Séance du 14 juillet 1996

Jacques

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Merci aux membres de l'équipe française pour cette traduction.
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Séance du 14 juillet 1996

Le lecteur remarquera que deux semaines s’étaient écoulées depuis la dernière séance du 29 juin. Ark m'a écrit pour la première fois le 5 juillet et il y a eu une reconnaissance instantanée des deux côtés. Toutefois, je restais discrète et gardais les choses pour moi tout en essayant de voir si je pouvais obtenir quelques indications, comme vous pourrez le constater dans ma question à propos du livre que j’avais lu à 11 ans au sujet de la Résistance polonaise.

Participants : «Frank», Laura, VG, MM

Q : [Fin de la discussion d’avant le début de la séance qui portait sur les mentions des C’s relatives à la nature symbolique des prophéties, etc.] (L) Je me demande s’il ne va pas se passer un tas de choses ne relevant pas nécessairement des multi-densités, ou d’une «autre densité», au sens strict du terme, mais résultant simplement des actes des «agents humains» de ces êtres d’autres densités. Si ce ne sera pas tant une «invasion venue de l’espace» mais plutôt comme des Nazis sous le contrôle des SDS de 4e densité ? Bonjour.

R : Bonjour.

Q : (L) Et qui est avec nous ce soir ?

R : Derom.

Q : (L) Et d’où transmettez-vous ?

R : Cassiopée.

Q : (L) Avez-vous participé à notre petite discussion ?

R : Écouté, pas participé.

Q : (L) Voudriez-vous commenter, ou devons-nous poser nos questions ?

R : Posez des questions précises, comme d’habitude.

Q : (L) Alors commençons par des choses basiques. Tout d’abord, je suis entrée en contact avec un physicien qui s’intéresse aux transcriptions. Cela m’a donné envie de relire un livre que j’avais lu il y a des années, sur l’occupation allemande en Pologne. Ce livre [Mon témoignage devant le monde : histoire d’un État secret, de Jan Karski] parle de choses étranges, de nombres et de dates bizarrement synchrones. Cela m’a semblé représenter globalement un prototype de la réalité actuelle. Je me demande s’il n’y aurait pas une certaine synchronicité entre ce contact, la lecture de ce livre à l’âge de onze ans, et les informations que vous nous avez données ?

R : Ouvert.

Q : (L) Vous nous avez dit que l’Holocauste était en réalité le «galop d’essai» d’une future invasion en provenance de l’espace. Cette invasion suivra-t-elle un scénario du genre «les envahisseurs», ou alors...

R : Trop de pensées à la fois. Étape par étape, s’il te plaît.

Q : (L) Allons à l’essentiel. S’agissait-il avec Hitler de la «répétition» d’un scénario pour le futur ?

R : Pas loin. C’était une «mise à l’épreuve» de la volonté.

Q : (L) La volonté de qui ?

R : La vôtre.

Q : (L) Nous en particulier, ou la planète ?

R : Cette dernière.

Q : (L) Y a-t-il, dans le livre dont j’ai parlé, une leçon à retenir sur ce qui pourrait se produire ou non ?

R : Peut-être, mais nous suggérons d’apprendre à intégrer la conscience mosaïque.

Q : (L) Qu’est-ce que la «conscience mosaïque» ?

R : Penser en termes intrinsèquement sphériques, au lieu d’utiliser une approche linéaire et abrupte. On ne distingue l’image globale que lorsqu’on appréhende le tableau dans son ensemble.

Q : (L) Bon, je suppose que c’est pour ça que mes pensées partent dans toutes les directions !

R : Vois-toi comme au centre d’une mosaïque.

Q : (L) D’accord. Je vois ce que vous voulez dire. Mais je ne pense pas pouvoir y arriver !

R : Mais si, tu le peux !

Q : (L) D’accord. OK. Ce que décrit le livre, cette connexion polonaise, cette connexion allemande, ces histoires avec les Américains et les aliens, l’affaire des soldats/Nephilim, toutes ces manifestations ne sont-elles pas le signe qu’on a franchi la frontière entre deux mondes ?

R : Pas loin.

