📚 SĂ©ance du 21 novembre 1998

Jacques

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Thanks to the members of the French translation group who have just translated that session.

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Merci aux membres de l’équipe française pour cette traduction.
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Date de la séance : 21 novembre 1998

Laura, Ark, Frank

Q : Bonsoir.

R : Bonsoir.

Q : Et qui est avec nous ce soir ?

R : Mohnah.

Q : Et d’oĂč transmettez-vous ?

R : Cassiopée.

Q : D’accord, nous avons un certain nombre de questions
 Nous avons ce document Ă©crit par Henry P. Stapp
 Mais je n’arrive pas Ă  trouver la premiĂšre page


R : Je vous suggĂšre d’ĂȘtre plus vigilant dans vos efforts pour trouver la page 1. (Pause pendant que la page est trouvĂ©e)

Q : D’accord, Henry Stapp dit au dĂ©but de ce proto-livre : « Ce livre parle de vous. Il traite de votre essence : ce que vous ĂȘtes, et comment vous ĂȘtes connectĂ©s Ă  ce que vous n’ĂȘtes pas. Il est important que vous le sachiez, car vos croyances sur vous-mĂȘme et votre lien avec “l’autre” sont en fin de compte Ă  la base de toutes les dĂ©cisions que vous prenez dans votre vie. [
]Vous pensez peut-ĂȘtre savoir ce que vous ĂȘtes. On vous a peut-ĂȘtre appris que vous ĂȘtes un gigantesque paquet de cellules, chaque cellule Ă©tant un arrangement complexe d’atomes reliĂ©s les uns aux autres par des lois mĂ©caniques simples. Ainsi, vous pouvez imaginer que la science vous a montrĂ© que vous ĂȘtes, au fond, une machine gĂ©ante : un Ă©norme dispositif mĂ©canique, avançant de maniĂšre totalement prĂ©visible, rĂ©gi, en principe, par les interactions mĂ©caniques de ses minuscules piĂšces [
] Mais qu’en est-il de vos pensĂ©es, de vos espoirs, de vos aspirations, de vos idĂ©es ? Quelle est leur place ? Il est certain qu’elles constituent une part importante de votre personne. En effet, avec vos autres qualitĂ©s expĂ©rientielles, telles que vos sensations et vos sentiments, ils constituent votre essence. Votre moi "matĂ©riel" est important pour vous en tant que porteur de votre moi expĂ©rientiel et en tant que lien entre votre moi expĂ©rientiel et le reste de la nature. Mais comment ce moi matĂ©riel s’articule-t-il avec votre moi expĂ©rientiel ? [
] Que nous dit la science sur ce lien ? [
] Curieusement, le consensus de l’opinion scientifique sur cette question fondamentale du lien entre notre moi matĂ©riel et notre moi expĂ©rientiel repose sur une thĂ©orie qui a rĂ©gnĂ© de l’époque d’Isaac Newton jusqu’au dĂ©but de ce siĂšcle, mais qui a Ă©tĂ© remplacĂ©e il y a environ soixante-dix ans par une thĂ©orie qui en diffĂšre, fondamentalement, prĂ©cisĂ©ment sur cette question de la relation entre notre moi matĂ©riel et notre moi expĂ©rientiel. [
] Selon la thĂ©orie prĂ©cĂ©dente, tout grand systĂšme, y compris l’univers entier, change essentiellement de la mĂȘme maniĂšre qu’une horloge mĂ©canique : les mouvements Ă  grande Ă©chelle sont entiĂšrement dĂ©terminĂ©s par les interactions mĂ©caniques locales entre ses minuscules parties matĂ©rielles. Les expĂ©riences de chacun n’ont, fondamentalement, rien Ă  voir avec cela. [
] Mais la thĂ©orie physique contemporaine de base, la thĂ©orie quantique, si elle est prise au sĂ©rieux, dit exactement le contraire : elle dit que nos connaissances expĂ©rimentales sont les unitĂ©s dynamiques de base, et que ce qui avait Ă©tĂ© compris auparavant comme des particules matĂ©rielles qui pouvaient exister indĂ©pendamment des connaissances, doit ĂȘtre remplacĂ© par une structure porteuse de connaissances. Cette structure transforme les connaissances créées par les connaissances antĂ©rieures en Ă©lĂ©ments constitutifs des connaissances ultĂ©rieures. Ainsi, au lieu que ce soient de minuscules atomes qui se contrĂŽlent les uns les autres, et donc toutes les connaissances, ce sont plutĂŽt les connaissances qui sont les unitĂ©s irrĂ©ductibles de base : elles entrent en tant qu’unitĂ©s entiĂšres dans une structure dynamique qui fait progresser les faits fixĂ©s par les connaissances passĂ©es pour produire les possibilitĂ©s de connaissances futures ».

Si je comprends bien ce qu’il dit, il remplace « l’ancienne horloge » par une autre « horloge ». Il dit que c’est ce que dit la thĂ©orie quantique, que toutes les unitĂ©s fondamentales de la physique quantique sont des « connaissances », que ce sont les unitĂ©s irrĂ©ductibles de base. Pouvez-vous commenter cette idĂ©e ?

R : Comment pensez-vous qu’il puisse en ĂȘtre ainsi ?

Q : C’est ce que je vous demande. C’est ce qu’il dit que la thĂ©orie quantique dit.

R : Comment faire entrer le proverbial carré dans le trou rond ?

