Séance du 16 août 2014

Jacques

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Merci aux membres de l'équipe française pour cette traduction.
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Séance du 16 août 2014

Laura et Andromeda à la planchette
Pierre, Perceval, Chu, Data, PoB, Kniall, parallel, Breton, thorbiorn, Mr. Scott, Alana, Timótheos

Liaison via Skype depuis le nord-est des É.-U. : Pete, Puck, Renaissance, Nancy2feathers, Emma, seek10, Divide By Zero, Richard S, Jerry, Bear, Nuke, Pegasus, et les toutous Pancho et Rusty

Q : (L) Bien, nous sommes le 16 août 2014. Saviez-vous que c’est l’anniversaire du jour où un ovni a survolé notre piscine en Floride en 1992 ? Cela fait 22 ans que cet ovni a survolé ma piscine, et que plein de trucs bizarres ont commencé à se produire dans ma vie, que tout est devenu dingue. Doux Jésus ! 22 ans. Bien... Voyons voir s’il y a quelqu’un avec nous...

R : Bonsoir à tous de Gorimlea de Cassiopée.

Q : (L) OK. Je suppose que nous allons commencer par vos questions. Êtes-vous prêt, Puck ?

{Échange privé expurgé.}

(Puck) La question porte sur l’auto-détachement d’esprits. Est-ce que c’est une technique sûre ou efficace, et peuvent-ils nous donner quelques lignes directrices ?

(L) Sur l’auto-détachement d’esprits ? Tu peux répéter. Ce n’est pas clair.

(Puck) Eh bien, c’est sur l’auto -détachement d’esprits – comme une thérapie de détachement d’esprits (TDE) appliquée à soi-même. Est-ce que c’est sûr et efficace, et peuvent-ils nous donner quelques lignes directrices ?

R : Vous devez préciser cet « auto -détachement d’esprits ».

Q : (L) Eh bien, je suis certaine qu’ils savent ce qu’est « l’auto -détachement d’esprits », mais avant d’apporter une réponse, ils veulent clarifier ce dont vous parlez. Comment envisagez-vous de le faire ? Parlez-vous d’auto-hypnose, ou de passer par un état méditatif ? Ou d’utiliser l’écriture automatique ? Ou une planchette Ouija ? Comment pensez-vous le faire exactement ?

(Perceval) Voulez-vous que je reformule votre question ?

(Puck) Bien sûr.

(Perceval) La question pourrait être, est-il possible de faire de l’auto-détachement d’esprits — c’est-à-dire un détachement d’esprits sur soi-même — et si oui, comment s’y prendre ?

(L) D’accord, scindons cela en deux questions : est-il possible de pratiquer un détachement d’esprits sur soi-même ?

R : Oui.

Q : (Perceval) Comment pourrait-on bien s’y prendre si on voulait réaliser une chose aussi farfelue ? [rires]

R : D’abord, il est nécessaire d’identifier les entités et les différents paramètres de la situation. Le mieux pour cela est la méditation ou le travail sur les rêves, voire la visualisation et le retour d’information intuitif par une personne réceptive. Une fois que l’oncomprend la situation, on peut appeler l’entité ou utiliser la discipline sous diverses formes. Gardez à l’esprit que volonté et discipline sont indispensables en matière d’hygiène spirituelle.

Q : (Perceval) Cela me rappelle cette idée — je ne sais plus où je l’ai entendue la première fois — que pour le détachement d’esprits, si on souffre d’attachements, si des entités s’accrochent à nous c’est parce qu’elles en retirent quelque chose. Il suffit donc simplement d’arrêter de faire ce qui les attire : mauvaises habitudes, mauvaises attitudes, programmes...

(L) Et alors elles partent.

(Perceval) C’est ça la TDE.

(Chu) Trop se concentrer sur l’auto-TDE revient à se concentrer sur soi. Mais si on fait simplement l’œuvre, elles partiront.

(L) À peu près.

(Chu) Alors pourquoi même envisager de faire une auto-TDE ?