Q : (L) Et l’on peut voir qu’une telle frontière a été franchie lorsque certaines personnes «montent» ou passent en 4e densité, lorsque leur conscience change, que tout change, et qu’on joue à égalité. Donc, ce qui s’est passé en Allemagne était une «répétition générale», et ce qui va se passer, c’est qu’on va se retrouver sur un pied d’égalité, et le scénario ne sera donc pas exactement le même. Est-ce exact ?

R : Peut-être. Tu veux des faits, ma chère ? Très bien, alors nous allons t’en donner, et peut-être vas-tu comprendre. Peut-être pas tout de suite, mais quand ce sera nécessaire... Fait numéro un : tout est leçon. Fait numéro deux : l’école est vaste. Fait numéro trois : le timing tel que tu le perçois, n’est jamais, JAMAIS défini. Fait numéro quatre : ce qui doit se produire, comme tu dis, est encore très lointain et ne se produira pas avant que tu n’aies atteint un certain point du cycle d’apprentissage, et tu en es encore loin. Médite ça tout de suite, avant que nous te donnions d’autres faits !!

Q : (L) D’accord, l’école est infiniment vaste et nous semblons tous errer dans le noir...

R : Fait numéro cinq : le cycle d’apprentissage est variable, et le progrès, au sein de ce cycle, est déterminé par les circonstances et les événements à mesure qu’ils se déroulent.

Q : (L) Les circonstances et événements de nos vies pourraient donc indiquer où nous en sommes, individuellement ou collectivement, dans le cycle d’apprentissage... Et nous demandons qu’on nous dise ou révèle des choses qui, en soi, sont les leçons qu’il nous faut... Et en être informés ne servirait pratiquement à rien, puisque nous devons en faire l’expérience ?

R : Partiellement exact. Si tu veux des indications, alors nous donnerons des indications. Mais si tu cherches une «feuille de route», alors oublie cela !!

Q : (L) D’accord, nous voulons des indications. Ark aussi veut des indications ! Il veut savoir si nous pouvons inventer un outil qui permette d’accroître le libre arbitre ?

R : Aucun outil n’est nécessaire en raison des faits numéro 3, 4 et 5.

Q : (L) Hum... Donc, pour en revenir à notre discussion de tout à l’heure, quand quelqu’un est hypnotisé et contrôlé de l’extérieur, il est hypnotisé et contrôlé jusqu’à ce qu’il apprenne à y mettre fin ?

R : Oui.

Q : (L) Donc, comme dans la parabole du fils prodigue, nous sommes condamnés à patauger dans la porcherie et à souffrir jusqu’à ce que nous en ayons assez ?

R : Pour reprendre ton analogie sur le vélo : y a-t-il un outil qui dispense un enfant d’avoir à apprendre à faire du vélo pour pouvoir en faire correctement ?!?

Q : (MM) L’assimilation de connaissances ne permet-elle pas d’accroître le libre arbitre ?

R : Oui !! Tout à fait !!!!

Q : (L) Autrement dit, la connaissance et l’éveil nous rendent conscients de notre libre arbitre, et nous révèlent quelles sont les actions qui résultent vraiment de son exercice… dès lors, quand on repère ou qu’on pressent la différence entre le mensonge et la tromperie d’un côté, et la vérité de l’autre, alors on devient capable d’être aux commandes de sa propre vie ?

R : Oui.

Q : (L) Ark veut également savoir… Enfin, son problème est la foi, comme il me l’a dit.

R : La foi provient aussi de la connaissance, et ainsi que nous l’avons dit précédemment… Des connaissances erronées sont plus néfastes que pas de connaissances du tout !!!!!

Q : (L) Donc, il est important de décortiquer tout, absolument toutes les informations que nous découvrons ou analysons, et de creuser dans toutes les directions qui s’y rapportent — directement ou indirectement — pour s’assurer au maximum de leur véracité ? Comme l’a dit C.S. Lewis, la connaissance est comme une corde… tant qu’on ne s’en sert que pour emballer des colis, peu importe qu’elle soit solide ou non. Mais si l’on doit s’y accrocher pour faire de l’escalade au-dessus d’un précipice, alors il faut s’assurer au maximum qu’elle est suffisamment solide pour supporter notre poids.

R : Oui.

Q : (L) Bon, Ark demande : «En 1979, Le Projet Phœnix, avec l’assistance des Gris, serait parvenu à produire un “amplificateur mental”». Est-ce vrai ?

R : Nan !