Q : S’il vous plaĂźt, ne soyez pas trop Ă©nigmatique avec nous ce soir, car nous sommes vraiment dĂ©sespĂ©rĂ©s et nous nous sommes Ă©puisĂ©s Ă  la tĂąche !

R : Le dĂ©sespoir n’est ni nĂ©cessaire, ni utile.

Q : Eh bien, nous avons lu et rĂ©flĂ©chi, nous avons passĂ© en revue les sĂ©ances, nous en avons discutĂ© et nous n’avons pas trouvĂ© de conclusion satisfaisante. Stapp dit que la fonction d’onde reprĂ©sente notre connaissance du systĂšme et que les paquets d’ondes rĂ©duits sont une connaissance plus prĂ©cise aprĂšs mesure. La question est de savoir s’il y a plus que NOTRE connaissance et ce qui est au-delà


R : La question est la suivante : la connaissance est-elle physique ? Peut-on la rendre physique ? La physique n’est-elle pas l’étude de ce qui est physique ?

Q : D’accord, la connaissance peut-elle ĂȘtre matĂ©rialisĂ©e ?

R : Non.

Q : (A) La connaissance peut-elle ĂȘtre convertie en mathĂ©matiques ?

R : Oui. Comme nous l’avons indiquĂ©, les mathĂ©matiques servent de pont entre ce qui est physique et ce qui ne l’est pas.

Q : Stapp cite Heisenberg qui dit : « la clartĂ© transparente d’une mathĂ©matique qui reprĂ©sente non plus le comportement des particules mais notre connaissance de ce comportement ». Cette affirmation peut-elle ĂȘtre correcte en ce qui concerne la physique quantique ?

R : Mais il n’y a pas d’« unitĂ©s » de connaissance.

Q : Il dit : « Il est certain que notre connaissance peut changer soudainement, et que ce fait justifie l’utilisation du terme “saut quantique” ». Un changement soudain dans la connaissance est-il Ă©quivalent Ă  un saut quantique ?

R : Quelle est la définition de « quantique » ?

Q : (L) Une mesure ? Une quantification ? (R) Quand nous disons « saut quantique », nous entendons un saut typique des phĂ©nomĂšnes quantiques, comme la manipulation de particules, le saut d’un Ă©lectron d’une orbite Ă  une autre
 tout ce qui change rapidement et pour lequel nous n’avons pas de description mĂ©canique parce que nous ne comprenons pas ce qu’il y a entre les deux, comment ce saut se produit. Un changement soudain de valeur, d’état ou autre
 la dĂ©sintĂ©gration d’une particule
 (L) Donc, Stapp dit : « Ă  Solvay, les physiciens, entre tous, avaient trouvĂ© une solution rationnelle, basĂ©e sur des preuves empiriques, dans laquelle toutes les rĂ©gularitĂ©s observĂ©es de la nature qui avaient Ă©tĂ© prĂ©cĂ©demment attribuĂ©es Ă  la matiĂšre, Ă©taient prĂ©sentes sans qu’il y ait quoi que ce soit qui ressemble Ă  de la matiĂšre ordinaire. La structure mathĂ©matique nĂ©cessaire pour rendre compte des rĂ©gularitĂ©s classiques de la nature, ainsi que de toutes les rĂ©gularitĂ©s nouvellement dĂ©couvertes dont l’existence ne pouvait ĂȘtre conciliĂ©e avec la conception classique de la matiĂšre, est nĂ©e des propriĂ©tĂ©s mathĂ©matiques des connaissances elles-mĂȘmes ! »

R : Des propriĂ©tĂ©s mathĂ©matiques ? Oui. Mais quand on commence Ă  travailler Ă  partir d’une prĂ©misse erronĂ©e, oĂč cela peut-il nous faire « dĂ©barquer » ?

Q : (A) Quelle prémisse erronée ?

R : La prémisse que vous citez.

Q : (L) Il dit : La thĂ©orie quantique orthodoxe est pragmatique : c’est un outil pratique basĂ© sur les connaissances humaines.

R : Dans un sens, peut-ĂȘtre.

Q : (L) C’est ici qu’il attaque : « La formulation est Ă  nouveau subtile et confirme la thĂšse selon laquelle la structure mathĂ©matique de la thĂ©orie quantique concerne notre connaissance. Mais elle apaise les intuitions des physiciens en parlant d’évĂ©nements extĂ©rieurs Ă  l’appareil qui ne sont vraisemblablement pas contrĂŽlĂ©s par des observateurs ou des observations humaines. Mais la structure mathĂ©matique de la thĂ©orie ne dĂ©crit pas ces Ă©vĂ©nements physiques externes eux-mĂȘmes en termes microphysiques : la structure mathĂ©matique est liĂ©e Ă  nos descriptions, essentiellement en langage courant, des expĂ©riences humaines que nous imaginons normalement ĂȘtre causĂ©es par des â€Ă©vĂ©nements extĂ©rieurs“ ». Ma question est la suivante : y a-t-il des Ă©vĂ©nements « lĂ -dehors » ?

R : Oui.

Q : Qu’est-ce que la physique quantique dĂ©crit ?

R : C’est vague.

Q : Bien sĂ»r, je sais que c’est vague. Stapp dit : « D’un autre cĂŽtĂ©, on suggĂšre qu’il y a vraiment des Ă©vĂ©nements qui se produisent ”lĂ -bas“, que nous observons, et qui ne tirent pas leur existence de l’observation que nous en faisons ». Existe-t-il des Ă©vĂ©nements lĂ -bas que nous observons et qui ne tirent pas leur existence de notre observation ?

