Séance du 29 avril 1995

Jacques

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Merci aux membres de l'équipe française pour cette traduction.
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Séance du 29 avril 1995 :

Participants : « Frank », Laura, Terry et Jan, Susan

Q : (L) Salut. Bonsoir.

R : Salut, bonsoir !

Q : (L) Qui est avec nous ce soir ?

R : Toria.

Q : (L) Et d’où êtes-vous, Toria ?

R : Cassiopée.

Q : (L) Bon, nous sommes un peu en retard, ce soir et je suppose que vous attendiez. L’énergie s’est multipliée dans la pièce.

R : Terry, c’était bien en octobre 1964 ?

Q : (L) À quoi renvoie cette question ?

R : Demande à Terry ! Lac, immeubles en briques jaunes et en briques brunes, journée fraîche, clôtures, grand cylindre bleu cobalt en train d’osciller…

Q : (T) Je devais avoir 14 ans. (L) Je parie qu’ils parlent d’une abduction… (T) J’étais en troisième… le cousin de mon père avait une résidence près du lac Keuka, et nous leur rendions souvent visite… des clôtures ? Je ne me souviens de rien. Désolé. J’ai un blanc.

R : Nous voyons des images…

Q : (L) Ces images ont-elles un rapport avec un épisode que Terry a vécu ?

R : Demande… À présent, nous voyons des maisons de style victorien, un toit vert à pignons… un champ… des immeubles de briques brunes…

Q : (L) Est-ce important ? Nous avons de nombreuses questions à aborder…

R : « Suivez le mouvement ». Diriger le « trafic » peut restreindre…

Q : (T) Octobre ?

R : Nous te le demandons.

Q : (T) D’autres personnes ont-elles également vu cela ?

R : Oui.

Q : (T) Ma mère ?

R : Mère, frère.

Q : (T) Des voisins l’ont-ils vu ?

R : Oui.

Q : (T) Mon père l’a-t-il vu ?

R : ?

Q : (T) Bleu foncé ? (J) Bleu cobalt. (T) Bleu foncé, presque noir ? (J) Le cobalt est bleu vif.

R : Le cobalt est bleu marine, métallique.

Q : (T) Bon, Glenn n’était pas à la maison…

R : Un autre lieu.

Q : (T) Je sais de quoi vous parlez ! Oui, j’ai effectivement vu quelque chose. Je ne sais pas si c’était en octobre 1964, mais je me souviens l’avoir vu !

R : OK, maintenant nous avançons… Que t’est-il arrivé ce jour-là, d’après toi ?

Q : (T) Je ne me souviens de rien, si ce n’est d’avoir aperçu cet objet ; il est venu flotter au-dessus de la maison puis s’est éloigné dans une autre direction. Je ne me souviens de rien d’autre. J’étais dehors, je l’ai regardé arriver puis s’en aller ; je suis resté dehors à l’observer pendant un petit bout de temps.

R : Le voisinage, quel aspect ?

