Thanks to the members of the French translation group who have just translated that session.
Please post your comments in the original session: Session 21 November 1998
Merci aux membres de lâĂ©quipe française pour cette traduction.
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Date de la séance : 21 novembre 1998
Laura, Ark, Frank
Q : Bonsoir.
R : Bonsoir.
Q : Et qui est avec nous ce soir ?
R : Mohnah.
Q : Et dâoĂč transmettez-vous ?
R : Cassiopée.
Q : Dâaccord, nous avons un certain nombre de questions⊠Nous avons ce document Ă©crit par Henry P. Stapp⊠Mais je nâarrive pas Ă trouver la premiĂšre pageâŠ
R : Je vous suggĂšre dâĂȘtre plus vigilant dans vos efforts pour trouver la page 1. (Pause pendant que la page est trouvĂ©e)
Q : Dâaccord, Henry Stapp dit au dĂ©but de ce proto-livre : « Ce livre parle de vous. Il traite de votre essence : ce que vous ĂȘtes, et comment vous ĂȘtes connectĂ©s Ă ce que vous nâĂȘtes pas. Il est important que vous le sachiez, car vos croyances sur vous-mĂȘme et votre lien avec âlâautreâ sont en fin de compte Ă la base de toutes les dĂ©cisions que vous prenez dans votre vie. [âŠ]Vous pensez peut-ĂȘtre savoir ce que vous ĂȘtes. On vous a peut-ĂȘtre appris que vous ĂȘtes un gigantesque paquet de cellules, chaque cellule Ă©tant un arrangement complexe dâatomes reliĂ©s les uns aux autres par des lois mĂ©caniques simples. Ainsi, vous pouvez imaginer que la science vous a montrĂ© que vous ĂȘtes, au fond, une machine gĂ©ante : un Ă©norme dispositif mĂ©canique, avançant de maniĂšre totalement prĂ©visible, rĂ©gi, en principe, par les interactions mĂ©caniques de ses minuscules piĂšces [âŠ] Mais quâen est-il de vos pensĂ©es, de vos espoirs, de vos aspirations, de vos idĂ©es ? Quelle est leur place ? Il est certain quâelles constituent une part importante de votre personne. En effet, avec vos autres qualitĂ©s expĂ©rientielles, telles que vos sensations et vos sentiments, ils constituent votre essence. Votre moi "matĂ©riel" est important pour vous en tant que porteur de votre moi expĂ©rientiel et en tant que lien entre votre moi expĂ©rientiel et le reste de la nature. Mais comment ce moi matĂ©riel sâarticule-t-il avec votre moi expĂ©rientiel ? [âŠ] Que nous dit la science sur ce lien ? [âŠ] Curieusement, le consensus de lâopinion scientifique sur cette question fondamentale du lien entre notre moi matĂ©riel et notre moi expĂ©rientiel repose sur une thĂ©orie qui a rĂ©gnĂ© de lâĂ©poque dâIsaac Newton jusquâau dĂ©but de ce siĂšcle, mais qui a Ă©tĂ© remplacĂ©e il y a environ soixante-dix ans par une thĂ©orie qui en diffĂšre, fondamentalement, prĂ©cisĂ©ment sur cette question de la relation entre notre moi matĂ©riel et notre moi expĂ©rientiel. [âŠ] Selon la thĂ©orie prĂ©cĂ©dente, tout grand systĂšme, y compris lâunivers entier, change essentiellement de la mĂȘme maniĂšre quâune horloge mĂ©canique : les mouvements Ă grande Ă©chelle sont entiĂšrement dĂ©terminĂ©s par les interactions mĂ©caniques locales entre ses minuscules parties matĂ©rielles. Les expĂ©riences de chacun nâont, fondamentalement, rien Ă voir avec cela. [âŠ] Mais la thĂ©orie physique contemporaine de base, la thĂ©orie quantique, si elle est prise au sĂ©rieux, dit exactement le contraire : elle dit que nos connaissances expĂ©rimentales sont les unitĂ©s dynamiques de base, et que ce qui avait Ă©tĂ© compris auparavant comme des particules matĂ©rielles qui pouvaient exister indĂ©pendamment des connaissances, doit ĂȘtre remplacĂ© par une structure porteuse de connaissances. Cette structure transforme les connaissances créées par les connaissances antĂ©rieures en Ă©lĂ©ments constitutifs des connaissances ultĂ©rieures. Ainsi, au lieu que ce soient de minuscules atomes qui se contrĂŽlent les uns les autres, et donc toutes les connaissances, ce sont plutĂŽt les connaissances qui sont les unitĂ©s irrĂ©ductibles de base : elles entrent en tant quâunitĂ©s entiĂšres dans une structure dynamique qui fait progresser les faits fixĂ©s par les connaissances passĂ©es pour produire les possibilitĂ©s de connaissances futures ».
Si je comprends bien ce quâil dit, il remplace « lâancienne horloge » par une autre « horloge ». Il dit que câest ce que dit la thĂ©orie quantique, que toutes les unitĂ©s fondamentales de la physique quantique sont des « connaissances », que ce sont les unitĂ©s irrĂ©ductibles de base. Pouvez-vous commenter cette idĂ©e ?
R : Comment pensez-vous quâil puisse en ĂȘtre ainsi ?
Q : Câest ce que je vous demande. Câest ce quâil dit que la thĂ©orie quantique dit.
R : Comment faire entrer le proverbial carré dans le trou rond ?
Q : Sâil vous plaĂźt, ne soyez pas trop Ă©nigmatique avec nous ce soir, car nous sommes vraiment dĂ©sespĂ©rĂ©s et nous nous sommes Ă©puisĂ©s Ă la tĂąche !
R : Le dĂ©sespoir nâest ni nĂ©cessaire, ni utile.
Q : Eh bien, nous avons lu et rĂ©flĂ©chi, nous avons passĂ© en revue les sĂ©ances, nous en avons discutĂ© et nous nâavons pas trouvĂ© de conclusion satisfaisante. Stapp dit que la fonction dâonde reprĂ©sente notre connaissance du systĂšme et que les paquets dâondes rĂ©duits sont une connaissance plus prĂ©cise aprĂšs mesure. La question est de savoir sâil y a plus que NOTRE connaissance et ce qui est au-delĂ âŠ
R : La question est la suivante : la connaissance est-elle physique ? Peut-on la rendre physique ? La physique nâest-elle pas lâĂ©tude de ce qui est physique ?
Q : Dâaccord, la connaissance peut-elle ĂȘtre matĂ©rialisĂ©e ?
R : Non.
Q : (A) La connaissance peut-elle ĂȘtre convertie en mathĂ©matiques ?
R : Oui. Comme nous lâavons indiquĂ©, les mathĂ©matiques servent de pont entre ce qui est physique et ce qui ne lâest pas.
Q : Stapp cite Heisenberg qui dit : « la clartĂ© transparente dâune mathĂ©matique qui reprĂ©sente non plus le comportement des particules mais notre connaissance de ce comportement ». Cette affirmation peut-elle ĂȘtre correcte en ce qui concerne la physique quantique ?
R : Mais il nây a pas dâ« unitĂ©s » de connaissance.
Q : Il dit : « Il est certain que notre connaissance peut changer soudainement, et que ce fait justifie lâutilisation du terme âsaut quantiqueâ ». Un changement soudain dans la connaissance est-il Ă©quivalent Ă un saut quantique ?
R : Quelle est la définition de « quantique » ?
Q : (L) Une mesure ? Une quantification ? (R) Quand nous disons « saut quantique », nous entendons un saut typique des phĂ©nomĂšnes quantiques, comme la manipulation de particules, le saut dâun Ă©lectron dâune orbite Ă une autre⊠tout ce qui change rapidement et pour lequel nous nâavons pas de description mĂ©canique parce que nous ne comprenons pas ce quâil y a entre les deux, comment ce saut se produit. Un changement soudain de valeur, dâĂ©tat ou autre⊠la dĂ©sintĂ©gration dâune particule⊠(L) Donc, Stapp dit : « Ă Solvay, les physiciens, entre tous, avaient trouvĂ© une solution rationnelle, basĂ©e sur des preuves empiriques, dans laquelle toutes les rĂ©gularitĂ©s observĂ©es de la nature qui avaient Ă©tĂ© prĂ©cĂ©demment attribuĂ©es Ă la matiĂšre, Ă©taient prĂ©sentes sans quâil y ait quoi que ce soit qui ressemble Ă de la matiĂšre ordinaire. La structure mathĂ©matique nĂ©cessaire pour rendre compte des rĂ©gularitĂ©s classiques de la nature, ainsi que de toutes les rĂ©gularitĂ©s nouvellement dĂ©couvertes dont lâexistence ne pouvait ĂȘtre conciliĂ©e avec la conception classique de la matiĂšre, est nĂ©e des propriĂ©tĂ©s mathĂ©matiques des connaissances elles-mĂȘmes ! »
R : Des propriĂ©tĂ©s mathĂ©matiques ? Oui. Mais quand on commence Ă travailler Ă partir dâune prĂ©misse erronĂ©e, oĂč cela peut-il nous faire « dĂ©barquer » ?
Q : (A) Quelle prémisse erronée ?
R : La prémisse que vous citez.
Q : (L) Il dit : La thĂ©orie quantique orthodoxe est pragmatique : câest un outil pratique basĂ© sur les connaissances humaines.
R : Dans un sens, peut-ĂȘtre.
Q : (L) Câest ici quâil attaque : « La formulation est Ă nouveau subtile et confirme la thĂšse selon laquelle la structure mathĂ©matique de la thĂ©orie quantique concerne notre connaissance. Mais elle apaise les intuitions des physiciens en parlant dâĂ©vĂ©nements extĂ©rieurs Ă lâappareil qui ne sont vraisemblablement pas contrĂŽlĂ©s par des observateurs ou des observations humaines. Mais la structure mathĂ©matique de la thĂ©orie ne dĂ©crit pas ces Ă©vĂ©nements physiques externes eux-mĂȘmes en termes microphysiques : la structure mathĂ©matique est liĂ©e Ă nos descriptions, essentiellement en langage courant, des expĂ©riences humaines que nous imaginons normalement ĂȘtre causĂ©es par des âĂ©vĂ©nements extĂ©rieursâ ». Ma question est la suivante : y a-t-il des Ă©vĂ©nements « lĂ -dehors » ?
R : Oui.
Q : Quâest-ce que la physique quantique dĂ©crit ?
R : Câest vague.
