Séance du 18 février 1995

Jacques

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Merci aux membres de l'équipe française pour cette traduction.
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Séance du 18 février 1995 :

Participants : « Frank », Laura, Terry, Jan, DM

{C'est une séance problématique pour plusieurs raisons. La femme, DM, qui avait assisté à de nombreuses séances, y compris celle qui précède, constituait à mon avis une sorte de « perturbation dans la force ». Il y avait un fort conflit entre elle et Jan. Il y a eu beaucoup de choses bizarres lors de cette séance, comme vous le verrez. Ce n'était pas seulement une question d'attitude. Je pense que l'un des indices était d’avoir abrégé le mot « Cassiopée », ce qui était étrange à ce stade de l’expérience.}

Q : (L) Y a-t-il quelqu’un avec nous ?

R : Stop.

Q : (T) Stopper quoi, notre discussion sur toutes ces bizarreries ?

R : Non. Et ce ne sont pas des bizarreries.

Q : (T) Que veut dire « stop » ?

R : Fermez les portes.

Q : (L) C’est curieux, les bruits de la maison ne les dérangeaient pas avant. [Nous fermons les portes.] Qui est avec nous ce soir ?

R : Teiurannea.

Q : (L) Bien, pourquoi vouliez-vous que les portes soient fermées et allez-vous nous répondre ?

R : Il y a trop d’interférence provenant d’influences extérieures en général.

Q : (L) Et nous avons avec nous…

R : Trop de bruit et de parasites dans le salon.

Q : (L) Eh bien, ils ne s’en sont jamais plaints auparavant… (J) Ça doit être la télévision… [Laura demande aux enfants dans la pièce à côté de baisser la télévision et de rester tranquilles.] Vous n’aimez pas Star Trek ?

R : Pas un problème.

Q : (L) Quel est le problème ?

R : Bruit et blagues innocentes.

Q : (J) C’est les enfants. (L) Bon, ils vont bientôt aller au lit…

R : Vous n’aurez pas le contrôle de cette séance alors ne vous préoccupez pas de poser des questions stupides, comme avant !

Q : (L) Eh bien, ça n’a pas l’air très sympa, non ? (T) Allez-vous communiquer des informations que vous voulez que nous nous contentions d’écouter et d’absorber ?

R : Parfois la sympathie doit être mise de côté pour obtenir votre attention et rediriger les longueurs d’onde.

Q : (T) Vous avez la parole, redirigez.

R : Pause… attendez que des informations importantes soient transmises par notre canal. Vous avez oublié de demander l’identité.

Q : (L) D’où venez-vous ?

R : Cass. Les enfants ne coopèrent pas. {Laura envoie les enfants au lit, ce qui suscite beaucoup de mauvaise humeur.} Merci. Vous devez être plus ouverts, souvenez-vous, nous sommes vous !!!!!

Q : (L) Qui n’est pas ouvert ?

R : Pas la question. Pouvez-vous imaginer à quoi ressemble le fait de se voir comme on était autrefois, de savoir qu’on l’est toujours, et de devoir communiquer avec soi-même à un niveau des moins conventionnels à des fins d’union ?

Q : (L) Non, je ne pense pas que j’arrive à imaginer cela.

R : Eh bien, essaye !

Q : (L) J’essaye. Je suppose que ce serait comme se regarder bébé.

R : OK. Continue.

Q : (L) Eh bien, si l’on se met dans l’état d’esprit d’un bébé, on constate qu’il a très peu conscience de ce qui se passe. Sa conscience est principalement focalisée sur la satisfaction de ses besoins, sur lui, la nourriture, le confort, et l’adulte s’inquiète de savoir si le toit fuit, si le vent va arracher les fenêtres et si le loup va venir hurler à la porte. Est-ce à peu près ça ?

R : Progrès !

Q : (L) Donc, vous nous trouvez un peu pénibles parfois ?

R : Nous sommes vous, vous êtes nous, nous sommes littéralement une seule et même personne.

Q : (L) Donc, vous ne nous trouvez pas pénibles, car il serait difficile de se trouver soi-même pénibles, mais il est toujours possible d’être mécontent d’un aspect de sa personnalité ? (J) C’est comme aimer quelqu’un, voir ce qu’il pourrait être et être un peu impatient qu’il ne le soit pas encore ?

R : Ouah ! Quel concept !

Q : (L) Très bien…

R : Laura, tu penses toujours que nous sommes une entité séparée de toi. Tu as l’habitude de dire aux gens : « les Cassiopéens ont dit ceci, les Cassiopéens ont dit cela ». Ne sais-tu pas que c’est toi, telle que tu seras ?

