Séance du 3 août 1996

Jacques

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Merci aux membres de l'équipe française pour cette traduction.
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Séance du 3 août 1996

Participants : «Frank», Laura, Terry, Jan

{Le 5 juillet 1996, j'ai reçu mon premier courriel d'Ark. Considérant le nombre d'agents que nous avions connus au cours des deux premières années de communication avec les C’s, j'étais prudente.}

Q : (T) Je pense que nous devrions faire une petite excursion. (L) Où ça ? (T) À Homestead, au Château de Corail. (L) Oui, j’adorerais ça. OK, bonjour !

R : Bonjour.

Q : Quel nom utiliserons-nous aujourd’hui ?

R : Jopoye.

Q : (L) Et d’où venez-vous ?

R : Cassiopée.

Q : (L) Avant de laisser la parole aux autres, je voudrais savoir si vous avez des commentaires à faire sur Ark ? Cette expérience est tellement étrange, et je ne veux pas être prise au piège…

R : Nouveau.

Q : (L) Nouveau quoi ? Qu’est-ce que ça veut dire ?

R : Ce que c’est.

Q : (T) Nouveau comme «renouvelé» ?

R : Oui.

Q : (L) Un début ?

R : Vous voyez comme un simple mot stimule vos méninges ?

Q : (T) Oui.

R : Et si nous vous avions donné une réponse longue et éloquente, comme vous le désiriez, vous n’auriez pas utilisé vos méninges !

Q : (L) Un autre mot à ce sujet ?

R : Non, merci !

Q : (L) Permettez-moi juste de demander une petite chose… Je fais des efforts pour me refréner — comme la tortue — mais je suis parfois dépassée. Pouvez-vous me conseiller sur la conduite à tenir ? Je rame tellement…

R : Découvre.

Q : (L) Ark s’est servi d’une partie de vos informations lors d’une conférence qu’il a donnée en Allemagne aujourd’hui. Étiez-vous au courant ?

R : Au courant, oui.

Q : (L) Je me demande s’il est l’un des moins de 100 «éveillés» sur la planète dont vous nous avez parlé ?

R : Tu en as trop dit pour que nous puissions répondre.

Q : (L) Parce que ça violerait le libre arbitre ?

R : Ou parce que c’était un «méli-mélo».

Q : (L) D’accord. Plus de questions pour moi ! Ils ne me diront rien de toute façon ! C’est clair !

R : Oh, vraiment ?

Q : (L) Alors qu’allez-vous me dire ?

R : Découvre !

Q : (T) D’accord, des associations d’idées. Quels mots nous apporteront les réponses que nous cherchons ?

R : Questions sensibles.

Q : (L) Bon, c’est toi qui poses les questions Terry. (T) Je ne sais jamais quoi demander. Je ne sais jamais si je pose des questions stupides ou intelligentes.

R : Nous te le ferons savoir.

Q : (T) Je voudrais poser une question personnelle pour commencer. Comme vous le savez, nous poursuivons notre campagne contre la construction d’une antenne-relais de l’autre côté de notre rue. Nous sommes plutôt optimistes. Devrions-nous continuer sur la même lancée ? Je ne sais pas vraiment comment formuler la question afin que vous ne répondiez pas «découvrez, ouvert, à vous de voir», ou autre. (L) Tout ce que tu viens de dire Terry. Tu viens de répondre à ta propre question !

R : Vous faites ce que vous devez faire, sinon vous ne le feriez pas !

Q : (T) Eh bien, on rigole bien et ça aide nos voisins.

R : On est guidé vers ses leçons par son instinct.

Q : (L) Une question saugrenue à laquelle je viens de penser. Nous avons-vous déjà interrogé à propos d’Hale-Bopp ?

R : Oui.

Q : (L) Hale-Bopp va-t-elle transformer la Terre en supraconducteur ?

R : Non.

Q : (L) Hale-Bopp est-elle un précurseur à la transition vers la 4e densité ?

R : Non.