Q : Bien sĂ»r, je sais que câest vague. Stapp dit : « Dâun autre cĂŽtĂ©, on suggĂšre quâil y a vraiment des Ă©vĂ©nements qui se produisent âlĂ -basâ, que nous observons, et qui ne tirent pas leur existence de lâobservation que nous en faisons ». Existe-t-il des Ă©vĂ©nements lĂ -bas que nous observons et qui ne tirent pas leur existence de notre observation ?
R : Oui.
Q : Les événements là -bas qui existent tirent leur existence de quoi ?
R : De leur ĂȘtre.
Q : Quâest-ce qui est Ă la racine de leur ĂȘtre et qui rend leur ĂȘtre diffĂ©rent du nĂŽtre ?
R : Câest un concept complĂštement erronĂ©.
Q : Quel est le concept correct ?
R : Tout est un et un est tout.
Q : Eh bien, cela ne nous aide pas. Câest ce quâil dit ! Il dit que tout nâest que « connaissances ».
R : Non !
Q : Sommes-nous en interaction avec quelque chose qui se trouve Ă lâextĂ©rieur ?
R : Bien sĂ»r, mais ce nâest pas seulement « lĂ -bas ».
Q : Donc, Stapp dit : « Jâappelle lâidĂ©e que le formalisme concerne directement les âĂ©vĂ©nements physiques Ă lâextĂ©rieur des appareilsâ, lâInterprĂ©tation vulgaire de Copenhague. Elle est vulgaire en ce sens quâelle est grossiĂšre, comme je viens de le dire, et quâelle est courante. [âŠ] Cette interprĂ©tation vulgaire est courante parmi les physiciens quantiques en exercice ». Et il semble quâil sâadresse particuliĂšrement Ă Ark, puisquâArk est lâun des crĂ©ateurs de ce que Henry appelle ici lâ« InterprĂ©tation grossiĂšre de Copenhague ».
R : EtâŠ
Q : Il ajoute : « En physique classique, cette distinction est bien sĂ»r prĂ©sente, mais une fois quâelle a Ă©tĂ© dĂ»ment notĂ©e, elle nâest pas trĂšs importante. Dans la thĂ©orie quantique orthodoxe, cette distinction est cruciale. [...] Mon but est essentiellement de rĂ©concilier lâidĂ©e des fondateurs de la thĂ©orie quantique selon laquelle le formalisme mathĂ©matique de la thĂ©orie quantique concerne la connaissance avec lâexigence dâEinstein selon laquelle notre thĂ©orie physique de base concerne la nature ». Quâest-ce que la nature et pourquoi existe-t-elle ?
R : Elle nâest pas « lĂ -bas ». Pourquoi restez-vous bloquĂ© sur ce point ?
Q : Jâessaie de comprendre cela. Il dit : « Bien sĂ»r, repousser la frontiĂšre jusquâĂ lâesprit intĂšgre lâesprit dans notre thĂ©orie de la nature. Mais pourquoi diable devrions-nous essayer de garder lâesprit Ă lâĂ©cart â confinĂ©, ignorĂ© et isolĂ© du monde physique â alors que nous savons quâil est prĂ©sent et apparemment efficace, en particulier lorsque la lutte intense des physiciens pour trouver un moyen rationnel de rendre compte des phĂ©nomĂšnes observĂ©s les a conduits Ă la conclusion que la maniĂšre rationnelle de formuler une thĂ©orie qui rende compte de nos expĂ©riences relatives liĂ©es Ă la ârĂ©alitĂ© physiqueâ prend la forme dâune thĂ©orie sur les connaissances, et non pas dâune thĂ©orie sur la matiĂšre. [âŠ] Compte tenu de lâĂ©chec de notre effort de soixante-dix ans pour exclure lâesprit de notre thĂ©orie de la nature, je suggĂšre que notre objectif rationnel ne devrait pas ĂȘtre de ressusciter la matiĂšre moribonde, dont nous sommes bien dĂ©barrassĂ©s, en raison des deux millĂ©naires de perplexitĂ© philosophique quâelle a engendrĂ©s. Nous devons plutĂŽt apprendre Ă mieux comprendre les connaissances, dans leur habitat naturel, la structure mathĂ©matique du formalisme quantique qui sâaccorde avec nos expĂ©riences plutĂŽt que de les contredire de maniĂšre flagrante ».
(A) En ce qui concerne cette derniĂšre phrase, Stapp absolutise la thĂ©orie quantique et pense que le formalisme mathĂ©matique quantique est suffisant pour dĂ©crire la connaissance. Jâen doute, car la thĂ©orie quantique est une thĂ©orie trĂšs simple, et pour dĂ©crire mathĂ©matiquement la connaissance, je crois quâil faut aller au-delĂ du formalisme quantique.
R : « Connaissances » implique des unitĂ©s physiques mesurables. Ce nâest pas le cas ! La connaissance nâest pas physique, donc constante.
Q : (L) Câest en quelque sorte son point de vue. Il dit que rien nâexiste vraiment Ă part les connaissancesâŠ
R : Non.
Q : (A) Jâai un problĂšme ici. Vous dites que la connaissance nâest pas physique. Je mâen fiche, pour lâinstant, de ce quâest la dĂ©finition de physique ou de non-physique. La question pour moi est de savoir sâil existe un cadre mathĂ©matique qui dĂ©crit en mĂȘme temps une sorte de thĂ©orie unifiĂ©e, qui dĂ©crit Ă la fois les atomes ET la connaissance. Peut-on penser Ă une telle⊠si cela peut-elle ĂȘtre dĂ©crit par un formalisme mathĂ©matique qui prendra en compte LES DEUX ?
R : Eh bien, la question de savoir si la connaissance peut ĂȘtre quantifiĂ©e ou non se pose. Mais pour comprendre le concept, il faut rĂ©organiser sa pensĂ©e mathĂ©matique pour lâadapter au domaine non physique. Les atomes reprĂ©sentent la mesure fondamentale de la rĂ©alitĂ© matĂ©rielle ou physique. Il est possible de faire le lien entre les deux, mais pas de les combiner.
Q : (L) La thĂ©orie quantique telle quâelle se prĂ©sente actuellement concerne-t-elle les connaissances ou les unitĂ©s physiques ?
R : Câest une question de mesures.
Q : La physique quantique, telle quâelle est, dĂ©crit-elle la matiĂšre ?
R : Câest passer Ă cĂŽtĂ© de la question. Pourquoi a-t-on besoin de matiĂšre pour mesurer ?
Q : Eh bien, câest ce que nous voulons dire. Il dit que tout ce qui existe est lâesprit, que vous connaissez des choses, et que lâunivers entier est une illusion de vos connaissances, de sorte que vos perceptions des perceptions sont ces connaissances, et que lâunivers change constamment sur la base de ces connaissances, et que tout ce qui change rĂ©ellement, ce sont vos connaissances et vous percevez que vos connaissances changent, et câest lĂ toute lâaffaire. Il dit queâŠ
R : Il nây a pas de « connaissances !!!!!!! »
Q : LâidĂ©e de Stapp selon laquelle la physique quantique est une mesure des connaissances est donc complĂštementâŠ
R : Fausse !
Q : (A) Il y a une autre question, parce quâil absolutise la physique quantique, et il ne lui vient mĂȘme pas Ă lâesprit quâil y a peut-ĂȘtre une meilleure thĂ©orie que la thĂ©orie quantique qui dĂ©crit plus que de simples mesures, et qui est un peu dans la ligne de la thĂ©orie du champ unifiĂ© dâEinstein, ou quelque chose comme ça. Il considĂšre que la thĂ©orie quantique telle que nous la connaissons, que son formalisme mathĂ©matique, est le dernier mot et que nous nâirons jamais au-delĂ .
R : Câest faux, Ă©videmment.
Q : (A) Le fait est, bien sĂ»r, que personne jusquâĂ maintenant nâa trouvĂ© une meilleure thĂ©orie.
R : Mais « maintenant » nâest que le dĂ©but.
Q : (A) Revenons au concept dâĂ©vĂ©nements. Vous avez dit que les Ă©vĂ©nements existent. Est-il vrai que chaque Ă©vĂ©nement est une scission de lâunivers, ou une ramification de lâunivers ?
R : Les événements prennent de nombreuses formes.
Q : (A) Lorsque des Ă©vĂ©nements se produisent, cela signifie quâune chose particuliĂšre a Ă©tĂ© choisie parmi de nombreuses choses possibles, ou y a-t-il dâautres Ă©vĂ©nements ? Pour moi, un Ă©vĂ©nement se produit lorsque, parmi de nombreuses choses possibles, lâune dâentre elles est choisie. Quelles sont les autres formes possibles ? Pouvons-nous avoir des exemples ?
R : Des Ă©vĂ©nements peuvent se produire sans quâon le sache.
Q : (A) Quâest-ce qui caractĂ©rise les Ă©vĂ©nements qui impliquent des ramifications dâunivers ? Est-ce que, pour cet Ă©vĂ©nement particulier, la conscience doit participer ?
R : Il y a un point critique qui coĂŻncide avec une dĂ©charge dâĂ©nergie.
Q : (A) Y a-t-il un point critique dans tout Ă©vĂ©nement ou dans ce type particulier dâĂ©vĂ©nement de ramification ?
R : Le dernier.
Q : (L) Cela signifie-t-il quâun Ă©vĂ©nement de ramification doit ĂȘtre liĂ© dâune maniĂšre ou dâune autre Ă la conscience ou Ă lâobservation ?
R : Non.
Q : (L) DâoĂč vient lâĂ©nergie ?
R : La conscience est dâun cĂŽtĂ©, et quâest-ce qui est de lâautre ?
Q : (L) Quâest-ce qui EST de lâautre cĂŽtĂ© ? La matiĂšre ?
R : Nous avons donné un indice.
Q : (L) LâĂ©nergie ?
R : Plus proche.
Q : (A) Dâaccord, permettez-moi de poser une question un peu plus technique. Dans cette thĂ©orie sur laquelle je suis censĂ© Ă©crire cet article, nous faisons une sorte dâunion entre la thĂ©orie quantique standard et quelque chose dâautre qui nâest pas dĂ©crit par une fonction dâonde, qui est censĂ©e exister objectivement. Mais il sâagit dâun modĂšle mathĂ©matique. La question est la suivante : en rĂ©alitĂ©, quâest-ce qui existe vraiment ? Quelles sont les choses qui existent vraiment ?
R : La gravitĂ© est la clĂ©. Maintenant, introduisez vos fonctions dâonde.
Q : (L) Comment peut-on décrire mathématiquement la gravité ?
R : Cela doit ĂȘtre possible ! Revoir les textes sur la gravitĂ©.
Q : (L) Nous lâavons fait⊠et soit nous sommes si denses, soit nous ne comprenons pasâŠ
R : Pas denses, émotionnellement troublés. Quand on est sur la défensive, tout est « faussé », y compris ce conduit.
