit, c’est juste pour clarifier…

R : Nous voyons « Bahreïn ».

Q : (L) Tu as été à Bahreïn ? (T) Quelque part dans le Golfe ? (TK) Nous n’avons passé qu’une nuit à Bahreïn. (T) C’est largement suffisant ! (L) Comme pour devenir enceinte, tu sais ! Il suffit d’une fois ! (TK) Qu’est-ce que ces salauds m’ont fait ? (L) Il veut savoir ce qu’ils ont fait !

R : Examine. Tu dois t’en rappeler : différentes sections au sein de l’armée possèdent des systèmes de code sous-jacents servant à déterminer le niveau de classification des missions « secrètes », comme l’évaluation du personnel ; tout ceci est très complexe… Maintenant, « la Marine des États-Unis a un niveau 2 », ce qui signifie, entre autres, qu’elle est associée à une « Agence de coopération » de catégorie 2, l’ONI. Tous les membres du personnel technique sont approchés durant leur service pour leur demander d’accomplir des missions pour le gouvernement secret. S’ils acceptent, ils sont « placés sous gestion confidentielle ».

Q : (T) Ouah ! (L) C’était quoi le terme de catégorie 2 ? L’agence de catégorie 2 ? (J) La Marine des États-Unis a un niveau 2.

R : Non. Gestion confidentielle. Et c’est l’ONI.

Q : (L) Poursuivez votre réponse. Je suis sûre que ça ne s’arrête pas là.

R : ???

Q : (L) Oh, vous voulez que nous posions des questions. Pourquoi a-t-il été abducté ? (J) Ou bien a-t-il été abducté ?

R : Examiné, comme tous les autres sur le navire.

Q : (L) Donc, autrement dit, c’était simplement… (T) L’abduction et l’examen standards… Bon, c’est quoi le truc au sujet de l’ONI et des renseignements de la Marine… les classifications et cette histoire d’approcher les gens ? Quel est le rapport avec l’abduction ?

R : Aucun.

Q : (L) Ils ne faisaient que nous apporter des informations. (T) La Marine était-elle au courant de ce qui se passait ?

R : Segmenté.

Q : (T) Ils étaient au courant d’une partie, mais pas de tout. (TK) Certains savent, d’autres non.

R : Oui.

Q : (T) C’est ce que je voulais dire : la Marine savait-elle que Tom a été enlevé ? Ceux qui sont censés savoir le savaient-ils ?

R : Dans la Marine, il y a aussi des cuistots.

Q : (SV) Les cuistots ne doivent pas savoir grand-chose… (T) C’est ce que disait Steven Seagal dans Piège en haute mer : « Je ne suis que le cuistot, vous savez ! » Il n’était pas vraiment cuistot. (L) Peut-être s’agissait-il d’une allusion à ce film. (T) Ils se pourraient que certains soient « cuistots ». (L) Était-ce une allusion au film ?

R : Non, mais nous l’aimons bien !

Q : (TK) Hein ? Ils aiment bien ce film ? (J) Ils aiment bien la référence ! (L) OK, quand j’étais toute petite… (TK) J’ai été cuisinier dans la Marine au début… (L) Oui, j’ai trouvé cette référence amusante. (J) C’était de l’humour. (L) Quand j’ai vécu cette expérience quand j’étais toute petite – et je sais qu’il s’agissait d’une interaction avec [ce que je percevrais dorénavant comme] un alien — dont je me souviens clairement de façon consciente, mon frère se trouvait aussi dans la pièce, a-t-il aussi été enlevé cette fois-là ?

R : Non, mais pourquoi abandonner le sujet aussi vite ?

Q : (L) Bon, à l’évidence, ils veulent parler de la Marine. D’accord, parlons de la Marine. (TK) Qu’en est-il de ce vieux renard de Dick W ? F. Richard W. (L) Qui était-ce ? (TK) Juste l’un de mes capitaines.

R : Quoi à son sujet ?

Q : (L) Tu dois poser des questions spécifiques, car c’est comme un système informatique qui ne répond que si tu entres les bonnes questions. Pose une question précise. (TK) Pourquoi veulent-ils rester sur le sujet de la Marine ? (T) Bon, vous nous avez donné des informations sur la Marine et ses liens avec les renseignements de la Marine… (J) Attends une minute. Et pour W__, pose une question sur W__. (T) …et la façon dont les choses se passent. Est-ce… posons-nous des questions sur les informations qu’ils viennent de nous donner ? On passera à W__ dans une seconde. Sommes-nous censés poser d’autres questions à propos de ce que vous venez de nous dire ? À propos de la Marine et des renseignements navals ?

R : Demandez ce qui vous sied.

Q : (T) Bon, ils nous ont parlé de la Marine en lien avec les renseignements navals… (L) Tout le personnel militaire est-il régulièrement enlevé et étudié par des aliens ?

R : Non.

Q : (L) Tout le personnel militaire est-il régulièrement enlevé et étudié par les militaires eux-mêmes ?

R : Non.

Q : (L) À quelle catégorie doit-on appartenir pour être enlevé et étudié par les militaires ?

R : Qu’est-ce qui vous fait penser que les « catégories » déterminent s’il y a ou non enlèvement ?

Q : (TK) Ce n’est pas la catégorie, ça doit être le type de personne… (J) Et la facilité avec laquelle…

R : Oui.

Q : (TK) Et si elle est facilement influençable…

R : Bien sûr.

Q : (TK) Et aussi si elle est facilement influençable ? (J) Ça doit être au cas par cas…

R : Et bien d’autres facteurs.

Q : (TK) Ça pourrait avoir un lien avec ce que la personne peut faire pour ses ravisseurs. Je veux dire qu’elle doit être en position de les aider… (T) C’est exactement la question que j’essayais de formuler. (L) Cette présomption est-elle juste ?

R : Oui. SDS.

Q : (T) : SDS ; Service de Soi.

R : Fréquence vibratoire.

Q : (L) Bon. Donc, si une personne a une fréquence vibratoire SDS, cela la prédispose déjà à se faire abducter. Est-ce exact ?

R : Dans une certaine mesure.

Q : (T) OK, c’est un facteur. Les abductions ont plus d’un objectif. En ce qui concerne le personnel militaire, y a-t-il un but spécifique ?

R : Classifications artificielles, telles que désignations militaires, ne sont importantes que pour des groupes humains.

Q : (L) Donc, en d’autres termes… (J) J’ai une question. Est-il vrai que pour faire partie de l’armée, il faut passer par un camp d’entraînement, un endoctrinement tel qu’on en vient à obéir aux ordres sans poser de question, et que cet état d’esprit s’y prêterait mieux ? (TK) Les Marines sont pratiquement les seuls aujourd’hui à essayer de faire en sorte que leur personnel suive les ordres sans poser de question. Elle n’a pas cédé sur ce point. (J) C’est intéressant. Je ne le savais pas. J’imaginais que ça concernait tous les militaires. (TK) Eh bien, ce n’est pas nécessaire, vu que nous ne sommes pas en temps de guerre.

R : Oui. Certains ont toujours « fait semblant » de se plier aveuglément aux ordres, de toute façon.

Q : (J) Ooh, déclaration intéressante. (TK) Moi je faisais semblant, pour tout dire, je… (J) Du style suivre le mouvement ?

R : Tu n’étais pas le seul.

Q : (TK) C’est vrai ! Nous étions un paquet. « Ouais, bien sûr, dites-nous ce que nous devons faire. Si c’est dans notre intérêt, si nous restons en vie, nous le ferons ; si nous risquons d’y rester, oubliez ! » Je leur disais toujours, sur le navire, que si jamais je me faisais capturer, je dirais tout ce que je savais, et qu’il ne faudrait pas me torturer bien longtemps…

(T) « En plus, quand on me torture, j’ai tendance à hurler comme un fou, donc je ne dis pas grand-chose ; alors je vais tout vous dire, et laissons tomber la torture. »

(TK) Quand j’ai refusé d’accéder au grade d'ESWS, je suis devenu une sorte de paria, je ne faisais plus partie du club…

Q : (L) Que s’est-il passé ?

