Séance du 3 juin 1995

Jacques

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Merci aux membres de l'équipe française pour cette traduction.
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Séance du 3 juin 1995 :

Participants : « Frank », Laura, Terry et Jan, Tom French, Cherie Diez, SV

Q : (L) Bonjour.

R : Bonjour.

Q : (T) Mon niveau d’énergie n’est pas terrible. (L) Qui est avec nous ce soir ?

R : Sorrillora.

Q : (L) Et d’où venez-vous ?

R : Cassiopée.

Q : (L) Nous avons des invités ce soir : Tom et Cherie.

R : Bonjour Tom et Cherie.

Q : (L) Tom a une question.

R : Certainement.

Q : (TF) Qu’est-il arrivé à la montre de mon grand-père ?

R : Lequel ?

Q : (L) Quel grand-père ? (TF) Paternel. (L) OK, qu’est-il arrivé à la montre à gousset en or du grand-père paternel de Tom ?

R : Sous l’eau.

Q : (T) Quelle eau ?

R : Eau limpide avec du limon ou du sable.

Q : (TF) Qu’est-ce que c’est que ça ? (L) Je ne pense pas que tu obtiendras un nom parce que c’est une désignation artificielle.

R : Référence visuelle. Brille sous la lumière du soleil, a glissé alors que l’attention était détournée.

Q : (TF) A-t-elle glissé d’elle-même ou quelqu’un l’a-t-il prise ?

R : Surface métallique rayée.

Q : (TF) Où se trouvait mon père à ce moment-là ?

R : À l’église.

Q : (L) Cela t’évoque-t-il quelque chose ? (TF) Eh bien, peut-être. (T) Sais-tu où se trouve cette montre ? (TF) Non. (SV) Trouve où il allait à l’église et cherche s’il y a de l’eau aux alentours. (L) Son père n’était peut-être pas tout près à l’époque. (TF) Mon père n’est jamais allé à l’église ; il est athée. Mon père a-t-il quelque chose à voir avec la disparition de la montre ?

R : Non.

Q : (T) Son père était-il à l’église ? Vous dites que son père était à l’église, mais Tom dit que son père n’y allait pas. Pourquoi son père était-il à l’église ?

R : Pas la seule raison d’aller à l’église, réfléchissez !

Q : (J) Ce pouvait être un certain type de cérémonie… (T) Un mariage, un enterrement… (TF) Vous avez raison. Ce n’est pas comme s’il n’avait jamais mis un pied dans une église. (F) Il n’est pas tant athée que ça ! (T) Surtout les mariages, il y a à manger après les mariages ! (TF) Bon, une dernière et je me tais ! La montre a-t-elle été perdue ou a-t-elle été prise ?

R : Perdue.

Q : (L) Ça t’intrigue depuis longtemps ? (TF) Pas tant que ça. Un moment.

(L) J’ai une question à propos de Tom. Tom a fait un rêve qu’il m’a raconté, et je pense que ça ne le dérangera pas de le partager avec le groupe. Tom ?

(TF) Dans le rêve, je suis sur un paquebot. Il y a d’autres personnes à bord du bateau, mais je ne leur parle pas. Je ne suis pas avec des amis ou de la famille. Je suis tout seul. Je suis parmi tous ces gens mais je ne suis pas avec eux. C’est un long voyage. Je fais les cent pas sur le pont. Finalement, on arrive dans une ville, une ville importante, un port maritime. Je descends du bateau, je marche dans la ville, je marche du centre-ville vers la périphérie, jusque dans la campagne. La campagne est rouge — rougeâtre tout partout. Les rues ne sont plus pavées ; maintenant il y a de la poussière, de la poussière rouge. J’arrive à une grande maison avec une palissade blanche à l’ombre d’une montagne. Je sais que je suis censé être dans cette maison. Je rentre dans la maison ; d’autres gens s’y trouvent. À nouveau, je ne leur parle pas en arrivant, mais à mesure que les jours passent, je commence à leur parler et ils se mettent à me parler. Je commence à me sentir mieux. Soudain, dans le rêve, je réalise que quand j’ai traversé la ville jusqu’à la maison, j’étais un chien ; les premiers jours dans la maison, j’ai été transformé en être humain, et toutes les autres personnes dans la maison étaient autrefois des animaux, et que c’est pour ça que nous étions dans cette maison, pour apprendre à devenir des êtres humains. Cela avait un rapport avec le pouvoir de la montagne. (L) Maintenant, la question est : ce rêve a-t-il un sens que vous pourriez commenter ?

R : Pas une grande signification au sens psychique, simple reflet de la conscience du sujet de la métamorphose au sein de son propre chemin de vie.

Q : (L) Eh bien, c’était l’interprétation de Tom et ma théorie est carrément réduite à néant ! (T) Quelle était ta théorie ? (L) J’étais persuadé que c’était un alien venu sur Terre à bord de ce grand vaisseau depuis l’Étoile du Chien, Sirius… (J) Jusqu’en Géorgie !! [Rires] (L) Je préférais mon interprétation ! (T) Ça ferait un sacré livre ! (SV) Elle a trop regardé ces vidéos traitant d’ufologie !

R : Imagination débridée !