Q : (L) Donc, ce quâil y a de lâautre cĂŽtĂ©, câest la conscience et la gravitĂ© ?
R : Non, il faut revoir les textes et méditer pour débarrasser la conscience du poison émotionnel !
Q : (L) Quelle est la source de ce poison émotionnel ? Notre réaction à ce document ?
R : Oui. Attaque, attaque. Une pause sâimpose !
Q : (A) Qui a besoin dâune pause ? (L) Maintenant ?
R : Oui.
(Pause)
Q : (L) Dâaccord, Stapp dit : « Nos idĂ©es sur la matiĂšre et lâĂ©nergie garantissent quâaucune matiĂšre, ou substance porteuse dâĂ©nergie, ne peut voyager plus vite que la lumiĂšre. Ainsi, ce rĂ©sultat plus rapide que la lumiĂšre montre que la rĂ©alitĂ© ne peut certainement pas ĂȘtre faite de âmatiĂšreâ ou de toute forme dâĂ©nergie, telle quâelle est normalement conçue. [âŠ] Comment la thĂ©orie quantique orthodoxe fait-elle face Ă ce problĂšme ? [âŠ] Elle essaie de dire quâil nây a pas de problĂšme, parce que la fonction dâonde ne reprĂ©sente que notre connaissance. [âŠ] LâidĂ©e est la suivante. Supposons que vous sachiez que les parties proches et Ă©loignĂ©es dâun systĂšme physique sont fortement corrĂ©lĂ©es. Dans ce cas, votre nouvelle connaissance dâune partie proche peut souvent vous donner une connaissance immĂ©diate dâune partie Ă©loignĂ©e, sans que cette partie Ă©loignĂ©e ne soit physiquement affectĂ©e par votre acte de regarder la partie proche. Ainsi, le fait de voir quâune extrĂ©mitĂ© de lâaiguille dâune boussole pointe vers le nord peut immĂ©diatement vous indiquer que lâautre extrĂ©mitĂ© pointe vers le sud, sans que vos actions aient le moindre effet physique immĂ©diat sur lâextrĂ©mitĂ© sud. [âŠ] Les connexions plus rapides que la lumiĂšre dans le domaine des connaissances sont donc considĂ©rĂ©es comme non problĂ©matiques. [âŠ] Cet argument est basĂ© sur lâidĂ©e normale que ces connaissances sont des connaissances sur des choses physiques. Lâeffet plus rapide que la lumiĂšre dans le domaine de la connaissance nâimplique manifestement aucun effet de ce type dans la rĂ©alitĂ© physique extĂ©rieure. Par consĂ©quent, cet effet dans le domaine de la connaissance est considĂ©rĂ© comme non physique : il nâest pas physiquement rĂ©el [âŠ] Mais si lâon devait prendre la connaissance elle-mĂȘme comme rĂ©alitĂ© de base, il pourrait y avoir un problĂšme, car il nây aurait pas dâautre rĂ©alitĂ© âphysiqueâ sur laquelle fonder lâaffirmation selon laquelle lâeffet plus rapide que la lumiĂšre dans le domaine de la connaissance nâest âpas physiquement rĂ©elâ. Un tel embarras pourrait survenir si lâon interprĂ©tait littĂ©ralement la thĂ©orie quantique comme une description dâune rĂ©alitĂ© basĂ©e sur la connaissance, plutĂŽt que sur la matiĂšre. [âŠ] Mais Heisenberg et Bohr ont contournĂ© cet embarras en ne prenant pas la thĂ©orie quantique au sĂ©rieux, câest-Ă -dire en rejetant lâidĂ©e que le formalisme mathĂ©matique basĂ© sur la connaissance dĂ©crit une rĂ©alitĂ© correspondante basĂ©e sur la connaissance. Ainsi, lorsque Heisenberg dĂ©crit âce qui se passe ârĂ©ellementâ dans un Ă©vĂ©nement atomiqueâ, il parle des Ă©vĂ©nements qui se produisent au niveau de lâappareil de mesure et valide ainsi lâidĂ©e normale selon laquelle la âconnaissanceâ dont traite le formalisme est, normalement, une connaissance des Ă©vĂ©nements physiques. Les connaissances ne doivent pas, selon le point de vue orthodoxe, ĂȘtre considĂ©rĂ©es comme les rĂ©alitĂ©s fondamentales, mĂȘme si elles sont les rĂ©alitĂ©s sur lesquelles le formalisme est basĂ©. [âŠ] Il y a donc deux raisons puissantes dâaffirmer que le formalisme quantique ne donne pas une description de la rĂ©alitĂ© elle-mĂȘme. La premiĂšre est que cette dĂ©marche permet de prĂ©server nos intuitions de bon sens selon lesquelles il y a quelque chose âlĂ -dehorsâ ; la seconde est quâelle nous Ă©vite apparemment dâavoir Ă admettre quâil existe de vĂ©ritables effets plus rapides que la lumiĂšre ».
(A) Jâaimerais savoir qui paie ce Stapp et pourquoi ?
R : Ceux qui sâopposent Ă la rĂ©vĂ©lation de la vĂ©ritĂ© sont au « cĆur ».
Q : (L) Avons-nous suffisamment parlé de Stapp ?
R : Oui.
Q : Sujet suivant : Mike (membre du groupe de discussion) a envoyĂ© quelques questions complĂ©mentaires. Sa premiĂšre question est la suivante : Le mystĂšre qui entoure Rennes-le-ChĂąteau a-t-il un rapport avec ce quâHenry Lincoln dĂ©crit comme le « Temple », qui est un ancien mĂ©galitheâŠ
R : Non.
Q : (M) Il dit : Jâai eu trois expĂ©riences avec des extraterrestres, qui mâont gentiment fourni des sortes de perles de silicone. Sâagissait-il dâenlĂšvements physiques ou de simples projections ?
R : Lâun engendre lâautre. Une projection implique une remolĂ©cularisation atomique transdimensionnelle.
Q : (M) Quand et oĂč a eu lieu la derniĂšre expĂ©rience ?
R : En avril et en Ă©tat de sommeil. Il y a une fenĂȘtre qui donne sur une prairie en pente. Des arbres fruitiers, peut-ĂȘtre des pommiers, se trouvent Ă proximitĂ©.
Q : (L) Pourquoi avez-vous parlĂ© de cette fenĂȘtre, de cette prairie et de ces arbres fruitiers ? Est-ce la fenĂȘtre par laquelle cela sâest produit ?
R : Laissez les choses se dérouler.
Q : (M) Les billes de silicone apparaĂźtront-elles Ă la radiographie ?
R : Non.
Q : (M) Dans le rĂȘve sur le « dispositif de communication », sâagissait-il dâun souvenir dâune expĂ©rience antĂ©rieure ou dâune expĂ©rience rĂ©elle qui sâest produite cette nuit-lĂ ?
R : Un reflet.
Q : (M) En ce qui concerne la vision Ă distance et les alignements chimiques/magnĂ©tiques qui amĂ©liorent les capacitĂ©s psychiques, cela peut-il ĂȘtre induit artificiellement par des champs magnĂ©tiques appliquĂ©s localement ?
R : Dangereux dâexpĂ©rimenter avec cela. Comme Franklin et ses cerfs-volants.
Q : (M) Mon ami Marc a fait un rĂȘve il y a quelques nuits qui, selon lui, est liĂ© au prĂ©cĂ©dent. Il a Ă©tĂ© frappĂ© Ă la tĂȘte par un 2X4 brandi par un enfant, ce qui lâa immĂ©diatement rĂ©veillĂ©. Il a aperçu un mouvement du coin de lâĆil lorsquâil sâest rĂ©veillĂ©. Quel Ă©tait lâobjet ou la crĂ©ature en mouvement ?
R : De lâĂ©nergie dâinterdensitĂ©.
Q : (M) Ătait-ce liĂ©, dâune maniĂšre ou dâune autre, aux implants et aux rencontres avec des extraterrestres ?
R : Indirectement.
Q : (M) Ătait-ce important ?
R : Tout lâest.
Q : (M) La source des livres « Conversations avec Dieu » est-elle fiable et exacte ?
R : En partie seulement.
Q : (L) OK, jâai reçu le livre « Robot's Rebellion » et jâespĂ©rais que ce serait quelque chose dâutile, et il dit ici : « Tout comme le soleil est lâesprit qui guide le systĂšme solaire, lâesprit galactique guide la galaxie et lâesprit universel guide lâunivers. La Source est lâesprit qui guide toute la crĂ©ation. LâactivitĂ© des taches solaires est liĂ©e Ă ce flux dâĂ©nergie du soleil vers le systĂšme solaire, et indique les moments oĂč ce flux est le plus puissant. » Les taches solaires indiquent-elles que le flux dâinformations est au plus fort ?
R : Peut-ĂȘtre.
Q : Puis ce David Icke dit : « La conscience dĂ©sĂ©quilibrĂ©e que jâappellerai Lucifer nâest pas une partie essentielle de lâĂ©quilibre positif/nĂ©gatif. Il est un aspect perturbateur et disharmonieux de la conscience, qui nâest pas nĂ©cessaire Ă lâĂ©volution humaine. Plus encore, les efforts de Lucifer pour fermer les canaux qui relient lâhumanitĂ© Ă sa comprĂ©hension supĂ©rieure ont bloquĂ© notre Ă©volution, au lieu de la faire progresser. » Est-ce une Ă©valuation correcte de cette conscience lucifĂ©rienne, quâelle ne fait pas partie de lâĂ©quilibre positif/nĂ©gatif de lâunivers, et quâelle a bloquĂ© notre Ă©volution ?
R : Non.
Q : Pouvez-vous nous parler de la conscience lucifĂ©rienne et du rĂŽle quâelle peut jouer dans notre Ă©volution et notre rĂ©alitĂ© ?
R : Cela fait partie du plan de cours.
Q : Câest aussi ce que je pensais, mais il dit quâĂ cause de ce problĂšme de la conscience lucifĂ©rienne, les « niveaux supĂ©rieurs de la crĂ©ation ont commencĂ© Ă intervenir parce que Lucifer imposait ses malentendus aux autres et violait la loi universelle du libre arbitre ». Est-ce vrai ?
R : Non.
Q : Jâai lu Ă propos de cette « dĂ©cision dâintercĂ©der » par des niveaux supĂ©rieurs de conscience qui regardent lâhumanitĂ© de haut et se dĂ©solent de nos terribles souffrances, et que dâune maniĂšre ou dâune autre, si quelque chose nâest pas fait, lâunivers entier sera envahi par ce mal⊠il faut donc « lâarrĂȘter ». Un certain nombre de sources promeuvent cette idĂ©e, ce qui conduit gĂ©nĂ©ralement Ă affirmer que tel ou tel groupe dâextraterrestres fait partie des « bons » ou des « mĂ©chants », ou autre. Ces idĂ©es sont-elles exactes ?