(J) C’est là qu’on t’a demandé et que tu as refusé ?

(TK) Quand ils ont voulu que je monte au grade ESWS – c’est un insigne – je leur ai répondu que je n’allais pas…

(L) Qu’est-ce que c’est ?

(TK) Spécialiste de la guerre de surface enrôlé.

(T) Ah ah, et c’est là qu’on t’a demandé !

(J) Et tu as dit non.

(TK) Tout le monde dans la Marine peut y accéder, mais il faut être… Je ne sais pas. Si je n’avais pas envisagé de quitter la Marine, il est possible que j’aurais accepté. Ce capitaine a présenté la chose comme ça, il a dit : « Bon, si tu bûches sur ton ESWS et que tu obtiens l’insigne, je veillerai à ce qu’on te donne de bonnes notes et qu’on te fasse passer chef… », ce qui pour moi revenait à dire : « Eh bien, si tu ne postules pas, tu ne deviendras pas chef ». Je lui ai répondu : « Désolé mon pote ! Je ne postulerai pas. » Je ne marche pas dans ces combines. (L) Ça doit être génétique ! (TK) C’est là que je suis devenu un paria, que j’ai été éjecté du club. (T) Est-ce là que Tom est devenu un paria ?

R : Concept inexact, pas un paria, juste pas fait pour le GS.

Q : (L) Qu’est-ce que le GS ?

R : Gouvernement secret.

Q : (TK) Purée ! (J) Tu as eu ta chance, Tom, et tu l’as laissée passer ! (T) C’est là que tu as été approché. (TK) Oh ! Désolé Dickie ! (J) Non, tu ne l’es pas ! (TK) Je n’ai jamais aimé ce vieux F. Richard ! (J) Oui, revenons à F. Richard. (L) F. Richard… (TK) Est-ce que F. Richard était initié ? Est-ce qu’il faisait partie des agents du gouvernement secret ?

R : Non.

Q : (L) Léchait-il les bottes pour essayer d’en être ?

R : C’était un « conduit ».

Q : (L) C’était un intermédiaire. (TK) Vous savez quoi, F. Richard était quelqu’un avec qui je n’aurais pas voulu aller à la guerre…

R : Il y a plusieurs étapes à suivre.

Q : (L) Plusieurs étapes à suivre pour quoi ? (T) Pour faire partie du gouvernement secret ?

R : Oui.

Q : (J) Il faut connaître les usages… (T) Je ne sais pas me tirer des balles dans le pied, désolé ! [Rires]

R : Les disparus au combat au Vietnam, où sont-ils aujourd’hui, à votre avis ?

Q : (L) Eh bien, j’espère que vous allez nous le dire ! (T) Certains d’entre eux… (TK) Est-ce qu’ils ont été enlevés ? (T) Certains sont morts dans des explosions tellement fortes qu’ils n’ont jamais pu être retrouvés, alors on les a classés « disparus au combat », parce qu’on n’a pas pu les identifier comme « morts au combat ». Certains sont déserteurs, et d’autres… Enfin, les déserteurs peuvent appartenir à plusieurs catégories, mais je ne vais pas rentrer dans les détails. Certains se sont lancés dans le trafic de drogue. (TK) D’autres ont simplement décidé qu’ils se plaisaient mieux là-bas. (T) Ouais, il y a ça aussi ; et d’autres, j’imagine, ont été soit enlevés, soit échangés, incorporés dans le gouvernement secret. (L) Tout ceci est-il exact ?

R : Oui.

Q : (T) C’est pour ça qu’ils ne peuvent pas dire aux gens où ils sont… (TK) Est-ce que nous sommes toujours sur le sujet des militaires ? (J) Qui sait ?

R : Les Morts au combat… sont un sujet à part !! Combien y en a-t-il vraiment eu ?

Q : (T) Combien ont vraiment été tués sur les 60 000 ? Combien d’entre eux sont considérés comme morts alors qu’ils ne le sont pas ? Les renseignements… (TK) Vous savez, ils pouvaient recruter… Toutes sortes de gens sont allés là-bas, le gouvernement secret a pu en recruter certains… (J) Oui, c’est vrai. (L) Bon, maintenant, allez-vous nous donner un indice sur l’endroit où ils se trouvent et ce qu’ils sont en train de faire ? Est-ce que certains travaillent dans ces bases souterraines ?

R : Oui… Oui… Oui.

Q : (L) C’est de là que vient le personnel… ils sont philosophiquement morts.

R : Et de bien d’autres lieux et époques. Etc.

Q : (TK) Des guerres à travers les âges. De combien de personnes parle-t-on ? (L) De quel ordre de grandeur parlons-nous ?

R : Puisque votre centre de l’imagination fonctionne à bas régime ce soir, il va falloir qu’on vous dise tout ; mais au moins, observer l’impact est amusant, comme « une tonne de briques » tombant sur vos têtes !!

Q : (L) Allez-y, dites-nous tout. Combien sont-ils ?

R : Deuxième Guerre mondiale, 72 355 encore vivants ; mais où ????

Q : (L) Est-ce le chiffre exact ? (T) Hé, attendez une minute…

R : Oui.

Q : (T) C’est le nombre de gens que le gouvernement secret a « récupérés » ? (J) De la Deuxième Guerre mondiale. (SV) On ne parle pas de la Corée… (TK) Sur un total de 40 millions environ… (L) Combien, Frank ? (F) Le nombre total de victimes de la Deuxième Guerre mondiale est de 70 à 80 millions… (TK) Les pertes militaires… et nous ne parlons pas seulement des militaires américains ici, mais de toutes les armées… (T) Vous parlez de la totalité… des morts au combat lors de la Deuxième Guerre mondiale ? (L) Non, ils ont dit… lis… (J) « Deuxième Guerre mondiale, 72 355 encore vivants ; mais où ??? » (L) Encore vivants ! (T) Censés avoir été tués au combat…

R : Oui.

Q : (T) De toutes les branches de l’armée ?

R : Oui.

Q : (TK) Ces gens ne vieillissent pas ; ils sont toujours « opérationnels » et parés à l’action…

R : Précisément, les amis !!!

Q : (J) OK, juste pour la Deuxième Guerre mondiale… (TK) Et pour la Corée, le Vietnam, etc. (L) Très bien, quels sont les chiffres pour la Corée ? (TK) Quelle différence ça fait ? (L) Euh, c’est vrai ! (SV) On veut savoir.

R : 6 734.

Q : (TK) Oui, compte tenu du fait que je ne pense pas qu’on ait vraiment subi beaucoup de pertes… (T) Non, on n’a pas eu beaucoup de pertes en Corée. (TK) Et pour la guerre du Golfe ?

R : Oui. 55.

Q : (T) Ouais, il y a eu environ 55 000 victimes en Corée, en quatre ans de guerre. Trois ans et demi, plus précisément. Donc 6 000, ça nous fait un peu plus de 10 % de « non morts ».

R : 23 469.

Q : (L) Qu’est-ce que c’était que ça ? (J) Le Vietnam, c’était le Vietnam… (T) 23 000 sur 66 000…

R : Oui.

Q : (T)… qui sont encore en vie ?

R : Oui.

Q : (T) Donc, il y en a 23 000 qui viennent de…

R : Certains sont des doubles corporels servant de remplacement de réceptacles d’âme.