Q : (T) L’aspect habituel. Je n’ai rien vu de différent. Je ne me souviens pas…

R : Décris…

Q : (T) Il y avait un lotissement construit dans les années 50, à la limite de la ville de Rochester. Autour de lui se trouvaient la plupart des usines Kodak — dans cette zone — la plus grande partie de Rochester ; de l’autre côté de la rue, il y avait un champ, avec une cour d’école clôturée. Un grand bâtiment scolaire à deux étages en briques brunes ou rouges… C’est là que j’ai fait ma primaire. Je ne me souviens pas d’immeubles en briques jaunes, mais notre maison était de couleur verte à l’époque, et la maison voisine était jaune, avec de petits ornements blancs sur le toit. (L) Style victorien. (T) Elle n’avait pas de pignon, même si on en avait l’impression. Il y avait de petits pignons au-dessus des portes d’entrée de la plupart des maisons. Les portes se trouvaient à l’avant, et il y avait une sorte de petit toit triangulaire. (J) Presque comme un porche… (Terry à Jan) Tu as été dans la maison, tu as vu à quoi elle ressemblait ? (J) Oui. (T) Il y avait un stade de l’autre côté de la cour de l’école, le lycée Aquinas y jouait ses matches de foot. Il y avait quelques champs et en bas de la rue, l’un des derniers espaces boisés (mais pas un parc), à l’intérieur des limites de la ville… des rails de chemin de fer à environ cinq pâtés de maisons à l’Est. Le lac, le lac Ontario. Rochester jouxte le lac, nous étions à dix–quinze kilomètres de là. Je m’y rendais souvent à vélo… le voisinage en tant que tel ne semblait pas différent parce que j’avais observé l’objet alors qu’il survolait le champ dans notre direction. Je me souviens de ma mère. Je ne sais pas si mon frère était là, mais je me souviens de ma mère et de la voisine. La voisine discutait dans l’allée. Elles m’ont appelé parce que j’étais dans la maison, en train de regarder la télé. Par contre, je ne sais pas si c’était au mois d’octobre, parce qu’il faisait encore chaud, et il y avait du soleil. L’objet est arrivé à haute altitude, de l’Ouest, au-dessus d’un champ, près du stade ; il est descendu vers nous et s’est dirigé droit vers nous. J’ai eu l’impression qu’il venait droit sur nous. Il s’est dirigé vers nous seulement lorsque nous l’avons observé…

R : C’était le cas.

Q : (T) Oui. Il se dirigeait vers nous. Il a semblé changer de direction quand je suis sorti et que j’ai commencé à l’observer. Il s’est dirigé tout droit et…

R : L’objectif, c’était toi.

Q : (T) C’était moi l’objectif ? Je ne crois pas avoir été embarqué cette fois-là.

R : Oh, vraiment ?

Q : (T) Eh bien, il y avait des gens dehors… (L) Peu importe.

R : Le temps se « fige » pendant les enlèvements.

Q : (T) L’objet se déplaçait avec un mouvement en feuille morte caractéristique, ce que j’ai trouvé très étrange. Il est venu tout près de la maison, sur le côté de la maison où, quelques années plus tard, quelque chose m’arriva tandis que je me trouvais à la cave. Il se trouvait exactement au-dessus de l’endroit où j’aurais dû dormir…

R : Oscillait.

Q : (T) L’aspect m’a clairement paru métallique, et j’aurais bien aimé avoir un petit pistolet à grenaille pour lui tirer dessus ; il se trouvait à 15 mètres de haut maximum. Il mesurait entre 3 et 5 mètres de long, et son diamètre était de 1 m–1,20 m. Il ressemblait à une saucisse arrondie aux deux extrémités, en moins dodu ; il était plus long, plus fin. (F) Il ressemblait à un hot dog ? (T) Il me semblait métallique. Il était lisse, parfaitement lisse. (L) On va où, là ? De toute évidence, vous avez mis ça sur le tapis pour une raison. Si Terry a été enlevé…

R : Carrefour.

Q : (L) Ça représente un carrefour dans la vie de Terry ?

R : Et maintenant… la connexion est accomplie.

Q : (T) Je ne suis pas…

R : Remémore-toi tes rêves récents.

Q : (L) C’était un carrefour à l’époque, et cette connexion est maintenant accomplie… (T) Des rêves récents… J’ai rêvé que j’emménageais dans un immeuble, et j’avais une sorte de câble électrique qui se prolongeait à l’extérieur… une sorte de connexion… (L) Est-ce de ce rêve qu’il s’agit ?

R : Demande à Terry.

Q : (T) Je ne me souviens pas de mes rêves… ils sont juste très frappants. Est-ce que quelque chose a pu m’arriver récemment, quelque chose qui a été déclenché par cette expérience ?

R : Oui.

Q : (T) C’est en lien avec ce que nous faisons ici, mais ce n’est pas la connexion accomplie dont nous parlons en ce moment ?

R : Pas exactement.

Q : (T) La connexion qui a été accomplie renvoyait à toute autre chose ?

R : Lié.

Q : (T) Il m’est arrivé quelque chose tout récemment ?

R : Oui.

Q : (T) Quelque chose dont je ne suis pas conscient ?

R : Non.

Q : (T) Cela a-t-il un rapport avec mon travail ?

R : En partie.