R : Oui.

Q : Les événements là-bas qui existent tirent leur existence de quoi ?

R : De leur ĂȘtre.

Q : Qu’est-ce qui est Ă  la racine de leur ĂȘtre et qui rend leur ĂȘtre diffĂ©rent du nĂŽtre ?

R : C’est un concept complĂštement erronĂ©.

Q : Quel est le concept correct ?

R : Tout est un et un est tout.

Q : Eh bien, cela ne nous aide pas. C’est ce qu’il dit ! Il dit que tout n’est que « connaissances ».

R : Non !

Q : Sommes-nous en interaction avec quelque chose qui se trouve Ă  l’extĂ©rieur ?

R : Bien sĂ»r, mais ce n’est pas seulement « lĂ -bas ».

Q : Donc, Stapp dit : « J’appelle l’idĂ©e que le formalisme concerne directement les â€œĂ©vĂ©nements physiques Ă  l’extĂ©rieur des appareils”, l’InterprĂ©tation vulgaire de Copenhague. Elle est vulgaire en ce sens qu’elle est grossiĂšre, comme je viens de le dire, et qu’elle est courante. [
] Cette interprĂ©tation vulgaire est courante parmi les physiciens quantiques en exercice ». Et il semble qu’il s’adresse particuliĂšrement Ă  Ark, puisqu’Ark est l’un des crĂ©ateurs de ce que Henry appelle ici l’« InterprĂ©tation grossiĂšre de Copenhague ».

R : Et


Q : Il ajoute : « En physique classique, cette distinction est bien sĂ»r prĂ©sente, mais une fois qu’elle a Ă©tĂ© dĂ»ment notĂ©e, elle n’est pas trĂšs importante. Dans la thĂ©orie quantique orthodoxe, cette distinction est cruciale. [...] Mon but est essentiellement de rĂ©concilier l’idĂ©e des fondateurs de la thĂ©orie quantique selon laquelle le formalisme mathĂ©matique de la thĂ©orie quantique concerne la connaissance avec l’exigence d’Einstein selon laquelle notre thĂ©orie physique de base concerne la nature ». Qu’est-ce que la nature et pourquoi existe-t-elle ?

R : Elle n’est pas « lĂ -bas ». Pourquoi restez-vous bloquĂ© sur ce point ?

Q : J’essaie de comprendre cela. Il dit : « Bien sĂ»r, repousser la frontiĂšre jusqu’à l’esprit intĂšgre l’esprit dans notre thĂ©orie de la nature. Mais pourquoi diable devrions-nous essayer de garder l’esprit Ă  l’écart – confinĂ©, ignorĂ© et isolĂ© du monde physique – alors que nous savons qu’il est prĂ©sent et apparemment efficace, en particulier lorsque la lutte intense des physiciens pour trouver un moyen rationnel de rendre compte des phĂ©nomĂšnes observĂ©s les a conduits Ă  la conclusion que la maniĂšre rationnelle de formuler une thĂ©orie qui rende compte de nos expĂ©riences relatives liĂ©es Ă  la “rĂ©alitĂ© physique” prend la forme d’une thĂ©orie sur les connaissances, et non pas d’une thĂ©orie sur la matiĂšre. [
] Compte tenu de l’échec de notre effort de soixante-dix ans pour exclure l’esprit de notre thĂ©orie de la nature, je suggĂšre que notre objectif rationnel ne devrait pas ĂȘtre de ressusciter la matiĂšre moribonde, dont nous sommes bien dĂ©barrassĂ©s, en raison des deux millĂ©naires de perplexitĂ© philosophique qu’elle a engendrĂ©s. Nous devons plutĂŽt apprendre Ă  mieux comprendre les connaissances, dans leur habitat naturel, la structure mathĂ©matique du formalisme quantique qui s’accorde avec nos expĂ©riences plutĂŽt que de les contredire de maniĂšre flagrante ».

(A) En ce qui concerne cette derniĂšre phrase, Stapp absolutise la thĂ©orie quantique et pense que le formalisme mathĂ©matique quantique est suffisant pour dĂ©crire la connaissance. J’en doute, car la thĂ©orie quantique est une thĂ©orie trĂšs simple, et pour dĂ©crire mathĂ©matiquement la connaissance, je crois qu’il faut aller au-delĂ  du formalisme quantique.

R : « Connaissances » implique des unitĂ©s physiques mesurables. Ce n’est pas le cas ! La connaissance n’est pas physique, donc constante.

Q : (L) C’est en quelque sorte son point de vue. Il dit que rien n’existe vraiment à part les connaissances


R : Non.

Q : (A) J’ai un problĂšme ici. Vous dites que la connaissance n’est pas physique. Je m’en fiche, pour l’instant, de ce qu’est la dĂ©finition de physique ou de non-physique. La question pour moi est de savoir s’il existe un cadre mathĂ©matique qui dĂ©crit en mĂȘme temps une sorte de thĂ©orie unifiĂ©e, qui dĂ©crit Ă  la fois les atomes ET la connaissance. Peut-on penser Ă  une telle
 si cela peut-elle ĂȘtre dĂ©crit par un formalisme mathĂ©matique qui prendra en compte LES DEUX ?