(L) Eh bien, il me semble qu’il est utile de connaître les paramètres et autres. C’est utile pour certains — je sais que ça l’a été pour moi de savoir que mon problème de santé venait d’un attachement. Cela m’a été bénéfique. Et puis, j’ai commencé à utiliser la discipline. Je veux dire, je savais que cette « petite sœur dérangée » était là, en moi ! [rires] Et j’allais faire TOUT ce qu’elle DÉTESTAIT !! À chaque fois qu’elle me faisait mal à l’épaule, je continuais à faire ce qui faisait que j’avais mal. Je me rappelle le moment où elle est partie. C’était comme un courant électrique parcourant mon corps. Comme d’être frappé par la foudre. Il y a eu ce flash de lumière dans ma tête, et l’énergie est passée d’un bras à l’autre par les épaules Et c’était fini. Quand c’est arrivé, j’étais énergiquement en train de me forcer à nager malgré l’insupportable douleur que je ressentais. Bouger le bras de cette façon m’était insupportable. C’était à hurler de douleur, et je persistais à le faire... brasse après brasse après brasse. Et dans ma tête, je me disais même « Très bien sorcière ! Prends ça ! Je ne m’arrêterai PAS ! » Voilà le genre de chose que je disais dans ma tête. Ce genre de conversation. Finalement, c’était du style « Tu ferais tout aussi bien d’abandonner, parce que moi je ne renoncerai jamais ! » C’est là qu’elle est partie. Cela s’apparente à un auto-détachement d’esprits. Donc, identifier ce qui se passe est utile. Si on a un problème de dépendance à l’alcool, au jeu ou autre, par exemple.

(Chu) Oui, mais ce que je veux dire c’est que ce n’est qu’une option, du style oui, j’éprouve peut-être cette douleur à cause d’un attachement. Mais l’essentiel c’est de se discipliner, qu’il y ait un attachement, un programme ou autre.

(L) C’est vrai que s’il y a une part de soi, un aspect, une habitude, ou autre... C’est ce dont parle Gurdjieff. Combien de ces « multiples Moi » dont il parle sont des attachements ? Et sa méthode était la discipline, l’auto-observation, la lutte entre le « oui » et le « non » qui amène à donner naissance au véritable Moi, d’en faire le maître fusionné. Comment savoir si ce n’était pas une sorte de TDE ? Posons la question. Est-ce que la méthode de Gurdjieff était aussi propice à éliminer les attachements spirituels ?

R : Oui.

Q : (L) Comme je viens plus ou moins de le décrire, c’est par la volonté, la discipline, l’observation et tout cela, grâce à la fusion du véritable moi et à la discipline que cela requiert, que la fréquence ne convient plus aux attachements ? Est-ce exact ?

R : Oui.

Q : (Perceval) Je pense que la TDE est utile d’un point de vue conceptuel, du style « Ce n’est pas vraiment moi ! » Il se peut que ce ne soit pas vraiment moi qui pense ou agis de la sorte.

(L) On se met à lui parler.

(Perceval) Sinon, on pourrait avoir tendance à penser que nous sommes nos traits de caractère Alors, l’idée que ça peut ne pas être moi, mais une influence extérieure est utile.

(L) C’est très utile.

(Perceval) Ça motive, non ?

(L) Comme je parlais à cette douleur. Si vous avez une manie, ou une particularité, parlez-lui ! Isolez-là et parlez-lui. « Ce n’est pas TOI qui commandes ! »

(Perceval) N’est-ce pas un peu comme dans la vie courante quand on entend parler de quelqu’un qui a de mauvaises fréquentations ? Comme des compagnons de beuverie, et il boit parce qu’ils boivent, etc. Mais quand il décide que cela suffit, ils s’en vont, ils n’ont plus envie de traîner avec lui. Donc, c’est un parallèle avec la vie courante. Dès que vous ne jouez plus le jeu, ils ne veulent plus être votre copain. Vous ne faites plus partie de la bande. Ils vous abandonnent.

R : Exactement !

Q : (PoB) Alors, fondamentalement, peu importe que ce soit une entité spirituelle, une fausse personnalité, ou la voix d’un parent qui vous dirige... Quoi que ce soit, on le combat toujours de la même façon.

(L) Oui, je le pense. Est-ce bien ça ?

R : Oui.

Q : (L) Alors, que peuvent faire les gens... Je veux dire...

