📚 SĂ©ance du 19 septembre 1998

Jacques

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Merci aux membres de l’équipe française pour cette traduction.
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SĂ©ance du 19 septembre 1998

Laura, Frank, Ark

Q : Bonsoir

R : Bonsoir

Q : Et qui est avec nous ce soir ?

R : Loxacca

Q : Et d’oĂč transmettez-vous ?

R : Cassiopée

Q : J’ai plusieurs choses de la petite liste de diffusion que j’aimerais aborder en premier parce que je pense qu’elles vont passer assez vite. La premiĂšre est ce livre intitulĂ© « Trance Formation of America ; The true life story of a CIA slave (NdT : La vĂ©ritable histoire d’un esclave de la CIA) » par Cathy O'Brien avec Mark Phillips. Il y a une citation assez longue de ce livre que nous avons tous lue. Je ne vais certainement pas la lire Ă  haute voix parce que je ne veux pas avoir Ă  taper une telle chose moi-mĂȘme, donc je ne la lirai pas, mais je suis sĂ»r que vous ĂȘtes au courant de ce qu’elle dit. Ce que je voudrais savoir, c’est quelle est la motivation des auteurs de ce livre ?

R : La perturbation

Q : Perturber quoi ?

R : Toute personne susceptible d’ĂȘtre perturbĂ©e.

Q : Ce livre semble viser spĂ©cifiquement les Clinton ou la structure du pouvoir. Les descriptions des comportements d’Hillary et de Bill Clinton, telles qu’elles figurent dans cet extrait, sont-elles proches de la rĂ©alitĂ© ?

R : Proches ? Disons, peut-ĂȘtre, mais pas de la maniĂšre dĂ©crite.

Q : Existe-t-il une telle chose que cette fille dĂ©crit ? Ces esclaves de la CIA qui sont sexuellement mutilĂ©s et programmĂ©s avec ce programme de contrĂŽle de l’esprit, comme elle l’a dĂ©crit ?

R : Toute expĂ©rience de ce type serait gĂ©rĂ©e par la structure cellulaire d’un satellite pseudo-gouvernemental et, normalement, pas par la CIA.

Q : Ce que vous semblez dire, c’est que ce qui est dĂ©crit ici EST en train de se produire ?

R : Dans une certaine mesure, mais l’histoire telle qu’elle est racontĂ©e est fictive.

Q : Les Clinton sont-ils aussi dĂ©pravĂ©s qu’elle les prĂ©sente ?

R : Non, mais il est possible qu’ils aient consommĂ© des drogues Ă  des fins rĂ©crĂ©atives. Toutefois, nous vous suggĂ©rons de ne pas partager cette information !

Q : Bon, passons Ă  autre chose. Voici une note de Mike C-T. Il Ă©crit : « Laura, j’ai Ă©tĂ© trĂšs consternĂ© de lire votre article sur le RĂ©gime Alimentaire et la Nutrition sur la Page Web. Les C’s disent que l’Amour est suffisant et que le sexe est une pure envie physique et que l’énergie de l’orgasme nourrit les sales types SDS de la 4e D. Ensuite, ils disent que tu devrais fumer et consommer x mg de nicotine, parce que tu en as besoin. Ces deux idĂ©es me semblent contraires puisque fumer est Ă©galement une « envie physique ». Oui, les gens prennent du poids aprĂšs avoir arrĂȘtĂ© de fumer, mais le mĂ©tabolisme se stabilise au bout d’un an environ. Êtes-vous sĂ»r de la source de ce message ? Les SDS pourraient-ils ĂȘtre en train de s’infiltrer et de vous inciter, vous et d’autres, Ă  essayer de vous tuer Ă  petit feu ? Couvrir ses poumons de cendres ne peut pas ĂȘtre bon pour la santĂ©, quelle que soit la composition de ces cendres. MĂȘme la fumĂ©e de bois provoque des troubles respiratoires. Je me suis senti mal Ă  l’aise en lisant cette partie. Cela ne correspondait pas Ă  ma vision du monde des “C’s” ». SignĂ© Mike. Pouvez-vous commenter ses remarques ?

R : Nous n’avons pas suggĂ©rĂ© qu’il Ă©tait conseillĂ© de fumer en soi, la rĂ©ponse concernait une question personnelle sur les difficultĂ©s rencontrĂ©es par Laura pour perdre du poids. Et nous n’avons pas dit qu’il s’agissait d’une solution permanente.

Q : En revanche, vous avez dit que cela augmentait la rĂ©sistance aux maladies et que cela avait d’autres effets bĂ©nĂ©fiques.

R : Oui, mais il est prĂ©fĂ©rable d’utiliser des produits du tabac purs et non la variĂ©tĂ© corrompue que l’on trouve sur le marchĂ© de masse.