R : Eh bien, la question de savoir si la connaissance peut ĂȘtre quantifiĂ©e ou non se pose. Mais pour comprendre le concept, il faut rĂ©organiser sa pensĂ©e mathĂ©matique pour l’adapter au domaine non physique. Les atomes reprĂ©sentent la mesure fondamentale de la rĂ©alitĂ© matĂ©rielle ou physique. Il est possible de faire le lien entre les deux, mais pas de les combiner.

Q : (L) La thĂ©orie quantique telle qu’elle se prĂ©sente actuellement concerne-t-elle les connaissances ou les unitĂ©s physiques ?

R : C’est une question de mesures.

Q : La physique quantique, telle qu’elle est, dĂ©crit-elle la matiĂšre ?

R : C’est passer Ă  cĂŽtĂ© de la question. Pourquoi a-t-on besoin de matiĂšre pour mesurer ?

Q : Eh bien, c’est ce que nous voulons dire. Il dit que tout ce qui existe est l’esprit, que vous connaissez des choses, et que l’univers entier est une illusion de vos connaissances, de sorte que vos perceptions des perceptions sont ces connaissances, et que l’univers change constamment sur la base de ces connaissances, et que tout ce qui change rĂ©ellement, ce sont vos connaissances et vous percevez que vos connaissances changent, et c’est lĂ  toute l’affaire. Il dit que


R : Il n’y a pas de « connaissances !!!!!!! »

Q : L’idĂ©e de Stapp selon laquelle la physique quantique est une mesure des connaissances est donc complĂštement


R : Fausse !

Q : (A) Il y a une autre question, parce qu’il absolutise la physique quantique, et il ne lui vient mĂȘme pas Ă  l’esprit qu’il y a peut-ĂȘtre une meilleure thĂ©orie que la thĂ©orie quantique qui dĂ©crit plus que de simples mesures, et qui est un peu dans la ligne de la thĂ©orie du champ unifiĂ© d’Einstein, ou quelque chose comme ça. Il considĂšre que la thĂ©orie quantique telle que nous la connaissons, que son formalisme mathĂ©matique, est le dernier mot et que nous n’irons jamais au-delĂ .

R : C’est faux, Ă©videmment.

Q : (A) Le fait est, bien sĂ»r, que personne jusqu’à maintenant n’a trouvĂ© une meilleure thĂ©orie.

R : Mais « maintenant » n’est que le dĂ©but.

Q : (A) Revenons au concept d’évĂ©nements. Vous avez dit que les Ă©vĂ©nements existent. Est-il vrai que chaque Ă©vĂ©nement est une scission de l’univers, ou une ramification de l’univers ?

R : Les événements prennent de nombreuses formes.

Q : (A) Lorsque des Ă©vĂ©nements se produisent, cela signifie qu’une chose particuliĂšre a Ă©tĂ© choisie parmi de nombreuses choses possibles, ou y a-t-il d’autres Ă©vĂ©nements ? Pour moi, un Ă©vĂ©nement se produit lorsque, parmi de nombreuses choses possibles, l’une d’entre elles est choisie. Quelles sont les autres formes possibles ? Pouvons-nous avoir des exemples ?

R : Des Ă©vĂ©nements peuvent se produire sans qu’on le sache.

Q : (A) Qu’est-ce qui caractĂ©rise les Ă©vĂ©nements qui impliquent des ramifications d’univers ? Est-ce que, pour cet Ă©vĂ©nement particulier, la conscience doit participer ?

R : Il y a un point critique qui coĂŻncide avec une dĂ©charge d’énergie.

Q : (A) Y a-t-il un point critique dans tout Ă©vĂ©nement ou dans ce type particulier d’évĂ©nement de ramification ?

R : Le dernier.

Q : (L) Cela signifie-t-il qu’un Ă©vĂ©nement de ramification doit ĂȘtre liĂ© d’une maniĂšre ou d’une autre Ă  la conscience ou Ă  l’observation ?

R : Non.

Q : (L) D’oĂč vient l’énergie ?

R : La conscience est d’un cĂŽtĂ©, et qu’est-ce qui est de l’autre ?

Q : (L) Qu’est-ce qui EST de l’autre cĂŽtĂ© ? La matiĂšre ?

R : Nous avons donné un indice.

Q : (L) L’énergie ?

R : Plus proche.

Q : (A) D’accord, permettez-moi de poser une question un peu plus technique. Dans cette thĂ©orie sur laquelle je suis censĂ© Ă©crire cet article, nous faisons une sorte d’union entre la thĂ©orie quantique standard et quelque chose d’autre qui n’est pas dĂ©crit par une fonction d’onde, qui est censĂ©e exister objectivement. Mais il s’agit d’un modĂšle mathĂ©matique. La question est la suivante : en rĂ©alitĂ©, qu’est-ce qui existe vraiment ? Quelles sont les choses qui existent vraiment ?

R : La gravitĂ© est la clĂ©. Maintenant, introduisez vos fonctions d’onde.

Q : (L) Comment peut-on décrire mathématiquement la gravité ?

R : Cela doit ĂȘtre possible ! Revoir les textes sur la gravitĂ©.

Q : (L) Nous l’avons fait
 et soit nous sommes si denses, soit nous ne comprenons pas


R : Pas denses, émotionnellement troublés. Quand on est sur la défensive, tout est « faussé », y compris ce conduit.

Q : (L) Donc, ce qu’il y a de l’autre cĂŽtĂ©, c’est la conscience et la gravitĂ© ?

R : Non, il faut revoir les textes et méditer pour débarrasser la conscience du poison émotionnel !