(Perceval) Travailler sur leurs programmes. Ils peuvent qualifier leurs programmes d’attachement s’ils le souhaitent. Peu importe comment on appelle ça, du moment qu’on travaille dessus. On peut dire que c’est une habitude ancrée héritée de ses parents, ou que c’est un attachement. Dans tous les cas...

(Chu) Je veux changer cela parce que ce n’est pas moi.

(L) Ce n’est pas qui je suis réellement. Ce n’est pas ce que je veux vraiment être, alors il faut que ça disparaisse !

(Pierre) Ce qui était intéressant dans l’exemple que tu as donné c’est que tu as identifié que cette douleur était quelque chose d’externe. Dans la plupart des cas, plus on réagit avec force contre la douleur, plus on a mal. Mais là, tu es passée par la première étape décrite par les C’s : l’identification. Tu savais que ce n’était pas normal.

(L) Oui, parce que clairement dans certains cas, lorsqu’on a mal, on doit s’étendre et se reposer. On a besoin de porter une attelle ou autre. Toutes les douleurs ne vont pas ressembler à la mienne. Alors, ce qui a été utile, c’est d’avoir pu l’identifier, de savoir qu’il s’agissait d’un attachement. Bon, bien sûr une lésion réelle était impliquée, mais cela faisait tellement longtemps que ça aurait dû guérir et la douleur a persisté.

(Perceval) Je pense qu’un aspect problématique de la TDE tient au fait que c’est une technique très tentante pour ceux qui sont persuadés que tous leurs problèmes sont dus à des attachements et qu’il suffit de quelques coups de téléphone pour s’en débarrasser et régler tous les problèmes. Autrement dit, remplacer le Travail sur soi par quelques coups de téléphone, et voilà « je suis propre ! C’est bon ! » C’est ce qui attire dans ce genre de travail de TDE ; un simple coup de téléphone. Comme c’est facile ! Quelqu’un ferait tout le travail à votre place.

(L) Je pense que c’est utile SI on est impliqué dans le travail, et SI on continue à travailler et à appliquer la discipline nécessaire avant, pendant et après, pour modifier sa fréquence. Et voilà ce qui est important de demander à l’entité « Quand es-tu venue ? Qu’est-ce que je faisais ? Qu’est-ce qui me rendait vulnérable ? » Pour obtenir ce genre d’informations...

(Pierre) Pour identifier la fréquence, ou l’état de la personnalité qui a joué le rôle d’attracteur...

(L) Oui, c’est ça qui est utile. Je pense que c’est pour cela qu’ils disent que si on a besoin de la TDE, on doit trouver les paramètres.

(Perceval) Par définition, cela revient presque à dire que si on a un attachement, alors c’est qu’on a aussi un problème sur lequel il est nécessaire de travailler. Se contenter d’éliminer l’attachement ne règle pas le problème. Mettons que vous soyez d’humeur morose ou maussade ou je ne sais quoi, et qu’un attachement se produit. Ce n’est pas parce que l’entité s’en va que le problème est résolu. Vous aviez initialement un problème qui a permis à l’entité de s’installer. Alors, se débarrasser de l’entité ne règle pas le problème. Il faut aussi continuer à travailler sur soi.

Q : (L) Quelle est la meilleure façon de travailler à devenir conscient ? Je veux dire, nous en avons parlé la dernière fois, n’est-ce pas ? Et qu’ont-ils dit la dernière fois ? La conscience est la clé.

(Pierre) Voir le monde tel qu’il est.

(L) Rechercher consciemment la vérité et travailler en réseau avec d’autres.

(Perceval) Ils ont parlé du fait de remonter le moral lorsqu’on voit quelqu’un qui se sent mal ou autre. C’est aussi en rapport avec l’empathie : l’empathie envers autrui. L’éveil du centre émotionnel.

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Séance du 10 mai 2014

[...]

Q : (L) Oui, mais chacun a des blessures et des problèmes et toutes sortes de choses sur lesquelles travailler. Je veux dire...

