Séance du 17 juin 1995

Jacques

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Merci aux membres de l'équipe française pour cette traduction.
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Séance du 17 juin 1995

Participants : « Frank », Laura, SV, Terry et Jan

[Laura plonge Frank en hypnose.]

Q : (L) Quand la connexion sera établie, merci de l’indiquer en disant « Je suis prêt ». [Pause] Es-tu prêt ?

R : Oui.

Q : (L) Bien, nous avons des questions et je pense que c’est Terry qui va commencer ce soir. (T) Comment est mort FDR ?

R : Dû à une hémorragie cérébrale.

Q : (T) Alors il s’agissait d’une mort naturelle ?

R : Oui. Toute mort est naturelle.

Q : (T) Sa mort n’a pas été manigancée par quelqu’un d’autre ?

R : Nous ne comprenons pas la référence.

Q : (T) Il n’a pas été assassiné par un quelconque moyen ?

R : Non.

Q : (L) Et pour le Pape Jean-Paul Ier ? Le pape qui n’a officié que durant un mois ? Merci de parler aussi fort et distinctement que possible.

R : C’est le confort du sujet utilisé comme canal ou conduit qui constitue le facteur le plus important d’un parler distinct et d’un volume sonore plus élevé. Ce peut être une méthode des plus utiles pour canaliser des informations si toutes les circonstances sont optimales.

Q : (L) Que pouvons-nous faire d’autre pour son confort ?

R : Le placement d’un objet à la droite de la tête du sujet inhibe quelque peu le flux d’énergie. Veuillez placer une sorte d’objet de maintien ou de cale à la gauche de la tête du sujet.

Q : [Ajustements effectués] (SV) Est-ce mieux ? (J) Je conseille de l’installer avant qu’il ne plonge en transe. (L) C’est ce que je ferais, mais il est tellement têtu qu’il n’écoute pas mes suggestions. Il dit qu’il est bien, mais il ne l’est pas. Revenons à la question : qu’est-ce qui a provoqué la mort du Pape Jean-Paul Ier ?

R : Malheureusement, comme nous vous l’avons déjà indiqué, vous posez parfois des questions auxquelles nous ne pouvons répondre. Non parce que les réponses sont inconnues, mais plutôt parce que connaître les réponses pourrait s’avérer dangereux pour vous.

Q : (T) Eh bien, c’est une réponse en soi. Il n’est pas mort naturellement.

R : La spéculation est inoffensive comparée à la connaissance irréfutable, avérée.Q : (L) Bien, Susan avait une question dont on a discuté dans la semaine : que se passe-t-il quand un vaisseau appartenant aux « aliens » se met à émettre une lumière stroboscopique au lieu de pulser ou simplement clignoter ou autres configurations. Autrement dit, quelles sont les différentes configurations des émanations lumineuses, et qu’indiquent-elles ?

R : C’est intéressant quand vous posez des questions multiples. Choisis-en une s’il te plaît.

Q : (L) Le changement d’émanation lumineuse indique-t-il quelque chose quant à la condition, le statut, ou l’activité éventuelle d’un ovni ?

R : Ce mode de pensée est confus.

Q : (L) Bon, disons qu’un ovni précis est observé. Au départ, il paraît métallique. Un peu plus tard, il se met à émettre une lumière d’une couleur ou d’une autre. Ensuite, après quelques minutes de rayonnement, il se met à émettre une lumière stroboscopique — à clignoter une lumière très brillante. Qu’est-ce que cela indiquerait ?

R : Nous n’avons pas l’intention de causer des difficultés, mais le terme « stroboscopique » n’est pas totalement clair pour nous. Cela semble être une construction artificielle de votre plan dont nous ne sommes pas familiers.

Q : (L) Bon, le passage d’une lueur à un flash aveuglant.

R : Eh bien, avant tout, comme nous vous l’avons déjà dit, et puisque vous avez acquis des connaissances grâce à d’autres sources avant de communiquer avec nous, vous devez savoir que l’ensemble du sujet désigné par le terme « ovnis » est extrêmement varié, comporte de multiples facettes et ne représente pas une unique condition, entité, source d’entités, mode de transport, niveau de densité, ou toute autre chose qui leur soit liée.

Q : (L) Donc, autrement dit, il nous faudrait spécifier une observation et une situation précises pour obtenir une réponse à cette question en particulier, ou à ce type de questions ?

R : Eh bien, permettez-nous de vous demander si cela ne serait pas la conduite à tenir la plus judicieuse ?

Q : (J) Je pense qu’il y a un moyen de s’en sortir. Nous faisons éventuellement référence au genre d’observations qui sont typiques de la région de Gulf Breeze, là où ils…

R : S’il vous plaît, ayez conscience du fait que l’ensemble de la situation de Gulf Breeze est en bien des façons plutôt intéressante. Et quand nous disons « plutôt intéressante », nous sommes subjectifs, la subjectivité étant considérée de votre point de vue. Il se passe bien plus de choses que les apparences ne le laissent supposer… à nouveau, de votre point de vue… pas du nôtre, car nous savons ce qui se passe là-bas. Et cela nous amène à un autre point qui devrait être maintenant soulevé, à savoir que votre axe de questionnement, dans cette séance en particulier, semble bel et bien adopter une certaine configuration consistant à essayer d’obtenir des réponses à des mystères qui, s’ils sont éclaircis, pourraient vous causer des difficultés. Le premier exemple étant la mort du Pape Jean-Paul, comme vous l’appelez, et le second, Gulf Breeze. Si vous deviez connaître les réponses à ces questions, nous pouvons vous assurer qu’il ne faudrait pas longtemps, selon vos critères temporels, pour que s’ensuivent des conséquences qui ne seraient pas agréables pour vous. Ceci parce que toutes les entités concernées par ces divers sujets sont purement SDS et, en fait, impliquées dans des pratiques qui, si elles étaient révélées dans leur intégralité, nuiraient aux efforts de ceux qui cherchent à servir le soi dans leurs manières de chercher le service de soi. Donc, il ne nous est pas possible d’entrer dans les détails à propos des lumières observées à Gulf Breeze, car vous pourriez déduire à partir des informations données, diverses autres informations qui pourraient vous amener à une connaissance qu’il vaudrait mieux que vous ne possédiez pas à l’heure actuelle. Comprenez-vous ?

Q : (T) Êtes-vous en train de suggérer qu’à un moment donné dans l’avenir, il nous sera possible et utile de savoir ces choses ?