Q : (T) Est-ce que c’est lié au fait que je parle de certaines choses sur mon lieu de travail, ou tout autre endroit opportun ? Que je parle des événements qui ont lieu en ce moment, et que j’essaie d’élever le niveau de réflexion des gens concernant ces sujets ?

R : Oui, maintenant, explorons tes amitiés, relations et expériences au cours des années qui ont immédiatement suivi l’événement, pour voir si nous pouvons « déterrer » quelque chose d’étonnamment significatif !!!

Q : (T) Sommes-nous certains qu’il s’agit de l’année 1964, et pas de l’année 1974 ?

R : Terry, tu devrais le savoir !

Q : (T) Si je demande, c’est parce que cet événement et l’épisode qui s’est produit en hiver — avec les voix à la fenêtre et toutes les choses étranges qui se sont produites cette nuit-là — semblaient beaucoup plus rapprochés, et cet événement-là s’est produit au cours des années 70. C’était à l’époque de mon voyage en Arizona, de tous les incidents étranges avec la voiture et tout ça. (L) Est-ce de cela que vous parlez les gars, le voyage en Arizona, les voix, et tout ça ?

R : Oh, il y a teeeeeeellement de choses, n’est-ce pas Terry ! Il est temps de les dévoiler.

Q : (L) OK, Terry, on attend. Que s’est-il passé en 1964 et l’année suivante ? (T) L’année suivante, j’avais 15 ans. (L) Qui étaient tes amis et quelles sortes de relations entreteniez-vous ? Que faisais-tu ? (S) Quels étaient tes sentiments envers les gens après cet événement ? (T) En un sens, ça n’a pas été immédiat. Après le lycée. Mais à cette époque, je fréquentais surtout des gens que j’avais rencontrés à Edison. Tom ___, un tas de gens prénommés Tom. La nuit, je me rendais souvent au lac en voiture, j’en faisais le tour. Nous consommions juste beaucoup d’essence, c’est tout. J’étais à l’aise, parce que je faisais un tas de choses, mais la plupart de mes connaissances ne s’entendaient pas bien entre elles. Je fonctionne toujours comme ça aujourd’hui ; j’ai appris à mes dépens que je ne pouvais pas mélanger mes amis. J’ai appris à cette époque que chaque personne au sein d’un groupe a sa contrepartie dans n’importe quel autre groupe. Les groupes peuvent être différents, mais ils sont tous structurés de la même façon, et j’étais toujours « ma propre » personne dans n’importe quel groupe. Dans aucun des groupes que je fréquentais à l’époque, il n’y avait quelqu’un comme moi ; pour plusieurs groupes, j’étais cet individu-là. (L) Est-ce là le problème ?

R : Non.

Q : (T) Est-ce lié à la période où j’ai obtenu mon permis de conduire, lorsque nous parcourions la région en voiture ? Nous parcourions la région des lacs…

R : Dans une certaine mesure.

Q : (T) Nous parcourions souvent les collines la nuit… de longues virées en voiture. (L) Est-ce que quelque chose de particulier s’est produit au cours d’une de ces virées ?

R : Peut-être…

Q : (T) Peut-être pas. (L) Quel est l’objectif de cette réponse en particulier ? (T) Cela a-t-il un rapport avec cette ville bizarre que j’ai traversée une nuit et que j’ai toujours été incapable de retrouver par la suite ? Y a-t-il un lien quelconque ?

R : Oui.

Q : (T) C’est la ville la plus étrange que j’aie jamais vue. Un côté très David Lynch ! (J) Crache le morceau. (T) Une nuit, je traversais le Sud-Ouest de l’État de New York. J’avais terminé le lycée. Je me défonçais pas mal à l’époque, donc la plupart de mes expériences ne sont pas fiables, parce que j’étais défoncé. Une nuit, j’ai traversé une ville, là-bas dans la partie Sud de New York, dans la zone des Finger Lakes, et c’était trop bizarre. J’avais déjà traversé toutes ces petites villes, et d’habitude, c’est animé, il y a des gens, etc. Pas des masses, mais il y a au moins quelques personnes dehors. Il était environ 21 ou 22 heures quand j’ai traversé cette ville. Il y avait des immeubles à deux étages bordant la rue principale à deux voies ; le trottoir était étroit ; c’était comme si je traversais un canyon, et les immeubles s’élevaient tout droit vers le ciel. Il y avait des réverbères placés à intervalles réguliers, mais c’était le genre de petites lampes jaunâtres qui n’éclairent pas bien la rue. Il n’y avait pas âme qui vive. Absolument personne dans la rue ni dans les immeubles, dont toutes les entrées étaient condamnées. Ça ressemblait à une ville, et en même temps, non. Elle faisait environ quatre pâtés de maisons de long. J’en suis sorti, puis j’ai fait demi-tour et j’ai retraversé la ville parce que je n’arrivais pas à en croire mes yeux. Après, je n’ai jamais pu la retrouver, et je n’en connais pas le nom.