R : [les lettres viennent très vite] Équilibre ! Une partie de la journée peut être dédiée aux réflexions, mais pas trop. Il s’agit du Virus Wetiko : une obsession pour le soi et les soucis personnels subjectifs. La prochaine fois que vous vous sentirez sombrer dans le désespoir, dites simplement aux autres ce que vous ressentez et pensez à ce que vous pourriez faire pour empêcher quelqu’un d’autre de ressentir la même souffrance. [les lettres arrivent plus lentement :] Là, vous assisterez ainsi à la naissance d’une véritable empathie. [...]

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Séance du 26 juillet 2014

[..]

Q : (L) Bien, ça me fait penser à une question pour poursuivre le sujet. J’ai réfléchi à la difficulté qu’ont tant de membres du groupe à se mettre à faire des choses utiles, des choses qui aident le réseau, qui aident le groupe, qui aident le Travail, et à persister. Parfois ils s’y mettent, et ensuite ils faiblissent. Parfois ils essayent quelque chose de trop gros, trop tôt, trop rapidement, et ensuite ils se découragent. Et je voudrais savoir qu’est-ce qui dans notre groupe ici nous a permis de travailler d’arrache-pied pendant des années et des années... même dans les circonstances les plus pénibles. Quelle est la qualité dont une personne a besoin pour être capable de — excusez-moi l’expression — de se bouger le cul, d’agir, et de continuer ? Quelle est la qualité nécessaire ?

R : Conscience éveillée.

Q : (L) Mais comment avons-nous réussi à éveiller nos consciences, et comment les autres peuvent-ils aussi y arriver ?

R : Rappelle-toi comment tu as commencé, tu as agi de toi-même comme la conscience du monde.

Q : (L) Eh bien, qu’est-ce que vous voulez dire ? Comment ça ?

R : Rappelle-toi pourquoi tu as commencé à essayer de voir tout ce qui se passait à ton niveau d’existence.

Q : (L) Vous voulez dire SOTT ? Mon Signes des Temps ?

R : Oui

Q : (L) Eh bien, la raison était que je pouvais voir que les autres ne se rappelaient pas de ce qui c’était passé d’un jour à l’autre ! Je veux dire qu’ils avaient besoin qu’on leur rappelle tous les jours, jour après jour, ce qui c’était passé.

R : Et c’est ce qui a développé ta conscience. Et ceux qui ont aidé ont vécu le même processus.

Q : (Andromeda) On doit constamment rester conscient de ce qui se passe.

(L) On doit s’éveiller, on doit se réveiller, et le rester... tout le temps, à propos de TOUT. Chaque minute où on se permet de dormir, on met sa conscience en sommeil. La dissociation met la conscience en sommeil. Très bien, c’est tout ce que je voulais demander à ce sujet. Poursuivez.

[...]

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[Courte pause ! Poncho et Rusty disent bonjour... « Wouf ! »]

(L) D’accord, voulez-vous poser d’autres questions à ce sujet ? Bien, j’ai une question de plus. Mettons qu’une personne ait des soucis qui lui posent vraiment problème, et de réelles difficultés pour les identifier, est-il possible de réaliser ces « visions » les uns sur les autres, sur le forum par exemple ?

R : Oui, si une personne particulièrement réceptive accepte de consacrer bénévolement une demi-heure à faire plus ou moins de la « vision à distance ». Il n’est pas nécessaire pour elle de tenter un quelconque détachement, une simple reconnaissance suffira.

Q : (L) Avons-nous des personnes assez réceptives ?

R : La plupart des membres ont le profil. C’est un service qui peut se rendre mutuellement. Attention ! : à n’utiliser que sur des personnes incapables de progresser ou de surmonter un blocage.

Q : (L) D’accord, combien de questions vous reste-t-il parce que nous dépassons le temps imparti ?

(Puck) Quelques-unes.

(L) D’accord, posez-leur.

(Puck) Qu’est-ce qui a provoqué ce malaise général à la fête de Shelly ?

R : Incompatibilité de fréquences et important obstacle fréquentiel dans le secteur.

Q : (L) Alors les gens n’étaient pas sur la même longueur d’onde, je présume, et cela aurait pu être... Eh bien, était-ce dû à l’obstacle fréquentiel ?

R : Essentiellement.

Q : (L) D’accord, ensuite ?

(Puck) À propos d’Ebola, quelle est la cause de la diffusion rapide du virus ?