Q : (T) Sauf qu’ils étaient alors comme ça et qu’ils essayent de faire avec et de se convaincre maintenant de s’ouvrir suffisamment pour s’écouter eux-mêmes… ou quelque chose du genre. (J) Je pense qu’ils ont de la patience avec nous.

R : Pas loin, Terry. C’est amusant pour nous de t’écouter en tant que toi !

Q : (T) Cool ! C’est sympa de savoir que j’amuse mon Moi dans le futur.

R : Sous notre forme !

Q : (T) Mais ça doit être frustrant, car quand vous étiez nous dans le passé, en 3e densité, vous n’en saviez pas suffisamment pour pouvoir communiquer avec vous dans le futur. (J) Eh bien, peut-être que si. On n’en sait rien.

R : Faux ! Que pensez-vous que ceci est !

Q : (L) C’est le futur, le passé, le présent… (T) Mais c’est difficile pour nous de comprendre ça, coincés en 3e densité… Ils sont moi, nous sommes tous ensemble, coo coo cachoo  ! (J) C’est dur pour nous, pas pour eux. (T) Ils sont nous, nous sommes eux.

R : Pas dur pour nous dans l’un ou l’autre point de référence.

Q : (T) Alors pourquoi est-ce difficile pour nous de percevoir ce que nous semblons comprendre là-bas ? (L) Peut-être n’est-ce pas aussi difficile que nous semblons le penser. (T) Alors, comment dépasser ça ? Comment en arrive-t-on à percevoir ce qu’on a besoin de percevoir ? (J) Laisse faire.

R : Tu as dépassé ça.

Q : (T) Par le simple fait de faire ce que nous faisons, nous avons dépassé ce stade. Maintenant, nous n’avons plus qu’à arriver à nous ouvrir davantage pour pouvoir faire ça correctement ?

R : Bingo zingo !

Q : (T) Manifestement, quelqu’un d’autre parmi nous aime dire « Bingo zingo » et vous tenez cette expression de nous quand vous étiez ici parce que je n’ai jamais dit « Bingo zingo ». (J) C’était Al. (T) Al, l’hologramme, a dit bingo zingo…

R : Ou peut-être que tu as changé et décidé que tu aimerais le dire !

Q : (L) Très bien les gars, puis-je poser une question ? Quelque chose m’a enquiquiné toute la semaine.

R : Demande si tu le dois, mais nous allons nous amuser ce soir.

Q : (J) J’aurai aussi une question sur ce qui m’a réveillée l’autre jour. (T) On s’amuse toujours… pourquoi ne pas les laisser déballer leurs trucs… (L) D’accord, déballez vos trucs…

R : Non Laura, nous ne sommes pas les Lizzies ; c’est un appel de Cassiopée. Ne t’inquiète pas, le canal est maintenant ancré de façon permanente, mais ces fichues cassettes !

Q : (L) Vous me fichez les jetons les gars. {J’avais vraiment l’impression que quelque chose ne tournait pas rond lors de cette séance.}

R : Tu es trop sérieuse.

Q : (L) Il faut bien que quelqu’un le soit !

R : Non !

Q : (T) Bon, vous alliez nous donner des informations importantes… c’est ce que vous avez dit au début de la séance…

R : En temps voulu, mais d’abord, nous voulons nous amuser.

Q : (L) Eh bien, allez-y. Je tiens à voir ça. Faites.

R : Détends-toi Laura. C’est ton autre persona s’adressant directement à moi-même !

Q : (J) Ça n’a aucun sens. Je déteste quand je ne comprends pas…

R : Persona. Jan, tu as toujours eu du mal avec les stylos et les crayons, après tu as/j’ai appris l’informatique !!!

Q : (J) C’est vrai ! Je dois écrire en majuscules.

R : Maintenant c’est moi/nous, Jan.

Q : (J) Donc, c’était ta persona qui s’adressait à toi, Laura.

R : Oublie ça, Laura, ce n’était qu’une expérience d’apprentissage parmi tant d’autres ! Elles nous ont tous incroyablement enrichis.

Q : (L) Quelle expérience d’apprentissage suis-je censée oublier.

R : Des vies entières de « malheur ».

Q : (T) Est-ce que cette vie-ci est l’une de ses/vos existences de malheur ?

R : Elles le sont toutes si nous choisissons de les voir ainsi.

Q : (J) J’ai un commentaire à faire aux Cassiopéens. (T) Cela inclut-il aussi la 4e densité ? (J) Je peux avoir des difficultés à écrire, mais la moitié du temps j’anticipe déjà ce qu’ils vont dire et j’écris d’avance, alors ils devraient me lâcher la grappe. (L) Lâchez-lui la grappe les gars. (T) Lâchez, lâchez !