R : Découvre.

Q : (S) C’était la Quatrième Dimension… (T) Est-ce que cette ville…

R : Oui.

Q : (L) Tu t’es retrouvé dans une autre réalité. (T) Ce n’était pas vraiment une ville, n’est-ce pas ?

R : Nan.

Q : (T) Ça m’a donné la chair de poule. Et j’ai fait demi-tour et j’ai retraversé la ville, parce que je ne parvenais pas à me convaincre de sa réalité. (S) Tu étais seul ? (T) Oui, j’étais tout seul. Il n’y avait personne avec moi. Un feu de signalisation qui semblait tout droit sorti des années 20, de vieux lampadaires… littéralement comme une ville fantôme. (L) Les gars, qu’essayez-vous de nous dire à propos de Terry ou par son intermédiaire ? Nous sommes grands maintenant, nous pouvons encaisser.

R : Pas la question.

Q : (L) C’est quoi la question ?

R : Apprendre augmente le pouvoir.

Q : (L) Bien, qu’essayons-nous d’apprendre là, en plongeant dans ces souvenirs ?

R : Combien de fois as-tu appris en étant menée par la main, travaillez en réseau !

[Pause pour discuter des expériences de Terry.]

Q : (L) Est-ce qu’on progresse ?

R : Tout est lié.

Q : (L) Lié à quoi ? Quel est l’événement qui vient d’arriver… est-ce notre période d’attaque ?

R : Non.

Q : (L) L’événement récent que vous avez mentionné n’est-il arrivé qu’à Terry ?

R : Oui.

Q : (T) Toutes les relations que j’avais à cette époque étaient avec des personnes qui pensaient par elles-mêmes, qui comprenaient des choses ; elles vivaient des expériences personnelles différentes de celles de la plupart des gens — elles savaient que la plupart des gens étaient incapables de comprendre ou d’y trouver un écho. Ce n’étaient pas nécessairement des expériences d’enlèvements aliens, mais ces personnes avaient des expériences dans leur vie…

R : Oui, mais c’est le signe de quelque chose de plus significatif.

Q : (L) Donc, autrement dit, le fait que Terry… (T) Est-ce le fait que ces relations ont façonné la personne que je suis aujourd’hui parce que ces gens et moi avons partagé ces différentes expériences ?

R : Non.

Q : (L) Non, je pense que ce qui est important, c’est le fait que tu as été capable de former des relations avec toutes sortes de gens différents. Je viens d’avoir une idée : es-tu un messager, es-tu un catalyseur ?

R : Non.

Q : (L) Y avait-il quelque chose dans sa façon d’interagir avec ces gens, ou a-t-il fait quelque chose qui a entraîné…

R : Non.

Q : (L) L’un d’eux a-t-il fait quelque chose le concernant ?

R : Non.

Q : (T) Est-ce que c’est lié au fait que je suis capable de former des relations avec des individus extrêmement différents ?

R : Tous viennent du même « plan ».

Q : (L) Autrement dit, il a noué des relations avec des personnes qui lui ressemblent ? Est-ce que toutes provenaient du même « plan », c’est-à-dire d’ailleurs ?

R : Pas loin.

Q : (L) Bon, on progresse. Et ce vaisseau qu’il a vu, venait-il de ce plan ou de ce lieu d’origine ?

R : Non.

Q : (L) Est-ce que ce vaisseau est lié aux interactions avec toutes ces personnes avec lesquelles Terry a noué des amitiés ou des liens après cette expérience ?