R : Non.
Q : Donc, ce qui est, EST, et nous ne souffrons quâexactement autant qu'il nous faut pour apprendre ? Câest cela ?
R : Il y a plus que cela, mais Ă ce stade, vous seriez incapable de le comprendre.
Q : Icke dit que « cette conscience luciférienne est un grand aspect de la conscience divine qui a choisi de travailler contre la Source ». Est-ce vrai ?
R : Pas vraiment.
Q : Eh bien, il SEMBLE que la conscience lucifĂ©rienne travaille contre la Source. Si ce nâest pas le cas, que fait-elle ?
R : Elle rééquilibre lĂ oĂč câest nĂ©cessaire.
Q : Il dit : « Dâautres volontaires, des aspects dâune conscience trĂšs Ă©voluĂ©e, sont venus dans lâunivers et dans cette galaxie dans le but de rĂ©tablir lâharmonie. Ils ne se sont pas incarnĂ©s dans des corps physiques sur la terre, ils sont arrivĂ©s dans des vaisseaux spatiaux, dont certains mesuraient des kilomĂštres de long, tandis que dâautres se sont simplement manifestĂ©s ici. Ce sont des extraterrestres qui sont venus apporter la connaissance Ă cette planĂšte il y a des centaines de milliers dâannĂ©es ». Est-ce vrai ? Oui ou non ?
R : Ni lâun ni lâautre. [Le tĂ©lĂ©phone sonne et BRH se joint Ă la sĂ©ance]
Q : (BRH) Y a-t-il quelque chose que je devrais savoir Ă ce stade sur Kim par rapport Ă moi ?
R : Vague !
Q : (BRH) Dois-je poursuivre cela ?
R : Il ne comprend pas encore. Il nây a que des leçons.
Q : (BRH) Câest dâun vague ! (L) Câest le reflet de lâimprĂ©cision de ta question.
R : Vague Ă lâintĂ©rieur, vague Ă lâextĂ©rieur !
Q : (BRH) Dâaccord, jâaime bien Kim et jâenvisage de poursuivre une relation avec elle.
R : Certains aiment danser du feu Ă la poĂȘle Ă frire, dâautres non. Mais Ă quoi servirait une leçon si elle ne contenait pas le potentiel dâapprentissage ?
Q : (L) Je suppose que je dirais que tu dois suivre ton instinct et ne pas laisser lâĂ©motion prendre le dessus. Câest lâun des principaux facteurs qui jouent en notre dĂ©faveurâŠ
R : à ce stade, le curseur émotionnel est sur « élevé ».
Q : (L) La plupart des Ă©motions humaines ne sont pas, comme certains le pensent, de lâordre de lâĂąme ; elles sont chimiques. Et ces substances chimiques peuvent ĂȘtre stimulĂ©es pour activer ou dĂ©sactiver les Ă©motions â comme en tĂ©moignent de nombreuses femmes qui souffrent du syndrome prĂ©menstruel. Toutes sortes dâondes et de frĂ©quences autour de nous, y compris celles Ă©manant dâautres personnes, peuvent activer et dĂ©sactiver ces substances chimiques. Câest ce qui se passe lorsque les « hameçons » sâintroduisent dans votre chair Ă partir de la proximitĂ©. Lorsque vous rencontrez une nouvelle personne, la mĂȘme chose peut se reproduire de maniĂšre trĂšs puissante et, bien sĂ»r, en raison de lâeffet euphorisant dâune nouvelle sĂ©rie de stimuli, cela vous fait penser que « oh, câest DIFFĂRENT ! Câest lâĂME ! Je peux vous assurer que si ce qui se passe entre deux personnes est dĂ» Ă la prĂ©sence physique de lâautre personne SEULE, mĂ©fiez-vous ! Ce savoir est durement acquis, croyez-moi.
R : Si Devin a des questions, pourquoi ne pas lui permettre de les poser ?
Q : (L) Dâaccord, je me tais. (BRH) Jâai lâimpression que le chapitre nâest pas clos dans lâaffaire Kim. Mais pour passer Ă autre chose, jâai une amie nommĂ©e Lisa sur le net qui me demande de lâaide. Elle ne sait pas si elle est en train de perdre la tĂȘte ou quoi, et je lui ai dit que jâessaierai de faire ce que je peux. La question quâelle pose est donc la suivante : « Est-ce que je perds la tĂȘte ou quoi ?
R : Ou quoi.
Q : (BRH) Un conseil quelconque ?
R : Comme pour tous les autres, qui se mettent dans le pĂ©trin lorsque nous supposons dâabord, puis lorsque nous essayons de recueillir des donnĂ©es pour Ă©tayer nos suppositions.
Q : (L) Je suppose que ce quâils lui disent, câest quâelle a fait une supposition et quâelle essaie de recueillir des donnĂ©es pourâŠ
R : Aucun commentaire nâest nĂ©cessaire, Ă moins que vous ne souhaitiez risquer de dĂ©truire la valeur du message !
[Le chien commence Ă aboyer]
Q : (BRH) La derniĂšre fois, vous avez essayĂ© de mâinciter vers des questions sur la carriĂšre et la famille, et je ne lâai pas vu ou compris Ă ce moment-lĂ parce que je pensais plus en termes dâemploi. Je ne pense pas avoir profitĂ© de lâoccasion pour approfondir suffisamment ces questions. Jâaimerais donc savoir si vous avez dâautres commentaires Ă me faire sur les questions de carriĂšre et de famille ?
R : Seulement si des questions spécifiques sont posées.
Q : (BRH) Jâai envisagĂ© de tout abandonner et dâĂ©crire un livre. Avez-vous des conseils Ă me donner Ă ce sujet ?
R : Nous pensons que câest une bonne idĂ©e !
Q : (L) [Remarques sur Tom French, journaliste qui Ă©crit sur le groupe des CassiopĂ©ens et qui vient de recevoir le prix Pulitzer]. Donc, sâil arrive Ă publier la partie sur ce sujet, je suppose que nous serons Ă peu prĂšs le seul groupe de channeling Ă avoir fait lâobjet dâune enquĂȘte de la part dâun laurĂ©at du prix Pulitzer !
R : Oh lĂ lĂ , oh lĂ !
Q : (L) Ătes-vous sarcastiques ou heureux ?
R : Les deux.
Q : (L) [Ă BRH] Eh bien, les Câs ont prĂ©dit son prix Pulitzer⊠vous savez, il a divorcĂ© aprĂšs sâĂȘtre engagĂ© avec nous, le photographe qui lui Ă©tait assignĂ© a divorcĂ©, jâai divorcé⊠ils avaient prĂ©dit les changements Ă venir dans sa vie, et il ne voulait absolument pas y croire, mais maintenant que câĂ©tait arrivĂ©, il voulait savoir ce qui allait lui arriver dâautre, et comment il allait se sentir Ă ce sujet. Les Câs lui ont donc dit quâil serait heureux Ă 100 % des changements Ă venir⊠et câest Ă peu prĂšs tout ce quâils pouvaient lui dire. Mais, aprĂšs coup, il a compris ce quâils voulaient dire. JâespĂšre que ses expĂ©riences lâinciteront Ă Ă©crire sur nous avec gentillesse⊠(BRH) JâĂ©tais trĂšs heureux dâune remarque que vous avez faite il y a plusieurs annĂ©es Ă propos de ma fille cadette, et des fruits qui ont dĂ©coulĂ© de ce commentaire. La derniĂšre fois, vous avez Ă nouveau Ă©voquĂ© ma fille cadette et fait remarquer que la sĂ©paration nâallait pas durer longtemps. Avez-vous dâautres commentaires Ă faire Ă ce sujet ?
R : Il sâagit dâune forte connexion dâĂąme. Des vies antĂ©rieures entremĂȘlĂ©es, au sens positif.
Q : (L) Je suppose que tu peux demander combien de vies antĂ©rieures vous avez eues ensemble⊠et partir de lĂ âŠ
R : Ce nâest pas important.
Q : (BRH) Quel est le but de notre relation en ce moment ?
R : Câest Ă vous de le dĂ©couvrir !
Q : (BRH) Des indices ?
R : Non.
Q : (BRH) Au moins, votre remarque dâil y a quelques annĂ©es a portĂ© des fruits Ă©tonnants. Je pensais vraiment que câĂ©tait une emmerdeuse avant, et je lâaime profondĂ©ment depuis que vous avez dit ce que vous avez dit. Il y a lĂ un lien trĂšs spĂ©cial que je ne comprends pas tout Ă faitâŠ
R : Vous comprendrez.
Q : (BRH) Merci pour rien, les gars !
R : Ce nâest pas rien, nâest-ce pas ?
Q : (BRH) Non, vous avez raison, ce nâest pas rien. Je vous remercie. Je suis conscient quâil doit y avoir un objectif global Ă ma prĂ©sence sur lâinternet. Jâai Ă©tabli un grand nombre de contacts dans un groupe extrĂȘmement diversifiĂ© de personnes, et je me sentais vraiment motivĂ© auparavant Ă fournir des donnĂ©es Ă chacun dâentre eux. Mais depuis quelque temps, je perds mon ardeur Ă le faire.
R : La perte de zĂšle dĂ©coule de lâapproche. Il vaut mieux enseigner que prĂȘcher.
Q : (BRH) Enseigner quoi ?
R : Le partage de lâinformation attire.
Q : (BRH) Au niveau cosmique, je sens quâil y a une sorte de but dans ce que jâai fait jusquâĂ prĂ©sent. Jâai construit cette structure, quâest-ce que jâen fais maintenant ? Jâai le sentiment que tout cela nâest pas arrivĂ© sans raison.
R : Laisse-le se dérouler sans anticipation.
Q : (BRH) Quel est mon but ?
R : ĂTRE !
(La conversation avec BRH est terminée).
Q : (L) Je voulais encore poser quelques questions : vous avez mentionnĂ© Jack et le haricot magique lors dâune sĂ©ance prĂ©cĂ©dente. Je suis prĂ©occupĂ©e par le fait quâil ne se passe rien pour lâinstant. Nous sommes en quelque sorte en mode pause.
R : Tout ira bien.
Q : Devin craignait que vous ne pensiez pas que câĂ©tait une bonne idĂ©e quâil vienneâŠ
R : Pourquoi penserions-nous cela ?
Q : Je sais⊠mais avez-vous un commentaire à faire ?
R : Ce serait une bonne chose.
Q : Autre chose ce soir ?
