Séance du 19 juillet 1995

Jacques

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Merci aux membres de l'équipe française pour cette traduction.
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Séance du 19 juillet 1995

Participants : « Frank », Laura et SV

Q : (L) Quand la connexion sera établie, l’indiqueras-tu en disant « Je suis prêt » ? Es-tu prêt ?

R : Oui. [Ajustements de la position]

Q : (L) Nous avons plusieurs questions ce soir. Qui est avec nous ?

R : Tu continues à demander une identité. Souviens-toi que ce mode de communication a des qualités différentes et comporte des nécessités différentes. Par conséquent, une identification nominale n’est pas nécessaire.

Q : (L) Quel est le protocole ?

R : Protocole n’est pas le mot qui convient. Protocole suggère la restriction. Il n’y a aucune restriction ici. C’est simplement un mode de communication différent.

Q : (L) Pourquoi semble-t-il y a avoir un problème de transmission là maintenant ? [Frank parle très doucement et lentement.]

R : C’est uniquement ta perception.

Q : (L) D’habitude, la voix est forte et distincte… ?

R : Ta perception. Cependant la voix deviendra plus forte et plus distincte à mesure que la séance progressera, comme cela a été le cas dans chacune des séances précédentes utilisant ce type particulier de communication ; un problème éventuel peut aussi être un blocage physique des voies des ondes sonores.

Q : (L) Dû à quoi ?

R : Aux obstructions physiques sur ces voies. [Nous procédons à des ajustements avec des oreillers.]

Q : (L) Est-ce mieux ?

R : Il vous appartiendra de déterminer les résultats.

Q : (L) Très bien. Voici notre première question : lors d’une séance précédente, nous avons eu droit à une petite dissertation sur le processus d’abduction. Vous nous l’avez décrit de façon plus ou moins détaillée. Maintenant, nous aimerions savoir si, lorsqu’une âme est prélevée d’un corps pour être utilisée comme modèle à des fins de remolécularisation en 4e densité, il est possible, à un quelconque moment, qu’un clone remolécularisé soit retenu en 4e densité après que l’âme a été replacée dans son corps d’origine ?

R : Non, ce n’est pas possible.

Q : (L) Ils ne gardent donc pas de modèle ni de clone après nous avoir enlevés — « ils » étant un terme général ?

R : Non.

Q : (L) OK. Est-il fait usage d’un quelconque processus pour nous affecter à distance depuis la 4e densité ?

R : Cette question est vague.

Q : (L) Les SDS sont-ils capables de provoquer chez nous des problèmes physiques, mentaux ou émotionnels sans être en contact direct avec nous ?

R : Certainement.

Q : (L) Comment s’y prennent-ils ?

R : Ils utilisent différentes méthodes.

Q : (L) Pouvez-vous nous décrire celles qui sont le plus fréquemment utilisées ?

R : Cette question est sans objet.

Q : (L) Que voulez-vous dire ?

R : Il n’y a pas de détermination fréquentielle au moyen de calculs mathématiques.

Q : (L) Donc, n’importe quelle méthode peut être utilisée à n’importe quel moment ?

R : C’est exact.

Q : (L) Pourriez-vous nous donner un ou deux exemples ?

R : Il y en a beaucoup. Par exemple, la manipulation d’ondes sonores à très haute fréquence.

Q : (L) Que font ces ondes sonores à très haute fréquence ?

R : Elles peuvent altérer l’équilibre chimique du corps du sujet, et donc aussi du cerveau, en se servant du physique pour provoquer la détresse, via la modification de ces déséquilibres chimiques.

Q : (L) Ces ondes sonores à très haute fréquence peuvent-elles transmettre des messages, comme des suggestions pré-codées qui seraient ensuite activées par ces ondes ?

R : Les ondes sonores à très haute fréquence ne servent pas à transmettre des messages. Là, tu parles d’une méthode totalement différente.

Q : (L) Pourriez-vous nous décrire cette méthode ?

R : Cela serait très complexe et chronophage pour vous, et de plus, il y a une autre méthode utilisée que vos capacités mentales ne sont pas aptes à percevoir.

Q : (L) Et qu’est-ce que c’est ?