Q : Qu’en est-il de la question du sexe ?

R : Plus exactement, s’il te plaüt.

Q : Il dit que les deux idées semblent contraires


R : Comment cela ?

Q : Je suppose que son idĂ©e est que si vous renoncez au sexe, vous devriez Ă©galement renoncer Ă  fumer car il s’agit de deux envies physiques. Ou bien, si fumer est acceptable alors le sexe devrait l’ĂȘtre aussi. Je n’ai pas tout Ă  fait compris la perspective. J’ai rĂ©pondu que j’avais compris que ce n’était pas le sexe, en soi, qui Ă©tait mauvais, mais plutĂŽt la pulsion d’autosatisfaction qui alimentait le SDS.

R : C’est vrai.

Q : Il dit ensuite : « Êtes-vous sĂ»r de la source de ce message ? Est-ce que les SDS pourraient ĂȘtre en train de s’infiltrer et de vous inciter, vous et d’autres, Ă  essayer de vous tuer lentement ?

R : Non et, d’ailleurs, le « meurtre Ă  petit feu » se produit de toute façon, qu’il soit dĂ©clenchĂ© par l’individu lui-mĂȘme ou non.

Q : Il dit : « Couvrir ses poumons de cendres ne peut pas ĂȘtre bon pour vous, quelle que soit la composition de ces cendres ».

R : Un produit du tabac non corrompu n’a pas cet effet.

Q : J’ai Ă©galement mentionnĂ© le fait que ce professeur d’HĂ©matologie Ă  Gainesville m’a dit que la seule chose qu’ils connaissent, Ă  part un processus pathologique, qui augmente le nombre de globules rouges, donc l’hĂ©moglobine, et donc la teneur en fer du sang et du cerveau, c’est le fait de fumer du tabac.

R : C’est vrai.

Q : D’aprĂšs cette information, associĂ©e Ă  tout le travail effectuĂ© sur le suivi de cette « question du sang » qui est si dominante dans la « quĂȘte du Graal » et la littĂ©rature ancienne, l’augmentation du nombre de globules rouges Ă©tait une chose TRÈS souhaitable Ă  faire pour amĂ©liorer la capacitĂ© d’une personne Ă  traverser les densitĂ©s avec aisance. Est-ce une idĂ©e correcte ?

R : Oui et cela rend une personne plus résistante aux infections microbiennes.

Q : (A) OĂč peut-on trouver des produits du tabac non corrompus ?

R : Dans un magasin de tabac.

Q : Alors, je suppose que je dois rouler moi-mĂȘme mon tabac !

R : Il est possible d’acheter une machine qui permet de le faire.

Q : Il a dit : « Je me suis senti malade quand j’ai lu ça ». Je peux m’identifier Ă  ce sentiment parce qu’il y a un certain nombre de choses que j’ai apprises au cours de ce processus qui ont eu le mĂȘme effet sur moi. Mais j’ai aussi appris que lorsque cela se produit, c’est seulement ma rĂ©sistance qui cause cette souffrance. Pouvez-vous nous dire ce que vous en pensez ?

R : Les Ă©motions provoquent des points de vue.

Q : (A) J’ai aussi subi un lavage de cerveau de cette façon et je suis en train de changer. (F) Nous avons TOUS subi un lavage de cerveau ! (L) Ok, maintenant Eddie dit : « Laura a fait plusieurs commentaires sur l’Amour qui m’ont troublĂ©. Je ne comprends pas comment le fait de donner de l’amour sans qu’on nous le demande peut nuire au lieu d’amĂ©liorer. » Pouvez-vous nous dire ce que vous en pensez ?

R : Dans ce cas, « donner » de l’amour n’est pas donner.

Q : Donc, si vous donnez de l’amour alors qu’on ne vous l’a pas demandĂ©, vous ne donnez PAS ?

R : Vous prenez, comme d’habitude.

Q : Quand vous dites que vous « prenez », que prenez-vous ?

R : De l’énergie, Ă  la maniĂšre SDS.

Q : Comment se fait-il que vous preniez de l’énergie Ă  quelqu’un en lui donnant de l’amour qui n’a pas Ă©tĂ© demandĂ© ?

R : Parce qu’un vĂ©hicule SDS n’apprend pas Ă  ĂȘtre un candidat SDA en dĂ©terminant les besoins d’un autre.

Q : Je ne comprends pas en quoi cela signifie que vous lui prenez de l’énergie ?