R : Non. Bonne nuit.
Fin de la séance
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Merci aux membres de lâĂ©quipe française pour cette traduction.
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Date de la séance : 21 novembre 1998
Laura, Ark, Frank
Q : Bonsoir.
R : Bonsoir.
Q : Et qui est avec nous ce soir ?
R : Mohnah.
Q : Et dâoĂč transmettez-vous ?
R : Cassiopée.
Q : Dâaccord, nous avons un certain nombre de questions⊠Nous avons ce document Ă©crit par Henry P. Stapp⊠Mais je nâarrive pas Ă trouver la premiĂšre pageâŠ
R : Je vous suggĂšre dâĂȘtre plus vigilant dans vos efforts pour trouver la page 1. (Pause pendant que la page est trouvĂ©e)
Q : Dâaccord, Henry Stapp dit au dĂ©but de ce proto-livre : « Ce livre parle de vous. Il traite de votre essence : ce que vous ĂȘtes, et comment vous ĂȘtes connectĂ©s Ă ce que vous nâĂȘtes pas. Il est important que vous le sachiez, car vos croyances sur vous-mĂȘme et votre lien avec âlâautreâ sont en fin de compte Ă la base de toutes les dĂ©cisions que vous prenez dans votre vie. [âŠ]Vous pensez peut-ĂȘtre savoir ce que vous ĂȘtes. On vous a peut-ĂȘtre appris que vous ĂȘtes un gigantesque paquet de cellules, chaque cellule Ă©tant un arrangement complexe dâatomes reliĂ©s les uns aux autres par des lois mĂ©caniques simples. Ainsi, vous pouvez imaginer que la science vous a montrĂ© que vous ĂȘtes, au fond, une machine gĂ©ante : un Ă©norme dispositif mĂ©canique, avançant de maniĂšre totalement prĂ©visible, rĂ©gi, en principe, par les interactions mĂ©caniques de ses minuscules piĂšces [âŠ] Mais quâen est-il de vos pensĂ©es, de vos espoirs, de vos aspirations, de vos idĂ©es ? Quelle est leur place ? Il est certain quâelles constituent une part importante de votre personne. En effet, avec vos autres qualitĂ©s expĂ©rientielles, telles que vos sensations et vos sentiments, ils constituent votre essence. Votre moi "matĂ©riel" est important pour vous en tant que porteur de votre moi expĂ©rientiel et en tant que lien entre votre moi expĂ©rientiel et le reste de la nature. Mais comment ce moi matĂ©riel sâarticule-t-il avec votre moi expĂ©rientiel ? [âŠ] Que nous dit la science sur ce lien ? [âŠ] Curieusement, le consensus de lâopinion scientifique sur cette question fondamentale du lien entre notre moi matĂ©riel et notre moi expĂ©rientiel repose sur une thĂ©orie qui a rĂ©gnĂ© de lâĂ©poque dâIsaac Newton jusquâau dĂ©but de ce siĂšcle, mais qui a Ă©tĂ© remplacĂ©e il y a environ soixante-dix ans par une thĂ©orie qui en diffĂšre, fondamentalement, prĂ©cisĂ©ment sur cette question de la relation entre notre moi matĂ©riel et notre moi expĂ©rientiel. [âŠ] Selon la thĂ©orie prĂ©cĂ©dente, tout grand systĂšme, y compris lâunivers entier, change essentiellement de la mĂȘme maniĂšre quâune horloge mĂ©canique : les mouvements Ă grande Ă©chelle sont entiĂšrement dĂ©terminĂ©s par les interactions mĂ©caniques locales entre ses minuscules parties matĂ©rielles. Les expĂ©riences de chacun nâont, fondamentalement, rien Ă voir avec cela. [âŠ] Mais la thĂ©orie physique contemporaine de base, la thĂ©orie quantique, si elle est prise au sĂ©rieux, dit exactement le contraire : elle dit que nos connaissances expĂ©rimentales sont les unitĂ©s dynamiques de base, et que ce qui avait Ă©tĂ© compris auparavant comme des particules matĂ©rielles qui pouvaient exister indĂ©pendamment des connaissances, doit ĂȘtre remplacĂ© par une structure porteuse de connaissances. Cette structure transforme les connaissances créées par les connaissances antĂ©rieures en Ă©lĂ©ments constitutifs des connaissances ultĂ©rieures. Ainsi, au lieu que ce soient de minuscules atomes qui se contrĂŽlent les uns les autres, et donc toutes les connaissances, ce sont plutĂŽt les connaissances qui sont les unitĂ©s irrĂ©ductibles de base : elles entrent en tant quâunitĂ©s entiĂšres dans une structure dynamique qui fait progresser les faits fixĂ©s par les connaissances passĂ©es pour produire les possibilitĂ©s de connaissances futures ».
Si je comprends bien ce quâil dit, il remplace « lâancienne horloge » par une autre « horloge ». Il dit que câest ce que dit la thĂ©orie quantique, que toutes les unitĂ©s fondamentales de la physique quantique sont des « connaissances », que ce sont les unitĂ©s irrĂ©ductibles de base. Pouvez-vous commenter cette idĂ©e ?
R : Comment pensez-vous quâil puisse en ĂȘtre ainsi ?
Q : Câest ce que je vous demande. Câest ce quâil dit que la thĂ©orie quantique dit.
R : Comment faire entrer le proverbial carré dans le trou rond ?
Q : Sâil vous plaĂźt, ne soyez pas trop Ă©nigmatique avec nous ce soir, car nous sommes vraiment dĂ©sespĂ©rĂ©s et nous nous sommes Ă©puisĂ©s Ă la tĂąche !
R : Le dĂ©sespoir nâest ni nĂ©cessaire, ni utile.
Q : Eh bien, nous avons lu et rĂ©flĂ©chi, nous avons passĂ© en revue les sĂ©ances, nous en avons discutĂ© et nous nâavons pas trouvĂ© de conclusion satisfaisante. Stapp dit que la fonction dâonde reprĂ©sente notre connaissance du systĂšme et que les paquets dâondes rĂ©duits sont une connaissance plus prĂ©cise aprĂšs mesure. La question est de savoir sâil y a plus que NOTRE connaissance et ce qui est au-delĂ âŠ
R : La question est la suivante : la connaissance est-elle physique ? Peut-on la rendre physique ? La physique nâest-elle pas lâĂ©tude de ce qui est physique ?
Q : Dâaccord, la connaissance peut-elle ĂȘtre matĂ©rialisĂ©e ?
R : Non.
Q : (A) La connaissance peut-elle ĂȘtre convertie en mathĂ©matiques ?
R : Oui. Comme nous lâavons indiquĂ©, les mathĂ©matiques servent de pont entre ce qui est physique et ce qui ne lâest pas.
Q : Stapp cite Heisenberg qui dit : « la clartĂ© transparente dâune mathĂ©matique qui reprĂ©sente non plus le comportement des particules mais notre connaissance de ce comportement ». Cette affirmation peut-elle ĂȘtre correcte en ce qui concerne la physique quantique ?
R : Mais il nây a pas dâ« unitĂ©s » de connaissance.
Q : Il dit : « Il est certain que notre connaissance peut changer soudainement, et que ce fait justifie lâutilisation du terme âsaut quantiqueâ ». Un changement soudain dans la connaissance est-il Ă©quivalent Ă un saut quantique ?
R : Quelle est la définition de « quantique » ?
Q : (L) Une mesure ? Une quantification ? (R) Quand nous disons « saut quantique », nous entendons un saut typique des phĂ©nomĂšnes quantiques, comme la manipulation de particules, le saut dâun Ă©lectron dâune orbite Ă une autre⊠tout ce qui change rapidement et pour lequel nous nâavons pas de description mĂ©canique parce que nous ne comprenons pas ce quâil y a entre les deux, comment ce saut se produit. Un changement soudain de valeur, dâĂ©tat ou autre⊠la dĂ©sintĂ©gration dâune particule⊠(L) Donc, Stapp dit : « Ă Solvay, les physiciens, entre tous, avaient trouvĂ© une solution rationnelle, basĂ©e sur des preuves empiriques, dans laquelle toutes les rĂ©gularitĂ©s observĂ©es de la nature qui avaient Ă©tĂ© prĂ©cĂ©demment attribuĂ©es Ă la matiĂšre, Ă©taient prĂ©sentes sans quâil y ait quoi que ce soit qui ressemble Ă de la matiĂšre ordinaire. La structure mathĂ©matique nĂ©cessaire pour rendre compte des rĂ©gularitĂ©s classiques de la nature, ainsi que de toutes les rĂ©gularitĂ©s nouvellement dĂ©couvertes dont lâexistence ne pouvait ĂȘtre conciliĂ©e avec la conception classique de la matiĂšre, est nĂ©e des propriĂ©tĂ©s mathĂ©matiques des connaissances elles-mĂȘmes ! »
R : Des propriĂ©tĂ©s mathĂ©matiques ? Oui. Mais quand on commence Ă travailler Ă partir dâune prĂ©misse erronĂ©e, oĂč cela peut-il nous faire « dĂ©barquer » ?
Q : (A) Quelle prémisse erronée ?
R : La prémisse que vous citez.
Q : (L) Il dit : La thĂ©orie quantique orthodoxe est pragmatique : câest un outil pratique basĂ© sur les connaissances humaines.
R : Dans un sens, peut-ĂȘtre.
Q : (L) Câest ici quâil attaque : « La formulation est Ă nouveau subtile et confirme la thĂšse selon laquelle la structure mathĂ©matique de la thĂ©orie quantique concerne notre connaissance. Mais elle apaise les intuitions des physiciens en parlant dâĂ©vĂ©nements extĂ©rieurs Ă lâappareil qui ne sont vraisemblablement pas contrĂŽlĂ©s par des observateurs ou des observations humaines. Mais la structure mathĂ©matique de la thĂ©orie ne dĂ©crit pas ces Ă©vĂ©nements physiques externes eux-mĂȘmes en termes microphysiques : la structure mathĂ©matique est liĂ©e Ă nos descriptions, essentiellement en langage courant, des expĂ©riences humaines que nous imaginons normalement ĂȘtre causĂ©es par des âĂ©vĂ©nements extĂ©rieursâ ». Ma question est la suivante : y a-t-il des Ă©vĂ©nements « lĂ -dehors » ?
R : Oui.
Q : Quâest-ce que la physique quantique dĂ©crit ?
R : Câest vague.
Q : Bien sĂ»r, je sais que câest vague. Stapp dit : « Dâun autre cĂŽtĂ©, on suggĂšre quâil y a vraiment des Ă©vĂ©nements qui se produisent âlĂ -basâ, que nous observons, et qui ne tirent pas leur existence de lâobservation que nous en faisons ». Existe-t-il des Ă©vĂ©nements lĂ -bas que nous observons et qui ne tirent pas leur existence de notre observation ?
