Séance du 31 août 1996

Jacques

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Merci aux membres de l'équipe française pour cette traduction.
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Séance du 31 août 1996

Participants : «Frank», Laura, Terry, Jan, V

Q : (L) Bonjour.

R : Bonjour.

Q : (L) Et qui est avec nous ce soir ?

R : Kiork.

Q : (L) Et d’où venez-vous ?

R : Cassiopée.

Q : (L) Quelqu’un a-t-il une question ce soir ? (V) Oui, moi. Que devrais-je faire contre ces rougeurs ? Pourriez-vous me donner une idée ? On dirait que mon visage a été brûlé par un produit chimique, et ma peau me gratte.

R : Pourquoi cela ?

Q : (V) Je pense que c’est à cause des hormones, une réaction à…

R : Non. Non.

Q : (V) Pourquoi cela n’arrive-t-il que…

R : Conjecture encore, et souviens-toi, il est nécessaire d’apprendre pour grandir.

Q : (V) Eh bien, j’ai remarqué que ces derniers mois, ça m’arrive juste avant mon cycle… C’est pour ça que j’ai supposé que des fluctuations hormonales étaient en cause.

R : Et quelles sont tes pratiques habituelles aux alentours du cycle ?

Q : (L) Ça devient un petit peu personnel, V__ ! Tu n’aurais pas dû la poser, celle-là ! (T) C’est quelque chose que tu fais… (J) Oui, que fais-tu ? C’est ce que j’allais demander ! (V) Eh bien…

R : OK Laura, ta main, merci ; maintenant les rougeurs sont généralement un signe de toxicité…

Q : (V) Provenant de la nourriture ?

R : Nous te le demandons.

Q : (L) Donc V__ a des toxines dans son système, et nous sommes raisonnablement certains que ça ne vient pas de l’herbe, parce qu’elle ne fume plus… (V) Et ce n’est pas l’alcool, je ne bois pas. (T) As-tu des envies particulières de nourriture que tu ne manges pas d’habitude ? (V) C’est ça ! Je mange du chocolat tout le temps, je bois des sodas tout le temps… (T) Est-ce une interaction alimentaire ?

R : Mais tes «cycles» ne sont pas «tout le temps».

Q : (L) Donc, autrement dit, des choses que tu manges à cette période du mois t’affecteront négativement… alors tu dois expérimenter avec ça. C’est ça la solution ? Elle ingère quelque chose qui d’ordinaire ne l’incommode pas…

R : Eh bien, nous avons fait allusion à des «pratiques», non ?

Q : (L) Fais-tu quelque chose à cette période du mois que tu ne fais pas…

Q : (V) [Gênée] Les gars ! Eh bien, je suppose… (J) Tu dois examiner ce que tu fais à cette période, et… (L) Élimine certaines choses, mange très simplement et sobrement, et fais attention à ton système, physiquement, mentalement, émotionnellement, et spirituellement, à cette période du mois. (T) Tu sais, change simplement tout ton mode de vie ! [Rires] (L) D’accord, d’accord. En as-tu entendu suffisamment, V__ ? (T) Et évite San Francisco, aussi ! (L) Permettez-moi une autre question de santé très rapide. La semaine dernière, vous m’avez dit que je devrais faire des longueurs de piscine circulaires. Y a-t-il un avantage particulier à faire des longueurs circulaires plutôt que des longueurs rectilignes traditionnelles ?

R : Oui.

Q : (L) Allez-vous me dire quel avantage ?

R : Essaie.

Q : (L) J’en ai bien l’intention. (T) Des cercles. C’est tourner. C’est la même idée. Trente-trois cercles… (L) Ils m’ont dit d’en faire 100 par jour. (V) Qui plus est, c’est un mouvement continu. Si tu nages d’un bout à l’autre, tu dois t’arrêter… (J) Tu t’interromps… oui, exactement, c’est vrai. (T) C’est un mouvement continu tout du long. (L) Bon, je souhaite prendre le temps de vous dire que j’apprécie vraiment le petit conseil que vous m’avez donné la semaine dernière, les gars. Ça n’a pas eu l’effet que je craignais…

R : Petit ?!?!?

Q : (L) Bon, c’était vraiment un conseil assez exceptionnel qui a eu des résultats assez exceptionnels. Je suis sacrément impressionnée, donc… Je ne sais pas quoi dire… (T) Prosterne-toi ! (L) Oui ! Plusieurs fois ! Autre chose à ce sujet ?

R : D’autres questions concernant la foi ?