Q : (L) Quelle est la source de ce poison émotionnel ? Notre réaction à ce document ?

R : Oui. Attaque, attaque. Une pause s’impose !

Q : (A) Qui a besoin d’une pause ? (L) Maintenant ?

R : Oui.

(Pause)

Q : (L) D’accord, Stapp dit : « Nos idĂ©es sur la matiĂšre et l’énergie garantissent qu’aucune matiĂšre, ou substance porteuse d’énergie, ne peut voyager plus vite que la lumiĂšre. Ainsi, ce rĂ©sultat plus rapide que la lumiĂšre montre que la rĂ©alitĂ© ne peut certainement pas ĂȘtre faite de “matiĂšre” ou de toute forme d’énergie, telle qu’elle est normalement conçue. [
] Comment la thĂ©orie quantique orthodoxe fait-elle face Ă  ce problĂšme ? [
] Elle essaie de dire qu’il n’y a pas de problĂšme, parce que la fonction d’onde ne reprĂ©sente que notre connaissance. [
] L’idĂ©e est la suivante. Supposons que vous sachiez que les parties proches et Ă©loignĂ©es d’un systĂšme physique sont fortement corrĂ©lĂ©es. Dans ce cas, votre nouvelle connaissance d’une partie proche peut souvent vous donner une connaissance immĂ©diate d’une partie Ă©loignĂ©e, sans que cette partie Ă©loignĂ©e ne soit physiquement affectĂ©e par votre acte de regarder la partie proche. Ainsi, le fait de voir qu’une extrĂ©mitĂ© de l’aiguille d’une boussole pointe vers le nord peut immĂ©diatement vous indiquer que l’autre extrĂ©mitĂ© pointe vers le sud, sans que vos actions aient le moindre effet physique immĂ©diat sur l’extrĂ©mitĂ© sud. [
] Les connexions plus rapides que la lumiĂšre dans le domaine des connaissances sont donc considĂ©rĂ©es comme non problĂ©matiques. [
] Cet argument est basĂ© sur l’idĂ©e normale que ces connaissances sont des connaissances sur des choses physiques. L’effet plus rapide que la lumiĂšre dans le domaine de la connaissance n’implique manifestement aucun effet de ce type dans la rĂ©alitĂ© physique extĂ©rieure. Par consĂ©quent, cet effet dans le domaine de la connaissance est considĂ©rĂ© comme non physique : il n’est pas physiquement rĂ©el [
] Mais si l’on devait prendre la connaissance elle-mĂȘme comme rĂ©alitĂ© de base, il pourrait y avoir un problĂšme, car il n’y aurait pas d’autre rĂ©alitĂ© “physique” sur laquelle fonder l’affirmation selon laquelle l’effet plus rapide que la lumiĂšre dans le domaine de la connaissance n’est “pas physiquement rĂ©el”. Un tel embarras pourrait survenir si l’on interprĂ©tait littĂ©ralement la thĂ©orie quantique comme une description d’une rĂ©alitĂ© basĂ©e sur la connaissance, plutĂŽt que sur la matiĂšre. [
] Mais Heisenberg et Bohr ont contournĂ© cet embarras en ne prenant pas la thĂ©orie quantique au sĂ©rieux, c’est-Ă -dire en rejetant l’idĂ©e que le formalisme mathĂ©matique basĂ© sur la connaissance dĂ©crit une rĂ©alitĂ© correspondante basĂ©e sur la connaissance. Ainsi, lorsque Heisenberg dĂ©crit “ce qui se passe ‘rĂ©ellement’ dans un Ă©vĂ©nement atomique”, il parle des Ă©vĂ©nements qui se produisent au niveau de l’appareil de mesure et valide ainsi l’idĂ©e normale selon laquelle la “connaissance” dont traite le formalisme est, normalement, une connaissance des Ă©vĂ©nements physiques. Les connaissances ne doivent pas, selon le point de vue orthodoxe, ĂȘtre considĂ©rĂ©es comme les rĂ©alitĂ©s fondamentales, mĂȘme si elles sont les rĂ©alitĂ©s sur lesquelles le formalisme est basĂ©. [
] Il y a donc deux raisons puissantes d’affirmer que le formalisme quantique ne donne pas une description de la rĂ©alitĂ© elle-mĂȘme. La premiĂšre est que cette dĂ©marche permet de prĂ©server nos intuitions de bon sens selon lesquelles il y a quelque chose “lĂ -dehors” ; la seconde est qu’elle nous Ă©vite apparemment d’avoir Ă  admettre qu’il existe de vĂ©ritables effets plus rapides que la lumiĂšre ».

(A) J’aimerais savoir qui paie ce Stapp et pourquoi ?

R : Ceux qui s’opposent Ă  la rĂ©vĂ©lation de la vĂ©ritĂ© sont au « cƓur ».

Q : (L) Avons-nous suffisamment parlé de Stapp ?

R : Oui.

Q : Sujet suivant : Mike (membre du groupe de discussion) a envoyĂ© quelques questions complĂ©mentaires. Sa premiĂšre question est la suivante : Le mystĂšre qui entoure Rennes-le-ChĂąteau a-t-il un rapport avec ce qu’Henry Lincoln dĂ©crit comme le « Temple », qui est un ancien mĂ©galithe


R : Non.

Q : (M) Il dit : J’ai eu trois expĂ©riences avec des extraterrestres, qui m’ont gentiment fourni des sortes de perles de silicone. S’agissait-il d’enlĂšvements physiques ou de simples projections ?

