Séance du 21 décembre 1996

Jacques

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Merci aux membres de l'équipe française pour cette traduction.
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Séance du 21 décembre 1996

Participants : «Frank», Laura, Alice, VG, Ark (par courriel)

Q : (L) Bonjour.

R : Bonjour.

Q : (L) Qui est avec nous ce soir ?

R : Fonorrea.

Q : (L) Et d’où venez-vous ?

R : Cassiopée.

Q : (L) Voici la première question que j’ai en tête avant de passer aux autres : de qui Sheldan Nidle tient-il ses informations sur la ceinture de photons et les atterrissages en masse qui sont censés avoir lieu le 31 décembre et le 1er janvier ?

R : Sheldan Nidle.

Q : (L) Ça sort tout bonnement de sa tête ? Il ne voit pas d’entités ? Ne canalise pas ?

R : OK, à peu près.

Q : (L) J’aimerais poser des questions à propos de ce Jim, de façon un peu indirecte. C’est une personne qui correspond avec Ark sur divers sujets [et qui prétend être intimement lié aux opérations du gouvernement profond]. La dernière question qui lui a été posée était : [lit] «As-tu connaissance d’éventuelles relations entre le voyage interstellaire et la structure de l’ADN ? Ou entre le codage des crop circles et celui de l’ADN ? T’a-t-on déjà dit ou montré quelque chose sur l’ADN ? Comme une relation entre le rapport temporel et la structure de nos gènes ?» Voici ce que Jim a répondu : «Oui, mais on m’a prévenu de ne pas en discuter là où il pourrait y avoir des oreilles indiscrètes.» Pouvez-vous commenter ?

R : Le mieux à faire pour Ark est de solliciter une correspondance «privée».

Q : (L) Ce type sait-il des choses sur l’ADN ou les crop circles ?

R : Découvrez.

Q : (L) D’accord, pose ta question Maman. (Alice) Il y a un tas de choses que je voudrais savoir, et certaines sont importantes, j’en suis sûre, mais je ne sais pas dans quel ordre m’y prendre.

R : Demande librement.

Q : (Alice) Tant de choses me sont arrivées que je me demande si mon cerveau n’a pas subi, dans cette vie-ci ou dans une autre, quelque chose qui expliquerait ma façon de penser.

R : Précise, s’il te plaît.

Q : (Alice) Est-ce que la cause de mes problèmes dans cette vie-ci découle d’un événement qui a eu lieu dans une vie antérieure ?

R : La réponse est oui, comme pour tout le monde.

Q : (L) Quel événement a pu lui causer tous ces problèmes psychologiques ?

R : Pas psychologiques, émotionnels.

Q : (L) Pouvez-vous nous en dire un peu plus ?

R : Mort d’un jumeau lors de la dernière incarnation. Accident de ferme dans les années 1880.

Q : (L) Comment ce jumeau est-il mort ?

R : Est tombé de la moissonneuse tirée par des bœufs, conduite par le père. A été décapité.

Q : (L) Étaient-ce des jumeaux ou des jumelles ?

R : Hommes.

Q : (L) Comment s’appelaient-ils ?

R : Lucas et Lawrence. Lucas est celui qui est mort.

Q : (L) Où se trouvait Maman/Lawrence à ce moment-là ?

R : Dans la maison.

Q : (L) Et quel genre d’émotions se sont prolongées dans cette vie-ci ?

R : Sa soif est insatiable car elle est toujours «en quête d’amour» à cause de sa perte.

Q : (L) Quel âge avait Lucas quand c’est arrivé ?

R : 8 ans.

Q : (L) Pendant combien d’années a vécu Lawrence après cet accident ?

R : 22 ans.

Q : (L) Est-ce que des personnes de cette vie antérieure sont revenues pour interagir avec elle dans sa vie présente ?

R : Non.

Q : (L) Pas même le jumeau ?

R : Exact.

Q : (Alice) Les émotions ne sont pas psychologiques ? Il y a donc une différence ? Donc mes problèmes actuels sont émotionnels, et non psychologiques ?

R : Tes problèmes sont dus à l’inadaptation.

Q : (L) De vie en vie, ou seulement dans cette vie-ci ?

R : C’est la même chose.