Q : (L) Hale-Bopp va-t-elle faire quoi que ce soit d’autre que nous frôler en offrant un joli spectacle nocturne ?

R : Non.

Q : (T) Tout le brouhaha autour d’Hale-Bopp est un écran de fumée ?

R : Non.

Q : (L) Eh bien quoi alors ?

R : Hale-Bopp : Flop !

Q : (T) Oh ! La Kohoutek des années 90 ! (J) Le procès OJ Simpson cosmique ! Un truc pour nous occuper l’esprit…

R : Puisque vous avez lancé le sujet : la théorie du «soleil jumeau» vous est-elle familière ?

Q : (L) Non. Qu’est-ce que ça veut dire ? (T) Cela fait référence à notre soleil et à la possibilité que Jupiter soit un soleil en train de se former ?

R : Non.

Q : (T) D’accord, c’est quoi la théorie du soleil jumeau ?

R : La théorie que le soleil est véritablement une étoile double.

Q : (L) Eh bien, si c’est une étoile double, comment se fait-il qu’on ne voit pas l’autre ? Où se trouve l’autre et pourquoi ne la voit-on pas ? (T) Je ne pense pas avoir déjà entendu parler de ça, et vous ? (F) Ça me semble vaguement familier mais j’ignore en quoi. (L) Et c’est factuel ?

R : Un instant…

Q : (T) Ils vont chercher leur expert en soleil jumeau… (L) Sans aucun doute ! [La goutte décrit de nombreux tours.]

R : Où en étions-nous ?

Q : (L) Nous parlions du phénomène du soleil jumeau…

R : Théorie.

Q : (T) Qui pose que Sol fait partie d’un système double ?

R : Oui.

Q : (L) Cette théorie est-elle juste ?

R : Pas encore, vous «brûlez les étapes».

Q : (T) OK. Vous avez lancé le sujet. Vous avez indiqué que, oui, notre soleil appartient à un système double…

R : Oui…

Q : (T)… et qu’il y a une autre étoile, un autre soleil…

R : Oui…

Q : (L) Peut-on le voir ? (T) Peut-on le voir actuellement ?

R : Le pouvez-vous ?

Q : (L) Non. Pas que je sache. Si on ne peut pas le voir, est-ce parce qu’il est toujours de l’autre côté du soleil par rapport à nous ? Que son orbite est telle qu’on ne peut jamais le voir ?

R : Son orbite, oui, en supposant qu’il existe, ce que toutefois nous ne vous avons pas confirmé, n’est-ce pas ?

Q : (L) Non, vous ne l’avez pas fait, mais c’est vous qui avez soulevé la question ! (T) Reprenons depuis le début. Bon, vous avez évoqué la théorie du soleil jumeau puis avez indiqué que notre soleil n’est que l’un des deux soleils de ce système solaire…

R : Peut-être.

Q : (T) Le soleil désigné par le vocable Sol est l’un d’eux…

R : Peut-être.

Q : (T) Sol est-il une association de deux étoiles ?

R : Non. Qu’est-ce que la matière «sombre», et que sont les étoiles sombres ?

Q : (L) Est-ce que les étoiles sombres sont comme des trous noirs ?

R : Non.

Q : (L) Est-ce que… (T) Je crois que c’est une étoile qui s’est effondrée sur elle-même et son champ gravitationnel ne permet plus à la lumière de s’échapper.

R : Non.

Q : (T) D’accord, ça c’est un trou noir.

R : Oui.

Q : (T) D’après ce que j’en ai lu, la matière sombre c’est le nom que donne la communauté astronomique au machin qui flotte dans le cosmos et qui doit exister à cause des équations mais qu’on ne peut pas voir.

R : Oui.

Q : (T) Les étoiles sombres en feraient-elles partie ?

R : Oui.

Q : (T) Donc, il y a de la matière sombre et des étoiles sombres ?

R : Oui.

Q : (T) On ne peut pas voir la matière sombre parce qu’elle est noire.