R : Sa mutation et sa virulence croissante.

Q : (L) Alors, il devient plus agressif ?

R : Oui.

Q : (Perceval) Est-ce le candidat idéal pour se débarrasser de millions de personnes ?

R : Un tas, bien sûr. N’y a-t-il pas une similitude intéressante entre les psychopathes, virus du genre humain, et l’activation et la dissémination d’un élément contagieux ?

Q : (L) Êtes-vous en train de nous suggérer que c’est un de ces trucs interactifs du genre « ce qui est en haut est comme ce qui est en bas » ? Que tout comme les psychopathes deviennent plus agressifs et présents dans la société humaine, Ebola devient physiologiquement plus virulent ? Est-ce ce le sens ?

R : Oui assez proche.

Q : (L) Alors si elle veut stopper la progression d’Ebola et de tout autre agent pathogène, la société humaine devrait s’occuper du problème de la psychopathie ? Le virus de l’esprit, le virus Wetiko...

R : Oui

Q : (Puck) Et nous avons une question à propos des BRICS [NdT: Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud]. Est-ce que les dirigeants des BRICS ont un réel intérêt à améliorer l’avenir commun de l’humanité ?

R : En partie, mais comme pour toute chose dans votre monde, il y a des motivations variées et des objectifs contraires.

Q : (Puck) Lors d’une séance, en 2010 il me semble, les C’s ont donné les pourcentages de psychopathes dans la population. Nous nous demandions si ces chiffres sont toujours exacts ?

R : Ils sont en hausse du fait de multiples facteurs dont le « téléchargement » des 4D SDS.

Q : (L) En d’autres termes, les portails organiques pourraient être des réceptacles pour les infusions ou les connexions d’âmes SDS maléfiques. Et que dire de ces gens qui détruisent leur propre âme et conscience sous l’influence de la psychopathie, devenant ainsi des réceptacles ?

(Perceval) Qu’en est-il de tous ces gens dont ils ont dit que durant les guerres, après avoir été tués, ont été récupérés, réanimés, et relâchés dans la nature pour « être activés plus tard » ?

(L) Oui...

R : Ce sont tous des facteurs.

Q : (L) D’accord, ensuite ?

(Puck) Poutine descend-il de Jules César ? [rires]

R : Non, mais membre du même groupe d’âmes.

Q : (L) C’est tout ?

(Puck) C’est tout pour moi. [discussion sur les questions]

(seek10) Notre campagne sur Twitter a-t-elle un effet ?

R : Oui, et cela va s’amplifier avec des apports d’énergie réguliers et soutenus.

Q : (L) D’accord, un dernier conseil, ou une dernière chose à dire avant d’arrêter pour ce soir ?

R : Travaillez simplement quotidiennement à devenir plus conscient à 3 niveaux

1. Le corps et l’environnement immédiat,

2. Les événements dans le reste du monde,

3. Le cosmos et l’esprit.

Q : (L) « Esprit » ne devrait-il pas aller avec « Corps et environnement immédiat » ?

R : Non, c’est par les premiers pas que l’on parvient à la conscience cosmique.

Q : (L) Je ne comprends pas.

(Chu) Tu dois travailler sur le corps et l’environnement, et comprendre le monde extérieur d’abord. Ensuite tu peux développer la conscience cosmique et l’esprit.

(L) Oooh. Donc, autrement dit, pour atteindre la conscience cosmique, c’est-à-dire le véritable progrès spirituel, on doit élargir de manière très vaste son champ de vision ?

R : Exactement. Ceux qui suggèrent de ne regarder qu’à l’intérieur vivent dans une bulle singulière.

Q : (L) Bien. Autre chose ?

R : Non. Au revoir.

(L) Sayonara ! C’était long. Il va falloir deux jours à Monsieur Scott pour retranscrire tout ça.

(Mr. Scott) Pfft ! [rires]

(L) Oh, pas d’importance. Un jour suffira. Il maîtrise l’affaire. Bisous bisous à tous ! Amusez-vous bien ! Et merci pour de TRÈS bonnes questions ! C’était bien. Au revoir !

[Remerciements, au revoir, fin de la session Skype]

FIN DE LA SÉANCE
 
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