Séance du 27/28 avril 1996

Jacques

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Thanks to the members of the French translation group who have just translated that session.

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Merci aux membres de l'équipe française pour cette traduction.
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Séance du 27/28 avril 1996

Ce fut une soirée de séance intéressante. Si vous vous reportez à la séance du 24 avril qui précède immédiatement, vous remarquerez la référence aux troubles cardiaques. Le 25 avril, ma chère amie Sandra, mon principal soutien lors de cette terrible épreuve que je traversais, fit une crise cardiaque probablement due à une thrombose. C’est un agent d’entretien qui nettoyait les bureaux où elle travaillait tard qui l’avait retrouvée. Ce soir-là, elle était censée passer me voir en rentrant du travail, mais ne s’était jamais montrée. Je m’étais dit qu’elle avait eu un contretemps et qu’elle allait m’appeler. Lorsqu’un autre jour passa sans nouvelles de sa part, j’appelai pour finalement découvrir qu’elle avait perdu conscience, qu’elle était à l’hôpital, mais qu’on l’avait retrouvée trop tard ; elle était maintenue en vie artificiellement jusqu’à ce que tous les membres de sa famille puissent se rassembler.

Avec leur permission, j’étais allée la voir. J’avais passé un moment à lui parler et avais trouvé difficile à croire qu’elle était partie, car ses paupières tressautaient et ses doigts bougeaient tandis que je lui parlais. Quoi qu’il en soit, j’étais ébranlée, et ce soir-là, après cette visite, j’étais déterminée à tenter d’entrer en communication avec elle ou à questionner les C’s à son sujet. C’est donc à cela qu’est consacrée la première partie de cette séance. Malheureusement, cette partie de la cassette a été endommagée et il m’a fallu en reconstruire le contenu à partir des notes manuscrites. Nous avions débuté entre 23 h 30 et minuit, d’où les deux dates indiquées.

Participants : «Frank», Pat Z, Laura

Q : (L) Bonjour.

R : Bonjour. Tu voulais contacter Sandra ?

Q : (L) Qui est avec nous ce soir ?

R : Yturso.

Q : (L) Et d’où transmettez-vous ?

R : Cassiopée.

Q : (L) J’aimerais savoir s’il est possible de communiquer avec Sandra ?

R : Peut-être. Si tu souhaites lui parler, nous devrons nous «effacer».

Q : [Question perdue]

R : Avec, pas «à».

Q : (L) Y a-t-il une chance qu’elle se rétablisse ?

R : Non.

Q : [Question perdue]

R : Pour que tu puisses entrer en contact avec elle, nous devons partir !! Temporairement, bien entendu !

Q : (L) Est-ce sans danger pour vous de céder le canal ?

R : Oui.

Q : (L) Eh bien, je suis un petit peu sceptique.

R : Essaie.

Q : (L) Comment saurais-je qu’il s’agit bien de Sandra ?

R : Découvre.

Q : (L) D’accord, essayons.

R : Voilà !

Q : (L) Sandra, es-tu là ?

R : Oui.

Q : (L) Quand je t’ai parlé à l’hôpital, essayais-tu de me répondre ?

R : Non.

Q : [S’ensuit une série de réponses négatives qui indiquaient que Sandra n’allait pas retourner dans son corps. Je lui ai demandé comment elle se sentait.]

R : Bien. Je me lance seulement !

Q : [Ensuite, surgit plus ou moins de nulle part :]

R : Ne tirez pas ! Laissez partir la petite fille !

Q : (L) Que veux-tu dire ?

R : Tu verras. Station. Radio.

Q : [C’était plutôt déroutant, et puisque cela semblait n’être qu’une interférence, nous n’avons pas approfondi le sujet.]

Q : (L) Éprouves-tu des problèmes à communiquer ?

R : Ma première fois. Je suis plus douée de l’autre côté de la planche. [Sandra avait participé à des séances de communication avec les C’s à plusieurs occasions.]

Q : [Je lui demande si elle se trouve toujours dans son corps ou non.]

R : Hier, c’était la dernière fois. Je suis arrivée depuis peu.

Q : [Plusieurs réponses négatives se référant, je pense, au fait de ressentir de la douleur. Puis, je lui ai demandé à quoi elle pensait au moment de l’«événement».]

R : Dîner.

Q : (L) Quelle impression cela t’a-t-il fait ?

R : Comme un évanouissement. J’ai ressenti une drôle de sensation à l’estomac. De la faiblesse dans les bras, puis un picotement dans les doigts. Ensuite des lumières ont virevolté puis étincelé, puis une explosion dans la tête et ensuite un rêve. Ensuite je me suis vue sur le sol. Je me sentais bien.

