Thanks to the members of the French translation group who have just translated that session.
Please post your comments in the original session: Session 30 March 2002
Merci aux membres de l’équipe française pour cette traduction.
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Date de la séance : 30 mars 2002
Ark, Laura, BT, VG
Q : (L) Bonjour.
R : Ravi de vous voir.
Q : (L) Et qui est avec nous ce soir ?
R : Kolonia.
Q : (L) Et d’où transmettez-vous ?
R : Cassiopée
Q : (L) Très bien, est-ce que l’un d’entre nous a des questions que nous avions l’intention de poser ? VG a ses questions. (V) Je vais commencer par le symbole Reiki que nous avons reçu lors d’une séance précédente. {montre le symbole dessiné sur un morceau de papier} C’est ainsi qu’il a été dessiné au moment où il a été dessiné, on nous a dit qu’il était assez proche comme si cependant il n’était pas exactement comme il devait l’être. Je me demande si celui-ci est plus proche que celui-là ? (en comparant les alternatives proposées) En d’autres termes, si la spirale à l’intérieur du…
R : Faites correspondre les coins à la spirale extérieure ni à l’intérieur ni à l’extérieur.
Q : (V) Bon, je crois que je comprends maintenant. L’autre question que je me pose à propos de ce symbole et que j’ai trouvé très curieux est que dans cette partie centrale il y a un L, est-ce qu’il y a une signification à cela ?...Eh bien, je suis sûr qu’il y a une signification…
R : La forme en crochet signifie le mouvement vers une dimension supérieure.
Q : (V) Question suivante : Est-ce que la répétition des noms des symboles, qui je suppose est comme un mantra qui est un non-non ici, est aussi efficace que l’utilisation répétée du symbole ? Est-ce que cela va dans les deux sens ?
R : Non. La partie importante est la géométrie.
Q : (V) Donc l’utilisation du symbole consiste à mettre une équation géométrique dans le corps de la personne…
R : Considérez que c’est une soudure dans un nouveau circuit.
Q : (V) Un nouveau circuit comme dans l’ADN ?
R : Plutôt comme un transducteur de la conscience supérieure. Si l’ADN change, cela dépend de l’application.
Q : (V) Très bien. Maintenant, cet autre symbole Reiki que vous nous avez donné — An-nu-ki (montre le symbole). Je me demandais si Laura l’avait dessiné correctement comme il l’avait été auparavant puisqu’elle le faisait à partir de son…
R : Proche.
Q : (L) Je l’ai, laissez-moi vous montrer. (V) Qu’est-ce qui pourrait le rendre plus proche ?
R : Fermer la base.
Q : (V) Ahh ! OK. Et que signifie An-nu-ki ?
R : Déjà décrit. Rétention d’énergie.
Q : (V) La question suivante — et j’ai interrogé Laura à ce sujet — est-il possible, de manière significative, d’envoyer de l’énergie de guérison, Reiki, directement au subconscient par le biais du symbole du connecteur du tube d’éther ?
R : Oui. Cela a également été discuté. L’application augmente l’empreinte du circuit.
Q : (L) Je pense que la question posée précédemment — les applications répétées de Reiki guérissent-elles même le karma, et la réponse a été « oui ». Je pense que quelque chose qui guérit le karma couvre à peu près tout… puisque c’est très souvent notre principale préoccupation dans cette réalité. (V) Laura et moi regardions ces symboles de Karuna Reiki tout à l’heure et en avons discuté, pouvez-vous nous donner un aperçu de leur validité ?
R : Essayez de les identifier et faites des recherches sur leur auteur. Vous pourriez découvrir quelque chose de très intéressant.
Q : (V) Eh bien, je les ai utilisés, mais pas dans une grande mesure. Celui que j’ai le plus utilisé est le symbole de Rama qui est utilisé pour dissiper ou expulser l’énergie négative. Ce symbole fait-il ce qu’il prétend faire ?
R : Pensez-vous qu’un symbole peut contrôler votre conscience, ou la conscience d’un autre ?
Q : (V) Je suppose que j’ai pensé que c’est un outil tout comme ceci est un outil (montre le symbole affiché plus tôt). Non, je ne pense pas qu’un symbole puisse contrôler la conscience… quand cela est présenté de cette façon. Mais je veux dire que je pense qu’ils peuvent aussi être utilisés comme des outils. Je ne veux pas avoir raison ou quoi que ce soit d’autre, mais c’est ce que je pense en ce moment.
R : Quelle qualité d’un individu devrait être présente pour fixer l’effet d’un symbole contre la conscience ?
Q : (V) Je ne comprends pas cela. (L) Je pense qu’ils disent que la présence d’une énergie négative implique la présence d’une conscience négative. C’est soit la conscience de l’individu qui en fait l’expérience, soit la conscience projetée par quelqu’un d’autre. Et si l’une ou l’autre de ces conditions est remplie — disons par exemple : si vous avez une énergie négative qui vous est envoyée par quelqu’un d’autre et que vous voulez opposer ce symbole à cette énergie négative, quelle qualité devrait être présente en vous pour que cela fonctionne ? (V) Un manque de négativité. (L) Je ne pense pas. Vous avez déjà de la négativité, n’est-ce pas ? Alors vous allez utiliser le symbole pour le faire disparaître en supposant qu’il a été envoyé sur vous. Que faut-il donc pour que le symbole fonctionne ? (V) Un effort conscient ? (L) La foi. Vous devez croire au symbole. Et si vous croyez au symbole, alors vous mettez le pouvoir dans quelque chose d’extérieur à vous, vous ne croyez pas que vous avez la capacité de vous opposer à la conscience négative. D’un autre côté, si la conscience de la négativité est la vôtre et que vous croyez qu’un symbole peut s’opposer à votre propre négativité, vous n’avez pas cherché à savoir d’où vient la négativité. (A) Vous voyez qu’un outil est quelque chose dont vous devez savoir exactement comment il fonctionne, car sinon ce n’est pas un outil ; vous êtes l’outil de quelque chose d’autre — l’auteur de l’outil n’a peut-être pas vos intérêts à cœur. Vous devez donc connaître exactement l’outil, et en avoir une connaissance précise, si vous voulez qu’il soit un outil. Un outil est donc une projection — une extension — de ce qui est en vous.
R : Sinon, vous êtes l’outil de l’outil
Q : [rires]. (L) Vous êtes l’outil de l’outil si vous n’avez pas une réelle compréhension de ce qu’il est et de ce qu’il est censé faire. (A) OK, donc si ça ressemble à une belle bombe… (L) Appuyez sur le bouton. Je ne sais pas ce que fait la bombe, mais laissez-moi quand même appuyer sur le bouton et voir ce qui se passe ! (V) Bon, d’accord. (L) Je sais, n’est-ce pas amusant ? (V) C’est un truc que je veux demander, et puis je dois y réfléchir pendant un moment. Je veux poser une question sur la photo avec Easter [le chat de V** qui, au moment où la photo en question a été prise, était en train de mourir de vieillesse. V** avait placé le symbole d’Ohm au-dessus de la tête de Easter pour faciliter la transition et, juste après cela, une photo Polaroid a été prise, révélant un point de lumière au-dessus de la tête de V]. Le point de lumière au-dessus de ma tête était-il une erreur de l’impression ou de l’appareil photo ?
R : Non. C’était la lumière de la conscience de l’âme compagnon. Elle vous a été donnée en guise de remerciement.
Q : [Il y a eu une autre discussion entre Laura et V concernant le système de guérison Karuna Reiki qui a conduit à la question suivante] (V) De quelle densité proviennent les symboles ? S’agit-il de STS ou de STO ?
R : 3e, argent augmentant la densité.
Q : (V) Donc, cela n’a même pas été canalisé ?
R : La plupart des symboles peuvent être trouvés dans d’autres ouvrages, en tout ou en partie.
Q : (V) Je pensais à une question et je l’ai perdue. Connaissez-vous la question à laquelle je pensais ? Je suis désolé.
R : La sais-tu ?
Q : [Rires] (V) Oui, je la connais, mais elle m’a échappé pour le moment. Bon sang, d’accord, si elle a disparu, elle a disparu. Hmmm, 3e argent augmentant la densité… ce que les gens vont dire ou faire, ça m’étonne, ça m’époustoufle. (L) Ça devient tellement mauvais. Plus vous enlevez de couches, plus ça empire. C’est comme si vous vouliez juste courir en criant « Je veux partir d’ici. » (V) Je vais être courageuse ici et demander s’il est possible d’obtenir un symbole ce soir qui pourrait fonctionner sur les virus ? (L) Les virus ? (V) Je sais… OK je reviens à la même question de conscience.
R : Les virus ne font des incursions que lorsqu’il existe des lacunes dans la conscience. Un champ complet de conscience comble ces lacunes. Guérissez l’âme au moyen d’une connaissance accrue qui conduira à une modification de l’ADN laquelle comblera les lacunes… Faire autrement équivaut à une violation des profils de leçons choisis par le moi.
Q : (A) Qu’en est-il des guérisseurs ? Tous ces guérisseurs qui font le tour du monde et qui guérissent. La plupart du temps, leurs effets sont temporaires. Guériront-ils que les personnes qui viennent et demandent ? Et généralement, quand ils viennent et demandent, ils demandent d’une manière spécifique qu’ils soient guéris. Je veux dire que je ne sais pas ce qui est si spécifique, mais la question est, bien sûr, qu’ils ne comblent pas le fossé de la conscience. Ou alors, le font-ils ? Comment guérissent-ils ? Je veux dire, qu’ils peuvent tuer même les virus d’une manière ou d’une autre. Comment font-ils cela ?
R : Si la guérison est vraie, elle se produit à plusieurs niveaux. Il s’agit d’une interaction du potentiel de choix préalable.
Q : (V) Donc ça va marcher parce que c’est le moment, ou c’est votre destin. Je suppose. (B) Si cela fonctionne, cela doit signifier que l’individu a choisi d’autoriser la guérison à ce moment précis, et le guérisseur est davantage un facilitateur du choix personnel — à un niveau supérieur — d’un individu.
R : Oui.
Q : (A) Une sorte de transaction entre les deux.
(L) C’est comme l’interrupteur, cela était prêt à se produire, et l’« activité de guérison » a juste fait basculer l’interrupteur. C’était prêt.
(B) La guérison vient de l’intérieur. Qu’elle soit psychique ou physique, nous pouvons compter sur d’autres déclencheurs.
(L) Oui, nous pouvons utiliser toutes sortes de symboles dans notre monde comme nous utilisons des mots pour transmettre nos idées. Nous pouvons utiliser les interactions entre les êtres humains pour transmettre notre volonté et notre enthousiasme à adopter une nouvelle façon d’être.
(A) Les guérisseurs ne savent peut-être pas ce qu’ils font, c’est juste la bonne chose, ils sont là en ce moment, ils sont là, la personne est là.
