Séance du 27 mai 1995

Jacques

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Merci aux membres de l'équipe française pour cette traduction.
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Séance du 27 mai 1995 :

Participants : « Frank », Laura, Jan et Terry, Carla et Roger Santilli

R : Rouswo.

Q : (L) Je suppose qu’il s’agit de son nom. Salut, comment allez-vous ce soir ? (T) Qui est avec nous ?

R : Nom donné.

Q : (T) D’où venez-vous ?

R : Cassiopée.

Q : (T) Comment allez-vous ce soir ?

R : OK.

Q : (T) Nous aussi ça va. Nous avons de la compagnie aujourd’hui.

R : Bien.

Q : (T) Roger et Carla Santilli sont avec nous. Roger voudrait poser quelques questions ultérieurement.

R : Bonsoir, Roger.

Q : (RS) Bonsoir. (T) Y a-t-il quoi que ce soit dont vous voudriez parler pour commencer ?

R : Canal ouvert.

Q : (L) Très bien, commençons par la question que Susan et moi nous nous posons : est-ce que ça va si je donne l’initiation Reiki pendant la rétrogradation de Mercure ?

R : Bien sûr !

Q : (L) C’est ce que je pensais. Vas-y Roger, demande ce que tu veux. (RS) Je voudrais savoir si nous pouvons avoir des indices quant aux systèmes de propulsion des ovnis.

R : Bien sûr !

Q : (RS) Quel est le mécanisme de propulsion ?

R : Il est difficile de répondre à la question telle qu’elle est formulée, étant donné que nous parlons de réalités multiples, de niveaux de densité multiples, et de différents modes aussi !!

Q : (RS) La gravité subie par une antiparticule dans le champ de matière est-elle répulsive ou attractive ?

R : Répulsive quand on la considère parallèlement à tes recherches, mais, comme nous l’avons laissé entendre dans la réponse précédente, plusieurs univers sont impliqués, outre celui qui t’est le plus familier.

Q : (RS) Question suivante : les particules se meuvent, la matière se meut dans notre direction temporelle ; les antiparticules, l’antimatière reculent-elles dans le temps ?

R : Considère ça comme un septième de l’équation seulement, Roger !

Q : (L) Pouvez-vous nous dire si c’est le cas uniquement pour la troisième densité ?

R : Recul.

Q : (RS) Oui ! Je m’intéresse aux systèmes de propulsion des ovnis. Pour moi, la seule façon dont ils pourraient parcourir les énormes distances de l’espace interstellaire serait de disposer d’une machine « spatio-temporelle ». On ne peut parcourir ces énormes distances à moins de pouvoir courber, d’une certaine manière, le temps et l’espace. Il n’est pas possible de courber l’espace, à moins de le rassembler et de courber le temps. Il ne peut y avoir de voyage interstellaire à moins de disposer d’une machine spatio-temporelle. Mais une machine spatio-temporelle implique également la capacité d’avancer et de reculer dans le temps, de manipuler le temps.

(L) Oui, il faudrait parcourir les distances et en même temps reculer dans le temps, de manière à arriver à destination au moment où l’on est parti.

(RS) Voilà pourquoi j’ai demandé s’il était possible d’utiliser l’antimatière comme système de propulsion, parce qu’elle serait répulsive dans la bonne direction. La deuxième question est : si nous utilisons l’antimatière, reculerons-nous dans le temps ? Parce qu’on voit certains de ces objets se mouvoir, et il se pourrait qu’ils se meuvent dans l’espace, mais non dans le temps. Ou bien, ils pourraient se mouvoir dans le temps, mais non dans l’espace. Lorsqu’on observe un ovni, cela ne signifie pas qu’il se trouve dans notre temps. Il pourrait se trouver dans un temps complètement différent. (L) Et ils disparaissent parfois sous les yeux de l’observateur ; et la question est alors : où vont-ils ? (RS) Ils pourraient être immobiles dans l’espace, mais se déplacer dans le temps. Ou bien reculer.

(L) Et dans de nombreux récits d’enlèvements, les personnes affirment que le temps ne s’est apparemment pas écoulé du tout. Ils arrivent, embarquent leur victime, font je ne sais quoi avec, puis la réinsèrent à l’endroit d’origine en une fraction de seconde, voire à la seconde même où ils l’ont enlevée !

(RS) Oui ! L’article que j’ai présenté aborde exactement ce point !! Si les antiparticules ont effectivement une force ascensionnelle, alors elles doivent nécessairement reculer dans le temps. Alors ils manipulent cet élément : un enlèvement pourra durer un certain temps à l’intérieur du vaisseau, mais dans notre temps, à notre niveau 3, c’est le temps zéro !

(L) Oui, exactement ! Et pas seulement ça : il y a le phénomène qui nous fait voir le vaisseau petit de l’extérieur, mais une fois qu’on est à l’intérieur, il est énorme !

(RS) Tout ça est lié ! C’est très excitant. J’apprends la langue. À notre troisième niveau, le mouvement dans l’espace et le temps se produit via le changement d’unité de temps et d’espace ; alors pouvons-nous modifier l’unité ?

R : Oui, c’est précisément ce que nous voulons dire quand nous parlons de « transiter de la 4e à la 3e ».

Q : (RS) Donc, quand ils voyagent de la 4e vers la 3e, ils modifient les unités. C’est précisément ce que dit l’article dans cette revue scientifique ! [Montre la revue.] C’est publié en Ukraine. [Il trouve la page et montre des diagrammes et des équations.] Il s’agit d’une expérience destinée à tester l’anti-gravité. Il y a un tunnel de 3 km de long qu’on a vidé de son air. L’air a été aspiré. La première étape consiste à projeter des photons afin d’identifier, au bout du tunnel de 3 km de long, le point de non-gravité. La deuxième étape consiste à projeter un neutron. Nous savons qu’un neutron est attractif. Donc, après avoir parcouru 3 km, l’énergie est très, très faible. Donc, il n’y a pas d’effet gravitationnel lorsque le neutron frappe le point. Enfin, la troisième étape consiste à projeter un anti-neutron en même temps, et à voir ce qui se produit. Cette expérience résoudra le problème que cette planchette a expliqué très scientifiquement. Nous appelons cela « gravité des antiparticules », parce que nous n’en savons rien. Cela peut être dû à… D’après les prédictions d’Einstein, c’est aussi attractif qu’un neutron ; l’antimatière et la matière ont la même attractivité gravitationnelle. C’est ce que dit Einstein.