Q : (L) Oui, on me l’a dit ! Maintenant, nos questions. Pourquoi les Incas et autres cultures sud-américaines ont établi leur environnement culturel dans des régions montagneuses où ils ont été obligés d’aménager des terrasses en exploitant les montagnes pour cultiver leur nourriture, alors que la culture européenne s’est développée sur des terrains plats… (T) Beaucoup sont morts de faim parce qu’ils n’ont pas correctement exploité les montagnes…

R : Les montagnes étaient de nature différente dans les deux cas.

Q : (L) Donc, le terrain montagneux était plus fertile dans une région que dans l’autre ; c’est ce que vous voulez dire ?

R : Bingo !

Q : (J) C’est ce que je pensais. (T) Les Européens ont-ils essayé la culture en terrasses ?

R : Non.

Q : (L) Pourquoi ? (T) Pourtant, ils ont construit des aqueducs, pourquoi pas des terrasses ?

R : Pourquoi auraient-ils dû essayer quelque chose d’inutile ?

Q : (T) Pourquoi était-ce inutile ? (L) Ça, on le sait. Ils avaient plein de terres plates arables. Pourquoi était-ce nécessaire en Amérique du Sud ? (J) Parce qu’ils n’en avaient pas. Ils devaient mettre ce qu’ils avaient à profit.

R : Oui.

Q : (T) Ça me va ! (L) Lors d’une transmission précédente, il a été dit que la région autour de ma maison était une « station de réalité multiple ». Est-ce à cause de nos activités, ou est-ce un état préexistant à cette maison et à l’endroit en général ?

R : Deux questions.

Q : (L) Est-ce en raison de nos activités ?

R : Partiellement.

Q ; (L) Est-ce aussi un état préexistant à cette région ?

R : Indirectement.

Q : (L) Cela a-t-il un quelconque rapport avec le supposé tunnel sous la maison ?

R : Voir la dernière réponse.

Q : (L) Bon, vous dites « indirectement ». C’est-à-dire ? Quelle est la relation ?

R : Configurations du flux d’énergie crustale.

Q : (T) C’est quoi de l’énergie crustale ?

R : Tout est dans le mot.

Q : (T) D’accord, parlons-nous de l’énergie qui circule dans la croûte, ou d’énergie générée par la croûte ? S’agit-il de tectonique des plaques ici ? (J) Oui, la tectonique des plaques ?

R : Trop de commentaires.

Q : (T) Parlons-nous de tectonique des plaques ?

R : Non.

Q : (L) Parlons-nous d’électromagnétisme ?

R : Pas loin.

Q : (T) À quel point cela se rapproche-t-il de l’électromagnétisme ? (L) Jusqu’où peux-tu aller ? (T) Exact ! [Rires]

R : Lié.

Q : (L) Bon, est-ce une configuration de flux énergétique qui, en ce point de l’espace-temps, est significativement différente par opposition à, disons… (J) Notre maison ?

R : Concept inexact.

Q : (J) Ce n’est pas lié à l’espace-temps ?

R : Vous « refroidissez ».

Q : (L) Ce n’est pas lié à l’espace-temps. Est-ce lié à un réseau énergétique ?

R : Pas un réseau, plutôt un « halo ».

Q : (T) Une couronne ? (L) Comme une aura ? (J) Est-ce comme une aura ?

R : Oui.

Q : (T) L’aura de la planète ?

R : Variations dans le flux.

Q : (L) Cet endroit particulier est-il bénéfique pour ma maison ?

R : Subjectif.

Q : (L) Est-ce particulièrement bénéfique en ce qui concerne ce type de travail ?

R : C’est une possibilité.

Q : (J) Ce n’est manifestement pas néfaste. (T) Cela peut-il être néfaste ?

R : Oui.

Q : (L) De quelle façon ? (J) Oui, comment est-ce néfaste ?

R : Question à 64 000 dollars !

Q : (T) Bon, puisqu’on est arrivé jusqu’à la question à 64 000 dollars, allez-vous nous donner la réponse à 64 000 dollars ? (L) Pourquoi cela pourrait-il être néfaste ? Est-ce parce que cela pourrait être néfaste si une personne suit la voie SDA ?

R : Peut-être.

Q : (L) Cela pourrait-il être néfaste à quelqu’un qui suit la voie SDS ?

R : Peut-être.

Q : (T) OK, la configuration du flux d’énergie peut être néfaste ou bénéfique. Ce n’est que de l’énergie, ni positive ni négative.

R : C’est plus complexe que ce que vos questions laissent entendre.

Q : (L) Autrement dit, nos questions ne sont pas assez complexes pour obtenir la réponse ?

R : Vous « pressez les choses » en raison des personnes présentes, maintenant SVP détendez-vous et comportez-vous comme d’habitude.

Q : (J) Elle essaie d’impressionner son monde ! (L) Pas du tout ! (SV) C’est ce qu’ils ont dit ! (L) Ce n’est pas ce qu’ils ont dit, et je ne suis pas la seule à poser des questions. (T) Reprenons à zéro avec des questions simples. Nous parlons d’aura, ou de quelque chose de similaire. L’aura de la planète.

R : Oui.

Q : (T) OK. Nous nous focalisons sur ce site ici, en relation avec l’énergie de la planète.

R : OK.