R : Eh bien, nous essayons sincèrement de ne pas suggérer, mais plutôt de communiquer, et l’intention de la communication était d’indiquer qu’il serait peut-être plus bénéfique d’acquérir des connaissances détaillées sur ces sujets dans ce que vous décririez comme votre avenir que cela ne serait le cas dans ce que vous décririez comme votre présent.

Q : (J) Donc, parfois, la connaissance est… [Terry l’interrompt et leurs deux commentaires sont inaudibles.] (T) La connaissance sans compréhension…

R : Faux. La connaissance protège, mais il existe un vieux dicton dans votre monde de 3e densité [(J) Je sais ce qu’ils vont dire…] peu de savoir est chose dangereuse… [(J) Gagné !] et nous y ajouterons « peu de savoir équivaut à pas de savoir du tout ». Compris ?

Q : (L) Oui… (J) Est-ce un peu dans la même veine que « La connaissance décontextualisée est dangereuse » ?

R : Ce serait juste également.

Q : (L) Bon, puisque nous n’aboutirons nulle part avec cette question, j’en ai une autre… Il y a quelques soirs de cela, j’ai pratiqué une séance sur mon fils dans le but d’examiner les événements qui ont eu lieu le 16 août 1993, au-dessus de ma piscine, lorsque nous avons tous vu deux objets de type ovni passer nonchalamment. Lors de cette séance d’hypnose, après avoir passé en revue cet épisode deux ou trois fois, il a indiqué qu’en fait il ne s’agissait pas d’une simple observation d’un objet au-dessus de nos têtes, mais bien d’une d’abduction. Serait-ce vrai ?

R : À ton avis ?

Q : (L) Sachant ce que je sais désormais, je le pense.

R : La raison pour laquelle nous te le demandons c’est parce que, nous devons encore le répéter, ton apprentissage est bien plus abouti si tu utilises les outils que tu possèdes en toi, et nous sommes heureux de voir que c’est effectivement ce que tu fais. Mais tu dois avoir confiance en ta propre aptitude à accéder aux informations dont tu as besoin par tes propres efforts.

Q : (L) Une remarque qu’il a faite pendant cette séance — et qui m’a un peu effrayée, aussi j’aimerais que vous développiez quelque peu le sujet — vers la fin, quand j’ai demandé ce qui s’était passé, il a répondu qu’il avait été « démantibulé et téléporté sans bénéficier d’un anti-douleur ». Cela signifie que quand il a été démolécularisé, une sorte de dispositif censé supprimer la douleur n’a pas été utilisé, et que le processus de démolécularisation ou de remolécularisation atomique peut vraiment être douloureux et source de détresse. Est-ce exact ?

R : Possible. L’ensemble du processus d’abduction peut être stressant mais à des degrés divers et, bien sûr, nous devons vous rappeler que, comme pour tout le reste, c’est votre propre perception de la réalité qui constitue le facteur le plus important, non quelque idée de votre propre perception de la réalité.

Q : (L) Je ne comprends pas ce que vous voulez dire. Y a-t-il un dispositif qui… cela fait-il mal d’être désassemblé moléculairement, téléporté à bord d’un vaisseau puis renvoyé ? (J) Cela peut-il être douloureux pour le corps ?

R : Eh bien, tout d’abord vous vous laissez emporter. Croyez-vous sincèrement qu’un rayon lumineux est venu vous « décomposer », a transporté physiquement votre corps à bord d’un vaisseau spatial, a procédé à une sorte d’examen médical ou autre, puis a rassemblé votre corps tout entier sans aucun anti-douleur ? C’est ce que vous croyez ?

Q : (L) Eh bien, il n’a pas dit que c’est ce qui m’était arrivé, il a dit que cela lui était arrivé à lui. (J) Nous n’avions encore jamais entendu parler de « dispositif anti-douleur ». (L) Oui, nous n’avons jamais rien entendu de pareil ; et je crois effectivement qu’un rayon lumineux a pu descendre, nous désassembler et me ré-assembler et qu’on m’a ensuite fait quelque chose. D’après les recherches que j’ai faites, je dirais que c’est possible. Je veux dire, connaissant la capacité de ces entités à manipuler le temps, il est tout à fait possible que cela ait pu se produire sans qu’on ait eu conscience d’une quelconque perte de temps.

R : Oui, c’est vrai, toutefois nous vous avons parlé en détail, lors de précédentes séances, de la méthodologie utilisée pour la procédure que vous désignez sous le terme d’« abduction ». Et si vous connaissez bien les transcriptions que vous avez maintenant réalisées, vous savez précisément ce qu’il en est. La description que tu en fais, selon la séance d’hypnose dont tu parles, n’est pas entièrement exacte, ou du moins ton interprétation des informations données au cours de la séance d’hypnose est erronée.

Maintenant, il faut noter que procéder à des clarifications telles que « ceci n’est pas exact » ou « c’est erroné » nous est inhabituel, car la nature de ton état d’être et de tous les autres implique divers degrés d’illusion intrinsèque. C’est pourquoi toutes les possibilités sont présentes dans la plupart des cas. Cependant, lorsque deux, ou davantage de ces chaînons illusoires sont décalés, alors effectivement, une exactitude absolue ou une inexactitude absolue sont possibles. Dans le cas présent, il y a décalage des chaînons. Par conséquent, c’est en fait complètement inexact.

En outre, pour expliquer à nouveau précisément le processus — même si nous désirons ardemment que vous appreniez, et nous sentons que vous brûlez peut-être les étapes dans votre courbe d’apprentissage, pour ainsi dire, ce qui est quelque peu alarmant, mais nous nous en soucierons plus tard — le principal c’est qu’on vous a déjà dit comment ce processus se déroule. Nous allons à présent le répéter. Essayez, s’il vous plaît, de retenir cette connaissance, car elle est très importante, non seulement par rapport à ce qui s’est peut-être produit dans votre réalité dans ce que vous appelez votre passé, mais aussi dans des variantes possibles de votre présent, et dans ce que vous appelez votre futur. Ces expériences doivent être connues dans leur intégralité pour ce qu’elles sont vraiment.

Vous n’êtes pas transportés de façon normale d’un lieu à l’autre, comme un être incarné de 3e densité. Ce qui se passe est très simple. Le cadre temporel est ordinairement figé — et nous utilisons le terme « figé »  faute d’un meilleur mot. Cela signifie que votre véhicule physique — un corps de 3e densité — cesse de percevoir l’écoulement du temps pendant cette période, que divers représentants de l’espèce humaine appellent « temps zéro » . Voici ce qui se passe : l’empreinte d’une âme occupant un corps-hôte spécifique est retirée de force, et transportée vers un autre lieu où, à des fins d’examen, de pose d’implants et autres, elle est remolécularisée en un corps physique distinct. L’empreinte de l’âme sert à ce processus de duplication ; puis elle est démolécularisée, et replacée dans le corps originel sur le lieu initial. Voilà le processus.