R : Grappe lâchée !

Q : [Rires] (T) Je suis content de savoir qu’il y a encore de l’humour au 6e niveau !

R : Il y en a beaucoup ici, pas vraiment assez en bas. Chère Jan, donne le stylo et le papier à DM.

Q : (T) Une lettre à « Chère Jan » ! [Rires] (DM) Je suppose que je reçois aussi des trucs en étant assise là. J’ai un peu l’impression d’être la cinquième roue du carrosse de toute façon.

R : J’ai, nous, avons entendu DM. Soit dit en passant, c’est nous qui parlons !

Q : (T) Soit dit en passant peut s’abréger BTW, les gars.

R : BTO.

Q : (L) Qu’est-ce que ça veut dire ? (T) Par l’autre côté ?

R : Bachman Turner Overdrive !

Q : [Rires] (L) Terry, si tu ne la connaissais pas, tu es vraiment mal en point ! (T) Emerson, Lake and Palmer ! Electric Light Orchestra ! Q : (L) Bon, je veux juste dire quelque chose…

R : OK, Laura, pose ta question si tu le dois.

Q : (J) J’ai une question sur…

R : Laura d’abord, nous/elle est sur le point d’exploser.

Q : [Rires] (T) Demande, ma chère. (L) Je voulais demander, mais bon, les gars, vous allez être furieux contre moi parce que je vais sérieusement digresser…

R : On sait, vas-y, pose-la maintenant !!!!

Q : (LM) Est-ce que c’est du new-yorkais ? (L) La question que je voulais poser…

R : Non, LM, du juif de Miami !

Q : [Rires] (LM) Je pensais qu’ils étaient de Cornucopia, pas de Miami ! (J) Allez, crache le morceau ! (L) Ma question est… (T) Elle a oublié ! (L) Non, je n’ai pas oublié, je dois juste trouver comment la formuler. Comme vous le savez, je suis en train de lire ce livre sur les victimes de l’Holocauste qui se réincarnent et se souviennent de leurs expériences de cette époque. La question est : à une occasion, vous nous avez dit que le peuple juif, en tant que groupe ethnique, descendait des Atlantes, est-ce exact ?

R : Certains.

Q : (L) Certains. Pouvez-vous nous préciser ce « certains » ?

R : Non.

Q : (L) Y a-t-il eu un élément karmique accompli par l’Holocauste ?

R : Bien sûr.

Q : (L) Pouvez-vous nous dire quel karma a été expié par cette activité, et quel groupe les Juifs représentaient ?

R : C’est sans rapport, mais il s’agissait de superviseurs Atlantes qui « expiaient » la culpabilité issue de cette expérience de vie.

Q : (L) Alors…

R : Alors quoi ?

Q : (L) Il y a quelques semaines, je me suis réveillée le matin avec l’impression que ma langue avait été arrachée. J’ai eu la sensation qu’il s’était produit quelque chose d’inhabituel. J’aimerais savoir ce que c’était. {En fait, je m’étais réveillée en crachant du sang du fin fond de la gorge la nuit précédant le jour où je devais passer une IRM.}

R : Ce n’est pas important.

Q : (L) Je sais que vous dites que ce n’est pas important, mais les conséquences ont été très sérieuses sur mon corps.

R : Comme toujours. Et n’avons-nous pas conseillé de moins se concentrer sur la physicalité ?

Q : (L) Eh bien, là où j’essaye d’en venir, c’est que si j’ai été extirpée au beau milieu de la nuit par une bande de Lizzies, ou je ne sais qui, pour être tripatouillée, j’aimerais vraiment le savoir. Je sais que c’est de la physicalité…

R : Tu ne l’as pas été.

{Peut-être pas par les Lizzies, mais quelque chose de très étrange s’était produit cette nuit-là. Un élément qui avait été vu aux rayons X n’était plus présent sur l’IRM faite le lendemain matin.}

Q : (L) Très bien, Jan, pose ta question si tu l’oses ! (J) Si j’ose ! La semaine dernière, je me suis réveillée, environ 20 minutes après m’être endormie, en hurlant comme une dingue car il y avait quelque chose debout à côté du lit. Qu’est-ce que c’était ?

R : Là, Jan, tu as effectivement été enlevée !

Q : (L) Qui l’a enlevée ?

R : Nos amis les Gris.

Q : (L) Qu’ont-ils fait ?

R : Actualisation de l’étude de la base de données psychique.

Q : [Question perdue]

R : Il faut toujours avoir de l’humour !

Q : [Question perdue]

R : Concept erroné.

Q : (T) Est-ce la surprise de la sensation de passer par la fenêtre qui a fait crier Jan ?