R : Oui. Et quid des «étoiles brunes» ?

Q : (T) OK, les naines brunes, j’en ai entendu parler. Il y a les étoiles jaunes, les rouges, les bleues, les vertes… D’accord, notre étoile est une naine jaune à cause de la matière qui la compose — l’hydrogène, etc.

R : Pas loin.

Q : (T) D’autres étoiles ont des couleurs du spectre différentes en raison de leur composition…

R : Oui, mais pas les «brunes».

Q : (T) Les brunes ne sont pas brunes à cause de leur composition…

R : D’accord, vous avez le blanc, le rouge, le jaune, et le bleu…

Q : (L) Ces couleurs représentent-elles la température ?

R : En partie, mais ce n’est pas la question !

Q : (L) Hale-Bopp est-elle une naine brune ?

R : Non.

Q : (T) Non. Hale-Bopp n’a aucun rapport avec cette discussion. Ce n’est qu’un flop de plus. OK, les naines brunes. Les couleurs que l’on voit sont en partie dues à la température, et en partie à la matière… (L) Et qu’en est-il du décalage spectral qui détermine la direction ?

R : Oui, mais ce n’est pas la question !

Q : (L) Quelle est la caractéristique d’une naine brune ? Un corps noir…

R : Non, patate ! Essaye le plus évident.

Q : (L) Eh bien, c’est une étoile qui n’a pas encore commencé à cuire ?

R : L’inverse.

Q : (L) OK, elle brûle depuis si longtemps qu’elle est presque à court de carburant ?

R : Oui.

Q : (T) C’est l’épuisement de la matière qui lui donne cette couleur ?

R : Pourquoi avons-nous mis «brune» entre guillemets ?

Q : (L) Parce qu’une naine brune est censée se consumer alors que c’est l’inverse ?

R : Non.

Q : (L) Parce que… Je ne sais pas.

R : Est-il facile de voir du brun sur un fond noir ?

Q : (T) Pas vraiment ! C’est pour ça qu’on ne voit pas la matière sombre…

R : C’est pour ça que les scientifiques l’ont surnommée «brune».

Q : (L) Quel rapport ont les naines brunes avec la théorie du soleil jumeau ?

R : Devinez !

Q : (T) OK. Discutons-en. Pour une raison ou une autre, nous devons étudier la question pour maintenir le libre arbitre. (L) Cette étoile est-elle assez petite pour orbiter avec les planètes ?

R : Non, nous vous menons vers quelque chose, si vous voulez bien être patients.

Q : (L) OK, prenez la main… on veut savoir. (T) Ils nous ont simplement demandé si l’on savait ce qu’était une naine brune.

R : Le savez-vous ?

Q : (L) Quelle est l’importance d’une naine brune ?

R : Étoile sombre.

Q : (L) C’est une étoile sombre… d’accord…

R : Si elle est là.

Q : (L) Bon, allez-vous cesser le suspense et nous le dire ? (T) Attendez, une étoile est sombre parce qu’elle n’émet pas de lumière. C’est toujours une étoile qui se comporte comme une étoile…

R : Oui. Et si elle possède une orbite elliptique… se pourrait-il qu’elle «aille et vienne» ?

Q : (T) Ce que la science — l’astronomie — décrit comme des étoiles doubles, ce sont deux étoiles proches l’une de l’autre et dont l’orbite est en quelque sorte interactive. Mais ce n’est pas nécessairement la seule façon dont les étoiles doubles se présentent.

R : Pas loin. Tel que vous le percevez de votre point de vue. Mais comment voudriez-vous aller faire un tour en vélo entre elles ?

Q : (L) Donc, celles que l’on connaît et que l’on peut voir peuvent être tellement éloignées qu’il peut y en avoir plein entre… (T) Et nos astronomes n’ont pas envisagé cette possibilité ?

R : Si, ils l’ont fait.

Q : (T) Ils le savent mais n’en parlent pas. Donc, avec cette théorie, il pourrait y avoir une étoile sombre en orbite…

R : Et que se passerait-il alors ?