Q : (T) Vous avez indiqué qu’il y a une sorte de corrélation entre cet endroit et l’énergie de la planète. L’énergie de la planète couvre toute la planète et est affectée par la planète et tout ce qui se passe autour de la planète, dans la planète, sur la planète, partout. Nous sommes à un endroit. La fluctuation de cette énergie influence le travail que nous accomplissons ici. Suis-je sur la bonne voie ?

R : Pas loin.

Q : (T) OK. Donc, les configurations du flux d’énergie crustale, si elles diminuent, nous perdons en puissance… devons-nous puiser davantage d’énergie pour maintenir la connexion ?

R : ?

Q : (T) Je ne sais même pas ce que j’ai dit ! (L) Essayons comme ça. Nous parlons d’une aura. Le système aurique dans le corps physique peut parfois refléter tant l’état spirituel que physique de la personne. Cet endroit est-il similaire à un chakra ?

R : Si tu préfères, ou autre.

Q : (L) Similaire à un chakra ?

R : Ce ne sont que de simples dénominations.

Q : (L) D’accord, cela ressemble-t-il à un vortex énergétique ?

R : OK…

Q : (L) Un vortex énergétique dans le corps, un chakra dans le corps, c’est un endroit où l’énergie du corps communique avec l’Univers. Parle-nous des chakras, Susan. (SV) Il y en a de différents types. Il y a les sept chakras majeurs, ceux dans les paumes, quasiment toutes les articulations du corps possèdent un chakra… (T) Que font-ils ? (L) Un point de jonction ? (SV) Oui. (L) Est-ce de cela qu’il s’agit ? D’une interface entre cette densité et d’autres densités ?

R : Tout d’abord, les « chakras » sont un phénomène très peu compris et non avéré. Il se trouve qu’ils existent bien, mais sous une forme différente de celle décrite par tant de membres de la prétendue communauté du « paranormal ». Donc, vous voyez, vous avez ouvert un autre « sac de nœuds ».

Q : (L) Eh bien, c’est nous les nœuds ! Je savais que cette question nous tiendrait toute la nuit ! Pourquoi est-ce que je l’ai posée ? (SV) Bon, c’est parti ! (L) D’accord, premier nœud… (T) Nœud numéro un… (J) Nœud numéro un… (L) C’est quoi exactement un chakra ?

R : Un champ énergétique qui fait fusionner les densités 1, 2, 3 ou 4 avec la 5e.

Q : (T) Un point focal qui fusionne les densités au niveau de contemplation de la 5e densité ?

R : Pas loin.

Q : (T) Dans quel but fusionnons-nous avec le niveau de contemplation par l’intermédiaire des chakras ?

R : Vous êtes tous reliés au niveau cinq quand vous vous trouvez dans un cycle à ondes courtes, texte de référence.

Q : (L) Chaque chakra est-il lié à une couleur, comme on le dit ?

R : En un sens, mais pas la question fondamentale.

Q : (L) C’est quoi la question fondamentale ?

R : Le lien avec le lieu de l’empreinte physique.

Q : (L) Donc, ça a un rapport avec cet endroit ici ? Nous revenons à la maison ?

R : Sur un corps physique, niveaux de densité un à quatre.

Q : (L) Nous sommes donc assis au milieu d’un chakra géant, le nombril du monde ! (J) C’est mieux que le trou du cul du monde.

R : De quoi parlez-vous ?

Q : (T) Tallahassee, le trou du cul du monde ! (L) Je plaisantais ; nous ne sommes pas dans le nombril du monde. Nous sommes dans un chakra… (T) Pour être dans cet endroit… (L) …est-ce tout ?

R : Vous dérivez et les pensées sont bien trop fragmentées ce soir.

Q : (L) OK. (J) Je me demande s’il y a un rapport avec l’orage ? (L) Faisons une pause.

[Pause]

Q : (L) Nous avons un type très sérieux ce soir. Il ne va pas nous laisser nous amuser ! (SV) Je me demande s’il y a sept chakras principaux aux endroits où d’autres les décrivent. (L) Bon, nous sommes revenus.

R : Revenus ?

Q : (L) D’accord, nous n’étions pas vraiment partis, vous savez. (J) Oui, on est allé faire un tour ! (L) Susan veut savoir s’il y a sept chakras principaux liés au corps physique comme l’enseignent de nombreuses sources ?

R : Cela varie selon les individus.

Q : (SV) Vous voulez dire que certaines personnes ont plus de chakras que d’autres ?

R : Nommez un « chakra ».

Q : (L) Y a-t-il un chakra de la base, un chakra racine ?

R : Nous vous avons demandé d’en nommer un.

Q : (L) Eh bien, on en a nommé un. (SV) Il y a le chakra du cœur, le troisième œil — je ne connais pas leurs noms hindous… (L) Nommer une personne ?

R : Non.

Q : (SV) La femme qui a écrit Le pouvoir bénéfique des mains dit que quand elle pratique des guérisons, des guides spirituels…

R : Qu’arrive-t-il à ceux à qui il manque des membres du corps ?

Q : (J) Oooh ! (SV) Mais le champ éthérique est toujours là ! Ça a été prouvé grâce à la photographie Kirlian…

R : Est-ce la même chose ?