R : Parce qu’il s’agit alors d’un acte d’auto-gratification. Si l’on « donne » alors qu’il n’y a pas de demande, donc pas de besoin, il s’agit d’une violation du libre arbitre ! Et d’ailleurs, quelle autre motivation pourrait-il y avoir dans un tel scĂ©nario ? RĂ©flĂ©chissez attentivement et objectivement Ă  cette question.

Q : Je pense que, dans un tel scĂ©nario, si on donne de l’amour Ă  quelqu’un qui ne l’a pas demandĂ©, cela traduit un dĂ©sir de changer l’autre, c’est-Ă -dire un dĂ©sir de contrĂŽle.

R : Tu as compris !

Q : Il ajoute ensuite : « Oui, tout est leçon et si une personne a choisi un chemin spĂ©cifique, elle devrait ĂȘtre autorisĂ©e Ă  aller de l’avant et Ă  apprendre son chemin. Mais, disons que cela arrive Ă  quelqu’un que vous aimez vraiment. Et disons que cette personne est, peut-ĂȘtre, dans une pĂ©riode de sa vie oĂč ses pensĂ©es l’amĂšnent probablement Ă  commettre, disons, un meurtre. Ne pensez-vous pas que si vous envoyez de l’amour Ă  cette personne, mĂȘme inconsciemment, cela pourrait fournir l’énergie nĂ©cessaire (l’influence) pour arrĂȘter ce meurtre ? Commentaire s’il vous plaĂźt.

R : Non, non, non !!! En fait, un tel transfert d’énergie pourrait mĂȘme renforcer l’effet.

Q : De quelle maniĂšre ?

R : Les ondes dĂ©sĂ©quilibrĂ©es pourraient ĂȘtre utilisĂ©es par le rĂ©cepteur.

Q : Je pense que le mot qu’il a utilisĂ© est un indice : « Ne pensez-vous pas que si vous envoyez de l’amour Ă  la personne, cela pourrait lui fournir l’énergie nĂ©cessaire » et, entre parenthĂšses, il y a le mot « influencer » qui implique le contrĂŽle du comportement de l’autre personne, pour « arrĂȘter ce meurtre ». Il semble donc qu’il y ait un dĂ©sir de contrĂŽler les actions de l’autre personne.

R : Oui

Q : Mais son intention est tout Ă  fait bienveillante car il veut mettre fin Ă  un meurtre, ce qui sauve une vie, tout en empĂȘchant l’ĂȘtre aimĂ© d’aller en prison. Il SEMBLE donc que son intention soit bienveillante. Cela ne fait-il pas une diffĂ©rence ?

R : Avons-nous oublié le Karma ?

Q : En fait, toutes les deux, Sylvia et moi, avons mentionnĂ© le fait que l’on ne peut pas toujours juger ces situations parce que nous ne savons pas. Nous ne pouvons pas savoir. Tout ce que nous savons, c’est que la victime potentielle du meurtre est un Adolf Hitler ou le parent potentiel d’un Adolf Hitler, ou quelque chose comme ça, et que le meurtre sauverait de nombreuses vies en sacrifiant deux vies, ou que ce meurtre est censĂ© se produire en raison d’une interaction karmique essentielle entre le meurtrier et la victime et que nous ne pouvons tout simplement pas SAVOIR ces choses et les juger.

R : Oui

Q : Un autre commentaire Ă  ce sujet ?

R : Non

Q : Il dit : « Je crois que si nous n’envoyons pas d’énergie d’amour au monde, l’énergie Ă©gocentrique SDS dominera. »

R : Pourquoi choisir d’envoyer cette Ă©nergie ? Quelle est la motivation ?

Q : Pour le changer selon votre idĂ©e de ce qu’il devrait ĂȘtre. Pour le contrĂŽler afin qu’il suive votre jugement sur la façon dont les choses devraient ĂȘtre.

R : Exactement. Les Ă©lĂšves ne sont pas censĂ©s ĂȘtre les architectes de l’école.

Q : Donc, lorsque vous cherchez Ă  imposer ou Ă  exercer une influence quelconque, vous essayez, en fait, de jouer Ă  Dieu et vous prenez sur vous de dĂ©cider qu’il y a quelque chose qui ne va pas dans l’univers et qu’il vous appartient de rectifier, ce qui Ă©quivaut Ă  un jugement.

R : Oui, vous voyez, on peut conseiller, c’est bien, mais il ne faut pas essayer de modifier la leçon.

Q : Il dit aussi : « Je crois qu’un ĂȘtre illuminĂ© Ă©met de l’amour partout oĂč il se trouve et, ce, mĂȘme sans qu’on le lui demande. Cela se produit simplement parce que c’est ce qu’ils sont – amour. » Commentez, s’il vous plaĂźt.

R : Un ĂȘtre illuminĂ© n’est pas l’amour. Et un rĂ©frigĂ©rateur n’est pas une autoroute.