Mais quand la théorie d’Einstein a été proposée, en 1915, l’antimatière n’avait pas encore été découverte. Elle ne l’a été que 50 ans plus tard. Maintenant, théoriquement, la seule façon pour une particule de s’élever, d’avoir une force ascensionnelle, selon notre théorie, est d’inverser le temps. Il n’y a pas d’autre possibilité. Donc, si cette expérience est correcte, alors la machine spatio-temporelle est une conséquence obligée et peut être testée en laboratoire. Une particule peut reculer ou avancer dans le temps.

[Montre un nouveau diagramme.] C’est l’autre expérience qui est réalisée en prenant une particule neutre et en la soumettant à… puisque nous n’avons pas beaucoup d’antimatière à disposition — idéalement, nous devrions prendre un grain de matière et le remplacer par de l’antimatière — nous ne possédons pas de grain d’antimatière, pour le moment ; il y a cependant moyen de le faire, et l’on peut mesurer s’il va vers le haut ou vers le bas.

Maintenant, la question des unités est très importante ; c’est une question fondamentale parce que, disons qu’on se trouve à l’extérieur d’un ovni et qu’on le voit aussi gros qu’une voiture, par exemple, et des gens y entrent et disent qu’à l’intérieur, c’est énorme. Le seul moyen d’accomplir ça est de modifier l’unité. Ce qui correspond pour nous à un centimètre est complètement différent à l’intérieur. Pour nous, l’unité est la même dans les trois directions. Maintenant, si vous vous trouvez à l’intérieur, il peut y avoir des unités différentes dans des directions différentes. Cela signifie que si vous vous trouvez à l’extérieur d’un cube et que vous entrez dedans, la forme — pas seulement les dimensions, mais la forme aussi — peut être différente.

R : Conscience croisée de frontière de densités. Roger connaît-il la définition des densités ?

Q : (L) Avons-nous jamais reçu une définition des densités, Terry ? (T) Seulement des sept niveaux. (L) Bien, quelle est la définition d’une densité ?

R : Revoyez, en utilisant vos propres bases de connaissance, c.-à-d. travaillez en réseau.

Q : (L) Que comprenons-nous des densités ? (T) Il y a sept niveaux de densité. (L) Le premier niveau concerne les roches, les minéraux, les plantes. Ils ont une conscience à ce niveau. Les roches peuvent même croître et bouger, mais elles le font tellement lentement qu’on ne le perçoit pas. Le second niveau, c’est le règne animal. La conscience de cette densité a un lien avec la progression géométrique. Le premier niveau a la conscience d’une ligne. Le second niveau a la conscience d’une ligne se déplaçant à angle droit, ou de plans. La 3e densité, ce sont les êtres humains et nous avons la conscience du plan se déplaçant perpendiculairement à lui-même, mais on ne peut jamais en faire pleinement l’expérience. Nous voyons les choses comme tridimensionnelles uniquement parce que nous créons une illusion à partir de la mémoire et de la connaissance. On ne peut jamais connaître l’autre côté ou l’intérieur lorsqu’on regarde une face donnée.

(J) Dans le livre de Heinlein, les témoins ne pouvaient parler que de ce qu’ils avaient réellement vu. Si on leur demandait la couleur d’une grange, ils répondaient que le côté qu’ils pouvaient voir était rouge. Si on les emmenait voir l’arrière et qu’ils voyaient qu’il était aussi rouge, puis qu’on leur demandait de quelle couleur elle était après qu’elle ne soit plus visible, ils répondaient toujours que le côté qu’ils pouvaient voir était rouge. Si on leur demandait la couleur de l’autre côté qu’ils avaient vu, ils répondaient que puisqu’ils ne pouvaient plus le voir, il pouvait avoir changé de couleur, et donc ils ne pouvaient en attester.

(L) Donc, la 3e densité est comme ça. On ne peut connaître les choses que par l’intermédiaire de nos perceptions. Donc, si on étend l’idée de la 1ère vers la 2e, puis la 3e et ensuite la 4e et qu’on essaie de comprendre à quoi ressemblerait la 4e densité, alors on connaîtra cette tasse ou tout autre objet en entier tout d’un coup. On fera l’expérience d’une sphère, de l’intérieur, de l’extérieur et de son pourtour, simultanément. On tend vers ça…

(T) La 4e densité comprend toutes les densités inférieures et une densité supplémentaire. À nouveau, la nature de la 5e serait la 4e formant des angles droits par rapport à elle-même. Pareil pour la 6e et la 7e que les Cassiopéens appellent le « Un ». Le point d’achèvement.

(L) Et nous n’avons aucune idée de la façon d’exprimer ces choses. Ils nous ont parlé de Remolécularisateurs Atomiques Transdimensionnels et on leur a demandé comment en construire un. Ils nous ont demandé si l’on pouvait prendre des notes pendant plusieurs jours.

(RS) Oui je peux ! Je peux !

(L) On sait, et c’est ce qu’on a répondu, mais ils nous ont demandé où on allait se procurer les pièces ?

(RS) Ce serait comme faire de l’électronique dans la Rome antique…

(T) Ou expliquer à un chien comment construire une montre. Même si le chien comprend le mécanisme, où trouvera-t-il les pièces ?

(RS) D’ailleurs, les coquillages nous ont montré scientifiquement à quel point nos perceptions sont trompeuses. N’avons-nous pas discuté des coquillages ? (T) Si. (RS) Au troisième niveau, est-il vrai que la valeur de la dimension est modifiée par l’énergie disponible, ou bien l’énergie est-elle utilisée pour modifier la valeur des unités ?

R : Ce concept traverse la barrière entre densités ; pas limité au niveau trois.

Q : (RS) Il monte jusqu’au niveau 4. Voilà le moyen de propulsion des ovnis.

R : La raison de « l’explosion » exponentielle de prise de conscience est l’approche de l’Onde. À présent, concentre-toi sur la visualisation ; les réponses se trouvent là… Après une période de contemplation, Roger « tombera » sur la question décisive qui résoudra l’énigme qui occupe en ce moment même le « centre » de sa psyché où il ne manque actuellement qu’une seule pièce.