[Changement de face de la cassette lors de l’enregistrement ; les premières phrases de la question suivante ont été perdues.]

Q : (T) Ils accélèrent vraiment le mouvement. (J) Quand on additionne les trois nombres qu’ils nous ont donnés, on arrive à environ 100 000 personnes. (T) Mais ça ne tient compte que de trois guerres. On n’a pas demandé pour…

(TK) Trois guerres. Ça ne compte pas… (J) Et pour la Première Guerre mondiale, la guerre du Golfe… (TK) Il n’y a pas eu beaucoup de victimes dans la guerre du Golfe… (T) Une douzaine environ. (TK) Mais par contre, dans le camp adverse…

(T) Oui, on n’a demandé que par rapport aux États-Unis. Mais les autres ? Oui, tu as raison, qu’en est-il des autres armées…

(J) On n’a aucun moyen de le savoir. Ont-ils déjà publié des chiffres ? On ne sait pas.

(TK) Ça fait toute une armée, et ce ne sont pas de simples militaires, c’est une élite. Je parie que c’est une élite. Je veux dire, ils ont été recrutés.

(J) On leur a posé la question, et ils ont dit oui !

(T) Oui, ce ne sont pas des gars qui s’amusent à faire joujou avec des fusils dans les tranchées juste pour le plaisir. Ce sont des spécialistes.

(TK) La CIA a fait son marché au Vietnam.

(T) Oui, et bon nombre de ces sections n’ont pas d’existence. Un tas de ces trucs…

(TK) Oui, comme ces Black Ops, comme ils disent, et tout ça. Ce « Nouvel Ordre Mondial » est sur le point d’arriver. Vous savez quoi, il n’y a aucun moyen de l’arrêter.

(T) Oh, non, on ne peut pas l’arrêter.

(TK) On peut riposter et essayer de survivre par nous-mêmes, mais il n’y a aucun moyen d’arrêter le Nouvel Ordre Mondial.

(T) Le seul moyen de s’en sortir, c’est d’appliquer ce qu’a dit Lao Tseu, ou je ne sais quel philosophe militaire chinois : « L’épi qui survit est celui qui ploie sous le vent ».

(TK) « Oui, je ferai tout ce que tu dis ».

(T) Il n’y a aucun moyen d’arrêter ça. Tous ces gens qui parlent de sortir dans la rue pour le combattre ne le feront pas. Ils ne peuvent pas. Ils ne peuvent pas gagner.

(F) Leur attention est déjà détournée.

(TK) Par-dessus tout, ils constituent l’élite. Je veux dire, ils ont été recrutés, et ils sont l’élite. Et la plupart des organisations militaires en feront partie, car le gouvernement… Sûr qu’il y aura pas mal de déserteurs dans l’armée. Je veux dire qu’il y a des gens… si j’étais dans l’armée et qu’ils commençaient à parquer les gens aux États-Unis, je dirais « désolé, mais c’est là où j’interviens… »

(T) C’est pour ça que ce Koernke du groupe de miliciens du Michigan parle des troupes étrangères de l’ONU, parce que l’armée, le gouvernement, qui s’apprête à prendre le pouvoir, ce gouvernement mondial, sait qu’on ne peut pas soumettre un pays avec ses propres troupes.

(TK) C’est impossible.

(T) C’est pour ça qu’ils envoient des troupes américaines dans tous ces autres pays.

(F) Et que tous les autres pays envoient des troupes ici.

(J) Et ce gars qui a refusé d’enfiler l’uniforme des Nations-Unies ?

(T) Oui, ils en ont encore parlé dans le journal aujourd’hui, soit dit en passant. Il savait.

(TK) Eh bien, vraiment, la seule chose qu’on peut faire c’est comme tu disais, suivre le mouvement… Fondamentalement, il le faut. Du moins jusqu’à un certain point.

(T) C’est plus facile de combattre en suivant le mouvement qu’en luttant à contre-courant.

(F) Qui va se lever dans la ligne de tir pour dire : « je refuse » ! » ? Il se fera flinguer…

(TK) Qu’est-il éventuellement possible de faire contre ce « Nouvel Ordre Mondial » ?

R : Trop complexe pour répondre, besoin de questions spécifiques.

Q : (T) Je voudrais un peu dévier du sujet et nous pourrons y revenir ensuite. J’aimerais que Tom vienne s’asseoir là. Il est en phase. Il capte les réponses avant qu’elles ne soient épelées. Si tu veux bien venir t’asseoir ici. Mais pas tout de suite, je voudrais d’abord poser quelques questions. C’est hors sujet, mais nous y reviendrons. Il y a quelques semaines, pendant la méditation de Luc, est-ce que je vous ai canalisés les gars ?

R : Eh bien, tu as canalisé, mais nous devons te mettre en garde que certains groupements d’âmes et associations de fréquences vibratoires peuvent rendre vulnérable à des influences bien moins que SDA…

Q : (T) Mais, était-ce vous… était-ce nous ?

R : À toi de le découvrir.

Q : (L) D’accord, merci. Maintenant, deuxième question : que canalise Judy C ?

R : Victime de viol.

Q : (T) OK, elle canalise une victime de viol ? (J) Ou est-elle une victime de viol ?

R : Les deux.

Q : (L) Est-elle d’une manière ou d’une autre influencée par les Lézards ?

R : Oui…

Q : (T) Est-elle possédée ?

R : Ouvert.

Q : (T) Eh bien, elle a toute la panoplie… (L) Ils ont dit qu’elle canalisait une victime de viol. Ça s’apparente à de la possession… (T) C’est ce que veulent les Lézards… (L) C’est sûr. Ils laissent les gens meurtris pour que ce genre de choses puisse arriver, vous savez, comme foncer sur quelqu’un et le taillader avec un couteau et puis l’asperger de saletés et de bactéries pour qu’il soit contaminé. C’est ce qu’ils font au niveau de l’âme… (T) Y a-t-il quoi que ce soit qu’on puisse faire pour l’aider ? (L) Terry, pourquoi poser une question comme ça ? Tu devrais le savoir…

R : Judy doit suivre son propre cheminement.

Q : (L) Bon, relis ça, leur réponse à la première question sur le channeling… tu as canalisé quelqu’un… « Tu as canalisé, mais nous devons te mettre en garde que certains groupements d’âmes et associations de fréquences vibratoires peuvent rendre vulnérable à des influences bien moins que SDA… » C’est là où je voulais en venir… Certains groupements d’âmes et associations de fréquences vibratoires – en d’autres termes, fais sacrément attention avec qui tu traînes dans ce genre de situation [méditer, s’ouvrir…] (T) Autrement dit, vous faites référence au reste du groupe qui travaille avec Luc. (J) Y compris Judy et n’importe qui d’autre…

R : Ouvert.

Q : (L) Ils ne te diront pas quoi faire, Terry. (T) Oui, je sais que… Je le sais. C’est pour ça que je garde mes défenses bien ancrées là-bas. (L) OK, bon, c’est tout ou souhaites-tu poser d’autres questions ? (T) Devrions-nous arrêter ce travail avec Luc ? (J) Ils ne vont pas te le dire…

R : À vous de voir.

Q : (T) Bon… (L) Mais souviens-toi… arrêtez tout ! Attendez ! Je viens d’avoir un déclic. Vous vous rappelez quand j’ai posé cette question quand vous avez téléphoné ce soir-là, et qu’on parlait de… (T) Ma démission… (L)… et j’ai demandé si tu allais te retrouver dans le potage financièrement. Je m’inquiétais pour tes revenus, car tu avais quitté cet emploi. Et ça me préoccupait — va-t-il se retrouver dans le potage — et ils ont répondu : « Les potages ont toutes sortes de saveurs » ! Et, si tu y penses, en ne travaillant plus, tu as eu du temps libre que tu as cherché à occuper avec diverses activités, et en un sens, c’est comme se jeter sur du bouillon de poulet, ou du minestrone, ou autre. (T) Très bonne remarque, ouaip. (L) Très bien, Tom, es-tu prêt à prendre la relève ? Laissons Terry se reposer. (J) C’est une très bonne remarque parce que c’était son travail qui nous empêchait de le faire, car il n’avait pas le temps.

