Séance du 23 décembre 1994

Jacques

SuperModerator
Moderator
FOTCM Member
Thanks to the members of the French translation group who have just translated that session.

Session 23 December 1994

Merci aux membres de l'équipe française pour cette traduction.
___________________________________________________________________________________________

Séance du 23 décembre 1994

{DM apparaît dans un certain nombre de séances. Elle est d’âge moyen et professeur de sciences dans un lycée, divorcée d'un mari professeur d'université, avec une fille adolescente très perturbée. Elle est mentionnée dans l’Onde comme l'individu qui, sous hypnose, a vu des êtres de type mante religieuse mangeant de petits enfants.}

Participants : « Frank », Laura, Diana M

Q : Bonjour.

R : Pas de rituel.

Q : (D) Expliquez s’il vous plaît ?

R : Pas de rituel.

Q : (F) Quelqu’un a-t-il fait un rituel ? (L) Non. En as-tu fait un dans ta tête Diana ? (D) Je me suis juste frottée les mains. (L) Non, je ne pense pas qu’ils parlent de cela. C’est parce qu’on discutait des rituels et de la raison pour laquelle on n’en fait pas. Bien, pourquoi nous avez-vous dit « pas de rituel » ?

R : Diana. Attention.

Q : (L) Veuillez dire à Diana pourquoi nous ne faisons pas de rituels.

R : Les rituels restreignent. Qui sommes-nous ?

Q : (L) Quel est votre nom s’il vous plaît ?

R : Oplea.

Q : (L) Êtes-vous un désincarné ?

R : Non, Cassiopéen.

Q : (L) Permettez-moi de vous interroger sur votre façon d’épeler le mot « Cassiopée ». Vous utilisez l’orthographe archaïque et non celle actuellement en vigueur. Toutefois, la dernière partie du mot tel que vous l’épelez donne le mot « péan » qui est un « signal » sonore, une annonce, ou un message. « Quelque chose qui attire l’attention des gens ». Y a-t-il une symbolique voulue dans votre choix de cette orthographe ?

R : Non, mais jolie analogie.

Q : (D) Je tiens beaucoup à vous remercier pour le conseil que vous m’avez donné. Cela me préoccupait énormément et votre conseil a probablement évité que ma fille ne fugue.

R : De rien.

Q : (D) Je vais abuser de votre gentillesse et j’espère que vous ne m’en voudrez pas. Le père de Sara a une influence sur elle ; dois-je la mettre en garde contre lui ? {En parlant de sa fille}

R : Ne t’inquiète pas.

Q : (L) Est-ce que ça veut dire que moins Diana en dira, plus vite Sara comprendra d’elle-même ?

R : Ouvert.

Q : (D) Sara arrivera-t-elle à se débrouiller si je quitte l’État ?

R : Tu ne pars pas.

Q : (L) Eh bien, c’est plutôt définitif. Va-t-elle obtenir… (D) M’êtes-vous utiles là ?

R : Ton utilité est ton parcours d’apprentissage.

Q : (D) Mon parcours… Je ne comprends pas… (L) Autrement dit, ils peuvent ne pas spécialement t’être utiles au sens de te servir, mais ton parcours d’apprentissage, c’est ce que tu es en train de faire ici. (D) Je suis censée apprendre et rester ici jusqu’à ce que j’aie appris ?

R : Oui. Tout le monde apprend continuellement.

Q : (L) Pourquoi dites-vous qu’elle ne part pas ? C’est une déclaration plutôt définitive, et d’habitude vous ne faites pas ce genre de déclarations définitives.

R : Parce qu’elle ne part pas.

Q : (D) Vais-je travailler avec Eddie Page ?

R : Tu verras bien.

Q : (D) J’ai eu le sentiment que j’allais vendre ma maison et faire quelque chose d’important, et que ce serait en Caroline du Nord… (L) Eh bien, tu finiras peut-être en Caroline du Nord. Je voulais aller au Montana et j’ai fini dans l’avenue Montana. J’imagine que c’est le mieux que je puisse faire.

R : Forcer ne fonctionne pas.

Q : (D) Eh bien, j’essayais de forcer les choses. (L) C’est ce que je faisais aussi, et ça m’arrive encore de temps en temps, mais ça ne marche jamais… J’apprends à laisser les choses se faire.