Q : Quoi ? Tu parles d’un mĂ©lange de mĂ©taphores ! Je ne comprends pas celle-lĂ  !

R : Pourquoi pas ?

Q : Elles n’ont rien à voir l’une avec l’autre !

R : Exactement !!!

Q : Qu’EST-ce qu’un ĂȘtre illuminĂ© ?

R : Un ĂȘtre illuminĂ©.

Q : Quels sont les critĂšres pour ĂȘtre un ĂȘtre illuminĂ© ?

R : Être illuminĂ© !

Q : Quand on est illuminé, quel est le profil ?

R : Cela ne mÚne nulle part parce que vous faites la proverbiale routine du trou rond, de la cheville carrée.

Q : Ce que j’essaie de comprendre, c’est ce qu’est un ĂȘtre illuminĂ©. Eddie et BEAUCOUP d’autres personnes ont l’idĂ©e qu’un ĂȘtre illuminĂ© EST AMOUR, et que c’est ce qu’il rayonne et que c’est une consĂ©quence de l’illumination.

R : Non, non, non, non, non. « IlluminĂ© » ne signifie pas bon. C’est juste intelligent.

Q : D’accord, il y a donc des ĂȘtres illuminĂ©s SDS et SDA ?

R : Oui, nous pensons que la proportion globale est de 50/50.

Q : D’accord, quel est le profil d’un ĂȘtre SDA illuminĂ© ?

R : Un ĂȘtre intelligent qui ne fait que donner.

Q : Puisque nous avons abordĂ© l’idĂ©e de ne pas donner d’amour Ă  ceux qui ne le demandent pas, que donnent-ils et Ă  qui le donnent-ils ?

R : Tout ; Ă  ceux qui le demandent.

Q : Il dit : « Comme vous pouvez le voir, je crois au pouvoir de l’amour. Je suis ouvert pour essayer de comprendre ce que je n’ai pas encore pu comprendre. C’est peut-ĂȘtre pour cela que je suis ici avec vous. Alors, pourrions-nous parler davantage de ce sujet ? Pourrions-nous fournir plus d’informations sur ce que les C’s ont dit Ă  propos de l’Amour ? » J’ai recueilli les extraits du texte sur l’amour et sur la façon dont vous avez dit que la Connaissance Ă©tait l’amour et que la lumiĂšre Ă©tait la connaissance et tout le reste. Pouvez-vous ajouter quelque chose Ă  cela ?

R : Non, parce que le destinataire ne souhaite pas recevoir.

Q : D’accord. Sylvia a rĂ©pondu : « Eddie, je te remercie d’avoir soulignĂ© le paradoxe du concept de l’expression de l’amour entre les C’s et le fait que certains d’entre nous pensent savoir, mais SAVENT ce qu’ils expĂ©rimentent. J’ai le sentiment qu’il peut ĂȘtre trĂšs difficile pour les C’s d’apporter une comprĂ©hension adĂ©quate Ă  notre 3e densitĂ© ou dimension. [
] Mon point de vue sur le paradoxe est le suivant : Si l’on Ă©met de l’amour comme un cours naturel de l’Univers, ce n’est pas consciemment limitĂ© ou dirigĂ© – du moins, pour ma part, je ne peux pas faire cela ; c’est simplement la façon dont certains d’entre nous sont la plupart du “temps”. Éliminer des groupes ou des individus dĂ©passe mon entendement et ne peut ĂȘtre dĂ©fini, en permanence, car cela se fait souvent de maniĂšre inconsciente ; et cela compromettrait certainement mon expĂ©rience de l’envoi d’amour. À moins d’ĂȘtre un Bodhisattva, l’amour n’est probablement dirigĂ© avec plus d’intensitĂ© que lorsqu’il est dirigĂ© vers un individu ; comment savoir si le destinataire prĂ©vu n’est pas prĂȘt/apte Ă  recevoir » [
] Et « recevoir », je pense que c’est un indice : le destinataire prĂ©vu peut soit rester inconscient, soit repousser l’énergie de l’amour – le libre arbitre.

R : Oui

Q : S’il s’AGIT d’une « Ă©nergie d’amour », est-elle ensuite corrompue par le SDS ?

R : Peut-ĂȘtre

Q : Elle dit ensuite : « Si l’on dirige l’amour de façon trĂšs spĂ©cifique vers un individu, il peut ĂȘtre dirigĂ© librement, avec jugement, subjectivement
 L’un des dĂ©fis consiste Ă  diriger l’amour librement
 »

R : Non

Q : « Donner de l’amour Ă  l’Univers est peut-ĂȘtre le meilleur moyen, en gĂ©nĂ©ral, mais si l’on se concentre sur un ĂȘtre cher et que cela PEUT ĂȘtre efficace, l’Univers en gĂ©nĂ©ral pourrait-il ĂȘtre AUSSI efficace ? »

R : L’univers est une question d’équilibre. C’est tout ce qu’il y a Ă  dire !