[Tom s’assoit à la table.]

(L) Ah ah, je vois. Très bien, Tom, il te suffit de poser très légèrement les doigts dessus… comme ça… juste deux doigts. Tu dois garder le contact assez fermement, mais sans trop appuyer dessus. Bon, maintenant, la question que tu as posée était « Qu’est-il possible de faire… peut-on faire quoi que ce soit au sujet de ce Nouvel Ordre Mondial ? » Donc, pense à des questions précises.

(J) Je voudrais revenir sur ce truc de doubles corporels de remplacement servant de réceptacles d’âme… (L) D’accord, garde ça en tête, on y reviendra après.

(TK) Je n’arrive pas à trouver une question précise… Je veux dire…

(L) Que pensez-vous par exemple de : les gens devraient-ils se regrouper dans des zones reculées ?

(J) On a déjà abordé ça, c’est du remâché.

(L) Oui, mais c’est une question pour commencer. On peut partir de là. Sur quoi devrait-on principalement se concentrer…

R : Nous avons déjà répondu…

Q : (L) On le sait, mais on cherche des questions de départ. (TK) Qu’est-ce qu’ils ont dit ? (J) « Nous avons déjà répondu… » (L) On le sait, c’est dans les transcriptions. (J) Un long, long passage. (L) Ils ont dit que peu importe l’endroit où tu te trouves, ce qui compte c’est qui tu es. Et c’est très proche de ce que tu disais, l’important n’est pas l’abduction, mais qui tu es. (TK) La plupart des survivalistes sont-ils dangereux ? Du genre, mieux vaut garder ses distances ?

R : À côté de la plaque.

Q : (L) Autrement dit, ils sont à côté de la plaque, ils ne comprennent pas ; c’est une question spirituelle.

(TK) Ils ne regardent pas où il faut.

(T) En plus, si l’on considère les groupes survivalistes, il faut garder à l’esprit qu’ils sont actuellement attaqués.

(TK) Oh oui, le gouvernement en a après eux.

(T) Entre l’attentat d’Oklahoma et cette affaire avec Amtrak dans l’Arizona, les milices sont vertement critiquées.

R : Se font piéger.

Q : (L) C’est ce que j’ai soupçonné à un moment. Ils se font tous piéger. (T) Eh bien, ils ont des flingues maintenant… (J) Peut-être que les fusils ne changeront rien…

R : Bonnes intentions.

Q : (L) Ils ont de bonnes intentions… (TK) Cela a démarré avec de bonnes intentions… Ils doivent être infiltrés, et le mouvement a été un minimum corrompu.

(J) Peut-être que l’idée est de rassembler tous ceux qui ont le même état d’esprit pour savoir où ils sont.

(T) Ils ne sont plus utiles aux membres du gouvernement mondial unique. Cela a amené les conservateurs au pouvoir dans ce pays.

R : Pas encore.

Q : (TK) Ils peuvent encore être utiles, mais… (T) Il y a utile et utile… (J) Mais leur fin est proche. (L) Bon, en ce sens, quelle est la chose la plus importante sur laquelle nous devrions nous concentrer, en tant qu’individus, afin de nous préparer aux événements qui pourraient survenir ? (J) Suivre sa propre voie…

R : Pas une seule chose.

Q : (TK) Ce que Terry disait tout à l’heure… plier comme le roseau et suivre le courant, est-ce que c’est ça l’idée ?

R : Pas loin. Regarder, observer, écouter.

Q : (J) Compris, la connaissance est une force. (T) Après l’expérience de Cleveland, je dois vous dire que si vous laissez votre esprit vagabonder, vous finissez en très mauvaise posture. (J) Faire attention. (T) Même si c’est une leçon… mince, celle-là je l’ai vite apprise !

R : Vigilance.

Q : (L) Ce qui implique de ne pas s’anesthésier l’esprit avec quoi que ce soit. (TK) Ça ne ferait probablement pas de mal si on a des fusils, ou autre, de les cacher, n’est-ce pas ?

R : Les messagers sont partout. Observez, écoutez.

Q : (L) Bon, puis-je demander s’il y a en particulier… Je veux dire, simple curiosité… (TK) Va-t-il être nécessaire de faire des réserves, ou des choses de ce genre ? (L) Tout est dans les transcriptions.

R : Troisième densité.

Q : (L) Ce sont des pensées de 3e densité. (J) Les armes n’aideront en rien. (TK) Ça ne m’inquiète pas vraiment. Non, ça n’aidera pas, mais… (T) Tom sait-il ce que sont la 3e et la 4e densités ? (L) Oui. Y a-t-il une raison particulière à la présence de Tom ici ce soir, au fait qu’il soit venu ce soir ? Je veux dire, je sais qu’il est venu pour une certaine raison, mais y a-t-il une autre raison sous-jacente ?

R : Observe, découvre.

Q : (L) OK, les gars, faisons une pause, j’ai le dos vraiment courbaturé. Peut-on faire une pause ou y a-t-il un sujet que vous voulez aborder immédiatement ? (TK) Jan a quelque chose. (L) OK, tu voulais parler de… Ta main est-elle moite ? (TK) Hum hum. (L) Intéressant. Ça chauffe un peu, hein ? (J) Oui, ils ont dit que le…

R : Après la pause.

Q : (T) Demande leur combien de vétérans de la Guerre civile ont été enlevés.

[Pause]

Q : (L) OK, les gars, nous sommes de retour. Bonjour. Terry veut savoir si des vétérans ou des morts au combat dans la Guerre civile sont impliqués dans le scénario dont on a discuté tout à l’heure ?

R : Énergie de Tom fragmentée par le rituel. [Laura avait donné une initiation Reiki à Tom durant la pause.]

Q : (L) Devrait-il s’asseoir à part jusqu’à ce que son énergie se stabilise ? Nous avons fait une initiation Reiki. (F) Oh, c’est pour ça que vous aviez disparu ? (L) Bon, assieds-toi là jusqu’à ce que ton énergie se stabilise, et garde les mains sur toi pour que le flux d’énergie fasse circuler tous les petits électrons dans la même direction. (TK) Je pensais que ça irait plus vite si Terry reprenait ma place de toute façon. (T) Eh bien, ça fait maintenant un an qu’on fait ça… (F) À chaque fois qu’il y a quelqu’un de nouveau, le rythme ralentit. (T) Il faut généralement un moment avant que ça accélère. (F) C’est normal. (L) Bien, revenons à la question de Terry. Des individus de la Guerre civile sont-ils impliqués dans ce projet, ces tunnels ou ces bases souterrains, ou je ne sais quoi ? (T) Des victimes de la Guerre civile ?

R : Quelques-uns.

Q : (T) Oui, plus on remonte dans le temps, moins on trouve de spécialités. Mais un spécialiste reste un spécialiste, peu importe de quelle guerre il s’agit.

R : Pas la question.

Q : (L) Je pense que la question est : qui sont-ils ? Dans la série d’ouvrages Matrix, il y a un passage, tiré des enseignements de L. Ron Hubbard, qui parle de techniques permettant d’éjecter l’âme hors du corps et d’y insérer une autre âme, puis de reprogrammer les souvenirs, pour qu’il n’y ait pas de correspondance…

R : Faux.

Q : (L) D’accord. Donc l’éjection et la manipulation des âmes, telles que les décrit L. Ron Hubbard, c’est faux ? Dans un sens général ?