Q : (L) Eh bien, ce qui est photographié par la photographie Kirlian est-il identique à ce qui constitue les chakras ? (SV) Bon, on devrait avoir les sept principaux… on ne peut pas vivre sans tête ou sans torse… (L) Que se passe-t-il quand des organes, des glandes liées aux chakras, sont retirés ? Des femmes subissent des hystérectomies tous les jours…

R : Bonne question !

Q : (SV) Mais l’énergie est toujours là, même si les organes ont disparu ! C’est ce qu’on m’a appris.

R : Qui dit ça ?

Q : (SV) Vous voulez savoir les noms de mes formateurs ?

R : Tout ce que nous essayons de te faire remarquer, c’est que tu plonges dans un domaine où les prétendus faits ne sont pas prouvés, et le sujet en son entier n’est que légèrement compris à votre niveau. Mieux vaut obtenir des faits avant de proclamer la connaissance de peur de commettre de graves erreurs !

Q : (SV) Mais qu’en est-il de ce que Barbara Marciniak a dit sur les chakras ? Elle a parlé de 12 chakras, sept internes et cinq externes. Barbara était-elle sur une piste ?

R : Vague.

Q : (T) La question n’est pas si Barbara était sur une piste, la question ce sont les informations qu’elle a reçues. (L) Les informations que Barbara a reçues concernant les chakras étaient-elles justes en l’état ?

R : Pas loin.

Q : (L) Bon, il y a un indice. (T) Ça vaudrait mieux, nous les lui avons données. (J) Vrai. (T) S’ils avaient dit non… (J) …nous serions dans la panade. Nous aurions dû trouver autre chose à faire les samedis soirs. (L) On pourrait aller au bowling. Quelqu’un veut faire une partie de canasta ? Ça ferait une super table pour jouer aux cartes. (J) Un bridge ? (L) Je ne sais pas ce que vous en pensez, mais je crois qu’on devrait peut-être lire ce qu’en dit Marciniak et laisser tomber le sujet pour l’instant. (T) Ils ont dit que les enseignements sur les chakras pouvaient ne pas être entièrement exacts. Les informations concernant ces points énergétiques indiquent qu’ils n’existent pas comme d’autres l’ont exposé, mais qu’ils existent chez différentes personnes et à différents endroits à cause de la façon dont l’énergie circule en chaque individu. Ils n’existent pas toujours au même endroit, tout comme les vortex énergétiques sur la planète fluctuent et évoluent. Donc, au sein de la personne, l’énergie change et fluctue… (J) Les chakras se déplacent-ils ?

R : Ils le peuvent.

Q : (T) Différentes personnes possèdent-elles un nombre de chakras différent ?

R : Oui.

Q : (T) Donc, toute l’idée du travail sur les chakras — sans rien enlever à ce que fait Susan — est grandement erronée telle qu’elle est exposée ?

R : Peut-être.

Q : (SV) Bon, si on sensibilise ses mains, pourrait-on capter cette énergie sur le corps ? Pourrait-on détecter les chakras ?

R : Peut-être.

Q : (T) Le Reiki permet-il de trouver les chakras pendant qu’ils se déplacent ?

R : Peut-être.

Q : (SV) Qu’en est-il du Toucher thérapeutique ?

R : Peut-être.

Q : (SV) Je suppose que je ferais mieux de le découvrir moi-même. (L) Quel est le rapport entre tout cela et cette maison, et notre travail ? (T) On travaille à une plus grande échelle maintenant. (L) Cette maison a-t-elle quelque chose à voir avec le fait de connecter nos chakras dans nos corps ?

R : Vous dérivez à nouveau.

Q : (T) Cette énergie se déplacera-t-elle tout comme l’énergie dans un corps ? Nous travaillons ici, parce qu’en ce moment, c’est là où se situe cette énergie, dans cet endroit, mais elle va se déplacer ?

R : À nouveau, vous avez abordé un ensemble de sujets qui nécessitent des études approfondies pour expliquer correctement.

Q : (J) Cela signifie-t-il que nous devons étudier et en apprendre davantage avant même de pouvoir en discuter avec vous ?

R : Pas loin.

Q : (SV) Les travaux d’Edgar Cayce feraient-ils un bon point de départ ?

R : C’est un bon point de départ, mais il faudra beaucoup de « temps » et d’efforts.

Q : (L) Êtes-vous en train de suggérer qu’il est inutile pour nous d’essayer d’approfondir ce sujet ?

R : À vous de voir.

Q : (J) Pour l’heure, notre compréhension est insuffisante. (T) Est-ce un sujet important que nous devrions creuser ?

R : Ouvert.

Q : (L) Passons à quelque chose de plus simple. L’autre soir, les enfants ont vu des lumières dans le ciel. Je suis sortie pour voir de quoi ils parlaient, et il n’y avait aucune lumière en mouvement. Par contre, il y avait une lumière rouge pulsante à environ dix degrés à droite de Jupiter. Ma première réaction a été qu’il s’agissait du scintillement atmosphérique d’une grosse étoile rouge, ou de la planète Mars. Le lendemain soir, il n’y avait plus rien. Qu’est-ce que les enfants ont vu ?

R : Les enfants ont vu des avions et un hélicoptère.

Q : (L) Et quid de cette lumière rouge pulsante que j’ai vue et qui est restée immobile un bon bout de temps ?