R : La maison se vend, mais le déménagement n’est pas loin. Tu aimes New Port Richey ?

Q : (D) Eh bien, je ne sais pas, il y un poste disponible, ou qui va l’être, et je connais des gens là-bas et…

R : Bingo !

Q : (L) Pourquoi ne nous dites-vous pas des trucs pareils à Frank et à moi ? Vais-je vendre ma maison ? Je veux aussi déménager !

R : Nous disons ce qui a besoin d’être dit.

Q : (L) Eh bien, vous dites des trucs à Diana, et pas à moi. Ce n’est pas juste.

R : Si, à toi aussi !

Q : (L) Serait-ce une bonne idée pour Diana d’être initiée au Reiki ?

R : À Diana de voir. Tu forces encore les choses.

Q : (D) Eh bien, je comprends que Laura voudrait que je le sois et elle m’a expliqué pourquoi. Pour l’instant, j’écoute et je rassemble les informations… je le ferai probablement.

R : Tu le sais. Tu es trop discrète.

Q : (D) J’ai découvert que si je mettais de l’huile de vitamine E sur mes verrues, ça évitait qu’elles me démangent…

R : Potassium.

Q : (D) Oui, je mange des bananes ! J’ai aussi mis de l’huile antibiotique dessus et j’ai pu en retirer une partie, et ça a arrêté de me démanger autant. Je suis sûre que le potassium a aidé. J’ai mangé des bananes. (L) Bien, tout à l’heure, nous avons parlé des synchronicités qui se sont produites durant l’année qui a précédé ce contact, et j’aimerais savoir si vous, les gars, aviez en partie orchestré ces événements.

R : Ouvert.

Q : (L) Qu’est-ce qui faisait que mes yeux et autres tissus mous de mon corps enflaient régulièrement ?

R : Apprendre se fait en découvrant.

Q : (D) Tu étais en train de découvrir. On te conduisait. (L) Oh, regarde ce qu’ils disent. (D) Tout comme j’ai été conduite à vivre ici et à travailler avec vous. (L) Diana fait-elle partie du conduit ?

R : Vous verrez. D’abord le forum.

Q : (D) Ça veut dire oui. (L) Dans le processus de formation de ce conduit, est-ce que celui-ci, en plus de nous apporter de l’énergie, peut nous permettre de voyager dans d’autres dimensions ? Est-ce que ça marche dans les deux sens ?

R : Apprends en découvrant !

Q : (L) Autrement dit, fais-le ! Nous avons installé le programme pour internet, et selon vous, nos vies devraient soudain changer de façon spectaculaire une fois que nous serons connectés. (D) Ne sommes-nous pas suffisamment prêts ?

R : Découvrez.

Q : (L) Vous nous avez dit que si l’on créait un dédale dans le jardin et qu’on l’empruntait, cela modifierait nos vibrations au point que nous serions capables de vous voir. Si on le faisait en groupe, quel serait le résultat ?

R : Idem.

Q : (L) Un groupe qui évoluerait dans cette forme d’énergie créera-t-il une plus grande énergie que, disons, un seul individu ?

R : Oui.

Q : (D) Donc, si l’on rassemblait plein de monde pour le faire ? (L) Ils nous ont dit que c’était similaire à ce qu’ils faisaient à Stonehenge, que marcher en suivant un motif, comme un dédale par exemple, concentrait l’énergie. Une spirale.

R : [Le pointeur fait une démonstration en traçant une spirale de plus en plus grande, puis de plus en plus petite.]

Q : (L) Nous dessinez-vous le motif qui devrait être utilisé ?

R : Cycle.

Q : (L) Est-ce que cela contribuera fortement à nous dynamiser et accélérera l’empaquetage de l’ADN ?

R : Vous verrez bien.

Q : (L) Autrement dit, vous voulez simplement qu’on fasse des choses, faire avancer ces projets, organiser les transcriptions, construire un labyrinthe, tournoyer…

R : Nous voulons que vous fassiez comme bon vous semble.

Q : (L) Eh bien… (D) Merci beaucoup… (L) Je suppose que cela revient à se libérer, être heureux…

R : Et par-dessus tout, apprendre.

Q : (D) Que pouvons-nous faire pour aider les autres ?

R : Trouver l’instinct, travailler en réseau.

Q : (D) Vous voulez dire le réseau informatique ?

R : En général.

