Séance du 22 février 2010

Jacques

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Thanks to the members of the French translation group who have just translated that session.

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Merci aux membres de l’équipe française pour cette traduction.
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Date de la séance : Le 22 février 2010

Laura, Ark, Andromeda, Perceval, Burma Jones, Belibaste, PoB, Bubbles, Ailén, Mr. Scott, Psyche

Q : (L) Nous sommes le 22 février 2010. Nous sommes à deux ans de 2012. Whaou !

R : Pas d’inquiétude.

Q : (L) Qui est avec nous ?

R : Kileia de Cassiopée.

Q : (L) Ne pas s’inquiéter de quoi ?

R : 2012. Beaucoup de bruit !

Q : (L) Bien. Autre chose sur le sujet ?

R : Non

Q : (L) OK. Je suppose que nous sommes tous préoccupés par les événements de la semaine dernière avec la visite de Bob, de Sue et du bébé. Je ne sais pas. Quelqu’un a-t-il une question précise à ce propos ?

(Andromeda) Le bébé est-il autiste ?

R : Oui.

Q : (Belibaste) Nous nous demandions si Sue est un agent ou si elle est simplement agressive inconsciemment ? [la trappe du bac à cendres du poêle à bois tombe bruyamment] [rires nerveux]

(Perceval) C’est votre réponse !

R : Sue n’est pas un agent conscient, mais l’hôtesse des outils de « travail ».

Q : (L) Qu’entendez-vous par « outils de travail » ?

R : Des énergies qui dirigent aussi bien qu’elles transmettent et reçoivent.

Q : (L) Est-ce que c’est comme un implant physique ?

R : Oui.

Q : (L) A-t-elle été mise dans la vie de Bob juste pour venir nous espionner ?

R : Pas tant vous que Bob.

Q : (Burma Jones) En raison de son travail avec {une agence gouvernementale} ?

R : Et plus encore.

Q : (Burma Jones) Il a aussi dit que certains de ses patrons, ou des gens pour qui il a travaillé, étaient impliqués dans le Climategate. Cela a-t-il un lien avec son travail en météorologie ?

R : Il côtoie des sphères intéressantes.

Q : (Psyche) Y a-t-il un rapport avec ses relations avec des gens comme ce fils du patron de {grande entreprise de presse} avec lesquels il a séjourné à Paris ?

R : Oui.

Q : (Mr. Scott) OK, donc ce n’est pas seulement un petit scientifique bien tranquille...

R : C’en est un, mais rappelle-toi de Pat Z****. {Mentionné dans d’autres séances à partir de 1995}

Q : (L) Pat Z. Elle était dans l’équipe de secrétaires à Fort Detrick, mariée à un de leurs chercheurs — un physicien, Victor Z, qui a aussi réalisé certains travaux de reconnaissance de forme pour la sonde de Mars — et les C’s ont déclaré qu’elle avait un implant qu’ils utilisaient pour surveiller ses chefs, son mari et les chefs de ce dernier par son intermédiaire.

(Perceval) Un implant par qui ?

(L) Qui, Pat Z*** ?

(Perceval) Ouais.

(L) Je ne sais pas si nous avons déjà demandé si le sien était militaire ou alien.

R : À certains niveaux ce sont les mêmes.

Q : (L) Alors, suggérez-vous que Bob a aussi un implant pour surveiller les gens autour de lui, ou est-ce qu’elle tire des renseignements sur eux par son intermédiaire, comme une extraction ?

R : Oui.

Q : (L) Mais alors, pourquoi ne lui ont-ils pas tout simplement posé un implant ?

R : Forte volonté.

Q : (L) Mais de toute évidence, avoir une forte volonté ne signifie pas que vous ne pouvez pas être atteint par vos émotions. Oh, oui. C’est pourquoi Sue...

R : Exactement. Cela devrait être une leçon pour beaucoup ; c’est aussi une histoire vieille comme le monde.

Q : (L) C’est stupéfiant que Bob ait pensé pouvoir trouver une femme sur un site de rencontre en ligne et NE PAS prendre ce risque ! OK, la seconde nuit de leur arrivée, j’ai rêvé d’un avion s’écrasant et brûlant. Est-ce que mon rêve avait une relation quelconque avec Sue, ou était-il relié à l’écrasement de l’avion qui a effectivement eu lieu {ce même jour} où ce pilote a percuté l’édifice de l’IRS ?