R : Mars.

Q : (L) Ce n’était pas Mars, parce que ce n’était plus là la nuit suivante.

R : Nuages.

Q : (T) Ouais, il y avait des nuages sur Mars cette nuit-là. (J) Passons à autre chose. (L) Bon, j’ai d’abord pensé que c’était Mars. (J) Tu avais raison.

R : Tu avais raison.

Q : (J) C’est ce que je viens de dire. (L) Nous voudrions savoir s’il y a une corrélation entre les mouvements des ovnis et la météo… (J) En particulier les orages.

R : Corrélation ?

Q : (L) Est-ce que les ovnis sont incapables de voler pendant une tempête ou un orage ?

R : Faux.

Q : (L) D’accord, ils peuvent voler pendant des orages ?

R : Oui. Mais « voler » est un terme impropre.

Q : (L) Bon, alors que font-ils pendant les orages s’ils ne volent pas ? (J) Ils feintent et esquivent ! (SV) Ce sont des projections, n’est-ce pas ? (J) Oui, je ne pense pas qu’ils soient vraiment là dans l’atmosphère de toute façon.

R : Pilotent.

Q : (T) Bien, la bonne question est : est-ce que les orages interfèrent avec le flux électromagnétique entre densités ?

R : Peuvent.

Q : (L) Est-ce que les orages peuvent interférer avec leur capacité de projection ?

R : Oui.

Q : (L) Est-ce que les orages ou une activité électrique les inhibent ?

R : Ionisation.

Q : (T) Est-ce que le fait qu’il y a très peu de cas d’enlèvements — du moins de ce que j’ai pu lire, et j’en ai lu beaucoup — pendant les orages a quelque chose à voir avec le fait que les orages interfèrent avec l’électromagnétisme, de sorte que l’abduction serait beaucoup plus difficile, par conséquent ils ne s’embêtent pas à le faire ?

R : Non.

Q : (T) Des enlèvements peuvent avoir lieu pendant des orages ?

R : Oui.

Q : (L) Est-il possible que les orages facilitent les abductions ?

R : Non.

Q : (T) Donc, les perturbations électromagnétiques de 3e densité ne perturbent pas la 4e densité ?

R : Peuvent.

Q : (J) Est-ce qu’ils peuvent les contrôler ? (T) Eh bien je n’ai pas lu grand-chose sur des enlèvements ayant eu lieu pendant des orages. (L) J’ai lu quelques cas, assez pour voir que ce n’est pas une règle. (T) Y a-t-il une raison pour que cela arrive moins fréquemment pendant des orages ? (J) Ils ne veulent pas se mouiller.

R : Pouvez-vous conduire une voiture quand il pleut ?

Q : (J) Oui, mais s’il pleut vraiment fort, on évite. (L) Est-ce qu’il y a une raison particulière pour qu’il y ait davantage d’enlèvements et d’observations d’ovnis la nuit ?

R : Inexact.

Q : (L) Vous voulez dire qu’il y a autant d’activités le jour que la nuit ?

R : Oui.

Q : (L) Eh bien, voilà ma théorie pulvérisée. Est-il vrai que l’immensité de l’espace est une illusion de nos unités d’espace-temps ?

R : Trop complexe pour une réponse simple.

Q : (L) Oh, mon Dieu. (J) Nous sommes complètement dépassés ce soir, non ? (L) Bon, essayons celle-là…

R : À trop essayer de faire impression.

Q : (L) Pas vraiment. Nous voulons poser ces questions…

R : Oui, vraiment !

Q : (T) Avez-vous quelque chose à nous communiquer ? (L) Oui, vous avez la parole. (T) Ou la table… (J) Ou les murs, ou la cave…

R : Posez des questions plus simples au lieu d’essayer de résoudre de grands mystères en une séance.

Q : (T) En voici une facile : l’onde électromagnétique fait-elle toujours le tour de la Terre ?

R : Oui.

Q : (L) Je ne veux pas poser des questions simples. (J) Cela affecte-t-il la récente tempête tropicale ? (T) Oui, cette onde électromagnétique explique-t-elle en partie cette tempête dans le Golfe ?

R : Pas loin.

Q : (L) Je ne pense pas avoir de questions simples… (J) Que sont les lumières de Marfa ?

R : La fenêtre vers cette dimension laisse des parasites.

Q : (T) Il y a une fenêtre vers cette dimension… (L) À Marfa ?

R : Nombreuses fenêtres sur Terre.

Q : (J) Y a-t-il une corrélation entre les lumières de Marfa et la proximité des grottes de Carlsbad ?

R : Essaye de t’approcher des lumières de Marfa !

Q : (J) Oui, je sais qu’on ne peut pas. Dès qu’on se rapproche, elles disparaissent. (L) Comment savent-elles qu’on marche vers elles ?

R : Concept inapproprié.

Q : (L) Quel est le concept approprié ? (T) Que se passe-t-il quand on se rapproche ?

R : Elles apparaissent à un autre endroit.

Q : (J) L’électromagnétisme de notre corps repousse-t-il la lumière ?

R : Ce n’est qu’une représentation visuelle de la réalité.

Q : (J) Donc, elles ne sont pas vraiment là, on croit juste les voir ?