Q : (D) Attendez une minute. Ils veulent peut-être dire nouer des relations avec des gens utiles. (L) Est-ce que travailler en réseau signifie en général, comme le dit Diana, contacter des gens, faire passer le message, rallier les autres, ce genre de choses ?

R : Pourquoi Sara a-t-elle autant de virus ?

Q : (L) Que voulez-vous dire ? Qui a autant de virus ?

R : Sara.

Q : (L) Eh bien, est-ce que Sara a beaucoup de virus ? Pourquoi a-t-elle autant de virus ?

R : Nous vous le demandons.

Q : (D) Eh bien, elle se fait enlever les amygdales mardi. Je ne sais pas pourquoi.

R : N’as-tu pas remarqué ?

Q : (D) Eh bien, je n’avais pas fait le rapprochement. (F) C’est vrai ? (D) Oui. Elle a différentes sortes de virus… (L) Bon, allez-vous nous donner un indice à ce sujet ?

R : Les émotions se reflètent dans le corps physique.

Q : (L) Quelle est la nature de sa contrariété émotionnelle ?

(D) C’est son père. Est-ce son père ?

R : Non.

Q : (L) Qu’est-ce alors ? (D) A-t-elle été enlevée ?

R : Ce n’est pas la question.

Q : (L) Quelle est la nature de ses virus émotionnels ?

R : Complexe, mais la connexion spirituelle mère-fille est inhabituellement forte dans ce cas !

Q : (L) Combien de vies Diana et Sara ont-elles vécues ensemble ?

R : 59.

Q : (L) Eh bien, c’est beaucoup. (D) Laissez-moi vous dire une chose. La dernière fois, je l’ai tuée…

R : Jumelles.

Q : (L) Laquelle…

R : La dernière était tragique.

Q : (D) J’ai tué Sara… (L) Pouvez-vous nous parler de la dynamique de cette dernière vie qui était aussi puissante…

R : Diana révèle.

Q : (L) Diana devrait-elle le faire par l’hypnothérapie ?

R : OK, mais a déjà fait le travail.

Q : (L) Qu’aurait pu faire Diana pour, ou à, ou avec, Sara dans cette vie antérieure qui affecte puissamment cette vie-ci, pour résoudre le problème à l’époque ?

R : Pas important, celle-ci l’est !

Q : (L) Que doit-elle faire maintenant ?

R : Sur la bonne voie depuis mardi.

Q : (L) Qu’as-tu fait mardi ? (D) Mardi… (L) Que s’est-il passé d’aussi important mardi ?

R : Découvrez.

Q : (L) Cela a-t-il un rapport avec les patins à roulettes que Diana a achetés à Sara mardi ?

R : Là vous apprenez, alors nous aiderons. Vous voyez maintenant ?! Elle a besoin de l’enfance qu’elle n’a jamais eue.

Q : (L) Pourquoi n’a-t-elle jamais eu d’enfance ? (D) Parce qu’elle a été agressée sexuellement par son père, elle a toujours eu l’impression qu’elle devait être l’adulte ; elle devait s’interposer entre son père et moi ; elle devait tout coordonner. Elle a toujours ressenti cette responsabilité, et elle… oh ! Je vois ! Merci ! Je l’ai emmenée faire les magasins. On est allé au centre commercial. Elle a vu des choses qu’elle n’a jamais eues quand elle était gamine et je lui ai expliqué qu’elle n’était plus une enfant et que ces choses pourraient ne pas vraiment lui plaire, mais qu’elle pourrait apprécier des choses qui sont plus de son âge. Elle a déprimé, et elle a vu des babioles qu’elle avait toujours voulues. (L) Eh bien, achète-lui. Non ? (D) Si ! (L) Est-ce la réponse ? Lui offrir des trucs de gamin ?

R : Continue…

Q : (D) J’irai lui acheter ces trucs demain.

R : OK. L’enfance est le tremplin vers le développement spirituel dans toute vie.

Q : (D) Je veux vous remercier !

R : Nous t’aidons à ce sujet, car tu dois absolument résoudre ce problème avant de pouvoir décemment passer à une importante mission, vois-tu ?

Q : (D) Je dois résoudre ça… (L) Ils viennent juste de te dire que tu avais une importante mission, c’est presque une prophétie… Ai-je bien compris ? Diana a une importante mission et vous avez des projets pour elle ?