Q : (L) Non, je ne pense pas ! Je serais dingue si j’en avais ! (T) Je pense que tu as eu un retour plus que suffisant. (L) Très rapidement, une question pour A__ [ma fille]. Nous avons discuté de son retour éventuel à l’école. Je la soutiens quel que soit son choix. Il y a du pour et du contre des deux côtés. Elle m’a demandé de vous demander si vous pouviez un petit peu la guider au sujet de l’école, et elle est ouverte à tout ce que vous pourriez suggérer.

R : Hmmm... Cette question est difficile car il y aura des regrets quoi qu’elle fasse.

Q : (L) Je sais, et je pense qu’elle devrait aller de l’avant et foncer, simplement parce que c’est quelqu’un de tellement maussade que — de par sa volonté d’y retourner — ça la fera sortir, être active, interagir avec les autres et lui évitera d’avoir le cafard. C’est mon sentiment. Elle doit arrêter de broyer du noir. (T) Elle a besoin d’interagir avec des jeunes de son âge. (L) Oui…

R : Ce n’est pas la cause de son «mal-être».

Q : (L) Quelle en est la cause ?

R : Ses secrets.

Q : (L) Et quels sont ses secrets ?

R : Ouvert.

Q : (T) Tu dois lui en parler. (L) Quelqu’un a une idée ? (J) Quel âge a-t-elle ? (L) Quinze. (J) Elle a 15 ans. Ça pourrait être n’importe quoi ! (T) Elle est probablement jalouse de sa sœur. (L, J, V) Non !

R : Non.

Q : (L) Ces secrets ont-ils un rapport avec des choses physiques ?

R : Vague.

Q : (L) Ces secrets concernent-ils ce qu’elle pense ou ressent ?

R : Dans une certaine mesure.

Q : (L) Ont-ils un rapport avec des choses qu’elle a faites ?

R : Pas tellement.

Q : (L) Est-ce que ce sont des secrets de vies antérieures ?

R : Peut-être.

Q : (T) Elle est très sensible, parapsychiquement parlant… (L) A-t-elle besoin d’un détachement d’esprit ? (T) Dans ses interactions avec les autres, est-ce qu’elle capte tous leurs sentiments, leurs pensées, leurs idées, ce qui la met très mal à l’aise ?

R : N’as-tu pas déjà emprunté cette voie à ta grande satisfaction ?!?

Q : (L) Eh bien, c’était une remarque quelque peu obscure ! (V) N’avais-tu pas des secrets quand tu étais ado ?

R : Détachement d’esprit.

Q : (L) Elle a besoin d’un détachement d’esprit… (T) Non, ils demandent si tu n’as pas déjà emprunté cette voie. Tu ne fais plus de détachement d’esprit, souviens-toi. Elle n’en a pas besoin, non. (L) Oui, tout le monde doit faire son propre… (T) Est-ce en réaction au divorce ? (V) C’est ce que je pensais. (T) Ça doit être dur pour elle… (V) Les secrets ne sont-ils pas simplement une étape du développement ? Une phase naturelle quand on grandit ? (J) Elle a 15 ans, souviens-toi.

R : Non, pas pour tout le monde. Secrets.

Q : (J) Elle a 15 ans, et elle a des secrets…

R : Non, non, non. Tout le monde n’a pas des secrets qu’il garde pour lui.

Q : (L) Est-ce un secret très dérangeant, ou plusieurs secrets, ou…

R : Demande à A__ [ma fille] combien de secrets elle garde.

Q : (L) OK, laissons tomber ça. Quoi d’autre ? (T) Les dernières séances où ils ont pris la main ont donné des choses intéressantes. (L) Continue. (T) Voudriez-vous lancer la discussion ce soir et nous indiquer la direction que vous aimeriez nous voir prendre ?

R : Non, à vous d’indiquer.

Q : (L) Une question qui pourrait nous amener quelque part. En reprenant les transcriptions pour qu’Ark les lise, j’ai remarqué que nous avions discuté de l’origine des Celtes et que j’avais demandé s’ils étaient en quoi que ce soit supérieurs aux personnes originaires de cette planète. Et la réponse avait été qu’ils étaient d’une certaine manière plus robustes. J’ai alors fait la remarque qu’ils ne semblaient pas plus robustes que, disons, certains Noirs, car les Celtes sont très blonds, avec une peau très fine, et très délicats. Cette remarque m’a paru assez bizarre. Mais ce que je n’avais pas relevé à l’époque dans la réponse donnée, et qui m’a sauté aux yeux, c’est qu’ils étaient plus robustes, mais pas nécessairement à la surface de la planète… (J) Non, ils n’ont pas dit à la surface de la planète. Ils ont juste dit en surface. (L) En surface… Mmmmmm. Donc, en surface dans le sens d’en apparence, ou en surface par opposition à ce qui est souterrain ? C’est ma question.