Q : (L) OK ! Voilà qui est précis ! Ensuite : «Si l’on administre des drogues à des médiums ou à des personnes jouissant de facultés mentales supérieures et qu’on les connecte à une sorte de machine, seront-ils en mesure de matérialiser des formes ?»

R : Possible. À présent, révisez : les «Gris» sont des sondes cybergénétiques envoyées par les «Lézards», alors qui assiste réellement qui ? Et qui se cache derrière les Lézards ?? Vos ancêtres, peut-être !?!

Q : (L) Il est dit ici [lit le texte] : «Le feu qui brûle en l’homme, et que l’on appelle passion, est le secret qui peut être utilisé. Le secret de toutes choses est la passion. Avec la passion, tout est possible. On rapporte que les expériences d’amplification du Projet Phœnix ont amplifié les ondes cérébrales. En réalité, ce qui a été amplifié, c’est la passion des sujets. C’est leur “volonté intérieure” qui a été amplifiée ; cet esprit qui est en nous tous est la force motrice manifestée sous forme d’énergie électrique. Maîtrisez cette force et rien ne pourra vous contrôler ; l’univers vous appartiendra. Maîtrisez l’esprit intérieur et vous maîtriserez le physique». Commentaires, s’il vous plaît.

R : Commençons par le commencement : qui assiste qui ? Et comment cette assistance est-elle fournie ?!!!!!!???

Q : (L) Eh bien, ils disent que les Gris assistent le Consortium. C’est dans les textes Hopis… Qui fournit l’assistance ? Hmmmm… donnez-moi un indice… Je crois que les Nordiques contrôlent les Lézards, qui ont créé les Gris, qui sont des sondes des Lézards, et assistent supposément le Consortium…

R : Assistent ? Ou bien influencent ?!? Et si c’est le cas, comment ?!? Et n’est-ce pas là toute la question ? En fin de compte, n’êtes-vous pas influencés en permanence ?!? Dans TOUT ce que vous faites ? Nous l’avons dit à de nombreuses reprises… Alors ne nous égarons pas, d’accord ?

Q : (L) Autrement dit, tant que nous sommes dans la porcherie, nous y sommes jusqu’au cou, et nous y resterons jusqu’à ce que nous nous en extirpions ?

R : Jusqu’à ce que vous atteigniez ce point dans le cycle d’apprentissage.

Q : (MM) Quel est le composé chimique utilisé sur ces médiums ? S’agit-il du «composé chimique akashique» ?

R : Les informations auxquelles tu fais allusion sont entièrement fausses !

Q : (L) Alors, cela veut-il dire que tout ça est faux ?

R : La «passion» ne rend pas «libre», c’est tout l’opposé !

Q : (L) Et si vous avez la passion de la connaissance ?

R : Ce n’est pas une passion, c’est une quête de l’âme.

Q : (L) Qu’est-ce qui donne aux gens cette impulsion ? Qu’est-ce qui provoque cet effet de rouleau compresseur qui les fait aller au fond des choses et les pousse à éliminer un à un les mensonges jusqu’à ce qu’il ne reste que la vérité toute nue ? D’où vient ce désir ?

R : Concept erroné. C’est un point parmi d’autres dans le cycle d’apprentissage ; en ce point, aucune impulsion n’est nécessaire.

Q : (L) Donc vous en êtes plus ou moins là parce que vous avez atteint une masse critique qui vous fait faire un «bond» jusqu’au point où la quête de la vérité est tout simplement ce que vous êtes ? Cela définit votre être ?

(MM) Ces cycles d’apprentissage sont-ils similaires aux couches... partout sur la Terre — vous vous souvenez de la poussière rouge sur toute la Terre ?

R : Non.

Q : (L) C’est comme si l’on se trouvait sur un cercle de 360 degrés ; chaque personne se trouve en un point différent du cercle, et tout tourne, et l’ordre dans lequel on se trouve ne change jamais : c’est toujours la même personne qui se trouve devant nous, et toujours la même qui se trouve derrière nous. La seule façon d’aider autrui, c’est de faire tourner le cercle en changeant sa propre position : on pousse alors vers l’avant la personne qui nous précède, et l’on tire vers l’avant celle qui est derrière nous, pour qu’elle prenne notre place ? Et la position qu’on occupe sur le cercle détermine ce qu’on fait ?

