Thanks to the members of the French translation group who have just translated that session.
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Merci aux membres de l’équipe française pour cette traduction.
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Voir cette page pour le contexte de cette séance :
SĂ©ance du 05 juillet 2001
Ark, Laura, Vincent Bridges, Orri E, Barry T
Q : Test. (L à VB) Chauffe-toi les doigts. Tu ne vas pas me lâcher, hein ? (VB) On ne sait jamais. J’essaierai de ne pas lui faire faire le tour de la table huit fois entre chaque lettre. J’ai vraiment du mal au début. (L) Bonsoir, il y a quelqu’un ? Bonsoir, bonsoir. [Pause extrêmement longue.] Bon. On est juste assis là , et il ne se passe rien. (A) A** vient de passer. Peut-être qu’il vaut mieux attendre. Ils n’aiment pas les enfants. (L) Ils adorent les enfants ; c’est juste qu’ils ne veulent pas les voir traîner dans le coin. Ce n’est pas sain pour eux. (VB fait une remarque inaudible) (L) Espèce d’incroyant ! [Rires] (VB) Ça ne les a pas arrêtés, la dernière fois. (L) Ils n’en pouvaient plus. Ils avaient quelque chose à dire, aussi. Peut-être qu’ils pensaient nous avoir dit tout ce que nous avions besoin de savoir. [Longue pause. L donne à VB des instructions sur la façon de placer son bras. La planchette commence à décrire des cercles et s’arrête net sur le Capricorne.] (L) Bonsoir. Il y a quelqu’un ?
R : 1
Q : (L) Avez-vous un nom ?
R : UC !
Q : U I C ?
R : O U regarder. [Le mot « regarder » figure en entier sur la planche, il n’a pas été épelé.]
Q : (L) 1 U chercher, O U regarder ?
R : S A R Attendre. [Ce dernier mot figure en entier sur la planche, il n’a pas été épelé.] Écouter. [Autre mot figurant en entier sur la planche.]
Q : Écouter ?
R : Oui. [Autre mot figurant en entier sur la planche.] M
Q : [Le pointeur s’arrête. Longue pause.] (VB) Ça s’est arrêté. (L) Il est entre le Sagittaire et le Capricorne.
R : Regarder. [Ă€ nouveau, indique un mot entier.]
Q : (L) Bon, qu’est-ce qu’ils ont dit jusqu’ici ? (A) Une fois « U C. » (VB) Que sommes-nous censés chercher, ou regarder ?
R : Lara regarder. [Épelé « Lara, » mot entier « regarder. »]
Q : (VB) Bon, ils ont épelé ton nom. (L) Ouais, mais ils ont oublié une lettre.
R : Laura regarder. [Nom épelé, mot entier « regarder. »]
Q : (VB) Il y a une raison que vous ayez omis le « u » ?
R : Oui. Lara L U C.
Q : (L) Qu’est-ce que « Lara Luc ? » (VB) OK, est-ce qu’on est en train de parler aux Cassiopéens ? Ou est-ce qu’on se balade dans le plan astral, ici ?
R : Cassiopée, Laura… [Le pointeur commence à tournoyer lentement.]
Q : (VB) OK, qu’est-ce que c’est que ça ? (L) Ça continue à tournoyer. Ça arrivait souvent au début. Ça accumule l’énergie. [Le pointeur continue à décrire des spirales.]
R : Fermeture d’aura.
Q : (VB) OK les gars, ne le faites pas voler par-dessus la planche ? [Le pointeur tournoie de plus en plus vite.] (A) Il tourbillonne très vite. (VB) Dans mon esprit, je vois une petite flamme verte en guise de pointeur. Je peux la suivre les yeux fermés tandis qu’elle se déplace sur la planchette. (L) Tu n’es pas censé avoir les yeux fermés. Ils sont censés être ouverts. (VB) J’y arrive mieux les yeux fermés. Hum, avez-vous quelque chose à dire sur cette petite flamme verte, les gars ? Quelque chose que vous voulez me dire à ce sujet ? [Pas de réponse. Le pointeur glisse des doigts de VB.] (VB) OK, merci de m’avoir filé entre les doigts. Et le pointeur s’est arrêté au même endroit. (L) Bon, ils ont dit qu’il faisait une « fermeture d’aura ? » (VB) Oui. C’est pour ça que j’ai posé la question sur la flamme verte.
R : 3 body junctim grounde rail motqetuh. [intraduisible – NdT]
Q : (L) Je ne sais pas ce qu’ils disent.
R : o s e over k o r e 5 k [intraduisible – NdT]
Q : (L) Ça s’est arrêté. Qu’est-ce qu’ils ont dit ? (VB remarque inintelligible) (L) Nous devons commencer quelque part, avant que le conduit soit harmonisé. Ça s’appelle « l’harmonisation. »
R : Nouvelle harmonisation. [Le pointeur tourbillonne.]
Q : (L) C’est pour ça qu’ils tourbillonnent. Et ils veulent juste tourbillonner. [Pause pendant que le pointeur continue à décrire des cercles.] Et ça te fatigue le bras. (VB) Peut-être que c’est le but ? [Long silence pendant que le pointeur continue de tourbillonner.] Je suis en train de m’harmoniser, là . (BT) Ça va te fatiguer le bras. (L) Ouais. C’est peut-être à cause du… (VB) Le désir du Frère sceptique de procéder d’une certaine manière ? [Le pointeur continue à tournoyer.] (L) Ça trépide, trépide, trépide. Bon sang, il trépide vraiment, hein ? (BT) Ça tourbillonne à tout va. (L) Mon bras va bientôt se disloquer. Bon ! Nous n’avons qu’à poser des questions, même si nous nous en tenons à des questions simples au départ.
R : Temps d’inciter tout le mon [pointeur tourbillonne] de à com (L soupire) (VB) Allez. (L soupire) prendre la ba ba balade.
Q : [VB se frotte l’épaule.] (L à VB) Tu as mal ? (VB) Ouais. (L) C’est bien. Il se passe quelque chose. (VB) Ouais, ouais. Le machin se déplace sur la planchette tellement vite que je ne peux pas… (L) Non, ça fait d’autres choses, fais-moi confiance. (VB) Qu’est-ce qu’on a ? (BT) « Temps d’inciter tout le monde à comprendre la balade. » (L) Autrement dit, tu es censé être le passager, pas le conducteur. Je pense qu’ils ont du mal à transmettre parce que tu aimes conduire, pas te faire balader. (VB) Eh bien, je fais de mon mieux… (L) Je sais. (VB) C’est tellement mieux que la dernière fois. (L) D’accord. Bon, je te le dis, c’est tout. Il y a probablement des raisons inconscientes à cela. (VB fait mine de parler dans le vide) C’est ma faute. Laissez-moi en dehors de ça [Irrité]. (L) Bon, n’insiste pas, c’est tout. Contente-toi d’apprécier. Tu es censé apprécier la balade. (VB) Est-ce que tu as aussi mal à l’épaule que moi ? [Rires.] (L) Non, mais avant, oui. Et sans doute sacrément plus.
R : Autre méthode autre objectif la planchette est bien pour harmoniser alors appréciez la balade !
Q : (L à VB) Bon, tu as besoin d’être harmonisé. (VB) Mais quelle est l’autre méthode, quel est l’autre objectif ? (A) Tu es libre de demander. (L) Est-il conseillé de poursuivre le travail avec la planchette ? En plus de l’autre méthode ? [Longue pause. Le pointeur tourbillonne.]
R : Faites-le ici tout de suite.
Q : (L) Faire quoi ici tout de suite ?
R : Le miroir.
Q : (L) Bon sang ! (VB) Je te dis, tu es peut-être en train de m’harmoniser… (A) On s’amuse bien ? (L) « Faites-le ici tout de suite ? » Pourquoi ? Désolée les gars, il fallait que je demande.
R : Voir 4e densité.
Q : (L) Ils ne vont pas me laisser tranquille avec ça, hein ?
R : Laura maintenant !
Q : (L) Est-ce que je vais voir nos 300.000 $ ?
R : Ouvert peut-être de nouvelles idées concernant finances regarde.
Q : (BT à L) OK, c’est juste toi, ou la pleine lune, ou quoi ? (L à BT) Eh bien, je ne crois pas que ça change quoi que ce soit. Nous l’avons fait avant avec Ark et VB. [Longue pause.] D’autres paroles de sagesse avant qu’on installe le miroir ? (VB) Euh, en fait les gars, j’ai quelques questions. Pourriez-vous m’aider un peu là , puisque je suis le « petit nouveau ? » Je sais qu’elle doit regarder dans le miroir, mais vous, que pouvez-vous me dire sur cette pratique bizarre ? Qu’est-ce que j’ai besoin de savoir, par exemple ?
R : Laura regarde.
Q : (VB) Très bien, allez, allez. Je n’ai pas encore fini ! Je suis têtu les gars, désolé. Si Laura regarde, y a-t-il quoi que ce soit que nous devrions savoir, afin de l’aider dans ce procédé ?
R : Hypnose Laura à l’avenir regard acte OK pas très humain labeur gains.
Q : (A) Qu’est-ce que ça veut dire ? (VB, sur un ton péremptoire) OK, l’« acte OK » veut dire, j’ai demandé en silence : « je ne veux pas hypnotiser Laura ; j’ai peur d’être un nouveau Dr Puharich ». Alors, je crois que « acte OK » était, ils m’ont répondu en plein milieu, ce qui a pu donner la remarque « très humain » parce que je résistais… Oh, non, non, je ne veux pas faire ça ; vous les gars, vous ne voulez vraiment pas faire ça ? (L) Eh bien, tu dois te rappeler, VB, de toutes les tentatives pour m’empêcher d’apprendre à le faire naturellement, il faut les surmonter, et il ne nous reste pas beaucoup de temps. (VB) OK. Je préférerais le faire d’une autre façon, mais je suppose qu’ils ne m’aident pas beaucoup, n’est-ce pas ? (L) Eh bien, pourquoi ne poses-tu pas une question au miroir ? (VB) Bien, c’est très intéressant, n’est-ce pas ? (L) C’est la pleine lune. [Longue pause.] (VB) OK les gars, j’ai l’impression que vous êtes en train de nous dire… [Fin de la cassette, VB répète la question perdue sur l’autre face.] Êtes-vous en train de me dire que l’unique raison de ma présence ici est de faire en sorte qu’elle plonge suffisamment en profondeur pour voir à travers le miroir ? Si ce n’est pas l’unique raison, peut-être une grosse partie de la raison ?
R : [Long silence. Pas de réponse.]
Q : (VB) Dites quelque chose les gars.
R : Perceval.
Q : (VB) OK, nous sommes cinq ici-mĂŞme. Est-ce que cela change quelque chose ?
R : Oui.
Q : (VB) Est-ce qu’il faut qu’on soit à nouveau trois pour le travail avec le miroir ?
R : Non. T I u e t h u l t o i t
Q : (L) Qu’est-ce que c’était que ça ? Essayez encore, les gars. (VB) Attendez, attendez, attendez, attendez. (L) C’était quoi, ce mot ? Ce « tiue » machin chose ?
R : Te lie à lui guide Laura miroir regarde pièce est mirage.
Q : (L) Qu’est-ce que c’est ? (VB) D’habitude, ils n’épellent pas aussi mal. OK, soyez un peu plus clairs, s’il vous plaît, concernant « pièce est mirage ». Qu’entendez-vous par là ?
R : Les gens dans la pièce perçoivent le mirage.
Q : (L) Oh, je vois. Les gens dans la pièce ajoutent de l’énergie à la vision, et donc, la transmission est meilleure, l’image plus claire, c’est ce que vous voulez dire ?
R : Oui.
Q : (VB) OK, nous allons regarder dans le miroir. Nous allons le faire dès que vous aurez terminé la question suivante. Mais vous devez nous donner les étapes. Vous devez nous dire exactement comment procéder.
R : Remarquez que la perception n’est que mirage et recherchez uniquement ce qui est réel.
Q : (VB) Qu’est-ce que c’est que ça ? (BT relis la phrase) C’est une réponse directe à ta question concernant les étapes à suivre. (VB) Les gars, ça n’aide pas du tout. (A) Remarquez que la perception, c’est ça ? N’est qu’un mirage, c’est ça ? (VB) Mais ils disent que la perception de tous ceux qui sont dans la pièce devrait être un mirage, que nous donnons de l’énergie au mirage, alors comment voir à travers le mirage ?
R : Les personnes aident à déplacer la perception de façon satisfaisante lancer le démarrage.
Q : (VB) OK. Y a-t-il autre chose ? Si rien, nous allons passer tout de suite au miroir. Autre chose qu’il nous faut savoir ?
R : [Pas de réponse. Longue pause.]
Q : (VB) Personne, absolument personne ne vient de bouger à côté de moi, là tout de suite. Personne n’a bougé ? (A et B) Non. (L) Pourquoi ? (V) Ooooh, rien. (A) Quelque chose t’a touché ? (VB) Exactement. Alors quoi, j’ai besoin d’une autre tape sur l’épaule. (B) C’était l’épaule droite ? (VB) Ouais. [Fin de la cassette.]