(V) Tant qu’ils ne le font pas à partir de leur ego.
(L) C’est vrai. Je pense qu’il s’agit autant de « voilà une personne qui en a besoin » et « voilà la personne qui sait instinctivement quoi faire et comment le faire et elle le fait parce qu’elle peut le faire ». Ils sont la personne du moment — « l’homme de l’heure » — et elle est là devant eux. C’est comme si l’on marchait dans la rue et qu’il y avait un morceau de papier : est-ce qu’on continue à marcher ou est-ce qu’on le ramasse ?
(A) Mais il y a peut-être autre chose. Je pense à ce Bulgare D**. Il a apparemment des capacités psychiques et il s’est lancé dans la recherche. Donc, maintenant il m’a parlé de ces méchants qui utilisent cette capacité pour contrôler l’esprit et d’autres choses. Mais, il a écrit une chose qui était assez inattendue de sa part. Il l’a peut-être lu dans nos pages, mais probablement pas. Il a dit que même ces personnes ne peuvent rien faire à moins que la personne en question ne veuille être contrôlée.
(L) Mais cela n’est vrai qu’à un niveau profond. Il est assez évident que les SDS peuvent violer le libre arbitre de ceux qui ignorent leur existence et leurs capacités. Donc D** ne fait que répéter des absurdités « New Age ». C’est ce que les gens qui font des expériences de manipulation mentale voudraient que nous pensions tous. Oui, il est vrai que la personne doit, de son propre gré, choisir. Une personne qui a choisi, à un niveau très profond, de chercher la vérité, pour finalement recevoir une énergie positive, sera motivée par des expériences négatives pour augmenter ses connaissances, ce qui augmente ensuite sa conscience, ce qui augmente ensuite ses capacités de SDA à communiquer et interagir avec d’autres personnes similaires. Les gens utilisent leur libre arbitre — à des niveaux très profonds — pour choisir d’être dupés et manipulés. Soit parce que le SDS est leur choix et leur destination ultime, soit parce qu’ils ont besoin d’apprendre la leçon pour augmenter leur conscience. Lorsqu’ils choisissent de refuser de rechercher la connaissance, ils ont déjà choisi. Lorsqu’ils choisissent de croire plutôt que de chercher et d’être ouverts, ils ont déjà choisi.
R : Dans tous les cas, le libre arbitre est primordial, même s’il n’est pas évident à ce niveau.
Q : (L) Mon fils a lu les notes de la dernière séance et il veut savoir quel genre d’instrument il est ?
R : Viole de gambe.
Q : (Atriedes) Basse de violon ou violon ? (L) Viole de gambe. (Atriedes) Est-ce que vous êtes un peu arbitraires à ce sujet ? Je veux dire, est-ce que c’est comme choisir au hasard, comme la théorie des nombres aléatoires ou autre chose ? (L) Ça doit l’être. (Atriedes) OK, je suis un bassiste. Je suis un bassiste, j’aime ça. Merci les gars. (B) Je dois bien avoir quelqu’un pour contrer le rythme de mon tuba. (L) C’est quel instrument Athena ?
R : Cor d’harmonie.
Q : (L) Et Galatea ?
R : Piccolo.
Q : (B) Quelqu’un d’autre était aussi un cor d’harmonie. (L) RO était aussi un cor d’harmonie. Deux cors d’harmonie, hein ? Il faut trouver quelqu’un qui est un basson. (Atriedes) J’ai quelqu’un qui est un bouffon. (B) Basson, pas bouffon. (Atriedes) Je connais quelqu’un qui joue tous les bassons. (V) Cette question a peut-être été posée lors d’autres séances où je n’étais pas là, alors pardonnez-moi si c’est le cas. Quelle est la différence entre la visualisation créative et l’imagination ?
A : Pas beaucoup.
Q : (V) D’accord. J’ai parcouru certaines des transcriptions et des lectures, et j’y ai trouvé l’affirmation qui dit que « la conscience est la demi-vie de l’énergie » et j’ai trouvé cela très intéressant. Laissez-moi vous demander ceci : est-ce que cette demi-vie, parce qu’avec la chimie et les produits chimiques, ils savent exactement quelle est la demi-vie de certains, disons l’uranium, qu’il a tant d’années avant de se transformer en… (L) Mais c’est statistique. (V) Statistique. D’accord. Quel est l’intervalle de temps ou le cadre de référence où cette énergie dégénère, se transforme, quel que soit le mot, en conscience ?
R : Vous supposez que la compréhension physique s’applique. Dans ce cas, la meilleure question serait : qu’est-ce que l’énergie ?
Q : (L) Qu’est-ce que l’énergie ? {demandant à Ark} (A) Je ne sais pas. (L) Que veux-tu dire par « je ne sais pas » ? (A) Personne ne sait. (L) Oh ! Je vois ce qu’ils disent. L’énergie ne peut pas être comparée à un processus physique comme la demi-vie d’un élément atomique ou quelque chose comme ça. (V) Très bien, et c’est peut-être aussi mon hypothèse, car je relie l’énergie aux processus de pensée.
R : Comment savez-vous que « penser » est de l’énergie ?
Q : (V) Eh bien, je ne pense pas que je sache que c’est cela, je ne fais que postuler et y penser.
R : Qu’en est-il de l’« utilisation » ?
Q : (V) D’accord, qu’est-ce que l’énergie ? Je connais l’atome et le noyau, et je comprends essentiellement la physique de l’énergie, mais est-ce de cela que vous parlez ?
R : Prenez un exemple : la lumière est une expression énergétique de la gravité. L’utilisation de la gravité « génère » de la lumière.
Q : (A) Le fait est que nous ne pouvons pas définir les concepts. Nous pouvons simplement montrer comment ils fonctionnent dans un certain, comment vous dites… (B) cadre. (A) OK : cadre, en les reliant à d’autres concepts et en soulignant que c’est l’usage correct de ce mot et que c’est l’usage incorrect de ce mot. Et ce n’est pas des mathématiques. En mathématiques, tout est défini en termes de concepts primitifs. Ici, nous ne savons pas quels sont les concepts primitifs. Alors nous disons : maintenant, voici la lumière et c’est une expression de l’énergie. Maintenant, qu’est-ce que la lumière a de si particulier ? Vous pouvez réfléchir à ce que vous apprend la physique. La physique vous apprend que la lumière n’a pas de masse, c’est un pur quantum d’énergie. Nous ne savons pas vraiment ce que cela signifie. Nous savons que lorsque la lumière est absorbée, elle a un effet physique, mais en attendant, où va-t-elle ? Ce n’est pas une masse. C’est quelque chose qui peut vous frapper comme de l’énergie ; mais pas un morceau de quelque chose de solide ; c’est de l’énergie pure. Et puis nous savons quelque chose grâce à la théorie de la relativité, que lorsque la lumière parcourt une distance d’un point à un autre dans l’espace d’Einstein de la 4e dimension, la distance mesurée dans cette 4e dimension est nulle. Si vous êtes assis sur un rayon de lumière, vous êtes instantanément partout. Le temps ne s’écoule pas pour la lumière qui voyage. C’est l’énergie. Pour une masse, le temps s’écoule. La masse comprend ce qu’est le temps. Pour la lumière, tout est instantané. Donc nous apprenons un peu ce qu’est l’énergie même si nous n’arrivons pas à la définir, n’est-ce pas ?
R : Et, comme vous le devinez déjà, la conscience « précède » la lumière en tant qu’expression de l’énergie. La question est donc : comment vos quantifications s’appliquent-elles ?
Q : (A) J’ai une question test pour les Cassiopéens. Laquelle de ces deux possibilités suivantes est vraie : a) Dans certaines circonstances, l’énergie peut créer la conscience. b) Dans certaines circonstances, la conscience peut créer de l’énergie.
R : B : la conscience peut créer de l’énergie.
Q : (V) Et la lumière n’est-elle pas aussi une information ?
R : La lumière est une utilisation.
Q : (V) D’accord, la lumière est une utilisation. Comment cela se fait-il ? Est-ce un processus ? Peut-être que je comprendrais mieux si l’on disait « l’utilisation de la lumière ».
R : Dans quel but utiliseriez-vous la lumière ?
Q : (V) Eh bien, pour élever la conscience. Pour augmenter la sensibilité.
R : Comment la lumière pourrait-elle élever la conscience ?
Q : (V) Si la lumière est une énergie, je veux dire, si la lumière est une information…
(A) La lumière n’est pas une information. Ce n’est pas ce qu’on apprend en physique. Vous pouvez utiliser la lumière pour envoyer de l’information.
(V) Pourquoi faut-il qu’il s’agisse de physique ?
(L) De quoi d’autre peut-il s’agir ? La physique s’intéresse aux questions les plus fondamentales de la réalité.
(A) Qu’est-ce que la lumière ? Que savez-vous de la lumière ? Pour vous, ce qu’est la lumière peut avoir une autre définition.
(L) Voici ce qu’ils ont déjà dit : Ils ont dit que la lumière est produite par l’utilisation de la connaissance. Que la lumière est une expression énergétique de la gravité. Ils ont également dit que la lumière est une expression de l’utilisation de la connaissance. Nous en arrivons donc à l’idée que la connaissance est la gravité dans un certain sens. En d’autres termes, la connaissance est constituée de toutes les choses qui pourraient ou ne pourraient pas être dans tous les contextes, dans tous les domaines, dans toutes les dimensions, dans tous les univers, que la somme totale de tout est comme ce point non existant, non dimensionnel de tout ce qui pourrait jamais exister. C’est presque comme ce point zéro à partir duquel tout potentiel pourrait éclater dans des circonstances appropriées.
Nous entrons dans quelque chose où il n’y a pas beaucoup de mots pour le décrire. Il y a ici une énorme limite car si vous ne connaissez pas les mathématiques, vos mots ne peuvent vous mener qu’à un certain point, car aussi précis que vous puissiez être avec vos mots, vous ne pouvez pas être aussi précis que vous pouvez l’être avec les chiffres. Les chiffres disent des choses que les mots ne peuvent pas dire, et ils le disent d’une manière qui communique directement à une partie de l’esprit qui contourne cet organe de traitement des mots. Je ne veux pas dire « contournement », je veux dire qu’il va à un endroit plus élevé qu’un organe de traitement des mots, pour ainsi dire.
Une autre chose intéressante est que toutes les connaissances que nous pouvons rassembler sont comme la gravité, et rassembler la gravité c’est comme devenir plus lourd. Mais lorsque vous l’utilisez, vous la partagez, il y a un éclat de lumière et c’est l’utilisation. En d’autres termes, utiliser vos connaissances, c’est en faire quelque chose. Et cela revient à ce que Gurdjieff a dit, à savoir que pour ceux qui se trouvent dans les cercles ésotériques supérieurs, à ce niveau intérieur, leur compréhension est immédiatement exprimée sous forme d’action. La compréhension et l’action sont comme les deux faces d’une même pièce.