Q : (V) A-t-elle été témoin de l’accident ?

R : Non.

Q : (L) A-t-elle vu le corps après ?

R : Non.

Q : (L) Ses parents l’ont-ils blâmée ou lui en ont-ils voulu, à l’époque ?

R : Non.

Q : (L) A-t-elle été maltraitée mentalement ou psychologiquement dans cette vie-là ?

R : Cela a pu arriver, mais ce n’est pas significatif.

Q : (L) Quelles mesures peut-elle prendre pour résoudre ce problème d’inadaptation ?

R : Conscience de la cause profonde du problème.

Q : (L) Y a-t-il un autre élément de cet épisode qui pourrait l’aider ?

R : Non.

Q : (Alice) Alors, tous les problèmes que j’ai eus quand j’étais enfant découlaient de ça ?

R : Certains recherchent un environnement «punitif» dans leur tentative de dénouer des problèmes non résolus.

Q : (L) S’est-elle sentie coupable de rester en vie alors que son jumeau était mort ?

R : Oui, mais ce sentiment n’a pas été imposé par les autres.

Q : (L) D’accord, elle ressentait de la culpabilité, alors elle a recherché un environnement «punitif» ?

R : C’est à peu près ça.

Q : (L) Où se situait la ferme où cet incident s’est produit ?

R : Près de Cannopolis, en Caroline du Nord.

Q : (L) Pouvez-vous nous donner le nom de famille ?

R : O'Brien.

Q : (Alice) Je voudrais savoir : toutes les expériences que j’ai vécues enfant sont dues à cette émotion qui me poussait à me punir moi-même. J’ai cherché à me punir toute ma vie. C’est bien ça ?

R : Pas loin. Mais n’oublie pas l’essentiel : tu recherchais un environnement perçu comme contraignant et impitoyable. Particulièrement avec ton père.

Q : (L) Y a-t-il un autre lien karmique avec son père dans cette vie ?

R : Peut-être, mais tu es celle, Laura, qui est la mieux placée pour examiner ces questions.

Q : (L) Et entre ma mère et moi ?

R : Idem.

Q : (L) Eh bien, si vous me le disiez, ça me laisserait plus de temps pour retranscrire les cassettes !

R : Apprentissage…

Q : (L) Ohhh… (V) Oups, elle ronchonne [rires]. (L) OK. Une raison particulière aux difficultés financières que j’ai rencontrées aujourd’hui ?

R : Pas vraiment. Ce sera bientôt oublié.

Q : (L) Bon, passons aux choses sérieuses. Vous avez dit que «les nombres premiers sont les “demeures” des mystiques». J’ai épluché ces transcriptions, et il me semble que cela n’a pas été mis entre guillemets pour rien, n’est-ce pas ?

R : Nous mettons entre guillemets ce que nous voulons voir examiné plus avant.

Q : (L) Je me disais que ça pouvait être un indice à plusieurs niveaux. Cela pourrait-il être un indice pour identifier des gens et des interactions ?

R : Peut-être.

Q : (L) Et aussi un moyen de décoder des écrits cryptés ?

R : Parfois.

Q : (L) Ces écrits pourraient-ils être certaines canalisations ? Ou bien des écrits de mystiques plus officiels et généraux ? Autrement dit, se pourrait-il qu’ils aient écrit comme ça, sans avoir conscience de canaliser ou d’écrire de manière codée ?

R : Peut-être.

Q : (L) Après avoir creusé le sujet des Templiers, j’en suis plus ou moins arrivée à la conclusion que tout ça n’était qu’un écran de fumée, et que quelque chose d’autre, quelque chose d’important, se passait à l’époque. Je pense aussi qu’on a ressuscité les Templiers à certains moments, qu’on les a «sortis du placard» afin de leur mettre sur le dos cette connaissance secrète supposément perdue… Suis-je sur la bonne piste ?

R : Pas loin.

Q : Qui, ou quoi, a détruit les chevaliers du Temple ?

R : Les rosicruciens, venus comme un «voleur dans la nuit».

Q : (L) Mais pour ce que j’en sais, les rosicruciens n’ont été créés qu’après la fin des Templiers…

R : Non.