Q : (L) As-tu eu peur ?

R : Non. J’ai évidemment pensé que j’étais morte, qui ne le serait pas après tout ça ?

Q : [Ensuite, je lui demande si elle est coincée ou si elle peut aller dans la lumière.]

R : Non, Laura. Tu ne sais vraiment rien de tout ça. Je suis dans la lumière.

Q : (L) Je ne veux tout simplement pas que tu sois coincée quelque part.

R : Quand ai-je déjà été coincée ? C’est amusant ! Il n’y a plus de bien ou de mal. C’est comme une école. C’est amusant ! Sais-tu la dernière fois que je me suis amusée ?

Q : [J’évoque le fait qu’elle me manquera.]

R : Laura, ne fais pas la rabat-joie !

Q : [Ici, je demande comment je peux être certaine de parler à Sandra.]

R : Les formes dans le classeur à tiroirs. Réfléchis. Tom était furieux.

Q : [Je dis que je ne peux pas en être certaine...]

R : Oh, Laura, je fais de mon mieux ! Veux-tu mes empreintes digitales ?

Q : [Là, je lui fais mes adieux avec une grande tristesse et nous laissons Sandra s’en aller puis demandons aux C’s de revenir.]

Q : (L) Bonjour.

R : Bonjour.

Q : (L) Et qui est avec nous ce soir ?

R : Vordkon.

Q : (L) Et d’où transmettez-vous ?

R : Cassiopée.

Q : (L) Comme vous le savez, nous avons bavardé un peu avec Sandra, et nous vous en remercions. Maintenant, nous avons parlé de tas de sujets ici, et ce qui m’intéresse en priorité ces temps-ci, c’est le piège des émotions. Je voudrais savoir si ce piège nous est imposé par des sources externes ?

R : La formule est «imposée».

Q : (L) Quelle est la formule ?

R : Schéma préétabli, comme un labyrinthe.

Q : (L) D’accord. Et quel est le moyen le plus efficace de sortir de ce labyrinthe de contrôle émotionnel ?

R : Calculer.

Q : (L) Y a-t-il quoi que ce soit qu’on puisse faire, lorsqu’on est en train de s’extirper d’un piège émotionnel, pour arrêter ou apaiser la douleur ? Ça fait littéralement mal.

R : Pas besoin d’apaiser.

Q : (L) Bon, une fois qu’on a traversé tout ça, ou, plus particulièrement, une fois qu’on a vu que c’était un piège, ça ne fait plus mal — ou ça diminue. Une autre chose : nous avons tous été entraînés dans des pièges émotionnels, depuis la naissance apparemment, et cela nous a affectés. Est-ce le cas de tout le monde ?

R : Tout le monde ? Non, la plupart, oui.

Q : (L) Est-il exact de dire que ceux qui ont le potentiel pour faire des choses très positives — comme distinguer et comprendre la réalité dans laquelle nous vivons — pourraient être les cibles principales de ce tumulte émotionnel ?

R : Oui.

Q : (L) Pourriez-vous nous donner les caractéristiques possibles d’une personne qui n’est pas prise dans les pièges émotionnels ?

R : Étreinte ? Non. Union ? Oui.

Q : (L) Ah ! Donc vous dites que ceux qui peuvent démêler les pièges émotionnels peuvent s’unir dans un sens émotionnel supérieur ?

R : Les émotions ne sont que des substances chimiques.

Q : (L) Donc si les émotions sont uniquement chimiques, est-il vrai que lorsqu’on se trouve physiquement à proximité de certaines personnes, leurs fréquences vibratoires peuvent provoquer la stimulation ou la production de ces composés chimiques en nous ?

R : OK.

Q : (L) Et que, contrecarrer cet effet physique demande beaucoup de volonté et de force mentale ?

R : Non, juste de la pratique.

Q : (L) OK, une fois qu’on s’est un peu entraîné sur des choses faciles, on peut passer à des choses plus difficiles ?

R : Concept pas tout à fait juste.

Q : (L) Je lisais un texte qu’on nous a envoyé sur internet et dans lequel une source de Conscience Cosmique parle de gens qui se sont incarnés délibérément, car, puisque les gentils ne peuvent vraiment pas interférer de l’extérieur parce que cela violerait le libre arbitre, beaucoup d’entre eux s’incarnent et donc participent à l’expérience physique. Ensuite, ils se réveillent et accomplissent leur mission sur la planète. L’objectif est de s’assurer qu’ils s’éveilleront à leur but, étant donné que les émotions et les pièges émotionnels sont utilisés constamment pour les empêcher de s’éveiller. Là où je veux en venir est : que pouvons-nous faire pour nous éveiller ? Vous nous avez dit à de nombreuses reprises que nous avions besoin de nous éveiller. De toute évidence, nous ne sommes pas pleinement éveillés, ça nous le savons. Y a-t-il autre chose que nous puissions faire ?