Q : Ensuite, en ce qui concerne le fait de ne pas donner d’amour lorsqu’on cela n’est pas demandĂ©, elle dit : « Cela ne s’accorde pas avec le fait de travailler en rĂ©seau pour rĂ©pandre la CONNAISSANCE parmi ceux qui s’inquiĂštent et qui aiment. CELA est dirigé  »

R : Quoi ?

Q : Eh bien, j’AI fait remarquer que la seule raison pour laquelle nous avons obtenu quoi que ce soit est que nous avons demandĂ© pendant LONGTEMPS, de façon rĂ©pĂ©tĂ©e et sincĂšre.

R : Le fond du problĂšme est le suivant : Vous occupez la 3e densitĂ©. Vous ĂȘtes, par nature, SDS. Vous pouvez ĂȘtre un candidat SDA, mais vous n’ĂȘtes PAS SDA tant que vous n’ĂȘtes pas en 4e densitĂ©. Vous ne saisirez JAMAIS le sens de ces tentatives de conceptualisation tant que vous ne serez pas en 4e densitĂ© et plus.

Q : Elle dit aussi : « Et il y a ceux qui n’ont pas d’ñme ». Est-ce vrai ?

R : Non

Q : Je pense que ce qu’elle veut dire par lĂ , c’est qu’il y a ceux qui sont SDS dans leur essence mĂȘme et que beaucoup de gens considĂšrent que c’est un Ă©tat « sans Ăąme », je crois.

R : Mais le SDS n’est pas « sans Ăąme ».

Q : Sylvia demande aussi : « Peut-il y avoir un moment oĂč l’on doit choisir entre le moindre de deux karmas ? »

R : Non parce que le karma dicte sa propre existence.

Q : Qu’entendez-vous par là ?

R : Il n’y a pas de bifurcation sur la route parce qu’il n’y a pas de temps linĂ©aire. C’est une illusion et lorsque vous aurez obtenu votre promotion, vous le saurez.

Q : D’accord, elle ajoute Ă  propos du point de vue des C’s sur la sexualitĂ© : « Leur point de vue implique trĂšs fortement que les Êtres humains sont conçus dans le pĂ©chĂ© aprĂšs tout. Pour moi, cela ne cadre pas avec une GĂ©omĂ©trie de la DivinitĂ© bienveillante et non vengeresse. »

R : Non, le sexe n’est pas un pĂ©chĂ©. La nourriture non plus. C’est simplement physiologique. Vous vous souvenez de ce que nous vous avons dit Ă  propos de la physicalitĂ© variable ?

Q : Oui, la 4e densitĂ© est le niveau de variabilitĂ© de la physicalitĂ©. Apparemment, d’aprĂšs ce que je peux comprendre, quand on est dans cet Ă©tat, on trouve que dans la plupart des circonstances, on choisirait l’état de pure conscience plutĂŽt que le physique parce qu’il y aurait une plus grande libertĂ© dans cet Ă©tat et, donc, si on choisit consciemment d’ĂȘtre dans l’état non-physique, on choisirait aussi de ne pas avoir de relations sexuelles ou de ne pas manger.

R : Presque

Q : Son autre affirmation est la suivante : « Les C’s ont dĂ©clarĂ© qu’ils Ă©taient une continuation des PlĂ©iadiens. Le point de vue des PlĂ©iadiens sur la sexualitĂ©, qui doit ĂȘtre exprimĂ©e librement, semble en opposition directe. »

R : Eh bien, il s’agit lĂ  d’un amalgame de concepts. Mais, pour en aborder un, qui peut dire que les reprĂ©sentations des concepts PlĂ©iadiens sont vraiment les mĂȘmes ?

Q : L’une de ses derniĂšres remarques est la suivante : « Je rĂ©flĂ©chis Ă  la maniĂšre d’étudier les arbres ». Pouvez-vous nous dire ce que vous en pensez ?

R : Étudiez-les comme vous le souhaitez. Il ne s’agit que de leçons.

Q : Ce n’est qu’un commentaire secondaire. J’espĂ©rais que l’effort de groupe amĂ©liorerait la comprĂ©hension grĂące Ă  la discussion mais je crains que ce ne soit pas le cas.

R : Il n’y a pas lieu d’espĂ©rer. Ceux qui comprendront, comprendront.