Q : (L) Vous voulez dire que les informations publiées dans l’opuscule sur «Christian Rosenkreutz», considéré comme de la fiction, seraient en fait exactes ?

R : Oui.

Q : (L) Mais enfin, voyons ! Les rosicruciens font de la publicité dans les magazines !!! Est-ce que cette organisation mondiale qui s’auto-promeut de façon aussi outrancière…

R : Eh bien, l’ordre «mondial» ne contient pas tout.

Q : (L) Existe-t-il une élite, un cercle restreint secret au sein de cet ordre ?

R : Oui.

Q : (L) Les rosicruciens sont-ils liés aux francs-maçons ?

R : Indirectement.

Q : (L) Les Illuminatis sont-ils d’une manière ou d’une autre liés aux rosicruciens ?

R : Idem.

Q : (L) Des trois organisations que je viens de nommer, laquelle serait considérée comme la plus proche du cercle restreint ?

R : Pas le bon concept.

Q : (L) Les rosicruciens ont-ils en leur possession des écrits qu’eux-mêmes ne comprennent pas ?

R : Oui. Tout comme les francs-maçons.

Q : (L) Diriez-vous qu’il pourrait être intéressant de décoder les écrits d’Albert Pike ?

R : Oui.

Q : (L) Y a-t-il une série de nombres particulière qui pourrait être utilisée ?

R : 353535…

Q : (L) Est-ce aussi un code génétique ?

R : Il manque beaucoup de choses entre «le point A et le point B».

Q : (L) Vous voulez dire de passer des documents à l’ADN ?

R : Oui.

Q : (L) Le Prieuré de Sion, considéré comme le fondateur ou l’héritier de la tradition templière, est-il une organisation mystique ultra secrète et importante ?

R : C’est une couverture.

Q : (L) Encore un écran de fumée.

R : Oui.

Q : (L) Pour en revenir au code 353535 : pouvez-vous m’en dire plus pour m’aider à…

R : Mieux vaut passer la main à Ark.

Q : (L) Donc, je devrais laisser ça pour l’instant ?

R : Bonne idée.

Q : (L) D’accord. Je voulais passer à un autre sujet de toute façon. On sait que vous avez dit que le temps est une illusion dans la réalité de 3e densité — que c’est l’illusion de la 3e densité — et que notre ADN, qui détermine notre façon de percevoir le temps, est impliqué. Donc, c’est une illusion. Pourtant, d’une manière ou d’une autre, à un moment donné, cette illusion se transforme en réalité tangible grâce à quelque mode ou opération. J’aimerais savoir à quel moment elle se transforme, et comment.

R : Tu es à côté de la plaque. Qui a dit qu’elle se transforme ?

Q : (L) Eh bien, nous percevons une réalité sacrément tangible ! Quand on se cogne dans des trucs, ça fait mal !

R : Cette perception fait partie de l’illusion.

Q : (L) Mais ça ne constitue évidemment pas l’intégralité de l’illusion. Quelle autre partie est impliquée dans cette illusion ? Si notre perception en est une partie, alors il doit y avoir quelque chose à percevoir, n’est-ce pas ?

R : Oui.

Q : (L) OK, que percevons-nous ?

R : Ce que vous êtes programmés à percevoir.

Q : (L) Cette perception, ces choses que l’on perçoit comme extérieures à nous, n’ont-elles pas une sorte de substance ? Ne sont-elles pas là, sous une certaine forme, même si on les perçoit de cette façon ?

R : Bien sûr, mais quel est le rapport avec le «temps» ?

Q : (L) J’y viens ! Nous percevons un monde «extérieur». Des arbres, des voitures, des camions, des maisons, des briques, des planches, des dalles, des gens, des chiens, etc., etc., etc.

R : Tu as oublié les barbecues d’arrière-cour !

Q : [Rires] (L) Très drôle ! Nous percevons des choses extérieures. De quoi sont-elles composées ?

R : De matière.

Q : (L) De quoi est composée la matière ?

R : De structure atomique.

Q : (L) De quoi sont composés les atomes ?

R : De pensées.

Q : (L) Les pensées de qui ?

R : Les vôtres.

Q : (L) Tout ?

R : Tout.

Q : (L) Si je perçois quelque chose, et que tout ce que je perçois est composé de mes pensées, et que V\_\_ perçoit, tout est aussi ses pensées ?