Et puis, bien sûr, il y a d’autres niveaux où ils ont de la compréhension, mais ils n’ont pas d’action. Nous avons tous vu cela chez les gourous qui s’assoient et contemplent leur nombril en disant qu’ils comprennent tout, mais qu’ils ne font rien. Ils restent simplement assis là à contempler leur nombril. Jusqu’à ce que quelqu’un puisse faire et agir en se basant sur sa compréhension, celle-ci n’est pas utilisée et il n’a alors pas produit de lumière pour le monde.
Un exemple simple est le suivant : nous pouvons rester assis ici et recueillir 700 pages d’informations sérieuses, ou de connaissances, et jusqu’à ce que nous les utilisions, jusqu’à ce que nous en fassions quelque chose, jusqu’à ce que nous les partagions, ce n’est pas de la lumière… nous venons de les recueillir et c’est de la gravité. Mais à la minute où nous commençons à l’écrire, à la minute où nous commençons à la transformer en notre réalité d’une manière ou d’une autre, nous écrivons des pages web ou nous faisons une activité ou nous faisons comme les C’s disent, « Vous ferez ce que vous ferez » et c’est entièrement en fonction de votre compréhension.
(V) De la lumière en tant qu’utilisation.
(A) La lumière, lorsqu’elle s’arrête, devient matière. Peut-être est-ce ainsi que, à un autre niveau, lorsque la conscience frappe quelque chose, elle devient lumière.
(V) Qu’est-ce qu’elle frappe ?
(A) Par exemple, une conscience frappe une autre conscience. Il y a donc une réaction. Et à la suite de cette réaction, une lumière est créée qui transporte d’une certaine manière l’information, la connaissance de l’interaction.
(L) Nous finissons donc par tourner en rond.
(V) Ce que tu dis alors, c’est que la lumière n’est pas la première.
(A) Non, nous savons déjà que la conscience crée la lumière. Nous avons cette réponse, la conscience est plus primitive. Je dirais qu’il y a ces niveaux de matière/réalité, d’accord ?
(V) D’accord. Je l’avais à l’envers dans ma tête. Je pensais que la lumière était plus primitive que la conscience.
(A) La lumière est très proche de la matière, vous arrêtez la lumière et vous obtenez la matière.
(L) La matière n’est rien d’autre que de la lumière figée. Autre chose : la lumière est une expression énergétique de la gravité. C’est une expression d’énergie. Cela suggère que la gravité est une énergie non exprimée. Et quand elle s’exprime, c’est de la lumière. Et lorsqu’elle s’exprime ici et là, nous avons ces unités de conscience qui sont l’énergie non exprimée avant la lumière. Lorsque la gravité est exprimée, c’est la conscience — qui se manifeste peut-être dans une autre gamme du spectre EM — et le niveau suivant de l’expression est lorsqu’une énergie de conscience et une autre énergie de conscience interagissent l’une avec l’autre et que de la lumière est produite. Possiblement.
(A) Une autre possibilité est que la conscience soit le principe organisateur. La lumière est quelque chose qui est déjà organisé.
(L) Et si la conscience était une onde de gravité instable.
(A) Nous ne savons pas ce que c’est. Nous ne savons même pas ce que sont les ondes de gravité.
(L) En fin de compte, nous sondons des domaines qui ont été sondés et sondés et sondés pendant des années sans résultat définitif.
(A) Oh, nous allons le découvrir.
(B) Ce qui est triste, c’est que tout ce processus est encombré de tant d’erreurs d’orientation et de sémantique.
(L) Oui, et le facteur de combat.
{La prochaine question que j’ai posée nécessite quelques informations générales. Plus tôt dans le mois, Frank avait publié, par l’intermédiaire de Vincent Bridges, la déclaration suivante :
En raison de cette tentative tout à fait scandaleuse et illégale de détruire l’œuvre Cassiopéenne, nous avons dû consacrer beaucoup de temps et d’argent à des avocats. Il était assez évident que l’avis ci-dessus avait été composé par quelqu’un d’autre que Frank, et j’ai supposé qu’il s’agissait d’une collaboration de Vincent Bridges et Teresa Burns — qui prétendaient enseigner le « droit d’auteur ». Nos droits étaient bien établis légalement, mais les avocats nous ont fait savoir que la seule façon de mettre fin à ce piratage — une affaire civile — était qu’un tribunal déclare que la loi avait effectivement été violée. Dans un tel cas, il y avait des sanctions sévères, pouvant aller jusqu’à l’emprisonnement. Le problème était que, pour porter une telle affaire devant les tribunaux, il fallait passer par la Cour fédérale. C’était extrêmement coûteux. Les lecteurs du site Cassiopéen sont venus à notre secours, et en quelques semaines seulement, nous avons eu suffisamment de fonds pour engager des poursuites. Une chose me préoccupait cependant : la mère âgée de Frank. Je savais que Vincent Bridges avait mis Frank dans cette situation absurde, et que Frank suivait la carotte sur le bâton comme un idiot. Mais il le faisait sur les revenus de sa mère. C’était son argent qui servait à payer son avocat qui a répondu à notre demande de cessation et d’abstention. C’était son argent qui serait utilisé pour financer une défense si et quand nous déposerions. Et une poursuite que nous allions certainement faire.}
Q : (L) En parlant de batailles : Je veux savoir ce que Frank a vraiment dans la tête, quelles sont ses motivations ? (V) Qu’a-t-il à gagner de tout cela ?
R : Il est un outil de la 4d SDS. Il a choisi.
Q : (V) Il a choisi ? OK, si quelqu’un va au magasin et qu’il choisit d’acheter un pain de seigle au lieu d’un pain blanc, il l’a choisi comme ça ? Ou l’a-t-il choisi comme...
R : Il s’est incarné avec un plan dont il s’est souvenu lorsqu’il s’est réveillé.
Q : (L) C’était déjà un choix fait d’avance ? (B) Le choix a été fait à un autre niveau et il ne fait que manifester ce choix maintenant ? (V) Est-ce karmique ?
R : Choix. Certains aiment la lumière, d’autres aiment l’obscurité.
Q : (L) Quand s’est-il réveillé et quand a-t-il eu cette prise de conscience ? Mentait-il et nous trompait-il tous, depuis le début ?
R : Il était à moitié réveillé. Mais comme plusieurs, il était confus.
Q : (L) Confus de quelle manière ?
R : Il ne comprenait pas entièrement les symboles de votre monde.
Q : (L) Alors à quel moment a-t-il finalement compris qu’il était différent de nous et que nous ne serions jamais sur la même voie ?
R : Il s’est réveillé dès la fin de 1998 ou le début de 1999.
Q : (V) L’arrivée d’Ark a-t-elle favorisé ce réveil ?
R : En partie.
Q : (V) Je suis également curieuse, puisque nous parlons de ce qu’il pense, a-t-il des regrets ? Regrette-t-il ce qui s’est passé, ce qui est arrivé ?
R : Il est seulement capable de regretter qu’il n’ait pas obtenu ce qu’il voulait.
Q : (V) OK, donc c’est un outil de la 4e densité SDS… quel est le gain pour Frank, quelle est à son avis la récompense ?
R : Il est perdu dans l’illusion de sa propre importance. Il pense que les autres sont d’accord avec son évaluation.
Q : (V) Vous savez, cela ne me semble pas être un gain vraiment intéressant. Je suppose que c’est ce qui sépare le bon grain de l’ivraie. Car l’auto-amplification — obtenir ce que l’on veut — est plus importante que la croissance et l’apprentissage. Cela me semble être un gain peu onéreux.
(A) N’est-il pas vrai que 90 % de la population pense de cette façon ?
(V) Je sais, mais je ne comprends pas ; c’est tellement superficiel.
(L) Je sais que nous ne comprenons pas et nous ne pouvons pas.
(A) Ce qu’il pense, c’est probablement : « ces gens stupides, ils pensent grandir, ils ont leurs illusions, ils pensent à Oz, au lieu de s’attaquer à quelque chose de réel comme l’argent ou d’être célèbres. Ils veulent apprendre. Ils pensent qu’il n’y a rien de tel que la vérité, que tout est lumière. Plus votre lumière est bonne, plus vous irez haut. Ils ne comprennent pas cela, ils échoueront. » C’est ce qu’il pense : que nous sommes des ratés. Et il pense : « Je suivais aussi ce chemin d’échecs et j’ai failli échouer moi-même. C’est bien que je me sois dissocié d’eux ».
(L) Oui. C’est triste à dire, c’est probablement ce qu’il pense.
(V) C’est triste, et je ne veux pas dire triste comme « oh pauvre Frank », je veux dire que c’est pathétique !
(L) Oui, parce qu’ils pensent toujours — dans un certain sens, c’est drôle — qu’ils vont unifier le monde et retourner dans ce sommeil cosmique. Ils doivent tout contrôler, tout absorber et retourner dans ce sommeil cosmique…
(V) Pourquoi veulent-ils faire cela ?
(L) Parce qu’ils ont peur de la création. La création est incertaine. La création est libre. La création n’est pas sûre. Elle implique d’être ouvert ; elle implique d’être sans peur.
(V) Est-ce qu’ils pensent vraiment ces choses entre leur cerveau gauche et leur cerveau droit ?
(L) Non, ils n’en sont probablement pas conscients. Ils la rationalisent avec des idées et des idéaux qui sonnent bien. Ils appellent cela le christianisme ou les appels Ophaniques aux Tours de Guet ou autre. Ou ils disent qu’ils vont méditer sur la paix et sauver le monde ou autre chose. Ils masquent cela avec toutes sortes d’illusions et de croyances, et les masques ont plusieurs niveaux de profondeur. Je pense qu’il est aussi difficile pour nous de comprendre leur point de vue que pour eux de comprendre le nôtre. Ils pensent que nous sommes des imbéciles, j’en suis sûre. Eh bien parfois, je n’en suis pas sûre.
(V) J’ai du mal à concevoir qu’ils soient assis dans leur petit groupe de réunion ou quoi que ce soit d’autre, en se disant : « Regardez comme ils sont stupides, regardez comme ils sont ignorants, ce sont des imbéciles ». S’ils font vraiment cela, alors c’est une projection. Ils projettent ce qui n’est vrai qu’à leur sujet.
(L) C’est vrai. Et c’est ce qu’ils font. Vous devriez lire certains des messages publics qu’ils ont faits pour parler de nous. C’est une telle saleté. En fait, de manière intéressante, c’est ce qui nous a permis de comprendre l’état d’esprit des SDS. Parce que, lorsque nous avons viré VB du groupe parce que nous avions découvert qu’il mentait et manipulait, nous avons en fait mis en place un petit test. Nous lui avons donné le choix. Nous lui avons fait savoir pourquoi nous devions prendre la décision concernant sa conférence, et nous lui avons dit que ce qu’il faisait n’était pas acceptable pour notre travail. Nous ne pouvions pas nous présenter à sa conférence, nous ne pouvions pas le laisser publier nos livres, nous ne pouvions pas l’avoir comme une sorte de gourou dans notre groupe s’il allait continuer à faire toutes ces choses magiques — promouvant des choses qui étaient antithétiques par rapport à ce que les C’s expliquaient.