Q : TrĂšs bien. Pour Ark, permettez-moi de lire cet extrait du livre de Kozyrev : Kozyrev imaginait le temps comme un flux puissant englobant tous les processus matĂ©riels de l’univers et tous les processus se dĂ©roulant dans ces systĂšmes Ă©taient des sources alimentant ce flux. Il parle de l’intensitĂ© ou de la densitĂ© du flux temporel, de l’énergie qu’il transporte, de son Ă©mission et de son absorption ; de la rectilinĂ©aritĂ© de sa propagation, de sa rĂ©flexion sur les obstacles et de son absorption par la matiĂšre. Kozyrev a dit : « Le temps s’écoule dans un systĂšme par le biais d’une cause Ă  un effet. On a l’impression que le temps est attirĂ© Ă  l’intĂ©rieur par une cause et qu’il se densifie Ă  l’endroit d’un effet. Dans chaque processus de la nature, le temps peut ĂȘtre formĂ© ou dĂ©pensĂ©. » Par consĂ©quent, il semble raisonnable d’identifier le flux de Kozyrev Ă  un flux substantiel dont la source est, selon Kozyrev, un processus irrĂ©versible et hors d’équilibre. En ce qui concerne ses remarques sur le temps, dans quelle mesure Ă©tait-il proche d’une comprĂ©hension exacte lorsqu’il a fait ces commentaires ?

R : Proche

Q : Il dit aussi ici : « Kozyrev a soulignĂ© les contradictions flagrantes entre la deuxiĂšme loi de la thermodynamique, qui rapproche la mort thermique de l’univers, et l’absence de tout signe d’équilibre dans la diversitĂ© observĂ©e de l’univers. Il a soulignĂ© que les tentatives d’explication de l’absence de mort thermique ont Ă©tĂ© trĂšs Ă©loignĂ©es de l’univers rĂ©el observĂ© par les astronomes. Le fait est que les corps cĂ©lestes et leurs systĂšmes sont tellement isolĂ©s les uns des autres que leur mort thermique DOIT s’ĂȘtre produite bien avant qu’un systĂšme extĂ©rieur n’ait pu intervenir. Par consĂ©quent, les Ă©tats dĂ©gradĂ©s des systĂšmes devraient dominer alors qu’ils ne se sont presque JAMAIS rencontrĂ©s. La question est de savoir pourquoi les systĂšmes cĂ©lestes continuent Ă  vivre en dĂ©pit de la briĂšvetĂ© thĂ©orique des temps de relaxation ». Il ajoute ensuite : « Le problĂšme qui consiste Ă  surmonter la mort thermique du monde est Ă©troitement liĂ© Ă  l’origine du rayonnement solaire et stellaire. Il est intĂ©ressant de noter qu’une question aussi concrĂšte que “pourquoi le soleil et les Ă©toiles brillent-ils ? Pourquoi sont-ils en dĂ©sĂ©quilibre avec l’espace ambiant ?”. Les lois physiques connues ne permettent pas de rĂ©pondre Ă  cette question. L’analyse des donnĂ©es astronomiques permet de conclure que les durĂ©es de vie des Ă©toiles DEVRAIENT ĂȘtre courtes mais que ce n’est pas le cas observĂ© ». Il affirme donc que, puisque les Ă©toiles vivent beaucoup plus longtemps qu’elles ne le devraient selon les lois thĂ©oriques et qu’elles font des choses qui ne sont pas couvertes par ces thĂ©ories, ce qui se trouve Ă  l’intĂ©rieur d’elles ne peut pas ĂȘtre ce qui a Ă©tĂ© thĂ©orisĂ©. Il dit donc : « Les Ă©toiles sont des machines qui tirent leur Ă©nergie du flux temporel ». Il dit Ă©galement que l’intĂ©rieur de l’étoile ne peut pas ĂȘtre la rĂ©action thermo-nuclĂ©aire telle qu’elle est dĂ©crite. Que pouvez-vous dire de cette idĂ©e que les Ă©toiles sont soutenues par le flux temporel ?

R : Les Ă©toiles ne sont pas des machines mais des fenĂȘtres.

Q : Qu’y a-t-il Ă  l’intĂ©rieur de notre soleil ? Quel est son Ă©tat interne ?

R : L’ouverture sur un autre monde.

Q : L’intĂ©rieur du soleil, comment nous apparaĂźt-il en 3e densitĂ© ?

R : Il n’apparaüt pas.

Q : C’est donc quelque chose qui nous est totalement inconnaissable ?

R : Proche

Q : Se prĂ©sente-t-il sous la forme d’une matiĂšre quelconque, super condensĂ©e ou autre ?

R : Proche

Q : (A) Le fait est que nous ne pouvons pas aller Ă  l’intĂ©rieur, donc demander Ă  quoi il ressemble n’a pas beaucoup de sens.