R : Oui.

Q : (L) Quelle est la différence entre ses pensées et les miennes ?

R : C’est ce qui vous lie. Tu vois, c’est un simple programme.

Q : (L) Un simple programme de penser que nous sommes des individus distincts ?

R : Pas la question.

Q : (L) C’est quoi la question ? Qu’est-ce qui nous lie ? D’où vient ce programme ?

R : D’où viennent vos programmes ?

Q : (L) De 7e densité ? De nous-mêmes ? Des Lizzies ?

R : Nous parlons des programmes dans ton ordinateur.

Q : (L) Dans mon ordinateur ? De divers endroits. Je me les procure et je les installe. Les programmes sont créés — ils existent comme des «centres de pensée» — et on les télécharge simplement en nous ?

R : Pourquoi as-tu oublié ? 309 000…

Q : (L) Oh. Vous parlez du «coup d'état» des SDS de 4e densité. Mais, là où je veux en venir — oui on a de l’ADN — mais on ne peut pas reprogrammer l’ADN s’il n’y a pas d’ADN au départ. S’il n’y a pas quelque chose où installer le programme. Quelle est la substance de cette réalité dans laquelle nous existons ?

R : Tu viens juste de répondre.

Q : (L) Je ne comprends pas.

R : Tu ne peux pas l’installer dans quelque chose s’il n’y a pas quelque chose au départ.

Q : (L) Super ! C’est quoi ce quelque chose qui est là au départ ?

R : Ta structure d’ADN précédente.

Q : (L) D’où vient la structure d’ADN précédente ?

R : Du programme précédent.

Q : (L) D’où venait ce programme ?

R : Revois.

Q : (L) Bon, vous avez dit une fois qu’il était nécessaire d’être sur une planète disposant d’une étoile sur le point de se transformer en supernova afin de moléculariser des corps physiques. Je voudrais savoir quel est le processus par lequel la pensée se manifeste sous forme de matière ?

R : C’est trop complexe pour ce moyen de communication. Tu as besoin d’une autre méthode. Quelque chose qui autorise davantage de mots.

Q : (L) Allez, juste un indice : comment la pensée devient-elle matière ?

R : De façon bilatérale.

Q : (L) Qu’entendez-vous par «de façon bilatérale» ?

R : Double émergence.

Q : (L) Émergence sous quelle forme de part et d’autre ?

R : Pas «sous quelle forme de part et d’autre», mais plutôt «de quoi vers quoi».

Q : (L) Qu’est-ce qui émerge de quoi ?

R : Le début émerge de la fin, et vice versa.

Q : (L) Et c’est quoi le début, et c’est quoi la fin ?

R : Union avec le Un.

Q : (L) Qu’est-ce que le Un ?

R : 7e densité, c’est-à-dire : tout ce qui est, et n’est pas.

Q : (L) Bon, on a réussi à circonscrire l’ensemble, mais je ne sais toujours pas comment la matière en vient à exister ou comment le temps…

R : Non.

Q : (L) Comment puis-je arriver là où je veux aller ?

R : Tu disposes des fondamentaux.

Q : (L) Pouvez-vous m’en donner quelques autres ?

R : Il n’y en a pas d’autres.

Q : (L) Je vous ai demandé un jour si le temps était la gravité.

R : Une clôture est-elle le terrain ?

Q : (L) La gravité, est-ce Dieu ?

R : Non.

Q : (L) La gravité, est-ce la 7e densité ?

R : Non.

Q : (L) D’où vient la gravité ?

R : Centre de pensée.

Q : (L) Vous faites souvent référence aux centres de pensée. Y en a-t-il plusieurs ?

R : Tous sont un et vice versa.

Q : (L) En quoi les centres de pensée sont-ils liés à la 7e densité, au Un ?

R : Exactement !

Q : (L) Les centres de pensée sont de 7e densité ?

R : Tout l’est.

Q : (L) Tout est centre de pensée ?

R : Non. Tout est 7e densité.

Q : (L) Je suppose que vous savez où je veux en venir et j’aimerais que vous m’aidiez juste un petit peu…

R : C’est ce que nous faisons.