(V) Quel genre de magie rituelle pratiquait-il ?
(L) Les rituels sataniques de la Golden Dawn, entre autres. Et il avait tout un site web qui enseignait aux gens comment les faire et il voulait venir dans notre groupe et enseigner à notre groupe comment faire ces rituels sataniques. Je lui avais envoyé toutes les informations sur ce que les C’s avaient dit à propos des rituels et il essayait sans cesse de les déformer et de les interpréter pour que tout aille bien, mais il ne comprenait pas. Et le fait était qu’à ce moment précis, il y avait tout un tas de choses bizarres qui se passaient et nous lui avons juste fait savoir que nous ne pouvions pas être associés à cela. Il avait le choix.
(V) Mettre les C’s de côté, c’est aller à l’encontre de tout ce en quoi vous croyez personnellement.
(L) Tout ce pour quoi nous avons travaillé toutes nos vies. Il a essayé de nous piéger pour nous détruire. Oh, mais selon Vincent, le vrai problème, c’était moi. D’après lui, je ne comprenais tout simplement pas les C’s, les C’s m’apprenaient vraiment comment faire ces rituels, seulement j’étais incapable de le déchiffrer.
(V) Oh merde !
(L) Mais, c’est ce qu’il me disait. Je ne comprenais pas vraiment comment interpréter les C’s et si je lui permettais d’être mon professeur, je comprendrais ce que les C’s disaient vraiment !
(V) Et si vous étiez stupides, ignorants et idiots, vous l’auriez cru.
(L) Donc tu vois, nous avons tout expliqué au groupe, dont il faisait partie. Et il avait le choix à ce moment-là — à quel point voulait-il publier nos livres, à quel point voulait-il être associé à nous, à quel point voulait-il toutes ces choses ? Le voulait-il suffisamment pour s’aligner sur le travail des C’s ? Non. Il allait le faire à sa façon ou pas du tout.
(V) Un narcissique.
(B) Je pense qu’il y a une énorme, énorme tendance à ignorer le fait que VB et toi, par exemple pour ainsi dire, êtes nécessaires dans le schéma de la création, que les deux sont égaux, qu’il ne s’agit pas de savoir si l’un a raison ou si l’autre a tort, mais lequel vous choisissez, point final.
(L) C’est juste.
(B) La création ne peut pas se contenter d’inspirer, il doit y avoir des expirations.
(L) C’est vrai. Mais il a eu le choix de participer à ce que nous faisions — il a travaillé longtemps pour cela — et puis il s’est tiré une balle dans le pied en ce qui nous concerne. La question était, même si elle n’était pas exprimée et qu’elle devait être une compréhension qui viendrait de l’intérieur de lui : êtes-vous avec nous ou contre nous ?
(B) À un autre niveau, il peut y avoir des choix complètement différents qui doivent être faits, mais à ce niveau, cela semble être la période de choix.
(V) Y a-t-il d’autres mondes dans lesquels ces personnes, comme VB, Frank, font des choix différents ?
(L) En d’autres termes, y a-t-il une autre réalité où ils sont les gentils, où ils se joignent à nous et nous aident.
(V) C’est vrai. Une réalité alternative.
R : Frank et Vincent sont l’autre réalité !
Q : (V) Wow ! Tout se passe en même temps, hein ? Ils sont l’autre réalité, comme l’antithèse du travail de Laura ?
R : Plus ou moins, oui.
Q : (L) Est-ce que ce conflit, pour ainsi dire, dans lequel nous nous engageons avec cette situation Frank/Vincent Bridges — est-ce une réalité qui est également représentée dans une autre réalité comme ce conflit entre, disons, les Juifs et les Arabes en ce moment ?
R : Très proche, il se reflète dans de nombreuses façons à l’heure actuelle.
Q : (L) Eh bien, je veux juste que vous sachiez que de notre côté ça ne va pas très bien. (V) Pourquoi dis-tu cela ? (L) Eh bien, je veux dire que si ces conflits se reflètent à de nombreux niveaux et de nombreuses façons sur toute la planète, juste la vue d’ensemble de la planète en ce moment, les soi-disant bons ne vont pas vraiment bien en ce moment. (B) Oui, cette réalité est leur propre vérité. (V) Je vois les choses différemment, je pense que nous sommes dans cette situation parce que nous ne sommes pas de cette réalité ; nous avons fait un choix différent. (L) Mais nous sommes si peu nombreux.
R : L’aide est en route.
Q : (V) Quoi pas de point d’exclamation ? {rires} D’accord, nous avons donc un point ce soir. Et puis dans un mois, nous aurons un point d’exclamation. Le mois suivant, nous en aurons deux, trois, et alors nous saurons que c’est très proche. Je suis une sorte de quantificateur. {rires} Des vœux pieux ? (B) Si tel est le statut donné à cet environnement et à ce niveau de densité, cette leçon, toute personne qui s’en affranchit est un plus, car il y a sans aucun doute un contrepoids. (V) C’est vrai. Prendre votre gloire là où vous pouvez l’obtenir.
R : Et cela finira par s’équilibrer à la fin.
Q : (L) Eh bien, ce sera bien. (V) Cet équilibre est-il nécessaire pour notre transition vers la 4e densité ?
R : L’équilibre est le résultat.
Q : (V) L’équilibre est le résultat du passage à la 4e densité, c’est ce que vous dites ?
R : Oui.
Q : (V) Si 90 % est négatif et 10 % est positif…
R : Mais tous ne feront pas la transition.
Q : (V) L’équilibre signifierait 50-50…
(B) Non parce que nous ne sommes pas le seul jeu de balle dans la création. Ce n’est pas la somme totale de la création. Cette réalité n’en est qu’un aspect. Il peut y avoir d’autres réalités où elle est aussi fortement pondérée dans l’autre sens.
(L) Je pense qu’un autre facteur est que lorsque les gens interconnectent, ils partagent leurs idées et leur croissance et cela devient plus que la somme de ces parties. Vous savez, lorsqu’ils s’ouvrent vraiment à leur réseau, ce que l’un apprend — s’il le partage avec d’autres — devient l’apprentissage de cet autre, au moins d’une certaine manière. De cette façon, les gens peuvent apprendre beaucoup de choses grâce aux expériences de leur groupe s’ils sont connectés à ce groupe. Ainsi, un groupe de personnes qui sont individuellement chacune incapable d’atteindre la 4e densité par elles-mêmes — en vertu du fait qu’elles ont ce groupe symbiotique de partage — elles vont en quelque sorte y aller ensemble.
D’un autre côté, l’alignement SDS, puisqu’ils ne font rien en termes de groupes ou de partage, n’ont pas cet avantage. Il faut plus d’énergie à chacun pour progresser individuellement, car, dans leur chaîne de commandement, ils sont tous constamment vidés de leur énergie par le partage et la croyance aux mensonges.
Ainsi, l’avantage semble être du côté d’un groupe SDA même s’ils semblent être moins nombreux. L’énergie cumulée d’un groupe plus important de personnes qui sont individuellement, peut-être moins prêtes pour la voie SDA, seront promues quand même, contrairement au très petit groupe de ceux qui sont prêts pour la vision SDS. La plupart des membres du groupe SDS devront simplement revenir en arrière et refaire la 3 D.
(A) Vous devez comprendre que le concept même d’équilibre dépend de ce qui doit être exactement équilibré. Lorsque vous avez une balance, et que vous avez beaucoup de blé ou quelque chose d’autre d’un côté, et un petit morceau d’or de l’autre, ils s’équilibrent même si les quantités sont complètement différentes.
(V) Peut-être que les candidats SDA ont un plus grand… (L) Poids ? (V) Oui. (L) Quelque chose comme ça, parce qu’ils partagent très profondément — au niveau de leur être. (V) Il pourrait donc y avoir 90 % de candidats SDS et 10 % de candidats SDA puisque ces derniers gagnent en poids au fur et à mesure qu’ils acquièrent des connaissances. (L) C’est possible.
R : Très proche. Mais ne restez pas bloqué sur des chiffres dans ce sens. L’aide est en route !
Q : (L) Une point d’exclamation ! Ils se sont rapprochés très vite ! (V) Pour quoi ?
R : Pour vous tous.
Q : (B) S’agit-il d’une forme d’aide très générique par opposition à une forme d’aide individuelle spécifique ?
R : Attendez et vous verrez !
Q : (L) Je veux poser des questions sur la santé de BT. Qu’est-ce que BT doit faire ou ne pas faire pour arrêter ces crampes dans ses jambes ?
R : Arrêtez d’être statique. Granules d’acide lactique.
Q : (V) Se tenir debout sur la tête. (B) Oh bien sûr, ils iront à ma tête et c’est la seule chose qui fonctionne correctement. (rires) (L) Donc quand vous marchez, cela les libère et vous cause de la douleur. (B) Puis-je prendre ____ pour aider à l’assimilation de l’acide lactique.
R : Non.
Q : (L) Eh bien, à moins que vous n’ayez besoin de nous dire quelque chose que nous n’avons pas demandé, nous vous dirons bonne nuit. Cette petite séance a été très instructive.
R : Elev.
Q : (L) Pourquoi sont-ils si timides ?...C’est tout ce qu’il y a ?
R : Oui. Au revoir.
Fin de la séance.
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Merci aux membres de l’équipe française pour cette traduction.
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Date de la séance : 30 mars 2002
Ark, Laura, BT, VG
Q : (L) Bonjour.
R : Ravi de vous voir.
Q : (L) Et qui est avec nous ce soir ?
R : Kolonia.
Q : (L) Et d’où transmettez-vous ?
R : Cassiopée
Q : (L) Très bien, est-ce que l’un d’entre nous a des questions que nous avions l’intention de poser ? VG a ses questions. (V) Je vais commencer par le symbole Reiki que nous avons reçu lors d’une séance précédente. {montre le symbole dessiné sur un morceau de papier} C’est ainsi qu’il a été dessiné au moment où il a été dessiné, on nous a dit qu’il était assez proche comme si cependant il n’était pas exactement comme il devait l’être. Je me demande si celui-ci est plus proche que celui-là ? (en comparant les alternatives proposées) En d’autres termes, si la spirale à l’intérieur du…
R : Faites correspondre les coins à la spirale extérieure ni à l’intérieur ni à l’extérieur.
Q : (V) Bon, je crois que je comprends maintenant. L’autre question que je me pose à propos de ce symbole et que j’ai trouvé très curieux est que dans cette partie centrale il y a un L, est-ce qu’il y a une signification à cela ?...Eh bien, je suis sûr qu’il y a une signification…
R : La forme en crochet signifie le mouvement vers une dimension supérieure.