R : Oui.

Q : (L) D’accord ; vous avez dit tout à l’heure que certains de ces corps étaient utilisés comme réceptacles, des réceptacles d’âme. Mais des réceptacles d’âme pour qui ?

R : Remplacements de corps morts, c’est-à-dire duplications.

Q : (L) Autrement dit, ils créent des doubles de corps de défunts et placent leurs âmes dans ces corps de remplacement pour qu’elles puissent continuer à vivre, c’est ça ?

R : Oui.

Q : (L) Est-ce qu’il leur arrive de prendre des cadavres et de les réanimer pour y placer d’autres âmes ?

R : Non.

Q : (T) Attendez, vous dites que certains d’entre eux… Là, je suis perdu. (TK) Est-ce qu’il y a des délais précis à respecter après la mort ? (L) Ils font…

R : Exemple : un soldat meurt au combat, son corps est dupliqué, son âme est replacée dans ce nouveau corps, puis il est « reprogrammé pour servir » les aliens et le GS.[Gouvernement secret]

Q : (L) D’où vient le nouveau corps ? (TK) Un clone, fondamentalement. (SV) C’est ce que je crois…

R : C’est un double de l’ancien.

Q : (T) D’où obtiennent-ils ce double ? (L) D’où viennent les matériaux utilisés pour faire ce double ? Je sais que c’est une question stupide, je connais la réponse.

R : RMATD.[ReMolécularisation Atomique TransDimensionnelle]

Q : (L) OK, c’est bien ça. (J) C’est dans l’air, même chose. (T) Autrement dit, un « Réplicateur », comme dans Star Trek. (TK) Est-ce qu’on doit mourir d’une certaine façon pour que ça puisse se faire ?

R : Non.

Q : (TK) Est-ce qu’il y a des délais précis à respecter après la mort ?

R : Non.

Q : (T) Parce que quand le corps physique meurt, le corps spirituel continue à vivre. L’âme ne meurt pas, donc ils l’ont toujours à disposition. (L) Ils ne vont pas déterrer un cadavre, parce qu’ils s’en fichent du corps.

R : Temps zéro.

Q : (T) Parce que le temps n’existe pas… (L) Ils utilisent la fréquence vibratoire de l’empreinte de l’âme, la transfèrent vers une autre densité, et font appel à leur technologie de RMATD pour provoquer un réassemblage moléculaire — c’est-à-dire que les atomes se mettent à vrombir et s’assemblent selon l’ancien modèle, jusqu’à former un corps à part entière, qu’ils réinsèrent ensuite en 3e densité par la porte temporelle. Est-ce exact ?

R : Pas loin.

Q : (T) Tous les morts au combat [répertoriés] dont vous parliez, sont-ils morts au combat quand ils disparaissent ? Je veux dire, sont-ils vraiment morts ? (TK) Étaient-ils morts quand cette procédure a été accomplie ?

R : ?

Q : (T) OK, vous avez dit… prenons le Vietnam. Vous avez dit que sur les 60 000 morts au combat, 23 000 n’avaient en fait pas été tués au combat. C’est bien ça ? Oui.

R : Ont été tués, puis réanimés.

Q : (L) Nous ne parlons pas de cadavres ici, n’est-ce pas ?

R : Oui.

Q : (L) D’accord, alors il y en a qui ont été tués au combat et dont le cadavre a été réanimé ? (J) À condition qu’ils n’aient pas sauté sur une mine antipersonnelle. (L) Il y a donc bien eu des cadavres qui ont été réanimés, est-ce exact ?

R : Certains, mais la plupart ont été dupliqués.

Q : (L) Alors cela soulève immédiatement la question de savoir si une mort violente entraîne une certaine potentialité ; c’est-à-dire, est-ce que la guerre, l’atmosphère de la guerre rend l’individu plus susceptible de subir ce type de procédure que s’il mourait de façon ordinaire ? (J) L’énergie négative…

R : Non.

Q : (T) Non, parce que ce genre de mort violente… il y a des morts violentes tout le temps sans besoin d’une guerre : accidents de voiture, incendies, explosions…

R : La guerre est une bonne couverture pour ce genre d’opérations secrètes.

Q : (T) Bon, non, ce n’est pas comme les accidents de voiture – l’aspect violent n’a rien à voir là-dedans. C’est juste que sous le couvert d’une guerre, on peut enlever des corps plus facilement. Ce que j’essaye de comprendre…

(TK) Ils veulent éviter que les gens s’en rendent compte… Ils ne vont pas aller les chercher directement dans les tombes, parce que ça finirait par se voir.

(T) Ce sont de vrais cadavres, ils étaient morts. Autrement dit, les gens sont morts, ils ont été enlevés et réanimés, ou… (L) Certains corps sont réanimés… (T) Certains sont remolécularisés… (J) S’ils étaient bousillés… (L) Est-ce que certains de ces corps ont été enlevés, comme le cadavre de quelqu’un qui vient juste de mourir… est-ce que ces corps ont été récupérés et emmenés dans une autre densité pour y subir le processus de remolécularisation ?

R : Oui.

Q : (L) OK. Donc, ils avaient besoin d’un vrai cadavre comme modèle. (T) Est-ce que le corps d’origine… (TK) Est-ce qu’ils ont vraiment pris les corps avant que quelqu’un… (T) Avant qu’on ne le retrouve, oui. Est-ce que les cadavres originels ont été replacés à l’endroit où ils avaient été enlevés, une fois la duplication achevée ?

R : Plus d’un type de situations.

Q : (L) Autrement dit, parfois oui, parfois non. (J) C’est au cas par cas. (T) Est-il possible que certains de ces soi-disant « tués au combat » n’aient en fait pas été tués ? Qu’ils se soient fait enlever vivants ?

R : Toutes les possibilités.

Q : (L) Donc dans un sens, c’est « l’occasion qui fait le larron ». (J) La guerre est remplie de toutes sortes d’occasions. (T) Certains se sont fait enlever vivants par le gouvernement secret, tandis que d’autres se sont fait enlever morts et sont ramenés dans de nouveaux corps pour continuer, et tout le monde les croit morts ; mais quel que soit le cas, tous sont considérés comme morts. (SV) Laura, qu’en est-il du « triple voile » quand on va en 5D ?

R : Enlevés par les aliens, pas le GS. Le gouvernement secret est au courant dans une certaine mesure, mais il ne dirige pas l’opération.

Q : (L) Bon, cela soulève la question de… Vous nous avez dit qu’il y avait… c’était la semaine dernière… nous vous avons posé des questions sur la mort… et vous nous avez dit qu’il y avait un triple voile impénétrable qui empêchait ce type d’activités que L. Ron Hubbard a décrites. Comment réconcilier tout ça ? Mon explication est qu’on leur fait ça avant qu’ils n’entrent dans le tunnel de lumière. On les capture lors de la transition, avant qu’ils n’entrent en 5e densité. Est-ce exact ?

R : Ajustement temporel.

Q : (L) Ça veut dire que les aliens savent que ces gens vont mourir et qu’ils remontent dans le temps juste avant leur mort, ou juste au moment de la mort, ou…???

R : Pas loin.

Q : (T) Que font-ils de ces corps — des humains qu’ils dupliquent, copient et réaniment ? Qu’en font-ils ?

R : Les servent.

Q : (T) Donc, ces humains deviennent les serviteurs des aliens ?

R : Travailleurs.

Q : (T) Ce sont des esclaves. (L) Cela m’amène à une question que j’ai pensé à poser de nombreuses fois. En termes de chiffres, combien de ces aliens SDS de n’importe quel groupe, ou tous groupes réunis, opèrent actuellement sur cette planète ?

R : Précise.

