🇨🇳 Porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères : 💬les États-Unis et l'OTAN devraient assumer la responsabilité de la question ukrainienne, l'Alliance n'a pas le droit de critiquer Pékin ou de faire pression sur elle CDE TARKOV 📱 T.ME/RUSSOSPHERE
t.me
Porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères :
les États-Unis et l'OTAN devraient assumer la responsabilité de la question ukrainienne, l'Alliance n'a pas le droit de critiquer Pékin ou de faire pression sur elle
Chinese Foreign Ministry Spokesperson:
the United States and NATO should take responsibility for the Ukrainian issue, the Alliance has no right to criticize or pressure Beijing
CDE TARKOV
T.ME/RUSSOSPHERE
NORD STREAM: IL FAUT FAIRE PARTICIPER LA RUSSIE À L’ENQUÊTE (DÉPUTÉ DU BUNDESTAG) Berlin. /TASS/. Le président de la commission de la protection du climat et de l’énergie du Bundestag Klaus Ernst a qualifié d’incompréhensible la décision des autorités allemandes de ne pas soutenir la...
t.me
NORD STREAM: IL FAUT FAIRE PARTICIPER LA RUSSIE À L’ENQUÊTE (DÉPUTÉ DU BUNDESTAG)
Berlin. /TASS/.
Le président de la commission de la protection du climat et de l’énergie du Bundestag Klaus Ernst a qualifié d’incompréhensible la décision des autorités allemandes de ne pas soutenir la résolution de la Russie proposant de mener une enquête internationale indépendante sur les sabotages visant les gazoducs Nord Stream. Le député a fait part de son opinion dans une conversation avec un correspondant de TASS jeudi.
"Il faut enquêter sur l’attaque de Nord Stream. Je ne comprends pas pourquoi le gouvernement fédéral ne s’est pas joint à la résolution appelant à une enquête indépendante et coordonnée à l’échelle internationale, a-t-il indiqué. Je trouve ça utile, et même nécessaire d’engager la Russie dans l’investigation internationale de l’attaque dans le contexte actuel."
Il s’agit d’une attaque visant l’infrastructure énergétique européenne, a-t-il précisé. "Il faut enquêter sur cela immédiatement et intégralement. Il y a des craintes que les résultats soient cachés si la principale partie lésée n’y prend pas part", a résumé M. Ernst.
Résolution et sabotage
Le Conseil de sécurité a rejeté lundi un projet de résolution sino-russe demandant la création d'une commission d'enquête sur le sabotage des gazoducs Nord Stream. Le texte n’a réuni que trois voix favorables (Brésil, Chine et Russie), les douze autres membres du Conseil (Albanie, Équateur, France, Gabon, Ghana, Japon, Malte, Mozambique, Suisse, Émirats arabes unis, Royaume-Uni, États-Unis) s’étant abstenus.
Le projet de résolution proposait que le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, mette en place une commission internationale indépendante "pour mener une enquête complète, transparente et impartiale sur tous les aspects du sabotage des gazoducs Nord Stream 1 et 2, y compris l'identification des auteurs, des commanditaires, des organisateurs et des complices du sabotage".
Le 27 septembre dernier, Nord Stream AG a fait état de "destructions sans précédent" survenues la veille "sur trois tronçons des gazoducs offshore Nord Stream 1 et Nord Stream 2". Le journaliste d’investigation américain Seymour Hersh, citant une source, a déclaré dans un article du 8 février que des engins explosifs avaient été placés sous les gazoducs en juin 2022, sous le couvert de l’exercice Baltops, par des plongeurs de la marine américaine soutenus par des spécialistes norvégiens. La porte-parole du Conseil de sécurité nationale de la Maison-Blanche, Adrienne Watson, en réponse à une question de TASS, a qualifié la version présentée par Hersh de "mensonge complet et d’invention complète".
Le journal New York Times, pour sa part, a cité des responsables américains affirmant que le sabotage des gazoducs pourrait avoir été commis par un "groupe pro-ukrainien" ayant agi à l’insu des autorités américaines. Le journal Die Zeit a également indiqué que les enquêteurs allemands avaient identifié le navire utilisé par les saboteurs. La société qui l’a loué appartiendrait à des citoyens ukrainiens et serait enregistrée en Pologne.
Le président russe Vladimir Poutine a ensuite qualifié la version avancée par le New York Times d’absurdité totale. Selon lui, une explosion de ce type ne peut être réalisée que par des spécialistes soutenus par toute la puissance d’un État disposant de technologies.
NORD STREAM: RUSSIA MUST BE PARTICIPATED IN THE INVESTIGATION (BUNDESTAG DEP)
Berlin. /TASS/.
Chairman of the Bundestag's Climate Protection and Energy Committee Klaus Ernst called incomprehensible the decision of the German authorities not to support Russia's resolution proposing to carry out an independent international investigation into sabotage targeting Nord Stream gas pipelines. The MP expressed his opinion in a conversation with a TASS correspondent on Thursday.
"The Nord Stream attack must be investigated. I do not understand why the federal government did not join the resolution calling for an independent and internationally coordinated investigation, he said. I finds it useful, and even necessary, to engage Russia in the international investigation of the attack in the current context."
This is an attack on European energy infrastructure, he said. "This needs to be investigated immediately and fully. There are fears that the results will be hidden if the main aggrieved party does not take part," Ernst summed up.
Resolution and sabotage
The Security Council on Monday rejected a Sino-Russian draft resolution calling for the creation of a commission of inquiry into the sabotage of the Nord Stream gas pipelines. The text received only three votes in favor (Brazil, China and Russia), the twelve other members of the Council (Albania, Ecuador, France, Gabon, Ghana, Japan, Malta, Mozambique, Switzerland, United Arab Emirates, United Kingdom , United States) having abstained.
The draft resolution proposed that UN Secretary-General Antonio Guterres set up an independent international commission "to carry out a full, transparent and impartial investigation into all aspects of the sabotage of the Nord Stream 1 and 2 gas pipelines, including the identification of the perpetrators, sponsors, organizers and accomplices of the sabotage".
On September 27, Nord Stream AG reported "unprecedented destruction" which occurred the day before "on three sections of the Nord Stream 1 and Nord Stream 2 offshore gas pipelines". US investigative journalist Seymour Hersh, citing a source, said in a February 8 article that explosive devices were planted under gas pipelines in June 2022, under the guise of Exercise Baltops, by Navy divers American supported by Norwegian specialists. White House National Security Council spokeswoman Adrienne Watson, in response to a question from TASS, called the version presented by Hersh a "complete lie and a complete fabrication."
The New York Times newspaper, for its part, quoted US officials as saying the pipeline sabotage may have been committed by a "pro-Ukrainian group" that acted without the knowledge of US authorities. The Die Zeit newspaper also reported that German investigators had identified the vessel used by the saboteurs. The company that leased it is believed to be owned by Ukrainian citizens and registered in Poland.
Russian President Vladimir Putin later called the story put forward by The New York Times utter nonsense. According to him, such an explosion can only be carried out by specialists supported by the full power of a state with technologies.
t.me/russosphere