R : Une réponse appropriée est impossible puisque l’information ne vous serait pas perceptible.

Q : (L) Je ne comprends pas. Vous dites qu’il y a une autre méthode qui dépasserait nos capacités de perception…

R : Exact. Comment pouvez-vous espérer comprendre ce que vous ne pouvez pas percevoir ?

Q : (L) Eh bien, peut-être que si l’on nous aidait à comprendre, cela nous apprendrait à la percevoir et donc à la contrer.

R : La meilleure analogie serait d’essayer d’expliquer le calcul infinitésimal à un enfant de deux ans. Serait-ce possible ?

Q : (L) À un gamin très intelligent, éventuellement.

R : Et serait-il possible à l’humain de deux ans de percevoir le calcul infinitésimal correctement ?

Q : (L) S’il est extrêmement brillant, oui.

R : Là tu ajoutes des conditions à une situation qui ne les comportait pas au départ.

Q : (L) Bon, ma question est alors : pourquoi mentionner quelque chose de non perceptible et d’inexplicable si l’on ne peut pas en discuter ?

R : Il est toujours possible de récolter des données, n’est-ce pas ?

Q : (L) Eh bien, comment ?

R : Exactement comme cela a été dit.

Q : (L) Si l’on ne sait pas ce qu’on cherche, comment récolter des données ?

R : Exactement comme expliqué. Il existe une méthode que vous ne pouvez pas percevoir. Cette donnée ne se suffit-elle pas à elle-même ?

Q : (L) Si la collecte de donnée se résume à écrire qu’il existe une méthode qu’on ne peut pas percevoir…

R : Précisément.

Q : (L) Et les autres vont venir nous demander ce que c’est, et nous n’aurons aucune réponse. Même pas une vague idée de ce que cela pourrait être. Et c’est une situation extrêmement insatisfaisante, avoir un indice…

R : Vraiment ? Qu’en est-il de toutes les autres réponses qui étaient autrefois des questions ?

Q : (L) Eh bien, elles sont bien plus satisfaisantes puisqu’elles sont devenues maintenant connaissance.

R : Comment sont-elles devenues connaissance ?

Q : (L) En recevant une réponse.

R : Et comment existaient-elles avant de devenir des réponses ?

Q : (L) En tant que questions.

R : Exact.

Q : (L) Et notre question est : quelle est cette autre méthode ?

R : Vous ne pouvez la percevoir.

Q : (L) Quels sont ses mécanismes si elle n’est pas perceptible ?

R : Ils font partie de ce que vous ne pouvez pas percevoir. Ne vois-tu pas qu’il y a ici une question que tu dois commencer à étudier par toi-même, et le seul moyen de le faire, c’est en plantant une graine, pour ainsi dire, que tu suives la piste qui mènera ensuite éventuellement à la réponse. Mais, pour recevoir la réponse, vous avez besoin d’informations entre la question et la réponse qui ne vous sont pas encore disponibles, car les conditions qui autoriseraient la disponibilité de ces informations intermédiaires n’existent pas actuellement.

Q : (L) Très bien, passons alors à un autre sujet : comment sont envoyés les signaux d’information pré-codés ?

R : Pourrais-tu clarifier, s’il te plaît ?

Q : (L) Eh bien, avant que nous déviions sur ce sujet, il a été suggéré que des messages pouvaient être envoyés par le biais de concentration d’ondes sonores.

R : Non, la concentration d’ondes sonores est destinée à modifier la chimie du corps et du cerveau afin d’altérer les sensations physiques, les émotions, etc., ce qui peut ensuite causer une altération des modes de pensée. Mais les messages ne sont pas envoyés par l’intermédiaire d’ondes sonores à très haute fréquence.

Q : (L) Comment sont-ils envoyés ?

R : Les messages sont envoyés au moyen de ce qu’on appelle l’Imagerie Formelle Libre.

Q : (L) Et qu’est-ce que ce terme recouvre ?

R : Il décrit le transfert de pensée.

Q : (L) Et quel est le processus ? La fréquence utilisée ?