R : Oui. Diana a été « chamboulée ».

Q : (L) Tu as été chamboulée ? (D) Je peux le gérer. (L) Avez-vous quelque chose d’autre à ajouter pour l’aider à résoudre ce problème par rapport à une question qu’on n’a peut-être pas posée ? (D) Je crois que je dois juste profiter de ma fille plutôt que d’essayer de la contrôler…

R : Maintenant, tu es sur la bonne voie.

Q : (D) Je n’ai pas critiqué son père, et je lui ai dit, je l’ai encouragée… Je lui ai pardonné… Et aujourd’hui, j’ai raconté à MT que j’avais appris de Sara que c’était son père qui l’avait emmenée se faire avorter, qu’il avait payé l’avortement, et j’ai parlé de sentiments partagés, tout n’est pas mauvais. Il y a du bon dans tout, et je lui ai indiqué divers passages de différents livres… page 29 dans The Ra Material, ne pas montrer de colère… et c’est ce que j’ai fait : montrer de la colère, exprimer cette émotion et nourrir les Lizzies… et attraper des rides, des cheveux gris et des verrues… les verrues ?

R : Oui.

Q : (D) Ils ont dit de s’extirper des situations stressantes. (L) Je dirais presque que tu viens d’apprendre que c’est toi-même qui générais une grande partie de ton stress… (D) Exactement… chapeau bas, les gars, je vous remercie…

R : Maintenant Diana, veux-tu encore déménager en Caroline du Nord ?

Q : (D) Non. C’est super ! Merci beaucoup. Je n’ai plus besoin de fuir ! Je peux rester. (L) Je suppose que c’est pour ça que tu devais être ici ce soir. (D) Je pensais que j’allais aider l’humanité, et c’est moi qui ai été aidée…

R : Ce n’est que le début de ce travail !

Q : (D) Comment puis-je les remercier ?

R : Inutile, car nous œuvrons ensemble.

Q : (D) J’ai aussi commencé à parler à Sara de spiritualité, de Dieu, etc., et je lui ai dit que la première chose à comprendre, c’est que le péché n’existe pas… (L) Tout n’est que leçons… (D) Il n’y a pas de péché, et ensuite je lui ai énuméré toutes les émotions négatives et je lui ai dit qu’il fallait en éprouver beaucoup moins, et ressentir plus d’amour, d’attention, de partage, ce genre de choses… et elle a vraiment écouté ! Donc, j’ai commencé à lui enseigner. Et je voudrais qu’elle… Oh ! Voilà une bonne question : pourriez-vous m’aider et me conseiller un livre qui serait bien pour Sara ?

R : Non, c’est à Sara de voir. Tout n’est que leçon pour chacun. C’est tout ce qu’il y a, rien d’autre.

Q : (L) J’imagine que c’est comme danser. On suit les gestes et la musique pour savoir quel pas faire ensuite. Cale-toi sur le rythme de Sara.

R : Il n’y a rien, absolument rien, d’autre que des leçons.

Q : (L) Je suppose que c’est un grand laboratoire et que nous sommes les cochons d’inde.

R : Non, tout ce qui existe dans toute la création est une leçon, il n’y a pas de laboratoire.

Q : (L) Désolée, les gars. (F) Donc, absolument tout est une leçon. (L) Permettez-moi de vous demander si mardi, quand Diana lisait et s’est endormie, elle a été visitée ou contactée par une autre source ?

R : Hypnotise-la pour accéder à cette information.

Q : (D) S’est-il passé quelque chose de pertinent cette nuit-là ?

R : Découvrez.

Q : (D) OK, donc nous devrions le découvrir grâce à l’hypnose. (L) Les Pléiadiens sont-ils venus ?

R : Laura, tu es un sacré numéro !

Q : (L) Eh bien, j’ai pensé que je pourrais essayer de leur glisser celle-là. Je voudrais vous demander si, la nuit où le grand boomerang noir a survolé ma maison, moi ou l’un de mes enfants avons été enlevés ?

R : Pourquoi crois-tu avoir appris l’hypnose, pour en faire un sujet de conversation poussiéreux peut-être ?

Q : (L) Êtes-vous en train de dire que je devrais moi-même me faire hypnotiser ?

R : D’autres. Les enfants auront des réponses.