R : L’un engendre l’autre. Une projection implique une remolĂ©cularisation atomique transdimensionnelle.

Q : (M) Quand et oĂč a eu lieu la derniĂšre expĂ©rience ?

R : En avril et en Ă©tat de sommeil. Il y a une fenĂȘtre qui donne sur une prairie en pente. Des arbres fruitiers, peut-ĂȘtre des pommiers, se trouvent Ă  proximitĂ©.

Q : (L) Pourquoi avez-vous parlĂ© de cette fenĂȘtre, de cette prairie et de ces arbres fruitiers ? Est-ce la fenĂȘtre par laquelle cela s’est produit ?

R : Laissez les choses se dérouler.

Q : (M) Les billes de silicone apparaĂźtront-elles Ă  la radiographie ?

R : Non.

Q : (M) Dans le rĂȘve sur le « dispositif de communication », s’agissait-il d’un souvenir d’une expĂ©rience antĂ©rieure ou d’une expĂ©rience rĂ©elle qui s’est produite cette nuit-lĂ  ?

R : Un reflet.

Q : (M) En ce qui concerne la vision Ă  distance et les alignements chimiques/magnĂ©tiques qui amĂ©liorent les capacitĂ©s psychiques, cela peut-il ĂȘtre induit artificiellement par des champs magnĂ©tiques appliquĂ©s localement ?

R : Dangereux d’expĂ©rimenter avec cela. Comme Franklin et ses cerfs-volants.

Q : (M) Mon ami Marc a fait un rĂȘve il y a quelques nuits qui, selon lui, est liĂ© au prĂ©cĂ©dent. Il a Ă©tĂ© frappĂ© Ă  la tĂȘte par un 2X4 brandi par un enfant, ce qui l’a immĂ©diatement rĂ©veillĂ©. Il a aperçu un mouvement du coin de l’Ɠil lorsqu’il s’est rĂ©veillĂ©. Quel Ă©tait l’objet ou la crĂ©ature en mouvement ?

R : De l’énergie d’interdensitĂ©.

Q : (M) Était-ce liĂ©, d’une maniĂšre ou d’une autre, aux implants et aux rencontres avec des extraterrestres ?

R : Indirectement.

Q : (M) Était-ce important ?

R : Tout l’est.

Q : (M) La source des livres « Conversations avec Dieu » est-elle fiable et exacte ?

R : En partie seulement.

Q : (L) OK, j’ai reçu le livre « Robot's Rebellion » et j’espĂ©rais que ce serait quelque chose d’utile, et il dit ici : « Tout comme le soleil est l’esprit qui guide le systĂšme solaire, l’esprit galactique guide la galaxie et l’esprit universel guide l’univers. La Source est l’esprit qui guide toute la crĂ©ation. L’activitĂ© des taches solaires est liĂ©e Ă  ce flux d’énergie du soleil vers le systĂšme solaire, et indique les moments oĂč ce flux est le plus puissant. » Les taches solaires indiquent-elles que le flux d’informations est au plus fort ?

R : Peut-ĂȘtre.

Q : Puis ce David Icke dit : « La conscience dĂ©sĂ©quilibrĂ©e que j’appellerai Lucifer n’est pas une partie essentielle de l’équilibre positif/nĂ©gatif. Il est un aspect perturbateur et disharmonieux de la conscience, qui n’est pas nĂ©cessaire Ă  l’évolution humaine. Plus encore, les efforts de Lucifer pour fermer les canaux qui relient l’humanitĂ© Ă  sa comprĂ©hension supĂ©rieure ont bloquĂ© notre Ă©volution, au lieu de la faire progresser. » Est-ce une Ă©valuation correcte de cette conscience lucifĂ©rienne, qu’elle ne fait pas partie de l’équilibre positif/nĂ©gatif de l’univers, et qu’elle a bloquĂ© notre Ă©volution ?

R : Non.

Q : Pouvez-vous nous parler de la conscience lucifĂ©rienne et du rĂŽle qu’elle peut jouer dans notre Ă©volution et notre rĂ©alitĂ© ?

R : Cela fait partie du plan de cours.

Q : C’est aussi ce que je pensais, mais il dit qu’à cause de ce problĂšme de la conscience lucifĂ©rienne, les « niveaux supĂ©rieurs de la crĂ©ation ont commencĂ© Ă  intervenir parce que Lucifer imposait ses malentendus aux autres et violait la loi universelle du libre arbitre ». Est-ce vrai ?

R : Non.

Q : J’ai lu Ă  propos de cette « dĂ©cision d’intercĂ©der » par des niveaux supĂ©rieurs de conscience qui regardent l’humanitĂ© de haut et se dĂ©solent de nos terribles souffrances, et que d’une maniĂšre ou d’une autre, si quelque chose n’est pas fait, l’univers entier sera envahi par ce mal
 il faut donc « l’arrĂȘter ». Un certain nombre de sources promeuvent cette idĂ©e, ce qui conduit gĂ©nĂ©ralement Ă  affirmer que tel ou tel groupe d’extraterrestres fait partie des « bons » ou des « mĂ©chants », ou autre. Ces idĂ©es sont-elles exactes ?

R : Non.

Q : Donc, ce qui est, EST, et nous ne souffrons qu’exactement autant qu'il nous faut pour apprendre ? C’est cela ?

R : Il y a plus que cela, mais Ă  ce stade, vous seriez incapable de le comprendre.