R : Oui.
Q : Les événements là -bas qui existent tirent leur existence de quoi ?
R : De leur ĂȘtre.
Q : Quâest-ce qui est Ă la racine de leur ĂȘtre et qui rend leur ĂȘtre diffĂ©rent du nĂŽtre ?
R : Câest un concept complĂštement erronĂ©.
Q : Quel est le concept correct ?
R : Tout est un et un est tout.
Q : Eh bien, cela ne nous aide pas. Câest ce quâil dit ! Il dit que tout nâest que « connaissances ».
R : Non !
Q : Sommes-nous en interaction avec quelque chose qui se trouve Ă lâextĂ©rieur ?
R : Bien sĂ»r, mais ce nâest pas seulement « lĂ -bas ».
Q : Donc, Stapp dit : « Jâappelle lâidĂ©e que le formalisme concerne directement les âĂ©vĂ©nements physiques Ă lâextĂ©rieur des appareilsâ, lâInterprĂ©tation vulgaire de Copenhague. Elle est vulgaire en ce sens quâelle est grossiĂšre, comme je viens de le dire, et quâelle est courante. [âŠ] Cette interprĂ©tation vulgaire est courante parmi les physiciens quantiques en exercice ». Et il semble quâil sâadresse particuliĂšrement Ă Ark, puisquâArk est lâun des crĂ©ateurs de ce que Henry appelle ici lâ« InterprĂ©tation grossiĂšre de Copenhague ».
R : EtâŠ
Q : Il ajoute : « En physique classique, cette distinction est bien sĂ»r prĂ©sente, mais une fois quâelle a Ă©tĂ© dĂ»ment notĂ©e, elle nâest pas trĂšs importante. Dans la thĂ©orie quantique orthodoxe, cette distinction est cruciale. [...] Mon but est essentiellement de rĂ©concilier lâidĂ©e des fondateurs de la thĂ©orie quantique selon laquelle le formalisme mathĂ©matique de la thĂ©orie quantique concerne la connaissance avec lâexigence dâEinstein selon laquelle notre thĂ©orie physique de base concerne la nature ». Quâest-ce que la nature et pourquoi existe-t-elle ?
R : Elle nâest pas « lĂ -bas ». Pourquoi restez-vous bloquĂ© sur ce point ?
Q : Jâessaie de comprendre cela. Il dit : « Bien sĂ»r, repousser la frontiĂšre jusquâĂ lâesprit intĂšgre lâesprit dans notre thĂ©orie de la nature. Mais pourquoi diable devrions-nous essayer de garder lâesprit Ă lâĂ©cart â confinĂ©, ignorĂ© et isolĂ© du monde physique â alors que nous savons quâil est prĂ©sent et apparemment efficace, en particulier lorsque la lutte intense des physiciens pour trouver un moyen rationnel de rendre compte des phĂ©nomĂšnes observĂ©s les a conduits Ă la conclusion que la maniĂšre rationnelle de formuler une thĂ©orie qui rende compte de nos expĂ©riences relatives liĂ©es Ă la ârĂ©alitĂ© physiqueâ prend la forme dâune thĂ©orie sur les connaissances, et non pas dâune thĂ©orie sur la matiĂšre. [âŠ] Compte tenu de lâĂ©chec de notre effort de soixante-dix ans pour exclure lâesprit de notre thĂ©orie de la nature, je suggĂšre que notre objectif rationnel ne devrait pas ĂȘtre de ressusciter la matiĂšre moribonde, dont nous sommes bien dĂ©barrassĂ©s, en raison des deux millĂ©naires de perplexitĂ© philosophique quâelle a engendrĂ©s. Nous devons plutĂŽt apprendre Ă mieux comprendre les connaissances, dans leur habitat naturel, la structure mathĂ©matique du formalisme quantique qui sâaccorde avec nos expĂ©riences plutĂŽt que de les contredire de maniĂšre flagrante ».
(A) En ce qui concerne cette derniĂšre phrase, Stapp absolutise la thĂ©orie quantique et pense que le formalisme mathĂ©matique quantique est suffisant pour dĂ©crire la connaissance. Jâen doute, car la thĂ©orie quantique est une thĂ©orie trĂšs simple, et pour dĂ©crire mathĂ©matiquement la connaissance, je crois quâil faut aller au-delĂ du formalisme quantique.
R : « Connaissances » implique des unitĂ©s physiques mesurables. Ce nâest pas le cas ! La connaissance nâest pas physique, donc constante.
Q : (L) Câest en quelque sorte son point de vue. Il dit que rien nâexiste vraiment Ă part les connaissancesâŠ
R : Non.
Q : (A) Jâai un problĂšme ici. Vous dites que la connaissance nâest pas physique. Je mâen fiche, pour lâinstant, de ce quâest la dĂ©finition de physique ou de non-physique. La question pour moi est de savoir sâil existe un cadre mathĂ©matique qui dĂ©crit en mĂȘme temps une sorte de thĂ©orie unifiĂ©e, qui dĂ©crit Ă la fois les atomes ET la connaissance. Peut-on penser Ă une telle⊠si cela peut-elle ĂȘtre dĂ©crit par un formalisme mathĂ©matique qui prendra en compte LES DEUX ?
R : Eh bien, la question de savoir si la connaissance peut ĂȘtre quantifiĂ©e ou non se pose. Mais pour comprendre le concept, il faut rĂ©organiser sa pensĂ©e mathĂ©matique pour lâadapter au domaine non physique. Les atomes reprĂ©sentent la mesure fondamentale de la rĂ©alitĂ© matĂ©rielle ou physique. Il est possible de faire le lien entre les deux, mais pas de les combiner.
Q : (L) La thĂ©orie quantique telle quâelle se prĂ©sente actuellement concerne-t-elle les connaissances ou les unitĂ©s physiques ?
R : Câest une question de mesures.
Q : La physique quantique, telle quâelle est, dĂ©crit-elle la matiĂšre ?
R : Câest passer Ă cĂŽtĂ© de la question. Pourquoi a-t-on besoin de matiĂšre pour mesurer ?
Q : Eh bien, câest ce que nous voulons dire. Il dit que tout ce qui existe est lâesprit, que vous connaissez des choses, et que lâunivers entier est une illusion de vos connaissances, de sorte que vos perceptions des perceptions sont ces connaissances, et que lâunivers change constamment sur la base de ces connaissances, et que tout ce qui change rĂ©ellement, ce sont vos connaissances et vous percevez que vos connaissances changent, et câest lĂ toute lâaffaire. Il dit queâŠ
R : Il nây a pas de « connaissances !!!!!!! »
Q : LâidĂ©e de Stapp selon laquelle la physique quantique est une mesure des connaissances est donc complĂštementâŠ
R : Fausse !
Q : (A) Il y a une autre question, parce quâil absolutise la physique quantique, et il ne lui vient mĂȘme pas Ă lâesprit quâil y a peut-ĂȘtre une meilleure thĂ©orie que la thĂ©orie quantique qui dĂ©crit plus que de simples mesures, et qui est un peu dans la ligne de la thĂ©orie du champ unifiĂ© dâEinstein, ou quelque chose comme ça. Il considĂšre que la thĂ©orie quantique telle que nous la connaissons, que son formalisme mathĂ©matique, est le dernier mot et que nous nâirons jamais au-delĂ .
R : Câest faux, Ă©videmment.
Q : (A) Le fait est, bien sĂ»r, que personne jusquâĂ maintenant nâa trouvĂ© une meilleure thĂ©orie.
R : Mais « maintenant » nâest que le dĂ©but.
Q : (A) Revenons au concept dâĂ©vĂ©nements. Vous avez dit que les Ă©vĂ©nements existent. Est-il vrai que chaque Ă©vĂ©nement est une scission de lâunivers, ou une ramification de lâunivers ?
R : Les événements prennent de nombreuses formes.
Q : (A) Lorsque des Ă©vĂ©nements se produisent, cela signifie quâune chose particuliĂšre a Ă©tĂ© choisie parmi de nombreuses choses possibles, ou y a-t-il dâautres Ă©vĂ©nements ? Pour moi, un Ă©vĂ©nement se produit lorsque, parmi de nombreuses choses possibles, lâune dâentre elles est choisie. Quelles sont les autres formes possibles ? Pouvons-nous avoir des exemples ?
R : Des Ă©vĂ©nements peuvent se produire sans quâon le sache.
Q : (A) Quâest-ce qui caractĂ©rise les Ă©vĂ©nements qui impliquent des ramifications dâunivers ? Est-ce que, pour cet Ă©vĂ©nement particulier, la conscience doit participer ?
R : Il y a un point critique qui coĂŻncide avec une dĂ©charge dâĂ©nergie.
Q : (A) Y a-t-il un point critique dans tout Ă©vĂ©nement ou dans ce type particulier dâĂ©vĂ©nement de ramification ?
R : Le dernier.
Q : (L) Cela signifie-t-il quâun Ă©vĂ©nement de ramification doit ĂȘtre liĂ© dâune maniĂšre ou dâune autre Ă la conscience ou Ă lâobservation ?
R : Non.
Q : (L) DâoĂč vient lâĂ©nergie ?
R : La conscience est dâun cĂŽtĂ©, et quâest-ce qui est de lâautre ?
Q : (L) Quâest-ce qui EST de lâautre cĂŽtĂ© ? La matiĂšre ?
R : Nous avons donné un indice.
Q : (L) LâĂ©nergie ?
R : Plus proche.
Q : (A) Dâaccord, permettez-moi de poser une question un peu plus technique. Dans cette thĂ©orie sur laquelle je suis censĂ© Ă©crire cet article, nous faisons une sorte dâunion entre la thĂ©orie quantique standard et quelque chose dâautre qui nâest pas dĂ©crit par une fonction dâonde, qui est censĂ©e exister objectivement. Mais il sâagit dâun modĂšle mathĂ©matique. La question est la suivante : en rĂ©alitĂ©, quâest-ce qui existe vraiment ? Quelles sont les choses qui existent vraiment ?
R : La gravitĂ© est la clĂ©. Maintenant, introduisez vos fonctions dâonde.
Q : (L) Comment peut-on décrire mathématiquement la gravité ?
R : Cela doit ĂȘtre possible ! Revoir les textes sur la gravitĂ©.
Q : (L) Nous lâavons fait⊠et soit nous sommes si denses, soit nous ne comprenons pasâŠ
R : Pas denses, émotionnellement troublés. Quand on est sur la défensive, tout est « faussé », y compris ce conduit.