[Note de Jan : je pense que cela veut dire que Roger sera capable de trouver les bonnes questions pour accéder aux informations des Cassiopéens, de sorte que ces informations puissent lui être délivrées. Et aussi que son explosion de conscience résulte de l’approche de l’Onde.]

Q : (T) Dès la 4e densité, nous ne sommes plus confinés dans le physique. La phrase clé est « variabilité de la physicalité ». Ceci, dès qu’on passe de la 3e à la 4e densité, et nous progressons tous vers la 7e densité. Lorsque tu élèves ta connaissance, ta conscience, à un certain niveau, tu peux alors passer au niveau suivant. Quand on passe de la 3e à la 4e densité, on a alors la capacité de visualiser et de décider quelle est notre réalité. On crée la réalité à partir du quatrième niveau. Donc, à un moment, la réalité pourrait ne pas être solide. Elle pourrait être tout en énergie, nous pourrions être des êtres de lumière, pour ainsi dire. On pourrait modifier cela simplement en y pensant et en créant une réalité solide. Ou aussi solide qu’on le souhaite. Il y a aussi le fait qu’à partir de la 4e densité, le temps tel que nous le percevons n’existe pas. Notre perception du temps n’existe que dans les trois premières densités. Chaque densité le perçoit différemment.

(RS) Ce qu’on perçoit comme des allers-retours dans le temps n’existe plus au quatrième niveau. Les êtres de ce niveau peuvent se déplacer dans notre densité temporelle car pour eux, elle n’existe pas. Tout est maintenant. Ce n’est qu’un instant.

(L) C’est comme un ensemble de différentes portes, l’une mène à 1917, l’autre à 1943, ou autre, et ils peuvent ouvrir celle qu’ils souhaitent…

(T) Il y a la « frontière entre mondes ». La Terre se dirige vers une région de 4e densité de l’espace. Ou cette région se dirige vers nous, ou les deux. Cette frontière entre les mondes, cette transition entre densités est également une transition entre dimensions. Un bref récapitulatif sur les dimensions : selon les Cassiopéens, les dimensions sont des réalités latérales, toutes les réalités possibles d’un niveau de densité, un nombre infini ; il y a une différence entre densité et dimension.

(RS) Cette rencontre est fascinante parce que les réponses concernant la question de passer mathématiquement du troisième au quatrième niveau, ce changement d’unités, cette réponse est précisément ce que je propose dans mon livre. La solution, telle qu’elle est formulée, est possible…

(T) On nous a dit que l’Univers fourmille de vie à tous les niveaux, et les humains ne sont qu’une option.

(L) Et je pense que ce qu’ils disent, c’est que l’approche de cette frontière entre les mondes, ce changement de densité, est ressentie et stimule la conscience. Au fond, ce qui nous attend, c’est la fin d’un « grand cycle ». Un grand cycle de 300 000 ans… (T) À un jour près… (L)… tel que nous mesurons le temps. Au début de ce grand cycle, on nous a modifiés génétiquement pour diminuer notre conscience, et notre ADN a aussi été altéré pour que nous percevions le temps. Ces limitations sont inscrites dans notre ADN. Maintenant, à la fin de ce cycle de 300 000 ans, beaucoup de gens réassemblent cet ADN incomplet grâce aux changements d’énergie, ce qui augmente exponentiellement leurs facultés mentales et leurs perceptions. Je pense qu’ils te disent que cette énergie agit sur toi de sorte qu'elle te permet de faire la découverte dont tu as besoin pour résoudre l’énigme sur laquelle tu travailles. Les concepts qui te sont donnés aujourd’hui te serviront de visuel pour trouver la clé.

(RS) Je remarque que si la question n’est pas bien formulée… (L) Tu n’obtiendras pas la réponse ! Sois spécifique.

R : Prenez garde à ne pas semer la confusion avec trop de données qui ne seraient pas liées au même domaine conceptuel, car le visiteur se soucie principalement d’une seule direction ; pour pouvoir se familiariser, il faut que les données soient absorbées à un rythme confortable pour le chercheur ! Comme d’étudier les mathématiques à petites doses !

Q : (L) Ils nous disent de ne pas t’en dire trop d’un coup, car cela t’éloignerait de la question centrale sur laquelle tu travailles.

(RS) Par ailleurs, je pense qu’on devrait exposer ce travail au groupe du MUFON !

(T) Nous avons proposé de le faire à la réunion mais ils n’ont pas voulu. Cela ne cadre pas avec la politique du MUFON.

(L) Ce [notre travail] n'est pas tôle et boulons. (RS) Mais ils ont répondu à toutes les questions de l’article ! D’une manière incroyable ! Ils ont répondu à toutes les questions fondamentales.

(J) C’est la première fois que nous avons la présence de quelqu’un qui a le bagage technique pour comprendre ce qui se passe et le type de communication que nous recevons.

(RS) Oui, et je suis emballé !

R : Son énergie a un effet sur le groupe.

Q : (RS) Encore deux petites questions et puis j’arrêterai…

R : Poses-en autant que tu veux !

Q : (RS) À notre niveau trois, est-ce que l’utilisation d’antimatière change le signe de l’unité ? Est-ce que cela implique le renversement du signe de l’unité d’espace et de temps ?

R : Oui, mais pour les entités du niveau trois, le problème a toujours été que « l’autre » côté est un territoire inconnu ; donc l’expérimentation n’est pas recommandée, sauf avec l’assistance de SDA des niveaux 4 à 6.

Q : (RS) Voilà une réponse incroyable, parce que c’est ça, voyager dans le temps. D’abord, ils ont dit qu’en utilisant l’énergie, on peut modifier la valeur numérique des unités, et à partir de ce [inaudible], on peut réaliser une démonstration [inaudible]. Voici ma question : comment peut-on reculer dans le temps ? En changeant le signe de l’unité : + 1 seconde et l’on avance, et si cette unité est modifiée à — 1 seconde, alors on recule. Donc la question est de savoir si en utilisant de l’antimatière, on peut reculer dans le temps. Mais ils ont précisément répondu que nous passons du niveau trois au niveau quatre. Dernière question et j’en aurais terminé.