R : Oui

Q : (A) Mais, bien sĂ»r, nous pouvons essayer d’étudier ces ouvertures par d’autres moyens dont nous ne savons pas encore exactement ce qu’ils sont. Certaines de ces inventions de Kozyrev peuvent ĂȘtre utiles Ă  cet Ă©gard. Mais d’abord, nous devons avoir une comprĂ©hension thĂ©orique, non seulement en termes de mots, mais aussi en ce qui concerne les liens avec d’autres concepts que nous connaissons. Je voudrais poser une question sur les ondes gravitationnelles. À un moment donnĂ©, vous avez mentionnĂ© Sakharov. Voici donc un livre de Sakharov. Mais il s’agit de l’idĂ©e ordinaire des ondes gravitationnelles qui se propagent Ă  la vitesse de la lumiĂšre, comme tout le monde le croit.

R : Non

Q : (A) Ce n’est pas le cas ?

R : Eh bien, qu’en penses-tu ?

Q : (A) Ce que je pense, c’est qu’il y a une confusion. Le concept actuel des ondes gravitationnelles est qu’elles se propagent comme des champs Ă©lectromagnĂ©tiques Ă  la vitesse de la lumiĂšre. Les scientifiques ont essayĂ© de les mesurer sur la base de cette idĂ©e mais n’y sont pas parvenus jusqu’à prĂ©sent. Il existe une thĂ©orie mathĂ©matique et des machines censĂ©es mesurer la gravitĂ© mais elles n’y parviennent pas. Par exemple : si vous avez un systĂšme d’étoiles binaires, une Ă©toile tournant autour de l’autre, elles devraient produire des ondulations sur la courbure de l’espace-temps, et ces ondulations devraient se propager et nous devrions ĂȘtre en mesure de dĂ©tecter et de mesurer ces ondulations. Le livre de Sakharov traite de ce type d’ondes gravitationnelles. Je n’en sais rien. Existent-elles de cette maniĂšre ?

R : Non. Intemporel, mon cher Arkadiusz, intemporel. Comment peut-on assimiler les ondes gravitationnelles au vide de la vitesse de la lumiÚre ? La vitesse de la lumiÚre existe dans le cadre plus large de la gravité, tout comme le temps.

Q : (A) D’accord, une question connexe : ce Sakharov dit que nous devrions quantifier la gravitĂ© et que la vraie thĂ©orie inclura la quantification de la gravitĂ©. Je pense que nous ne devrions PAS quantifier la gravitĂ©. Je me demande donc pourquoi il dit ces choses qui sont si courantes alors qu’il est censĂ© ĂȘtre un penseur non conventionnel.

R : Pour des raisons politiques, en quelque sorte. Il vaut mieux lire entre les lignes lorsqu’on Ă©tudie ses Ă©crits.

Q : (A) La derniĂšre fois, vous avez dit que les ondes gravitationnelles avaient une empreinte instantanĂ©e. Cela signifie que l’onde se propage instantanĂ©ment dans l’espace. Comment son intensitĂ© varie-t-elle lorsqu’on s’éloigne de la source ? Son intensitĂ© devient-elle de plus en plus faible ?

R : Non

Q : (A) Vous dites non. C’est curieux. S’il y a une source, comment pouvons-nous reconnaĂźtre la source de l’onde ? OĂč se trouve-t-elle ?

R : Il faut d’abord se faire une idĂ©e correcte de la gravitĂ©. La gravitĂ© est le lien entre la matiĂšre et l’antimatiĂšre.

Q : (A) Vous utilisez le mot « gravitĂ© ». Les scientifiques l’utilisent Ă©galement. Apparemment, il y a deux significations diffĂ©rentes ?

R : Comment ça ?

Q : (A) Parce que, selon la science, la gravitĂ© est une force, comme d’autres forces, est un champ, comme d’autres champs, et Ă©tant un champ


R : Mais c’est le champ fondamental d’oĂč Ă©manent tous les autres champs.

Q : (A) Il y a quelque chose que nous appelons « espace ». L’espace existe-t-il ? Est-ce l’une des choses fondamentales ? Le concept d’espace ? Est-il secondaire ?

R : C’est ici que tous les types de 3e densitĂ© se perdent en chemin, parce qu’ils n’ont jamais Ă©tĂ© capables de rectifier la dĂ©finition de l’espace. Par exemple, oĂč commence et oĂč finit « l’espace ». Et si ce n’est pas le cas, comment cela se fait-il ?