R : Concept inexact. Il n’est pas question de « fréquences » en tant que telles, ici. Il s’agit d’une méthodologie que, là encore, malheureusement, tu ne comprends pas. Cependant, puisque tu cherches des réponses à toutes les questions, la seule façon de l’expliquer serait de dire qu’une pensée est formée dans un plan, puis envoyée dans un deuxième plan — le vôtre.

Q : (L) OK. Peut-on la diriger vers une cible précise ?

R : Absolument.

Q : (L) Maintenant, puisque des êtres d’autres dimensions ont la faculté de kidnapper, enlever ou prélever des âmes de force, la question est de savoir s’ils ont aussi la capacité de manipuler leur essence après qu’elles ont quitté le corps, au cours de la transition vers la 5e densité ?

R : Inexact.

Q : (L) Ils ne le peuvent pas ?

R : Non, tu vois, quand le corps physique expire, on ne peut entrer en 5e densité que d’une manière et d’une seule : en passant au travers d’un conduit qui s’ouvre expressément pour le transfert de l’âme entre la 3e et la 5e densité. Maintenant, ce que vous appelez généralement le « cordon d’argent » est une sorte de ligne fermée, qui s’ouvre lorsqu’un conduit est nécessaire. L’analogie est un peu maladroite, mais c’est la seule façon de décrire le processus. Donc, quand le corps physique meurt, cette ligne s’ouvre pour former un conduit au travers duquel l’âme passe de façon naturelle. Cependant, l’une des caractéristiques de ce conduit est qu’il est absolument impénétrable : aucune force d’aucune densité ne peut le forcer. Dès lors, les âmes en cours de transfert entre la 3e et la 5e densité ne peuvent en aucune manière être harcelées ni tripotées. Et nous devons aussi mentionner que l’empreinte de l’âme, lorsqu’elle est dans le corps physique, possède toujours une connexion avec la 5e densité, par l’intermédiaire de ce fameux « cordon d’argent ». Pour l’âme de 3e densité, il constitue un passage permanent vers la 5e densité. Il peut être ouvert en un instant dès que nécessaire. Une fois ouvert, il devient un conduit. C’est par ce conduit que l’âme passe. Et elle n’est soumise à aucune interférence d’aucune sorte. Ce n’est pas une construction délibérée, c’est simplement un processus naturel assimilable aux mécanismes de protection qui existent en densité de 2e niveau pour les créatures incapables de se protéger elles-mêmes grâce à leurs propres processus mentaux conscients. Par exemple, votre tortue est enfermée dans une carapace qui la protège. Aucune force naturelle ne peut franchir cette carapace, par conséquent rien de naturel ne peut faire de mal à cette tortue. Et la même chose peut exister pour toute créature quand elle est reliée à la 5e densité par le cordon d’argent. Quand l’âme passe au travers du conduit généré par l’ouverture du cordon d’argent, alors elle devient intouchable. Comprenez-vous ?

Q : (L) Oui, mais pourquoi y a-t-il tant d’âmes qui, quand elles quittent le corps, n’empruntent pas ce conduit, restent sur le plan terrestre et s’attachent à d’autres corps ? Pourquoi cette situation ?

R : La question est complexe. Mais la meilleure réponse est que ce choix est offert aux âmes qui ne veulent pas quitter le plan de la 3e densité. Pour ça, le seul moyen est de se détacher du corps physique qui vient d’expirer, tout en restant sur le plan de la 3e densité — ce qui, bien sûr, n’est pas naturel, mais peut néanmoins arriver. Dans de telles situations — et bien que ce que l’on raconte à ce sujet soit généralement inexact — le cordon d’argent reste connecté, mais, au lieu de se transformer en conduit, il demeure un simple cordon. L’âme est toujours reliée au cordon d’argent, mais détachée du corps-hôte qui vient d’expirer. L’effet est qu’on est conscient de l’environnement de 3e densité, mais sans posséder une unité de 3e densité connexe. Comprenez-vous ?

Q : (L) Oui. Bien…

R : En outre, réalisez bien que lorsque l’âme quitte les limites du corps physique, l’illusion de l’écoulement du temps n’est plus apparente, même lorsque l’âme demeure sur le plan de la 3e densité. Par conséquent, pour elle, le temps ne s’écoule pas. Et nous mentionnons simplement ceci pour que vous réfléchissiez à tout ce que ça peut vouloir dire.