R : Pas besoin de fenêtres.

Q : [Question perdue]

R : Expérience d’abduction ordinaire qui vous est familière.

Q : [Question perdue]

R : OK.

Q : [Question perdue]

R : Oui.

Q : (T) L’incident semble avoir duré 20 minutes, dans notre temps illusoire, parce que c’est arrivé pendant que je regardais la télévision dans le salon. Mais son expérience a pu être plus longue ou plus courte que le temps que nous avons perçu, n’est-ce pas ?

R : Oui.

Q : (T) Donc, quand elle a crié… (J) Ai-je mis un terme à l’abduction en criant ?

R : Fin, limite de niveau de conscience.

Q : (T) Donc, quand je suis entré dans la chambre, ça c’est simplement terminé ?

R : Oui.

Q : (T) Ce n’est pas moi qui y ai mis un terme ? Ses cris m’ont juste alerté.

R : Tu as été distrait.

Q : (T) Eh bien, c’est facile à faire avec moi. Je suis facilement distrait ! Donnez-moi un écran d’ordinateur et mon attention est détournée !

R : Tous le sont.

Q : (T) Je suis en bonne compagnie.

{Pause}

Q : (J) J’ai encore une question. Après que ce soit arrivé, Terry a dit qu’il…

R : DM, à la planche s’il te plaît !!

Q : (J) Ils vous veulent tous les quatre ? (L) Non. Je ne veux pas leur parler ce soir, ils sont horribles ! (DM) J’ai l’impression d’être terriblement importante avec eux !

R : Horrible est subjectif. Nous sommes toi, Laura.

Q : (L) Je ne suis pas sûre de le croire.

R : Pourquoi serions-nous horribles avec nous-mêmes ? Mais nous comprenons l’emprisonnement de la physicalité et ses tendances biologiques.

Q : (L) Quel genre de remarque narquoise c’était ça ? (T) Ils te disent seulement que tu comprends. (DM) Nous nous parlons à nous-mêmes en chassé-croisé. (T) Ils sont nous. Nous sommes nous.

R : Narquois c’est ta perception, et aussi la nôtre. Hélas.

Q : (L) Eh bien, désolée les gars, mais il me semble que vous perdez beaucoup de temps et d’énergie. Je veux dire, on veille tard le soir pour faire ça et…

R : Qui détermine le facteur perte ?

Q : (L) Eh bien, ce n’est que mon opinion.

R : Et aussi la nôtre !!

Q : (T) Parce qu’ils sont toi et tu es eux… comme disaient les Beatles : « Coo coo cachoo, nous sommes les Morses ! » (DM) Ne pouvons-nous pas tout simplement demander s’ils ont quelque chose d’important à dispenser à la race humaine, ou quelque chose comme ça ? (T) Y a-t-il quelque chose de plus par rapport à ce que vous avez dit précédemment ?

R : Est en train d’être dispensé.

Q : (L) Et quand cela va-t-il arriver ?

R : En ce moment.

Q : (DM) Bon, peut-être que tout ça sert juste à nous faire réaliser que nous nous parlons à nous-mêmes depuis le passé…

R : En partie. Pourquoi cette résistance.

Q : (DM) Je suppose qu’on le comprend et qu’on attend la suite.

R : Nous ne sommes pas séparés de vous. Une fois ceci admis, des progrès seront faits !

Q : (T) Ouais ! Vous êtes nous, nous sommes vous. Q : (L) Très bien, je veux savoir ce qui m’est arrivé, il y a environ une semaine, quand j’ai eu l’impression qu’on m’injectait dans le système toutes sortes de trucs que je ne semblais pas capable d’affronter en termes de contrôle émotionnel. Que se passait-il ?

R : Avons répondu il y a environ une demi-heure selon ta/notre mesure du temps.

Q : (L) Je ne me souviens pas d’avoir posé une question à ce sujet ou d’avoir reçu une réponse. (J) Tu as parlé de ta langue. (L) Je ne parle pas de ça.

R : Non.

Q : (L) De quoi parlez-vous… l’histoire des vies antérieures ?

R : Oui.

Q : (L) Eh bien, qu’est-ce qui a provoqué cet épisode ?

R : Ions chargés par ouverture de conscience dans fenêtre d’enveloppe EM, précipitant le trauma physique dans les environs immédiats. « Précipitant » au sens passé.

Q : (L) OK, donc dans le passé, ce genre d’ouverture d’une fenêtre dans l’enveloppe EM…

R : Tu t’es élevée.

