Séance du 29 juin 1996

Jacques

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Merci aux membres de l'équipe française pour cette traduction.
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Séance du 29 juin 1996

Participants : «Frank», Laura et SV

Q : (L) Bonjour.

R : Bonjour. Nous sommes les êtres de lumière de 6e densité transmettant depuis Cassiopée, et dans le but de fournir un identifiant correspondant à vos critères de familiarité, nous nommerons cette unité de conscience «Jarrah».

Q : (L) Eh bien, c’est une entrée en matière intéressante. Je suppose que vous vous êtes branchés durant la semaine et êtes au courant de ce qui se passe dans ma tête. Je voudrais passer directement aux questions qui me travaillent depuis quelques jours. La première concerne la séance Santilli : l’état de conscience équivaut-il à la gravité ?

R : Il en fait partie.

Q : (L) L’accumulation de connaissances et le développement de la conscience correspondent-ils à une augmentation de la gravité ?

R : Non.

Q : (L) Vous avez dit que l’énergie pouvait modifier la valeur de la densité. D’après ce que je comprends, la valeur de la densité est soit plus, soit moins. Cela veut-il dire que le fait d’insuffler de l’énergie en 3e densité à partir d’un autre plan spatiotemporel peut intensifier la gravité au point d’en modifier l’unité et de la transformer en antimatière ?

R : Non.

Q : (L) Vous avez dit que l’électromagnétisme (EM) et la gravité étaient une seule et même chose. Est-ce qu’une augmentation ou une accumulation d’EM, ou bien la génération d’une onde EM, accroissent la gravité des choses, objets ou personnes qui y sont soumis ?

R : La gravité ne croît ni ne décroît jamais ; elle est simplement accumulée et dispersée.

Q : (L) Si la gravité s’accumule et se disperse, si les planètes et les étoiles sont des fenêtres, et que, comme vous le dites, les êtres humains «ont» de la gravité, est-ce que ça veut dire que les êtres humains, ou les formes de vie sur une planète donnée ou dans un système solaire donné, sont des «accumulateurs» de gravité ?

R : Non. C’est la Gravité qui est l’Accumulateur des êtres humains et de tout le reste ! Mets «accumulateur» au singulier.

Q : (L) Le SDA équivaut-il à la dispersion de gravité ?

R : Non, le SDA est un REFLET de l’existence de la dispersion de gravité.

Q : (L) Le SDS correspond-il également à une dispersion de gravité ?

R : Non. L’accumulation est réfléchie. Le SDS est un reflet de, ou est réfléchi par l’accumulation de gravité.

Q : (L) Vous avez dit que changer d’unité impliquait un mouvement vers une autre densité. Vous avez également dit que le monde d’antimatière était la porte ou le chemin conduisant à l’existence éthérique. Partant de là, la 4e densité est-elle un univers d’antimatière ?

R : Non.

Q : (L) Les êtres de 4e densité se manifestent-ils dans un état d’antimatière ?

R : Les deux.

Q : (L) En 4e densité, matière et antimatière sont-elles en équilibre ?

R : Pas en équilibre, en évidence.

Q : (L) Donc, matière et antimatière sont toutes deux potentiellement utilisables par les individus en fonction de leur volonté et de leur état de conscience ?

R : Pas loin. Antimatière et matière sont en équilibre partout.

Q : (L) Quel est l’effet de l’accumulation de gravité — vous avez dit que la gravité accumulait les êtres humains — quel effet...

R : Non, nous n’avons pas dit ça. Tu n’apprends pas quand tu «sautes» des données.

Q : (L) Qu’est-ce que j’ai sauté ? Vous avez bien dit que «la gravité est l’accumulateur des êtres humains» ?

R : Oui, mais tout le reste est la clé. Lorsqu’on dit cela, il n’y a aucune différenciation.

Q : (L) Oui, eh bien, je pose ces questions à notre niveau à nous, ici. Quel effet a la gravité sur le corps ?

R : Trop compliqué. Essaye de scinder ta question.

Q : (L) Vous avez dit que l’accroissement de la conscience faisait «partie» de la gravité. Donc, si une personne accroît sa conscience, accroît-elle de ce fait sa gravité ?

R : Non.

Q : (L) Quelle est la relation entre l’accroissement de la conscience et la gravité ?

R : Rien de direct.

Q : (L) J’essaie de savoir quel effet l’accroissement de la conscience a sur les êtres humains, par rapport à cette onde instable de gravité que vous avez mentionnée, ainsi que par rapport à l’«Onde» en approche.

R : Tu essaies d’«unir» deux parallèles.

Q : (L) Nous avons deux parallèles… Bon… Donc si une des parallèles est l’augmentation exponentielle de la conscience, le signe des unités d’énergie corporelle ne change pas ?

R : Tu essaies encore d’accoupler.

Q : (L) Eh bien, j’essaie seulement de saisir certaines idées…

R : Alors, change de mode de pensée. La gravité est la «matière» de toute existence, c’est pourquoi sa propriété quantitative est immuable.