Q : (L) Donc, ce quâil y a de lâautre cĂŽtĂ©, câest la conscience et la gravitĂ© ?
R : Non, il faut revoir les textes et méditer pour débarrasser la conscience du poison émotionnel !
Q : (L) Quelle est la source de ce poison émotionnel ? Notre réaction à ce document ?
R : Oui. Attaque, attaque. Une pause sâimpose !
Q : (A) Qui a besoin dâune pause ? (L) Maintenant ?
R : Oui.
(Pause)
Q : (L) Dâaccord, Stapp dit : « Nos idĂ©es sur la matiĂšre et lâĂ©nergie garantissent quâaucune matiĂšre, ou substance porteuse dâĂ©nergie, ne peut voyager plus vite que la lumiĂšre. Ainsi, ce rĂ©sultat plus rapide que la lumiĂšre montre que la rĂ©alitĂ© ne peut certainement pas ĂȘtre faite de âmatiĂšreâ ou de toute forme dâĂ©nergie, telle quâelle est normalement conçue. [âŠ] Comment la thĂ©orie quantique orthodoxe fait-elle face Ă ce problĂšme ? [âŠ] Elle essaie de dire quâil nây a pas de problĂšme, parce que la fonction dâonde ne reprĂ©sente que notre connaissance. [âŠ] LâidĂ©e est la suivante. Supposons que vous sachiez que les parties proches et Ă©loignĂ©es dâun systĂšme physique sont fortement corrĂ©lĂ©es. Dans ce cas, votre nouvelle connaissance dâune partie proche peut souvent vous donner une connaissance immĂ©diate dâune partie Ă©loignĂ©e, sans que cette partie Ă©loignĂ©e ne soit physiquement affectĂ©e par votre acte de regarder la partie proche. Ainsi, le fait de voir quâune extrĂ©mitĂ© de lâaiguille dâune boussole pointe vers le nord peut immĂ©diatement vous indiquer que lâautre extrĂ©mitĂ© pointe vers le sud, sans que vos actions aient le moindre effet physique immĂ©diat sur lâextrĂ©mitĂ© sud. [âŠ] Les connexions plus rapides que la lumiĂšre dans le domaine des connaissances sont donc considĂ©rĂ©es comme non problĂ©matiques. [âŠ] Cet argument est basĂ© sur lâidĂ©e normale que ces connaissances sont des connaissances sur des choses physiques. Lâeffet plus rapide que la lumiĂšre dans le domaine de la connaissance nâimplique manifestement aucun effet de ce type dans la rĂ©alitĂ© physique extĂ©rieure. Par consĂ©quent, cet effet dans le domaine de la connaissance est considĂ©rĂ© comme non physique : il nâest pas physiquement rĂ©el [âŠ] Mais si lâon devait prendre la connaissance elle-mĂȘme comme rĂ©alitĂ© de base, il pourrait y avoir un problĂšme, car il nây aurait pas dâautre rĂ©alitĂ© âphysiqueâ sur laquelle fonder lâaffirmation selon laquelle lâeffet plus rapide que la lumiĂšre dans le domaine de la connaissance nâest âpas physiquement rĂ©elâ. Un tel embarras pourrait survenir si lâon interprĂ©tait littĂ©ralement la thĂ©orie quantique comme une description dâune rĂ©alitĂ© basĂ©e sur la connaissance, plutĂŽt que sur la matiĂšre. [âŠ] Mais Heisenberg et Bohr ont contournĂ© cet embarras en ne prenant pas la thĂ©orie quantique au sĂ©rieux, câest-Ă -dire en rejetant lâidĂ©e que le formalisme mathĂ©matique basĂ© sur la connaissance dĂ©crit une rĂ©alitĂ© correspondante basĂ©e sur la connaissance. Ainsi, lorsque Heisenberg dĂ©crit âce qui se passe ârĂ©ellementâ dans un Ă©vĂ©nement atomiqueâ, il parle des Ă©vĂ©nements qui se produisent au niveau de lâappareil de mesure et valide ainsi lâidĂ©e normale selon laquelle la âconnaissanceâ dont traite le formalisme est, normalement, une connaissance des Ă©vĂ©nements physiques. Les connaissances ne doivent pas, selon le point de vue orthodoxe, ĂȘtre considĂ©rĂ©es comme les rĂ©alitĂ©s fondamentales, mĂȘme si elles sont les rĂ©alitĂ©s sur lesquelles le formalisme est basĂ©. [âŠ] Il y a donc deux raisons puissantes dâaffirmer que le formalisme quantique ne donne pas une description de la rĂ©alitĂ© elle-mĂȘme. La premiĂšre est que cette dĂ©marche permet de prĂ©server nos intuitions de bon sens selon lesquelles il y a quelque chose âlĂ -dehorsâ ; la seconde est quâelle nous Ă©vite apparemment dâavoir Ă admettre quâil existe de vĂ©ritables effets plus rapides que la lumiĂšre ».
(A) Jâaimerais savoir qui paie ce Stapp et pourquoi ?
R : Ceux qui sâopposent Ă la rĂ©vĂ©lation de la vĂ©ritĂ© sont au « cĆur ».
Q : (L) Avons-nous suffisamment parlé de Stapp ?
R : Oui.
Q : Sujet suivant : Mike (membre du groupe de discussion) a envoyĂ© quelques questions complĂ©mentaires. Sa premiĂšre question est la suivante : Le mystĂšre qui entoure Rennes-le-ChĂąteau a-t-il un rapport avec ce quâHenry Lincoln dĂ©crit comme le « Temple », qui est un ancien mĂ©galitheâŠ
R : Non.
Q : (M) Il dit : Jâai eu trois expĂ©riences avec des extraterrestres, qui mâont gentiment fourni des sortes de perles de silicone. Sâagissait-il dâenlĂšvements physiques ou de simples projections ?
R : Lâun engendre lâautre. Une projection implique une remolĂ©cularisation atomique transdimensionnelle.
Q : (M) Quand et oĂč a eu lieu la derniĂšre expĂ©rience ?
R : En avril et en Ă©tat de sommeil. Il y a une fenĂȘtre qui donne sur une prairie en pente. Des arbres fruitiers, peut-ĂȘtre des pommiers, se trouvent Ă proximitĂ©.
Q : (L) Pourquoi avez-vous parlĂ© de cette fenĂȘtre, de cette prairie et de ces arbres fruitiers ? Est-ce la fenĂȘtre par laquelle cela sâest produit ?
R : Laissez les choses se dérouler.
Q : (M) Les billes de silicone apparaĂźtront-elles Ă la radiographie ?
R : Non.
Q : (M) Dans le rĂȘve sur le « dispositif de communication », sâagissait-il dâun souvenir dâune expĂ©rience antĂ©rieure ou dâune expĂ©rience rĂ©elle qui sâest produite cette nuit-lĂ ?
R : Un reflet.
Q : (M) En ce qui concerne la vision Ă distance et les alignements chimiques/magnĂ©tiques qui amĂ©liorent les capacitĂ©s psychiques, cela peut-il ĂȘtre induit artificiellement par des champs magnĂ©tiques appliquĂ©s localement ?
R : Dangereux dâexpĂ©rimenter avec cela. Comme Franklin et ses cerfs-volants.
Q : (M) Mon ami Marc a fait un rĂȘve il y a quelques nuits qui, selon lui, est liĂ© au prĂ©cĂ©dent. Il a Ă©tĂ© frappĂ© Ă la tĂȘte par un 2X4 brandi par un enfant, ce qui lâa immĂ©diatement rĂ©veillĂ©. Il a aperçu un mouvement du coin de lâĆil lorsquâil sâest rĂ©veillĂ©. Quel Ă©tait lâobjet ou la crĂ©ature en mouvement ?
R : De lâĂ©nergie dâinterdensitĂ©.
Q : (M) Ătait-ce liĂ©, dâune maniĂšre ou dâune autre, aux implants et aux rencontres avec des extraterrestres ?
R : Indirectement.
Q : (M) Ătait-ce important ?
R : Tout lâest.
Q : (M) La source des livres « Conversations avec Dieu » est-elle fiable et exacte ?
R : En partie seulement.
Q : (L) OK, jâai reçu le livre « Robot's Rebellion » et jâespĂ©rais que ce serait quelque chose dâutile, et il dit ici : « Tout comme le soleil est lâesprit qui guide le systĂšme solaire, lâesprit galactique guide la galaxie et lâesprit universel guide lâunivers. La Source est lâesprit qui guide toute la crĂ©ation. LâactivitĂ© des taches solaires est liĂ©e Ă ce flux dâĂ©nergie du soleil vers le systĂšme solaire, et indique les moments oĂč ce flux est le plus puissant. » Les taches solaires indiquent-elles que le flux dâinformations est au plus fort ?
R : Peut-ĂȘtre.
Q : Puis ce David Icke dit : « La conscience dĂ©sĂ©quilibrĂ©e que jâappellerai Lucifer nâest pas une partie essentielle de lâĂ©quilibre positif/nĂ©gatif. Il est un aspect perturbateur et disharmonieux de la conscience, qui nâest pas nĂ©cessaire Ă lâĂ©volution humaine. Plus encore, les efforts de Lucifer pour fermer les canaux qui relient lâhumanitĂ© Ă sa comprĂ©hension supĂ©rieure ont bloquĂ© notre Ă©volution, au lieu de la faire progresser. » Est-ce une Ă©valuation correcte de cette conscience lucifĂ©rienne, quâelle ne fait pas partie de lâĂ©quilibre positif/nĂ©gatif de lâunivers, et quâelle a bloquĂ© notre Ă©volution ?
R : Non.
Q : Pouvez-vous nous parler de la conscience lucifĂ©rienne et du rĂŽle quâelle peut jouer dans notre Ă©volution et notre rĂ©alitĂ© ?
R : Cela fait partie du plan de cours.
Q : Câest aussi ce que je pensais, mais il dit quâĂ cause de ce problĂšme de la conscience lucifĂ©rienne, les « niveaux supĂ©rieurs de la crĂ©ation ont commencĂ© Ă intervenir parce que Lucifer imposait ses malentendus aux autres et violait la loi universelle du libre arbitre ». Est-ce vrai ?
R : Non.
Q : Jâai lu Ă propos de cette « dĂ©cision dâintercĂ©der » par des niveaux supĂ©rieurs de conscience qui regardent lâhumanitĂ© de haut et se dĂ©solent de nos terribles souffrances, et que dâune maniĂšre ou dâune autre, si quelque chose nâest pas fait, lâunivers entier sera envahi par ce mal⊠il faut donc « lâarrĂȘter ». Un certain nombre de sources promeuvent cette idĂ©e, ce qui conduit gĂ©nĂ©ralement Ă affirmer que tel ou tel groupe dâextraterrestres fait partie des « bons » ou des « mĂ©chants », ou autre. Ces idĂ©es sont-elles exactes ?