Q : (T) Tu as établi une connexion avec d’autres expériences de vie, et tu as été capable de les revivre d’une autre façon. (L) Eh bien, cela a eu des effets sacrément étranges, c’est tout ce que j’ai à dire là-dessus ! Ça ne m’a pas spécialement plu. (T) Est-ce qu’elle va encore vivre d’autres d’expériences de ce genre maintenant qu’elle a effectué cette élévation ?

R : Oui. Chaque épisode sera de plus en plus facile.

Q : (L) Dieu merci ! Quand est-ce que les autres auront le plaisir de vivre ce… (T) Nous n’avons pas encore atteint ce stade, ou bien nous pourrions en faire l’expérience de manière différente. C’est ça ?

R : En quelque sorte, chacun a ses propres problématiques.

Q : (T) Eh bien, nous vivons tous des choses différentes à mesure que nous progressons. (J) Nous avons tous des problèmes différents à résoudre.

R : Pourquoi souhaiter le martyre à autrui ?

Q : (L) Je ne souhaite pas le martyre à autrui. Les gars, je veux juste que vous vous rendiez compte du véritable martyre… (T) Ils s'en rendent compte… (J) Et nous aussi… Ils l’ont vécu avec toi. Tu n’as pas traversé ça toute seule ! (T) Ils sont toi !

R : Pourquoi souhaiter le martyre à autrui, tout le monde a ses épreuves personnelles, aimerais-tu/aimerions-nous partager ?

Q : (L) Autrement dit, estime-toi heureuse que ça n’ait pas été pire. (DM) Je voudrais poser une question, parce que vous comprenez probablement, et moi, non. Si nous sommes de 6e et aussi de 3e densité, dans le futur, serons-nous d’une autre 3e et d’une autre 6e densité… (F) Selon notre perception de 3e densité, puisque notre temps est linéaire nous nous regardons dans le futur en train de nous répondre dans le présent, mais tout cela se produit simultanément, parce qu’en réalité le temps n’existe pas. Et je pense que, probablement, ça veut aussi dire qu’un jour — qui est aussi aujourd’hui — nous serons en 6e, en train de regarder en bas, ici… (DM) Nous ferons la même chose, encore et encore ? (F) En quelque sorte, oui et non… Je ne pense pas que nous puissions tout à fait saisir le concept dans son intégralité… (T) Le problème est que…

R : Vous le saisirez au 6e niveau !!! Donc réjouissez-vous dans l’« ici et maintenant » !

Q : (T) Même en 4e, notre compréhension sera supérieure à notre compréhension actuelle. Ils nous donnent des concepts qui dépassent le 3e niveau. Ils travaillent avec nous pour nous préparer, de sorte que, quand nous arriverons au 4e, nous aurons une longueur d’avance sur ce qui se passe. Ils nous amènent là où nous sommes déjà, parce que, à l’origine, nous sommes venus ici depuis le 4e niveau pour faire ça, pour ancrer la fréquence et la maintenir pour que d’autres puissent passer au 4e niveau. Nous sommes venus de 4e densité pour faire ça. Ils essayent de nous donner suffisamment d’informations pour que nous nous souvenions… (F) C’est un peu comme Hansel et Gretel qui vont dans la forêt et qui sèment des miettes pour retrouver leur chemin. Nous sommes revenus de 4e en 3e pour faire ce que nous avons à faire, et nous retournons en 4e, mais il nous faut laisser une piste pour rester connectés à l’endroit d’où nous venons… quelque chose de ce genre, en tout cas. Est-ce que ton cerveau explose, DM ? (T) Nous, là où nous sommes maintenant, ne comprenons pas tout cela, parce que nous ne sommes pas censés le comprendre à ce niveau.

R : Apprentissage. Laura vient juste d’acquérir un brin de plus, c’est pour ça que c’était si douloureux, d’accord ?

Q : (DM) Dis-donc ! Félicitations ! (T) Ouaip, elle a gagné un autre brin et a été promue Maître Reiki ! (L) Je suis d’une humeur d’ours ! (T) Humour ! Vous autres, en 6e densité, vous vous payez sacrément votre tête, là. Nous allons faire une pause. (F) Tu as gagné un brin d’ADN ?

Après une pause au cours de laquelle Terry, Jan et moi nous sommes consultés dans la cuisine tandis qu’au salon Frank régalait DM de récits sur ses exploits en channeling, nous sommes revenus à la table, conscients et alertes, et le reste de la séance a été beaucoup plus stable, même s’il y a eu quelques curieux épisodes de distorsion, et une ou deux tentatives de « prédictions ancrées dans le temps » – ce qui a toujours trahi, sans l’ombre d’un doute, une tentative d’infiltration par des forces SDS.