SĂ©ance du miroir
VB : Tout en respirant, reste concentrée sur le miroir. Et, du coin de l’œil, soit consciente de la pièce. Tu peux voir presque toute la pièce du coin de l’œil. Reste concentrée sur le miroir. Inspire profondément, relâche, inspire à nouveau profondément, relâche. Tout en respirant, laisse les perceptions de la pièce s’estomper. La pièce où nous sommes assis est un mirage. Elle est vide. Il n’y a rien d’autre ici que toi et le miroir. Regarde tout au fond du miroir, et laisse les perceptions de tout ce qu’il y a dans la pièce s’estomper. Comme si c’était un mirage dans le désert, ondulant, disparaissant, jusqu’à ce qu’il ne reste plus que le miroir. Tu vois la surface du miroir, tu perçois une limite, ou une surface au miroir. Tout le reste s’efface. En regardant dans le miroir, c’est comme si tu plongeais ton regard dans une eau très calme. Plonge ton regard dans cette surface, laisse s’effacer le reste de la pièce. Tu respires confortablement, tu te relaxes en profondeur, tu te concentres sur le miroir. Tu laisses la pièce s’effacer jusqu’à ce qu’il ne reste plus que le miroir. Je veux que tu te concentres sur le miroir ; tu sens la pièce qui s’estompe. Laisse venir la concentration totale ; toute ta conscience, toute ton énergie ; concentrées sur le miroir ; tu ressens cette limite, la surface du miroir. Dans un petit moment, je vais compter de dix à un. À chaque décompte, tu sentiras ton corps devenir très léger, s’estomper comme le reste du mirage. À chaque décompte, tandis que ton corps s’estompe, tu vas sentir ta conscience traverser la frontière, et lorsque j’arriverai à un, tu regarderas, les yeux ouverts, profondément dans le miroir, par-delà la frontière, et profondément dans le miroir, tu ne verras que ce qui est réel. Maintenant, alors que je vais compter de dix à un, tu sens ton corps s’effacer, jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien que ta focalisation sur le miroir. En te concentrant sur le miroir, plonge ton regard à l’intérieur, pénètre sa surface, et quand j’arriverai à un, tu auras plongé en profondeur dans le miroir, et tu verras uniquement ce qui est réel. Maintenant je compte : [décompte.]
Concentrée profondément sur le miroir, laisse juste les énergies se manifester. Tu te concentres sur le miroir. Sous la surface. Laisse juste les énergies venir à la surface. Tu gardes les yeux ouverts maintenant, restes concentrée sur miroir, commence à ressentir, à voir ou à percevoir ce qui est enfoui au fond du miroir. Tu restes concentrée sur le miroir ; ressens simplement ton corps ; en restant concentrée sur le miroir, laisse juste les sensations corporelles s’éloigner.
Respirations profondes et lentes. Concentrée sur le miroir. Laisse toutes les sensations corporelles s’estomper. Tout inconfort, toute tension, laisse-les simplement s’estomper. Tu restes concentrée sur le miroir. Tu laisses les énergies émerger. Tu regardes profondément dans le miroir.
Décris simplement ce que tu vois, et ce que c’est.
[Longue pause.]
Quoi que ça puisse être – commence – laisse le simplement émerger.
[Longue pause.]
Quoi que ça puisse être, décris simplement ce que tu vois dans le miroir.
Laura : Des lumières.
VB : Bien. Continue à regarder. Toutes les lumières. Continue simplement à décrire ce que tu vois.
Laura : Des nuages de plasma.
VB : Reste juste concentrée sur le miroir. Sur les nuages. Dis-moi juste ce que tu vois. Décris simplement ce que tu vois.
Laura : [En grande partie inaudible. DĂ©crit apparemment de vagues formes nuageuses mouvantes, qui vont et viennent.]
VB : Reste concentrée sur le miroir. Inspire profondément et laisse toutes les sensations corporelles s’évanouir. Tu peux parler aisément et sans effort. La conscience de ton corps s’évanouit tandis que tu plonges en profondeur dans le miroir. Décris simplement ce que tu vois.
Laura : Rien de particulier. Justes des lumières et des nuages informes. Des formes. Des figures géométriques.
VB : Choisis une de ces figures et regarde-la très attentivement ; décris simplement ce que tu vois.
Laura : [Descriptions de formes et de couleurs, de nuages de lumières, qui vont et viennent.]
VB : Continue Ă regarder. Peux-tu suivre une figure ?
Laura : Eh bien, c’est nébuleux. Des nuages qui se déplacent. Certains font de lentes volutes, certains passent simplement en virevoltant.
VB : Quand tu en vois un passer en virevoltant, tends le bras et ralentis-le.
Laura : Oh, on ne peut pas les ralentir.
VB : Accélère jusqu’à leur niveau pour les regarder de très près. Que vois-tu ?
Laura : Rien que des lumières et des nuages.
VB : Inspire à fond. Encore une fois. Et relâche. À chaque expiration, chaque expiration, tu te concentres de plus en plus sur les profondeurs du miroir. Inspire, et en relâchant, laisse ta conscience pénétrer plus profondément dans le miroir. Profondément dans le miroir. Bien. Que vois-tu ?
[Longue pause.]
VB : Profondément dans le miroir. Rien que les images dans le miroir. Profondément dans le miroir. Tu respires profondément dans le miroir. Cette pièce et ton corps sont le mirage. Ce que tu vois dans le miroir est la réalité. Ouvre-toi à elle. Ressens-la comme réelle, et décris ce que tu vois. A trois, tu laisseras s’estomper toute conscience sauf celle des images profondément enfouies dans le miroir. [Décompte.] Décris simplement ce que tu vois.
Laura : Des formes indéfinies et des couleurs et des lumières. Des figures qui attendent de prendre forme.
VB : DĂ©cris ce que tu vois.
Laura : Lumière géométrique. C’est ma seule façon de le décrire.
VB : Laisse aller et entre profondément dans le miroir. Entre profondément dans le miroir, ainsi, tu es dans l’espace du miroir. Tu es dans l’espace des lumières géométriques. Avec ton esprit, tu peux voir autour de toi dans l’espace ; dis-moi simplement ce que tu vois.
Laura : Le problème est que, une question spécifique doit être posée afin que quelque chose prenne forme. [Bruit d’un battement de cœur sur la cassette.] De vagues instructions ne mènent apparemment à rien, sauf à de vagues représentations informes.
VB : D’accord. Tu dois poser une question pour voir quelque chose. Relaxe-toi complètement. Reste ouverte et concentre-toi sur le miroir, à l’intérieur. Pose ta question.
Laura : Ce n’est pas à moi de demander.
VB : Pourquoi ça ?
Laura : Ce n’est pas approprié.
VB : Pourquoi ça ? OK ! Que ressens-tu en ce moment même ?
Laura : Des sensations de compression.
VB : Qu’est-ce qui comprime ?
Laura : Demander pour soi-même ne sert que soi-même. Je ne peux être celle qui demande. C’est dirigé vers l’intérieur, et ça comprime.
VB : [Claquement sonore.] Continue Ă regarder. Que ressens-tu maintenant ?
Laura : C’est mieux maintenant. Un danger est passé.
VB : Respire à fond. En expirant, replonge dans cet espace. Profondément dans l’espace. Vois les nuages. Nous aimerions que Laura voit une image des C’s. Pouvons-nous voir une image des Cassiopéens ?
Laura : En esprit.
VB : Tu regardes dans le miroir. Regarde-la se former. Dis-moi ce que tu vois ?
Laura : Des formes, de la lumière.
VB : Continue à regarder. Relaxe-toi, tu pénètres à l’intérieur. Pouvez-vous montrer cette image plus en détail à Laura ?
Laura : Je vois l’image d’une galaxie en spirale tourbillonnant dans l’espace.
VB : Pouvez-vous montrer la 4e densité à Laura ?
Laura : Cette formulation est inappropriée. Elle génère une compression ; compression dans ma poitrine.
VB : Pourquoi ?
Laura : Parce que c’est formulé de manière à être une question qui vient du soi et qui est destiné au soi.
VB : Sur la planche, vous avez dit que Laura pourrait voir la quatrième densité si nous regardions dans le miroir. Que vouliez-vous dire ? Pouvez-vous montrer à Laura ce que vous vouliez dire ?
Laura : Que souhaites-tu voir à propos de la quatrième densité ?
VB : Essaye de ne pas fusionner avec le miroir. Quelle est la chose importante que Laura doit voir à propos de la quatrième densité ? Importante au point qu’il faille le voir maintenant ? Montrez-le-lui.
Laura : Cette requête est inappropriée.
VB : Sur la planche, vous avez dit que Laura devait regarder maintenant dans le miroir, qu’il y avait une raison à cela, et que cela impliquait de voir la quatrième densité.
Laura : Il y a beaucoup de questions.
VB : Vas-y.
Laura : Pourquoi ne les poses-tu pas ?
VB : [Son ton se durcit, tension dans la voix.] Laura, Je veux que tu fasses en sorte de voir ou d’entendre les C’s et que tu répètes ce qu’ils te disent. Ne réponds pas seulement avec ta voix à toi. Comprends-tu ?
Laura : Je comprends que ça passe à travers moi.
VB : D’accord. C’est ce que je dis. Vois-le ou entends-le dans le miroir. OK ? Vois-le, entends-le en provenance du miroir. Connecte-toi par l’intermédiaire du miroir. Et laisse parler l’être dans le miroir. Pourquoi Laura doit‑elle voir la quatrième densité maintenant ?
Laura : Les réponses aux questions peuvent être obtenues par la vision lorsque les questions sont employées de manière appropriées.
VB : [Visiblement irrité.] OK, maintenant Laura, regarde juste dans le miroir, garde tes yeux sur le miroir, et littéralement, que vois-tu ?
Laura : Je vois des rais de lumière sur la gauche, des lumières tourbillonnantes en haut à droite, des fluctuations de lumière dans les profondeurs au centre, des lumières clignotant au hasard, des images informes qui vont et viennent.
VB : [Ton très autoritaire] OK. Montrez à Laura ce qu’elle doit voir MAINTENANT.
Laura : La question doit être posée spécifiquement en utilisant les termes appropriés.
VB : Que doit-elle voir en quatrième densité maintenant ?
Laura : RĂ©ponses aux questions.
VB : Comment verra-t-elle ces réponses ?
Laura : Lorsque les questions sont posées.
VB : Comment verra-t-elle ces réponses ?
Laura : Lorsque les questions sont posées, les réponses apparaissent. Des questions vagues reçoivent des réponses vagues.
VB : Donc il n’y a rien que vous ayez besoin de communiquer, outre les réponses aux questions que nous posons ?
Laura : Ce n’est que si tu demandes que tu peux recevoir une réponse.
[Long silence]
VB : OK, Laura, inspire à fond. Ressens où tu es, ressens ton état psychique, ressens l’ouverture dans le miroir. Maintenant, je veux que tu laisses ça derrière toi, et je veux que tu sortes consciemment du miroir. Je veux que tu regardes ta connexion au miroir, entre la chaise et le miroir ; et que vois-tu ?
Laura : Je vois une forme ressemblant Ă une silhouette.
VB : Dans le miroir ?
Laura : Oui. C’est comme une silhouette découpée.
VB : OK, continue à regarder la silhouette découpée.
[Fin de la cassette de quarante-cinq minutes. continue sur l’autre face à mi – phrase.] [Vous pouvez écouter la cassette au format MP3 (le fichier fait presque 6MB) sur http://cassiopaea.com/audio/mirror1.mp3
VB : La silhouette commence à changer. En regardant, tu seras capable de voir davantage. Qu’est-ce qui se passe avec la silhouette ?
Laura : La silhouette est lĂ , et il y a des images qui virevoltent dans les profondeurs. Informes.
VB : Que vois-tu dans l’obscurité ?
Laura : Des lumières, qui émergent et s’évanouissent.
VB : Suis les lumières. Suis les lumières. Continue à regarder les lumières. Que font-elles ? Où vont-elles ?
Laura : Elles viennent du centre et Ă©tincellent dans toutes les directions.
VB : Concentre-toi sur le centre. Laisse ta conscience traverser ce centre. Continue Ă regarder. DĂ©cris ce que tu vois quand tu traverses le centre.
Laura : Ça bouge, ça ondule.
VB : Maintenant, reste en contact avec l’ondulation. Ressens cette ondulation.
Laura : Ooh ! Regardez ça !
VB : Qu’as-tu vu ? Décris-le.
Laura : De la lumière vivante. De la lumière iridescente. Des formes iridescentes. Comme des œufs chatoyants.
VB : Les vois-tu maintenant ?
Laura : Non. Ils ont émergé et se sont évanouis.
VB : Ressens cette obscurité ondoyante.
Laura : Oui. Elle est violette.
VB : [Sur un ton très tranchant] Quel est l’objectif de ce travail avec le miroir ?
Laura : Se lier à une autre réalité.
VB : Quelle réalité ?
Laura : Quatrième densité.
VB : Et Ă quoi dois-tu le lier.
Laura : La conscience. Lorsqu’on voit, la prise de conscience s’étend. Et plus la prise de conscience s’étend, plus on devient capable de fonctionner dans cette réalité, de se libérer des restrictions et des tromperies.