Q : (L) Très bien. Tout à l’heure, nous avons parlé de la criminalité, des crimes commis par les Noirs par rapport aux Blancs, et à en juger par les chiffres, il semble qu’un nombre disproportionné de Noirs soient impliqués dans des crimes ou des activités criminelles, ou présentent un comportement négatif, par rapport aux Blancs. Les chiffres sont vraiment frappants : les Noirs sont huit fois plus susceptibles de commettre un crime que les Blancs. Bon nombre des explications fournies, telles que la pauvreté ou la discrimination, ne semblent pas rendre compte de cette disparité puisqu’elles affligent également bien d’autres groupes ethniques sans qu’il n’y ait une telle relation. Y a-t-il un élément significatif dans ce fait, et une raison à cette situation ?

R : Tu devrais peut-être essayer une question à la fois.

Q : (L) Pourquoi les Noirs commettent-ils plus de crimes que les Blancs ?

R : Le spectre de ce concept est trop large pour pouvoir répondre de façon simple. Essaye, s’il te plaît, de scinder la question en plusieurs parties afin que les réponses puissent être éclairantes.

Q : (L) Pouvez-vous me suggérer une façon de scinder la question ? C’est un sujet difficile.

R : Ce n’est normalement pas la procédure, mais on pourrait suggérer, par exemple, de demander au premier abord ce qui pousse des individus à commettre des crimes ; ensuite, s’il existe une relation entre la race, l’origine nationale, ou l’état d’être physique et la propension à commettre des crimes, etc. Autrement dit, il s’agit d’un sujet très vaste. Pour pouvoir y répondre adéquatement, il doit être scindé en de nombreuses questions consécutives.

Q : (L) Qu’est-ce qui amène des individus à commettre des crimes ?

R : Eh bien, vois-tu, cette question aussi comporte une multitude de réponses. Nous en choisirons une puis te laisserons réfléchir. Comme évoqué précédemment, une réponse est, bien entendu, l’altération de la chimie du sang, du corps et du cerveau par le biais d’ondes sonores à très haute fréquence. Comme tu peux bien l’imaginer, cela pourrait avoir pour effet un comportement anti-social, comme vous dites. Vois-tu ?

Q : (L) Oui. Bien, la race ou le type physique d’une personne peuvent-ils la rendre plus sensible à cette manipulation qu’une autre ?

R : À présent, cela soulève la question des différences physiques entre les races en y incluant les différences chimiques organiques indéniables, un sujet qui n’a pas été adéquatement exploré au 3e niveau de densité. Par exemple, il est flagrant que les différentes « races », comme vous dites, désignent des êtres humains dotés de constitution chimique différente dans leur corps. N’est-ce pas ?

Q : (L) Je dirais que c’est probable.

R : Dès lors, si l’on va plus loin, peut-être qu’une race possède une constitution chimique cérébrale ou sanguine qui peut altérer les émotions de sorte qu’elle manifeste ce qu’on dénomme un comportement anti-social, du moins dans l’environnement social auquel vous êtes habitués, ce qui expliquerait alors pourquoi il existe un pourcentage plus élevé de crimes commis par des personnes appartenant à une race particulière par rapport à des personnes d’une race différente.

Q : (L) Y a-t-il des substances chimiques impliquées dans cet état de fait que l’on pourrait isoler ou désigner ?

R : Tumoxifène.

Q : (L) Et qu’est-ce que c’est que ça ?

R : Une hormone sécrétée par l’hypophyse. Vous trouverez de fortes concentrations de cette hormone chez les personnes désignées par le terme de race noire.

Q : (L) Et pourquoi cette hormone rend-elle une personne sensible à ces ondes sonores à très haute fréquence de sorte à manifester un comportement anti-social ?

R : Cette question omet en réalité des éléments nécessaires. Cependant, la meilleure façon de répondre est de dire que lorsque cette hormone est très abondante, alors la nature agressive est intensifiée, et puisqu’elle existe déjà fortement chez les individus de race noire, il ne faut pas beaucoup d’altérations pour l’amener jusqu’à un niveau que l’on pourrait qualifier de dangereux. Par conséquent, un comportement agressif ou anti-social peut être facilement éveillé chez ces individus de race noire, et d’autres races.