R : Pourquoi pas les deux ? La même méthode de signalisation peut produire des réponses multiples.

Q : (L) Alors, le comportement de Sue était influencé par des signaux ?

R : Oui.

Q : (L) Eh bien, vous savez, c’est vraiment une sale situation parce que si une personne est fondamentalement innocente et disons qu’elle a été implantée à des fins néfastes, puis qu’elle tombe amoureuse de quelqu’un, avec bon nombre d’implications émotionnelles, c’est comme si cette personne avait été trompée et utilisée sans le savoir. Qu’elle soit utilisée involontairement comme agent est vraiment plus tragique que n’importe quelle faute de sa part.

R : Comment se fait-il que Sue « soit tombée amoureuse » de Bob ?

Q : (L) Je n’en sais rien. Comment ça se fait ?

R : Programmation, pas de réelles émotions.

Q : (Perceval) Devons-nous supposer que Sue a été placée dans la vie de Bob pour le surveiller en raison de son association avec nous ?

R : Oui.

Q : (L) S’il avait juste été un bon garçon qui suit le programme et... s’occupe de ses affaires, alors...

(Perceval) Donc ils craignent que son association avec nous représente un danger du fait qu’il gravite dans des milieux intéressants. S’il n’était pas associé avec nous, il ne serait pas un danger pour eux ?

R : Oui.

Q : (Perceval) Vous savez ce qui est nul là-dedans ? Nous n’avons eu aucune de ces informations. Nous ne savons pas quels cercles il fréquente. De toute évidence, s’ils le perçoivent comme une menace, c’est qu’il y a quelque chose qu’il aurait pu...

(L) Il aurait pu y avoir une interaction bénéfique entre lui et le groupe, notre travail, ce genre de chose. (Perceval) Mais il ne s’est jamais montré très ouvert à propos de tout cela.

R : Bob a ses propres problèmes émotionnels.

Q : (L) Comme quoi ?

R : Comme d’habitude : blessures de l’âme.

Q : (L) Vous dites « blessures de l’âme ». Est-ce qu’on parle d’une vie passée, ou de la présente ?

R : Des deux.

Q : (Ailén) Et pour Sue ? Y a-t-il quelqu’un là-haut ?

(Bubbles) Peut-elle être aidée ?

R : L’essence est là, mais terriblement diminuée et déformée. La fausse personnalité est forte.

Q : (Andromeda) A-t-elle été perturbée toute sa vie, depuis sa jeunesse ?

R : Ça remonte avant la mort de son père.

Q : (Ailén) Mon dieu...

(Bubbles) Peut-elle être guérie ?

R : Ça lui appartient, mais extrêmement peu probable.

Q : (L) Bien. Revenons au bébé. La question a déjà été posée : « Est-il autiste ? » Je pense que j’aurais posé la question différemment. J’aurais demandé, « Est-ce que quelque chose ne tourne pas rond avec lui ? » Vous avez déjà répondu à la question : « Est-il autiste ? » par « Oui ». Est-ce que l’autisme qu’il présente est d’origine génétique ou simplement chimique ?

R : Les deux dans le cas présent.

Q : (L) Est-ce grave ?

R : Ça peut l’être.

Q : (L) En d’autres termes, à ce stade, ça pourrait être amélioré. Est-ce que c’est ça ?

R : Oui. Mais Sue a tant à faire avec ses problèmes personnels qu’il est peu probable qu’elle puisse faire le nécessaire.

Q : (L) Bubbles a fait un rêve.

(Bubbles) Oh ouais. C’était quoi cette chose — comme un démon — qui est apparu et qui, alors que je lui parlais, m’a dit qu’il habitait au « Pays imaginaire » et était « nourri par des enfants ? » Qu’il se nourrissait d’enfants ?

R : C’était la manière dont ton esprit a exprimé la perception psychique des énergies enveloppant Sue en raison de son état particulier.

Q : (Bubbles) Oh. Alors, ont-ils apporté quelque chose avec eux quand ils sont venus ?

(L) Je pense qu’ils veulent dire que tu as perçu quelque chose et ton cerveau l’a interprété comme démoniaque... Eh bien, peut-être que je ferais mieux de ne pas faire de supposition : y avait-il quelque chose de réellement surnaturel ou démoniaque impliqué là-dedans ?