Q : (L) Eh bien…

R : Et si elle allait et venait ?

Q : (T) Comme tous les 3 600 ans ?

R : Peut-être.

Q : (T) Et peut-être que cette étoile sombre possède aussi des planètes en orbite ?

R : OK, changement de direction : le nuage d’Oort, l’essaim cométaire et le soleil jumeau traversant ce premier comme une boule de bowling dans un jeu de quilles.

Q : (L) Quel est le rapport entre l’étoile sombre qui traverse le nuage d’Oort et l’essaim cométaire ?

R : Cause et effet.

Q : (L) Donc, c’est l’étoile sombre qui déboule dans le nuage d’Oort qui est la cause de l’essaim cométaire ? (T) Eh bien, pas nécessairement en y déboulant, mais en passant suffisamment près pour que sa gravité modifie la donne… (L) Mais ils ont dit «comme une boule de bowling dans un jeu de quilles». (T) La gravité de l’étoile pourrait faire valser les comètes dans toutes les directions. (J) Est-ce que la Terre est comme une quille ? (L) Non, c’est le nuage d’Oort.

R : Explique ce qu’est le nuage d’Oort, Laura.

Q : (L) Tout le monde sait ce qu’est le nuage d’Oort ? (J) Non. [Explication du nuage d’Oort.] OK, donc nous avons affaire à…

R : Maintenant, voyez comment vos prophéties bibliques parlent d’une période terrifiante, suivie d’un apparent retour à la normalité, suivi par la «Fin».

Q : (T) Vous nous avez rapidement parlé d’un «essaim cométaire». Maintenant vous allez au-delà et nous donnez une raison expliquant cet essaim cométaire…

R : Laura, clarifie ce que disent les prophéties, s’il te plaît.

Q : (L) Eh bien, en fait, The Noah Syndrome est principalement une exégèse prophétique agrémentée d’un peu de science pour aider à élucider pourquoi de telles occurrences doivent suivre un ordre «naturel». [Discussion des principaux passages de Noah.] Dans les prophéties, il est dit : «Si ces jours n’étaient abrégés, personne ne serait sauvé, mais à cause des élus ces jours seront abrégés.» Pouvez-vous me dire ce que ça signifie ?

R : Pas encore.

Q : (T) Où en sommes-nous ? Nous avons une étoile sombre qui fait valser les comètes comme des quilles de bowling…

R : Vos prophéties bibliques parlent d’une période de terreur et de chaos suivie de calme, puis contre toute attente, au milieu de cette apparence de paix prédominante, de renouveau, et de prospérité, la fin.

Q : (L) D’accord, expliquez, s’il vous plaît.

R : Non, toi explique, s’il te plaît !

Q : (L) D’accord, je dirais que cette «fin» est la traversée de la «frontière entre les mondes», de l’«Onde».

R : Oui, mais ne sais-tu pas à quelles prophéties nous faisons allusion ?

Q : (L) Parlez-vous de l’Épître de Pierre où il est dit que les cieux s’ouvriront avec fracas et que la Terre sera consumée par le feu ?

R : Non.

Q : (L) Dieu merci ! Parlez-vous du livre de Daniel où est donné un nombre concernant la période séparant les deux événements ?

R : Pas loin.

Q : (L) D’accord. Je sais où aller pour le trouver et l’étudier. Donc, nous parlons de quelque chose comme six ans et trois mois ?

R : Oui, mais c’est inexact.

Q : (T) Le nombre d’années est inexact. (L) OK. Puisque vous l’avez évoqué à d’autres occasions, est-il possible, grâce à la technologie, d’échapper à cet événement soit en créant un moyen d’aller dans le monde suivant, soit en créant un univers parallèle...

R : Non.

Q : (L) Bon, une chose est sûre…

R : Qu’arriverait-il si la naine brune qu’est le jumeau du soleil se rapprochait suffisamment pour être illuminée par le soleil ?