Q : (V) Question suivante : Est-ce que la répétition des noms des symboles, qui je suppose est comme un mantra qui est un non-non ici, est aussi efficace que l’utilisation répétée du symbole ? Est-ce que cela va dans les deux sens ?
R : Non. La partie importante est la géométrie.
Q : (V) Donc l’utilisation du symbole consiste à mettre une équation géométrique dans le corps de la personne…
R : Considérez que c’est une soudure dans un nouveau circuit.
Q : (V) Un nouveau circuit comme dans l’ADN ?
R : Plutôt comme un transducteur de la conscience supérieure. Si l’ADN change, cela dépend de l’application.
Q : (V) Très bien. Maintenant, cet autre symbole Reiki que vous nous avez donné — An-nu-ki (montre le symbole). Je me demandais si Laura l’avait dessiné correctement comme il l’avait été auparavant puisqu’elle le faisait à partir de son…
R : Proche.
Q : (L) Je l’ai, laissez-moi vous montrer. (V) Qu’est-ce qui pourrait le rendre plus proche ?
R : Fermer la base.
Q : (V) Ahh ! OK. Et que signifie An-nu-ki ?
R : Déjà décrit. Rétention d’énergie.
Q : (V) La question suivante — et j’ai interrogé Laura à ce sujet — est-il possible, de manière significative, d’envoyer de l’énergie de guérison, Reiki, directement au subconscient par le biais du symbole du connecteur du tube d’éther ?
R : Oui. Cela a également été discuté. L’application augmente l’empreinte du circuit.
Q : (L) Je pense que la question posée précédemment — les applications répétées de Reiki guérissent-elles même le karma, et la réponse a été « oui ». Je pense que quelque chose qui guérit le karma couvre à peu près tout… puisque c’est très souvent notre principale préoccupation dans cette réalité. (V) Laura et moi regardions ces symboles de Karuna Reiki tout à l’heure et en avons discuté, pouvez-vous nous donner un aperçu de leur validité ?
R : Essayez de les identifier et faites des recherches sur leur auteur. Vous pourriez découvrir quelque chose de très intéressant.
Q : (V) Eh bien, je les ai utilisés, mais pas dans une grande mesure. Celui que j’ai le plus utilisé est le symbole de Rama qui est utilisé pour dissiper ou expulser l’énergie négative. Ce symbole fait-il ce qu’il prétend faire ?
R : Pensez-vous qu’un symbole peut contrôler votre conscience, ou la conscience d’un autre ?
Q : (V) Je suppose que j’ai pensé que c’est un outil tout comme ceci est un outil (montre le symbole affiché plus tôt). Non, je ne pense pas qu’un symbole puisse contrôler la conscience… quand cela est présenté de cette façon. Mais je veux dire que je pense qu’ils peuvent aussi être utilisés comme des outils. Je ne veux pas avoir raison ou quoi que ce soit d’autre, mais c’est ce que je pense en ce moment.
R : Quelle qualité d’un individu devrait être présente pour fixer l’effet d’un symbole contre la conscience ?
Q : (V) Je ne comprends pas cela. (L) Je pense qu’ils disent que la présence d’une énergie négative implique la présence d’une conscience négative. C’est soit la conscience de l’individu qui en fait l’expérience, soit la conscience projetée par quelqu’un d’autre. Et si l’une ou l’autre de ces conditions est remplie — disons par exemple : si vous avez une énergie négative qui vous est envoyée par quelqu’un d’autre et que vous voulez opposer ce symbole à cette énergie négative, quelle qualité devrait être présente en vous pour que cela fonctionne ? (V) Un manque de négativité. (L) Je ne pense pas. Vous avez déjà de la négativité, n’est-ce pas ? Alors vous allez utiliser le symbole pour le faire disparaître en supposant qu’il a été envoyé sur vous. Que faut-il donc pour que le symbole fonctionne ? (V) Un effort conscient ? (L) La foi. Vous devez croire au symbole. Et si vous croyez au symbole, alors vous mettez le pouvoir dans quelque chose d’extérieur à vous, vous ne croyez pas que vous avez la capacité de vous opposer à la conscience négative. D’un autre côté, si la conscience de la négativité est la vôtre et que vous croyez qu’un symbole peut s’opposer à votre propre négativité, vous n’avez pas cherché à savoir d’où vient la négativité. (A) Vous voyez qu’un outil est quelque chose dont vous devez savoir exactement comment il fonctionne, car sinon ce n’est pas un outil ; vous êtes l’outil de quelque chose d’autre — l’auteur de l’outil n’a peut-être pas vos intérêts à cœur. Vous devez donc connaître exactement l’outil, et en avoir une connaissance précise, si vous voulez qu’il soit un outil. Un outil est donc une projection — une extension — de ce qui est en vous.
R : Sinon, vous êtes l’outil de l’outil
Q : [rires]. (L) Vous êtes l’outil de l’outil si vous n’avez pas une réelle compréhension de ce qu’il est et de ce qu’il est censé faire. (A) OK, donc si ça ressemble à une belle bombe… (L) Appuyez sur le bouton. Je ne sais pas ce que fait la bombe, mais laissez-moi quand même appuyer sur le bouton et voir ce qui se passe ! (V) Bon, d’accord. (L) Je sais, n’est-ce pas amusant ? (V) C’est un truc que je veux demander, et puis je dois y réfléchir pendant un moment. Je veux poser une question sur la photo avec Easter [le chat de V** qui, au moment où la photo en question a été prise, était en train de mourir de vieillesse. V** avait placé le symbole d’Ohm au-dessus de la tête de Easter pour faciliter la transition et, juste après cela, une photo Polaroid a été prise, révélant un point de lumière au-dessus de la tête de V]. Le point de lumière au-dessus de ma tête était-il une erreur de l’impression ou de l’appareil photo ?
R : Non. C’était la lumière de la conscience de l’âme compagnon. Elle vous a été donnée en guise de remerciement.
Q : [Il y a eu une autre discussion entre Laura et V concernant le système de guérison Karuna Reiki qui a conduit à la question suivante] (V) De quelle densité proviennent les symboles ? S’agit-il de STS ou de STO ?
R : 3e, argent augmentant la densité.
Q : (V) Donc, cela n’a même pas été canalisé ?
R : La plupart des symboles peuvent être trouvés dans d’autres ouvrages, en tout ou en partie.
Q : (V) Je pensais à une question et je l’ai perdue. Connaissez-vous la question à laquelle je pensais ? Je suis désolé.
R : La sais-tu ?
Q : [Rires] (V) Oui, je la connais, mais elle m’a échappé pour le moment. Bon sang, d’accord, si elle a disparu, elle a disparu. Hmmm, 3e argent augmentant la densité… ce que les gens vont dire ou faire, ça m’étonne, ça m’époustoufle. (L) Ça devient tellement mauvais. Plus vous enlevez de couches, plus ça empire. C’est comme si vous vouliez juste courir en criant « Je veux partir d’ici. » (V) Je vais être courageuse ici et demander s’il est possible d’obtenir un symbole ce soir qui pourrait fonctionner sur les virus ? (L) Les virus ? (V) Je sais… OK je reviens à la même question de conscience.
R : Les virus ne font des incursions que lorsqu’il existe des lacunes dans la conscience. Un champ complet de conscience comble ces lacunes. Guérissez l’âme au moyen d’une connaissance accrue qui conduira à une modification de l’ADN laquelle comblera les lacunes… Faire autrement équivaut à une violation des profils de leçons choisis par le moi.
Q : (A) Qu’en est-il des guérisseurs ? Tous ces guérisseurs qui font le tour du monde et qui guérissent. La plupart du temps, leurs effets sont temporaires. Guériront-ils que les personnes qui viennent et demandent ? Et généralement, quand ils viennent et demandent, ils demandent d’une manière spécifique qu’ils soient guéris. Je veux dire que je ne sais pas ce qui est si spécifique, mais la question est, bien sûr, qu’ils ne comblent pas le fossé de la conscience. Ou alors, le font-ils ? Comment guérissent-ils ? Je veux dire, qu’ils peuvent tuer même les virus d’une manière ou d’une autre. Comment font-ils cela ?
R : Si la guérison est vraie, elle se produit à plusieurs niveaux. Il s’agit d’une interaction du potentiel de choix préalable.
Q : (V) Donc ça va marcher parce que c’est le moment, ou c’est votre destin. Je suppose. (B) Si cela fonctionne, cela doit signifier que l’individu a choisi d’autoriser la guérison à ce moment précis, et le guérisseur est davantage un facilitateur du choix personnel — à un niveau supérieur — d’un individu.
R : Oui.
Q : (A) Une sorte de transaction entre les deux.
(L) C’est comme l’interrupteur, cela était prêt à se produire, et l’« activité de guérison » a juste fait basculer l’interrupteur. C’était prêt.
(B) La guérison vient de l’intérieur. Qu’elle soit psychique ou physique, nous pouvons compter sur d’autres déclencheurs.
(L) Oui, nous pouvons utiliser toutes sortes de symboles dans notre monde comme nous utilisons des mots pour transmettre nos idées. Nous pouvons utiliser les interactions entre les êtres humains pour transmettre notre volonté et notre enthousiasme à adopter une nouvelle façon d’être.
(A) Les guérisseurs ne savent peut-être pas ce qu’ils font, c’est juste la bonne chose, ils sont là en ce moment, ils sont là, la personne est là.
(V) Tant qu’ils ne le font pas à partir de leur ego.
(L) C’est vrai. Je pense qu’il s’agit autant de « voilà une personne qui en a besoin » et « voilà la personne qui sait instinctivement quoi faire et comment le faire et elle le fait parce qu’elle peut le faire ». Ils sont la personne du moment — « l’homme de l’heure » — et elle est là devant eux. C’est comme si l’on marchait dans la rue et qu’il y avait un morceau de papier : est-ce qu’on continue à marcher ou est-ce qu’on le ramasse ?
(A) Mais il y a peut-être autre chose. Je pense à ce Bulgare D**. Il a apparemment des capacités psychiques et il s’est lancé dans la recherche. Donc, maintenant il m’a parlé de ces méchants qui utilisent cette capacité pour contrôler l’esprit et d’autres choses. Mais, il a écrit une chose qui était assez inattendue de sa part. Il l’a peut-être lu dans nos pages, mais probablement pas. Il a dit que même ces personnes ne peuvent rien faire à moins que la personne en question ne veuille être contrôlée.