R : Un peu.

Q : (Andromeda) Qu’en est-il de toute cette grande étrangeté que nous avons expérimentée à l’époque où ils ont quitté les États-Unis pour venir ici, la panne de courant, l’ordinateur de Bubble qui lâche, et puis toutes ces choses folles qui sont survenues, comme la chute de maman, la caméra qui se brise, tout le monde malade à l’exception de Sue, le robinet de la cuisine qui se brise quand elle le nettoyait et peut-être bien d’autres choses que j’ai oubliées ?

R : Conséquences de ce « peu ».

Q : (Ailén) Que se serait-il passé si cela avait été beaucoup ?

(L) Tout l’enfer se serait déchaîné ! Donc, en d’autres termes, les microbes, la chute, la panne de courant, la caméra endommagée, le robinet cassé, l’ordinateur de Bubble hors service... Ce n’était pas si « peu » !

R : Tu plaisantes ?!

Q : [rires] (Perceval) Bon, d’accord, c’était peu comparé à ce que cela aurait pu être.

(L) Ouais, c’était juste des petites choses.

(Perceval) Au moins rien n’est sorti [comme des aliens ou des démons] et n’a essayé de manger quelqu’un !

(Bubbles) Est-ce que les gens comme ça attirent des créatures ?

R : Oui.

Q : (Perceval) A-t-elle été enlevée pour installer son implant ?

R : Oh oui. Pourquoi pensez-vous qu’elle est si réfractaire au sujet des aliens et des Ovnis ? Cela a été programmé en elle.

Q : (L) J’ai vu des gens comme ça. Ils sont si violemment opposés à l’idée même d’envisager la possibilité et puis, s’ils doivent le prendre en considération pour une quelconque raison, ils ne veulent pas en parler. C’est comme un programme inviolable. Et puis vous découvrez qu’il y a eu des choses bizarres dans leur vie, et vous vous rendez compte qu’ils doivent eux-mêmes avoir été enlevés. Mais même si vous leur démontrez ou si vous mentionnez les faits, les preuves, les témoignages, rien ne rentre.

R : Ce n’est pas possible. Il y a un programme de sécurité.

Q : (L) En d’autres termes, On ne peut pas du tout les atteindre. S’ils le reconnaissent comme une possibilité, ils perdront la raison ou autre ?

R : Oui.

Q : (L) Et je suppose qu’à un certain niveau ils le savent, alors leur rejet est plus ou moins de l’autodéfense. Il y a des gens qui, à dessein, ne pourront jamais savoir ou reconnaître la vérité sur la réalité. C’est vraiment triste. (Perceval) Cela réduit les possibilités de faire quelque chose avec nous. (Bubbles) Est-il possible que certains d’entre nous aient des implants comme Sue ?

R : Non.

Q : (Bubbles) Bien. [rires]

(Ailén) Peut-on faire quelque chose pour Bob ? Est-ce utile d’essayer de maintenir le contact ?

(Ark) Pourquoi devrions-nous faire quelque chose pour lui s’il ne veut pas ?

(Perceval) C’est à lui de voir.

R : Laissez-le demander.

Q : (Burma Jones) Est-ce qu’on aurait pu faire quelque chose pour se protéger de l’arrivée de ces petits trouble-fêtes ?

R : En réalité, vous avez très bien fait !

Q : (L) Donc, cela aurait pu être BIEN pire ! [rires]

R : Oui.

Q : (L) C’est réconfortant de le savoir.

(Perceval) Notre manœuvre d’évitement était de tomber malade et de nous cacher dans nos chambres ! (rires)

(Andromeda) Est-ce qu’une partie du programme de Sue vise à nous séparer de Bob en quelque sorte ?

R : Oui.

Q : (Perceval) Pauvre Bob.

(Andromeda) Pauvre Sue.

(L) Devrions-nous diffuser l’information dans cette séance, bien sûr en changeant les noms ?

R : Pourquoi pas ? Beaucoup à apprendre pour les autres.

Q : (Ailén) Mais alors Bob va être au courant. Et Sue aussi.

R : Vous pouvez attendre un peu.

Q : (L) Bon, rien d’autre à propos du cas Bob et Sue ?

(Ark) Est-ce que la caméra peut être réparée ? {un équipement à 3000 dollars}.