Q : (L) Est-il possible, ou cela arrive-t-il, que dans d’autres races — les Blancs, Hispaniques, ou Orientaux — il y ait des individus qui, par hasard, naissent avec des taux supérieurs de cette hormone ?

R : Demandes-tu si certains individus d’autres races, en dehors de la race noire, peuvent avoir des taux supérieurs de cette hormone ? Eh bien, évidemment, chaque situation individuelle est différente. Ce sont les moyennes qui constituent la composition importante.

Q : (L) Donc, ce serait ce qu’on pourrait appeler, d’une manière générale, l’« hormone du crime » ?

R : C’est certainement l’une d’elles, en tout cas. Bien que le comportement agressif ne se traduise pas nécessairement en comportement criminel.

Q : (L) Vrai. Qu’y a-t-il chez les Noirs qui tendent à ce que le comportement agressif se traduise en crime ?

R : Il est impossible de répondre à cette question telle qu’elle est formulée. Reviens en arrière et pose une question plus basique, s’il te plaît.

Q : (L) Eh bien, des individus comme les membres de lignée celtique sont historiquement et incontestablement plutôt agressifs, pourtant ils ne commettent pas de crimes aussi fréquemment, et même moins fréquemment en fait, malgré leur agressivité. Pourquoi cela ?

R : Eh bien, il y a plus d’une réponse, évidemment. La nature ou la constitution chimique de chaque individu est adaptée à son environnement natal. Bien entendu, si l’on considère que la race noire a vécu pendant des milliers, en fait des millions, d’années dans le climat général et la situation environnementale d’où elle est native, alors on pourrait dire qu’un taux plus élevé de Tumoxifène serait nécessaire à la survie dans cet environnement. Maintenant, déplacé de cet environnement pour un environnement totalement différent où cet équilibre chimique n’est pas adapté, des taux supérieurs de cette substance chimique peuvent entraîner un comportement agressif d’un type ou d’un autre. Tandis que lorsque d’autres races ou cultures sont exposées à des stimuli qui augmentent ou modifient la chimie cérébrale, cela peut provoquer un comportement agressif d’un genre différent qui peut être dirigé vers des activités plus acceptables au sein d’une société donnée.

Q : (L) Peut-on chimiquement faire quoi que ce soit pour altérer cette hormone de l’agressivité ou du crime afin de la réduire ou de convertir ses effets en d’autres comportements ?

R : C’est une question extrêmement complexe, car toute altération de la chimie cérébrale équivaut à ce qu’on appelle communément y aller au petit bonheur la chance en ce point de votre développement, car vous ne comprenez pas toutes les subtilités que cela implique. Par conséquent, il est également très difficile de répondre affirmativement à cette question telle qu’elle est formulée.

Q : (L) Y a-t-il une manière de formuler cette question pour qu’elle puisse recevoir une réponse plus simple ?

R : C’est à la personne qui pose les questions de le déterminer. La réponse est évidemment « oui », mais si tu demandes comment formuler la question, nous ne pouvons le faire pour toi, car cela fait partie de ton processus d’apprentissage. Si nous sommes maintenant réduits à demander, ou plutôt à dire, comment poser des questions, cela revient à vous mener par la main, non ?

Q : (L) Oui. Y a-t-il une action simple, pragmatique, qui pourrait être entreprise pour aider les membres de la race noire à réduire ce comportement agressif ?