R : Pas loin.

Q : (T) Jusqu’où faut-il se rapprocher d’elles pour qu’il se passe quelque chose ?

R : Non.

Q : (T) Il n’y a pas besoin de se rapprocher d’elles ? Bon, il n’est pas nécessaire de se rapprocher, ce ne sont qu’un résidu. (J) Sont-elles la réfraction de quelque chose qui se passe ailleurs ? (T) À quelle distance…

R : Pas loin.

Q : (T) Sont-elles la réfraction de quelque chose qui se passe ailleurs ? (L) Donc, quand on se rapproche, on ne les voit plus parce que… (J)… l’angle n’est pas bon. Où se manifestent-elles réellement si ce n’est pas là ?

R : Quelque part ailleurs à distance de l’observateur.

Q : (J) Merci ! On a compris ça. (T) En surface ou sous-terre ?

R : Revoyez les deux réponses précédentes.

Q : (J) Faites-vous référence à la représentation visuelle de réalité ?

R : Oui.

Q : (J) Donc, elles n’existent pas vraiment en 3e densité ?

R : Pas loin.

Q : (L) Est-ce un genre d’infiltration ?

R : Oui.

Q : (T) Mais l’événement ne se produit pas là où on voit les lumières… où l’observateur voit-il les lumières ?

R : Terry, sois attentif !

Q : (J) Il est fatigué ce soir. (L) Très bien. Laissons tomber le sujet alors. Maintenant, l’opinion scientifique générale est que l’extinction massive des dinosaures s’est produite il y a 65 millions d’années. Vous nous avez donné le chiffre de 27 millions d’années. Pouvez-vous expliquer cette différence ?

R : La datation au radiocarbone n’est pas une science exacte.

Q : (J) Ils l’ont déjà dit. (L) Donc, vous maintenez vos 27 millions ?

R : Maintenir ?

Q : (L) On doit vraiment avoir affaire à quelqu’un des confins du cosmos ! (J) Oui, détendez-vous !

R : On pourrait dire la même chose de tous ici présents !

Q : (J) Toi-même, na ! (L) Voyons si j’ai une autre question pas trop compliquée… (J) Ne pense même pas à être grincheuse ce soir… (SV) Mets-le sur le compte de la météo. (L) Je veux poser mes questions sur le RMATD, car ce bon vieux Roger a vraiment mis mon cerveau en ébullition… (F) C’est lui qui t’a donné ces questions ? (L) Non, mais mon cerveau a été stimulé et j’y ai réfléchi, et si nous pouvions avoir certaines réponses cela pourrait beaucoup aider sa théorie. Bon, on va les laisser tomber. Peut-être que Tom et Cherie ont une autre question… (C) Quand va-t-on boucler ce projet ?

R : La question devrait être « si », pas quand.

Q : (TF) Oh, génial ! Merci Cherie ! Je vais avoir ce poids en plus, maintenant !

R : Il semble y avoir des conflits au sein de l’organisation !

Q : (L) Y en a-t-il ? As-tu des ennuis à ce sujet ? (TF) Pas de la part des gens qui comptent. Mais c’est une organisation politique comme une autre. [Rires] Elle peut se le permettre parce que ce n’est pas elle qui doit écrire ce truc ! (L) Y a-t-il quoi que ce soit que vous pourriez dire à Tom pour lui faciliter la tâche ?

R : L’avenir de Tom se trouve dans une carrière indépendante.

Q : [Rires] (J) Tout ce qu’il voulait entendre ! (TF) Je peux être viré ! (L) Non, je ne pense pas que ça veuille dire ça !

R : Non.

Q : (L) Tu vois, tu ne vas pas te faire virer !

R : Écrire est ta « vocation », mais en tant qu’auteur, pas journaliste ; jusqu’ici tes publications ont échappé à l’absorption du Consortium, mais uniquement de justesse, et ce pourrait ne plus être vrai dans un futur proche !

Q : (L) Tu sais ce qu’est le Consortium ? (TF) Font-ils référence à Robert Bass ?

R : Ce n’est qu’un des portails.

Q : (L) Je suppose que ça veut dire qu’ils peuvent s’immiscer par son intermédiaire ou par quelqu’un d’autre. Bien…

R : Tu n’apprécierais pas le changement d’atmosphère qui accompagnerait un « rachat ».

Q : [Rires] (TF) C’est un euphémisme. (J) Ça signifie que ce projet serait leur propriété et que tu ne pourrais pas l’utiliser.

R : L’énigme est bien plus vaste que les apparences ne le laissent croire !!!!!

Q : (TF) Tu vois ce que tu as déclenché avec ta question ! (T) C’est ta faute, Cherie ! (C) Je n’ai même pas demandé pour les photos ! (T) C’est digne du Pulitzer !

R : Les photos peuvent « disparaître » !

Q : (J) Oh super ! Génial ! (T) Nous passons aux avertissements maintenant.

R : Te souviens-tu du programme à l’école de journalisme, Tom ?

Q : (L) Je suis sûre que oui ! Où voulez-vous en venir ?

R : La question est pour Tom.

Q : (TF) Bien sûr, pourquoi ?

R : Penses-tu qu’il ait pu y avoir de la propagande ?

Q : (TF) Je suppose que ça dépend du point de vue. (T) C’est toujours le cas.