R : Oui.

Q : (Mr. Scott) Peut-elle être réparée par un exorcisme de Laura ou devons-nous l’envoyer ? C’est la question. [rires]

(Burma Jones) Y a-t-il quelque chose de symbolique dans la manière dont cette caméra est tombée en panne, ou était-ce juste une sorte d’énergie psychique envoyée par Sue ?

R : Décharges EM.

Q : [courte pause pour discuter des réponses] (L) Bon, nous avons quelques questions maintenant. Ce scénario qui a été décrit à propos de Bob, Sue et nous, suggère soit un voyage temporel, soit, comme l’a dit Burma Jones, ils ont tout un tas de femmes en réserve, préprogrammées et prêtes à être activées et utilisées quand et où c’est nécessaire. Alors, c’est quoi ?

R : Les deux.

Q : (Perceval) Ils couvrent toutes les possibilités.

(Bubbles) Quelqu’un a-t-il pris la peine de remonter le temps pour façonner l’avenir de Sue comme il le voulait ?

R : Oui.

Q : (L) Eh bien, le moins qu’on puisse dire, est que c’est amusant. (Bubbles) Qui a remonté le temps pour façonner son futur ?

R : « Eux ».

Q : (Bubbles) C’est vague. Qui eux ?

R : Le Consortium.

Q : (Bubbles) Le Consortium ?

(Perceval) C’est dans les transcriptions. Va voir.

(L) Bon, laissez-moi poser quelques questions que nous avons là. De qui est celle-ci ?

(Ailén) Horus-quelque chose sur le forum.

(L) OK, cela parle du « Syndrome d’Alice au Pays des Merveilles » :

« D’après Wikipédia : Le syndrome d’Alice au pays des merveilles (SAPM, nommée d’après le roman écrit par Lewis Caroll), ou aussi appelé le syndrome de Todd, est un trouble neurologique désorientant qui affecte la perception humaine. La personne atteinte du syndrome peut souffrir de micropsie, de macropsie, et/ou d’une distorsion de l’ampleur d’autres modalités sensorielles. »


« Ma femme et moi y sommes tous les deux prédisposés. En fait, elle a présenté le cas la nuit dernière, et après lui avoir parlé au téléphone, j’ai découvert qu’aujourd’hui elle a des symptômes migraineux. Pendant qu’elle est sous les effets du SAPM, elle voit généralement les choses plus petites et plus éloignées. Elle décrit son champ de vision comme le fait de regarder la petite extrémité d’un cône depuis la grande, par exemple, comme regarder à l’envers d’un télescope. Pour moi, ce phénomène se manifeste généralement par des objets semblant très proches et grossis, par exemple c’est comme si je pouvais m’allonger sur le lit et toucher le plafond ou le mur de l’autre côté de la pièce en tendant le bras. Cela arrive habituellement quand je suis fatigué et que je me prépare à aller me coucher. »

(L) Bref, sa question est : « Quelle est la cause du Syndrome d’Alice au Pays des Merveilles ? »

R : Désordre cérébral.

Q : (L) Eh bien, nous savons qu’il s’agit d’une sorte de trouble cérébral.

R : Fonction de signalisation suite à une myélinisation incorrecte ou défectueuse.

Q : (L) En d’autres termes, ils ont des courts-circuits dans le cerveau ?

R : Oui. Et particulièrement sur les voies optiques.

Q : (Ark) Cela peut-il être utile ou avantageux pour ceux qui en sont atteints ?

R : Rien que nous puissions trouver.

Q : (Ailén) Existe-t-il un traitement ?

R : Éventuellement des ajustements diététiques sur le long terme.

Q : (L) Il ajoute, « Quelles sont les implications de l’altération des perceptions de l’espace tridimensionnel pendant la manifestation de ces symptômes ? »

R : Objectivité réduite.

Q : (L) Il demande ensuite, « Est-ce une sorte d’infiltration de 4e dimension ? »

R : Non.

Q : (L) Eh bien, ce que sa femme décrit ressemble plus à quelque chose de visuel, on dirait donc que quelque chose ne va pas bien avec ses yeux.

R : Trouble rétinien.

Q : (L) Et le sien, il dit qu’il a l’impression qu’il pourrait s’allonger sur le lit et toucher le plafond et que ça arrive tout particulièrement quand il est sur le point d’aller se coucher.