Il arrive que les êtres de 4e densité auteurs de l’enlèvement se trompent dans les points de référence temporels de cette illusion qu’est la 3e densité. Cela peut créer l’effet de la survenue d’une expérience alternative ou double quand, en réalité, il n’y en a qu’une seule. C’est ce qui est arrivé dans ton cas. C’est pourquoi tu as cru voir deux « vaisseaux », par manque d’un meilleur terme, quand, en réalité, il n’y en avait qu’un. Ceci parce que l’illusion du cadre temporel de référence n’a pas été complètement coordonnée du début à la fin de l’événement dans le temps zéro. Mais ce n’est en général pas un problème.

À de rares occasions, il arrive que l’hôte, ou la victime de l’enlèvement, soit replacé, dans l’illusion du cadre temporel, à un moment semblant distant de quelques heures, jours, semaines, ou même années, malheureusement, du début de l’événement — ce qui provoque évidemment des effets secondaires : démence profonde, et autres pathologies apparentées. Heureusement, ce n’est pas ce qui s’est passé dans ton cas, mais il y a bien eu fractionnement de l’illusion du cadre temporel de référence. C’est pourquoi tu as cru voir deux vaisseaux quand, en réalité, tu n’en as vu qu’un seul.

Il est désormais extrêmement important que tu comprennes qu’il ne s’agit pas d’une expérience physique qui se passe entièrement en 3e densité. Comme tu le sais déjà, tous les êtres de 1ère, 2e, 3e et 4e densités possèdent une empreinte d’âme ; c’est celle-ci qui est extraite. Un double ou, si tu préfères, un clone de cette empreinte peut alors être réalisé et étudié en 4e densité. Puis l’empreinte originale est replacée dans le corps d’origine, quelle que soit la densité dans laquelle elle a été prélevée. Telle est la façon habituelle de procéder.

Si l’être de 3e densité est enlevé physiquement dans sa totalité, ce dernier ne revient généralement pas en 3e densité. Il reste définitivement en 4e densité. C’est ce qui arrive le plus souvent, bien que le retour soit possible à l’occasion. Toutefois, cela n’est pas nécessaire puisque le processus de duplication permet de faire en 4e densité tous les examens, altérations de sensations et pose d’implants ; cela n’a pas besoin d’être réalisé en 3e densité ; cela peut être entièrement accompli grâce au processus de duplication en 4e densité. Comprenez-vous ?

Q : (T) Comment l’implant revient-il dans le corps de 3e densité resté là depuis le début ?

R : Le processus que nous sommes en train de décrire implique la remolécularisation. Il est très complexe de s’essayer à décrire comment la 4e densité se transpose en 3e densité ; disons simplement qu’une fois que le duplicata, le clone de 4e densité — le double — existe, toutes les réalités de 4e densité entourant ce double de 4e densité auront, au moment et à l’endroit désiré, leur contrepartie en 3e densité. Car, dans les faits, c’est tout le niveau de densité qui est échangé, pas seulement l’objet qu’il contient.

Q : (L) Donc, autrement dit, tout comme l’empreinte de l’âme, quand elle va en 4e densité, sert de modèle pour réaliser une copie carbone — façon de parler — tout ce que l’on fait à cette copie carbone sert à son tour de modèle pour, lorsqu’on la renvoie en 3e densité, recréer une manifestation similaire.

R : Précisément. À la seule différence que cette technologie permet aussi de s’assurer que les implants ou les objets posés en 4e densité se répliqueront à l’identique en 3e densité au cours du processus de remolécularisation.

Q : (L) Y a-t-il une méthode que nous pourrions ou devrions connaître pour extraire ou désactiver les implants ?

R : Non, vous ne pourriez pas le faire sans provoquer la mort de l’hôte. Et, au passage, s’il vous plaît, ne croyez pas ceux qui disent en être capables, car ils ne le sont pas.

Q : (L) Dès lors, dans ce cas précis, quelque chose a été fait, quelque chose s’est produit, qui m’a affectée. Vu ma condition physique ultérieure, je suis curieuse de savoir si les réactions physiques que j’ai eues pendant six à neuf mois, et que j’ai encore occasionnellement, à la suite de cet épisode, ont été une réaction de troisième densité à ce que vous appelez un fractionnement temporel. Était-ce une anomalie ou était-ce intentionnel ?

R : Ah là, là. Ah là, là. Tu prends un sujet et te lances dans un autre. Tu crées ta propre réalité, Laura. C’est très impressionnant ! Mais évidemment inexact, désolés de le dire ! Ce n’est pas la conséquence d’un « fractionnement » de l’illusion du cadre temporel de référence. C’est purement et simplement la conséquence de l’empreinte de ton impression psychique de l’expérience elle-même qui se reflète dans ta réalité physique de 3e densité. Comme nous te l’avons déjà dit, nous n’avons bien entendu pas l’intention de paraître désobligeants ou condescendants, mais nous sommes un peu troublés par le fait que tu ne sembles pas être au courant du contenu de tes propres transcriptions.

Q : (L) Bon, puisque cette question n’a jamais reçu de réponse…

R : Elle n’a jamais reçu une telle réponse erronée. Cependant, si tu connaissais parfaitement les transcriptions, tu réaliserais qu’elle a reçu une réponse.

Q : (L) Eh bien, ça m’a seulement donné à réfléchir d’entendre parler de « fractionnement du temps ». (T) La souffrance que le fils de Laura a décrite n’était pas due à ce qu’il a dit, mais est plutôt liée au fait que l’être de 4e densité emporte la force vitale ?

R : La force vitale n’est jamais emportée. L’âme est extraite. Pour répondre à ta question : le fils de Laura exprime simplement l’inconfort et la détresse qu’éprouvent la plupart des êtres de 3e et de 2e densité quand ils sont enlevés par des entités de 4e densité au Service De Soi.

Q : (L) Pourquoi ont-ils uniquement enlevé [mon fils] et moi, et pas les filles ?

R : Est-ce bien le cas ?

Q : (L) Eh bien, c’est ce qu’il a dit. Et vous avez dit que les filles n’avaient pas été abductées.

R : Alors je suppose que ça répond à la question.

Q : (L) Alors pourquoi ? Pourquoi uniquement lui et moi ?

R : Pourquoi pas ?