(L) Mais cela n’est vrai qu’à un niveau profond. Il est assez évident que les SDS peuvent violer le libre arbitre de ceux qui ignorent leur existence et leurs capacités. Donc D** ne fait que répéter des absurdités « New Age ». C’est ce que les gens qui font des expériences de manipulation mentale voudraient que nous pensions tous. Oui, il est vrai que la personne doit, de son propre gré, choisir. Une personne qui a choisi, à un niveau très profond, de chercher la vérité, pour finalement recevoir une énergie positive, sera motivée par des expériences négatives pour augmenter ses connaissances, ce qui augmente ensuite sa conscience, ce qui augmente ensuite ses capacités de SDA à communiquer et interagir avec d’autres personnes similaires. Les gens utilisent leur libre arbitre — à des niveaux très profonds — pour choisir d’être dupés et manipulés. Soit parce que le SDS est leur choix et leur destination ultime, soit parce qu’ils ont besoin d’apprendre la leçon pour augmenter leur conscience. Lorsqu’ils choisissent de refuser de rechercher la connaissance, ils ont déjà choisi. Lorsqu’ils choisissent de croire plutôt que de chercher et d’être ouverts, ils ont déjà choisi.
R : Dans tous les cas, le libre arbitre est primordial, même s’il n’est pas évident à ce niveau.
Q : (L) Mon fils a lu les notes de la dernière séance et il veut savoir quel genre d’instrument il est ?
R : Viole de gambe.
Q : (Atriedes) Basse de violon ou violon ? (L) Viole de gambe. (Atriedes) Est-ce que vous êtes un peu arbitraires à ce sujet ? Je veux dire, est-ce que c’est comme choisir au hasard, comme la théorie des nombres aléatoires ou autre chose ? (L) Ça doit l’être. (Atriedes) OK, je suis un bassiste. Je suis un bassiste, j’aime ça. Merci les gars. (B) Je dois bien avoir quelqu’un pour contrer le rythme de mon tuba. (L) C’est quel instrument Athena ?
R : Cor d’harmonie.
Q : (L) Et Galatea ?
R : Piccolo.
Q : (B) Quelqu’un d’autre était aussi un cor d’harmonie. (L) RO était aussi un cor d’harmonie. Deux cors d’harmonie, hein ? Il faut trouver quelqu’un qui est un basson. (Atriedes) J’ai quelqu’un qui est un bouffon. (B) Basson, pas bouffon. (Atriedes) Je connais quelqu’un qui joue tous les bassons. (V) Cette question a peut-être été posée lors d’autres séances où je n’étais pas là, alors pardonnez-moi si c’est le cas. Quelle est la différence entre la visualisation créative et l’imagination ?
A : Pas beaucoup.
Q : (V) D’accord. J’ai parcouru certaines des transcriptions et des lectures, et j’y ai trouvé l’affirmation qui dit que « la conscience est la demi-vie de l’énergie » et j’ai trouvé cela très intéressant. Laissez-moi vous demander ceci : est-ce que cette demi-vie, parce qu’avec la chimie et les produits chimiques, ils savent exactement quelle est la demi-vie de certains, disons l’uranium, qu’il a tant d’années avant de se transformer en… (L) Mais c’est statistique. (V) Statistique. D’accord. Quel est l’intervalle de temps ou le cadre de référence où cette énergie dégénère, se transforme, quel que soit le mot, en conscience ?
R : Vous supposez que la compréhension physique s’applique. Dans ce cas, la meilleure question serait : qu’est-ce que l’énergie ?
Q : (L) Qu’est-ce que l’énergie ? {demandant à Ark} (A) Je ne sais pas. (L) Que veux-tu dire par « je ne sais pas » ? (A) Personne ne sait. (L) Oh ! Je vois ce qu’ils disent. L’énergie ne peut pas être comparée à un processus physique comme la demi-vie d’un élément atomique ou quelque chose comme ça. (V) Très bien, et c’est peut-être aussi mon hypothèse, car je relie l’énergie aux processus de pensée.
R : Comment savez-vous que « penser » est de l’énergie ?
Q : (V) Eh bien, je ne pense pas que je sache que c’est cela, je ne fais que postuler et y penser.
R : Qu’en est-il de l’« utilisation » ?
Q : (V) D’accord, qu’est-ce que l’énergie ? Je connais l’atome et le noyau, et je comprends essentiellement la physique de l’énergie, mais est-ce de cela que vous parlez ?
R : Prenez un exemple : la lumière est une expression énergétique de la gravité. L’utilisation de la gravité « génère » de la lumière.
Q : (A) Le fait est que nous ne pouvons pas définir les concepts. Nous pouvons simplement montrer comment ils fonctionnent dans un certain, comment vous dites… (B) cadre. (A) OK : cadre, en les reliant à d’autres concepts et en soulignant que c’est l’usage correct de ce mot et que c’est l’usage incorrect de ce mot. Et ce n’est pas des mathématiques. En mathématiques, tout est défini en termes de concepts primitifs. Ici, nous ne savons pas quels sont les concepts primitifs. Alors nous disons : maintenant, voici la lumière et c’est une expression de l’énergie. Maintenant, qu’est-ce que la lumière a de si particulier ? Vous pouvez réfléchir à ce que vous apprend la physique. La physique vous apprend que la lumière n’a pas de masse, c’est un pur quantum d’énergie. Nous ne savons pas vraiment ce que cela signifie. Nous savons que lorsque la lumière est absorbée, elle a un effet physique, mais en attendant, où va-t-elle ? Ce n’est pas une masse. C’est quelque chose qui peut vous frapper comme de l’énergie ; mais pas un morceau de quelque chose de solide ; c’est de l’énergie pure. Et puis nous savons quelque chose grâce à la théorie de la relativité, que lorsque la lumière parcourt une distance d’un point à un autre dans l’espace d’Einstein de la 4e dimension, la distance mesurée dans cette 4e dimension est nulle. Si vous êtes assis sur un rayon de lumière, vous êtes instantanément partout. Le temps ne s’écoule pas pour la lumière qui voyage. C’est l’énergie. Pour une masse, le temps s’écoule. La masse comprend ce qu’est le temps. Pour la lumière, tout est instantané. Donc nous apprenons un peu ce qu’est l’énergie même si nous n’arrivons pas à la définir, n’est-ce pas ?
R : Et, comme vous le devinez déjà, la conscience « précède » la lumière en tant qu’expression de l’énergie. La question est donc : comment vos quantifications s’appliquent-elles ?
Q : (A) J’ai une question test pour les Cassiopéens. Laquelle de ces deux possibilités suivantes est vraie : a) Dans certaines circonstances, l’énergie peut créer la conscience. b) Dans certaines circonstances, la conscience peut créer de l’énergie.
R : B : la conscience peut créer de l’énergie.
Q : (V) Et la lumière n’est-elle pas aussi une information ?
R : La lumière est une utilisation.
Q : (V) D’accord, la lumière est une utilisation. Comment cela se fait-il ? Est-ce un processus ? Peut-être que je comprendrais mieux si l’on disait « l’utilisation de la lumière ».
R : Dans quel but utiliseriez-vous la lumière ?
Q : (V) Eh bien, pour élever la conscience. Pour augmenter la sensibilité.
R : Comment la lumière pourrait-elle élever la conscience ?
Q : (V) Si la lumière est une énergie, je veux dire, si la lumière est une information…
(A) La lumière n’est pas une information. Ce n’est pas ce qu’on apprend en physique. Vous pouvez utiliser la lumière pour envoyer de l’information.
(V) Pourquoi faut-il qu’il s’agisse de physique ?
(L) De quoi d’autre peut-il s’agir ? La physique s’intéresse aux questions les plus fondamentales de la réalité.
(A) Qu’est-ce que la lumière ? Que savez-vous de la lumière ? Pour vous, ce qu’est la lumière peut avoir une autre définition.
(L) Voici ce qu’ils ont déjà dit : Ils ont dit que la lumière est produite par l’utilisation de la connaissance. Que la lumière est une expression énergétique de la gravité. Ils ont également dit que la lumière est une expression de l’utilisation de la connaissance. Nous en arrivons donc à l’idée que la connaissance est la gravité dans un certain sens. En d’autres termes, la connaissance est constituée de toutes les choses qui pourraient ou ne pourraient pas être dans tous les contextes, dans tous les domaines, dans toutes les dimensions, dans tous les univers, que la somme totale de tout est comme ce point non existant, non dimensionnel de tout ce qui pourrait jamais exister. C’est presque comme ce point zéro à partir duquel tout potentiel pourrait éclater dans des circonstances appropriées.
Nous entrons dans quelque chose où il n’y a pas beaucoup de mots pour le décrire. Il y a ici une énorme limite car si vous ne connaissez pas les mathématiques, vos mots ne peuvent vous mener qu’à un certain point, car aussi précis que vous puissiez être avec vos mots, vous ne pouvez pas être aussi précis que vous pouvez l’être avec les chiffres. Les chiffres disent des choses que les mots ne peuvent pas dire, et ils le disent d’une manière qui communique directement à une partie de l’esprit qui contourne cet organe de traitement des mots. Je ne veux pas dire « contournement », je veux dire qu’il va à un endroit plus élevé qu’un organe de traitement des mots, pour ainsi dire.
Une autre chose intéressante est que toutes les connaissances que nous pouvons rassembler sont comme la gravité, et rassembler la gravité c’est comme devenir plus lourd. Mais lorsque vous l’utilisez, vous la partagez, il y a un éclat de lumière et c’est l’utilisation. En d’autres termes, utiliser vos connaissances, c’est en faire quelque chose. Et cela revient à ce que Gurdjieff a dit, à savoir que pour ceux qui se trouvent dans les cercles ésotériques supérieurs, à ce niveau intérieur, leur compréhension est immédiatement exprimée sous forme d’action. La compréhension et l’action sont comme les deux faces d’une même pièce.
Et puis, bien sûr, il y a d’autres niveaux où ils ont de la compréhension, mais ils n’ont pas d’action. Nous avons tous vu cela chez les gourous qui s’assoient et contemplent leur nombril en disant qu’ils comprennent tout, mais qu’ils ne font rien. Ils restent simplement assis là à contempler leur nombril. Jusqu’à ce que quelqu’un puisse faire et agir en se basant sur sa compréhension, celle-ci n’est pas utilisée et il n’a alors pas produit de lumière pour le monde.
Un exemple simple est le suivant : nous pouvons rester assis ici et recueillir 700 pages d’informations sérieuses, ou de connaissances, et jusqu’à ce que nous les utilisions, jusqu’à ce que nous en fassions quelque chose, jusqu’à ce que nous les partagions, ce n’est pas de la lumière… nous venons de les recueillir et c’est de la gravité. Mais à la minute où nous commençons à l’écrire, à la minute où nous commençons à la transformer en notre réalité d’une manière ou d’une autre, nous écrivons des pages web ou nous faisons une activité ou nous faisons comme les C’s disent, « Vous ferez ce que vous ferez » et c’est entièrement en fonction de votre compréhension.
(V) De la lumière en tant qu’utilisation.
(A) La lumière, lorsqu’elle s’arrête, devient matière. Peut-être est-ce ainsi que, à un autre niveau, lorsque la conscience frappe quelque chose, elle devient lumière.
(V) Qu’est-ce qu’elle frappe ?