R : Dans son cas c’est principalement la chimie cérébrale qui est en cause.

Q : (Perceval) Elle va se heurter aux portes, et lui va les ouvrir avant de les atteindre.

(Burma Jones) J’ai une question brève à ce sujet. Quand j’étais petit, cela m’arrivait souvent. Est-ce qu’alors ma chimie cérébrale était en cause ?

R : Oui. Beaucoup de sérotonine alors.

Q : (L) Cela m’est arrivé une fois.

(Bubbles) À moi aussi.

(L) Je pense que c’était au lit, au moment de m’endormir.

(Burma Jones) C’était toujours quand j’étais couché.

(Perceval) Cela pouvait m’arriver quand je m’asseyais et me concentrais trop longtemps. Les choses semblaient alors un peu amplifiées.

(L) La chimie cérébrale semble être en cause.

(Perceval) Ou peut-être de la fatigue visuelle.

(Burma Jones) Moi, ce n’était certainement pas mes yeux. On aurait dit que la porte du mur opposé se trouvait à une distance de 15 mètres.

(L) J’ai eu quelques petits problèmes avec mes yeux en grandissant. Une fois je me rappelle, j’ai vu double pendant une dizaine de minutes. Mais c’était si intense que je ne pouvais pas l’arrêter. Je ne sais pas ce qui a déclenché ça, et ça n’est jamais revenu. Et puis une nuit, je me suis réveillée aveugle. Je ne voyais plus rien du tout. Je me suis rendu à tâtons jusqu’à la salle de bain, et je me suis débrouillée pour retourner me coucher. Pour je ne sais quelle raison, je n’étais même pas bouleversée — je me suis juste rendormie. Le lendemain matin, au réveil, tout était rentré dans l’ordre.

(Bubbles) Cela m’est déjà arrivé auparavant, mais cela n’a duré que quelques secondes.

(L) Je pense donc qu’il y a tout un tas de choses intéressantes qui peuvent se produire dans le cerveau. Le cerveau est véritablement une structure complexe et fragile. Qu’il fonctionne aussi bien avec aussi peu de problèmes relève du miracle !

(Ark) Mais je m’interroge parce que la probabilité que deux personnes se rencontrent et aient la même pathologie principale est très faible. Peut-être y a-t-il des produits chimiques dans leur maison ?

(L) Qui la déclencherait ? Est-il possible qu’il y ait quelque chose dans leur maison, une sorte de toxicité à laquelle ils sont exposés ?

R : Oui. Diététique !

Q : (L) D’accord, voilà l’autre question :

« Psyche a publié un article vraiment très intéressant [sur le forum Cassiopaea.org]. Les auteurs laissent entendre que l’agriculture céréalière est une innovation récente chez l’être humain, développée seulement depuis les 10 000 dernières années. Peut-être que la question à poser aux C’s serait de savoir si les civilisations antérieures mangeaient des céréales, ou si elles pratiquaient l’agriculture telle que nous la connaissons aujourd’hui ? Ou est-ce que les civilisations antérieures avaient des informations que nous n’avons pas parce qu’elles n’étaient pas influencées par les régimes alimentaires à base de céréales ? »

R : Nous nous demandons pourquoi ce lecteur n’a pas lu les transcriptions ou vos écrits, car la réponse s’y trouve.

Q : (L) Vous voulez parler du cycle de 19 ans, de la pierre mère et de tout ce qui relève du transdimensionnel que j’ai traités dans Histoire Secrète ?

R : Oui.

Q : (L) Autrement dit, vous nous dites qu’ils ne pratiquaient pas l’agriculture. Est-ce correct ?

R : Oui.

Q : (L) Et que l’agriculture céréalière ou plutôt l’agriculture en général, est quelque chose qui n’a été développée que dans les 10 000 dernières années en conséquence de notre soi-disant « chute » de cet état dans lequel nous pourrions pratiquer la technospiritualité. Est-ce que c’est ça ?

R : Oui

Q : (Perceval) Techno -agro-spiritualité !

R : Bientôt restaurée !

Q : (Perceval) Est-ce que le kamut serait bon à manger pour nous ? C’est comme un « blé ancien ».

R : Oui. À Rome...