R : Oui, mais pas le problème central.

Q : (L) Le problème central est-il que Terry et toutes ces autres personnes avec lesquelles il a noué des relations… (T) Partageons-nous tous une expérience commune ?

R : Pas loin.

Q : (L) Est-ce qu’ils partagent tous une origine commune ?

R : Oui.

Q : (L) Et quelle est cette origine ?

R : Neormm.

Q : (L) Neormm ?

R : Équivalent anglais le plus proche.

Q : (L) S’agit-il d’un lieu ?

R : Oui.

Q : Où se trouve-t-il ?

R : Consultez des manuels d’astronomie.

Q : (T) Est-ce une étoile ? Tous ceux avec qui j’ai formé ce genre de relations viennent d’une autre étoile ; des relations spéciales que je considère comme durables ?

R : Dans une réalité perpendiculaire.

Q : (T) Suis-je l’Orion que nous recherchons ?

R : Non.

Q : (L) Jan est-elle aussi l’une d’eux ?

R : Non.

Q : (L) Jan ! (J) Quoi ? (L) Pourquoi non ? (J) Je ne sais pas ! (T) Je suis perdu. (J) Quelle est la signification de ma relation avec Terry, alors ? (L) L’humaniser ? [Rires]

R : Ouvert.

Q : (T) C’est une relation libre ! (J) Non, ça ne l’est pas. C’est un mariage. Désolée ! (T) C’est toi qui l’as voulu ! On était très bien depuis 27 ans… (F) Ça fait aussi longtemps que ça ? (T) Non, c’est juste l’impression que ça donne. (L) Très bien ! Où en sommes-nous ? Nous avons découvert qu’une réalité perpendiculaire parcourt toute la vie de Terry, et que ce phénomène est probablement continu, est-ce exact ?

R : Oui.

Q : (T) Qu’est-ce qu’une réalité perpendiculaire ? (L) C’est une réalité perpendiculaire ! (T) Oh, merci ! Ça explique tout ! (L) Bon, il y a des réalités alternatives côte à côte, et celle-ci est comme ça [geste de haut en bas].

R : L’intersection est à la frontière entre mondes.

Q : (L) Donc, autrement dit, on peut arriver mentalement à la frontière entre mondes parce qu’on a une réalité qui fait intersection avec celle-ci. Est-ce exact ?

R : Non.

Q : (L) Au moins, j’aurais essayé. (T) Ça me paraissait bien. J’ai une issue de secours !

R : Elles fusionnent.

Q : (L) Bon. Nous avons découvert un point important : Terry appartient en partie à un autre monde, à une réalité perpendiculaire alien qui le pousse à interagir avec d’autres personnes qui possèdent elles aussi ces réalités perpendiculaires. Ça sert à quoi ? [Rires] (S) Il doit accomplir quelque chose ! (J) C’est un passe-temps.

R : « Servir » est un concept de 3e densité, et vous avez besoin d’une petite « révision » !

Q : (T) Cours de rattrapage cassiopéen. (L) Bon, j’essaie juste de comprendre ce que tout cela veut dire. Où cela nous mène-t-il ?

R : Alors, apprends grâce à ce que nous te communiquons et à ce qui est déjà « scellé » en toi, autrement dit : il est temps d’aller chercher la clé !

Q : (L) Devons-nous étudier nos propres situations de cette façon ? (J) Cela a-t-il un rapport avec le fait que Laura vient de passer un jour et demi à…

R : S’il vous plaît, cessez d’essayer de nous « pousser » de la sorte et apprenez librement.

Q : (L) Mon idée, c’est que peut-être que tout le monde fait ça, en ce moment même sur la planète. Il y a sans cesse des groupes divers qui forment des liens avec d’autres personnes avec lesquelles ils partagent une réalité alternative. (J) Autrement dit, nous sommes tous attirés les uns vers les autres ? (F) Exact. Ça paraît logique. (L) Auquel cas, quelle réalité alternative partageons-nous ? Ou bien n’en partageons-nous aucune, et tous les représentants d’une réalité alternative sont-ils différents les uns des autres, sont-ils un point de connexion ?

R : Ce dernier concept est en tout point correct !