Q : (T) Eh bien, si elle se rapprochait suffisamment pour être illuminée, le résultat évident est qu’on la verrait. Les gens paniqueraient…

R : Oui.

Q : (T) Les gouvernements tomberaient…

R : Et la terreur et le chaos. Et quand elle repartira ?

Q : (L) Tout semblera bien aller ! Mais ils ne réaliseront pas que le nuage d’Oort a été touché ! Mince !

R : Et ensuite ?

Q : (L) Ce ne sont pas le nuage d’Oort ou les comètes qui vont provoquer toute cette terreur et ces histoires. C’est le fait de voir la naine brune illuminée, qui va s’en aller, et ensuite personne ne verra venir le reste ! Et c’est de ça que parlent la Bible et Nostradamus — mais on ne pouvait pas le comprendre auparavant ! Bon, combien de temps vont mettre les comètes du nuage d’Oort pour arriver ici ?

R : Disons seulement que l’essaim va bien plus vite qu’une comète ordinaire.

Q : (T) Et ceci parce qu’il se trouve dans le sillage d’un puits gravitationnel de la taille du soleil…

R : Et nous vous avons déjà parlé de l’essaim cométaire et vous avons dit que, cette fois, il était porté par l’Onde.

Q : (L) L’Onde est-elle l’énergie qui émane de cette naine brune ?

R : Non.

Q : (L) L’Onde est l’Onde. (T) Donc, l’étoile sombre va traverser le nuage d’Oort et n’a pas besoin d’être plus proche que ça. Toute étoile qui se rapproche autant est trop proche. Sa gravité va propulser ces comètes dans notre direction. Et par-dessus le marché, elles sont propulsées par l’Onde par-derrière, donc elles sont à la fois tirées et poussées.

R : Non.

Q : (L) Est-ce qu’elles sont «éjectées» puis captées par l’Onde déjà en route ?

R : Oui. Cette fois. Vous avez connu cet essaim cométaire dans l’antiquité, mais la dernière fois que l’Onde était là, c’était il y a une éternité.

Q : (L) L’Onde est-elle une onde de gravité ?

R : Lié.

Q : (L) Bon, maintenant… (T) Eh bien, l’Onde est une forme d’énergie. (L) Oui, ils nous ont dit une fois que c’était une «sensation hyperkinétique».

R : La frontière entre mondes, c’est ton facteur quantique, Laura, alors connecte-la à «Noah» en ce sens et vois les résultats.

Q : (L) Est-ce que cette étoile brune ou sombre possède des corps planétaires propres, autres que les planètes qu’elle partage avec Sol ?

R : Non.

Q : (T) OK. Pas de corrélation avec Sitchin et sa «planète Nibiru». (L) Si l’Onde est le facteur quantique de la transition du système solaire, quel est le facteur de la transition d’un atome ?

R : Qu’émettent les électrons ?

Q : (L) Des photons… (T) Une charge électrique quelconque. (L) Je croyais qu’un électron n’était pas sécable… que c’était une particule élémentaire...

R : Bien…

Q : (L) Que diable émet un électron ? (T) Un champ électromagnétique ?

R : Qu’avons-nous dit à propos de la gravité ? Qu’avons-nous dit ?!?

Q : (T) Qu’est-ce que c’était ? (L) Que la gravité s’accumule… (T) Qu’as-tu lu tout à l’heure...

R : Lis-le.

Q : [Lecture des passages de la séance précédente au sujet de la gravité.] (L) Un électron émet-il de la gravité ?

R : Oui.

Q : (L) Quel…

R : Électromagnétiquement.

Q : (L) Quelle est la cause d’une transition quantique ? Une accumulation et une dispersion de la gravité. Qu’est-ce qui amène un atome à s’agréger ou se disperser ?

R : Comment l’électron s’intègre-t-il dans l’équation de l’«atome» ?

Q : (L) Eh bien, il tourne autour du noyau… (T) Les planètes tournent autour du Soleil. (L) L’énergie accumulée par un électron, ou par toute autre partie d’un atome, et qui provoque une transition quantique, est-ce qu’il la collecte à l’extérieur ? Une onde.