Q : (J) Simple hasard ? (L) Était-ce une abduction arbitraire ?

R : Comme nous l’avons déjà dit, vous avez fait des progrès en apprenant grâce à vos propres ressources. Mais nous détesterions vous voir régresser.

Q : (L) Eh bien, je ne souhaite pas régresser, et je n’ai aucunement l’intention de ne pas explorer ce sujet avec mes propres ressources. Mais, je me sers de moi à titre d’exemple pour essayer d’en découvrir un peu plus sur la nature du processus d’abduction en général. Je veux dire, est-ce accompli au hasard, ou cela vise-t-il des personnes spécifiques pour des raisons précises ? Je pense que des personnes spécifiques sont peut-être ciblées afin de les mettre hors circuit. Mais là, ça paraît un peu égoïste et je ne veux pas tomber dans le piège de l’ego et dire qu’on m’a enlevée pour me mettre hors circuit et que quelqu’un d’autre l’a été arbitrairement.

R : Eh bien, j’espère que la déclaration qui suit ne te perturbera pas. Tout être SDS possédant un plus grand pouvoir que toi n’éprouvera pas de grande difficulté à te « mettre hors circuit » si c’est ce qu’il désire. Évidemment, c’est arrivé.

Q : (L) J’aimerais poser quelques questions sur la synchronicité. J’aimerais connaître la source des événements synchrones. Cette source est-elle multiple, ou émane-t-elle du propre esprit de l’individu qui perçoit la synchronicité, ou… (J) Est-ce aléatoire ?

R : Imaginez qu’un jeune écolier marche dans la rue, s’arrête devant un rosier, cueille une des fleurs et lui demande : « Pourrais-tu m’expliquer la théorie de la relativité d’Einstein aujourd’hui ». L’analogie ici vise à vous indiquer, sous forme d’humour peut-être, que nous admirons et apprécions les défis que vous nous lancez de répondre à de telles questions complexes sous une forme aussi simple, sans oublier un format aussi simple. Cependant, si nous devions vous répondre correctement et adéquatement quand vous posez des questions aussi complexes, cela nécessiterait une séance durant approximativement vingt-quatre de vos jours sans interruption. Inutile de dire que cela rendrait le sujet plutôt inutilisable, ainsi que vous-mêmes, bien entendu. Donc, ce n’est pas que nous sommes incapables de répondre à une question aussi complexe que « Qu’est-ce que la synchronicité ? » car elle est incroyablement compliquée. Elle implique la fusion d’aspects de tous les états imaginables de la réalité, en ce qui serait décrit au mieux, visuellement, comme une immense mosaïque en parfait équilibre. Mais cette réponse n’est pas appropriée à votre question. Cependant, avec un peu de chance, peut-être pouvez-vous contempler l’image visuelle présentée et vous faciliter l’apprentissage d’une réponse plus complète.

Q : (T) Il y a quelques séances de cela, alors que nous discutions des « réalités perpendiculaires », vous nous avez parlé de quelque chose qui m’est arrivé, et j’ai dû passer ma vie en revue et analyser mes relations avec d’autres personnes à partir d’une certaine époque jusqu’à aujourd’hui ; vous avez parlé d’une réalité perpendiculaire. Quelle est la définition d’une réalité perpendiculaire ?

R : Fondamentalement — mais non exclusivement — une réalité perpendiculaire renvoie au chemin de vie individuel et à la façon dont il s’intègre dans le cycle ou dans une roue lorsqu’on est connecté à des personnes qui suivent un chemin de vie similaire. Et, assez étrangement, elle est très étroitement liée à la question précédente sur les synchronicités. Si vous pouvez vous représenter une roue formée d’un cercle à l’intérieur d’un autre cercle et y inscrire des séparations parfaitement égales, vous obtiendrez la meilleure représentation qui soit d’une réalité perpendiculaire, car une telle réalité n’implique pas entièrement l’expérience d’un seul individu, mais bien l’expérience d’un groupe d’individus, dans le cadre d’une progression vers un but plus grand, si vous voyez ce que nous voulons dire. C’est cela que nous qualifions de « réalité perpendiculaire ». Ou encore, représentez-vous un cercle à l’intérieur d’un cercle ; les deux cercles sont reliés par des séparations équidistantes, en un cycle parfait. C’est cela, une réalité perpendiculaire.

Q : (T) Vous nous avez fait dessiner ce symbole et placer sept rayons ou séparations entre les deux cercles.

R : Exact.

Q : (T) Est-ce que sept est le nombre optimal ?

R : Sept est toujours le nombre optimal. Il y a sept niveaux de densité. Cela se reflète dans toutes les phases de la réalité.

Q : (T) Les gens avec lesquels j’ai eu des relations pendant cette période ont entrepris certaines choses dans leur vie — des choses qu’ils étaient censés faire… était-ce à cause de leur interaction avec moi dans cette réalité perpendiculaire où nous existions tous ?

R : C’est exact.

Q : (T) Vous nous avez dit aussi que chacun des membres de ce groupe venait d’une réalité perpendiculaire différente.

R : C’est exact.

Q : (T) Est-ce que c’est ici que nous fusionnons nos différentes réalités perpendiculaires, afin que chacun apprenne de l’expérience des autres ?

R : On pourrait dire que cette description est exacte.

Q : (L) Vous avez dit à l’époque que le cercle intérieur était la connexion avec cette réalité-ci et que le cercle extérieur et ses segments de connexion indiquaient le « point de jonction entre la réalité perpendiculaire et l’Onde ». Est-ce que vous insinuez par-là que la formation de ce conduit par le biais de ces réalités perpendiculaires est un préalable essentiel à la venue de l’Onde, à la venue des changements, de ce glissement de dimension ou de densité, et est-ce quelque chose qui est accompli en d’autres lieux ?

R : Nous tenons à te féliciter pour avoir réussi à poser six questions en une seule phrase. [(T) Encore une question et on aurait une question parfaitement perpendiculaire !] Humour !

Q : (L) Sommes-nous d’une manière ou d’une autre reliés à l’Onde, individuellement et en tant que groupe ?

R : Évidemment. Tout est lié à l’Onde.

Q : (L) Est-ce qu’en nous connectant au sein de cette roue, pour ainsi dire, nous activons l’Onde d’une manière ou d’une autre ?