R : À nouveau, tu continues à poser des questions quasi impossibles, car tu dois réaliser que ce n’est pas un sujet tout blanc ou tout noir, sans vouloir faire de jeu de mots. C’est tenter de répondre à une question extrêmement difficile par des réponses très simples, et cela ne marchera pas, car trop de directions différentes sont ici impliquées. Essayer de traiter de ce sujet implique un nombre incalculable de difficultés. Apparemment, tu ne réalises pas que ce n’est pas un domaine où l’on peut simplement formuler une injection, par exemple, et aligner tous les membres de la race noire pour qu’ils la reçoivent. Peux-tu imaginer l’extrême difficulté qu’il y a à ne serait-ce qu’envisager une telle chose ? Et toute la résistance qui jaillirait de tous les coins imaginables de votre société rien qu’à la simple suggestion d’une telle idée ? À l’évidence, il s’agit d’un problème qui ne pourra être traité qu’ultérieurement, tel que vous mesurez le temps, lorsque le passage de la 3e à la 4e densité aura lieu. Cela ne sert vraiment à rien d’essayer de descendre le flanc d’une montagne sans rien d’autre que des mains et des pieds nus glissants. Voilà ce que tu tenterais de faire si tu essayais de répondre à un tel problème aussi simplement.

Q : (L) OK. J’aimerais savoir qui était responsable de la vision qu’a eue l’Empereur Constantin et qui l’a amené à se convertir au christianisme et à imposer le christianisme dans son empire ?

R : La réponse à ceci est avant tout et essentiellement que l’Empereur Constantin avait simplement été prédestiné à agir de la sorte par le processus de planification qui existe en 5e densité avant la réémergence d’une âme en 3e densité.

Q : (L) Y a-t-il une signification particulière au fait que l’imposition du christianisme à l’ère du règne de Constantin ait également entraîné une période funeste ?

R : Possible.

Q : (L) Des commentaires à ce sujet ?

R : Non, pas vraiment.

Q : (L) Quel est le véritable sens du tablier maçonnique ?

R : À quel égard ?

Q : (L) Des hiéroglyphes et des sculptures de l’Égypte antique dépeignent de grands prêtres qui portent des tabliers, et nombre de sociétés secrètes à travers les âges, depuis des siècles, et peut-être même encore avant, avaient des initiés qui portaient des tabliers. Ces tabliers étaient soit en tissu blanc, soit en peau de mouton. Quelle est la signification du tablier ? Pourquoi un tablier ?

R : Simple tradition née d’un rituel.

Q : (L) Quelle était l’origine de cette tradition ? Que symbolise le fait de revêtir un tablier ?

R : On pourrait peut-être mieux décrire cela comme une tentative de se protéger des esprits négatifs ou malfaisants.

Q : (L) Bien, Susan et moi avons fait quelques recherches sur l’ensemble de nos séances et nous nous sommes rendues compte qu’après la venue régulière d’autres personnes, il y a eu une augmentation significative, en fait une multiplication par deux, des réponses données par cette source correspondant en gros à un refus de répondre, comme : à vous de voir, ouvert, peut-être, pas loin, etc. D’une manière générale, nous avons constaté une grande réduction du niveau et du type d’informations reçues. Pourriez-vous nous en donner la raison ?

R : La meilleure réponse est que lorsque de plus en plus de sujets assistent à toute séance sérieuse de channeling, l’énergie et les ondes mentales sont bien entendu de nature conflictuelle, et les réponses doivent évidemment être apportées prudemment afin d’éviter un désaccord inutile chez les observateurs, ou au sein des rangs des observateurs. Par conséquent, mieux vaut laisser certaines questions sans réponse s’il est ressenti, ou su, que les véritables réponses provoqueront un grand désarroi chez certains de ceux qui les reçoivent. Et plus il y a de sujets présents, plus il est probable que cette situation survienne. Aussi, parfois, des questions doivent être ignorées, ou chaque individu doit trouver lui-même un moyen de répondre à la question d’une manière qui lui soit confortable.

Q : (L) Cela semble vouloir dire que le moyen le plus propice pour recevoir des informations est de limiter le nombre d’individus présents, ce qui limiterait la quantité de modes de pensée conflictuels.

R : C’est une perspective possible.

Q : (L) Un état d’ouverture absolue est-il indispensable pour recevoir les informations ?

R : Non, toutefois pour recevoir des informations complètes en un flot ininterrompu, un tel état serait indispensable. Mais ces états sont très rares en 3e densité.