Q : (L) Donc, la gravité n’est pas «utilisée» en tant que telle ?

R : Pas loin.

Q : (L) Vous avez dit que la lumière est une expression énergétique de la gravité. Ensuite, vous avez dit...

R : On peut utiliser la gravité, mais on ne peut pas «s’en servir». On ne peut pas augmenter ou diminuer ce qui est dans un état d’équilibre statique parfait.

Q : (L) Alors, la gravité est dans un état parfaitement «statique». Et cependant, on peut l’«utiliser». Pouvez-vous m’expliquer en termes clairs la transition qui fait passer de l’état statique à l’instabilité ? Comment ça se passe ?

R : Il n’y a pas transition, seulement application.

Q : (L) Comment passe-t-on de l’état parfaitement statique au mode d’application ? Est-ce que tout le monde me suit ?

R : Non, et nous non plus !

Q : (L) Merveilleux ! Ce que je veux dire, c’est : 1) la gravité existe dans un état statique ; 2) la lumière est une expression, sous forme d’énergie, de la gravité ; dès lors, il s’agit d’utilisation. Exact ?

R : Non. La lumière est une expression de l’énergie gravitationnelle.

Q : (L) Eh bien, quand il y a une expression, elle s’exprime vers, dans ou pour quelque chose, quelque part…

R : Vraiment ?

Q : (L) Eh bien...

R : Quand un arbre tombe dans la forêt et qu’il n’y a personne pour l’entendre, cela fait-il du bruit ?

Q : (L) Vous dites que la gravité est partout en équilibre statique, et que son utilisation produit des ondes instables de gravité. Ensuite, vous dites que la gravité est Dieu, que Dieu est toute la création, que nous faisons partie de toute la création, et que, dès lors, nous faisons partie de Dieu et de la gravité. Donc, ma question est : quel est la chose, l’événement, la manifestation, le mode d’utilisation qui fait passer la gravité d’un état parfaitement statique à un état instable, si vous dites qu’elle est toujours parfaitement équilibrée. Ça n’a pas de sens pour moi.

R : Instabilité ne veut pas automatiquement dire non statique. Des ondes instables peuvent être statiques dans leur instabilité.

Q : (L) Tout cela n’a guère de sens. Je pensais que je commençais à comprendre, mais apparemment, je suis à côté de la plaque. Partons dans une direction différente. Vous avez dit que l’univers est composé de matière et d’antimatière en quantités égales. Est-ce que les trois premières densités sont des densités de matière ?

R : Et d’antimatière.

Q : (L) Est-ce qu’il y a des quantités égales de matière et d’antimatière dans toutes les densités ?

R : Oui. Souvenez-vous : la densité ne concerne que le niveau de conscience. Dès que l’on est conscient, tout [le pointeur décrit de nombreuses spirales] se conforme à cette conscience.

Q : (L) Et cette onde en approche, qu’aura-t-elle qui fera que le niveau de conscience des gens augmentera ?

R : Pas si vite... Premièrement : vos prophètes ont toujours eu recours à des symboles de la 3e densité pour faire comprendre la réalité de 4e densité. Tu essaies d’expliquer des principes allant de la 4e à la 7e densité avec des réponses de 3e densité. Voilà pourquoi tu te sens frustrée. Parce que ça ne «colle» pas.

Q : (L) Les manifestations en 3e densité sont-elles des sites d’accumulation de la gravité ?

R : En partie. Mais il en va de même des manifestations de toutes les densités.

Q : (L) D’accord. Donc, si...

R : Qu’est-ce que l’opposé de la gravité, d’après toi ?

Q : (L) L’antigravité ?

R : Oui.

Q : (L) Donc, si nous comparons tout ce qui existe à un ballon qu’on aurait gonflé, et que la surface du ballon représente l’état statique de gravité, la 7e densité, en somme… et qu’il commence à lui pousser des excroissances de-ci, de-là… et que toutes ces petites excroissances représentent les sites de manifestation des différentes densités — tout ceci est très simplifié, j’essaie seulement de m’en faire une représentation — est-ce que j’obtiens avec ça une idée à creuser, même si elle reste très simpliste ?

R : Oui, si tu as aussi un «anti-ballon».

Q : (L) Dans ce cas, est-ce que la surface extérieure du ballon est le ballon, et sa surface intérieure, ou l’air qu’il contient, «l’anti-ballon» ?

R : Non.

Q : (L) Deux ballons côte à côte ?

R : Non. Un non-ballon.

Q : (L) Un non-ballon ? Vous me rendez dingue ! Vous dites que rien n’existe ! Que nous ne sommes même pas  !

R : Non.

Q : (L) Allez ! Pour l’amour du ciel ! Donnez-moi une image à laquelle me raccrocher ! D’accord. Le ballon est devant un miroir : le reflet du ballon est le «non-ballon» ?