Q : (L) Autrement dit, en 3e densité, sans la capacité de pratiquer la techno-spiritualité, on fait ce qu’il faut. Est-ce que c’est ça en gros ?

R : Oui.

Q : (Bubbles) On faisait de la techno-spiritualité ?

(L) Ouais, humanité, ouais.

(Bubbles) Nous avons donc tellement régressé que nous ne pouvons plus ?

R : Ça et la modification de l’environnement cosmique.

Q : (L) Alors, c’est une modification de l’environnement cosmique, des vibrations ou autre.

(Bubbles) Mais les vibrations vont bientôt rechanger, exact ?

R : Oui.

Q : (Bubbles) Cool !

(Andromeda) Et alors nous pourrons matérialiser notre propre nourriture, et elle sera bonne pour nous.

(Perceval) Matérialiser notre propre nourriture saine.

(Mr. Scott) Nous serons capables de faire apparaitre des pizzas saines !! [rires]

R : Oui

Q : (Mr. Scott) Waouh, génial !!! Et cela goûtera même le fromage mozzarella ?!

R : Oui, si vous le souhaitez !

Q : (Mr. Scott) Oh mon dieu...

(Bubbles) Nous serons nos propres génies ?

R : Plus ou moins.

Q : (Bubbles) Puis-je poser une question ? Ce que tout le monde fait ici et ce que nous ferons à l’avenir aura-t-il un impact dans le futur ? Est-ce que ça restera dans les mémoires ?

R : On espère !

Q : (L) Je pense que c’est un oui.

(Bubbles) D’ici au moins cent ans, aurons-nous un impact sur le monde ?

R : C’est le projet.

Q : (Bubbles) Trop cool.

(Perceval) Maintenant, tu n’as plus qu’à faire en sorte que ça arrive.

(Bubbles) J’ai dit « tout le monde » ! J’ai juste une autre question. Pouvez-vous donner un indice à Ark sur comment construire une machine à remonter le temps ou améliorer ses théories ? [rires]

R : Nous le faisons !

Q : (L) Ils lui donnent un coup de main.

(Burma Jones) J’ai une petite question vu qu’on parle de cerveau... Vous avez fait allusion auparavant à des secousses cérébrales. Il m’arrive d’en avoir mais ça ressemble plus à un « FZZT ». C’est généralement quand je suis vraiment fatigué et au réveil. J’ai cherché et d’après ce que j’ai pu trouver, ça a l’air d’être une de ces choses que personne ne peut expliquer. Alors, je voudrais juste un indice pour savoir où je pourrais découvrir ce que c’est, ou si je devrais m’en inquiéter ?


R : Pas d’inquiétude. Une fois le mercure éliminé cela cessera.

Q : (Burma Jones) C’est comme un petit thermomètre dans ma tête !

(Perceval) Quel est le pourcentage de psychopathes cliniques dans le monde entier ?

R : 6,5

Q : (Perceval) Combien d’entre eux sont des femmes ?

R : 1,7

Q : (Ark) Mais les femmes sont plus dangereuses.

R : Oui.

Q : (L) Alors, attendez une minute, est-ce 1,7 de 6,5 ?

R : Non.

Q : (L) Donc, c’est 1,7 DANS les 6.5 ?

R : Oui.

Q : (Belibaste) Je voulais poser la question sur cette affaire de psychopathie dans les Basse-Terre. Je voulais savoir en quelle année les Basse-Terre ont eu leur plus fort pourcentage de psychopathie, et quel était ce pourcentage ?

R : 18e siècle 9 pour cent.

Q : (L) Je dirais que 9 % serait vraiment élevé au 18e siècle.

(Bubbles) D’accord, c’est une question très banale et vous allez tous rire de moi, mais est-ce que quelqu’un a déjà compris pourquoi les chats ronronnent ?

R : Autostimulation du nerf vague ou de l’équivalent chez le chat.

Q : (Bubbles) Maintenant je sais ! C’est une question dont je voulais connaître la réponse depuis l’âge de 4 ans.

(Mr. Scott) Donc les minous pratiquent Eiriu Eolas toute la journée, tout le temps.

(Bubbles) C’est pourquoi les chats vivent aussi vieux.

(Ailén) C’est pour ça qu’ils ont 9 vies.

(L) Quoi d’autre ? J’ai mal au dos.

R : Hiho ! Au revoir.

FIN DE LA SÉANCE
 
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