R : Le tien.

Q : (J) Oui, quel était ton point de vue ? (TF) Sans être taquin, la seule propagande dont je me souvienne était celle de l’IU basketball ! [Rires]

R : Ne pas avoir conscience est un symptôme de méthodologie réussie… méfiance !

Q : (L) Je suppose que ne pas avoir conscience qu’on nous sert de la propagande est le signe d’une bonne propagande ! (TF) Oui, ce serait de la super propagande ! (L) Donc, où voulez-vous en venir ?

R : Les événements qui vont bientôt se dérouler te feront rapidement perdre tes illusions. C’est bénéfique car cela représentera un éveil de ta part, car tu es une âme authentique, bienveillante et honnête.

Q : (J) C’est sympa ! (TF) Quels cours contenaient de la propagande ?

R : Pas la question, ce n’était pas les cours mais l’orientation générale du programme, ce qui est symptomatique d’un problème beaucoup plus grand.

Q : (C) Quels événements vont bientôt avoir lieu ?

R : Rachat imminent de l’employeur !

Q : (T) Qui va racheter ? (L) Ils ont dit le Consortium. (T) Parlons-nous d’une prise de contrôle globale des médias ? (J) Est-ce juste le St Pete Times ou… (T) …le journal dont ils ne se sont pas encore emparés… (L) Dépêche-toi de publier.

R : Oui.

Q : (J) Oui, quoi ? (T) Soit se dépêcher de publier, soit envisager le livre et oublier la série. (TF) Ne dis pas ça devant Cherie ! (T) Ses photos peuvent être publiées dans ton livre. (TF) Ne dis pas ça devant Cherie ! [Rires] On ne peut pas publier en couleur dans un livre. (C) Les reproductions sont de mauvaise qualité dans un livre. (T) Désolé…

R : Tes instincts de journaliste sont de dévoiler les vérités cachées, mais attention, tu as été formé à ne dévoiler que certains types de « vérité » et pas d’autres.

Q : (TF) Je voudrais poser une autre question à propos de la montre. Dans quel état de l’Union se situe l’étendue d’eau où la montre se trouve ?

R : Ne savons pas, car nous avons uniquement accès à la référence visuelle et ne pouvons déterminer les frontières artificiellement délimitées dans ce cas. Si la montre avait été perdue près d’un panneau de signalisation, par exemple, ça aurait pu être différent !

Q : (TF) La région autour de l’étendue d’eau est-elle plate ou montagneuse ?

R : Semble être « accidentée ».

Q : (L) La région semble être accidentée ?

R : Pas loin.

Q : (L) Un terrain inégal ? (TF) Pourquoi mon père était-il à l’église ?

R : Ouvert.

Q : (TF) Était-ce une cérémonie qui concernait un de ses enfants ?

R : Peut-être.

Q : (T) « Peut-être » est une meilleure réponse que « ouvert ». (L) Jan, raconte à Tom l’histoire avec Margaret S. (J) Mon Dieu, je n’arrive pas à croire que tu te souviennes de ce nom ! (L) Je me souviens de tout ce que je tape après l’avoir tapé !

(J) C’est surprenant. Oui, j’avais une question à poser aux Cassiopéens et ils ont eu beaucoup de mal à visualiser la réponse… comme s’ils faisaient une mise au point…

(L) Non, ils ont extrêmement bien visualisé la scène. Ils t’ont vu dans un sous-sol avec tes amies et des bougies, et ils ont décrit une sorte de rituel. Jan voulait qu’ils lui disent ce qu’elle faisait…

(J) En fait, je voulais qu’ils répètent une phrase… on faisait un genre de magie noire, j’imagine, on essayait de jeter un sort à un prof de biologie que personne n’aimait… [Rires]

(L) Jan a un passé…

(T) Le truc avec le canal, c’est qu’ils voient ce qu’on voit, ils savent ce qu’on sait… ce qui se trouve dans ton esprit, ton subconscient…

(L) …ou ce que tu as vu…

(T) Tout ce qui ne se trouve pas dans le canal lui-même, ils ne peuvent pas le capter…

(L) Ah, non ! Ils ont sorti des tas de trucs qui ne viennent pas de cette pièce ni de l’esprit de quiconque !

(TF) S’ils savaient seulement ce qu’il y a dans la tête de tout le monde, comment peux-tu poser des questions sur Jésus… comment cela pourrait-il être en toi…

(L) Je pense qu’ils se focalisent sur un point de l’espace-temps auquel ils accèdent comme un ordinateur, mais toutes les constructions artificielles que nous avons créées pour différencier et définir sont du chinois pour eux.

(J) Bon, le temps est définitivement quelque chose que l’homme a créé car on vit sur une planète qui comporte des jours et des nuits, et le passage des saisons. Si l’on vivait sur une planète où il n’y avait ni jours, ni nuits, ni saisons, nous n’aurions pas le concept du temps. (F) Ou si l’on flottait dans l’espace…

(J) …alors il n’y aurait pas de haut et de bas non plus…

(L) L’autre soir, je cherchais un flacon de gouttes pour les oreilles. On a demandé aux Cassiopéens où il était. Ils ont répondu : dans la chambre, tiroir, tissu blanc et symboles. Eh bien, je l'ai trouvé dans une trousse à maquillage au-dessus du tiroir, la trousse était doublée d’un tissu blanc. Et qu’est-ce que le maquillage, si ce n’est des « symboles » ?