R : Il n’y a qu’un seul cycle, oui. Il n’y a qu’un seul cycle d’apprentissage et votre position dans ce cycle détermine vos EXPÉRIENCES, et vice versa.

Q : (L) Les lignes peuvent-elles se rejoindre en partant d’un autre point du cycle, de telle manière que l’on puisse «sauter» d’un point à l’autre ? Comme par un trou de ver dans l’espace ou quelque chose comme ça ?

R : Reportez-vous aux faits 1, 2 et 3.

Q : (L) Pas de raccourcis, donc ?

R : Maintenant, reportez-vous aux faits 3, 4 et 5.

Q : (L) Certains événements et certaines circonstances pourraient donc nous aider à faire des «sauts» ?

R : Pas des «sauts». Des accélérations.

Q : (L) Une chose encore. Quand nous avons discuté des ondes instables de gravité et que j’ai demandé ce qui les rendait instables, vous avez dit : leur «utilisation». Vous avez dit que le SDA correspondait à la dispersion, et que le SDS correspondait à l’«accumulation» de gravité. J’ai fait quelques conjectures à ce sujet et je voudrais savoir si cela signifie que quand on donne à autrui — même si ce don prend la forme d’une non-assistance, parce qu’on sait qu’assister cette personne ne ferait que prolonger sa leçon — on disperse la gravité, et que lorsqu’on exerce un contrôle mental ou autre sur autrui – même si l’on n’est pas conscient de drainer l’énergie de cette personne — on accumule de la gravité ?

R : Pas loin.

Q : (L) Donc, quand on accumule de la gravité, on devient comme un trou noir, on s’affaisse sur soi-même ?

R : Au final, oui.

Q : (L) Et il me semble que l’un des objectifs de nos activités est de libérer la gravité accumulée en nous ?

R : Si tel est votre choix ou votre voie.

Q : (L) Le choix est-il intimement lié à la voie ? Fait-il partie de notre configuration, de l’essence de notre âme ?

R : Pas loin.

Q : (L) Et il y a des gens qui choisissent tout simplement le Service de Soi. C’est leur voie.

R : Pas loin.

Q : (L) Alors tenter de convertir une personne à sa propre voie — même si on pressent que la voie sur laquelle elle s’est engagée mène à la dissolution — revient à émettre un jugement, et à faire du tort à cette personne ? Cela reste sa voie ?

R : Oui.

Q : (L) Et si l’on envoie des «tonneaux d’amour et de lumière» à des personnes qui ont choisi cette voie, on enfreint leur libre arbitre ?

R : Vous pourriez tout aussi bien leur envoyer des «tonneaux» de vomi, puisque c’est ainsi qu’elles réagiront.

Q : (MM) Pourquoi envoyer quoi que ce soit ? Quid de la neutralité ?

R : Le jugement est SDS.

Q : (L) Vous nous avez dit auparavant que les étoiles et les planètes étaient des portails, des ouvertures vers d’autres densités. Pourra-t-on utiliser ces portails pour accéder à cette Onde, cette frontière entre les mondes ? Se trouve-t-elle dans un autre «espace» ? Émane-t-elle en réalité des étoiles et des planètes ? Suis-je sur la bonne piste ?

R : Tu t’engages sur une voie qui pourrait être bien longue.

Q : (L) Donc, c’est complexe. En relisant Noah...

R : Rappelle-toi simplement ceci : toutes les prophéties liées à des dates du calendrier sont sans valeur, à moins que vous ne souhaitiez être aspirés par les forces SDS de 4e densité !

Q : (L) En parlant d’être aspiré par les forces SDS de 4e densité : lors de la réunion de son groupe hindouiste local, MM s’est vue dire qu’elle «aspirait» les énergies du groupe. De quel genre d’interaction s’agissait-il ici ? Pourquoi étaient-ils aussi mal à l’aise ?

R : Parce qu’ils désiraient être vénérés.

Q : (L) Ils voulaient aspirer son énergie, car faire l’objet d’une vénération revient à aspirer de l’énergie ?

R : Pas loin.

Q : (L) Sinon, je m’interroge sur ce chien qui apparaît sur la photo prise par MM.

R : Les créatures de 2e densité vont attirer de plus en plus d’attachements. C’est la période qui veut ça.

Q : (L) Ces attachements sont-ils d’autres entités ?

R : Oui, entre autres.