(A) Par exemple, une conscience frappe une autre conscience. Il y a donc une réaction. Et à la suite de cette réaction, une lumière est créée qui transporte d’une certaine manière l’information, la connaissance de l’interaction.
(L) Nous finissons donc par tourner en rond.
(V) Ce que tu dis alors, c’est que la lumière n’est pas la première.
(A) Non, nous savons déjà que la conscience crée la lumière. Nous avons cette réponse, la conscience est plus primitive. Je dirais qu’il y a ces niveaux de matière/réalité, d’accord ?
(V) D’accord. Je l’avais à l’envers dans ma tête. Je pensais que la lumière était plus primitive que la conscience.
(A) La lumière est très proche de la matière, vous arrêtez la lumière et vous obtenez la matière.
(L) La matière n’est rien d’autre que de la lumière figée. Autre chose : la lumière est une expression énergétique de la gravité. C’est une expression d’énergie. Cela suggère que la gravité est une énergie non exprimée. Et quand elle s’exprime, c’est de la lumière. Et lorsqu’elle s’exprime ici et là, nous avons ces unités de conscience qui sont l’énergie non exprimée avant la lumière. Lorsque la gravité est exprimée, c’est la conscience — qui se manifeste peut-être dans une autre gamme du spectre EM — et le niveau suivant de l’expression est lorsqu’une énergie de conscience et une autre énergie de conscience interagissent l’une avec l’autre et que de la lumière est produite. Possiblement.
(A) Une autre possibilité est que la conscience soit le principe organisateur. La lumière est quelque chose qui est déjà organisé.
(L) Et si la conscience était une onde de gravité instable.
(A) Nous ne savons pas ce que c’est. Nous ne savons même pas ce que sont les ondes de gravité.
(L) En fin de compte, nous sondons des domaines qui ont été sondés et sondés et sondés pendant des années sans résultat définitif.
(A) Oh, nous allons le découvrir.
(B) Ce qui est triste, c’est que tout ce processus est encombré de tant d’erreurs d’orientation et de sémantique.
(L) Oui, et le facteur de combat.
{La prochaine question que j’ai posée nécessite quelques informations générales. Plus tôt dans le mois, Frank avait publié, par l’intermédiaire de Vincent Bridges, la déclaration suivante :
Avis de « Frank G. Scott » : Clarification de l’avis de droit d’auteur
Frank G. Scott fait valoir par la présente son droit, moral et légal, d’être considéré comme un auteur du matériel, ci-après dénommé The Cassiopaean Transcripts : 1994 -2000, consistant en des transcriptions de séances de canalisation menées conjointement et uniquement par Frank G. Scott et Laura Knight Martin, également connue sous le nom de Laura Knight Jadcyzk.
Mme Knight Jadcyzk a toujours fait preuve de mauvaise foi en ce qui concerne les droits d’auteur de M. Scott sur le matériel — en revendiquant le droit d’auteur exclusif sur un matériel dont il est admis qu’il est le fruit d’une collaboration, puis en utilisant ce matériel à des fins de gain financier individuel, ainsi qu’en fondant une secte autour de ce matériel — sans jamais demander ou recevoir la moindre autorisation de M. Scott pour l’une de ces utilisations.
Par conséquent, à compter du 1er mars 2002, la mention de copyright et la stipulation d’autorisation qui suivent seront considérées comme la seule déclaration de copyright légale et valide concernant le matériel mentionné ici comme The Cassiopaean Transcripts : 1994 -2000 :
The {Scott} Cassiopaea logs : 1994 -2000
(c) {Frank Scott} and Laura Knight Jadcyzk 1994 -2000
{En accordant à Mme Knight Jadcyzk le statut de co-auteur, M. « Scott », à la lumière des tentatives antérieures de mauvaise foi de Mme Knight Jadcyzk d’utiliser le matériel sans autorisation, fait les stipulations suivantes :
1) Aucune utilisation commerciale du matériel, quelle qu’elle soit.
2) Le matériel doit être mis gratuitement à disposition sous sa forme non éditée, et ne peut être transmis ou utilisé que sous cette forme.
3) Aucune permission n’est accordée ou implicite pour toute utilisation d’extraits, au-delà de la longueur et pour les raisons décrites dans la disposition relative à l’utilisation équitable du DMCA, ou de séances individuelles par toute personne, organisation ou société, quelle qu’elle soit.
(Toute utilisation ultérieure, après le 1er mars 2002, de tout matériel protégé par le droit d’auteur comme indiqué ci-dessus sans l’autorisation écrite expresse des deux auteurs, ou qui viole l’autorisation mentionnée dans la notice de droit d’auteur ci-dessus, sera considérée comme un acte de violation du droit d’auteur, qui, s’il est prouvé, entraîne des pénalités de 20 000 à 100,00 dollars par infraction).
(Veuillez noter que cet avertissement est un avis officiel de cesser et de s’abstenir de toute violation des droits d’auteur et de toute autre utilisation du matériel qui n’a pas l’autorisation écrite expresse des deux auteurs, ou qui viole l’autorisation accordée dans la déclaration de droits d’auteur).
En raison de cette tentative tout à fait scandaleuse et illégale de détruire l’œuvre Cassiopéenne, nous avons dû consacrer beaucoup de temps et d’argent à des avocats. Il était assez évident que l’avis ci-dessus avait été composé par quelqu’un d’autre que Frank, et j’ai supposé qu’il s’agissait d’une collaboration de Vincent Bridges et Teresa Burns — qui prétendaient enseigner le « droit d’auteur ». Nos droits étaient bien établis légalement, mais les avocats nous ont fait savoir que la seule façon de mettre fin à ce piratage — une affaire civile — était qu’un tribunal déclare que la loi avait effectivement été violée. Dans un tel cas, il y avait des sanctions sévères, pouvant aller jusqu’à l’emprisonnement. Le problème était que, pour porter une telle affaire devant les tribunaux, il fallait passer par la Cour fédérale. C’était extrêmement coûteux. Les lecteurs du site Cassiopéen sont venus à notre secours, et en quelques semaines seulement, nous avons eu suffisamment de fonds pour engager des poursuites. Une chose me préoccupait cependant : la mère âgée de Frank. Je savais que Vincent Bridges avait mis Frank dans cette situation absurde, et que Frank suivait la carotte sur le bâton comme un idiot. Mais il le faisait sur les revenus de sa mère. C’était son argent qui servait à payer son avocat qui a répondu à notre demande de cessation et d’abstention. C’était son argent qui serait utilisé pour financer une défense si et quand nous déposerions. Et une poursuite que nous allions certainement faire.}
Q : (L) En parlant de batailles : Je veux savoir ce que Frank a vraiment dans la tête, quelles sont ses motivations ? (V) Qu’a-t-il à gagner de tout cela ?
R : Il est un outil de la 4d SDS. Il a choisi.
Q : (V) Il a choisi ? OK, si quelqu’un va au magasin et qu’il choisit d’acheter un pain de seigle au lieu d’un pain blanc, il l’a choisi comme ça ? Ou l’a-t-il choisi comme...
R : Il s’est incarné avec un plan dont il s’est souvenu lorsqu’il s’est réveillé.
Q : (L) C’était déjà un choix fait d’avance ? (B) Le choix a été fait à un autre niveau et il ne fait que manifester ce choix maintenant ? (V) Est-ce karmique ?
R : Choix. Certains aiment la lumière, d’autres aiment l’obscurité.
Q : (L) Quand s’est-il réveillé et quand a-t-il eu cette prise de conscience ? Mentait-il et nous trompait-il tous, depuis le début ?
R : Il était à moitié réveillé. Mais comme plusieurs, il était confus.
Q : (L) Confus de quelle manière ?
R : Il ne comprenait pas entièrement les symboles de votre monde.
Q : (L) Alors à quel moment a-t-il finalement compris qu’il était différent de nous et que nous ne serions jamais sur la même voie ?
R : Il s’est réveillé dès la fin de 1998 ou le début de 1999.
Q : (V) L’arrivée d’Ark a-t-elle favorisé ce réveil ?
R : En partie.
Q : (V) Je suis également curieuse, puisque nous parlons de ce qu’il pense, a-t-il des regrets ? Regrette-t-il ce qui s’est passé, ce qui est arrivé ?
R : Il est seulement capable de regretter qu’il n’ait pas obtenu ce qu’il voulait.
Q : (V) OK, donc c’est un outil de la 4e densité SDS… quel est le gain pour Frank, quelle est à son avis la récompense ?
R : Il est perdu dans l’illusion de sa propre importance. Il pense que les autres sont d’accord avec son évaluation.
Q : (V) Vous savez, cela ne me semble pas être un gain vraiment intéressant. Je suppose que c’est ce qui sépare le bon grain de l’ivraie. Car l’auto-amplification — obtenir ce que l’on veut — est plus importante que la croissance et l’apprentissage. Cela me semble être un gain peu onéreux.
(A) N’est-il pas vrai que 90 % de la population pense de cette façon ?
(V) Je sais, mais je ne comprends pas ; c’est tellement superficiel.
(L) Je sais que nous ne comprenons pas et nous ne pouvons pas.
(A) Ce qu’il pense, c’est probablement : « ces gens stupides, ils pensent grandir, ils ont leurs illusions, ils pensent à Oz, au lieu de s’attaquer à quelque chose de réel comme l’argent ou d’être célèbres. Ils veulent apprendre. Ils pensent qu’il n’y a rien de tel que la vérité, que tout est lumière. Plus votre lumière est bonne, plus vous irez haut. Ils ne comprennent pas cela, ils échoueront. » C’est ce qu’il pense : que nous sommes des ratés. Et il pense : « Je suivais aussi ce chemin d’échecs et j’ai failli échouer moi-même. C’est bien que je me sois dissocié d’eux ».
(L) Oui. C’est triste à dire, c’est probablement ce qu’il pense.
(V) C’est triste, et je ne veux pas dire triste comme « oh pauvre Frank », je veux dire que c’est pathétique !
(L) Oui, parce qu’ils pensent toujours — dans un certain sens, c’est drôle — qu’ils vont unifier le monde et retourner dans ce sommeil cosmique. Ils doivent tout contrôler, tout absorber et retourner dans ce sommeil cosmique…
(V) Pourquoi veulent-ils faire cela ?
(L) Parce qu’ils ont peur de la création. La création est incertaine. La création est libre. La création n’est pas sûre. Elle implique d’être ouvert ; elle implique d’être sans peur.
(V) Est-ce qu’ils pensent vraiment ces choses entre leur cerveau gauche et leur cerveau droit ?