R : Inexact, Roger !

Q : (L) Ce ne sera pas ta dernière question ! [Rires] (J) Ils ont déjà dit que tu pouvais en poser autant que tu le désirais !

R : Cette séance a été faite pour toi ! C’est pour cela que nous avons organisé ta présence !! Tu es sur le point de te lancer dans une grande aventure qui te fera communiquer, travailler en réseau, et en fait étudier et chercher en compagnie d’autres se trouvant sur des voies similaires. L’apprentissage et le gain de connaissance qui résultera de ce séjour auront des implications extrêmement sérieuses ! Par conséquent, considère qu’il s’agit de ta « soirée » !

Q : (RS) Ils insistent là-dessus ! Alors, j’ai une autre question très importante ! En Grèce, au laboratoire de physique nucléaire de l’Université Démocrite de Thrace, à Xanthi, on procède actuellement à une expérience potentiellement fondamentale, qui est basée sur mon livre ici [il le montre] et mes études orientées vers la recherche d’une source d’énergie fondamentalement nouvelle en bombardant du zinc 70 ou du molybdène 100 avec des rayons gamma d’une énergie de 1,294 MeV. Cette expérience sera-t-elle concluante… (CS) Ah ah… ils ne répondront pas ! (J) Il se peut qu’ils n’abordent pas cette question… (RS) Le zinc 70 constituera-t-il une nouvelle source d’énergie ? Ces substances peuvent-elles être de nouvelles sources d’énergie ?

R : Toutes les expériences dont tu parles ont une chose en commun : elles ont toutes trait aux « limites » du point de vue de la troisième densité.

Q : (T) Quand tu as parlé d’utiliser de l’antimatière, ils ont dit que « oui » tu pouvais travailler avec cela mais que tu ne pouvais comprendre qu’un aspect et tu ne peux pas accéder à l’aspect de la 4e densité à moins que quelqu’un travaille avec toi depuis là-bas. Tu dois trouver un être de 4e densité pour t’aider… mais tu es proche, tu frôles la limite de ce que tu peux atteindre en 3e densité… (RS) Vont-ils nous aider ? (CS) Oui, soyons pragmatiques ! [Rires]

R : Terry n’a pas donné la réponse tout à fait juste. Il est possible de passer en quatrième densité à partir de la troisième, en ayant recours à des technologies de troisième densité. En fait, cela a déjà été accompli par divers individus ou groupes, plus ou moins accidentellement. Le problème est : « Que faire quand on arrive dans la réalité de la quatrième densité, alors qu’on ne dispose que de l’entraînement et de l’expérience de la troisième densité ? »

Q : (L) Pourriez-vous, si nous en avions le temps, nous aider en ce qui concerne cet entraînement et cette technologie ?

R : Oui, mais qu’avez-vous l’intention d’en faire ? Ça n’a rien à voir avec une excursion d’une journée à Disney World, vous savez !

Q : (SV) Ils te l’ont bien dit, Laura ! [Rires] (T) Alors je suppose que ce sur quoi Roger travaille frôle la limite de la 3e densité et peut transiter ! Ma question est : si une transition est accomplie, les expérimentateurs sauront-ils ce qui est arrivé ? Que feront-ils ? Auront-ils conscience d’être entrés dans la quatrième dimension, si l’on peut dire ? Ce décloisonnement est une porte, ou une fenêtre, et des trucs peuvent passer dans les deux sens ! (L) On nous a dit que les membres de la fameuse Escadrille 19 sont figés dans une boucle temporelle et qu’ils essaient toujours de trouver leur position ! Ils pensent qu’aucun temps ne s’est écoulé ! (RS) Dans ce type de théorie, c’est très plausible ! (L) Eh bien, personne ne veut se retrouver dans cette situation ! (T) Oui, Carla sera là à demander au téléphone : « Quand Roger va-t-il rentrer à la maison ? » Et toi, tu seras en 4e densité à te demander : « Comment faire pour rentrer à la maison depuis ici ! » [Rires] (J) J’ai une question : si ce n’est pas comme d’aller à Disney World, le tour de manège ne finit alors jamais ?

R : Trop complexe, ta question est trop vague.

Q : (J) Je ne faisais que plaisanter ! (T) Humour, humour ! (RS) Ont-ils répondu à la question de savoir s’ils nous aideront ? (L) Ils ont répondu oui.

R : Quel est votre quotient de connaissance concernant les sujets suivants : l’électromagnétisme, la « théorie du champ unifié » d’Einstein. Et n’a-t-il jamais terminé ladite théorie, ou a-t-elle été achevée sous la supervision du consortium, et étouffée. Et si c’est le cas, quelles sont les ramifications !!! De plus, Roger, es-tu capable de « remplir les blancs » ? Nous le pensons !

[Note de laura : Je ne pense pas qu’ils parlent des « blancs » de la théorie du champ unifié mais plutôt de lire entre les lignes de cette réponse ! Quelles sont exactement les ramifications des recherches dans cette direction ?]

Q : (RS) À partir du troisième niveau, il ne peut y avoir d’unification entre l’électromagnétisme et la gravitation, parce qu’ils sont identiques. Il y a identité entre électromagnétisme et gravitation. Il n’est donc pas nécessaire d’unifier, puisqu’il y a identité. Cette idée est-elle correcte ?

R : Oui. Qu’en est-il du quatrième niveau ?

Q : (T) Qu’est-ce que cela signifie pour le quatrième niveau ? (RS) Selon ma compréhension de troisième niveau, c’est là qu’intervient la possibilité de monter d’un niveau. Si gravitation et électromagnétisme sont identiques, alors l’antigravité existe. L’origine de l’antigravité n’est pas l’unification. Einstein avait tort, mais avoir découvert qu’ils sont identiques implique l’existence de l’antigravité.

R : Faux quand les recherches portent sur la densité de niveau trois exclusivement ; mais c’est là que le Consortium entre en jeu, d’où : « un sac de nœuds ».

Q : (T) On fait croire au grand public qu’Einstein n’a pas achevé sa théorie du champ unifié, mais c’est peut-être un mensonge. Cela fait peut-être partie de la campagne de désinformation.