Q : (L) Oh, parfait, c’est malin ! Je n’y avais jamais pensé. C’est comme ça que je trouverai. C’est trop simple. Je commence à avoir l’impression d’être débile. Pourquoi ai-je eu autant d’ennuis avec mes yeux l’année dernière ?

R : C’est ce que font les yeux en 3e densité.

Q : (D) J’ai eu le même genre de problèmes. (F) Je suis devenu myope l’année dernière. (L) Quelqu’un a d’autres questions ? (D) Pas moi, je viens d’avoir un énorme, énorme, problème de résolu en seulement quelques mots… que voudrais-je savoir d’autre ? Si, il y a quelque chose… David N, comment s’intègre-t-il dans ma vie ?

R : Ouvert.

Q : (D) Est-ce un type bien ? (L) Ils ne te le diront pas.

R : Subjectif.

Q : (L) Je suppose que ça dépend de ton point de vue. Je suis sûre qu’Hitler pensait être quelqu’un de bien. C’est subjectif. Le bien et le mal sont subjectifs. (D) Sommes-nous compatibles ?

R : Découvre par toi-même. Libre arbitre.

Q : (L) Eh bien, il y a un moyen pour toi de pouvoir découvrir quelque chose. Puisque tous les esprits sont Un, ça ne dérange pas les Cassiopéens de te dire ce qu’une autre personne pense, ou sa façon de penser. Que pense David N de Diana ?

R : Modes de pensée chaotiques.

Q : (L) Ce David N que Diana a rencontré, est-ce le même David N que Sally B connaissait à St Petersburg ?

R : Combien portent le même nom ?

Q : (L) Eh bien, ils sont probablement plusieurs, mais je ne pense pas que, dans la région, ils fréquentent tous la communauté métaphysique. Ça réduit les possibilités. Sally B interprétait-elle correctement la situation quand elle disait que le David N qu’elle connaissait était un peu obsédé par le sexe ?

R : Beaucoup le sont.

Q : (L) OK, quelles sont les intentions de David N envers Diana ?

R : Ouvert.

Q : (D) Aimerait-il me mettre dans son lit ?

R : Nous pourrions te retourner la question.

Q : (L) Quelles sont tes intentions ? (D) Je n’en ai aucune tant que je ne sais pas s’il a, oui ou non, de bonnes intentions. Je ne vais pas batifoler avec quelqu’un tant que je ne sais pas s’il tient vraiment à moi. Donc, c’est pour ça que je pose la question.

R : OK.

Q : (L) Je ne pense pas qu’ils t’aideront à ce sujet. Le mieux qu’on puisse obtenir c’est que ses pensées sont chaotiques et que c’est probablement le même type que Sally connaissait.

R : La « chambre à coucher » n’est pas notre spécialité.

Q : (D) La mienne non plus, heureusement, ou malheureusement. (L) Bon, demandons à propos de JR. A-t-il lu les transcriptions, en totalité ou en partie, et si oui, quelle est sa réaction ?

R : Personne rêveuse.

Q : (L) Que voulez-vous dire par là ? Il rêve beaucoup ?

R : Explicite.

Q : Donc, « personne rêveuse », c’est sa réaction aux transcriptions ?

R : C’est une personne rêveuse.

Q : (L) Est-ce que ça veut dire qu’il vit dans ses rêves et pas dans la réalité ? (D) Ou est-ce quelqu’un qui amorce ses réflexions dans l’état onirique ?

R : Nous rapportons seulement nos observations.

Q : (L) A-t-il lu les transcriptions ?

R : Certaines.

Q : (L) Quelle a été sa réaction ?

R : Plonger dans l’état onirique.

Q : (D) Oh, il lisait et ça lui a évoqué quelque chose ? (L) Est-ce que c’est ce que dit Diana ?

R : Peut-être.

Q : (D) Eh bien, ça lui a évoqué quelque chose et il s’est mis à rêvasser. Donc, ça a touché une partie de sa réalité. Je voudrais poser des questions à propos de Martie : est-ce qu’Eddie Page et elle vont renouer le dialogue ? (L) Je ne savais pas qu’ils étaient en froid. Mais je ne les connais pas assez bien pour poser des questions. (D) Eh bien, apparemment, l’histoire c’est que Martie a dit à quelqu’un qu’Eddie avait des aventures avec d’autres femmes et c’est revenu aux oreilles de sa femme.

R : Les gens ont des défauts.