Q : Icke dit que « cette conscience luciférienne est un grand aspect de la conscience divine qui a choisi de travailler contre la Source ». Est-ce vrai ?

R : Pas vraiment.

Q : Eh bien, il SEMBLE que la conscience lucifĂ©rienne travaille contre la Source. Si ce n’est pas le cas, que fait-elle ?

R : Elle rééquilibre lĂ  oĂč c’est nĂ©cessaire.

Q : Il dit : « D’autres volontaires, des aspects d’une conscience trĂšs Ă©voluĂ©e, sont venus dans l’univers et dans cette galaxie dans le but de rĂ©tablir l’harmonie. Ils ne se sont pas incarnĂ©s dans des corps physiques sur la terre, ils sont arrivĂ©s dans des vaisseaux spatiaux, dont certains mesuraient des kilomĂštres de long, tandis que d’autres se sont simplement manifestĂ©s ici. Ce sont des extraterrestres qui sont venus apporter la connaissance Ă  cette planĂšte il y a des centaines de milliers d’annĂ©es ». Est-ce vrai ? Oui ou non ?

R : Ni l’un ni l’autre. [Le tĂ©lĂ©phone sonne et BRH se joint Ă  la sĂ©ance]

Q : (BRH) Y a-t-il quelque chose que je devrais savoir Ă  ce stade sur Kim par rapport Ă  moi ?

R : Vague !

Q : (BRH) Dois-je poursuivre cela ?

R : Il ne comprend pas encore. Il n’y a que des leçons.

Q : (BRH) C’est d’un vague ! (L) C’est le reflet de l’imprĂ©cision de ta question.

R : Vague Ă  l’intĂ©rieur, vague Ă  l’extĂ©rieur !

Q : (BRH) D’accord, j’aime bien Kim et j’envisage de poursuivre une relation avec elle.

R : Certains aiment danser du feu Ă  la poĂȘle Ă  frire, d’autres non. Mais Ă  quoi servirait une leçon si elle ne contenait pas le potentiel d’apprentissage ?

Q : (L) Je suppose que je dirais que tu dois suivre ton instinct et ne pas laisser l’émotion prendre le dessus. C’est l’un des principaux facteurs qui jouent en notre dĂ©faveur


R : À ce stade, le curseur Ă©motionnel est sur « Ă©levĂ© ».

Q : (L) La plupart des Ă©motions humaines ne sont pas, comme certains le pensent, de l’ordre de l’ñme ; elles sont chimiques. Et ces substances chimiques peuvent ĂȘtre stimulĂ©es pour activer ou dĂ©sactiver les Ă©motions – comme en tĂ©moignent de nombreuses femmes qui souffrent du syndrome prĂ©menstruel. Toutes sortes d’ondes et de frĂ©quences autour de nous, y compris celles Ă©manant d’autres personnes, peuvent activer et dĂ©sactiver ces substances chimiques. C’est ce qui se passe lorsque les « hameçons » s’introduisent dans votre chair Ă  partir de la proximitĂ©. Lorsque vous rencontrez une nouvelle personne, la mĂȘme chose peut se reproduire de maniĂšre trĂšs puissante et, bien sĂ»r, en raison de l’effet euphorisant d’une nouvelle sĂ©rie de stimuli, cela vous fait penser que « oh, c’est DIFFÉRENT ! C’est l’ÂME ! Je peux vous assurer que si ce qui se passe entre deux personnes est dĂ» Ă  la prĂ©sence physique de l’autre personne SEULE, mĂ©fiez-vous ! Ce savoir est durement acquis, croyez-moi.

R : Si Devin a des questions, pourquoi ne pas lui permettre de les poser ?

Q : (L) D’accord, je me tais. (BRH) J’ai l’impression que le chapitre n’est pas clos dans l’affaire Kim. Mais pour passer Ă  autre chose, j’ai une amie nommĂ©e Lisa sur le net qui me demande de l’aide. Elle ne sait pas si elle est en train de perdre la tĂȘte ou quoi, et je lui ai dit que j’essaierai de faire ce que je peux. La question qu’elle pose est donc la suivante : « Est-ce que je perds la tĂȘte ou quoi ?

R : Ou quoi.

Q : (BRH) Un conseil quelconque ?

R : Comme pour tous les autres, qui se mettent dans le pĂ©trin lorsque nous supposons d’abord, puis lorsque nous essayons de recueillir des donnĂ©es pour Ă©tayer nos suppositions.

Q : (L) Je suppose que ce qu’ils lui disent, c’est qu’elle a fait une supposition et qu’elle essaie de recueillir des donnĂ©es pour


R : Aucun commentaire n’est nĂ©cessaire, Ă  moins que vous ne souhaitiez risquer de dĂ©truire la valeur du message !

[Le chien commence Ă  aboyer]

Q : (BRH) La derniĂšre fois, vous avez essayĂ© de m’inciter vers des questions sur la carriĂšre et la famille, et je ne l’ai pas vu ou compris Ă  ce moment-lĂ  parce que je pensais plus en termes d’emploi. Je ne pense pas avoir profitĂ© de l’occasion pour approfondir suffisamment ces questions. J’aimerais donc savoir si vous avez d’autres commentaires Ă  me faire sur les questions de carriĂšre et de famille ?

R : Seulement si des questions spécifiques sont posées.

Q : (BRH) J’ai envisagĂ© de tout abandonner et d’écrire un livre. Avez-vous des conseils Ă  me donner Ă  ce sujet ?