C’est aussi à ce moment-là que j’ai posé une « question secrète ». Après avoir considéré la possibilité que les événements des semaines passées aient été liés à l’ADN, j’avais abouti à la vague idée que j’avais eu l’inspiration d’entreprendre ce projet de channeling comme moyen d’activer mon ADN, ce qui avait eu pour résultat cet « éveil », ou cette « accélération », et qu’en conséquence, ma vie entière allait changer. J’avais demandé mentalement si c’était vrai, et si oui, comment cela allait se manifester :

Q : (L) Êtes-vous avec nous les gars ? Évidemment, vous êtes nous !

R : Oui, quelque chose comme ça.

Q : (T) Pourquoi Laura ne sera-t-elle jamais satisfaite ?

R : Tu es insatiable.

Q : (T) Tu es insatiable ? C’est pour ça que tout te tombe dessus, parce que tu es insatiable. (L) Oh, on a tous sa croix à porter. (DM) Tu es meilleure pour poser des questions ; voudrais-tu bien « nous » demander si mes problèmes abdominaux ont quelque chose à voir avec un changement de mon ADN ?

R : Attention en conduisant ce soir, DM.

Q : (L) L’ADN de DM est-il en train de se modifier et son problème d’estomac est-il un signe de ce changement d’ADN ?

R : Oui et non.

Q : (DM) Merci. (T) Êtes-vous des mecs ou des nanas ? Non, on a déjà demandé ça…

R : Révision des antécédents.

Q : (L) Je voudrais parler de la Maîtrise Reiki. Nous avons discuté du coût, du moins Susan et moi en avons discuté – pour moi, les gens devraient y avoir accès pour bien moins cher que ça ne l’est, mais en même temps…

R : Oui, mais moins de personnalisation maintenant.

Q : (L) Est-ce une question personnelle ?

R : Allait revenir au même.

Q : (L) Eh bien, je ne suis pas de cet avis. Ça n’allait pas le devenir.

R : Attendez-vous à un tremblement de 4,7 aux États-Unis dans les trois jours. En N.A., Rochester, région de New York. Des failles existent à proximité. Activité du Vésuve et de l’Etna durant l’année civile 1995. Et aussi de Théra. En Afrique, des inondations tuent 1 000 personnes durant l’été 1995.

Q : (DM) Je pense qu’il serait important que nous contactions des gens pour leur dire comment on a eu ces informations… (T) L’activité de ces volcans est-elle liée au truc du Japon ?

R : Oui. Éruption volcanique sous la glace arctique en 1996.

Q : (T) Cool ! (L) Ça devrait être une grosse surprise. (T) Ça va nous inonder alors !

R : Non. Le climat provoquant une évaporation accrue et oui, nos activités et ces communications entraîneront des vagues d’ovnis !

Q : (T) A-t-on posé cette question ? (J) Non, mais j’y ai pensé et on en a parlé tout à l’heure. (T) Nous contribuons à créer…

R : Causons, Terry.

Q : (T) C’est nous qui causons ça ? (DM) Non.

R : Oui.

Q : (T) Donc, ils disent qu’on contribue à ouvrir cette région, ce qui fait que ça se produit de plus en plus ?

R : Vous ouvrez en grand une énorme fenêtre. Gigantesque, la plus grande de l’Histoire !!!

Q : (L) Et dire que tout ça a commencé quand j’ai hypnotisé Pat Z. Si elle savait seulement ce qu’elle a fait !

R : Pas PZ, notre « association ».

Q : (L) Je ne faisais que plaisanter. (T) Un petit peu d’humour les gars. (L) Ai-je le droit de plaisanter un petit peu de temps en temps ?

R : Oui et tu vas avoir besoin de tout l’humour imaginable.

Q : (J) J’ai toujours dit que le seul moyen de s’en sortir dans la vie c’était de rire. (F) Ça me paraît de mauvais augure. (L) Oui, à moi aussi. (T) Plus nous travaillons ce canal, plus cette fenêtre va s’agrandir, c’est bien ça ?

R : Oui. Et vous serez occupés.

Q : (F) Est-ce pour cela qu’on a besoin de tout l’humour possible, parce qu’on va être très occupés ?

R : Oui.

Q : (DM) Ne devrions-nous pas faire ça plus d’un soir par semaine ? (L) Non ! (DM) Oh, excusez-moi.

R : Non.

Q : (T) Un soir, c’est plus que suffisant. (F) C’est quoi ton but, me vider jusqu’à la non-existence totale ? [Rires] (L) On a essayé plus d’un soir par semaine et ça nous a presque tués. (T) Y a-t-il des gens sur la planète qui remarquent qu’on ouvre cette fenêtre en grand ?

R : Reçoivent les effets secondaires.

Q : (T) Finiront-ils par être capables de repérer la source ?