R : Nous ne voyons pas tout à fait clair dans ton intéressante interprétation, mais il est vrai que vous avez une relation interactive avec l’Onde… Cependant, comme nous l’avons dit précédemment, vous êtes dans une relation interactive au sens où l’Onde fait partie de votre réalité, cela a toujours été le cas, et ça le sera toujours. Et cela implique, naturellement, votre progression à travers le Grand Cycle. Et là encore, la réalité perpendiculaire est bien évidemment une progression du centre vers l’extérieur, ce qui est encore un autre reflet de toute réalité et de tout ce qui existe. Maintenant, nous voudrions revenir à la représentation visuelle mentionnée précédemment. Vous observerez que le cercle intérieur est relié au cercle extérieur par chacune des sept lignes de séparation. Maintenant, figurez-vous le cercle extérieur comme un cercle qui s’élargit sans cesse, et chacune des sept lignes de séparation comme une ligne qui s’allonge sans cesse. Bien sûr, l’expansion se fait vers l’extérieur selon un schéma circulaire ou cyclique. Visualisez donc un cercle extérieur qui s’élargit et un cercle intérieur qui ne s’élargit pas. Contemplez cela, puis donnez-nous vos impressions quant à ce que ça représente.

Q : (L) Est-ce que ça représente une expansion de notre connaissance et de notre conscience ?

R : Cela en fait partie.

Q : (L) Est-ce que ça représente aussi une influence grandissante de ce que nous sommes et de qui nous sommes sur ce qui nous entoure ?

R : C’est exact.

Q : (L) Est-ce que ça représente aussi quelque chose de plus…

R : Oups ! Nous détectons un glissement dans votre représentation visuelle ! Contemplez, s’il vous plaît, le cercle extérieur qui s’élargit sans cesse et le cercle intérieur qui ne s’élargit pas, et bien sûr, les sept lignes de séparation qui s’allongent également vers l’extérieur. Quel type de forme vous apparaît mentalement ?

Q : (L) Une roue ?

R : C’est tout ?

Q : (T) Une tarte ?

R : Continuez.

Q : (L) Un œil.

R : Ah, maintenant, nous arrivons à une sphère ! Comment le cercle peut-il se transformer en sphère ?

Q : (L) Comment il peut se transformer en sphère ?

R : Comment ne le ferait-il pas !

Q : (SV) Ça part dans toutes les directions, ça ne reste pas plat…

R : Une ligne droite est-elle une ligne droite, ou une…

Q : (L) Oh, vous ne parlez pas d’un cercle ?

R : Nous parlons d’un cercle. Que devient un cercle si vous l’élargissez vers l’extérieur à l’infini ?

Q : (J) Il disparaît.

R : Il disparaît ? Comment peut-il disparaître ? Où disparaît-il ? Nous te posons la question, Jan ? Jan ?

Q : (J) Visuellement, à mesure que le cercle extérieur s’élargit, le cercle intérieur devient de plus en plus petit, jusqu’à ce qu’il disparaisse. Si l’on continue à élargir le cercle extérieur, le cercle intérieur disparaît.

R : Mais où disparaît-il ?

Q : (J) Dans un trou noir ?

R : Un trou noir. Bon, c’est une possibilité. Mais nous ne vous avons pas demandé de vous concentrer autant sur le petit cercle, n’est-ce pas ? Concentrez-vous sur le cercle extérieur.

Q : (T) Le cercle extérieur va englober de plus en en plus d’espace.

R : Et quelle forme commence-t-il à prendre ? Nous vous demandons de regarder ce cercle extérieur qui s’agrandit !

Q : (J) Faut-il supposer que les sept rayons conservent la même dimension par rapport au cercle ?

R : Eh bien, répondez vous-mêmes.

Q : (L) Bon. Nous regardons une représentation plate. Une surface plane.

R : Eh bien, qu’arrive-t-il à une surface plane quand vous l’étendez vers l’extérieur à l’infini ?

Q : (L) Eh bien, on ne sait pas. Ça, ça… (SV) Ça continue à s’étendre.

R : Ça continue ?

Q : (L) Ouais, de plus en plus grand et de plus en plus plat !

R : Vraiment ? Qu’arrive-t-il à une ligne quand on l’allonge indéfiniment ?

Q : (Laura et Susan) Elle continue.

R : Vraiment ?

Q : (L) Mmm oui !

R : Et où s’en va-t-elle ?

Q : (SV) Elle se prolonge à jamais. (J) Elle revient sur elle-même. (L) Ça, on ne peut pas le savoir.

R : Oh, quelqu’un a dit « revient sur elle-même ».

Q : (J) Comme un serpent qui se mord la queue.

R : Et pourquoi ne peut-on pas le savoir ?

Q : (L) Parce que c’est comme ça. On postule que l’espace est courbe…

R : « Parce qu’on ne peut pas le savoir ». Eh bien, pourquoi ne le sait-on pas ?

Q : (L) Parce que nous ne sommes jamais allés là-bas.

R : Est-ce que Christophe Colomb avait déjà quitté l’Italie ou l’Espagne ?

Q : (L) Bon, sommes-nous censés en déduire que s’il continue à s’étendre, il finira par revenir sur lui-même…

R : Non, non, non attends ! Nous avons posé une question !

Q : (L) Eh bien, évidemment, Colomb avait dans l’idée qu’il y avait quelque chose, mais il n’était jamais allé là-bas, non. Mais il a fini par y aller et a pu vérifier par lui-même.

R : Avait-il seulement « dans l’idée que » ?

Q : (L) Eh bien, oui, je suppose.

R : Hmmm. Ce n’est pas le souvenir que nous en avons. Dans notre souvenir, il avait de l’instinct et de l’imagination, et quand il les a couplés, ils sont devenus réalité. Et lorsqu’ils sont devenus réalité, il a créé une réalité dont il était certain qu’elle se manifesterait dans la 3e densité physique. Il n’en était pas seulement convaincu : il savait que c’était le cas. Il ne s’est pas laissé entraver, il n’a pas ajouté ses préjugés à l’équation, contrairement à vous quand vous dites : « Eh bien, on ne sait pas ce qui se passe, parce qu’on n’y est jamais allés ! » S’il vous plaît, faites preuve de logique. Nous vous avons dit à maintes reprises que tout est un Grand Cycle. Si c’est un Grand Cycle, nous vous avons parlé de cercles à l’intérieur de cercles. Nous vous avons parlé des cycles. Nous vous avons parlé des cycles à ondes courtes et des cycles à ondes longues. Maintenant, après toutes ces informations que vous nous avez demandées et que nous vous avons données bien volontiers, vous vous attendez à ce qu’une ligne droite se prolonge indéfiniment, pour l’éternité, en ligne droite ? Comment pourrait-elle le faire ? Qu’est-ce qui se passe lorsque, sur votre Terre de 3e densité, vous tracez une ligne droite vers l’Est ou vers l’Ouest, ou vers le Nord, ou vers le Sud… ?