Q : (L) OK, combien de Lizzies opèrent sur la planète ?

R : 300 000.

Q : (L) D’accord, combien d’Oranges ?

R : 62 530.

Q : (L) Combien de Gris ?

R : 2 750 000.

Q : (L) Ce n’est pas très plaisant ! (J) Non, put. (L) Est-ce que la majorité réside la plupart du temps dans des dimensions ou des densités alternatives ? Je veux dire, sinon il y aurait foule !

R : Vont et viennent.

Q : (J) Exactement comme ils le disaient au tout début. (T) Tu as demandé combien sont ici, en 3e densité ? (L) Sur la planète…

R : Et d’autres.

Q : (L) Je n’ai pas précisé la densité. Juste dans notre environnement planétaire immédiat. (T) C’est le nombre qui travaille sur ce projet. (L) Je suis sûre qu’il y a… passez-moi ce petit livret, là. Nous avons ici des dessins de prétendus serviteurs alien. Celui-ci, juste là, c’est un Rigélien. [Le livret dit :] C’est un proto-synthézoïde, autrement dit, un être cybergénétique. La représentation de cet être est-elle exacte ? Existe-t-il réellement ?

R : Oui.

Q : (L) Eh bien, c’est sympa. (SV) Lequel est-ce ? [Regarde le dessin.] Oooh, je ne veux pas le voir… (L) Maintenant, celui-là… (T) Oh, l’homme à la foudre ! (L) Celui-là existe-t-il vraiment ? Cette « forme clonée mutative » ?

R : Oui.

Q : (L) OK, celui-là, ce petit Tah-hay…

R : Oui.

Q : (T) E.T. ! (L) Ont-ils dit qu’il était réel ? Oui. Bon, celui-là est très mignon [S’pth]…

R : Oui. Occupe la base de Dulce.

Q : (T) Pouvons-nous aller au plus simple et demander si tout dans le livre est réel ? (L) Non, parce que s’il y a quoi que ce soit, je veux le marquer. [Lit :] « C’est une forme clonée synthézoïde », autrement dit cybergénétique, « dont la mission spécifique est de contrôler. Ils font plus ou moins 1,20 m de haut. » Je pense qu’il s’agit du Gris standard. C’est juste que l’illustration est un peu merdique. (T) Attendez, le visage… là les yeux sont plus petits, mais le visage ressemble beaucoup à celui de l’alien dans le film de l’autopsie. (L) Il ressemble beaucoup à ce qui est venu dans ma chambre, sauf que c’était enveloppé de noir. Bien, maintenant, c’est ce qu’ils appellent une réplique. [Lit :] « Ce sont des formes proto-synthézoïdes humaines dont la mission spécifique est celle d’agent spécial à l’extérieur. Observation : le visage et le corps changent de forme à volonté. » C’est un peu comme dans X-files, le type qui change de visage. Cette idée est-elle exacte ? Est-ce fondamentalement… Je veux dire qu’on est évidemment obligé de les dessiner de manière ambiguë.

R : Pas loin.

Q : (L) Pouvez-vous nous dire quoi que ce soit à propos de celui-ci en particulier ? Un indice, une piste ?

R : ?

Q : (L) D’accord, on doit poser des questions. Bien, voilà des serviteurs de Zeta Reticuli Un… (T) Est-ce que ce sont les Men in Black ?

Q : (L) Non, souviens-toi, les Hommes en Noir… (T) Oui, c’était pour vérifier… (L) Simple vérification… (T) Là, un Terminator modèle IV… Monsieur métal liquide. (L) Bon, ces serviteurs de Zeta Reticuli Un… En voici une autre version. Je suppose qu’ils officient à la base de Dulce ?

R : Laura à la planchette.[Laura tenait le livret et n’avait plus les doigts sur la goutte.]

Q : (L) Je suppose qu’il s’agit d’une autre version de ceux qui occupent la base de Dulce. Est-ce exact ?

R : Non.

Q : (L) Que sont ces types ?

R : Équipe volante.

Q : (L) D’accord, c’est du personnel volant. Juste un petit commentaire… (T) Personnel volant ? Dans quel sens ? (L) Je dirais comme quelqu’un au travail… (T) Des fauteurs de trouble qui vont d’un endroit à l’autre… (L) OK, ceux-là ont vraiment l’air sympa. Je les adore ! (T) Ce sont des « Bleus » ? (L) Les THROOB ! (T) Est-ce que ce sont les petits bleus trapus qu’adorait Whitley ? (L) Plus ou moins 1,20 m… Oui, je crois. Il est dit : « Ils viennent de la constellation du Dragon et leur mission est de faire des recherches. Ils font plus ou moins 1,20 m de haut. » Sont-ils correctement représentés ici, qu’il s’agisse de la description textuelle ou du dessin ?

R : Oui.

Q : (T) Est-ce que ce sont ceux que Whitley Strieber a vus ?

R : Peut-être.

Q : (L) Bien, maintenant, la forme clonée dégénérative, l’image du bas — cette représentation est-elle aussi exacte ?

R : Proche.

Q : (L) Quelle est la couleur de la peau de ces êtres à l’air sympathique ?

R : Variable.

Q : (L) Bien, je crois qu’il y en a un autre… Ha, ha ! Êtes-vous prêts pour celui-ci les gars ? C’est un Cassiopéen ! (T) Ça m’étonnerait ! (J) Fais voir… Oh, charmant ! (T) Cassiopée. Je n’ai pas réussi à trouver une étoile qui s’appelle Cassiopée… (L) Il n’y en a pas. (T) Oui, je sais. (L) Il était sarcastique. Bien, c’est « une race d’insectoïdes de Cassiopée dont la mission spécifique est la recherche génétique ». La description et le dessin de cette bestiole sont-ils exacts ?

R : Oui.

Q : (T) Cassiopée est-elle une étoile ? (L) Non. (T) C’est quoi Cassiopée ? (L) Une constellation. (T) Je sais que c’est une constellation, mais ils disent qu’ils viennent de Cassiopée. On ne peut pas venir de Cassiopée… (L) Oh, oui, c’est juste. Quelle étoile dans Cassiopée ?

R : Région.

Q : (L) C’est dans la région de Cassiopée. Y a-t-il une étoile en particulier que vous pourriez identifier comme étant leur étoile natale ? Ils doivent avoir une planète avec une étoile natale quelque part, donc où est-elle ?

R : Non.

Q : (L) Ils n’ont pas obligatoirement une planète natale ? En d’autres termes, ils pourraient chevaucher l’Onde ? (SV) Eh bien, est-ce qu’ils viennent ici ? (L) Viennent-ils ici ?

R : Tous sont déjà là.

Q : (L) D’accord, un instant… (T) Et celui-là en dessous ? Qu’est-ce que c’est ? (L) C’est juste un androïde biologique. « Les Nordiques et les Oranges utilisent généralement des serviteurs haute technologie inorganiques. » Est-ce une représentation exacte d’un androïde haute technologie inorganique ?

R : Oui.

Q : (T) C’est quoi tous ces hiéroglyphes ? (L) C’est censé être l’une de leurs langues aliens. Qu’est-ce que ça dit ?

R : Mélangé.

Q : (L) C’est un mélange. Donc, ce qu’il y a là, c’est une combinaison de diverses langues différentes.

R : Oui.

Q : (L) Quelqu’un a simplement rassemblé divers symboles, car on dirait deux ou trois langues différentes. Bon, ça a répondu à ces questions.

