Séance du 17 février 1996

Jacques

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Merci aux membres de l'équipe française pour cette traduction.
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Séance du 17 février 1996

Participants : «Frank», Laura et SV

Q : (L) Bonjour.

R : Bonjour.

Q : (L) Nous avons plusieurs questions sur la liste que j’aimerais aborder avant que quelqu’un d’autre n’intervienne. En fait, SV a des questions à propos de sa stratégie d’investissement.

R : Qui sommes-nous ?

Q : (L) Je suis désolée. Qui est avec nous ce soir ?

R : Piliannah.

Q : (L) Et d’où transmettez-vous ?

R : Cassiopée.

Q : (L) Bien, maintenant que nous sommes en connexion...

R : Pose des questions précises.

Q : (L) En relisant la séance qui parlait d’économie, d’investissements, etc., je me suis demandé si nous étions au moins dans les temps, ou sur la bonne voie ?

R : Oui.

Q : (L) Une phrase que j’ai relevée était «Nul observant les “règles” n’a les moyens de “vivre”, mais si vous refusez de jouer le jeu comme on vous l’a expliqué, vous vous en sortirez très bien, assurément.». À quelles règles en particulier pensiez-vous ?

R : Vague. Revois le texte.

Q : (L) Eh bien, une des règles était de «travailler très dur pour gagner sa croûte à la sueur de son front». Vous avez indiqué qu’il s’agissait du piège numéro un...

R : Non, travailler pour quelqu’un d’autre ; pas «durement» en tant que tel.

Q : (L) Vous aviez aussi parlé d’investir. Vous aviez dit qu’entreposer son argent à la banque était inutile, et vous avez suggéré d’investir...

R : Il s’agissait de suggestions, non de limitations.

Q : (L) Vous avez aussi suggéré de publier...

R : Nous avons suggéré de demander sans détour à être publié.

Q : (L) J’ai parlé à Val, et apparemment il s’est entiché de Drunvalo Melchizedek, et Frank De Marco a renvoyé le manuscrit.

R : Ce ne sont que deux personnes, et tu n’as ni demandé sans détour ni humblement. Souviens-toi, la sophistication et le maintien d’une apparente «stature de professionnalisme» doivent ici être évités ! Oublie les «images», et concentre-toi sur l’intention avec sincérité. Tu es très douée pour «bien te faire comprendre» si tu es suffisamment motivée pour le faire. Ne laisse pas la suffisance interférer !

Q : (L) De quoi parlez-vous !?! Avez-vous une quelconque idée de tout le travail que j’ai accompli ? Tout ce que j’ai envoyé ? À combien de personnes ?!

R : Contente-toi de demander : s’il vous plaît, publiez ce travail.

Q : (L) Je ne pense pas que vous saisissiez la situation, là ! Il n’y a que deux options : une maison d’édition qui vous paie, ou une maison d’édition que vous payez !

R : Tu n’as pas contacté toutes les sources.

Q : (L) Évidemment que je ne les ai pas toutes contactées !!! Avez-vous une quelconque idée de combien il en coûte pour poster ce manuscrit ? Je ne pourrais en aucun cas l’envoyer à toutes les maisons d'édition ! Vous êtes totalement irréalistes pour la 3e densité, ici !

R : Alors, partage en réseau.

Q : (L) C’est ridicule ! Vous ne savez pas de quoi vous parlez. Vous êtes de 6e densité, ici c’est la 3e densité. (S) Non, regarde les ordinateurs. Il y a beaucoup de gens qui connaissent d’autres personnes. Quelqu’un connaît certainement quelqu’un qui travaille pour un éditeur ? (L) Sue, tu ne comprends pas... J’ai un dossier entier de lettres de refus. Tu veux les voir ?

R : Quel texte as-tu envoyé ?

Q : (L) The Noah Syndrome. C’est le seul qui soit sous une forme agréable à lire.

R : Qui dit ça ?