R : Non.
Q : Donc, ce qui est, EST, et nous ne souffrons quâexactement autant qu'il nous faut pour apprendre ? Câest cela ?
R : Il y a plus que cela, mais Ă ce stade, vous seriez incapable de le comprendre.
Q : Icke dit que « cette conscience luciférienne est un grand aspect de la conscience divine qui a choisi de travailler contre la Source ». Est-ce vrai ?
R : Pas vraiment.
Q : Eh bien, il SEMBLE que la conscience lucifĂ©rienne travaille contre la Source. Si ce nâest pas le cas, que fait-elle ?
R : Elle rééquilibre lĂ oĂč câest nĂ©cessaire.
Q : Il dit : « Dâautres volontaires, des aspects dâune conscience trĂšs Ă©voluĂ©e, sont venus dans lâunivers et dans cette galaxie dans le but de rĂ©tablir lâharmonie. Ils ne se sont pas incarnĂ©s dans des corps physiques sur la terre, ils sont arrivĂ©s dans des vaisseaux spatiaux, dont certains mesuraient des kilomĂštres de long, tandis que dâautres se sont simplement manifestĂ©s ici. Ce sont des extraterrestres qui sont venus apporter la connaissance Ă cette planĂšte il y a des centaines de milliers dâannĂ©es ». Est-ce vrai ? Oui ou non ?
R : Ni lâun ni lâautre. [Le tĂ©lĂ©phone sonne et BRH se joint Ă la sĂ©ance]
Q : (BRH) Y a-t-il quelque chose que je devrais savoir Ă ce stade sur Kim par rapport Ă moi ?
R : Vague !
Q : (BRH) Dois-je poursuivre cela ?
R : Il ne comprend pas encore. Il nây a que des leçons.
Q : (BRH) Câest dâun vague ! (L) Câest le reflet de lâimprĂ©cision de ta question.
R : Vague Ă lâintĂ©rieur, vague Ă lâextĂ©rieur !
Q : (BRH) Dâaccord, jâaime bien Kim et jâenvisage de poursuivre une relation avec elle.
R : Certains aiment danser du feu Ă la poĂȘle Ă frire, dâautres non. Mais Ă quoi servirait une leçon si elle ne contenait pas le potentiel dâapprentissage ?
Q : (L) Je suppose que je dirais que tu dois suivre ton instinct et ne pas laisser lâĂ©motion prendre le dessus. Câest lâun des principaux facteurs qui jouent en notre dĂ©faveurâŠ
R : à ce stade, le curseur émotionnel est sur « élevé ».
Q : (L) La plupart des Ă©motions humaines ne sont pas, comme certains le pensent, de lâordre de lâĂąme ; elles sont chimiques. Et ces substances chimiques peuvent ĂȘtre stimulĂ©es pour activer ou dĂ©sactiver les Ă©motions â comme en tĂ©moignent de nombreuses femmes qui souffrent du syndrome prĂ©menstruel. Toutes sortes dâondes et de frĂ©quences autour de nous, y compris celles Ă©manant dâautres personnes, peuvent activer et dĂ©sactiver ces substances chimiques. Câest ce qui se passe lorsque les « hameçons » sâintroduisent dans votre chair Ă partir de la proximitĂ©. Lorsque vous rencontrez une nouvelle personne, la mĂȘme chose peut se reproduire de maniĂšre trĂšs puissante et, bien sĂ»r, en raison de lâeffet euphorisant dâune nouvelle sĂ©rie de stimuli, cela vous fait penser que « oh, câest DIFFĂRENT ! Câest lâĂME ! Je peux vous assurer que si ce qui se passe entre deux personnes est dĂ» Ă la prĂ©sence physique de lâautre personne SEULE, mĂ©fiez-vous ! Ce savoir est durement acquis, croyez-moi.
R : Si Devin a des questions, pourquoi ne pas lui permettre de les poser ?
Q : (L) Dâaccord, je me tais. (BRH) Jâai lâimpression que le chapitre nâest pas clos dans lâaffaire Kim. Mais pour passer Ă autre chose, jâai une amie nommĂ©e Lisa sur le net qui me demande de lâaide. Elle ne sait pas si elle est en train de perdre la tĂȘte ou quoi, et je lui ai dit que jâessaierai de faire ce que je peux. La question quâelle pose est donc la suivante : « Est-ce que je perds la tĂȘte ou quoi ?
R : Ou quoi.
Q : (BRH) Un conseil quelconque ?
R : Comme pour tous les autres, qui se mettent dans le pĂ©trin lorsque nous supposons dâabord, puis lorsque nous essayons de recueillir des donnĂ©es pour Ă©tayer nos suppositions.
Q : (L) Je suppose que ce quâils lui disent, câest quâelle a fait une supposition et quâelle essaie de recueillir des donnĂ©es pourâŠ
R : Aucun commentaire nâest nĂ©cessaire, Ă moins que vous ne souhaitiez risquer de dĂ©truire la valeur du message !
[Le chien commence Ă aboyer]
Q : (BRH) La derniĂšre fois, vous avez essayĂ© de mâinciter vers des questions sur la carriĂšre et la famille, et je ne lâai pas vu ou compris Ă ce moment-lĂ parce que je pensais plus en termes dâemploi. Je ne pense pas avoir profitĂ© de lâoccasion pour approfondir suffisamment ces questions. Jâaimerais donc savoir si vous avez dâautres commentaires Ă me faire sur les questions de carriĂšre et de famille ?
R : Seulement si des questions spécifiques sont posées.
Q : (BRH) Jâai envisagĂ© de tout abandonner et dâĂ©crire un livre. Avez-vous des conseils Ă me donner Ă ce sujet ?
R : Nous pensons que câest une bonne idĂ©e !
Q : (L) [Remarques sur Tom French, journaliste qui Ă©crit sur le groupe des CassiopĂ©ens et qui vient de recevoir le prix Pulitzer]. Donc, sâil arrive Ă publier la partie sur ce sujet, je suppose que nous serons Ă peu prĂšs le seul groupe de channeling Ă avoir fait lâobjet dâune enquĂȘte de la part dâun laurĂ©at du prix Pulitzer !
R : Oh lĂ lĂ , oh lĂ !
Q : (L) Ătes-vous sarcastiques ou heureux ?
R : Les deux.
Q : (L) [Ă BRH] Eh bien, les Câs ont prĂ©dit son prix Pulitzer⊠vous savez, il a divorcĂ© aprĂšs sâĂȘtre engagĂ© avec nous, le photographe qui lui Ă©tait assignĂ© a divorcĂ©, jâai divorcé⊠ils avaient prĂ©dit les changements Ă venir dans sa vie, et il ne voulait absolument pas y croire, mais maintenant que câĂ©tait arrivĂ©, il voulait savoir ce qui allait lui arriver dâautre, et comment il allait se sentir Ă ce sujet. Les Câs lui ont donc dit quâil serait heureux Ă 100 % des changements Ă venir⊠et câest Ă peu prĂšs tout ce quâils pouvaient lui dire. Mais, aprĂšs coup, il a compris ce quâils voulaient dire. JâespĂšre que ses expĂ©riences lâinciteront Ă Ă©crire sur nous avec gentillesse⊠(BRH) JâĂ©tais trĂšs heureux dâune remarque que vous avez faite il y a plusieurs annĂ©es Ă propos de ma fille cadette, et des fruits qui ont dĂ©coulĂ© de ce commentaire. La derniĂšre fois, vous avez Ă nouveau Ă©voquĂ© ma fille cadette et fait remarquer que la sĂ©paration nâallait pas durer longtemps. Avez-vous dâautres commentaires Ă faire Ă ce sujet ?
R : Il sâagit dâune forte connexion dâĂąme. Des vies antĂ©rieures entremĂȘlĂ©es, au sens positif.
Q : (L) Je suppose que tu peux demander combien de vies antĂ©rieures vous avez eues ensemble⊠et partir de lĂ âŠ
R : Ce nâest pas important.
Q : (BRH) Quel est le but de notre relation en ce moment ?
R : Câest Ă vous de le dĂ©couvrir !
Q : (BRH) Des indices ?
R : Non.
Q : (BRH) Au moins, votre remarque dâil y a quelques annĂ©es a portĂ© des fruits Ă©tonnants. Je pensais vraiment que câĂ©tait une emmerdeuse avant, et je lâaime profondĂ©ment depuis que vous avez dit ce que vous avez dit. Il y a lĂ un lien trĂšs spĂ©cial que je ne comprends pas tout Ă faitâŠ
R : Vous comprendrez.
Q : (BRH) Merci pour rien, les gars !
R : Ce nâest pas rien, nâest-ce pas ?
Q : (BRH) Non, vous avez raison, ce nâest pas rien. Je vous remercie. Je suis conscient quâil doit y avoir un objectif global Ă ma prĂ©sence sur lâinternet. Jâai Ă©tabli un grand nombre de contacts dans un groupe extrĂȘmement diversifiĂ© de personnes, et je me sentais vraiment motivĂ© auparavant Ă fournir des donnĂ©es Ă chacun dâentre eux. Mais depuis quelque temps, je perds mon ardeur Ă le faire.
R : La perte de zĂšle dĂ©coule de lâapproche. Il vaut mieux enseigner que prĂȘcher.
Q : (BRH) Enseigner quoi ?
R : Le partage de lâinformation attire.
Q : (BRH) Au niveau cosmique, je sens quâil y a une sorte de but dans ce que jâai fait jusquâĂ prĂ©sent. Jâai construit cette structure, quâest-ce que jâen fais maintenant ? Jâai le sentiment que tout cela nâest pas arrivĂ© sans raison.
R : Laisse-le se dérouler sans anticipation.
Q : (BRH) Quel est mon but ?
R : ĂTRE !
(La conversation avec BRH est terminée).
Q : (L) Je voulais encore poser quelques questions : vous avez mentionnĂ© Jack et le haricot magique lors dâune sĂ©ance prĂ©cĂ©dente. Je suis prĂ©occupĂ©e par le fait quâil ne se passe rien pour lâinstant. Nous sommes en quelque sorte en mode pause.
R : Tout ira bien.
Q : Devin craignait que vous ne pensiez pas que câĂ©tait une bonne idĂ©e quâil vienneâŠ
R : Pourquoi penserions-nous cela ?
Q : Je sais⊠mais avez-vous un commentaire à faire ?
R : Ce serait une bonne chose.
Q : Autre chose ce soir ?
R : Non. Bonne nuit.
Fin de la séance
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