(L) Non, ils n’en sont probablement pas conscients. Ils la rationalisent avec des idées et des idéaux qui sonnent bien. Ils appellent cela le christianisme ou les appels Ophaniques aux Tours de Guet ou autre. Ou ils disent qu’ils vont méditer sur la paix et sauver le monde ou autre chose. Ils masquent cela avec toutes sortes d’illusions et de croyances, et les masques ont plusieurs niveaux de profondeur. Je pense qu’il est aussi difficile pour nous de comprendre leur point de vue que pour eux de comprendre le nôtre. Ils pensent que nous sommes des imbéciles, j’en suis sûre. Eh bien parfois, je n’en suis pas sûre.
(V) J’ai du mal à concevoir qu’ils soient assis dans leur petit groupe de réunion ou quoi que ce soit d’autre, en se disant : « Regardez comme ils sont stupides, regardez comme ils sont ignorants, ce sont des imbéciles ». S’ils font vraiment cela, alors c’est une projection. Ils projettent ce qui n’est vrai qu’à leur sujet.
(L) C’est vrai. Et c’est ce qu’ils font. Vous devriez lire certains des messages publics qu’ils ont faits pour parler de nous. C’est une telle saleté. En fait, de manière intéressante, c’est ce qui nous a permis de comprendre l’état d’esprit des SDS. Parce que, lorsque nous avons viré VB du groupe parce que nous avions découvert qu’il mentait et manipulait, nous avons en fait mis en place un petit test. Nous lui avons donné le choix. Nous lui avons fait savoir pourquoi nous devions prendre la décision concernant sa conférence, et nous lui avons dit que ce qu’il faisait n’était pas acceptable pour notre travail. Nous ne pouvions pas nous présenter à sa conférence, nous ne pouvions pas le laisser publier nos livres, nous ne pouvions pas l’avoir comme une sorte de gourou dans notre groupe s’il allait continuer à faire toutes ces choses magiques — promouvant des choses qui étaient antithétiques par rapport à ce que les C’s expliquaient.
(V) Quel genre de magie rituelle pratiquait-il ?
(L) Les rituels sataniques de la Golden Dawn, entre autres. Et il avait tout un site web qui enseignait aux gens comment les faire et il voulait venir dans notre groupe et enseigner à notre groupe comment faire ces rituels sataniques. Je lui avais envoyé toutes les informations sur ce que les C’s avaient dit à propos des rituels et il essayait sans cesse de les déformer et de les interpréter pour que tout aille bien, mais il ne comprenait pas. Et le fait était qu’à ce moment précis, il y avait tout un tas de choses bizarres qui se passaient et nous lui avons juste fait savoir que nous ne pouvions pas être associés à cela. Il avait le choix.
(V) Mettre les C’s de côté, c’est aller à l’encontre de tout ce en quoi vous croyez personnellement.
(L) Tout ce pour quoi nous avons travaillé toutes nos vies. Il a essayé de nous piéger pour nous détruire. Oh, mais selon Vincent, le vrai problème, c’était moi. D’après lui, je ne comprenais tout simplement pas les C’s, les C’s m’apprenaient vraiment comment faire ces rituels, seulement j’étais incapable de le déchiffrer.
(V) Oh merde !
(L) Mais, c’est ce qu’il me disait. Je ne comprenais pas vraiment comment interpréter les C’s et si je lui permettais d’être mon professeur, je comprendrais ce que les C’s disaient vraiment !
(V) Et si vous étiez stupides, ignorants et idiots, vous l’auriez cru.
(L) Donc tu vois, nous avons tout expliqué au groupe, dont il faisait partie. Et il avait le choix à ce moment-là — à quel point voulait-il publier nos livres, à quel point voulait-il être associé à nous, à quel point voulait-il toutes ces choses ? Le voulait-il suffisamment pour s’aligner sur le travail des C’s ? Non. Il allait le faire à sa façon ou pas du tout.
(V) Un narcissique.
(B) Je pense qu’il y a une énorme, énorme tendance à ignorer le fait que VB et toi, par exemple pour ainsi dire, êtes nécessaires dans le schéma de la création, que les deux sont égaux, qu’il ne s’agit pas de savoir si l’un a raison ou si l’autre a tort, mais lequel vous choisissez, point final.
(L) C’est juste.
(B) La création ne peut pas se contenter d’inspirer, il doit y avoir des expirations.
(L) C’est vrai. Mais il a eu le choix de participer à ce que nous faisions — il a travaillé longtemps pour cela — et puis il s’est tiré une balle dans le pied en ce qui nous concerne. La question était, même si elle n’était pas exprimée et qu’elle devait être une compréhension qui viendrait de l’intérieur de lui : êtes-vous avec nous ou contre nous ?
(B) À un autre niveau, il peut y avoir des choix complètement différents qui doivent être faits, mais à ce niveau, cela semble être la période de choix.
(V) Y a-t-il d’autres mondes dans lesquels ces personnes, comme VB, Frank, font des choix différents ?
(L) En d’autres termes, y a-t-il une autre réalité où ils sont les gentils, où ils se joignent à nous et nous aident.
(V) C’est vrai. Une réalité alternative.
R : Frank et Vincent sont l’autre réalité !
Q : (V) Wow ! Tout se passe en même temps, hein ? Ils sont l’autre réalité, comme l’antithèse du travail de Laura ?
R : Plus ou moins, oui.
Q : (L) Est-ce que ce conflit, pour ainsi dire, dans lequel nous nous engageons avec cette situation Frank/Vincent Bridges — est-ce une réalité qui est également représentée dans une autre réalité comme ce conflit entre, disons, les Juifs et les Arabes en ce moment ?
R : Très proche, il se reflète dans de nombreuses façons à l’heure actuelle.
Q : (L) Eh bien, je veux juste que vous sachiez que de notre côté ça ne va pas très bien. (V) Pourquoi dis-tu cela ? (L) Eh bien, je veux dire que si ces conflits se reflètent à de nombreux niveaux et de nombreuses façons sur toute la planète, juste la vue d’ensemble de la planète en ce moment, les soi-disant bons ne vont pas vraiment bien en ce moment. (B) Oui, cette réalité est leur propre vérité. (V) Je vois les choses différemment, je pense que nous sommes dans cette situation parce que nous ne sommes pas de cette réalité ; nous avons fait un choix différent. (L) Mais nous sommes si peu nombreux.
R : L’aide est en route.
Q : (V) Quoi pas de point d’exclamation ? {rires} D’accord, nous avons donc un point ce soir. Et puis dans un mois, nous aurons un point d’exclamation. Le mois suivant, nous en aurons deux, trois, et alors nous saurons que c’est très proche. Je suis une sorte de quantificateur. {rires} Des vœux pieux ? (B) Si tel est le statut donné à cet environnement et à ce niveau de densité, cette leçon, toute personne qui s’en affranchit est un plus, car il y a sans aucun doute un contrepoids. (V) C’est vrai. Prendre votre gloire là où vous pouvez l’obtenir.
R : Et cela finira par s’équilibrer à la fin.
Q : (L) Eh bien, ce sera bien. (V) Cet équilibre est-il nécessaire pour notre transition vers la 4e densité ?
R : L’équilibre est le résultat.
Q : (V) L’équilibre est le résultat du passage à la 4e densité, c’est ce que vous dites ?
R : Oui.
Q : (V) Si 90 % est négatif et 10 % est positif…
R : Mais tous ne feront pas la transition.
Q : (V) L’équilibre signifierait 50-50…
(B) Non parce que nous ne sommes pas le seul jeu de balle dans la création. Ce n’est pas la somme totale de la création. Cette réalité n’en est qu’un aspect. Il peut y avoir d’autres réalités où elle est aussi fortement pondérée dans l’autre sens.
(L) Je pense qu’un autre facteur est que lorsque les gens interconnectent, ils partagent leurs idées et leur croissance et cela devient plus que la somme de ces parties. Vous savez, lorsqu’ils s’ouvrent vraiment à leur réseau, ce que l’un apprend — s’il le partage avec d’autres — devient l’apprentissage de cet autre, au moins d’une certaine manière. De cette façon, les gens peuvent apprendre beaucoup de choses grâce aux expériences de leur groupe s’ils sont connectés à ce groupe. Ainsi, un groupe de personnes qui sont individuellement chacune incapable d’atteindre la 4e densité par elles-mêmes — en vertu du fait qu’elles ont ce groupe symbiotique de partage — elles vont en quelque sorte y aller ensemble.
D’un autre côté, l’alignement SDS, puisqu’ils ne font rien en termes de groupes ou de partage, n’ont pas cet avantage. Il faut plus d’énergie à chacun pour progresser individuellement, car, dans leur chaîne de commandement, ils sont tous constamment vidés de leur énergie par le partage et la croyance aux mensonges.
Ainsi, l’avantage semble être du côté d’un groupe SDA même s’ils semblent être moins nombreux. L’énergie cumulée d’un groupe plus important de personnes qui sont individuellement, peut-être moins prêtes pour la voie SDA, seront promues quand même, contrairement au très petit groupe de ceux qui sont prêts pour la vision SDS. La plupart des membres du groupe SDS devront simplement revenir en arrière et refaire la 3 D.
(A) Vous devez comprendre que le concept même d’équilibre dépend de ce qui doit être exactement équilibré. Lorsque vous avez une balance, et que vous avez beaucoup de blé ou quelque chose d’autre d’un côté, et un petit morceau d’or de l’autre, ils s’équilibrent même si les quantités sont complètement différentes.
(V) Peut-être que les candidats SDA ont un plus grand… (L) Poids ? (V) Oui. (L) Quelque chose comme ça, parce qu’ils partagent très profondément — au niveau de leur être. (V) Il pourrait donc y avoir 90 % de candidats SDS et 10 % de candidats SDA puisque ces derniers gagnent en poids au fur et à mesure qu’ils acquièrent des connaissances. (L) C’est possible.
R : Très proche. Mais ne restez pas bloqué sur des chiffres dans ce sens. L’aide est en route !
Q : (L) Une point d’exclamation ! Ils se sont rapprochés très vite ! (V) Pour quoi ?
R : Pour vous tous.
Q : (B) S’agit-il d’une forme d’aide très générique par opposition à une forme d’aide individuelle spécifique ?
R : Attendez et vous verrez !
Q : (L) Je veux poser des questions sur la santé de BT. Qu’est-ce que BT doit faire ou ne pas faire pour arrêter ces crampes dans ses jambes ?
R : Arrêtez d’être statique. Granules d’acide lactique.
Q : (V) Se tenir debout sur la tête. (B) Oh bien sûr, ils iront à ma tête et c’est la seule chose qui fonctionne correctement. (rires) (L) Donc quand vous marchez, cela les libère et vous cause de la douleur. (B) Puis-je prendre ____ pour aider à l’assimilation de l’acide lactique.
R : Non.
Q : (L) Eh bien, à moins que vous n’ayez besoin de nous dire quelque chose que nous n’avons pas demandé, nous vous dirons bonne nuit. Cette petite séance a été très instructive.
R : Elev.
Q : (L) Pourquoi sont-ils si timides ?...C’est tout ce qu’il y a ?
R : Oui. Au revoir.
Fin de la séance.
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