Q : (D) Vont-ils se réconcilier ?

R : Ouvert.

Q : (L) Martie a-t-elle relayé un mensonge à propos d’Eddie ? (D) C’est ce qu’a dit Eddie en tout cas.

R : Subjectif.

Q : (D) Elle a dit qu’Eddie avait des maîtresses.

R : Ce n’est pas important.

Q : (D) OK, d’accord. (L) Le jour où l’on a vu Eddie - je crois que c’était samedi dernier - il nous a dit qu’il avait été enlevé trois jours avant. Était-ce une abduction physique ou dans une réalité virtuelle ?

R : Cette dernière.

Q : (L) Des nombreuses abductions qu’il prétend avoir vécues, combien sont de type réalité virtuelle ?

R : La moitié environ.

Q : (L) Lors d’une abduction de type réalité virtuelle, est-ce qu’une partie de la personne va réellement dans une autre dimension ?

R : Réplication de l’âme.

Q : (L) Donc, une réplique de l’âme, comme son ombre pour ainsi dire, peut-être une partie holographique de l’âme, est déplacée dans une autre dimension et vit les événements ; est-ce que c’est ça que vous voulez dire ?

R : Ça s’en rapproche.

Q : (L) Donc, quand une personne connaît une abduction de type réalité virtuelle, c’est pratiquement réel au sens où ça lui arrive à un certain niveau, ou à une certaine partie d’elle-même ?

R : C’est réel.

Q : (L) Mais son corps physique n’est pas enlevé et ne va nulle part ?

R : Pas l’original.

Q : (L) C’est intrigant. (D) Est-ce que c’est comme… (L) C’est une réplication de l’âme.

R : Pensez à un photocopieur, concept similaire.

Q : (L) Une photocopie ? Donc, la moitié des abductions d’Eddie se sont passées dans une réalité virtuelle…

R : Oui.

Q : Et l’autre moitié sont de véritables abductions physiques ?

R : Oui.

Q : (L) Par qui est-il enlevé ? Je sais qu’on a déjà posé la question, mais je voudrais clarifier quelque chose…

R : SDS d’Orion.

Q : (L) Et de quel niveau de densité sont ceux qui l’enlèvent ?

R : 4e niveau.

Q : Donc, le groupe SDS d’Orion du 4e niveau enlève Eddie Page. À quoi ressemblent-ils ?

R : Ils changent d’apparence.

Q : (L) Pour ressembler à quoi ? Il perçoit…

R : Tout ce que l’abducté peut anticiper.

Q : (L) Eh bien, il m’a dit qu’ils étaient magnifiques. (D) Il a dit que son père était l’un d’eux. La manière dont je conçois des gens magnifiques, c’est du point de vue du cœur… pas de la beauté physique… (L) Les a-t-il trouvés magnifiques physiquement ?

R : C’est subjectif.

Q : (L) Et puisque vous dites qu’ils modifient leur apparence, dans leur état naturel, avant cette modification, à quoi ressemblent-ils ?

R : État naturel est variable.

Q : (D) Est-ce que ce sont des robots ?

R : Certains.

Q : (L) À quoi ressemblent ces robots ?

R : Gris.

Q : (L) D’accord, à quoi ressemblent les autres ? (D) Est-ce que ce sont des robots de 3,50 mètres de haut ? (L) J’ai l’impression qu’ils ne veulent pas répondre à cette question…

R : Pensée de 3e densité.

Q : (L) Je suis désolée. Je suppose que vous voulez simplement qu’on apprenne grâce à cet exercice, c’est ça ?

R : Revois les transcriptions.

Q : (L) À quoi ressemblent les Orions SDS de 4e densité ? Je connais la réponse… des Lizzies ?

R : Certains.

Q : (L) Donc, Eddie Page est enlevé par les Lizzies et les Gris et ils prennent une apparence qui lui semble sympathique, c’est bien ça ?

R : Laura, 3 et 4 ne s’accordent pas.

Q : (L) Est-ce que ce sont des Lizzies du 3e niveau ?

R : Ils sont tous du 4e et voyagent parfois dans le 3e où les règles sont totalement différentes de la 4e densité, n’as-tu pas encore compris cela ?

La cassette était finie. Et comme nous étions fatigués, nous avons décidé d’arrêter là la séance.

Fin de la séance
 
Back
Top Bottom