R : Laisser les choses se faire naturellement. Si tu es sur un chemin, cherches-tu à t’envoler dans les airs et à planer jusqu’à destination ? Si tu le faisais, tu regretterais d’avoir manqué le «reste du chemin».

Q : (L) Bien des choses étranges sont arrivées dernièrement... La crise cardiaque de Sandra, la cheville [cassée] de [ma fille], les terribles maux dont j’ai souffert ces derniers mois, [mon autre fille] qui parle des choses qui lui sont arrivées lors de ses expériences... il me semble que la situation est en train de chauffer, concernant les attaques. Pouvez-vous commenter ?

R : Non.

Q : (L) Eh bien, merci beaucoup ! Pouvons-nous poser des questions à ce sujet ?

R : Oui.

Q : (L) Bon, mes infections oculaires, mes problèmes d’oreilles, mon extinction de voix persistante... est-ce que tout ça fait partie du processus d’attaque ?

R : Oui.

Q : (L) Ma mère est également tombée et a un œil au beurre noir. J’essaie de trouver le portail. Par quel portail passent toutes ces attaques ?

R : Découvre.

Q : (L) L’avons-nous déjà découvert en partie : à savoir Sue et sa mère, et cette situation particulière ?

R : Non.

Q : (L) Voulez-vous dire que Sue n’est pas un portail ?

R : Les gens ne sont pas des portails !!! Ils ne sont que les victimes des choses qui traversent les portails. Autrement, beaucoup pourraient te décrire comme un «portail».

Q : (L) Bon, je n’ai jamais dit que je n’en étais pas un. En parlant de ça...

R : Lorsque tu te focalises sur les gens en les voyant comme des portails, tu diriges à tort des énergies négatives sur les unités d’âmes elles-mêmes. Ce qui équivaut à traiter un problème d’acné à coups de carabine !

Q : (L) Quelle est la réponse appropriée lorsqu’on est face à une situation délicate et qu’on sait que, oui, la personne est victime des forces qui passent à travers le portail, mais que cette victimisation nous cause énormément de problèmes ? Quelle est la réponse appropriée ici ?

R : Comment vois-tu les gens souffrant d’une maladie ? Leur jettes-tu des pierres ?

Q : (L) Euh, non, je ne leur jette pas des pierres...

R : Que fais-tu, alors ?

Q : (L) Eh bien, quelqu’un souffrant d’une maladie : on l’envoie ou on l’emmène chez un médecin, ou on lui suggère d’aller voir un médecin.

R : Dans quel but ?

Q : (L) Pour découvrir le diagnostic de la maladie, pour obtenir un remède, afin de soulager les symptômes ou guérir la maladie.

R : Bingo !

Q : (L) Nous parlons de gens qui ne veulent même pas admettre qu’ils souffrent d’une maladie ! Comment dire à quelqu’un qui ne croit pas qu’il est malade d’aller voir un médecin ? La plupart des gens ne croient pas qu’ils sont soumis au contrôle ou à la manipulation d’autres densités ! Vous avez dit à plusieurs personnes qu’elles seraient victimes d’attaques ou de manipulations, et elles ont répondu avec insouciance : «Oh, il n’y a rien dans nos vies qui permettraient ça...».

R : Le déni n’est pas incurable, tant qu’on ne baisse pas les bras. La patience combinée à des invitations bienveillantes à participer au processus d’apprentissage permet finalement à la victime de s’éveiller, et donc d’être ouverte à la guérison. Cela t’aide à constituer l’«armée» que tu cherches. L’isolement ne guérit rien. Il entrave la progression, car tout le monde sera finalement considéré comme un «portail». Ça revient à tourner en rond, non ??

Q : (L) Donc, en d'autres termes, vous dites que je devrais rester mariée à mon mari, accueillir Sue et d’autres influences perturbatrices et destructrices chez moi en permanence, afin qu’ils «participent» au processus d’apprentissage ?

R : Le but n’est pas d’adhérer de façon rigide à des choix de vie spécifiques, ni d’adopter un schéma comportemental particulier, mais tout simplement, de ne pas fermer complètement ni définitivement la porte.