VB : Peux-tu revoir les Ĺ“ufs ?
Laura : Maintenant, je vois un rai de lumière qui descend de la gauche vers la droite, comme un rayon de lumière.
VB : Je veux que tu t’imagines en train de te déplacer dans cette lumière. Tu te vois dans le miroir en train de te déplacer dans ce rayon de lumière. Est-ce que quelque chose change ?
Laura : Tout est plus brillant.
VB : Comment te sens-tu dans le rayon de lumière ?
Laura : Bien. Ça pulse.
VB : Permettez-vous à Laura de voir – ou bien Laura peut-elle voir…
Laura : Si la question appropriée est posée.
VB : Laura peut-elle voir ce qui se passe Ă travers le miroir ?
Laura : Si la question appropriée est posée.
VB : Pouvez-vous montrer à Laura où se trouve l’artefact ?
Laura : Quel artefact ?
VB : L’artefact qui a été évoqué sur la planche, avant.
Laura : Au moment approprié.
VB : Donc ça veut dire que vous pourriez nous le montrer, mais pas maintenant ?
Laura : Plusieurs étapes doivent précéder cela.
VB : Pouvez-vous nous parler de ces Ă©tapes ?
Laura : Tu dois poser une question simple. Elle doit être formulée simplement et en termes spécifiques.
VB : [Ton vif et impatient] Quelqu’un d’autre veut tenter de poser une question ?
Ark : Peux-tu voir l’arbre de la Kabbale ? Sa structure réelle ? À travers toutes les densités ?
Laura : Humm ! Pour en donner une représentation aussi proche que possible, il semble que ce soit…
VB : [Interrompt] Peux-tu t’autoriser à le voir en regardant à travers le miroir…
Laura : [Ignorant visiblement VB] Tiens, c’est très étrange.
VB : DĂ©cris.
Laura : Aaaah ! C’est un lieu très fluide ! Ouaaah !
VB : Décris. Qu’entends-tu par « fluide ? »
Laura : Ahh ! Eh bien, il ne s’agit pas de faisceaux de lumière. C’est… on dirait des cordes ou des ficelles. Tu as parlé de l’arbre de la Kabbale et soudain, je vois des cordes et des ficelles, des structures… l’objet que nous avons dessiné pour représenter l’arbre de la Kabbale est très structuré et statique, et n’a rien à voir avec l’arbre tel qu’il est en réalité ! Le voilà – et c’est quasi indescriptible.
VB : Continue à regarder. Que se passe-t-il pendant que tu regardes ? Vois-tu toujours l’arbre ?
Laura : Oui, c’est de la lumière vivante et mouvante, connectée tel un vaste réseau avec d’infinis…
VB : [Interrompt] Pouvez-vous montrer Ă Laura la machine Ă voyager dans le temps ?
Laura : Aimerais-TU voir la machine Ă voyager dans le temps ?
VB : Bien sûr. Pouvez-vous montrer à Laura la machine à voyager dans le temps ?
Laura : Cette requête est inappropriée.
VB : Pourquoi cela ?
Laura : Elle n’est pas formulée correctement.
VB : Laura peut-elle voir la machine Ă voyager dans le temps ?
Laura : Aimerais-TU voir la machine Ă voyager dans le temps ?
VB : J’aimerais que Laura voie la machine à voyager dans le temps et qu’elle nous la décrive.
Laura : Il semble que ce soit un objet à peu près de la taille d’une très grosse huche à pain. Il émane de lui un champ, ou un rayon lumineux. Je ne sais pas s’il suffit juste d’être en contact avec, ou de se tenir à l’intérieur du rayon, ou s’il suffit de se tenir à proximité. Il est clair qu’on n’entre pas « dedans », comme dans les films. Le champ qu’il génère est l’élément important. Le rayon ressemble à ce qu’on peut voir dans les films – des rayons qui balaient le ciel ; ça ressemble à ça, sauf que ça a une forme. Ce n’est pas long, droit et tubulaire, ça a plutôt la forme d’un cône. Donc oui, le voilà , c’est…
VB : [Interrompt] Maintenant, je veux que tu restes concentrée…
Laura [Ignore l’interruption]…la machine a des angles, des plaques de métal, et la structure elle-même est comme une sorte de tube géométrique…
VB : Laura sera-t-elle capable de la mémoriser et de la dessiner ?
Laura : En fait, bizarrement, sa forme rappelle celle de l’arbre de vie statique vu de côté, dédoublé et inversé, comme avec un ruban de Möbius…
VB : Est-ce que c’est l’Arche ?
Laura : Ouais… c’est…
VB : Arche. L’arche de Noé. L’Arche d’alliance… l’Arche du Temps…
Laura : L’objet dont tu parles va à l’intérieur… c’est le champ…
VB : Maintenant, continue à regarder, et reste à l’extérieur du miroir ; pourriez-vous montrer à Laura afin qu’elle puisse nous le décrire, de quelle époque vient cette machine ?
Laura : Ah ! C’est bizarre. La réponse qui vient est 10,000 av. J.-C.
VB : Où se trouve-t-elle, dans notre futur immédiat ?
Laura : Oui.
VB : Pouvez-vous montrer à Laura où elle se trouve dans le futur immédiat ?
Laura : Dans le futur immédiat.
VB : Pouvez-vous lui montrer où elle se trouve sur la planète, au moment où elle pénètre dans notre futur ?
Laura : Au moment approprié.
VB : Pourquoi n’est-ce pas le moment approprié ?
Laura : Parce qu’il y aurait danger.
VB : Reste de notre côté… 10,000 av. J.-C. Où se trouvait-elle entre cette date et le futur immédiat ?
Laura : Elle a été découverte et utilisée de nombreuses fois. Elle a été utilisée dans des buts très négatifs, et il a été jugé approprié de la récupérer…
VB : [Interrompt] Ne te laisse pas aspirer par le miroir… reste de ce côté !
Laura : [Remarques inaudibles]
VB : Pouvez-vous montrer à Laura, afin qu’elle puisse nous la décrire, la situation catastrophique de notre futur, notre futur proche ?
Laura : Il semble qu’il y aura une progression. Comme la pluie qui commence à tomber, lorsque les premières grosses gouttes tombent ; ensuite une pause suivie de quelques autres gouttes ; et ensuite, une averse.
VB : DĂ©cris ce que tu vois ?
Laura : Je vois des roches – mais elles ne sont pas très grosses. Elles sont de la taille du poing. Justes quelques‑unes. Et elles font sensation. Un tumulte. De l’excitation parmi la population… les gens seront bouleversés. On dirait qu’il y en a seulement deux – deux petits rochers. Et puis plus rien pendant un temps, et alors les gens oublient. L’excitation retombe. Et alors, un troisième, un quatrième, un cinquième et un sixième – et peut-être même un septième… des événements isolés, du moins en apparence. Toujours petits. Et alors, un gros. Tout cela se produira sur une période de plusieurs mois.
VB : Inspire à fond, reste de ce côté du miroir… regarde à travers. Continue à regarder ; regarde à travers le miroir. Voulez-vous montrer à Laura, afin qu’elle puisse nous la décrire, la situation concernant Perceval, Perceval Trois ?
Laura : La machine temporelle mentionnée précédemment, placée précisément à un endroit spécifique – et ce n’est pas tout à fait clair si l’action – il y a un choix à faire dans le temps, tu sais…
VB : Quel genre de choix ?
Laura : Un groupe peut partir avec la machine, ou un groupe peut unifier sa conscience et utiliser l’appareil pour détourner la Terre de la voie de la destruction. Ce n’est pas un changement en termes matériels, c’est un changement dans le temps.
VB : De sorte que la comète frappera à l’endroit où la Terre ne se trouve plus ?
Laura : Exact.
VB : Quel type de saut [temporel] cela nécessite-il ?
Laura : Oh ! Eh bien temporellement parlant, rater de peu ou beaucoup, c’est toujours rater !
VB : Quel saut dans le temps faudrait-il ?
Laura : Un jour.
VB : L’espace parcouru par la Terre au cours d’une rotation sur son axe suffit à éviter un impact direct ?
Laura : Oui.
VB : Quels seraient les effets causés par un saut de vingt-quatre heures en arrière ou en avant sur la Terre et tous ses habitants ?
Laura : Si on peut le faire, après le basculement, la plupart des gens oublieront qu’il y a jamais eu danger.
VB : Est-ce une bonne chose ?
Laura : [Soupirs]
VB : Ouais, je sais. Question piège. Maintenant, inspire profondément. Retire-toi, sors légèrement. Permettez à la conscience de Laura de m’entendre clairement. Y a-t-il quoi que ce soit qui te dérange dans ce contact ? Quoi que ce soit que tu ressentes consciemment tandis que tu maintiens ta connexion ? Quoi que ce soit qui te perturbe.
Laura : Il y a juste une perturbation au niveau du questionnement. Le questionnement comprime et oriente la conscience. Le questionnement doit être ouvert, et c’est comme si la réponse ne peut être transmise de façon inaltérée que si la question est formulée sans a priori. Pour que j’agisse comme intermédiaire de ce qui est visionné, pour que les autres puissent poser des questions, les questions ne doivent pas restreindre. Cette restriction est ressentie physiquement. Il y a une compression instantanée, lorsque la question est formulée de manière à m’empêcher de me la poser à moi-même – mon moi qui demande à mon autre moi – au lieu d’assumer toi-même la question. Comprends-tu ?
VB : Eh bien, ma question suivante est, pourquoi Laura glisse-t-elle sans cesse à l’intérieur du miroir ? Pourquoi est-ce si difficile pour elle de rester de ce côté ?
Laura : Ahhh… Il y a la formation d’un lien de conscience. Il y a un autre soi, dans ce futur proche, qui est moi. C’est moi, qui communique avec moi ; ce sont les C’s qui s’approchent de moi ; et parce que c’est plus proche de la quatrième densité, il est plus facile de communiquer dans un sens et dans l’autre si je fusionne avec moi-même dans le futur. C’est comme rapprocher deux bulles de savon l’une de l’autre – elles deviennent une. Ce n’est pas la chose négative que tu…
VB : Il me semble que nous voulons éviter que ça se produise.
Laura : Pas nécessairement. Chacun d’entre nous doit commencer à fusionner avec le soi supérieur en termes de conscience… [Inaudible]
VB : Pourquoi est-ce que je perçois de la négativité ?
Laura : Insécurité.
VB : Je suis tout à fait à l’aise avec ma propre énergie. C’est le seul facteur qui entre en jeu ici ?
Laura : Oooh ! [Voit apparemment quelque chose dans le miroir]
VB : Qu’est-ce que tu vois ?
Laura : Eh bien, c’est comme un mélange entre des chiots et des fleurs… [Fin de la cassette]
…quelque chose qui était avec toi ; je ne peux pas dire si c’était toi ou autour de toi ; quelque chose que tu portes encore avec toi, on dirait presque une valise très lourde. En fait, on dirait que tu dois forcer pour la fermer, tu montes dessus, tu fourres des affaires dans l’espace qui reste, et tu attaches la valise avec des sangles parce qu’elle est sur le point d’éclater.
VB : OK, maintenant regarde profondément dans le miroir, à travers le miroir. Continue simplement à décrire ce que tu vois.
Laura : Hummm. Maintenant je vois des lumières et des nuages mouvants informes.
VB : Continue à te déplacer à travers cette obscurité mouvante et violette. Dans cet espace, regarde autour de toi très attentivement et dis-moi ce que tu vois.
Laura : [Inaudible]
VB : Permettez-vous à Laura de regarder autour d’elle, dans l’espace, afin qu’elle puisse nous le décrire ?
Laura : Eh bien, c’est drôle, as-tu jamais vu un dessin animé avec un bonhomme en forme de rayons ? [Rit] Oh, c’est marrant. C’est à ça que ça ressemble.
VB : La silhouette en bâton ressemble à une baguette de sourcier ?
Laura : Non. C’est… c’est… [Rire] Quel jeu de mots ! Ils sont tellement drôles ! Cœur. Tu connais l’expression « cœur de l’être? » Eh bien, ce n’est pas une blague ! [Rire] Figure-toi comme un être de lumière, dans un sens, et dans un autre, pas aussi nébuleux que certains pourraient le penser. Il y a de la plasticité. Tu sais à quel point, dans cette réalité, la substance solide semble être bien arrêtée, et nous n’avons aucun contrôle dessus ? Eh bien, en quatrième densité, il y a de la substance nébuleuse partout, et il y a le « cœur de l’être », qui peut amasser cette substance par un acte de volonté. Elle se structure alors davantage, de la même façon que, dans notre réalité, la nourriture devient notre corps, même s’il faut une longue période d’assimilation et de conversion. Mais là -bas, c’est assez rapide… Il y a le cœur de l’être – et c’est vraiment un cœur !
VB : Comme le cœur d’une pomme ?