Q : (L) Eh bien, bon sang de bois, vous devriez savoir que les transcriptions ne peuvent être envoyées à qui que ce soit éparpillées et entrecoupées comme elles le sont !

R : Évite les aprioris !

Q : (L) Donc, vous suggérez d’envoyer les transcriptions des séances. C’est ça ?

R : Oui.

Q : (L) Eh bien, ce n’est pas de ça dont je parlais ! Si vous en savez autant que ça les gars, comment se fait-il que vous ne sachiez pas ça ?

R : Nous le savions.

Q : (L) Eh bien, «Les histoires sont faciles à broder quand vous êtes le seul à connaître le passé !»

R : Bonne remarque !

Q : (L) Oui, je le tiens de vous !

R : Si tu demandes à être publiée, tu seras publiée ! Nous suggérons aussi que ce ne soit pas fragmenté, mais qu’il y ait tout ! Et sers-toi de tes facultés à travailler en réseau.

Q : (S) Regarde combien de gens t’écrivent pour te poser des questions...

R : Inutile que ce soit «organisé» plus avant. Nous nous en sommes chargés pour toi. Contente-toi d’avoir la foi !!!! Nous te l’avons dit, nous ne donnons pas de mauvais conseils.

Q : (L) Là, je suis perdue.

R : Alors demande.

Q : (L) Nous pensions que sortir le magazine avec Pat Z était ce qu’il fallait faire. Et toutes les autres choses qui pourraient y être publiées... Est-ce une supposition stérile ?

R : Des choses, peut-être, mais pas un livre. Le magazine est «cool», mais pas le livre. Publie le livre ailleurs !

Q : (L) Eh bien, puisque vous m’avez donné le nom d’un chiropraticien, pourquoi ne me donnez-vous pas le nom d’un éditeur ?

R : Parce que cela viole la directive d’apprentissage. Mais note ceci : c’est à portée de «main».

Q : (L) Je ne saisis pas.

R : Que passes-tu beaucoup de «temps» à faire avec tes mains ?

Q : (L) Je tape... des lettres à des gens sur le net...

R : Une illumination ?

Q  : (S) Brillante idée ! (L) Non, ça doit être plus compliqué que ça.

R : Cherche un répertoire d’éditeurs et leurs adresses postales, par exemple.

Q : (L) Bon, j’en ai assez appris sur ce sujet. C’est suffisant.

R : Non, ça ne l’est pas !!!

Q : (L) D’accord. Je cherche un répertoire d’éditeurs... et puis quoi ?

R : À ton avis ?

Q : (L) Quoi d’autre ?

R : Demande.

Q : (L) Eh bien, comment saurais-je lequel est le bon quand j’aurais trouvé ce répertoire ? Je ne peux pas envoyer le manuscrit à la Terre entière !

R : Non.

Q : (L) Qu’y a-t-il d’autre ?

R : Beaucoup plus... Tu sais à quel point tu aimes les chasses au trésor, Laura ?!? Alors, apprends à apprécier celle-là.

Q : (L) D’accord, quel est le prochain indice dans cette chasse au trésor ?

R : Le partage en réseau !!! Comprends-tu ce que nous voulons dire quand nous disons cela ? Finalement ?

Q : (L) Je suppose que ça veut dire qu’on partage des informations sur internet ?

R : Oui. Et... Lis John Naisbitt. Nous sommes aussi en communication directe avec lui !

Q : (L) Qui est-ce ?

R : «Mégatendances».

Q : (L) Oh, j’ai ce livre. Vous dites que vous communiquez avec lui ?

R : Oui. Maintenant, lis le titre des chapitres !!!

Q : (L) D’accord : «De la société industrielle à la société informatique», «L’intrusion technologique et la réponse humaine», «De l’économie nationale à l’économie mondiale», «Du court terme au long terme», «La dynamique décentralisatrice», «De l’assistance institutionnelle au renouveau de l’initiative», «Des hiérarchies aux réseaux», etc. Page 211, des chiffres intéressants. OK, voulez-vous ajouter autre chose ?