(SV) Laura, nous feras-tu des copies ? (L) Oui, je vous ferai à tous des copies. (SV) Comme ça, si j’en rencontre un en rêve, je n’aurai pas peur… Bon, j’aurais moins peur ! (J) En parlant d’avoir peur…

(TK) Il n’y a pas trop lieu de s’inquiéter, à mon avis… (T) Tout ça est censé être amusant ! (L) Oui, ils nous ont dit que ce serait l’extase. (T) C’est amusant ! C’est un défi qu’on est censé apprécier tel qu’il est. (TK) Il me semble qu’on doit prendre ça comme ça vient, et faire avec ! (T) Exactement. (J) Encaisser les coups avec le sourire.

R : Oui.

Q : (J) En parlant d’avoir peur, j’ai vécu d’autres moments où je me suis réveillée en criant sans savoir pourquoi. Quelque chose à ce sujet ? Ça fait deux ou trois fois que ça m’arrive.

R : Découvre.

Q : (L) Tu dois te faire hypnotiser. Ils l’ont souvent dit dernièrement. C’est ce qu’ils ont répété plusieurs fois à Nova M… Découvre, découvre, découvre. Vous a-t-elle parlé de la séance ? (T) La séance ? Non. (TK) Posons-nous les mauvaises questions, là ? (J) Naaan !

R : Cela n’existe pas.

Q : (J) Les mauvaises questions, ça n’existe pas. (L) J’imagine que tout ce que tu peux avoir envie de demander, à mesure que tu déambules dans le labyrinthe en essayant de parvenir au centre, est approprié. Je veux dire, quelle question t’est venue à l’esprit ? (J) Tout est connaissance… (T) Tout ce qui te passe par la tête, tu dois le demander. (L) Une fois que tu as lu l’intégralité des transcriptions. Bon, je n’aurais pas dû te les donner comme je l’ai fait. J’aurais dû supprimer toutes les idioties. Comme ça, tu aurais pu en comprendre toute la substance. Mais il faut aussi les passer en revue, parce que… (J) Ça fait partie du processus d’apprentissage. Même les âneries en font partie. (L) Oui, parce que tu sais, il va y avoir deux pages de questions personnelles, et tout à coup, vont apparaître trois ou quatre paragraphes d’un tel impact que tu ne peux que te dire « Oh, mon dieu »… (T) Quand tu parcours les trucs personnels, tu y trouves aussi des informations… (L) Il s’y cache aussi des pépites… (T) Tout un tas de trucs… (J) Laura, pour être honnête, je ne pense pas que tu doives les élaguer… Je pense qu’Andrew a raison, laisse-les tel quel.

(TK) Mais que peut… y a-t-il des questions qu’on peut poser, et des réponses qu’on peut recevoir, qui feront d’une manière ou d’une autre une différence ? (J) Il faut simplement continuer à demander, je suppose. (T) Ce qu’on a fini par faire, c’est de simplement lancer tout un tas de questions différentes jusqu’à arriver à un moment où on obtient des réponses. On va ensuite travailler à partir de là, jusqu’à ce qu’on atteigne un seuil de compréhension… (L) Parfois, on ne sait même pas ce qui va ouvrir une porte. Certaines des questions les plus innocentes ont débouché sur certaines des informations les plus incroyables qui nous ont époustouflés.

R : Demande.

Q : (L) Alors, demande. (T) Vas-y, il n’y a pas de mauvaise question. Il nous arrive à tous de poser des questions stupides et d’être gênés, donc ne te fais pas de souci. Ils gèrent ça très bien pour nous.

(TK) Je ne sais pas, on dirait que… quelle différence cela fait-il vraiment de savoir certain de ces trucs ? (J) Parce que le simple fait d’en avoir conscience… (TK) En avoir conscience, oui, d’accord, je peux comprendre. (J) Ce n’est parfois que ça… (L) Et aussi, ils nous ont dit que plus on accumule de connaissances, plus cela modifie notre fréquence, et ajoute du volume, de la substance, de la puissance et de la force à ce que nous sommes et qui nous sommes, à un niveau fondamental. Pas physiquement, mais psychiquement. Autrement dit, quand tu parviens à… si tu es une personne pleine de connaissance, je veux dire, qu’est-ce qui est dit dans la Bible ? « Mon peuple périt, parce qu’il lui manque la connaissance… », et il est dit, « Vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous rendra libres ». Et plus on a de connaissances, plus on est grand au sens cosmique et psychique, plus on est puissant, et…

R : Suggérons plus de questions sur les faits et gestes dans les complexes souterrains. Jan et Terry ont été des visiteurs involontaires quand ils sont allés à Albuquerque et Las Vegas !

Q : (J) Oh, vraiment ! (T) Relis, j’ai perdu le fil après « visiteurs ». (L) Vous avez été dans une base souterraine ? (T) On a été devant la porte d’entrée d’une base souterraine. C’était aux Grottes de Carlsbad, et je sais qu’il y a un complexe gouvernemental à l’autre extrémité dont personne ne parlera. (J) C’est de ça qu’ils veulent parler ? (T) Vous parlez de Carlsbad ?

R : Abductés.

Q : (T) : Quand nous étions à Albuquerque ?

R : Oui.

Q : (J) Et à Las Vegas ? (T) Et aussi quand on était à Las Vegas ?

R : Avez rencontré un alien là-bas.

Q : (L) Oh, vous avez rencontré un alien quand vous étiez à Las Vegas ! (J) Est-ce que ça a un rapport avec le fait que les photos de notre mariage n’ont rien donné ?

R : Pilier de bar.

Q : (T) : Ohhhhh… (J) Je sais exactement de quoi vous parlez.

R : Gris humanoïde déguisé d’espèce quatre. Rigélien. SDS de l’Union d’Orion.

Q : (T) Pourquoi nous a-t-il parlés ? Pourquoi nous a-t-il abordés ? Je sais exactement…

R : Pour vous espionner et lire la fréquence de votre aura ; si tu n’avais pas été aussi fort, vous auriez subi un enlèvement permanent à cause de vos études.

Q : (L) Bon, là, il y a un détail important. Que tout le monde en prenne note. (L) Qu’y a-t-il dans la force qui empêche une abduction permanente ?

R : Force de caractère, c’est-à-dire qu’il est peu probable pour un candidat SDA d’être victime.

Q : (L) Peu probable d’être victime… D’accord, mais… (T) Candidat SDA… (L) Je sais, mais c’est… ils disent, si… bon, qu’est-ce qui rend une personne… On sait ce que ça veut dire d’être candidat SDA, mais qu’est-ce qui intérieurement les empêche… Je veux dire, est-ce un constituant essentiel de certains êtres humains ? Quelque chose en eux qui empêche cette manipulation et cette persécution ?

R : Configuration de l’âme.

Q : (L) Donc, autrement dit, il y a quelque chose de nous, ou en nous, qu’ils ne peuvent littéralement pas toucher ou atteindre. Est-ce exact ?

R : En gros, mais difficile à simplifier.

Q : (L) Autrement dit, quelque chose en nous crée une barrière inhérente, mais il ne s’agit pas nécessairement de quelque chose dont, à ce niveau de densité, on peut s’emparer, et brandir et agiter comme une arme, pour simplifier ?

R : Possible, mais compliqué à faire consciemment.

Q : (L) Est-ce une qualité ou une capacité sur laquelle on peut travailler ? Je ne pense pas que la méditation soit la réponse, c’est ce que j’en suis venue à penser… Est-ce un état de concentration, de conscience totale du corps, interne et externe, grosso modo une conscience du corps totale… (J) De pair avec l’instinct…

R : Utile.

Q : (L) Y a-t-il quelque chose que nous puissions faire pour développer ceci au maximum tout en étant dans ces corps, dans cette densité ?

R : Attendez la 4.

Q : (L) Attendre la 4 ? La 4e densité ?

R : Oui.