Q : (L) Eh bien, il me semble que durant les six premiers mois environ des transmissions, les informations et les réponses étaient bien plus ouvertes. Il semble que lorsque je pose des questions, je le fais parce que je veux vraiment entendre ce qui peut en être dit, sans aucune attente d’aucune sorte. Après tout le travail que j’ai accompli dans cette vie, je me suis rendue compte que je n’étais pas capable de trouver toutes les réponses, et je suis prête à me taire et à écouter… Quand d’autres posent des questions, on dirait souvent qu’ils ne le font que pour confirmer la réponse qu’ils ont déjà formulée dans leur esprit, quelle que soit la réponse qui peut parvenir.

R : Ta perception est juste, cependant, tous en 3e densité sont coupables des aprioris que tu décris, dans une plus ou moins grande mesure à diverses occasions de séances de question-réponse. Par conséquent, si tu devais étudier les réponses plus minutieusement, tu pourrais également découvrir qu’il existe divers degrés de ce que tu appelles l’ouverture ou la disposition à dispenser des informations, même lors des séances où peu de personnes étaient présentes.

Q : (L) C’est vrai. Sauf que de mon point de vue, on doit continuellement s’efforcer de réduire le nombre d’aprioris, de développer et d'élargir la propension à entendre les informations, et de ne pas avoir d’idée préconçue de ce que sera la réponse. Au début, évidemment, je testais et analysais les types de réponses reçues ainsi que les paramètres, et je pense vraiment que, curieusement, malgré ma procédure de test plus ou moins rigide, les réponses étaient meilleures et plus complètes que lors des séances ultérieures où d’autres étaient présents.

R : C’est possible !

Q : (L) Quelle en serait la raison ?

R : Nous l’avons déjà expliqué dans la réponse précédente. Plus il y a de sujets présents, plus il y a de risques d’aprioris, évidemment.

Q : (L) Bien, récemment, je suis allée voir un neurologue, le Dr Vincent D. Now. Il a paru assez agité et m’a indiqué qu’il avait l’impression que nous nous étions déjà rencontrés, même s’il savait que ce n’était pas le cas. Il a semblé y avoir une très forte interaction psychique subliminale entre lui et moi. Pourriez-vous me donner un indice quant à la raison à cela ?

R : Il a pu y avoir une interaction karmique.

Q : (L) Cela implique-t-il d’autres interactions à l’avenir ?

R : C’est évidemment à toi de le découvrir.

Q : (L) Bon, Susan et moi avons discuté de ma situation, et elle ne sait plus quoi faire pour moi au niveau thérapeutique. Pouvez-vous nous aider ?

R : Il s’agit, bien entendu, d’une situation très complexe. Cependant, une des possibilités est que les voies nerveuses puissent être altérées par des stress physiques dus à différents facteurs découlant d’activités entreprises par le passé ; par exemple, une couche de tissu cicatriciel autour de la musculature des extrémités et des membres a peut-être bloqué l’influx électrique naturel qui passe alors du centre du système nerveux aux extrémités. Cela peut provoquer une certaine privation des passages d’éléments électriques nécessaires à travers les voies nerveuses, ce qui, à son tour, peut entraîner un certain degré de privation dans ces mêmes extrémités par manque d’oxygénation adéquate. Un soulagement est difficile car cela requiert plusieurs étapes. La meilleure suggestion est une amélioration progressive, mais régulière, de la santé grâce à différents programmes pour réparer les lésions qui ont été causées. Les informations pour faciliter cela te sont disponibles.

Q : (L) Est-ce réversible ?

R : C’est réversible. Toute lésion est toujours réversible jusqu’à ce que le corps hôte physique cesse de fonctionner en tout ou partie.

Q : (L) Est-ce que la manipulation des tissus et des courants électriques qu’accomplit Susan par ses diverses techniques sont bénéfiques en ce moment ?

R : C’est bénéfique, toutefois il est très probable qu’il en faudra plus. Nous voulons dire plus de types d’activités afin de faciliter l’amélioration complète.

Q : (SV) Mais le principal problème, c’est le tissu cicatriciel ?

R : Toute forme de blocage qui entrave la bonne activation des neurones, et donc empêche l’oxygénation qui a lieu en conséquence, y compris la couche de tissu cicatriciel.

Fin de la séance
 
Merci à l'équipe Française pour cette traduction...

Thanks to the French team for this translation....
 
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