Q : (J) Elles reviennent toutes sur elles-mêmes.

R : Bien…

Q : (L) Bon, donc nous vivons dans un grand globe !

R : Vraiment ?

Q : (L) Eh bien, ça y ressemble ; un grand cercle ?

R : Oh, aïe aïe aïe ! Tu dois étudier et apprendre davantage, ma chère. Il faut étudier davantage. Même votre Albert Einstein avait une théorie à ce sujet.

Q : (L) Oui, mais ce n’était qu’une théorie.

R : Oh, eh bien, dans ce cas, nous supposons qu’il faut l’écarter. Nous ne saurons jamais. Ce n’est qu’une théorie. Bref, oublions tout ça.

Q : (T) J’étends toujours ce cercle… (SV) Moi aussi.

R : Très bien. C’est ça, l’idée. Ça continue, encore et encore.

Q : (L) Bon. Le mien continue aussi à s’étendre, mais il n’est pas revenu sur lui-même et n’a rien rencontré. Alors, quel est le but ?

R : Il faut qu’il y ait un but ?

Q : (L) Bien sûr !

R : Qui dit ça ? Nous essayons de vous aider à apprendre. Quand pensez-vous mettre fin au processus ?

Q : (J) Jamais. (L) Bon sang, jamais, j’espère.

R : Alors il n’y a jamais de but !

Q : (J) Compris ! (L) Il n’y a rien à comprendre, puisqu’il n’y a pas de but. [Rires] Bon, si l’on élargit le cercle vers l’extérieur et que l'on continue à l’élargir dans toutes les directions, il entraîne les sept rayons avec lui, ce qui englobe de plus en plus d’espace dans une vue en coupe, et ensuite, on tourne ce cercle, et l’on obtient une sphère.

R : Précisément. Mais Laura dit que ça signifie que nous vivons dans un grand globe. Et peut-être que c’est le cas.

Q : (T) Bon, ce ne serait pas un grand globe à proprement parler ; ce serait seulement un grand globe à l’intérieur du cercle. Si le cercle poursuit son expansion, il s’étendra de plus en plus vers l’extérieur et le globe deviendra de plus en plus grand… (L) Tu me rends nerveuse… (T) Mais il s’étend à l’infini… parce qu’il n’y a pas de fin à son expansion…

R : Il n’y en a pas ?

Q : (SV) Nan.

R : Alors, il n’y a peut-être pas de commencement.

Q : (T) Eh bien, il n’y aurait pas de commencement. Seulement un vide béant. Un vide infini…

R : S’il n’y a ni fin ni commencement, alors qu’y a-t-il ?

Q : (L) Pas de but. (J) L’ici et maintenant.

R : L’ici et maintenant, qui est aussi le futur et le passé. Tout ce qui a été, est, et sera ; et tout cela simultanément. Voilà pourquoi seul un nombre très limité de personnes au sein de votre 3e densité sont capables de comprendre le voyage dans l’espace ; parce que, même si voyager dans l’espace, dans votre 3e densité, implique tout autant la 3e densité que le fait d’être allongé bien au chaud dans votre lit, dans votre petit chez vous, la référence temporelle est supprimée. C’est une chose à laquelle vous vous accrochez frénétiquement, comme si votre vie en dépendait. Et c’est votre plus grande illusion. Nous vous avons dit et répété que le temps n’existe pas, et pourtant, on vous a tellement endoctrinés avec ce concept que vous n’arrivez pas à vous en débarrasser, quoi que vous fassiez. Pas vrai ? Imaginez que vous allez dans l’espace. Vous seriez perdus lorsque vous seriez confrontés à cette réalité : tout existe simultanément, tout ne fait qu’un. Pas vrai ? Imaginez-vous flottant dans l’espace !

Q : (L) Je ne veux pas. (J) Il n’y a pas d’espace non plus ! (T) Est-ce que la sphère continue à s’étendre… à mesure que le cercle s’étend, et qu’on fait pivoter le cercle de 180°, on obtient une sphère. À mesure que la sphère continue à s’étendre, on prend un point sur sa surface extérieure pour la faire revenir sur elle-même. On obtient alors un beignet, un tube intérieur qui s’étend à l’infini. (L) Avec un trou noir au milieu ! (SV) Pourquoi devrait-il y avoir un trou noir ? (J) C’est une spirale. (T) Si on tord ce tube, on obtient un tube intérieur encore plus grand. Il continue tout bonnement à s’étendre et à englober de plus en plus d’espace…

R : Et maintenant, lorsqu’on fait fusionner des densités ou qu’on les traverse, on obtient la fusion de la réalité physique et de la réalité éthérique, ce qui implique formes-pensées par opposition à physicalité. Quand on parvient à fusionner les deux parfaitement, on en vient à réaliser que s’il n’y a ni début ni fin, c’est tout bonnement parce qu’on n’a pas besoin d’envisager de début ni de fin quand on a terminé son développement. Lorsqu’on est en union avec l’Un en 7e densité, c’est qu’on a accompli cela, et que, dès lors, toute différenciation entre formes physiques et éthérées devient obsolète.

Q : (L) Au sujet du temps, tel qu’on l’a évoqué l’autre jour : nous avons parlé du fait qu’à la constante de la lumière, il n’y a pas de temps, il n’y a pas de matière, il n’y a pas de gravité, mais que pour toute unité, infinitésimalement en deçà de la constante de la lumière, tout à coup, il y a de la gravité et de la matière. Et nous avons demandé ce qui solidifiait cette matière à partir de l’énergie de la lumière, pour ainsi dire, et je crois que la réponse que nous avons reçue était qu’il s’agissait de la conscience du 7e niveau. De notre point de vue, serait-il possible d’atteindre cette constante et de passer de l’autre côté, ou du moins d’y rester fixés, sans nous dématérialiser ? La vitesse de la lumière est-elle étroitement liée à l’absence de temps et à l’absence de gravité ?

R : Pas au sens absolu ; au sens de la 3e densité.

Q : (L) OK, si l’on se trouve en 4e densité, par exemple, est-ce que tout se déplace à la vitesse de la lumière et est-ce pour cela qu’il n’y a ni temps ni gravité là-bas ?

R : Non. C’est un concept erroné.

Q : (T) Il n’y a pas de vitesse de la lumière, la lumière est partout.