Q : (T) On ne peut pas développer ça nous-mêmes, mais si on… (J) On peut entamer le processus… (T) Ça ne se développe pas, si on y arrive, ça se fait tout seul, sans y penser… (L) C’est inné… (T) C’est un réflexe, c’est involontaire, c’est là, et ça fonctionne quand ça doit fonctionner. C’est ça l’idée ?

R : Partagez les expériences de l’ouest à des fins d’apprentissage, s’il vous plaît. Connaissance est protection.

[Brièvement, Terry raconta l’histoire où lui et Jan avaient rencontré le pilier de bar au casino Vegas World après être allés au centre-ville chercher leur certificat de mariage. Ils avaient pris un taxi jusqu’à la Mairie et avaient bêtement décidé de revenir à pied jusqu’au « Strip », sous une canicule de 46°. Ils étaient péniblement arrivés jusqu’au casino Vegas World où ils s’étaient arrêtés au bar pour se rafraîchir. Jan était proche de l’insolation et la serveuse lui avait donné des verres d’eau glacée ainsi qu’une serviette froide à mettre dans le cou. Ils s’apprêtaient à repartir et à héler un taxi pour rentrer à leur hôtel quand ils furent abordés par le « pilier de bar » qui commença à leur poser toutes sortes de questions personnelles et donnait l’impression de faire semblant d’être soûl alors qu’il ne l’était pas. Il devint agressif quand Terry refusa de lui montrer son permis de conduire floridien, mais se trouva désorienté quand Terry déclara : « On n’a aucun problème, là, n’est-ce pas ?!  C’est génial, tout va bien ! Je te paye une bière ? », tout en lui faisant baisser les yeux et en mettant toute la force de sa personnalité dans ses propos.]

Q : (T) Avant de partir trop loin là-dedans, je voudrais leur demander où nous avons été enlevés. Parce qu’après ça, pour autant que je sache, il ne s’est rien passé. On a juste continué nos affaires, et on ne l’a plus revu… (L) Dans l’histoire que Terry vient de raconter, quel a été le moment décisif de résistance ?

R : L’affirmation.

Q : (L) Quelle affirmation ? (T) « On n’a aucun problème, là, n’est-ce pas ?! C’est génial, tout va bien ! Je te paye une bière ? »

R : Oui.

Q : (T) Car c’est là qu’il a été désorienté… (J) Tu as totalement neutralisé… (SV) Oui, par le regard… (T) Il montait ça en épingle, et je ne sais pas, l’idée m’est venue que le meilleur moyen était d’arrêter ça net…

R : Les Gris et leurs associés sont désarçonnés par les déviations de flux énergétique ou les interruptions des modes de pensée.

Q : (SV) C’est exactement ce qui est dit dans Matrix ! (T) Je me souviens d’autre chose en y réfléchissant : avant que ça ne dégénère, il en venait à vouloir aller quelque part. (J) Très vaguement, mais oui. (T) Il en venait à « On devrait aller ensemble à tel endroit ». Je crois que c’est là que j’ai vraiment tout coupé net. (L) Bien, maintenant, lors de cet épisode où Terry et Jan ont été emmenés dans une base souterraine, pouvez-vous identifier l’endroit où celle-ci se trouve ?

R : Socorro, Nouveau-Mexique.

Q : (J) On a été à Socorro, non ? (T) On est passé par Socorro… On s’est arrêté à l’école de géologie. (L) OK, que leur a-t-il été fait dans cette installation souterraine ?

R : Examen rapide.

Q : (T) L’a-t-on réussi ? Je ne suis pas doué pour les examens rapides ! À Albuquerque, quelle nuit avons-nous été enlevés ?

R : La seconde.

Q : (T) On est arrivé là-bas vendredi après-midi, donc ça devait être dimanche… (L) Qui dirigeait cette base, ce complexe ? Quel groupe ?

R : SDS de l’Union d’Orion.

Q : (T) Pourquoi nous ont-ils enlevés ? Je sais, un examen rapide, mais pourquoi ? Parce qu’on était là, à proximité ? (L) Il y a une minute, ils ont dit à cause de vos études. (T) Eh bien, ils auraient pu nous enlever en Floride.

R : Oui.

Q : (L) Ils ont dit à cause de vos études. Bon, il se trouve que vous étiez près d’une base, j’imagine. Tout le monde ne va pas dans ces bases, tu sais, ces complexes souterrains. On les emmène dans des vaisseaux… (T) Nous a-t-on emmenés dans cette base parce qu’on se trouvait à proximité quand ils nous sont tombés dessus ? C’était une opportunité pour eux ?

R : Pas loin.

Q : (T) Savaient-ils qu’on en sortait ?

R : Oui.

Q : (T) Pourquoi nous ont-ils fait suivre par un espion ensuite ?

R : Test.

Q : (T) Quel genre de test ? (J) Je pense qu’on l’a réussi… (L) Je pense que si vous aviez échoué, vous auriez été abductés de manière permanente, comme ils l’ont dit tout à l’heure.

R : Déjà répondu.

Q : (L) C’était une lecture d’aura… relis le passage sur la lecture d’aura… (T) Vous voulez dire qu’ils cherchaient à savoir si nous étions SDS ou SDA ?

R : En partie.

Q : (L) Et si, à ce moment-là, ils avaient été abductés pour toujours, que leur serait-il arrivé ?

R : Utilisation d’organes.

Q : (T) Vous voulez dire que j’aurais fait partie de quelqu’un ? (TK) Ça veut dire en gros que tu ne les intéressais pas en tant que personne, mais tes organes, oui. (T) Bon, s’ils nous avaient enlevés pour utiliser nos organes, mais ils ne nous ont pas enlevés… (J) Ils n’ont pas pu car tu étais fort… (T) Donc, ils nous ont emmenés… quel était avant tout le but de l’examen ? Je sais, un examen rapide. Était-ce pour déterminer si nos organes convenaient ? J’essaye de faire… d’établir un lien entre… parce qu’il n’y avait aucune raison de… S’ils nous avaient enlevés… (L) S’ils vous ont enlevés, pourquoi ne vous ont-ils pas gardés ?

R : Trop complexe à expliquer sur cette tribune.

Q : (L) Autrement dit, nous commençons vraiment à être fatigués, là. J’ai une idée à ce sujet. N’y a-t-il pas quelque chose d’interne qui les empêche d’aller trop loin lors d’une abduction, c’est-à-dire, peut-être un ange gardien, pour ainsi dire, ou une énergie protectrice, et donc ensuite ils tentent de mettre un implant et de créer une situation où ils peuvent contourner ça… ? Oh, je sais ! Est-ce ce que Michael Topper décrit dans son article « Les channels et la nature positive/négative de la réalité », où il parle du « facteur d’obéissance » du SDS ? S’ils arrivent à faire en sorte qu’on obtempère vis-à-vis de quelque chose, on leur donne notre permission.

R : Pas loin.

Q : (L) Cet article est tellement… Bon, je pense qu’on va fermer boutique pour ce soir, car on est laminés… êtes-vous laminés ? (F) Je suis fatigué, oui. (L) Très bien. Y a-t-il quoi que ce soit que vous voulez dire à quelqu’un avant que nous ne fermions boutique ? Y a-t-il un message pour Tom qui s’apprête à remonter dans le Nord demain ? Ou l’un de nous en général ?

R : Non.

Q : (L) Quelque chose que vous souhaitez demander avant d’y aller ? Parfait, alors bonne nuit et merci d’avoir été avec nous.

R : Au revoir.

Fin de la séance
 
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Merci à l'équipe Française pour la traduction...
C'était agréable de rencontrer Tom Knight qui est dans mes prières et Reiki chaque jour depuis que Laura nous l'avait demandé...

Thanks to the French team for the translation....
It was nice to meet Tom Knight who is in my prayers and Reiki every day since Laura asked us to...
 
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