Q : (A) Je voudrais connaĂźtre le modĂšle mathĂ©matique, comment modĂ©liser l’espace mathĂ©matiquement. Je connais la façon standard de modĂ©liser l’espace, qui vient d’Euclide et de Newton, et qui dit que l’espace n’est qu’une variĂ©tĂ© tridimensionnelle. Mais, il y a aussi ce Français de Paris, Nottale, qui dit que l’espace est chaotique, fractal, non lisse ; et en partant de cette idĂ©e que l’espace est un objet trĂšs compliquĂ©, de type fractal, il dĂ©rive des Ă©quations pour les orbites planĂ©taires, un peu comme les thĂ©ories de Velikovsky selon lesquelles les systĂšmes planĂ©taires sont comme des atomes et qu’une sorte de thĂ©orie quantique peut ĂȘtre utilisĂ©e pour obtenir ces orbites, et que des sauts quantiques peuvent alors se produire. Il dĂ©duit des Ă©quations de son concept d’espace. J’ai obtenu un certain nombre d’articles de cet homme parce que je pense qu’ils valent la peine d’ĂȘtre Ă©tudiĂ©s et poursuivis dans cette direction. J’aimerais savoir si mon intuition Ă  cet Ă©gard est correcte ?

R : Oui

Q : (L) Puis-je poser une question ? (A) Oui. (L) L’espace a-t-il un dĂ©but ou une fin ?

R : RĂ©pondre Ă  cette question pour vous serait comme dire Ă  un enfant humain de quatre ans que le PĂšre NoĂ«l n’existe pas.

Q : (L) Eh bien, je peux le supporter ! Si c’est le cas ou non. Parce que ma prochaine question, si cela A un dĂ©but ou une fin, serait : dans quel espace notre espace existe-t-il ?

R : Pas aujourd’hui, Gracie !

Q : (A) Un autre jour. (L) Apparemment, je pose des questions auxquelles ils ne veulent pas rĂ©pondre ! Je suis dĂ©solĂ©e. (A) Lundi, j’irai Ă  ConTech et c’est un moment crucial, car il sera dĂ©cidĂ© si le contrat sera prolongĂ©, etc. Comment dois-je agir pour obtenir


R : Veux-tu que le contrat se poursuive ?

Q : (A) La question n’est pas de savoir ce que je veux ou non mais de savoir qu’il s’agit d’une source d’argent nĂ©cessaire, donc la rĂ©ponse est oui.

R : Alors, expose ton point de vue honnĂȘtement et sincĂšrement.

Q : (A) D’accord, cela rĂ©pond Ă  l’une de mes questions. L’autre question est la suivante : ce contrat est bien meilleur que l’enseignement mais il me prend presque tout mon temps, et maintenant nous avons ces choses passionnantes, comme ce livre de Kozyrev, qui peut ĂȘtre le dĂ©but d’une recherche


R : Nous avons dĂ©jĂ  conseillĂ© de profiter de la situation car elle n’aboutira pas Ă  des conclusions nĂ©gatives. Jusqu’à prĂ©sent, lorsque nos conseils ont Ă©tĂ© suivis, quels ont Ă©tĂ© les rĂ©sultats ?

Q : (L) Permettez-moi de poser rapidement une question sur ce que l’on appelle l’« hĂ©ritage Meadows ». Il s’est produit d’une maniĂšre si Ă©trange que j’ai commencĂ© Ă  me demander s’il ne s’agissait pas d’un des « arrangements » auxquels vous avez fait allusion dans certaines des recherches sur la lignĂ©e que j’ai effectuĂ©es. Est-ce possible ?

R : Mais s’interroger est une expĂ©rience tellement stimulante !

Q : (L) Est-il possible qu’il en rĂ©sulte quelque chose ? (A) Je pense que tu devrais demander ce que tu devrais faire pour que cela se produise.

R : Non, tu ne devrais pas.

Q : (L) Que dois-je demander ?

R : Laura, il suffit de laisser faire.

Q : (L) D’accord. (A) J’aimerais poser une question Ă  propos de Barry qui m’a Ă©crit au sujet de l’Or Monoatomique. Laura a suggĂ©rĂ© qu’il s’agissait d’une distraction. Mais, il m’a orientĂ© vers un Finlandais plutĂŽt Ă©trange dont les thĂ©ories me paraissent logiques. Avez-vous un commentaire Ă  faire sur ce scĂ©nario de distraction possible ?

R : Nous ne ferons aucun commentaire.

Q : (A) Ce Finlandais a dĂ©veloppĂ© une GĂ©omĂ©trodynamique Topologique qui inclut des mathĂ©matiques qui peuvent ĂȘtre utiles pour accommoder la conscience. Cela a quelque chose Ă  voir avec les nombres premiers et j’aime cette idĂ©e.

R : Alors, explore ! Sur ce, bonne nuit.

Fin de la séance
 
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