Laura : Non, un cœur – quasi tubulaire. Mais tu sais, la plupart des gens ne l’utilisent pas comme tel, parce qu’ils aiment jouer avec les matériaux disponibles. C’est plus amusant. Mais ce n’est pas nécessaire, et dans des circonstances différentes, ils peuvent retirer toutes ces choses, exactement de la même manière que nous retirons nos vêtements. [Inaudible] C’est juste que ça a plus de valeur.
VB : Là , tu utilises « tu. » Est-ce un terme général, ou est-ce que la silhouette en bâton, c’est moi ?
Laura : N’importe qui en quatrième densité.
VB : Sommes-nous en quatrième densité ?
Laura : J’y suis.
VB : Donc c’est TOI que tu es en train de voir en quatrième densité ?
Laura : MOI et d’autres.
VB : Donc la silhouette en bâton, c’est toi en quatrième densité ?
Laura : C’est la représentation visuelle du cœur de l’être de tout individu de quatrième densité. C’est l’essence.
VB : Inspire à fond. Il y a des mécanismes à l’œuvre dont je suis personnellement incertain. Y a-t-il quoi que ce soit que tu puisses me dire pour me faciliter la tâche ?
Laura : Peux-tu poser des questions plus spécifiques ? De quoi es-tu incertain, spécifiquement ?
VB : Je suis incertain de la nature du contact. Je suis incertain de la nature de la perception. Je suis incertain de la raison pour laquelle je suis impliqué de cette façon-là . Je suis incertain de la raison pour laquelle il est nécessaire de faire tout ça.
Laura : OK.
VB : Une réponse ?
Laura : Pose la question. Je ne peux pas répondre si tu ne demandes pas.
VB : Pourquoi ai-je ces incertitudes que je viens de citer ? Que pouvons-nous faire pour faciliter le processus ?
Laura : L’incertitude concerne – il est difficile de répondre, vu la manière dont tu as posé la question, « pourquoi tu as ces incertitudes. »
VB : Les incertitudes font-elles parties du processus ?
Laura : Comment perçois-tu les incertitudes ?
VB : Je perçois les incertitudes… L’incertitude est-elle liée à la façon dont je dois procéder ? Découle-t-elle de notre maladresse dans la conduite du processus ?
Laura : C’est un territoire inconnu ; c’est un processus inconnu pour toi en particulier, parce que sa nature essentielle requiert autant d’ouverture…
VB : [Interrompt vivement] D’ACCORD ! Pourquoi est-ce que je vois ce que Laura voit ?
Laura : C’est en grande partie lié à la raison qui fait que tu es actuellement impliqué dans le processus.
VB : Pourquoi suis-je impliqué dans le processus ?
Laura : C’est en rapport avec les liaisons génétiques, et aux choix faits à d’autres niveaux, des choix consistant à faire certaine choses à un certain moment dans le temps, à la fois à un certain moment dans le futur…
VB : Si je décidais de ne PAS le faire, quelle serait la conséquence ?
Laura : Quelqu’un d’autre débarquerait et remplirait ton rôle. L’Univers est infiniment capable de se prendre en charge.
VB : C’est ce qui se passe ici ? Est-ce que l’Univers est en train d’essayer de se prendre en charge ?
Laura : Oh, oui ! C’est…
VB : Que vois-tu ?!
Laura : Je vois juste que toi, moi, nous SOMMES l’Univers. Il agit à travers nous.
VB : Que devrions-nous faire – il faut qu’on sache – pour obtenir un financement pour nos recherches ?
Laura : [Rire] Eh bien, je dois dire que la première chose qui vient est une série de nombres, et je vais juste les donner – 6, 14, 25, 48, 52.
VB : Ce sont des dates ?
Laura : Je ne sais pas.
VB : Eh bien, demande-leur, ce sont des dates ?
Laura : Toi, demande-leur.
VB : [Crie] Ce sont des dates ?!
Laura : Non.
VB : Qu’est-ce que c’est ?
Laura : Des nombres Ă utiliser selon ton choix.
VB : Et que devrions-nous faire avec ces nombres ?
Laura : Tout ce que tu choisis de faire.
Ark : Je pense savoir quoi faire avec ces nombres.
VB : Est-ce une question ?
Ark : Non. [Inaudible]
VB : Bon, je ne te suis pas. Répète ?
Ark : Je pense qu’il s’agit probablement de chiffres du loto.
VB : Ce sont des chiffres du loto ?
Laura : Ça pourrait l’être.
VB : Pourquoi ne veux-tu pas être plus spécifique ? Je pose une question très spécifique ?
Laura : Ça pourrait être des chiffres du loto ; ils pourraient être utilisés de diverses façons. Ils pourraient concerner des choix faits au cours des trois prochains mois. Tu pourrais rencontrer quelqu’un concerné par ces nombres d’une certaine manière ; tu pourrais trouver ces nombres à la page d’un livre qui te dira ensuite quelque chose que tu as besoin de savoir. Ces choses ont plusieurs niveaux ; il y a un nombre infini d’applications ; donc ne te ferme pas à d’autres possibilités, en disant qu’il s’agit juste de « chiffres du loto ». C’est possible, mais ces nombres peuvent aussi être bien plus que cela.
VB : [Soupir d’exaspération] C’est suspect pour moi, ce nombre 52. Est-ce que j’exerce simplement mes soupçons ?
Laura : Tu peux l’inverser.
VB : Nous avons déjà un 25.
Laura : Donc tu as deux 52.
VB : D’accord. Allons dans une direction différente. Inspire profondément. Pouvez-vous montrer à Laura, afin qu’elle puisse nous le décrire, ce que nous devons faire pour passer à la prochaine étape ?
Laura : Demande sans limites, et tout se mettra en place naturellement. Ne t’inquiète pas, il y a des choses qui bougent dans des domaines dont nous ignorons tout, et qui convergeront de façon incroyable, et il est mieux de ne pas savoir.
VB : [Vivement] OK ! Pourquoi Ary était-il là aujourd’hui ? Peux-tu me donner la raison ?
Laura : Il est très intéressé ; il voudrait être aussi audacieux qu’il l’était par le passé ; et aussi libre. Toutefois, il ne lui sera peut-être pas possible de se libérer des liens qui le restreignent. Cependant, lorsque tu envoies de l’énergie dans n’importe quelle direction, même en direction d’un individu qui ne réagira pas comme tu l’espères… après t’avoir quitté, cet individu va emporter l’énergie avec lui dans le reste de la réalité. Et elle sera là , disponible pour quelqu’un d’autre. Toute énergie exercée vers un objectif, même si tu parles à 25 personnes qui ne sont pas les bonnes personnes, le fait que tu mettes de l’énergie dans un objectif ouvertement…
VB : [Interrompt vivement] Quelle Ă©tait cette image que tu viens de voir ?!
Laura : Eh bien, juste des lumières et des figures géométriques…
VB : OK, ces lumières ont une sorte de fonction. Quelle est leur fonction ?
Laura : Elles sont la substance d’images qui au final se fondront en une forme très solide et réaliste. Elles induisent la formation d’images.
VB : J’ai le sentiment que certaines de ces lumières, certains de ces germes de pensée, peu importe, veulent traverser le miroir pour pénétrer dans cette réalité. Cette présomption est-elle juste ?
Laura : Je ne vois pas ça du tout ; non.
VB : Qu’est-ce qui me donne cette impression ?
Laura : Eh bien, tu l’as dit : la présomption. Tu as beaucoup de présomptions. Il est très difficile de travailler, avec toutes ces présomptions. [Descriptions inaudibles des images dans le miroir]
VB : Et ça ne pénètre PAS dans notre réalité ?
Laura : Non. Elles se contentent de regarder. Comme des chiots amicaux ; des formes faites d’énergie. Elles sont mignonnes.
VB : Quelqu’un d’autre a une question ?
Ark : Que s’est-il passé, quand Vincent a senti quelque chose lui toucher le bras ?
Laura : Vincent a certains amis qui voyagent avec lui, et ils essaient de lui éviter les ennuis. Il semble que, dans ce cas particulier, quelqu’un lui a tapé sur l’épaule juste pour lui faire savoir que tout allait bien.
VB : Et quel genre d’amis voyagent avec moi ?
Laura : En fait, l’un d’eux ressemble à – il porte un costume, avec une chaîne de monte pendillant à la taille – mais il est pressé par le temps, c’est bizarre. Costume marron, bottines, taille moyenne ; il pointe souvent du doigt ; des lunettes. Il a de l’affection pour toi. Je ne peux pas dire qu’il s’agit d’un esprit qui s’est « attaché » à toi, mais il aime bien être près de toi.
VB : D’où vient-il ?
Laura : En fait, ce que je vois est manifestement une projection. Il projette cette image, et j’ai presque l’impression, étrangement, qu’il se pourrait que ce soit toi dans une autre vie.
VB : D’accord, ce n’est pas lui qui m’a tapoté l’épaule. [Effet de voix très puissant] Est-ce que les C’s m’ont tapoté l’épaule tout à l’heure ? Et dans le passé, est-ce que ce sont eux qui m’ont gravé une empreinte de main sur l’épaule ?
Laura : [Ressent une compression extrême et est incapable de résister à cet ordre/cette présomption, voix très basse et faible] Oui. [Sensation immédiate d’étouffement.]
VB : D’accord. Maintenant, les C’s savent parfaitement ce qu’il y a dans mes bagages. Veux-tu bien leur demander de te montrer ce qu’il y a dans mes bagages ?
Laura : Des sous-vêtements sales !! [Rires] [La compression se relâche soudainement et la réponse jaillit presque avant que VB ne termine sa question. Dès l’instant où la question est posée, la grosse valise pleine à craquer et sanglée mentionnée plus haut s’ouvre d’un coup, et des centaines de paires de sous-vêtements sales fusent dans tous les sens. Ils ne sont pas simplement sales, mais souillées de matière fécale, et c’est comme si, au lieu de les laver et d’admettre qu’elles avaient besoin d’être lavées, chaque paire de sous-vêtement avaient été dissimulée. De nouvelles paires avaient été ajoutées, qui, une fois souillées, étaient venues compléter la collection. Toutefois, cette imagerie n’a pas été voulue (par Vincent), et n’est donc pas exprimée verbalement] Pour comprendre ce qu’elle représente, voir Gnosis de Mouravieff. En particulier ce passage : « On voit que l’épreuve de la quatrième marche est décisive. Jusque-là , l’homme peut traîner, et traîne habituellement, les tares de son passé : mensonge, faiblesse, pitié de soi-même, compromis intérieurs. Généralement, il a le temps, les occasions et la possibilité de s’en débarrasser avant de s’engager sur la quatrième marche ; mais à cause du poids de ce passé, il perd du temps et laisse, au moins partiellement, échapper les occasions qui se présentent. »
VB : Continue à regarder ! Quoi d’autre ? Allez !
Laura : [Voix forte] Il y a des vêtements démodés vraiment drôles. Je te jure, ce pantalon – si tu le portais en public un jour, ne dis pas que tu me connais, il est horrible – et il a des bretelles. (C’est un pantalon de clown immense, très large et bariolé.) Il y a une valise en cuir.
VB : Ouvre la valise en cuir. Que vois-tu ?
Laura : Dans la valise en cuir, il y a un tas de petites bouteilles ; des flacons de pilules ; bleues. Il y a un nécessaire de rasage, un peigne ; il manque des dents au peigne…
VB : Vois-tu autre chose dedans ?
Laura : Il y a des mouchoirs, un vieux miroir, et des chemises blanches propres, jamais sorties de leur emballage. Tu n’as jamais porté ces chemises.
VB : Tu te débrouilles super bien. Maintenant, si les C’s avaient la gentillesse d’expliquer à Laura pourquoi je porte ces bagages…
Laura : Pourquoi tu les portes ? Parce que tu ne peux pas lâcher.
VB : Pourquoi je ne peux pas lâcher ?
Laura : Parce que tu veux toujours être préparé.
VB : Et à quoi suis-je préparé ?
Laura : Tu te prépares à faire un voyage, c’est une chose. Et tu as peur que quelque chose te fasse monter dans le mauvais train.
VB : Ouaip. Peux-tu traduire ce « mauvais train » en termes plus directs ?
Laura : Eh bien, il y a un truc marrant là -dedans. On dirait que le vrai problème est que tu penses que tu n’as pas d’argent pour acheter ce dont tu auras besoin à l’arrivée.
VB : [Ton cinglant] D’accord, c’est marrant et nous perdons du temps. Quelqu’un à une autre question ?
Orri : [Pose une question sur un problème de santé.] Y a-t-il une voie d’étude particulière à suivre pour mieux contribuer à l’accroissement du libre-arbitre ?
Laura : [Commentaire sur le problème de santé.] [Fin de la cassette. Gros morceau manquant au début de la cassette suivante.]
VB : Si les C’s avaient la gentillesse de donner à Laura un symbole qu’elle peut voir dans son esprit et qui lui permettra d’établir rapidement ce contact…
Laura : Je l’ai.
VB : As-tu besoin de le décrire ?
Laura : Non.
VB : Visionne-le très clairement Maintenant, tu vas couper le contact en regardant cette image s’évanouir. Et tandis qu’elle s’évanouit, le miroir va redevenir un simple miroir. Tu reviens dans ton corps. Inspire profondément. [Décompte pour le réveil.]