R : Peut-être.

Q : (T) Alors on ferait bien de garder beaucoup d’humour, car on pourrait avoir de la visite. (DM) Que pourrait-on faire pour les aider à nous localiser ? (L) Ce n’est pas ce qu’on veut ! (DM) Oh ! Pourquoi ?

R : MIB.

Q : (T) Les Men in Black! Non, DM, on ne veut pas qu’ils sachent où nous sommes ! Vu que n’importe qui venant à nous leur crée des problèmes, il n’en serait pas très content ! (DM) Oh, je n’avais pas réalisé que c’était un problème. Je pensais que c’était bien. (T) C’est difficile pour eux… (DM) Je vois, je vois… (T) Si ce qu’on fait ici crée de plus en plus de soucis, les effets secondaires pourraient être des problèmes de communication, des choses de cette nature…

R : Mais aussi aptitude à canaliser plus puissamment.

Q : (T) OK. Nous serons capables de canaliser plus puissamment, car nous gagnons en force. Provoquons-nous aussi certains changements terrestres… jouons-nous un rôle là-dedans ?

R : Symétrie.

Q : (L) Hein ? (DM) Les choses arrivent de façon concomitante. (T) Cause et effet…

R : Oui.

Q : (L) Sommes-nous en train d’édifier une boule d’énergie géante autour de notre région ?

R : Vous êtes le phare de la destinée de cette planète.

Q : (L) Mais Maman ! Je ne voulais pas devenir le sauveur du monde ! [Rires] (T) En feront-ils un film quand tout sera fini ? C’est de l’humour ! (DM) Sera-t-on un jour célèbre pour ça ? (T) J’espère bien que non ! Je ne veux pas qu’ils nous tombent dessus !

R : Vous verrez bien !

Q : (L) J’ai une question maintenant… Jan et moi avons beaucoup travaillé l’autre jour sur la présentation de nos envois. Est-ce le format privilégié, ou devrions-nous en prendre un autre… soyez patients avec nous… (T) Nous avons besoin d’un avis stylistique…

R : Vous prenez bien sûr la bonne direction, symétrie, synchronicité.

Q : (L) Le symbole Reiki que j’ai choisi pour mettre en couverture va-t-il contribuer à diffuser cette énergie ?

R : Peut-être. Pourquoi ne pas utiliser le symbole qui t’a été donné.

Q : (L) Vous voulez dire le An nu ki ?

R : Bingo !

Q : (L) Alors on mettra le symbole An nu ki dessus, c’est la pyramide en trois parties. [Terry relit les prédictions.] Y a-t-il d’autres prédictions ?

R : Non.

Q : (T) Bien, je voulais juste m’assurer que nous n’avions pas digressé et loupé quelque chose. D’accord. (DM) Ai-je demandé si nous étions censés les faire connaître ? (T) Quoi donc ? (DM) Ces informations et les prédictions ? (T) Je suppose que c’est à nous de décider si on veut le dire ou non. Le tremblement de terre de Rochester fera-t-il des victimes ?

R : Non.

Q : (J) C’est juste un petit séisme. (T) Juste assez pour attirer leur attention ?

R : Oui.

Q : (T) OK, avons-nous d’autres questions ? (L) Oui, je voudrais…

R : Petit incendie en Illinois. Ne sera pas une tragédie, juste gênant. Qui a une ferme en Illinois ?

Q : (DM) Je suis de l’Illinois. Mes parents y ont une ferme. Est-ce que vous parlez de cette ferme ?

R : Oui.

Q : (DM) Quand cela va-t-il arriver ?

R : Bientôt.

Q : (DM) Devrais-je faire quelque chose pour l’empêcher ?

R : Non.

Q : (L) Très bien, je veux poser une question. C’est une question piège. Elle implique la télépathie. Répondez s’il vous plaît à la question à laquelle je pense.

R : Tes rêves sont valides.

Q : (DM) Mes rêves sont valides ?

R : Non.

Q : (T) Les rêves de Laura ?

R : Oui.

Q : (T) Quel rêve ? (DM) Tes rêves sont valides, Laura. (T) C’était ta question ? (L) Eh bien, en quelque sorte. Ça pourrait s’appliquer. (T) Ils ont répondu à ta question avant que tu ne la poses. (L) Oui. Je n’allais pas la poser à voix haute de toute façon. (T) Si nous pouvions juste leur faire sauter les questions et les faire aller directement aux réponses, nous irions beaucoup plus vite.

R : C’est arrivé.

Q : (L) Autrement dit, mes impressions sur le résultat final de cette activation d’ADN sont…

R : Oui !

Q : (T) D’autres questions ?

R : Allez à Pensacola.