Q : (L) D’accord. Le temps est une illusion. Merveilleux ! Vous avez comparé le temps à une clôture…

R : Non. Nous avons comparé ton allusion à la nôtre.

Q : (L) Partons de cette allusion. Disons que le terrain est la 7e densité. Comment représenter le temps par rapport à ce terrain ?

R : Comme le sol.

Q : (L) Comment sommes-nous reliés à ce sol ?

R : Trop vague.

Q : (L) Comment des créatures en viennent à apparaître dans ce tableau ?

R : Le temps est votre illusion.

Q : (L) Pourtant, vous avez dit une fois que le temps existe bel et bien dans d’autres densités, sauf qu’il est «discriminant», qu’on peut choisir son moment. Est-ce exact ?

R : Si c’est ce que tu veux appeler le temps, mais ce serait différent, non ?

Q : (L) D’accord. Je sèche. Je ne peux pas aller plus loin pour l’instant. Autre sujet : Ark a lu que la structure de l’ADN contient du phosphore. Pouvez-vous commenter ?

R : Et si tu commentais la relation qui existe entre le phosphore et vous ?

Q : (L) Je ne sais pas. Existe-t-il une relation entre le phosphore et le carbone ?

R : Eh bien, ce n’est pas là où nous voulions en venir.

Q : (L) Bon, le phosphore est un élément essentiel pour le cerveau.

R : OK.

Q : (L) C’est à peu près tout ce que je sais sur le phosphore. Je n’en sais pas assez à ce sujet.

R : Dans ce cas, pourquoi ne pas garder ça pour plus tard ?

Q : (L) Question suivante : si suffisamment de gens s’efforçaient d’apprendre à créer une réalité, ou un univers alternatif, auraient-ils l’impression qu’il n’y a pas de réel «changement» entre l’ancien et le nouveau, hormis un changement intime au niveau des pensées ?

R : C’est une possibilité.

Q : (L) Si on décidait de vouloir un monde différent, pourrait-on, même en petit groupe, créer ce monde et avoir l’impression de ne pas l’avoir fait…

R : Nous te l’avons dit.

Q : (L) Est-il possible que des personnes soient sur cette planète dans un but précis, et que ce but soit… disons, que la négativité sur cette planète devient telle qu’un tas de gens ne le supportent plus et sont alors prêts à exercer leur libre arbitre et à changer, ils seront alors disposés à apprendre de ces personnes qui sont venues avec l’intention d’aider et d’enseigner.

R : OK.

Q : (L) Et quand cette Onde arrivera, cela va augmenter le potentiel de création d’une nouvelle réalité ou d’un Nouveau Monde ?

R : Révision nécessaire.

Q : (L) J’essaye d’arriver à un point précis et de formuler les questions étape par étape…

R : Demande à Ark.

Q : (L) Que voulez-vous que je demande à Ark ?

R : Pose-lui certaines de ces questions pour voir ce qu’il en pense.

Q : (L) Dites-moi, pourquoi connaîtrait-il ces réponses ?

R : Il est plus amusant de réfléchir aux réponses qu’aux tenants et aboutissants.

Q : (L) Mais vous allez me rendre dingue ce soir, les gars.

R : Veux-tu inviter Ark à se joindre à la discussion ?

Q : Bien sûr. (A) [par courriel] Quelle est la fonction de l’ADN, hormis le codage de la production des protéines ?

R : Conducteur d’électricité.

Q : (L) C’est la seule autre fonction ?

R : Eh bien, comme vous le savez, l’énergie électrique peut avoir des applications presque illimitées. Exemples… ondes radio, neuro-transmission de programmes cognitifs facilitée par la transmission d’onde électromagnétique, etc. Méthode utilisée pour la création et l’entretien de programmes illusoires, comme la perception d’un temps linéaire réel.

Q : (L) C’est tout ?

R : Envoie ça.

Q : (A) Devrais-je suivre la piste de l’électrodynamique newtonienne ?

R : À toi de décider de suivre ce vers quoi tu es guidé. C’est élémentaire. Si nous étions dans tes «souliers», nous laisserions ça de côté.

Q : (A) Devrais-je étudier la question de la fusion froide ?

R : Pas dans le domaine de la recherche.