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Merci aux membres de l’équipe française pour cette traduction.
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Voir cette page pour le contexte de cette séance :
Mirror, Mirror On The Wall - Quantum Future Group
www.cassiopaea.org
SĂ©ance du 05 juillet 2001
Ark, Laura, Vincent Bridges, Orri E, Barry T
Q : Test. (L à VB) Chauffe-toi les doigts. Tu ne vas pas me lâcher, hein ? (VB) On ne sait jamais. J’essaierai de ne pas lui faire faire le tour de la table huit fois entre chaque lettre. J’ai vraiment du mal au début. (L) Bonsoir, il y a quelqu’un ? Bonsoir, bonsoir. [Pause extrêmement longue.] Bon. On est juste assis là , et il ne se passe rien. (A) A** vient de passer. Peut-être qu’il vaut mieux attendre. Ils n’aiment pas les enfants. (L) Ils adorent les enfants ; c’est juste qu’ils ne veulent pas les voir traîner dans le coin. Ce n’est pas sain pour eux. (VB fait une remarque inaudible) (L) Espèce d’incroyant ! [Rires] (VB) Ça ne les a pas arrêtés, la dernière fois. (L) Ils n’en pouvaient plus. Ils avaient quelque chose à dire, aussi. Peut-être qu’ils pensaient nous avoir dit tout ce que nous avions besoin de savoir. [Longue pause. L donne à VB des instructions sur la façon de placer son bras. La planchette commence à décrire des cercles et s’arrête net sur le Capricorne.] (L) Bonsoir. Il y a quelqu’un ?
R : 1
Q : (L) Avez-vous un nom ?
R : UC !
Q : U I C ?
R : O U regarder. [Le mot « regarder » figure en entier sur la planche, il n’a pas été épelé.]
Q : (L) 1 U chercher, O U regarder ?
R : S A R Attendre. [Ce dernier mot figure en entier sur la planche, il n’a pas été épelé.] Écouter. [Autre mot figurant en entier sur la planche.]
Q : Écouter ?
R : Oui. [Autre mot figurant en entier sur la planche.] M
Q : [Le pointeur s’arrête. Longue pause.] (VB) Ça s’est arrêté. (L) Il est entre le Sagittaire et le Capricorne.
R : Regarder. [Ă€ nouveau, indique un mot entier.]
Q : (L) Bon, qu’est-ce qu’ils ont dit jusqu’ici ? (A) Une fois « U C. » (VB) Que sommes-nous censés chercher, ou regarder ?
R : Lara regarder. [Épelé « Lara, » mot entier « regarder. »]
Q : (VB) Bon, ils ont épelé ton nom. (L) Ouais, mais ils ont oublié une lettre.
R : Laura regarder. [Nom épelé, mot entier « regarder. »]
Q : (VB) Il y a une raison que vous ayez omis le « u » ?
R : Oui. Lara L U C.
Q : (L) Qu’est-ce que « Lara Luc ? » (VB) OK, est-ce qu’on est en train de parler aux Cassiopéens ? Ou est-ce qu’on se balade dans le plan astral, ici ?
R : Cassiopée, Laura… [Le pointeur commence à tournoyer lentement.]
Q : (VB) OK, qu’est-ce que c’est que ça ? (L) Ça continue à tournoyer. Ça arrivait souvent au début. Ça accumule l’énergie. [Le pointeur continue à décrire des spirales.]
R : Fermeture d’aura.
Q : (VB) OK les gars, ne le faites pas voler par-dessus la planche ? [Le pointeur tournoie de plus en plus vite.] (A) Il tourbillonne très vite. (VB) Dans mon esprit, je vois une petite flamme verte en guise de pointeur. Je peux la suivre les yeux fermés tandis qu’elle se déplace sur la planchette. (L) Tu n’es pas censé avoir les yeux fermés. Ils sont censés être ouverts. (VB) J’y arrive mieux les yeux fermés. Hum, avez-vous quelque chose à dire sur cette petite flamme verte, les gars ? Quelque chose que vous voulez me dire à ce sujet ? [Pas de réponse. Le pointeur glisse des doigts de VB.] (VB) OK, merci de m’avoir filé entre les doigts. Et le pointeur s’est arrêté au même endroit. (L) Bon, ils ont dit qu’il faisait une « fermeture d’aura ? » (VB) Oui. C’est pour ça que j’ai posé la question sur la flamme verte.
R : 3 body junctim grounde rail motqetuh. [intraduisible – NdT]
Q : (L) Je ne sais pas ce qu’ils disent.
R : o s e over k o r e 5 k [intraduisible – NdT]
Q : (L) Ça s’est arrêté. Qu’est-ce qu’ils ont dit ? (VB remarque inintelligible) (L) Nous devons commencer quelque part, avant que le conduit soit harmonisé. Ça s’appelle « l’harmonisation. »
R : Nouvelle harmonisation. [Le pointeur tourbillonne.]
Q : (L) C’est pour ça qu’ils tourbillonnent. Et ils veulent juste tourbillonner. [Pause pendant que le pointeur continue à décrire des cercles.] Et ça te fatigue le bras. (VB) Peut-être que c’est le but ? [Long silence pendant que le pointeur continue de tourbillonner.] Je suis en train de m’harmoniser, là . (BT) Ça va te fatiguer le bras. (L) Ouais. C’est peut-être à cause du… (VB) Le désir du Frère sceptique de procéder d’une certaine manière ? [Le pointeur continue à tournoyer.] (L) Ça trépide, trépide, trépide. Bon sang, il trépide vraiment, hein ? (BT) Ça tourbillonne à tout va. (L) Mon bras va bientôt se disloquer. Bon ! Nous n’avons qu’à poser des questions, même si nous nous en tenons à des questions simples au départ.
R : Temps d’inciter tout le mon [pointeur tourbillonne] de à com (L soupire) (VB) Allez. (L soupire) prendre la ba ba balade.
Q : [VB se frotte l’épaule.] (L à VB) Tu as mal ? (VB) Ouais. (L) C’est bien. Il se passe quelque chose. (VB) Ouais, ouais. Le machin se déplace sur la planchette tellement vite que je ne peux pas… (L) Non, ça fait d’autres choses, fais-moi confiance. (VB) Qu’est-ce qu’on a ? (BT) « Temps d’inciter tout le monde à comprendre la balade. » (L) Autrement dit, tu es censé être le passager, pas le conducteur. Je pense qu’ils ont du mal à transmettre parce que tu aimes conduire, pas te faire balader. (VB) Eh bien, je fais de mon mieux… (L) Je sais. (VB) C’est tellement mieux que la dernière fois. (L) D’accord. Bon, je te le dis, c’est tout. Il y a probablement des raisons inconscientes à cela. (VB fait mine de parler dans le vide) C’est ma faute. Laissez-moi en dehors de ça [Irrité]. (L) Bon, n’insiste pas, c’est tout. Contente-toi d’apprécier. Tu es censé apprécier la balade. (VB) Est-ce que tu as aussi mal à l’épaule que moi ? [Rires.] (L) Non, mais avant, oui. Et sans doute sacrément plus.
R : Autre méthode autre objectif la planchette est bien pour harmoniser alors appréciez la balade !
Q : (L à VB) Bon, tu as besoin d’être harmonisé. (VB) Mais quelle est l’autre méthode, quel est l’autre objectif ? (A) Tu es libre de demander. (L) Est-il conseillé de poursuivre le travail avec la planchette ? En plus de l’autre méthode ? [Longue pause. Le pointeur tourbillonne.]
R : Faites-le ici tout de suite.
Q : (L) Faire quoi ici tout de suite ?
R : Le miroir.
Q : (L) Bon sang ! (VB) Je te dis, tu es peut-être en train de m’harmoniser… (A) On s’amuse bien ? (L) « Faites-le ici tout de suite ? » Pourquoi ? Désolée les gars, il fallait que je demande.
R : Voir 4e densité.
Q : (L) Ils ne vont pas me laisser tranquille avec ça, hein ?
R : Laura maintenant !
Q : (L) Est-ce que je vais voir nos 300.000 $ ?
R : Ouvert peut-être de nouvelles idées concernant finances regarde.
Q : (BT à L) OK, c’est juste toi, ou la pleine lune, ou quoi ? (L à BT) Eh bien, je ne crois pas que ça change quoi que ce soit. Nous l’avons fait avant avec Ark et VB. [Longue pause.] D’autres paroles de sagesse avant qu’on installe le miroir ? (VB) Euh, en fait les gars, j’ai quelques questions. Pourriez-vous m’aider un peu là , puisque je suis le « petit nouveau ? » Je sais qu’elle doit regarder dans le miroir, mais vous, que pouvez-vous me dire sur cette pratique bizarre ? Qu’est-ce que j’ai besoin de savoir, par exemple ?
R : Laura regarde.
Q : (VB) Très bien, allez, allez. Je n’ai pas encore fini ! Je suis têtu les gars, désolé. Si Laura regarde, y a-t-il quoi que ce soit que nous devrions savoir, afin de l’aider dans ce procédé ?
R : Hypnose Laura à l’avenir regard acte OK pas très humain labeur gains.
Q : (A) Qu’est-ce que ça veut dire ? (VB, sur un ton péremptoire) OK, l’« acte OK » veut dire, j’ai demandé en silence : « je ne veux pas hypnotiser Laura ; j’ai peur d’être un nouveau Dr Puharich ». Alors, je crois que « acte OK » était, ils m’ont répondu en plein milieu, ce qui a pu donner la remarque « très humain » parce que je résistais… Oh, non, non, je ne veux pas faire ça ; vous les gars, vous ne voulez vraiment pas faire ça ? (L) Eh bien, tu dois te rappeler, VB, de toutes les tentatives pour m’empêcher d’apprendre à le faire naturellement, il faut les surmonter, et il ne nous reste pas beaucoup de temps. (VB) OK. Je préférerais le faire d’une autre façon, mais je suppose qu’ils ne m’aident pas beaucoup, n’est-ce pas ? (L) Eh bien, pourquoi ne poses-tu pas une question au miroir ? (VB) Bien, c’est très intéressant, n’est-ce pas ? (L) C’est la pleine lune. [Longue pause.] (VB) OK les gars, j’ai l’impression que vous êtes en train de nous dire… [Fin de la cassette, VB répète la question perdue sur l’autre face.] Êtes-vous en train de me dire que l’unique raison de ma présence ici est de faire en sorte qu’elle plonge suffisamment en profondeur pour voir à travers le miroir ? Si ce n’est pas l’unique raison, peut-être une grosse partie de la raison ?
R : [Long silence. Pas de réponse.]
Q : (VB) Dites quelque chose les gars.
R : Perceval.
Q : (VB) OK, nous sommes cinq ici-mĂŞme. Est-ce que cela change quelque chose ?
R : Oui.
Q : (VB) Est-ce qu’il faut qu’on soit à nouveau trois pour le travail avec le miroir ?
R : Non. T I u e t h u l t o i t
Q : (L) Qu’est-ce que c’était que ça ? Essayez encore, les gars. (VB) Attendez, attendez, attendez, attendez. (L) C’était quoi, ce mot ? Ce « tiue » machin chose ?
R : Te lie à lui guide Laura miroir regarde pièce est mirage.
Q : (L) Qu’est-ce que c’est ? (VB) D’habitude, ils n’épellent pas aussi mal. OK, soyez un peu plus clairs, s’il vous plaît, concernant « pièce est mirage ». Qu’entendez-vous par là ?
R : Les gens dans la pièce perçoivent le mirage.
Q : (L) Oh, je vois. Les gens dans la pièce ajoutent de l’énergie à la vision, et donc, la transmission est meilleure, l’image plus claire, c’est ce que vous voulez dire ?
R : Oui.
Q : (VB) OK, nous allons regarder dans le miroir. Nous allons le faire dès que vous aurez terminé la question suivante. Mais vous devez nous donner les étapes. Vous devez nous dire exactement comment procéder.
R : Remarquez que la perception n’est que mirage et recherchez uniquement ce qui est réel.
Q : (VB) Qu’est-ce que c’est que ça ? (BT relis la phrase) C’est une réponse directe à ta question concernant les étapes à suivre. (VB) Les gars, ça n’aide pas du tout. (A) Remarquez que la perception, c’est ça ? N’est qu’un mirage, c’est ça ? (VB) Mais ils disent que la perception de tous ceux qui sont dans la pièce devrait être un mirage, que nous donnons de l’énergie au mirage, alors comment voir à travers le mirage ?
R : Les personnes aident à déplacer la perception de façon satisfaisante lancer le démarrage.
Q : (VB) OK. Y a-t-il autre chose ? Si rien, nous allons passer tout de suite au miroir. Autre chose qu’il nous faut savoir ?
R : [Pas de réponse. Longue pause.]
Q : (VB) Personne, absolument personne ne vient de bouger à côté de moi, là tout de suite. Personne n’a bougé ? (A et B) Non. (L) Pourquoi ? (V) Ooooh, rien. (A) Quelque chose t’a touché ? (VB) Exactement. Alors quoi, j’ai besoin d’une autre tape sur l’épaule. (B) C’était l’épaule droite ? (VB) Ouais. [Fin de la cassette.]