(RS) D’après ce que nous savons, Einstein n’est pas parvenu à achever sa théorie du champ unifié parce que les hypothèses n’étaient pas réalisables.

(T) Peut-être que ses idées ont été reprises et menées à terme par quelqu’un d’autre et étouffées. [Roger s’assoit à la planchette.] (RS) Puis-je poser une question ? L’origine de la masse d’une particule élémentaire est principalement électromagnétique ; par conséquent, le champ gravitationnel d’une particule élémentaire doit être avant tout de nature électromagnétique. C’est pourquoi ce qui est perçu, au niveau trois, est qu’en dehors de la masse, la gravitation et l’électromagnétisme sont identiques. C’est ce que nous croyons actuellement, d’après les preuves obtenues par l’expérimentation. Pourquoi est-ce faux ? Je voudrais une explication.

R : Pas faux au niveau trois. Faux de limiter au 3e niveau.

Q : (RS) Est-il vrai que l’Univers possède une quantité égale de matière et d’antimatière comme on le perçoit au niveau trois ?

R : Oui. Tous les autres également.

Q : (RS) Alors il est exact que le temps total dans l’Univers est nul ?

R : Oui.

Q : (RS) C’est incroyable !

R : Mais Roger, moins de pression ! [Roger se détend] … Merci. Maintenant, souviens-toi : le concept le plus important est l’équilibre. Comment obtient-on l’équilibre ?

Q : (L) Je suppose que tout ce qui existe a son opposé.

(RS) Matière et antimatière. Donc, si la matière se meut dans cette direction temporelle, l’antimatière se meut dans l’autre direction. Elles s’équilibrent l’une l’autre.

(J) Le SDA et le SDS. Il faut les deux.

(RS) J’ai une question à propos du temps total de l’Univers qui est nul. Si nous allons dans cette direction, peut-être que d’autres, dans une autre galaxie, vont dans une autre direction. Le total fait zéro.

R : Pas une galaxie, une dimension.

Q : (RS) Oui. Un autre niveau. Je pense toujours en termes de niveau trois !

R : Plus maintenant ! [Rires]

Q : (RS) Comment peut-on représenter mathématiquement l’identité de la gravité et de l’électromagnétisme en incluant le quatrième niveau que vous suggérez ? Comment peut-on faire cela ? Comment peut-on inclure le quatrième niveau ?

R : Nous t’avons demandé de visualiser pour obtenir les réponses. La découverte t’est toujours accessible.

Q : (RS) Ça ne sera pas facile, mais je vais tenter le coup.

R : Qu’est-ce qui l’est [facile] ?

Q : (RS) La question est : comment représenter mathématiquement la transition vers le quatrième niveau ? Je pense qu’on peut le faire par l’isogéométrie — la géométrie dont nous avons discuté précédemment — qui est la généralisation de l’unité d’espace et de temps…

R : La géométrie est une clé, mais il y en a une autre.

Q : (L) Quelle est l’autre clé ? Peut-être est-ce une matrice tridimensionnelle. (RS) C’est ce qu’on utilise. On utilise aussi le cube. (L) Pourriez-vous nous donner un indice ? Juste un petit indice. (RS) Donnez-nous la formule !

R : Déjà fait… accède…

Q : (L) Ils disent qu’ils l’ont déjà donnée. Tu sais, à chaque fois que je retranscris ces communications, je découvre des choses qui ont été dites et dont je n’ai pas réalisé l’importance sur le coup. (RS) Nous devrions tenir une séance… parce que ceci est la confirmation du seul modèle mathématique que nous possédions pour les ovnis… le seul qui existe, pour autant que je sache. Nous avons un modèle informatique… Nous ne sommes pas capables de construire un ovni, nous n’avons pas la technologie nécessaire, mais nous pouvons entrer la formule dans l’ordinateur et obtenir un modèle.

R : Fusionne géométrie et optique.

Q : (RS) Quoi ?! C’est la science de la lumière. (L) De la lumière géométrique ?

R : Matrice.

Q : (RS) C’est précisément ce que j’ai fait. J’ai représenté la lumière par une unité, c’est une matrice. Je l’ai déjà fait ! Il y a des années !

R : Mais tu as omis un facteur important : l’hypothèse ne fait pas la théorie !

Q : (RS) J’ai formulé une hypothèse conceptuelle dans ma tête. Ce n’est pas une théorie. Je dois la formuler de manière quantitative, mathématique, sous forme de formule ; ensuite, il faut prouver par l’expérience qu’elle fonctionne. Hypothèse, formulation, et vérification par l’expérimentation : voilà le processus pour obtenir une théorie.

R : Mais quel facteur manquait, Roger ?

Q : (L) Qu’est-ce que c’est ? (RS) Je ne sais pas. (L) Peut-être que c’est parce que tu n’as pas pris la 4e densité en compte ? (RS) Oh oui ! C’est sûr ! (J) C’est peut-être ça le facteur manquant. (RS) Mais comment… Je ne sais pas comment l’exprimer mathématiquement…

R : Ondes lumineuses… gravité… électromagnétisme…

Q : (L) Ils jouent avec toi. [Rires] (J) Qu’est-ce que c’est ? Un questionnaire à choix multiples ? (RS) Je dois y réfléchir. En isogéométrie…

R : Quel rôle jouent les ondes, selon la compréhension de la physique au 3e niveau ?

Q : (RS) Oscillation transversale de l’éther… l’élément qui emplit l’Univers entier. Aucune onde ne peut exister sans support qui puisse la propager. Des oscillations transversales remplissent l’Univers tout entier.

R : Lumière, gravité, optique, particules atomiques, matière, antimatière… Unifie, s’il te plaît.

Q : (RS) Ça liste tout…

(J) Qu’est-ce que toutes ces choses ont en commun ?