Q : (L) Ces attachements viennent-ils de nous ? Est-ce qu’ils les aspirent hors de nous pour nous protéger ?

R : Non.

Q : (L) Les animaux sont-ils utilisés pour attirer des attachements de façon à nous nuire ?

R : Oui.

Q : (L) Vous voulez dire que nous allons devoir aussi exorciser nos chiens ? (V) Mince alors !

R : Cela ne marchera pas.

Q : (L) Pourquoi nos animaux attirent-ils des attachements ?

R : À cause des intensifications des fréquences vibratoires.

Q : (L) Pouvons-nous y faire quelque chose ? Je veux dire, sommes-nous censés nous débarrasser de nos animaux de compagnie ?

R : Nous ne suggérerions jamais quelque chose d’aussi cruel. Cependant, prenez garde : l’orientation SDS de 3e densité inclut la pensée d’une «domination» exercée sur la 2e densité ; ce n’est que le simple prolongement de l’accumulation d’énergie à l’approche de l’Onde… Certaines de ces leçons sont ô combien intéressantes. Quand vous partez du principe que la capture et l’emprisonnement d’êtres aux capacités inférieures aux vôtres est quelque chose de «positif», pourquoi ne pas envisager que des êtres aux capacités supérieures aux vôtres appliquent la même logique en ce qui vous concerne ?!?

Q : (MM) Bon, je voudrais savoir ce qui se passe avec ce portail chez moi ?

R : Avant cela, nous voudrions que vous réfléchissiez en profondeur aux réponses qui viennent d’être données. Nous pensons que la compréhension qui en découlera vous apportera beaucoup. Maintenant : les portails... Colonne ionique... hmmm...

Q : (V) Les portails sont-ils archétypaux ?

R : Le sont-ils ? Hmmm ....

Q : (MM) Donc, ma colonne est une colonne ionique ? (L) Je ne pense pas que c’est ce qu’ils voulaient dire. Je pense qu’ils disent qu’une colonne ionique représente un portail vers la densité suivante. C’est un archétype.

R : Fac-similé de troisième densité.

Q : (V) Donc, ça dépend de la façon dont on choisit de le voir ? (L) Je pense qu’ils veulent dire que c’est une représentation, que ça a la même forme qu’en 4e densité, sauf qu’ici c’est matériel.

R : Et 5e densité, etc.

Q : (L) OK, le portail de MM — elle a expérimenté avec, avec cet émetteur-récepteur transdensitaire...

R : Non, elle n’a pas d’émetteur-récepteur transdensitaire, elle a une présence-portail.

Q : (L) Quelle fonction remplit une présence-portail ?

R : Fonction n’est pas le concept adéquat.

Q : (L) Qu’est-ce que c’est ?

R : La présence d’un portail.

Q : (L) Ce portail qui est présent est-il associé à quelqu’un chez elle, ou au secteur ?

R : Il est.

Q : (L) Lequel des deux ?

R : Il est tout simplement.

Q : (L) Était-il là avant qu’elle n’emménage ?

R : Ce n’est pas important.

Q : (L) Qu’est-ce qui est important ?

R : Demande-le-toi. La conscience.

Q : (L) D’un côté on pourrait penser que c’est une bonne chose et se tromper, et d’un autre, on pourrait penser que c’est une mauvaise chose et louper quelque chose de positif ?

R : C’est amusant d’apprendre.

Q : (MM) Je me prépare à travailler dessus en méditation. Mais j’ai déjà travaillé dessus et découvert des choses, et je me demandais...

R : Hé madame, n’as-tu pas encore compris ?

Q : (V) Qui est-ce, «hé madame» ? Ça doit être moi...

R : Non.

Q : (V) C’est très bizarre. (MM) Je me demandais s’il mène à d’autres densités ?

R : Oui, et alors ? Ceci aussi.

Q : (L) Pourquoi ce portail a-t-il été représenté par une forme totalement différente ?

R : Néant.

Q : (L) Est-elle censée canaliser par l’intermédiaire de ce portail ?

R : Le portail n’est pas «importailtant» !

Q : (L) Je suppose que c’est intentionnel... Le portail n’est pas important, ce qui est important c’est ce qui se passe en toi. Et seule toi peut le savoir.

R : Sur ce, bonne nuit.

Fin de la séance
 
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