R : Non.

Q : (L) Le non-ballon, c’est quand le ballon se détache, mais si vite qu’on ne s’en aperçoit pas — comme une pulsation... ? Je n’en peux plus, là !

R : Vois-tu, ma chère, c’est lorsque tu parviendras en 4e densité que tu comprendras.

Q : (L) Mais comment diable suis-je censée y arriver si je ne «pige» pas ?

R : Qui dit que tu dois «piger» pour y arriver ?

Q : (L) Eh bien, ça nous ramène à la question de ce que cette Onde va faire pour élargir la conscience. Parce que si c’est l’Onde qui nous permettra d’y arriver, qu’est-ce qui va faire que ça se produira ?

R : Non. Voilà comment ça se passe : lorsqu’on a appris toutes ses leçons en CE2, où va-t-on ?

Q : (L) Alors, c’est une question de...

R : Réponds, je te prie.

Q : (L) On passe en CM1.

R : C’est ça. Maintenant, doit-on déjà être en CM1 pour pouvoir y entrer ? Réponds.

Q : (L) Non. Mais on doit tout connaître de la 3e densité...

R : Oui. Et plus précisément : il te faut avoir appris toutes les leçons.

Q : (L) De quelles leçons parlons-nous là ?

R : De la compréhension du karma et de choses simples.


Q : (L) Quels sont les éléments clés de cette compréhension ? Sont-ils un tant soit peu universels ?

R : Ils sont universels.

Q : (L) Et ce sont... ?

R : Ça, nous ne pouvons pas te le dire.

Q : (L) Ces leçons ont-elles un rapport avec le fait de découvrir la signification des symboles de l’existence en 3e densité, de voir ce qu’il y a derrière le voile… et de réagir en posant un véritable choix ? De donner à chacun son dû, qu’il s’agisse de choses, de personnes ou d’événements ?

R : OK. Mais on ne peut pas forcer les choses. Ce qui est appris est appris !

Q : (L) Je voudrais juste m’assurer que je fais le maximum. Je ne veux pas avoir à revenir en 3e densité. Si je peux accélérer un petit peu le mouvement...

R : Impossible, alors profite de la balade. C’est amusant d’apprendre !

Q : (L) Mais vous m’avez dit de faire des recherches et de méditer sur les ondes instables de gravité. Et que, quand j’aurais compris cela, la physique quantique me paraîtrait tout à fait claire, et que fondamentalement, tout serait parfaitement clair. Mais là, je suis en train de me débattre avec tout ça…

R : C’est justement le problème, Laura ! Quand on se débat, on n’apprend pas. Alors arrête de te débattre et médite, c’est-à-dire : profite de la balade.

Q : (L) Donc, vous dites que si je me débats, c’est que je ne fais pas ce qu’il faut. Eh bien, je me suis débattu pour m’extirper de mon mariage, et c’est toujours une lutte de tous les instants. Était-ce une mauvaise approche ?

R : Oui, car tout ce qui est arrivé serait arrivé de toute façon.

Q : (L) Donc, c’était la mauvaise approche ?

R : Oui.

Q : (L) C’était quoi la bonne approche ? Attendre qu’il choisisse de partir ?

R : ?

Q : (L) Eh bien, à ce stade, j’étais au seuil de la mort.

R : Ce n’est pas la question, mais oui, si tu ne t’étais pas efforcée d’être quelqu’un d’autre que toi DANS la relation, et de faire en sorte que la relation perdure à chaque fois qu’elle était sur le point de se terminer, alors ce serait arrivé bien plus tôt.

Q : (L) En parcourant les transcriptions pour relever les mots entre guillemets, une séquence est ressortie : «Le temps a provoqué une souffrance de niveau alpha». Est-ce possible ?

R : Peut-être. Combine et associe.

Q : (L) Vous voulez dire assembler les mots et les phrases ?

R : Oui, mais ne te débats pas avec ça ! Tu fais trop d’efforts quand tu es fâchée contre les autres, voilà pourquoi l’ISCNI, LM, D4, et d’autres...

Q : (L) Donc, vous dites que je ne devrais pas faire quoi que ce soit qui me donne le sentiment d’être oppressée ou bafouée...

R : Agis sans rien attendre. Quand tu adaptes ou modifies ton comportement dans l’espoir que de ce fait l’autre changera, alors tu attends quelque chose. Donc, agis. Vois ce qui arrive. Mais sois patiente et vois ce qui arrive !

Q : (L) D’accord. Permettez-moi de vous interroger à propos d’un rêve. Ma fille et moi avons toutes les deux fait un rêve il y a deux jours. La nature de ces deux rêves était très similaire, même si les participants étaient différents. Était-ce une sorte d’énergie prophétique ?

R : Les cycles naturels ont créé un «lien» psychique.

Q : (L) Vous parlez de cycles hormonaux ?

R : Oui. Et bonne nuit.

Fin de la séance
 
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