Q : (T) Nous sommes ce qui est commun à notre groupe ?

R : Qu’avons-nous dit à propos d’augmenter son pouvoir ?

Q : (L) Donc, autrement dit, chacun de nous est connecté à sa propre réalité et au groupe de sa propre réalité, et…

R : Relis maintenant, Jan.

Q : (L) J’ai entendu parler du concept qui dit que certaines personnes, ou peut-être tout le monde, ont en elles des poches d’énergie ou de connaissances, comme des structurations électromagnétiques dans leurs champs…

R : Comme rassembler les pièces du puzzle.

Q : (L) Nous sommes les pièces du puzzle ? (J) Oui, on le savait.

R : Dessinez une intersection perpendiculaire sur une feuille de papier.

Q : [Nous prenons une feuille de papier et dessinons le schéma.] (L) Comme ça ?

R : Non, faites un « T » renversé.

Q : (L) D’accord, voilà. [Dessine le schéma.] Maintenant…

R : Utilise l’autre page et cette fois, dessine près du coin en bas à droite mais pas complètement.

Q : (L) Comme ceci ?

R : C’est en plein dans le cbd. Trop proche. [Nouvelle tentative.] Essayons de le faire beaucoup plus petit.

Q : [Nouvelle tentative.] (L) Cela convient-il ?

R : Près du centre.

Q : [Nouvelle tentative.] (L) C’est mieux ?

R : Maintenant, reliez-les.

Q : (T) Par-dessus ou par-dessous ?

R : Faites un angle légèrement différent.

Q : [Nouvelle tentative.] (L) Comme ça ?

R : Essayez encore.

Q : [Terry essaye.] (T) Je crois que je vois ce qu’ils veulent. (L) Est-ce comme ça ?

R : Non. [Terry essaye à nouveau.] Relie les bases.

Q : [Terry essaye à nouveau] (L) Pourquoi ne pas le dessiner pour nous sur la planche ? [J’attache le crayon au pointeur sur la feuille de papier] Allez-y les gars, dessinez ! [Le pointeur dessine le schéma.]

R : Continuez…

Q : (J) Est-ce une spirale ?

R : Non.

Q : [Terry dessine une sorte de polygone avec des extensions perpendiculaires de chaque côté.] Est-ce l’idée ?

R : Maintenant, arrondissez la base. Maintenant, entourez d’un autre cercle. Maintenant, remettez au propre sur une autre page.

Q : (J) Est-ce un crop circle ?

R : A déjà été réalisé, oui. Désigne l’union de réalités perpendiculaires.

Q : (L) Est-ce que la ville que Terry a traversée faisait partie des villes appartenant à des réalités perpendiculaires ?

R : Pas loin. Besoin de sept rayons.

Q : (L) Chaque personne du groupe est un rayon ?

R : Oui.

Q : (L) Est-ce qu’au final, nous aurons sept rayons ?

R : Oui.

Q : (T) Sommes-nous tous les cinq des rayons ?

R : Ouvert.

Q : (T) Voilà qui était diplomate ! Ce concept recèle-t-il autre chose ?

R : Bien sûr !

Q : (L) Une fois les sept rayons mis en place en termes d’individus, notre pouvoir/connaissance vont-ils croître de façon exponentielle ?

R : De façon explosive.

Q : (L) Est-ce pour cela qu’il y a eu tellement d’attaques et de tentatives pour entraver le processus ?

R : En partie.

Q : (T) OK, nous avons un croquis des sept rayons. Que devons-nous en faire ensuite ?

R : Ouvert.

Q : (T) OK, c’est juste pour cette leçon. (L) Qu’y a-t-il au centre du cercle ?

R : Tout se mettra en place, désormais vous devez méditer sur l’importance de tout cela, et nous vous disons bonne nuit !

Fin de la séance
 
Merci pour cette traduction, j'aurai bien aimé voir les dessins... Les avez vous ?...

Thank you for this translation, I would have liked to see the drawings... Do you have them?.....
 
Merci pour cette traduction, j'aurai bien aimé voir les dessins... Les avez vous ?...

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Non @PERLOU nous ne les avons pas.

Nope, we don't have them.
 
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