(RS) Oh ! Tous ces éléments sont des vibrations du support qui emplit tout l’Univers ! Nous percevons des choses – tout, même les espaces entre les choses. La réalité est à l’opposé de ça. Parce que la lumière est une onde, comme le son. Si l’on enlève l’air, le son ne peut se propager. Il en va de même pour la lumière. La lumière est une onde, elle ne peut se propager sans support qui remplisse tout l’Univers. Ainsi, ce que nous percevons comme solide et vide n’est pas une perception authentique. L’Univers tout entier est empli des vibrations de ce support. Donc, sans ce support, il n’y aurait que ténèbres. Ainsi, la lumière est-elle une oscillation de ce support. Une particule est également une oscillation ; seule l’onde se propage ; l’oscillation reste là. Donc, lorsque je bouge ma main de là à là, je n’ai fait que déplacer l’oscillation. L’espace oscille. Nous sommes complètement vides, mais l’espace est plein. Donc la réponse est : ce que ces éléments ont en commun, c’est qu’ils sont tous des oscillations de ce support qui emplit l’Univers entier, tel que nous le percevons au troisième niveau et, je pense, au quatrième. (L) Peut-être qu’ils en parlent au sens d’un spectre ? (RS) Ils pourraient être…

R : Quelle relation y a-t-il entre gravité et lumière ?

Q : (RS) Je ne sais pas. À ce stade de mes recherches, je ne sais pas. (L) C’est peut-être la clé ? (RS) La lumière peut être convertie en matière ; c’est pourquoi il y a gravitation. (L) Mais quelle pourrait être la relation entre gravité et lumière ?

[Note de Laura : Qu’en est-il du temps ? Puisqu’à la vitesse de la lumière il n’y a ni matière, ni gravité, ni temps, ces trois éléments pourraient-ils être des manières différentes de décrire la même chose ? Peut-être que le temps est un phénomène électromagnétique qui produit de la gravité, ou vice-versa, et dont la matière est un sous-produit ?]

R : Accédez à la base de connaissances et travaillez en réseau.

Q : (L) Ils ont dit d’en discuter.(RS) Le seul lien entre lumière et gravitation… le photon, et le photon produit une paire d’électrons et de positrons, de particules et d’antiparticules, et ces particules ont de la gravité. Donc, de la même manière, les ondes électromagnétiques… un photon peut créer de la matière…

(L) Et la matière possède de la gravité…

(RS) Et la matière possède de la gravité, de sorte qu’elle peut être convertie…

(L) Mais d’où provient-elle ?

(RS) C’est une bonne question, parce que nous l’ignorons. Elle pourrait provenir d’un vide…

(L) Mais quel est le mécanisme ?

(RS) Lors des expériences en laboratoire, on projette un photon sur un noyau, et le noyau « crache » un électron et un positron, et voilà le photon converti en particules. Ces particules ont de la gravité. Je ne sais pas si un photon a de la gravité. Je ne le pense pas ; il voyage à la vitesse de la lumière. Il n’y a pas de temps. Le temps est suspendu.

(L) Bon. Est-il vrai qu’à la vitesse de la lumière, il n’y a pas de gravité ?

(RS) Il n’y a pas de gravité.

(L) Bon. Alors, peut-être que la vitesse de la lumière est l’antithèse de la gravité, tout comme l’antimatière est l’opposé de la matière ?

(RS) Bonne remarque. Très bonne remarque !

R : Pas loin.

Q : (J) C’est une question d’équilibre ?

R : Tout l’est.

Q : (L) S’il n’y a pas de gravité à la vitesse de la lumière… (RS) Il n’y a pas de temps… (L) Alors la gravité doit être… (J) Ce qui nous maintient en 3e densité… (RS) L’indice… Mais est-ce que l’indice manquant… est-ce que nous sommes en train de discuter de ce qui manque pour passer de troisième en quatrième densité ?

R : Oui.

Q : (RS) Alors ce point est valable. (J) Est-ce la gravité qui nous maintient en 3e densité ? (RS) Donc, si l’on voyage à la vitesse de la lumière, on se trouve en 4e densité.

R : À présent, quel est le facteur qui manque pour permettre à la matière, en 3e et 4e densités, d’atteindre la vitesse de la lumière sans se désintégrer ? Réfléchissez…

Q : (RS) C’est la question fondamentale de la physique nucléaire… la matière ne peut atteindre la vitesse de la lumière en restant intacte… (J) Antigravité ? (RS) Même en ayant recours à l’antigravité. Actuellement, la matière ne peut pas le faire…

(L) S’il y a de la matière et que cette matière prend de la vitesse, approche la vitesse de la lumière, et se désintègre à mesure qu’elle accélère, qu’advient-il si à un moment donné on commence à ajouter, à proportion, de l’antimatière qui…

(RS) Utilisons le processus inverse… prenons un électron et un positron, et plaçons-en un à l’intérieur de l’autre pour recréer le photon. Mais la matière ne peut atteindre la vitesse de la lumière… si elle le fait, le temps s’arrête… il n’y a pas de dimension…

(L) Peut-être est-ce la conscience ?

(J) La conscience ?

(RS) Si c’est la conscience, oui…

(L) Peut-on intégrer la conscience mathématiquement ?

(RS) Oui, bien sûr !

R : Quel est le chaînon manquant entre matière et conscience ?

Q : (RS) Ah ! (L) Si nous savions ce genre de choses, nous ne serions pas ici ! [Rires] (RS) C’est censé être un champ. (J) Est-ce l’électromagnétique ? (RS) Non, un champ bioénergétique. (L) Qu’advient-il si la conscience crée la gravité ? (RS) La gravité est créée par la matière. (L) Mais la matière n’est-elle pas créée par la conscience ? Le paquet d’ondes ne se réduit-il pas quand on l’observe ? (RS) Oui, l’esprit peut créer de la matière…

R : Il n’existe pas de « gravitons ».

Q : (RS) Pas à ma connaissance. Ils n’existent pas. Ils apparaissent dans la théorie d’Einstein, mais je n’y croirai jamais… Est-ce que notre conscience crée de la gravité ?

R : Vous commencez à « chauffer ». Pas « notre » [conscience].

Q : (L) La conscience de quelqu’un d’autre crée de la gravité ? (RS) Quatrième niveau.

R : Niveau Sept.

Q : (RS) Oh oui ! Ça, je peux le comprendre ! Le niveau ultime. Est-il vrai que l’Univers, tel qu’il est perçu au niveau trois, qui est censé être composé de matière et d’antimatière en quantités égales, est, en fait, ouvert ? C’est-à-dire, de la matière est-elle créée en permanence quelque part dans l’Univers ? Matière et antimatière ?

R : Il vaudrait mieux dire : recyclée.