R : Précisément. Il n’y a pas de vitesse de la lumière en 4e densité, parce qu’il n’y a aucun besoin de « vitesse » d’aucune sorte. La vitesse est, en soi, un concept de 3e densité. Vous vous souvenez que tout est leçon. Voilà tout. Il n’y a rien d’autre. Tout cela est pour votre perception. Pour notre perception. Pour toute conscience. C’est tout ce qu’il y a.

Q : (L) Bon, je m’efforce tout de même de comprendre ce que c’est, quelle est la source de cette gravité, de cet état temporel, parce qu’ils semblent être intimement liés.

R : Permets-nous de te poser une question maintenant : tu te souviens être allée à l’école ?

Q : (L) Oui.

R : Qu’est-ce que tu as fait au CE2 ?

Q : (L) Beaucoup de choses. J’ai appris l’écriture cursive. J’ai appris à multiplier et à diviser.

R : Te souviens-tu de ce que tu as fait au CP ?

Q : (L) Oui.

R : Cite une chose, s’il te plaît.

Q : (L) J’ai appris à compter de différentes façons. À additionner et à soustraire. J’ai appris à lire et à écrire. (T) As-tu appris à multiplier et à diviser au CP ? (L) Non.

R : OK. Quand tu apprenais à multiplier et à diviser, as-tu posé ton stylo ou ton crayon et décidé de revenir à ton état d’esprit du CP pour tenter de comprendre pourquoi tu avais dû apprendre l’alphabet ?

Q : (L) Non.

R : Pourquoi non ?

Q : (L) Parce que je le connaissais déjà.

R : Tu le connaissais déjà. Autrement dit, tu n’avais pas besoin d’apprendre l’alphabet parce que tu le connaissais déjà. Exact ?

Q : (L) Oui.

R : Auras-tu besoin de t’éduquer sur la vitesse de la lumière lorsqu’il n’y aura plus de vitesse de la lumière ?

Q : (L) Eh bien, c’est ce que j’essaie de faire. Une fois qu’on a appris, peut-être qu’on n’est plus soumis à ces leçons. Je veux dire, on vous présente des concepts, vous les absorbez, les mettez en pratique, ils se mettent à faire partie de vous et ensuite, vous passez à la suite.

R : Oui, mais tu poses des questions sur la vitesse de la lumière en relation à la 4e densité et aux densités supérieures, et nous te disons qu’il n’y a pas de vitesse de la lumière là-bas parce qu’elle n’est plus nécessaire, parce qu’une fois que tu atteins la 4e densité, tu as appris les leçons du 3e niveau.

Q : (L) Bon, si une personne de 3e densité monte dans une sorte de véhicule et atteint la vitesse de la lumière, est-ce que ça la transfère automatiquement en 4e densité ?

R : Peux-tu, s’il te plaît, nous indiquer l’un de ces véhicules ?

Q : (L) Eh bien, nous n’en avons pas… encore.

R : Penses-tu en avoir un à disposition avant d’aller en 4e densité ?

Q : (L) Non.

R : Alors la leçon est apprise, non ?

Q : (L) En quelque sorte.

R : Si tu as foi en ce que nous disons — et qui vient en réponse à tes questions —, alors la leçon est apprise. Maintenant, réfléchis-y, parce que tout n’est que leçon.

Q : (L) Eh bien, vous dites que le temps est une illusion, que nous nous y cramponnons farouchement, etc., et je serais parfaitement heureuse de me passer du temps…

R : Vas-y ! Passe-t’en !

Q : (L) Eh bien, c’est une chose d’en avoir la volonté, et c’en est une autre que de l’appliquer dans notre système, dans notre système d’exploitation interne.

R : Ton système d’exploitation interne ?

Q : (T) C’est du DOS ou du WARM ?

R : Peux-tu nous expliquer ce qu’est un système d’exploitation interne ?

Q : (L) Je suppose que c’est le subconscient.

R : Vraiment ?

Q : (L) Peut-être.

R : Oh là, là.

Q : (T) Le subconscient n’a aucune notion du temps. (J) Le temps est une contrainte artificielle… (L) Par exemple : dans son esprit conscient, une personne peut croire à la prospérité ; elle pourra en parler, adopter une pensée positive, et pourtant, pour une raison ou une autre, elle vivra continuellement au seuil de la pauvreté, parce que quelque chose en elle la maintient dans une situation d’échec, de sorte à la maintenir dans la pauvreté. Et quand on commence à sonder le subconscient de cette personne, on y découvre une croyance dans la pauvreté, ou un lien avec une vie antérieure où elle ressent le besoin d’être pauvre, ou pense le mériter ; et donc, son système d’exploitation interne prend le dessus sur ses croyances et ses pensées conscientes. C’est de ça que je parle.

R : Oui, mais où veux-tu en venir ?

Q : (L) Je veux en venir au fait qu’on peut dire qu’on aimerait se débarrasser du temps et qu’on peut le comprendre conceptuellement, mais que quelque chose d’interne nous y maintient lié. Comment se débarrasser de cette connexion interne ?

R : Quelque chose d’interne vous y maintient liés ?

Q : (J) Comme les rythmes circadiens, c’est physique.

R : Nous avons le sentiment que tu n’as pas compris.

Q : (L) Eh bien, peut-être est-ce le cas.

R : Voyez-vous, nous nous adressons à vous tous quand nous disons ceci : il est à présent temps pour vous, en tant qu’individus, d’essayer de vous éloigner, autant que possible, sans vous forcer, naturellement, mais d’essayer de vous éloigner à votre propre rythme des contraintes de la 3e densité. Vous avez tous appris vos leçons jusqu’au niveau où vous êtes plus que prêts à commencer à vous préparer à la 4e densité. La 3e densité implique un niveau de physicalité, de limitation, de contrainte, et tout ce qui les accompagne, dont vous n’avez plus besoin. C’est pourquoi, même si nous comprenons que, parfois, il peut être confortable de se cramponner à tout ça, il est « temps » pour vous — et voilà à nouveau ce mot — il est temps pour vous d’envisager de poursuivre votre chemin, de vous préparer à la 4e densité et d’arrêter de vous préoccuper de choses telles que le temps, ou comment vous libérer de l’illusion du temps. Cela n’est vraiment pas important. C’est comme un étudiant de 3e cycle qui voudrait étudier les mathématiques et qui arrêterait tout pour revenir en arrière et examiner ABC, en se demandant pourquoi ce n’est pas plutôt CBA ou BAC. Cela ne sert à rien. Le temps est ce qu’il est. Les choses sont comme elles sont.

Q : (L) C’est ça que je veux savoir : qu’est-ce que c’est ?

R : Pourquoi veux-tu le savoir ?