R : Nous pensons que c’est une bonne idĂ©e !

Q : (L) [Remarques sur Tom French, journaliste qui Ă©crit sur le groupe des CassiopĂ©ens et qui vient de recevoir le prix Pulitzer]. Donc, s’il arrive Ă  publier la partie sur ce sujet, je suppose que nous serons Ă  peu prĂšs le seul groupe de channeling Ă  avoir fait l’objet d’une enquĂȘte de la part d’un laurĂ©at du prix Pulitzer !

R : Oh lĂ  lĂ , oh lĂ  !

Q : (L) Êtes-vous sarcastiques ou heureux ?

R : Les deux.

Q : (L) [À BRH] Eh bien, les C’s ont prĂ©dit son prix Pulitzer
 vous savez, il a divorcĂ© aprĂšs s’ĂȘtre engagĂ© avec nous, le photographe qui lui Ă©tait assignĂ© a divorcĂ©, j’ai divorcé  ils avaient prĂ©dit les changements Ă  venir dans sa vie, et il ne voulait absolument pas y croire, mais maintenant que c’était arrivĂ©, il voulait savoir ce qui allait lui arriver d’autre, et comment il allait se sentir Ă  ce sujet. Les C’s lui ont donc dit qu’il serait heureux Ă  100 % des changements Ă  venir
 et c’est Ă  peu prĂšs tout ce qu’ils pouvaient lui dire. Mais, aprĂšs coup, il a compris ce qu’ils voulaient dire. J’espĂšre que ses expĂ©riences l’inciteront Ă  Ă©crire sur nous avec gentillesse
 (BRH) J’étais trĂšs heureux d’une remarque que vous avez faite il y a plusieurs annĂ©es Ă  propos de ma fille cadette, et des fruits qui ont dĂ©coulĂ© de ce commentaire. La derniĂšre fois, vous avez Ă  nouveau Ă©voquĂ© ma fille cadette et fait remarquer que la sĂ©paration n’allait pas durer longtemps. Avez-vous d’autres commentaires Ă  faire Ă  ce sujet ?

R : Il s’agit d’une forte connexion d’ñme. Des vies antĂ©rieures entremĂȘlĂ©es, au sens positif.

Q : (L) Je suppose que tu peux demander combien de vies antĂ©rieures vous avez eues ensemble
 et partir de là


R : Ce n’est pas important.

Q : (BRH) Quel est le but de notre relation en ce moment ?

R : C’est Ă  vous de le dĂ©couvrir !

Q : (BRH) Des indices ?

R : Non.

Q : (BRH) Au moins, votre remarque d’il y a quelques annĂ©es a portĂ© des fruits Ă©tonnants. Je pensais vraiment que c’était une emmerdeuse avant, et je l’aime profondĂ©ment depuis que vous avez dit ce que vous avez dit. Il y a lĂ  un lien trĂšs spĂ©cial que je ne comprends pas tout Ă  fait


R : Vous comprendrez.

Q : (BRH) Merci pour rien, les gars !

R : Ce n’est pas rien, n’est-ce pas ?

Q : (BRH) Non, vous avez raison, ce n’est pas rien. Je vous remercie. Je suis conscient qu’il doit y avoir un objectif global Ă  ma prĂ©sence sur l’internet. J’ai Ă©tabli un grand nombre de contacts dans un groupe extrĂȘmement diversifiĂ© de personnes, et je me sentais vraiment motivĂ© auparavant Ă  fournir des donnĂ©es Ă  chacun d’entre eux. Mais depuis quelque temps, je perds mon ardeur Ă  le faire.

R : La perte de zĂšle dĂ©coule de l’approche. Il vaut mieux enseigner que prĂȘcher.

Q : (BRH) Enseigner quoi ?

R : Le partage de l’information attire.

Q : (BRH) Au niveau cosmique, je sens qu’il y a une sorte de but dans ce que j’ai fait jusqu’à prĂ©sent. J’ai construit cette structure, qu’est-ce que j’en fais maintenant ? J’ai le sentiment que tout cela n’est pas arrivĂ© sans raison.

R : Laisse-le se dérouler sans anticipation.

Q : (BRH) Quel est mon but ?

R : ÊTRE !

(La conversation avec BRH est terminée).

Q : (L) Je voulais encore poser quelques questions : vous avez mentionnĂ© Jack et le haricot magique lors d’une sĂ©ance prĂ©cĂ©dente. Je suis prĂ©occupĂ©e par le fait qu’il ne se passe rien pour l’instant. Nous sommes en quelque sorte en mode pause.

R : Tout ira bien.

Q : Devin craignait que vous ne pensiez pas que c’était une bonne idĂ©e qu’il vienne


R : Pourquoi penserions-nous cela ?

Q : Je sais
 mais avez-vous un commentaire à faire ?

R : Ce serait une bonne chose.

Q : Autre chose ce soir ?

R : Non. Bonne nuit.

Fin de la séance
 
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Merci à toute l'équipe pour la traduction de cette époustouflante séance ! :-)

@Jacques, quelques coquilles :

avec vos autres qualités expérientielles, telles que vos sensations et vos sentiments,

R : Cela fait partie du plan de cours (de ou en ?)

Q : Donc, ce qui est, EST, et nous ne souffrons qu’exactement autant qu'il nous faut pour apprendre
? C’est cela ? (saut à la ligne à corriger)

R : Il y a plus que cela mais, Ă  ce stade, vous seriez incapable de le comprendre.
 
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