Q : (RS) Est-il vrai que ce même recyclage se produit au centre de la Terre ? Il existe une théorie selon laquelle la Terre serait en expansion. J’ai entendu ça lors d’une convention : le diamètre de la Terre serait en expansion, précisément parce que le centre de la Terre serait en train de créer de la matière. Est-ce exact ?

R : À côté de la plaque, mais tous les concepts sont valables au sein de la dimensionnalité unifiée.

Q : (L) Je suppose que tel pourrait être le cas dans un certain univers alternatif, mais pas ici. (RS) Mon plus grand problème n’a jamais été les connaissances nouvelles, mais la politique, et en particulier la politique à propos d’Einstein. Est-ce le « sac de nœuds » mentionné précédemment ? Pouvez-vous me donner des infos à ce sujet ? Dès que vous allez au-delà d’Einstein, vous rencontrez toutes sortes de problèmes, des problèmes politiques au sein de notre société contemporaine. Des suggestions ?

R : Les problèmes politiques ont leurs racines dans les efforts visant à supprimer les connaissances déjà acquises dans des zones délimitées, pour établir un contrôle sur la civilisation.

Q : (RS) Voilà la meilleure réponse que j’ai jamais entendue. Très, très bon.

(T) J’ai deux questions à poser. À propos des expériences qui repoussent la frontière entre la 3e et la 4e densité… que se passe-t-il lorsque l’expérience atteint la limite ? À quoi peut-on s’attendre ?

R : Dépend de circonstances individuelles, comme nous vous l’avons déjà dit, c’est déjà arrivé de nombreuses fois.

Q : (L) L’Expérience de Philadelphie, je suppose… (J) L’Escadrille 19… (T) OK, celles-ci ont eu des conséquences négatives. Qu’implique le fait d’atteindre les densités sans comprendre ce qu’on a fait ?

R : Déjà répondu.

Q : (L) Oui, ils en ont parlé. La folie. (J) Oui, et les gens qui croyaient avoir trouvé l’Escadrille 19 sont devenus tarés. Si les chercheurs atteignent la limite, se rendront-ils compte qu’il s’est passé quelque chose ?

R : Partiellement.

Q : (T) Si les frontières ont été rompues de nombreuses fois, peut-on arrêter ça ? Autrement dit, peut-on réparer les brèches ?

R : Vague.

Q : (L) Cela suppose qu’elles ne se referment pas automatiquement. (T) Se referment-elles automatiquement après l’incident ? Non, c’est trop vague. (T) Pendant que j’étais sorti fumer mon cigare, il m’est venu à l’idée que si Roger est ici ce soir, c’est non seulement pour vivre cette expérience, mais aussi pour voir, pour lire ce que nous vous donnons. Nous n’inventons rien. Tout ça, ça vient de quelque part. Ces informations tiennent la route. Roger se rendra bientôt en Europe. Tu as des collègues en Europe qui travaillent sur ces mêmes sujets. Les Cassiopéens ont indiqué que vous êtes sur le point d’ouvrir cette barrière. Que c’était possible, et que cela a déjà été fait, avec des conséquences désastreuses, pour ce que nous en savons — et nous ne savons peut-être pas tout à ce sujet. Ce que je veux dire, c’est que la raison de ta présence ici, du moins en partie, est que tu dois emporter avec toi ces informations, parce qu’elles permettront [aux chercheurs], une fois les barrières ouvertes, de comprendre ce qu’ils ont fait. Parce que, s’ils ne le comprennent pas, il est possible que ce processus naturel soit accéléré. Est-ce que l’ouverture artificielle des barrières entre les densités s’accélère…

R : Oui.

Q : (T) C’est peut-être pour ça que, lorsque nous demandons combien de temps prendra ce processus, ce changement de densité, ils répondent « entre un mois et 18 ans ». Et nous pensions qu’ils n’étaient sans doute pas capables de dire dans combien de temps aura lieu cette transition, dans combien de temps cette frontière entre mondes arrivera des confins de l’Univers pour traverser notre section d’espace-temps et faire ce qu’elle est censée faire. Peut-être que ce n’est pas à cela qu’ils font allusion, mais à ce que les gens pourraient faire pour ouvrir les barrières sans le savoir. Ils étendent leurs connaissances, ils vont toujours plus loin, mais ils ne comprennent pas vraiment le processus.

R : Oui.

Q : (T) La survie de toute la civilisation repose sur tes épaules, Roger ! [Rires] Ça fait des semaines et des semaines que Laura s’assoit là et répète « je ne veux pas porter tout le fardeau du monde sur mes épaules ! » Roger, tu viens d’en recevoir une partie ! (RS) Une partie, oui. J’ai été conseiller technique pour le livre The Andreasson Affair parce qu’elle a dessiné toutes sortes de croquis de ce qu’elle a vu sur le vaisseau spatial. Des commentaires sur l’institut de recherche [inaudible] en Italie ?

R : L’institut est contrôlé par la « Fondation » Carboni qui est liée à des sources de financement douteuses ; inutile d’être déçu, cependant, puisque la connaissance protège. Par conséquent, on peut travailler sans corruption dans n’importe quel environnement lorsqu’on est armé de connaissance.

Q : (RS) Je ne comprends pas. (J) Tu dois peut-être découvrir quelque chose à ce sujet… (L) Je ne pense pas que tu doives t’en inquiéter. (RS) Et au sujet de Cardone ? (CS) Ils ont dit Carboni… (RS) Qui est ce type dont ils parlent ?

R : Type ?

Q : [Rires] (RS) Ont-ils dit Cardone ou Carboni ?

R : Fondation Carboni.

Q : (RS) Aucune fondation ne porte ce nom ! (L) Eh bien, des financements pourraient provenir de là. (RS) Pas de Carboni… (CS) Faut voir…

[Nous prenons congés de Carla et Roger qui devaient partir. Une discussion s’ensuit.]