R : Combien d’électrons tournent autour du noyau ?

Q : (L) Ça dépend de l’atome. Le nombre d’électrons détermine la nature de l’atome… le nombre de particules qui tournent autour du noyau…

R : Oui.

Q : (T) Et elles tournent en couches spécifiques…

R : Oui… Et comment le soleil s’intègre-t-il là-dedans macrodynamiquement ?

Q : (L) D’accord, c’est un élément du noyau de l’atome qui agit sur les électrons et provoque une transition ?

R : Combien d’électrons tournent autour du noyau ?

Q : (L) Du soleil ? Demandez-vous combien d’électrons tournent autour du noyau du soleil ? Différents atomes ont différents nombres…

R : De n’importe quel atome ?

Q : (L) OK, ça varie.

R : Entre quoi et quoi ?

Q : (L) De 1 à quelque chose dans les 90 ou les 100…

R : Et qu’est-ce qui détermine ce nombre ?

Q : (L) C’est une sacrée bonne question ! (T) Qu’est-ce qui fait d’un atome de l’hélium et de l’autre de l’oxygène ? Comment savent-ils comment devenir ce qu’ils sont ?

R : Non.

Q : (T) Eh bien, qu’est-ce qui détermine ce nombre ?

R : Est-ce la composition du noyau ?

Q : (L) Oui. C’est vrai. On avait oublié. Qu’est-ce qui cause ou détermine le nombre de protons ou autre dans le noyau ?

R : Quelle composition amènerait un électron à orbiter ?

Q : (L) Un proton ?

R : Maintenant, pensez macrodynamiquement.

Q : (L) Eh bien, vous avez dit une fois que le soleil est une fenêtre, ou un point de transition vers une autre densité. Êtes-vous en train de dire que le noyau d’un atome est aussi une fenêtre ?

R : Ce que nous disons c’est que le soleil est un proton et son jumeau un électron !

Q : (L) Eh bien, j’essaye toujours de comprendre… si l’Onde provoque des transitions dans l’atome macrocosmique, qu’est-ce qui amène l’atome microcosmique à… qu’est-ce qui provoque un saut quantique ? Qu’est-ce qui dans un atome s’accumule et provoque sa transition ? (T) Est-ce une accumulation ou une émission de quelque chose ?

R : Achèvement du Grand Cycle.

Q : (J) C’est comme ça, c’est tout. (L) Non, non…

R : Et qui dit que le jumeau du soleil apparaît tous les 3 600 ans ?

Q : (L) OK, nous avons le cycle de 3 600 ans de l’essaim cométaire, le soleil jumeau a un tout autre cycle, et ensuite il y a l’Onde qui constitue un Grand Cycle. Donc, nous avons trois choses qui provoquent naturellement une transition ?

R : Comme des «biorythmes».

Q : (T) Et c’est un triple mauvais jour qui s’annonce ! Ou un bon jour, selon la façon dont on le voit.

R : Mauvais jour si vous êtes John D. Rockfeller, bon jour si vous êtes Mahatma Gandhi.

Q : (L) Un genre d’événement triplement cyclique se produit-il également dans les transitions subatomiques, comme le biorythme ?

R : Oui.

Q : (L) Il y a donc trois facteurs à prendre en compte… ou plus que ça ?

R : L’un ou l’autre.

Q : (L) Est-ce que ça peut être un nombre aléatoire, arbitraire, d’événements ?

R : Si vous le souhaitez.

Q : (L) Est-ce l’observateur qui ajoute en partie un des facteurs ? La conscience ?

R : Oui.

Q : (T) Donc, trois cycles distincts convergent…

R : Tout se reflète macrodynamiquement et microdynamiquement. Pour l’heure, nous vous suggérons d’assimiler ; et n’ayez pas peur ! Car ce n’est pas imminent ! Bonne nuit.

Fin de la séance
 
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