Q : (L) OK, quand quelqu’un est, comment dire, une personne-robot, quand quelqu’un devient une personne-robot, qu’est-ce qui arrive à son âme ?

R : Même processus.

Q : (L) Que quoi ?

R : La mort.

Q : (L) Donc une personne peut mourir et quitter son corps, qui peut être récupéré, réanimé et téléguidé, et être opérationnel pendant longtemps ? De son côté, l’âme originelle est complètement partie en 5e densité, prête à recycler ?

R : Oui, mais le corps est remplacé, pas réanimé.

Q : (L) C’est ce qui est arrivé à [mon ex] quand il s’est fait opérer en 1981 ?

R : Nous te mettons en garde : même si tu as rencontré sept «robots» dans ta vie, évite d’en «voir» à chaque coin de rue. Tu as rencontré tant de gens dans ta vie. Nous t’en avons cité un, et un seul !!

Q : (L) Quelle était la source du rêve où cette information m’a été révélée ?

R : Les rêves sont le meilleur espace de désinformation qui existe.

Q : (L) D’accord. Je vois ça. Mais en même temps, c’est aussi l’un des meilleurs moyens d’obtenir des informations en provenance du subconscient et de la conscience supérieure, n’ai-je pas raison ?

R : Nous avons beaucoup mentionné les dualités !!

Q : (L) En sautant la partie désinformation, et en passant juste à la partie analyse du conte de Barbe Bleue... Je suis toujours d’avis que, robot ou pas, j’ai fait le bon choix. Est-il possible que, même dans cette situation, je sois prise dans un piège émotionnel ?

R : Bien sûr. L’apprentissage n’est pas une mince affaire !

Q : (L) Oui, c’est bien beau tout ça, mais nous parlons de mettre ma vie entière en lambeaux ici...

R : Peut-être, peut-être pas.

Q : (L) À quoi peut bien servir le channeling s’il ne vous aide pas à prendre des décisions une fois de temps en temps ? Une fois de temps en temps, j’ai dit. Pas tout le temps. Ou à clarifier les choses ! À y jeter davantage de lumière, au lieu de les embrouiller !

R : Nous n’«embrouillons» pas les choses, toi seule peux le faire !

Q : (L) Bon, assez sur le sujet...

R : Non, pas assez sur le sujet. Et un conseil bienvenu pour toi : les réponses aux questions de portée mondiale ou universelle offrent un bien meilleur apprentissage que les questions personnelles directes. Si tu n’es pas d’accord, vérifie les transcriptions, et en particulier les séances non retranscrites, pour validation ! Tu verras, ma chère !!

Q : (L) Eh bien, c’est pour ça que j’ai dit que ça suffisait pour ce sujet, parce que je ne veux plus parler de mes histoires personnelles. J’ai bien pensé que cette histoire de personnes robots avait de l’importance, mais manifestement, pas tant que ça. Il y en a deux millions sur la planète, et vous me dites que j’en ai rencontré sept. Je trouve que c’est un taux assez élevé pour une seule personne...

R : Oui, mais ton parcours de vie sort de l’ordinaire. Et tu as rencontré personnellement 4 588 personnes !

Q : (L) Combien de personnes Frank a-t-il rencontrées ?

R : 2 754.

Q : (L) Combien étaient des robots ?

R : 3.

Q : (L) Combien de personnes Pat a-t-elle rencontrées ?

R : 3 856.

Q : (L) Combien de robots ?

R : 1.

Q : (L) Alors, pourquoi sept pour moi ? Oui, on sait, le parcours de vie sort de l’ordinaire...

R : Oui.

Q : (L) Pouvez-vous me dire en quoi il sort de l’ordinaire ?

R : Tu ne le sais pas ?

Q : (L) Eh bien, je pensais que par un moyen détourné, j’arriverais à vous le faire dire...

R : Pas de détours, nous ne faisons que de bons tours.

Q : (L) Oh, OK... (P) Nous diront-ils qui sont les robots que nous avons rencontrés ? (L) Probablement pas...

R : Susan S__.

Q : (L) C’est le nom qu’ils m’ont déjà donné... peut mieux faire.

R : Quel est le meilleur déguisement ? Un nudiste !

Q : (L) Amusant ! Je vous le dis, l’empereur est nu ! (P) Ne me direz-vous pas qui est celui que j’ai rencontré ?

R : Nan.

Q : (L) Je suis tellement fatiguée, là, que je n’arrive pas à formuler une question légitime, raisonnable, intelligente ou cohérente de portée mondiale ou universelle, donc je vous dis bonne nuit.

R : Bonne nuit.

Fin de la séance
 
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