SĂ©ance du miroir
VB : Tout en respirant, reste concentrée sur le miroir. Et, du coin de l’œil, soit consciente de la pièce. Tu peux voir presque toute la pièce du coin de l’œil. Reste concentrée sur le miroir. Inspire profondément, relâche, inspire à nouveau profondément, relâche. Tout en respirant, laisse les perceptions de la pièce s’estomper. La pièce où nous sommes assis est un mirage. Elle est vide. Il n’y a rien d’autre ici que toi et le miroir. Regarde tout au fond du miroir, et laisse les perceptions de tout ce qu’il y a dans la pièce s’estomper. Comme si c’était un mirage dans le désert, ondulant, disparaissant, jusqu’à ce qu’il ne reste plus que le miroir. Tu vois la surface du miroir, tu perçois une limite, ou une surface au miroir. Tout le reste s’efface. En regardant dans le miroir, c’est comme si tu plongeais ton regard dans une eau très calme. Plonge ton regard dans cette surface, laisse s’effacer le reste de la pièce. Tu respires confortablement, tu te relaxes en profondeur, tu te concentres sur le miroir. Tu laisses la pièce s’effacer jusqu’à ce qu’il ne reste plus que le miroir. Je veux que tu te concentres sur le miroir ; tu sens la pièce qui s’estompe. Laisse venir la concentration totale ; toute ta conscience, toute ton énergie ; concentrées sur le miroir ; tu ressens cette limite, la surface du miroir. Dans un petit moment, je vais compter de dix à un. À chaque décompte, tu sentiras ton corps devenir très léger, s’estomper comme le reste du mirage. À chaque décompte, tandis que ton corps s’estompe, tu vas sentir ta conscience traverser la frontière, et lorsque j’arriverai à un, tu regarderas, les yeux ouverts, profondément dans le miroir, par-delà la frontière, et profondément dans le miroir, tu ne verras que ce qui est réel. Maintenant, alors que je vais compter de dix à un, tu sens ton corps s’effacer, jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien que ta focalisation sur le miroir. En te concentrant sur le miroir, plonge ton regard à l’intérieur, pénètre sa surface, et quand j’arriverai à un, tu auras plongé en profondeur dans le miroir, et tu verras uniquement ce qui est réel. Maintenant je compte : [décompte.]
Concentrée profondément sur le miroir, laisse juste les énergies se manifester. Tu te concentres sur le miroir. Sous la surface. Laisse juste les énergies venir à la surface. Tu gardes les yeux ouverts maintenant, restes concentrée sur miroir, commence à ressentir, à voir ou à percevoir ce qui est enfoui au fond du miroir. Tu restes concentrée sur le miroir ; ressens simplement ton corps ; en restant concentrée sur le miroir, laisse juste les sensations corporelles s’éloigner.
Respirations profondes et lentes. Concentrée sur le miroir. Laisse toutes les sensations corporelles s’estomper. Tout inconfort, toute tension, laisse-les simplement s’estomper. Tu restes concentrée sur le miroir. Tu laisses les énergies émerger. Tu regardes profondément dans le miroir.
Décris simplement ce que tu vois, et ce que c’est.
[Longue pause.]
Quoi que ça puisse être – commence – laisse le simplement émerger.
[Longue pause.]
Quoi que ça puisse être, décris simplement ce que tu vois dans le miroir.
Laura : Des lumières.
VB : Bien. Continue à regarder. Toutes les lumières. Continue simplement à décrire ce que tu vois.
Laura : Des nuages de plasma.
VB : Reste juste concentrée sur le miroir. Sur les nuages. Dis-moi juste ce que tu vois. Décris simplement ce que tu vois.
Laura : [En grande partie inaudible. DĂ©crit apparemment de vagues formes nuageuses mouvantes, qui vont et viennent.]
VB : Reste concentrée sur le miroir. Inspire profondément et laisse toutes les sensations corporelles s’évanouir. Tu peux parler aisément et sans effort. La conscience de ton corps s’évanouit tandis que tu plonges en profondeur dans le miroir. Décris simplement ce que tu vois.
Laura : Rien de particulier. Justes des lumières et des nuages informes. Des formes. Des figures géométriques.
VB : Choisis une de ces figures et regarde-la très attentivement ; décris simplement ce que tu vois.
Laura : [Descriptions de formes et de couleurs, de nuages de lumières, qui vont et viennent.]
VB : Continue Ă regarder. Peux-tu suivre une figure ?
Laura : Eh bien, c’est nébuleux. Des nuages qui se déplacent. Certains font de lentes volutes, certains passent simplement en virevoltant.
VB : Quand tu en vois un passer en virevoltant, tends le bras et ralentis-le.
Laura : Oh, on ne peut pas les ralentir.
VB : Accélère jusqu’à leur niveau pour les regarder de très près. Que vois-tu ?
Laura : Rien que des lumières et des nuages.
VB : Inspire à fond. Encore une fois. Et relâche. À chaque expiration, chaque expiration, tu te concentres de plus en plus sur les profondeurs du miroir. Inspire, et en relâchant, laisse ta conscience pénétrer plus profondément dans le miroir. Profondément dans le miroir. Bien. Que vois-tu ?
[Longue pause.]
VB : Profondément dans le miroir. Rien que les images dans le miroir. Profondément dans le miroir. Tu respires profondément dans le miroir. Cette pièce et ton corps sont le mirage. Ce que tu vois dans le miroir est la réalité. Ouvre-toi à elle. Ressens-la comme réelle, et décris ce que tu vois. A trois, tu laisseras s’estomper toute conscience sauf celle des images profondément enfouies dans le miroir. [Décompte.] Décris simplement ce que tu vois.
Laura : Des formes indéfinies et des couleurs et des lumières. Des figures qui attendent de prendre forme.
VB : DĂ©cris ce que tu vois.
Laura : Lumière géométrique. C’est ma seule façon de le décrire.
VB : Laisse aller et entre profondément dans le miroir. Entre profondément dans le miroir, ainsi, tu es dans l’espace du miroir. Tu es dans l’espace des lumières géométriques. Avec ton esprit, tu peux voir autour de toi dans l’espace ; dis-moi simplement ce que tu vois.
Laura : Le problème est que, une question spécifique doit être posée afin que quelque chose prenne forme. [Bruit d’un battement de cœur sur la cassette.] De vagues instructions ne mènent apparemment à rien, sauf à de vagues représentations informes.
VB : D’accord. Tu dois poser une question pour voir quelque chose. Relaxe-toi complètement. Reste ouverte et concentre-toi sur le miroir, à l’intérieur. Pose ta question.
Laura : Ce n’est pas à moi de demander.
VB : Pourquoi ça ?
Laura : Ce n’est pas approprié.
VB : Pourquoi ça ? OK ! Que ressens-tu en ce moment même ?
Laura : Des sensations de compression.
VB : Qu’est-ce qui comprime ?
Laura : Demander pour soi-même ne sert que soi-même. Je ne peux être celle qui demande. C’est dirigé vers l’intérieur, et ça comprime.
VB : [Claquement sonore.] Continue Ă regarder. Que ressens-tu maintenant ?
Laura : C’est mieux maintenant. Un danger est passé.
VB : Respire à fond. En expirant, replonge dans cet espace. Profondément dans l’espace. Vois les nuages. Nous aimerions que Laura voit une image des C’s. Pouvons-nous voir une image des Cassiopéens ?
Laura : En esprit.
VB : Tu regardes dans le miroir. Regarde-la se former. Dis-moi ce que tu vois ?
Laura : Des formes, de la lumière.
VB : Continue à regarder. Relaxe-toi, tu pénètres à l’intérieur. Pouvez-vous montrer cette image plus en détail à Laura ?
Laura : Je vois l’image d’une galaxie en spirale tourbillonnant dans l’espace.
VB : Pouvez-vous montrer la 4e densité à Laura ?
Laura : Cette formulation est inappropriée. Elle génère une compression ; compression dans ma poitrine.
VB : Pourquoi ?
Laura : Parce que c’est formulé de manière à être une question qui vient du soi et qui est destiné au soi.
VB : Sur la planche, vous avez dit que Laura pourrait voir la quatrième densité si nous regardions dans le miroir. Que vouliez-vous dire ? Pouvez-vous montrer à Laura ce que vous vouliez dire ?
Laura : Que souhaites-tu voir à propos de la quatrième densité ?
VB : Essaye de ne pas fusionner avec le miroir. Quelle est la chose importante que Laura doit voir à propos de la quatrième densité ? Importante au point qu’il faille le voir maintenant ? Montrez-le-lui.
Laura : Cette requête est inappropriée.
VB : Sur la planche, vous avez dit que Laura devait regarder maintenant dans le miroir, qu’il y avait une raison à cela, et que cela impliquait de voir la quatrième densité.
Laura : Il y a beaucoup de questions.
VB : Vas-y.
Laura : Pourquoi ne les poses-tu pas ?
VB : [Son ton se durcit, tension dans la voix.] Laura, Je veux que tu fasses en sorte de voir ou d’entendre les C’s et que tu répètes ce qu’ils te disent. Ne réponds pas seulement avec ta voix à toi. Comprends-tu ?
Laura : Je comprends que ça passe à travers moi.
VB : D’accord. C’est ce que je dis. Vois-le ou entends-le dans le miroir. OK ? Vois-le, entends-le en provenance du miroir. Connecte-toi par l’intermédiaire du miroir. Et laisse parler l’être dans le miroir. Pourquoi Laura doit‑elle voir la quatrième densité maintenant ?
Laura : Les réponses aux questions peuvent être obtenues par la vision lorsque les questions sont employées de manière appropriées.
VB : [Visiblement irrité.] OK, maintenant Laura, regarde juste dans le miroir, garde tes yeux sur le miroir, et littéralement, que vois-tu ?
Laura : Je vois des rais de lumière sur la gauche, des lumières tourbillonnantes en haut à droite, des fluctuations de lumière dans les profondeurs au centre, des lumières clignotant au hasard, des images informes qui vont et viennent.
VB : [Ton très autoritaire] OK. Montrez à Laura ce qu’elle doit voir MAINTENANT.
Laura : La question doit être posée spécifiquement en utilisant les termes appropriés.
VB : Que doit-elle voir en quatrième densité maintenant ?
Laura : RĂ©ponses aux questions.
VB : Comment verra-t-elle ces réponses ?
Laura : Lorsque les questions sont posées.
VB : Comment verra-t-elle ces réponses ?
Laura : Lorsque les questions sont posées, les réponses apparaissent. Des questions vagues reçoivent des réponses vagues.
VB : Donc il n’y a rien que vous ayez besoin de communiquer, outre les réponses aux questions que nous posons ?
Laura : Ce n’est que si tu demandes que tu peux recevoir une réponse.
[Long silence]
VB : OK, Laura, inspire à fond. Ressens où tu es, ressens ton état psychique, ressens l’ouverture dans le miroir. Maintenant, je veux que tu laisses ça derrière toi, et je veux que tu sortes consciemment du miroir. Je veux que tu regardes ta connexion au miroir, entre la chaise et le miroir ; et que vois-tu ?
Laura : Je vois une forme ressemblant Ă une silhouette.
VB : Dans le miroir ?
Laura : Oui. C’est comme une silhouette découpée.
VB : OK, continue à regarder la silhouette découpée.
[Fin de la cassette de quarante-cinq minutes. continue sur l’autre face à mi – phrase.] [Vous pouvez écouter la cassette au format MP3 (le fichier fait presque 6MB) sur http://cassiopaea.com/audio/mirror1.mp3
VB : La silhouette commence à changer. En regardant, tu seras capable de voir davantage. Qu’est-ce qui se passe avec la silhouette ?
Laura : La silhouette est lĂ , et il y a des images qui virevoltent dans les profondeurs. Informes.
VB : Que vois-tu dans l’obscurité ?
Laura : Des lumières, qui émergent et s’évanouissent.
VB : Suis les lumières. Suis les lumières. Continue à regarder les lumières. Que font-elles ? Où vont-elles ?
Laura : Elles viennent du centre et Ă©tincellent dans toutes les directions.
VB : Concentre-toi sur le centre. Laisse ta conscience traverser ce centre. Continue Ă regarder. DĂ©cris ce que tu vois quand tu traverses le centre.
Laura : Ça bouge, ça ondule.
VB : Maintenant, reste en contact avec l’ondulation. Ressens cette ondulation.
Laura : Ooh ! Regardez ça !
VB : Qu’as-tu vu ? Décris-le.
Laura : De la lumière vivante. De la lumière iridescente. Des formes iridescentes. Comme des œufs chatoyants.
VB : Les vois-tu maintenant ?
Laura : Non. Ils ont émergé et se sont évanouis.
VB : Ressens cette obscurité ondoyante.
Laura : Oui. Elle est violette.
VB : [Sur un ton très tranchant] Quel est l’objectif de ce travail avec le miroir ?
Laura : Se lier à une autre réalité.
VB : Quelle réalité ?
Laura : Quatrième densité.
VB : Et Ă quoi dois-tu le lier.