(F) C’est intéressant, car j’avais oublié cet épisode.

(L) Oui, ce à quoi ils accèdent et comment s’est représenté, c’est curieux. Tom, penses-tu qu’il va y avoir des changements au Times ?

(TF) Non.

(L) Eh bien, tu pourrais vouloir envisager de boucler cet article aussi vite que possible, de toute façon…

R : Il y aura une « prise de contrôle », compte là-dessus !

Q : (TF) Je suppose qu’il peut y avoir différents types de prises de contrôle. (J) Ouais. Ça pourrait être un simple changement de direction. (L) Bien, Cherie, as-tu d’autres questions ? [Rires] (C) Je réfléchis. (L) Maintenant que tu as ouvert ce sac de nœuds… (J) Les nœuds, c’est nous ! (TF) Je n’avais pas l’intention de monopoliser cette séance… (J) Tu n’as rien monopolisé. Pas de soucis ! (T) Pas du tout ! (LM) [venant d’arriver dans la pièce] C’était quoi la question, et c’était quoi la réponse ? (L) C’était une série de questions. Cherie a posé une question qui a ouvert un beau sac de nœuds. (TF) Pour résumer, je dois écrire rapidement ! (L) Oui, une avalanche de nœuds. (J) Des changements, des prises de pouvoir… changement d’atmosphère… (L) Que feras-tu si ça arrive ? (TF) Je ne sais pas… il faut encaisser les coups. (L) Bon, ils ne veulent pas que je pose mes questions sur le voyage dans le temps… (T) Mon énergie est au plus bas ce soir… (L) Ça doit être notre problème. Terry n’est pas là et nous fixe avec un regard absent. (TF) Que veux-tu dire par « votre problème » ? (L) Eh bien, quand l’un de nous n’a pas d’énergie, ça limite la réception. (J) Pourquoi l’énergie de Terry est-elle aussi faible ce soir ?

R : A un virus.

Q : (SV) Ne respire pas comme ça ! (T) Ebola est là ! (L) Je m’interrogeais sur le virus kamikaze que j’ai eu l’autre jour. Ça m’a fait penser aux virus en général. Puisque les virus n’ont pas d’ADN, est-il possible de s’en servir pour modifier l’ADN ?

R : Non.

Q : (J) Tant mieux. (TF) Ils n’ont pas d’ADN ? Ont-ils de l’ARN ? (L) Eh bien, il leur manque l’un ou l’autre… (J) Ce sont des parasites cellulaires… (SV) Vas-tu poser d’autres questions sur les tunnels ? (L) Ce virus a-t-il eu des conséquences qui ne sont pas visibles en apparence ?

R : Non.

Q : (L) OK. (J) Quand je suis rentrée du travail l’autre jour, je me suis aperçue que j’avais faim et tout à coup, je me suis mise à trembler et à avoir la tête qui tourne. Je me suis dépêchée de me faire un sandwich au beurre de cacahuètes et à la confiture et j’ai bu un verre de lait, et il semble que ça m’ait apaisée. Était-ce parce que je n’avais pas mangé ?

R : Hypoglycémie.

Q : (J) Est-ce le signe d’une maladie que j’ai ?

R : Vague.

Q : (L) Cela veut-il dire qu’elle souffre a) d’hypoglycémie ou b) d’hyperinsulinisme ?

R : Non, non.

Q : (L) Ni l’un ni l’autre. Était-ce juste une hypoglycémie momentanée due au fait d’avoir travaillé trop longtemps sans manger ?

R : Oui.

Q : (J) Physiquement, je tremblais, j’avais la tête qui tournait et la nausée. (TF) C’était quoi le « Mmmmmmm » que mon père entendait dans ses rêves ? (L) Vous êtes forts au niveau des rêves, hein ? (TF) C’est de famille !

R : Accédait en état alpha à des ondes sonores non audibles en temps normal.

Q : (TF) Pourquoi ces rêves lui paraissaient-ils aussi menaçants ?

R : Son interprétation.

Q : (L) C’était peut-être quelque chose qu’il ne comprenait pas et ça l’effrayait. (TF) Cela avait-il un rapport avec l’Allemagne ?

R : Non.

Q : (TF) Un été, en 1943, il a fait une série de rêves, et c’était intéressant, car son père, l’onirologue, a pu l’aider.

(F) Son père était onirologue ?

(TF) Exact. C’est lui qui a perdu la montre.

(L) Y avait-il une sorte d’antagonisme entre eux ?

(TF) Eh bien, c’était un onirologue freudien, donc oui ! [Rires] Rien de plus que le truc père-fils normal.

(L) Un truc père-fils normal, ça existe ça ?

(SV) J’en doute.

(TF) C’est vrai.

(L) Il semblerait que rien ne soit normal sur cette planète. Bon, à moins que quelqu’un n’ait une question en suspens qu’il lui faille poser, je pense qu’on devrait fermer pour la nuit.

Fin de la séance
 
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Merci une nouvelle fois à l'équipe Française pour la traduction...

Thanks again to the French team for the translation....
 
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