Q : (L) Qui veut aller à Pensacola ?

R : Moi, moi. [Rires]

Q : (T) Est-ce qu'il va se passer quelque chose à Pensacola ?

R : Conférence.

Q : (L) Il y a une conférence à Pensacola ? (T) C’est en octobre. (J) Vous parlez de la conférence d’octobre ?

R : Une avant cela.

Q : (T) Il y a une autre conférence avant celle d’octobre ? Je ne sais rien à son sujet.

R : Activité accrue dans le Panhandle de Floride, vortex. Si vous allez à Pensacola, vous verrez des ovnis de toutes origines, y compris vos humbles serviteurs.

Q : (T) Oh ! C’est votre conférence ! Et nous avons été invités !

R : OK.

Q : (T) Et nous avons des tickets ! Et c’est vous qui couvrirez la facture d’hôtel, les gars ? Ou plutôt, couvrirons-nous la facture d’hôtel pour nous-mêmes ?

R : Stupide.

Q : (L) Je déteste revenir à ces questions bassement matérielles de 3e densité, mais c’est un projet qui requiert un flux d’énergie qu’on appelle l’argent. Je veux dire qu’on ne peut pas se payer des conférences tous les jours, vous savez. (T) Quand sommes-nous censés y aller ? Voulez-vous dire que quel que soit le moment où nous irons, il y aura une conférence ?

R : Mai.

Q : (T) Est-ce qu’il y a quelque chose en mai ? À Pensacola ? (J) Project Awareness est en mai, mais c’est à Tampa. Est-ce que vous parlez de la conférence de mai qui est organisée par le groupe de Pensacola ?

R : Allez voir.

Q : (T) Parlez-vous de la conférence de Tampa organisée par le Project Awareness ? (J) Voulez-vous que nous allions physiquement à Pensacola ? Ça commence à ressembler aux Six de Gulf Breeze, ces types qui se sont barrés d’Allemagne parce qu’ils faisaient la même chose que nous ici, sauf que c’est quelqu’un d’autre qui leur a dit de faire ça. OK, en mai nous devrions aller à Gulf Breeze ?

R : Oui.

Q : (T) Bon d’accord. La conférence de Gulf Breeze aura lieu à Tampa en mai. (L) Bon, peut-être qu’on devrait aller là-bas et que tous les ovnis se montreront pendant qu’ils sont tous ici. Ce serait hilarant ! (T) Sommes-nous censés contacter les C__ ?

R : Oui.

Q : (T) Sommes-nous censés y aller avant la conférence de mai ?

R : Revenez avec eux. Voyez-les là-bas, puis revenez.

Q : (DM) Que sommes-nous censés accomplir en revenant avec eux ?

R : Faites une séance et surveillez le ciel en même temps. Postez quelqu’un dehors avec une caméra vidéo !!

Q : (DM) C’est là qu’on va devenir connus ? (T) On commence déjà à l’être. Ça, c’est quand on convaincra la nation. On doit aller à cette conférence, contacter les C__ en aparté et…

R : Essayons de mettre tous ces « ufologues » sur la bonne voie.

Q : (T) Je vais retirer ma main pour ne pas que ça bouge pendant que je parle. Je ne veux pas m’interrompre moi-même pendant que je parle ! N’aimez-vous pas ça ?! Non seulement il faut composer avec vous, mais il faut aussi composer avec VOUS. Quand nous faisons ce que nous faisons, nous ouvrons une fenêtre, comme on nous l’a dit. Est-ce qu’on attire des trucs qui ne veulent pas traverser ? Est-ce qu’on fait accidentellement passer des gens ou des êtres quand on fait ça ?

R : Les fenêtres permettent un transport plus facile.

Q : (T) Oui, mais ce que je veux dire c’est, y a-t-il des êtres de 4e densité se promenant en 4e densité qui tombent accidentellement par cette fenêtre et se disent : « C’est quoi ce bordel !! »

R : C’est concevable. Si un « Voyageur Perdu » de 4e densité devait frapper à votre porte, merci de résister aux fortes pulsions de rejet.

Q : (T) On ne les mettra pas mal à l’aise. (J) On accueille toujours les invités, oui. (T) Ils sont toujours les bienvenus ici !

R : C’était sérieux.

Q : (L) Comment saurons-nous qu’il s’agit d’un « Voyageur Perdu » de 4e densité ? (DM) Eh, les gars, je commence à vraiment faiblir.

R : Évident.

Q : (L) Arrêtons pour ce soir. Je suis vannée. (T) Un dernier mot ?

R : Bonne nuit.

Fin de la séance
 
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Merci à l'équipe de traducteur Français...

Thanks to the team of French translators....
 
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