Laura : La conscience. Lorsqu’on voit, la prise de conscience s’étend. Et plus la prise de conscience s’étend, plus on devient capable de fonctionner dans cette réalité, de se libérer des restrictions et des tromperies.
VB : Peux-tu revoir les Ĺ“ufs ?
Laura : Maintenant, je vois un rai de lumière qui descend de la gauche vers la droite, comme un rayon de lumière.
VB : Je veux que tu t’imagines en train de te déplacer dans cette lumière. Tu te vois dans le miroir en train de te déplacer dans ce rayon de lumière. Est-ce que quelque chose change ?
Laura : Tout est plus brillant.
VB : Comment te sens-tu dans le rayon de lumière ?
Laura : Bien. Ça pulse.
VB : Permettez-vous à Laura de voir – ou bien Laura peut-elle voir…
Laura : Si la question appropriée est posée.
VB : Laura peut-elle voir ce qui se passe Ă travers le miroir ?
Laura : Si la question appropriée est posée.
VB : Pouvez-vous montrer à Laura où se trouve l’artefact ?
Laura : Quel artefact ?
VB : L’artefact qui a été évoqué sur la planche, avant.
Laura : Au moment approprié.
VB : Donc ça veut dire que vous pourriez nous le montrer, mais pas maintenant ?
Laura : Plusieurs étapes doivent précéder cela.
VB : Pouvez-vous nous parler de ces Ă©tapes ?
Laura : Tu dois poser une question simple. Elle doit être formulée simplement et en termes spécifiques.
VB : [Ton vif et impatient] Quelqu’un d’autre veut tenter de poser une question ?
Ark : Peux-tu voir l’arbre de la Kabbale ? Sa structure réelle ? À travers toutes les densités ?
Laura : Humm ! Pour en donner une représentation aussi proche que possible, il semble que ce soit…
VB : [Interrompt] Peux-tu t’autoriser à le voir en regardant à travers le miroir…
Laura : [Ignorant visiblement VB] Tiens, c’est très étrange.
VB : DĂ©cris.
Laura : Aaaah ! C’est un lieu très fluide ! Ouaaah !
VB : Décris. Qu’entends-tu par « fluide ? »
Laura : Ahh ! Eh bien, il ne s’agit pas de faisceaux de lumière. C’est… on dirait des cordes ou des ficelles. Tu as parlé de l’arbre de la Kabbale et soudain, je vois des cordes et des ficelles, des structures… l’objet que nous avons dessiné pour représenter l’arbre de la Kabbale est très structuré et statique, et n’a rien à voir avec l’arbre tel qu’il est en réalité ! Le voilà – et c’est quasi indescriptible.
VB : Continue à regarder. Que se passe-t-il pendant que tu regardes ? Vois-tu toujours l’arbre ?
Laura : Oui, c’est de la lumière vivante et mouvante, connectée tel un vaste réseau avec d’infinis…
VB : [Interrompt] Pouvez-vous montrer Ă Laura la machine Ă voyager dans le temps ?
Laura : Aimerais-TU voir la machine Ă voyager dans le temps ?
VB : Bien sûr. Pouvez-vous montrer à Laura la machine à voyager dans le temps ?
Laura : Cette requête est inappropriée.
VB : Pourquoi cela ?
Laura : Elle n’est pas formulée correctement.
VB : Laura peut-elle voir la machine Ă voyager dans le temps ?
Laura : Aimerais-TU voir la machine Ă voyager dans le temps ?
VB : J’aimerais que Laura voie la machine à voyager dans le temps et qu’elle nous la décrive.
Laura : Il semble que ce soit un objet à peu près de la taille d’une très grosse huche à pain. Il émane de lui un champ, ou un rayon lumineux. Je ne sais pas s’il suffit juste d’être en contact avec, ou de se tenir à l’intérieur du rayon, ou s’il suffit de se tenir à proximité. Il est clair qu’on n’entre pas « dedans », comme dans les films. Le champ qu’il génère est l’élément important. Le rayon ressemble à ce qu’on peut voir dans les films – des rayons qui balaient le ciel ; ça ressemble à ça, sauf que ça a une forme. Ce n’est pas long, droit et tubulaire, ça a plutôt la forme d’un cône. Donc oui, le voilà , c’est…
VB : [Interrompt] Maintenant, je veux que tu restes concentrée…
Laura [Ignore l’interruption]…la machine a des angles, des plaques de métal, et la structure elle-même est comme une sorte de tube géométrique…
VB : Laura sera-t-elle capable de la mémoriser et de la dessiner ?
Laura : En fait, bizarrement, sa forme rappelle celle de l’arbre de vie statique vu de côté, dédoublé et inversé, comme avec un ruban de Möbius…
VB : Est-ce que c’est l’Arche ?
Laura : Ouais… c’est…
VB : Arche. L’arche de Noé. L’Arche d’alliance… l’Arche du Temps…
Laura : L’objet dont tu parles va à l’intérieur… c’est le champ…
VB : Maintenant, continue à regarder, et reste à l’extérieur du miroir ; pourriez-vous montrer à Laura afin qu’elle puisse nous le décrire, de quelle époque vient cette machine ?
Laura : Ah ! C’est bizarre. La réponse qui vient est 10,000 av. J.-C.
VB : Où se trouve-t-elle, dans notre futur immédiat ?
Laura : Oui.
VB : Pouvez-vous montrer à Laura où elle se trouve dans le futur immédiat ?
Laura : Dans le futur immédiat.
VB : Pouvez-vous lui montrer où elle se trouve sur la planète, au moment où elle pénètre dans notre futur ?
Laura : Au moment approprié.
VB : Pourquoi n’est-ce pas le moment approprié ?
Laura : Parce qu’il y aurait danger.
VB : Reste de notre côté… 10,000 av. J.-C. Où se trouvait-elle entre cette date et le futur immédiat ?
Laura : Elle a été découverte et utilisée de nombreuses fois. Elle a été utilisée dans des buts très négatifs, et il a été jugé approprié de la récupérer…
VB : [Interrompt] Ne te laisse pas aspirer par le miroir… reste de ce côté !
Laura : [Remarques inaudibles]
VB : Pouvez-vous montrer à Laura, afin qu’elle puisse nous la décrire, la situation catastrophique de notre futur, notre futur proche ?
Laura : Il semble qu’il y aura une progression. Comme la pluie qui commence à tomber, lorsque les premières grosses gouttes tombent ; ensuite une pause suivie de quelques autres gouttes ; et ensuite, une averse.
VB : DĂ©cris ce que tu vois ?
Laura : Je vois des roches – mais elles ne sont pas très grosses. Elles sont de la taille du poing. Justes quelques‑unes. Et elles font sensation. Un tumulte. De l’excitation parmi la population… les gens seront bouleversés. On dirait qu’il y en a seulement deux – deux petits rochers. Et puis plus rien pendant un temps, et alors les gens oublient. L’excitation retombe. Et alors, un troisième, un quatrième, un cinquième et un sixième – et peut-être même un septième… des événements isolés, du moins en apparence. Toujours petits. Et alors, un gros. Tout cela se produira sur une période de plusieurs mois.
VB : Inspire à fond, reste de ce côté du miroir… regarde à travers. Continue à regarder ; regarde à travers le miroir. Voulez-vous montrer à Laura, afin qu’elle puisse nous la décrire, la situation concernant Perceval, Perceval Trois ?
Laura : La machine temporelle mentionnée précédemment, placée précisément à un endroit spécifique – et ce n’est pas tout à fait clair si l’action – il y a un choix à faire dans le temps, tu sais…
VB : Quel genre de choix ?
Laura : Un groupe peut partir avec la machine, ou un groupe peut unifier sa conscience et utiliser l’appareil pour détourner la Terre de la voie de la destruction. Ce n’est pas un changement en termes matériels, c’est un changement dans le temps.
VB : De sorte que la comète frappera à l’endroit où la Terre ne se trouve plus ?
Laura : Exact.
VB : Quel type de saut [temporel] cela nécessite-il ?
Laura : Oh ! Eh bien temporellement parlant, rater de peu ou beaucoup, c’est toujours rater !
VB : Quel saut dans le temps faudrait-il ?
Laura : Un jour.
VB : L’espace parcouru par la Terre au cours d’une rotation sur son axe suffit à éviter un impact direct ?
Laura : Oui.
VB : Quels seraient les effets causés par un saut de vingt-quatre heures en arrière ou en avant sur la Terre et tous ses habitants ?
Laura : Si on peut le faire, après le basculement, la plupart des gens oublieront qu’il y a jamais eu danger.
VB : Est-ce une bonne chose ?
Laura : [Soupirs]
VB : Ouais, je sais. Question piège. Maintenant, inspire profondément. Retire-toi, sors légèrement. Permettez à la conscience de Laura de m’entendre clairement. Y a-t-il quoi que ce soit qui te dérange dans ce contact ? Quoi que ce soit que tu ressentes consciemment tandis que tu maintiens ta connexion ? Quoi que ce soit qui te perturbe.
Laura : Il y a juste une perturbation au niveau du questionnement. Le questionnement comprime et oriente la conscience. Le questionnement doit être ouvert, et c’est comme si la réponse ne peut être transmise de façon inaltérée que si la question est formulée sans a priori. Pour que j’agisse comme intermédiaire de ce qui est visionné, pour que les autres puissent poser des questions, les questions ne doivent pas restreindre. Cette restriction est ressentie physiquement. Il y a une compression instantanée, lorsque la question est formulée de manière à m’empêcher de me la poser à moi-même – mon moi qui demande à mon autre moi – au lieu d’assumer toi-même la question. Comprends-tu ?
VB : Eh bien, ma question suivante est, pourquoi Laura glisse-t-elle sans cesse à l’intérieur du miroir ? Pourquoi est-ce si difficile pour elle de rester de ce côté ?
Laura : Ahhh… Il y a la formation d’un lien de conscience. Il y a un autre soi, dans ce futur proche, qui est moi. C’est moi, qui communique avec moi ; ce sont les C’s qui s’approchent de moi ; et parce que c’est plus proche de la quatrième densité, il est plus facile de communiquer dans un sens et dans l’autre si je fusionne avec moi-même dans le futur. C’est comme rapprocher deux bulles de savon l’une de l’autre – elles deviennent une. Ce n’est pas la chose négative que tu…
VB : Il me semble que nous voulons éviter que ça se produise.
Laura : Pas nécessairement. Chacun d’entre nous doit commencer à fusionner avec le soi supérieur en termes de conscience… [Inaudible]
VB : Pourquoi est-ce que je perçois de la négativité ?
Laura : Insécurité.
VB : Je suis tout à fait à l’aise avec ma propre énergie. C’est le seul facteur qui entre en jeu ici ?
Laura : Oooh ! [Voit apparemment quelque chose dans le miroir]
VB : Qu’est-ce que tu vois ?
Laura : Eh bien, c’est comme un mélange entre des chiots et des fleurs… [Fin de la cassette]
…quelque chose qui était avec toi ; je ne peux pas dire si c’était toi ou autour de toi ; quelque chose que tu portes encore avec toi, on dirait presque une valise très lourde. En fait, on dirait que tu dois forcer pour la fermer, tu montes dessus, tu fourres des affaires dans l’espace qui reste, et tu attaches la valise avec des sangles parce qu’elle est sur le point d’éclater.
VB : OK, maintenant regarde profondément dans le miroir, à travers le miroir. Continue simplement à décrire ce que tu vois.
Laura : Hummm. Maintenant je vois des lumières et des nuages mouvants informes.
VB : Continue à te déplacer à travers cette obscurité mouvante et violette. Dans cet espace, regarde autour de toi très attentivement et dis-moi ce que tu vois.
Laura : [Inaudible]
VB : Permettez-vous à Laura de regarder autour d’elle, dans l’espace, afin qu’elle puisse nous le décrire ?
Laura : Eh bien, c’est drôle, as-tu jamais vu un dessin animé avec un bonhomme en forme de rayons ? [Rit] Oh, c’est marrant. C’est à ça que ça ressemble.
VB : La silhouette en bâton ressemble à une baguette de sourcier ?
Laura : Non. C’est… c’est… [Rire] Quel jeu de mots ! Ils sont tellement drôles ! Cœur. Tu connais l’expression « cœur de l’être? » Eh bien, ce n’est pas une blague ! [Rire] Figure-toi comme un être de lumière, dans un sens, et dans un autre, pas aussi nébuleux que certains pourraient le penser. Il y a de la plasticité. Tu sais à quel point, dans cette réalité, la substance solide semble être bien arrêtée, et nous n’avons aucun contrôle dessus ? Eh bien, en quatrième densité, il y a de la substance nébuleuse partout, et il y a le « cœur de l’être », qui peut amasser cette substance par un acte de volonté. Elle se structure alors davantage, de la même façon que, dans notre réalité, la nourriture devient notre corps, même s’il faut une longue période d’assimilation et de conversion. Mais là -bas, c’est assez rapide… Il y a le cœur de l’être – et c’est vraiment un cœur !
VB : Comme le cœur d’une pomme ?