(L) La démolécularisation à l’approche de la vitesse de la lumière peut être représentée sous la forme d’un cône. La pointe du cône est la vitesse de la lumière — une sorte de singularité — et lorsqu’on atteint ce seuil, c’est là qu’on applique le remolécularisateur peut-être parce qu’on se remolécularise quand on émerge dans un entonnoir opposé, de l’autre côté. Je me demande si le Remolécularisateur Atomique Transdimensionnel est un dispositif qui applique de l’antimatière à des doses graduelles, incrémentées, faute d’un meilleur terme, à mesure qu’on accélère ? D’un côté il y a la lumière, qui n’a ni gravité, ni temps, ni masse. De l’autre, il y a la gravité, le temps et la masse. Quelle est la transition ? Dans les trois paires qu’on nous a données, chacune semble être le contraire de l’autre : Lumière et gravité, optique et particules atomiques, matière et antimatière…

(J) Tout est une question d’équilibre. Quelle est la relation entre gravité et lumière ? Quel est le facteur qui manque pour permettre à la matière, en 3e et 4e densités, d’atteindre la vitesse de la lumière sans se désintégrer ? Quel est le chaînon manquant entre matière et conscience ?

(L) Quel est le chaînon manquant ? Eh bien, je pense que la relation est là. Qu’est-ce qui ralentit la lumière et entraîne la manifestation de photons, en réduisant le paquet d’ondes, si j’ose dire, et crée de la matière ?

(J) Peut-être que ce même facteur permet à la 3e densité d’atteindre la vitesse de la lumière sans se désintégrer. Quel est le chaînon manquant entre matière et conscience ?

(L) Eh bien, la relation est là. Ils nous ont dit que nous chauffions lorsque nous avons parlé de « conscience », mais qu’il ne s’agissait pas de notre conscience, mais de celle du niveau sept.

[Note de Laura : L’électromagnétisme pourrait-il être le « champ » de la conscience de « Dieu », ou le septième niveau qui traverse toutes les densités ? Cayce a autrefois fait la remarque que « Dieu est électricité ». Existe-t-il dans la conscience humaine un certain spectre électromagnétique qui puisse être détecté, amplifié, augmenté par des ondes électromagnétiques contrôlées ?]

(J) Ils ont dit que « création » équivaut à recyclage.

Q : (L) Êtes-vous toujours là ?

R : Comme toujours, Laura. Tu pensais que nous étions sortis déjeuner ? [Rires] Tu n’arrêtes pas de demander si nous sommes là ?!?

Q : (J) Ils sont toujours là, en nous. Nous sommes tous interconnectés. (T) Nous sommes eux, ils sont nous, ici même ! (L) Bien, les gars, nous sommes tellement contents que vous vous y connaissiez autant en physique. Et puisque vous vous y connaissez, ou puisque « nous » nous y connaissons autant en physique… (T) Ça vous a plu de discuter avec Roger ? Ça vous plairait de lui reparler ?

R : Oui. Le ferons.

Q : (L) Est-ce que je « chauffe » quand je dis… qu’il y a lumière et gravité, optique et particules atomiques, matière et antimatière — autant de façons de parler d’une transition… s’agit-il de trois paires de relations ?

R : Pas loin.

Q : (L) Qu’est-ce qui provoque la réduction du paquet d’ondes ?

R : ?

Q : (L) Est-ce la conscience ?

R : Oui…

Q : (L) Il y a plus que cela. Cette conscience peut-elle être exprimée… (T) Nous tentons de passer d’un concept de 3e densité à un concept de 4e densité où il n’y a pas de physicalité en soi. En 4e densité, il n’y a pas de problème pour se mouvoir à la vitesse de la lumière, il n’y a pas de désintégration, parce que ça n’existe pas là-bas…

R : Pas loin.

Q : (T) Donc, pour nous, réfléchir à ça en 3e densité…

R : La clé, c’est la physicalité variable.

Q : (L) Qu’est-ce qui rend la physicalité variable ?

R : La conscience du lien entre conscience et matière.

Q : (L) Quel est le lien qui unit conscience et matière ?

R : Illusion.

Q : (L) Quelle est la nature de l’illusion ? (T) L’absence de lien entre conscience et matière. Ce lien n’est qu’une illusion. C’est constitutif de la 3e densité…

R : Non. L’illusion, c’est qu’il n’y a pas de lien.

Q : (L) L’illusion est qu’il n’y a aucun lien unissant conscience et matière.

R : Oui.

Q : (T) L’illusion est qu’il n’y a pas de lien. En 3e densité… (L) J’ai compris ! (T) Ne disparais pas sous nos yeux ! [Rires] Le lien est que la conscience est matière.

R : Pas loin. Et réciproquement ?

Q : (L) Il faut tout inverser. La lumière est gravité. L’optique est particules atomiques, la matière est antimatière… il faut tout inverser pour comprendre le niveau suivant… ça ne peut pas être aussi simple. (J) Attendez une minute : gravité égale lumière, particules atomiques égale optique, antimatière égale matière ? Tout est une question d’équilibre. (L) Et la réponse doit toujours être zéro.

R : Et zéro est l’infini.

Q : (L) Donc, vous voulez dire que ce n’est pas qu’il y a un lien : l’illusion, c’est de croire qu’il y a séparation. Il n’y a pas de différence, c’est la même chose ?

R : Oui.

Q : (T) Quand on courbe l’espace-temps, le voyage se fait en amenant sa destination à soi. (L) Ou on peut faire l’inverse, et comprendre qu’il n’y a pas de distance entre nous et, par exemple, Alpha du Centaure ; c’est la modification de la perception qui fait tourner l’axe et crée l’illusion de la distance.

R : Maintenant, tout ce qu’il vous faut, c’est la « technologie ».

Q : (T) Cette technologie est actuellement en cours de développement. (J) Elle a déjà probablement été mise au point ; elle est simplement occultée.

R : Oui.

Q : (L) J’ai l’étrange sentiment que cet échange comporte des ramifications.

R : Oui.

Q : (L) Un indice ?

R : Nous pourrions le donner, mais ne le ferons pas pour le « moment ».

Q : (T) S’agit-il de ramifications majeures ?

R : Oui.

Q : (L) Autre chose pour ce soir ? (T) Devons-nous nous communiquer autre chose ?

R : Non.

Q : (L) Alors, nous vous disons merci et bonne nuit.

R : Bonne nuit.

Fin de la séance
 
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Merci à l'équipe Française pour cette traduction un peu difficile à suivre et à comprendre mais c'est passionnant...

Thanks to the French team for this translation, which is a little difficult to follow and understand, but it's exciting...
 
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