Q : (L) D’autres commentaires au sujet de la fusion froide ?

R : Non.

Q : (L) C’est quoi la fusion froide ?

R : Théorique, certains ont récemment prétendu des avancées de validité cependant douteuse.

Q : (A) Quelle part de l’être humain s’étend en 4e densité ?

R : Celle affectée par la glande pituitaire.

Q : (L) Et quelle est-elle ?

R : Parapsychique.

Q : (A) Existe-t-il des séquences particulières d’ADN qui facilitent la transmission entre densités ?

R : Addition de brins.

Q : (L) Comment acquérir de nouveaux brins ?

R : On ne les acquiert pas, on les reçoit.

Q : (L) D’où les reçoit-on ?

R : Interaction avec l’Onde en approche, si la vibration est alignée.

Q : (L) Comment sait-on que ça se produit ?

R : Des changements psychophysiologiques se manifestent.

Q : (L) Comme quoi ?

R : Ark ne participe-t-il pas à cette discussion ?

Q : (L) C’est bon ! J’ai compris ! J’essayais juste d’aider. (A) J’aimerais savoir s’il existe un champ distinct au-delà de l’électromagnétisme et de la gravitation, quelque chose de semblable au concept de Sheldrake de champ morphique ou de champ morphogénétique ?

R : Oui, et c’est très proche de ce concept. Visiblement, Sheldrake était «en phase», comme toi, Arkadiusz. Mais tu dois avoir foi en tes idées, car parfois, elles sont assistées.

Q : (A) Quand vous parlez d’onde en approche, c’est une onde de quoi ?

R : Vois ça comme une onde réfléchissante du point de départ à la fin.

Q : (L) Pouvez-vous expliciter cela en termes de 3e densité ?

R : Non, lis la réponse. C’est sa question, après tout !

Q : (A) L’ADN agit-il comme un supraconducteur ?

R : Oui !!!

Q : (L) D’autres commentaires ?

R : Non.

Q : (A) [Au sujet de l’onde] Mais qu’est-ce qui vibre ? L’énergie ? L’Éther ?

R : Énergie et Éther sont directement symbiotiques.

Q : (A) Quand ça vibre, ça se passe dans quelle dimension ?

R : Les densités 3 et 4 au point de transition.

Q : (A) Si ça ne se fait pas dans un temps linéaire, alors dans quoi ?

R : «Temps» cyclique.

Q : (A) Qu’est-ce qui mesure la distance entre deux crêtes ?

R : Fin/début de cycle.

Q : (A) Essayer de comprendre l’univers en termes de trialité — matière, géométrie, information — est-ce une bonne idée ?

R : Si l’on considère la matière comme «vivante» plutôt que «morte».

Q : (L) C’est tout ?

R : Ark a posé la question.

Q : (L) Bon, excusez-moi d’essayer d’aider ! (A) L’ADN est-il un supraconducteur ?

R : De façon variable.

Q : (A) Qu’est-ce que l’électricité ?

R : Dans quel sens ?

Q : (A) Qu’est-ce qu’une charge élémentaire ?

R : Élémentaire signifie construction de base, que ce soit directement depuis l’«état» naturel, ou indirectement.

Q : (A) Quel type d’entité ?

R : Sens substantif uniquement, comme pour un liant.

Q : (A) Une courbure ?

R : «Courbure» est un concept incomplet. Souviens-toi de ce que nous avons dit sur la théorie de la relativité.

Q : (A) Dois-je comprendre la nature de la supraconductivité ? Il me semble que oui.

R : Oui et oui, absolument.

Q : (A) C’est vrai ? C’est à ma portée ?

R : Oui. Nous avons déjà répondu.

Q : (A) Ça signifie le Prix Nobel, assurément, hein ?

R : Nous détestons dire ça, mais… Tu verras bien !!! Bonne nuit !

Fin de la séance

Note : Cannapolis, maintenant Kannapolis. Les premières variantes du nom sous forme écrite comprenaient Cannon-opolis et Cannapolis. Il est souvent dit que l’origine du mot Kannapolis vient de la combinaison des mots grecs “kanna” (roseaux, pas métiers à tisser), et “polis” (ville), certains croyant que cela signifiait “Ville des métiers à tisser”.
 
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