Laura : Non, un cœur – quasi tubulaire. Mais tu sais, la plupart des gens ne l’utilisent pas comme tel, parce qu’ils aiment jouer avec les matériaux disponibles. C’est plus amusant. Mais ce n’est pas nécessaire, et dans des circonstances différentes, ils peuvent retirer toutes ces choses, exactement de la même manière que nous retirons nos vêtements. [Inaudible] C’est juste que ça a plus de valeur.
VB : Là , tu utilises « tu. » Est-ce un terme général, ou est-ce que la silhouette en bâton, c’est moi ?
Laura : N’importe qui en quatrième densité.
VB : Sommes-nous en quatrième densité ?
Laura : J’y suis.
VB : Donc c’est TOI que tu es en train de voir en quatrième densité ?
Laura : MOI et d’autres.
VB : Donc la silhouette en bâton, c’est toi en quatrième densité ?
Laura : C’est la représentation visuelle du cœur de l’être de tout individu de quatrième densité. C’est l’essence.
VB : Inspire à fond. Il y a des mécanismes à l’œuvre dont je suis personnellement incertain. Y a-t-il quoi que ce soit que tu puisses me dire pour me faciliter la tâche ?
Laura : Peux-tu poser des questions plus spécifiques ? De quoi es-tu incertain, spécifiquement ?
VB : Je suis incertain de la nature du contact. Je suis incertain de la nature de la perception. Je suis incertain de la raison pour laquelle je suis impliqué de cette façon-là . Je suis incertain de la raison pour laquelle il est nécessaire de faire tout ça.
Laura : OK.
VB : Une réponse ?
Laura : Pose la question. Je ne peux pas répondre si tu ne demandes pas.
VB : Pourquoi ai-je ces incertitudes que je viens de citer ? Que pouvons-nous faire pour faciliter le processus ?
Laura : L’incertitude concerne – il est difficile de répondre, vu la manière dont tu as posé la question, « pourquoi tu as ces incertitudes. »
VB : Les incertitudes font-elles parties du processus ?
Laura : Comment perçois-tu les incertitudes ?
VB : Je perçois les incertitudes… L’incertitude est-elle liée à la façon dont je dois procéder ? Découle-t-elle de notre maladresse dans la conduite du processus ?
Laura : C’est un territoire inconnu ; c’est un processus inconnu pour toi en particulier, parce que sa nature essentielle requiert autant d’ouverture…
VB : [Interrompt vivement] D’ACCORD ! Pourquoi est-ce que je vois ce que Laura voit ?
Laura : C’est en grande partie lié à la raison qui fait que tu es actuellement impliqué dans le processus.
VB : Pourquoi suis-je impliqué dans le processus ?
Laura : C’est en rapport avec les liaisons génétiques, et aux choix faits à d’autres niveaux, des choix consistant à faire certaine choses à un certain moment dans le temps, à la fois à un certain moment dans le futur…
VB : Si je décidais de ne PAS le faire, quelle serait la conséquence ?
Laura : Quelqu’un d’autre débarquerait et remplirait ton rôle. L’Univers est infiniment capable de se prendre en charge.
VB : C’est ce qui se passe ici ? Est-ce que l’Univers est en train d’essayer de se prendre en charge ?
Laura : Oh, oui ! C’est…
VB : Que vois-tu ?!
Laura : Je vois juste que toi, moi, nous SOMMES l’Univers. Il agit à travers nous.
VB : Que devrions-nous faire – il faut qu’on sache – pour obtenir un financement pour nos recherches ?
Laura : [Rire] Eh bien, je dois dire que la première chose qui vient est une série de nombres, et je vais juste les donner – 6, 14, 25, 48, 52.
VB : Ce sont des dates ?
Laura : Je ne sais pas.
VB : Eh bien, demande-leur, ce sont des dates ?
Laura : Toi, demande-leur.
VB : [Crie] Ce sont des dates ?!
Laura : Non.
VB : Qu’est-ce que c’est ?
Laura : Des nombres Ă utiliser selon ton choix.
VB : Et que devrions-nous faire avec ces nombres ?
Laura : Tout ce que tu choisis de faire.
Ark : Je pense savoir quoi faire avec ces nombres.
VB : Est-ce une question ?
Ark : Non. [Inaudible]
VB : Bon, je ne te suis pas. Répète ?
Ark : Je pense qu’il s’agit probablement de chiffres du loto.
VB : Ce sont des chiffres du loto ?
Laura : Ça pourrait l’être.
VB : Pourquoi ne veux-tu pas être plus spécifique ? Je pose une question très spécifique ?
Laura : Ça pourrait être des chiffres du loto ; ils pourraient être utilisés de diverses façons. Ils pourraient concerner des choix faits au cours des trois prochains mois. Tu pourrais rencontrer quelqu’un concerné par ces nombres d’une certaine manière ; tu pourrais trouver ces nombres à la page d’un livre qui te dira ensuite quelque chose que tu as besoin de savoir. Ces choses ont plusieurs niveaux ; il y a un nombre infini d’applications ; donc ne te ferme pas à d’autres possibilités, en disant qu’il s’agit juste de « chiffres du loto ». C’est possible, mais ces nombres peuvent aussi être bien plus que cela.
VB : [Soupir d’exaspération] C’est suspect pour moi, ce nombre 52. Est-ce que j’exerce simplement mes soupçons ?
Laura : Tu peux l’inverser.
VB : Nous avons déjà un 25.
Laura : Donc tu as deux 52.
VB : D’accord. Allons dans une direction différente. Inspire profondément. Pouvez-vous montrer à Laura, afin qu’elle puisse nous le décrire, ce que nous devons faire pour passer à la prochaine étape ?
Laura : Demande sans limites, et tout se mettra en place naturellement. Ne t’inquiète pas, il y a des choses qui bougent dans des domaines dont nous ignorons tout, et qui convergeront de façon incroyable, et il est mieux de ne pas savoir.
VB : [Vivement] OK ! Pourquoi Ary était-il là aujourd’hui ? Peux-tu me donner la raison ?
Laura : Il est très intéressé ; il voudrait être aussi audacieux qu’il l’était par le passé ; et aussi libre. Toutefois, il ne lui sera peut-être pas possible de se libérer des liens qui le restreignent. Cependant, lorsque tu envoies de l’énergie dans n’importe quelle direction, même en direction d’un individu qui ne réagira pas comme tu l’espères… après t’avoir quitté, cet individu va emporter l’énergie avec lui dans le reste de la réalité. Et elle sera là , disponible pour quelqu’un d’autre. Toute énergie exercée vers un objectif, même si tu parles à 25 personnes qui ne sont pas les bonnes personnes, le fait que tu mettes de l’énergie dans un objectif ouvertement…
VB : [Interrompt vivement] Quelle Ă©tait cette image que tu viens de voir ?!
Laura : Eh bien, juste des lumières et des figures géométriques…
VB : OK, ces lumières ont une sorte de fonction. Quelle est leur fonction ?
Laura : Elles sont la substance d’images qui au final se fondront en une forme très solide et réaliste. Elles induisent la formation d’images.
VB : J’ai le sentiment que certaines de ces lumières, certains de ces germes de pensée, peu importe, veulent traverser le miroir pour pénétrer dans cette réalité. Cette présomption est-elle juste ?
Laura : Je ne vois pas ça du tout ; non.
VB : Qu’est-ce qui me donne cette impression ?
Laura : Eh bien, tu l’as dit : la présomption. Tu as beaucoup de présomptions. Il est très difficile de travailler, avec toutes ces présomptions. [Descriptions inaudibles des images dans le miroir]
VB : Et ça ne pénètre PAS dans notre réalité ?
Laura : Non. Elles se contentent de regarder. Comme des chiots amicaux ; des formes faites d’énergie. Elles sont mignonnes.
VB : Quelqu’un d’autre a une question ?
Ark : Que s’est-il passé, quand Vincent a senti quelque chose lui toucher le bras ?
Laura : Vincent a certains amis qui voyagent avec lui, et ils essaient de lui éviter les ennuis. Il semble que, dans ce cas particulier, quelqu’un lui a tapé sur l’épaule juste pour lui faire savoir que tout allait bien.
VB : Et quel genre d’amis voyagent avec moi ?
Laura : En fait, l’un d’eux ressemble à – il porte un costume, avec une chaîne de monte pendillant à la taille – mais il est pressé par le temps, c’est bizarre. Costume marron, bottines, taille moyenne ; il pointe souvent du doigt ; des lunettes. Il a de l’affection pour toi. Je ne peux pas dire qu’il s’agit d’un esprit qui s’est « attaché » à toi, mais il aime bien être près de toi.
VB : D’où vient-il ?
Laura : En fait, ce que je vois est manifestement une projection. Il projette cette image, et j’ai presque l’impression, étrangement, qu’il se pourrait que ce soit toi dans une autre vie.
VB : D’accord, ce n’est pas lui qui m’a tapoté l’épaule. [Effet de voix très puissant] Est-ce que les C’s m’ont tapoté l’épaule tout à l’heure ? Et dans le passé, est-ce que ce sont eux qui m’ont gravé une empreinte de main sur l’épaule ?
Laura : [Ressent une compression extrême et est incapable de résister à cet ordre/cette présomption, voix très basse et faible] Oui. [Sensation immédiate d’étouffement.]
VB : D’accord. Maintenant, les C’s savent parfaitement ce qu’il y a dans mes bagages. Veux-tu bien leur demander de te montrer ce qu’il y a dans mes bagages ?
Laura : Des sous-vêtements sales !! [Rires] [La compression se relâche soudainement et la réponse jaillit presque avant que VB ne termine sa question. Dès l’instant où la question est posée, la grosse valise pleine à craquer et sanglée mentionnée plus haut s’ouvre d’un coup, et des centaines de paires de sous-vêtements sales fusent dans tous les sens. Ils ne sont pas simplement sales, mais souillées de matière fécale, et c’est comme si, au lieu de les laver et d’admettre qu’elles avaient besoin d’être lavées, chaque paire de sous-vêtement avaient été dissimulée. De nouvelles paires avaient été ajoutées, qui, une fois souillées, étaient venues compléter la collection. Toutefois, cette imagerie n’a pas été voulue (par Vincent), et n’est donc pas exprimée verbalement] Pour comprendre ce qu’elle représente, voir Gnosis de Mouravieff. En particulier ce passage : « On voit que l’épreuve de la quatrième marche est décisive. Jusque-là , l’homme peut traîner, et traîne habituellement, les tares de son passé : mensonge, faiblesse, pitié de soi-même, compromis intérieurs. Généralement, il a le temps, les occasions et la possibilité de s’en débarrasser avant de s’engager sur la quatrième marche ; mais à cause du poids de ce passé, il perd du temps et laisse, au moins partiellement, échapper les occasions qui se présentent. »
VB : Continue à regarder ! Quoi d’autre ? Allez !
Laura : [Voix forte] Il y a des vêtements démodés vraiment drôles. Je te jure, ce pantalon – si tu le portais en public un jour, ne dis pas que tu me connais, il est horrible – et il a des bretelles. (C’est un pantalon de clown immense, très large et bariolé.) Il y a une valise en cuir.
VB : Ouvre la valise en cuir. Que vois-tu ?
Laura : Dans la valise en cuir, il y a un tas de petites bouteilles ; des flacons de pilules ; bleues. Il y a un nécessaire de rasage, un peigne ; il manque des dents au peigne…
VB : Vois-tu autre chose dedans ?
Laura : Il y a des mouchoirs, un vieux miroir, et des chemises blanches propres, jamais sorties de leur emballage. Tu n’as jamais porté ces chemises.
VB : Tu te débrouilles super bien. Maintenant, si les C’s avaient la gentillesse d’expliquer à Laura pourquoi je porte ces bagages…
Laura : Pourquoi tu les portes ? Parce que tu ne peux pas lâcher.
VB : Pourquoi je ne peux pas lâcher ?
Laura : Parce que tu veux toujours être préparé.
VB : Et à quoi suis-je préparé ?
Laura : Tu te prépares à faire un voyage, c’est une chose. Et tu as peur que quelque chose te fasse monter dans le mauvais train.
VB : Ouaip. Peux-tu traduire ce « mauvais train » en termes plus directs ?
Laura : Eh bien, il y a un truc marrant là -dedans. On dirait que le vrai problème est que tu penses que tu n’as pas d’argent pour acheter ce dont tu auras besoin à l’arrivée.
VB : [Ton cinglant] D’accord, c’est marrant et nous perdons du temps. Quelqu’un à une autre question ?
Orri : [Pose une question sur un problème de santé.] Y a-t-il une voie d’étude particulière à suivre pour mieux contribuer à l’accroissement du libre-arbitre ?
Laura : [Commentaire sur le problème de santé.] [Fin de la cassette. Gros morceau manquant au début de la cassette suivante.]
VB : Si les C’s avaient la gentillesse de donner à Laura un symbole qu’elle peut voir dans son esprit et qui lui permettra d’établir rapidement ce contact…
Laura : Je l’ai.
VB : As-tu besoin de le décrire ?
Laura : Non.
VB : Visionne-le très clairement Maintenant, tu vas couper le contact en regardant cette image s’évanouir. Et tandis qu’elle s’évanouit, le miroir va redevenir un simple miroir. Tu reviens dans ton corps. Inspire profondément. [Décompte pour le réveil.]