R : Lors de ton «temps libre», lis et absorbe, et cherches-y des pistes. Cela te permettra d’utiliser tes ressources plus efficacement, et donc d’atteindre rapidement tes objectifs.

Q : (L) D’accord. (F) En gardant l’esprit ouvert. Sans apriori !

R : Ouaip.

Q : (L) Puis-je poser mes autres questions ? Plusieurs personnes m’ont écrit sur internet pour me demander de vous interroger sur ce projet HAARP… apparemment, c’est une espèce d’antenne…

R : Sert à camoufler autre chose.

Q : (L) C’est quoi, cette autre chose ?

R : Projet visant à appliquer les théories sur les ondes électromagnétiques au transfert de périmètres.

Q : (L) Qu’est-ce que ça veut dire ?

R : Si utilisé comme prévu, permettra une invisibilité contrôlée et une facilité de mouvements entre les niveaux de densité, à la surface de la planète comme au-dessous.

Q : (L) Qui est chargé de construire cette chose ?

R : Plus d’une entité.

Q : (L) Quels groupes ?

R : INVELCO est un paravent, de même qu’UNICON, et des intérêts bancaires.

Q : (L) Qui se cache derrière INVELCO et UNICON ? S’agit-il de simples sociétés-écrans ?

R : Pas loin.

Q : (L) Pouvez-vous nous dire s’il s’agit d’une organisation humaine, d’aliens ou bien d’une combinaison des deux ?

R : Humaine en surface.

Q : (L) Qui a eu l’idée de ce projet ?

R : Pas applicable.

Q : (L) Pouvez-vous nous en dire plus ?

R : Cela n’a rien à voir avec la météo ou le climat, lesquels émanent de la 4e densité, comme nous vous l’avons déjà dit.

Q : (L) Cela s’apparente-t-il à un remolécularisateur atomique transdimensionnel ?

R : Non.

Q : (L) Cela s’apparente-t-il à ce que vous avez dit sur la région du Sud-Ouest qui est en train de passer en 4e densité ?

R : Non.

Q : (L) Donc, HAARP n’a rien à voir avec la météo ?

R : Ni avec l’électromagnétisme qui y est censément associé.

Q : (L) Bon, et quand ce HAARP doit-il devenir opérationnel ?

R : Ouvert.

Q : (L) Est-ce qu’il est activé actuellement ?

R : Expérimental.

Q : (L) Depuis quand y travaillent-ils ?

R : Depuis les années 1920.

Q : (L) Quoi ?! Les années 20 ?

R : Oui.

Q : (L) Eh bien, voilà qui est étrange. Changement de sujet. L’autre jour, j’ai lu que les ovnis pouvaient être associés à des bris d’objets. Est-ce le cas ?

R : Parfois, oui.

Q : (L) Les épisodes que j’ai moi-même vécus ou m’impliquant d’une manière étrange — où un tas de choses soit se sont cassées, soit ont disparu, et en particulier l’incident de la vitre de la voiture qui a explosé quand Chloé G et moi revenions de Caroline du Nord — certains étaient-ils dus à une activité ovni ?

R : Peut-être.

Q : (L) Eh bien, Chloé voulait que je vous interroge au sujet de ce périple. Pouvez-vous commenter ?

R : Peut-être devrais-tu continuer à sonder Chloé pour voir quelles autres expériences elle a vécues, et pourquoi ? Bien davantage se dissimule ici.