Q : (L) Parce que je suis curieuse. Qu’est-ce que le temps ?

R : Nous t’avons déjà dit qu’il n’existe pas, qu’il est la création artificielle d’une illusion nécessaire à ton apprentissage, au niveau où tu es, ou étais, et que tu n’en as plus besoin une fois que tu as quitté ce niveau.

Q : (T) Peut-être qu’une des leçons est de ne pas se préoccuper du temps. Une fois qu’on a appris que le temps n’est pas réel… (SV) Va dire ça à ton patron !

R : Si quelque chose n’est pas réel, doit-on se soucier de ce que c’est ?

Q : (T) Pas pour moi.

R : Imagine une conversation entre deux personnes : Bill et Eugène. Bill dit à Eugène : « Le temps n’existe pas ». Eugène rétorque : « Ah bon ? Mais je veux savoir ce que c’est. » Bill dit : « Je viens de te dire que ça n’existe pas. Le temps n’existe pas. Il n’a aucune forme de réalité, dans aucun cadre de référence ni à aucun niveau de densité. Il n’existe tout simplement pas. » Et Eugène de dire : « Comme c’est intéressant. Mais dis-moi donc : qu’est-ce que le temps ? »

Q : (L) Compris. (T) Tu portes une montre ? (L) Non. (SV) Je dois en porter une à cause de mon emploi du temps. (T) Mais tu portes une montre parce que les autres croient au temps ? (SV) Oui. (T) Et c’est par courtoisie envers leurs convictions et non les tiennes.

R : C’est tout à fait ça. Tant que vous serez dans cette 3e densité, il vous sera encore nécessaire de vous conformer, jusqu’à un certain point, aux habitudes de ceux qui se sentent plus à l’aise dans la sphère de la 3e densité. Mais comme nous l’avons dit précédemment, peut-être est-il « temps » pour vous de commencer à vous préparer à la 4e densité et de ne pas vous préoccuper plus qu’il n’est absolument nécessaire de tous les « où », les « pourquoi » et les « comment » de la réalité de 3e densité. Elle est vraiment derrière vous à présent, et nous le savons parce que nous pouvons voir tous les niveaux de six à un et vice versa, en un cycle complet.

Q : (L) Pour poursuivre sur cette lancée de préparation à la 4e densité — et ce sera notre dernière question — j’ai récemment demandé la raison d’être de ce groupe, et la réponse a été que si nous le savions, ou plutôt si je le savais, je m’« écroulerais ». Faut-il prendre cela au pied de la lettre ?

R : Oh, oui, certainement. Chaque os de ton corps se détacherait des autres.

Q : (J) Tu deviendrais une flaque. (L) Alors, puisque vous dites qu’il est temps pour nous de commencer à nous préparer à la 4e densité, peut-être le moment est-il venu d’aborder le sujet ?

R : Ne serais-tu pas en train d’essayer de nous diriger ? C’est amusant, parce que, bien sûr, tu as cherché notre aide. Et maintenant tu veux nous mettre à ta place et vice versa. Mais en fait, c’est bien ce qui est en train de se produire, d’une certaine façon ; parce que, rappelle-toi, nous sommes toi dans le futur et nous avons déjà fait l’expérience de tout ce que tu vis. Et bien sûr, nous le vivons aussi, puisque l’expérience se poursuit toujours. Mais il est important de remarquer que tu as fait des progrès en dépit de nos réprimandes occasionnelles, et nous sommes très fiers de ceux que tu as réalisés. Nous voulons aussi te rappeler une nouvelle fois que tu ne dois pas te préoccuper de l’étendue des progrès ni de la direction qu’ils prennent. Laisse-les venir. Toutes les connaissances qui te sont absolument nécessaires pour continuer à progresser seront acquises en… [en chœur] temps voulu. C’est pourquoi, ne te fais pas de soucis : tout se mettra en place, comme nous te l’avons dit. Mais nous ne te sentons pas encore prête à connaître ton objectif ultime, ni qu’il te soit nécessaire de le savoir, et cela ne te serait d’ailleurs d’aucune utilité ; dès lors, nous te demandons encore de ne pas t’en faire à ce sujet, car quand le « temps » sera venu de savoir, tu sauras.

Q : (SV) J’ai une question : si le temps n’existe pas, alors il n’y a ni passé ni futur ; il n’y a ni vies passées ni vies futures, il n’y a pas de réincarnation. Dans ce cas, comment pouvez-vous être nous…

R : Si, il y a réincarnation. Tu t’avances un peu, là. Nous n’avons jamais dit qu’il n’y avait pas de réincarnation.

Q : (SV) Mais si le temps n’existe pas ? (J) C’est la perception que nous en avons. (L) Tout se produit simultanément. Nous vivons toutes ces vies à la fois. (SV) Y a-t-il moyen de nous connecter à tous nos autres Moi ?

R : Vois la chose comme ça : nous allons accéder à certaines de tes banques de mémoire et te donner une autre référence qui, de façon intéressante, colle de très près à la roue de réalité perpendiculaire que nous avons déjà décrite. Tu sais à quoi ressemble un projecteur de diapositives ? Pour avoir une idée de la véritable nature de la réalité étendue, imagine-toi en train de visionner une énorme projection de diapositives avec un grand carrousel à diapos sur le projecteur. À un certain moment, tu regardes une certaine diapo. Mais toutes les autres diapos sont présentes dans le carrousel, n’est-ce pas ? Et bien sûr, ceci colle avec la réalité perpendiculaire, qui s’intègre aux cercles à l’intérieur des cercles et aux cycles à l’intérieur des cycles, lesquels s’intègrent eux-mêmes au Grand cycle, le tout cadrant avec ce que nous venons de vous dire : tout est leçon, rien d’autre ; et nous vous demandons de prendre plaisir à ces leçons en regardant la séance de diapos…

Q : (J) Selon cette analogie, la lumière qui illumine la diapo projetée sur l’écran, c’est notre perception ?

R : Et si vous regardez au centre du projecteur, vous voyez l’origine et l’essence de toute la création elle-même, c’est-à-dire le 7e niveau, où vous êtes en union avec l’Un.

Q : (T) Pouvons-nous poser une autre petite question ? La NASA a annoncé que le télescope spatial Hubble a détecté des amas cométaires. Cela constitue-t-il, en fait, le début de la préparation de la population par les gouvernements mondiaux à ce qui va advenir ?

R : C’est certainement une possibilité, mais à nouveau, tu abordes un sujet très sensible. Rassembler trop de connaissances dans ce domaine précis ne vous serait pas bénéfique.

Fin de la séance
 
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