Q : (L) Eh bien, je lui racontais le souvenir qui était remonté à la surface au sujet de l’incident qui s’était produit en 1987, quand je m’étais réveillée et que la maison était entourée d’une lumière extrêmement brillante. Au premier abord, j’avais pensé que plusieurs véhicules aux phares allumés entouraient la maison, que c’était des gens que mon mari connaissait et donc, que c’était à lui de s’occuper de ça. J’ai pensé que c’était une plaisanterie et qu’il n’y avait pas lieu de s’inquiéter. Plus tard, je me suis réveillée à l’envers dans mon lit et le bas de ma robe de chambre était mouillé. Mais au lieu de péter un plomb, je me suis extirpée du lit, qui était accoté au mur, en roulant, me suis retournée et me suis recouchée dans le bon sens pour me rendormir. C’est ce que je disais à Chloé en soulignant à quel point c’était vraiment dingue. Savoir que de la lumière illuminait la maison et simplement retourner se coucher pour ensuite se réveiller dans une position incongrue et ne rien en penser... juste fourrer ça sous le tapis. C’est arrivé à peu près au même moment où les choses se sont cassées. Qu’est-ce qui s’est passé ?

R : À ton avis ?

Q : (L) Eh bien, ça aurait pu être un rêve. Un rêve très intense.

R : On dirait que les rêves ont en règle générale tendance à inverser la position d’une personne dans son lit, n’est-ce pas ?

Q : (L) Bon, inutile d’être ironiques. Le fait que mon corps physique était à l’envers et que j’étais mouillée indique une abduction véritablement physique, je suppose.

R : Ouaip.

Q : (L) Eh bien, n’avez-vous pas dit que les abductions véritablement physiques étaient assez rares ?

R : Oui.

Q : (L) C’est là que mes mains ont commencé à s’engourdir et que ces horribles maux de tête ont commencé...

R : Sonde Chloé pour voir ce qu’elle refoule.

Q : (L) C’est vrai qu’elle m’a dit qu’elle commençait à voir des choses... Restons-en là. L’autre soir, aux infos, ils ont parlé d’un nouveau type de SIDA. D’où provient-il ?

R : Mutation du virus.

Q : (L) Ils disent qu’il vient de Thaïlande. Est-ce vrai ?

R : Peut-être.

Q : (L) Est-il déjà aux États-Unis ?

R : Non.

Q : (L) Bon, il est censé être huit fois plus contagieux...

R : Mais se transmet toujours par le même mode.

Q : (L) Le SIDA est-il transmissible par des insectes, par exemple ?

R : Non.

Q : (L) Par d’autres moyens que ce qu’on nous dit ?

R : Non.

Q : (L) Combien de personnes sont mortes du vrai SIDA aux États-Unis ?

R : 189 000.

Q : (L) Combien de personnes l’ont actuellement ?

R : Environ 1 million sont positives au VIH. Seuls 39 pour cent développeront le SIDA un jour.

Q : (L) Y a-t-il quoi que ce soit que j’aurais dû demander et que je n’ai pas demandé ? Pouvez-vous me dire quoi que ce soit qui aiderait ?

R : Procède avec prudence, car la publication va bientôt «exploser».

Q : (L) Nous ferons cette «discussion» en ligne avec Mike Lindemann sur l’ISCNI demain soir. Un conseil ?

R : Ne vous dispersez pas, utilisez un langage simple, évitez le jargon ou les concepts qui ne sont pas universellement compris, à moins qu’ils ne soient accompagnés d’une explication adéquate.

Q : (L) D’accord, je suppose qu’on va simplement continuer avec le partage en réseau et le magazine pour l’instant... espérons que cela fera rentrer un peu d’argent parce que tous ces papiers et ces impressions me coûtent les yeux de la tête !

R : Sera bientôt résolu !!

Q : (L) Eh bien, j’ai besoin de savoir si j’investis de l’argent dans un projet inutile !

R : Non ! C’est amusant de découvrir !

Q : (L) Quoi que ce soit d’inhabituel va-t-il se produire lors de la conférence du mois prochain ?

R : Vous verrez bien !

Q : (L) Merci et bonne nuit.

R : Bonne nuit.

Fin de la séance
 
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