R : Les deux.

Q : (L) À plusieurs occasions, nous avons discuté de ces grandes cités ou enclaves souterraines, et il a été dit que ces êtres venaient enlever des bébés humains. Ça ressemble aux contes et aux légendes où diverses créatures viennent voler les bébés des gens pour les amener vivre sous terre, et parfois, il y en a un qui s’échappe. Est-ce de cela qu’il s’agit ? De ce genre de situations, de ces cités, ces grottes, ces civilisations souterraines, etc. ?

R : Vague.

Q : (L) Oui, je sais que c’est vague… (T) Les Celtes appartiennent-ils à ces civilisations souterraines ?

R : Oui.

Q : (T) Et à un moment donné, ils sont venus en surface…

R : Non.

Q : (L) Non, ils sont venus ici et ils ont été emmenés sous terre…

R : Non.

Q : (L) Non, bon, alors c’est quoi l’histoire ?

R : Allés.

Q : (L) Ils sont allés sous terre ? C’est ça ? (T) Quand sont-ils allés sous terre ?

R : À plusieurs occasions, la plus récente étant, sur votre calendrier : entre 1941 et 1945.

Q : (L) C’est là qu’ils sont allés sous terre ? De 1941 à 1945 ?

R : Dernier épisode de migration massive, majoritairement des Deutschlanders.

Q : (T) Sous terre. Sous terre dans le sens de sous la surface de la Terre. C’est bien ça que vous voulez dire ?

R : Antarctique. Sous cette région

Q : (T) Sous l’Antarctique, sous… Oh, dans l’une de ces grandes… OOOhhh !

R : Point d’entrée.

Q : (T) Ils sont allés sous l’Antarctique et y ont construit une vaste base souterraine. C’est l’endroit que les Allemands, les Nazis, ont revendiqué comme le Vinland — je crois que c’est ça — sur les anciennes cartes qui montrent l’Antarctique, c’est le territoire que les Allemands ont revendiqué comme le Vinland, c’est dans cette partie au sud de…

R : Oui, mais ils sont entrés par leur base construite, comme indiqué, puis ont été assimilés.

Q : (L) Ils se sont intégrés à la population déjà présente ? Des cités souterraines, des bases souterraines ?

R : Oui.

Q : (L) Donc, ils ne les ont pas construites, ils y sont entrés comme indiqué, et ont été intégrés à la population ?

R : Ils ont bien construit une base.

Q : (T) Bon, ils devaient continuer à s’étendre ! Maintenant, vous avez dit comme indiqué… (L) Indiqué par qui ? (T) On leur a dit d’aller là ?

R : Ceux qui se présentent sous le nom d’«Antaréens».

Q : (L) Et qui sont les Antaréens ?

R : Rattachement SDS humanoïde d’Orion.

Q : (L) Qu’est-ce qu’un rattachement SDS d’Orion ? (T) C’est le… (L) Nous avons là un nouveau concept. (T) Ce serait… le… le… le… (V) Une race mutante ! (T) Oui ! Ceux qui faisaient partie de la création…

R : Non.

Q : (L) Qu’est-ce qu’un rattachement SDS humanoïde d’Orion ?

[À partir d’ici, une partie de la bande semble manquer, les questions entre crochets sont des reconstructions.]

R : Une race SDS d’Orion qui est humanoïde.

Q : [Question sur l’identité de ceux qui se sont retrouvés liés aux nazis, ou comment. Probablement une question portant sur le groupe qui «manipulait» Hitler.]

R : L’Ordre de Thulé a initié le contact.

Q : [Question sur le fait qu’ils «attendent de s’emparer du monde».]

R : Attendent ?

Q : [Question de Terry à propos de ce que l’Amiral Byrd a pu voir au-dessus du pôle Sud.]

R : Oui, mais il a été amené à croire qu’il ne pourchassait que l’équivalent d’un simple camp de nazis détachés.

Q : [Donc, Byrd doit avoir vu quelque chose et a ensuite été amené sur une fausse piste…]

R : Oui.

[La cassette reprend ici.]

Q : (T)… les États-Unis n’ont fait que supposer, et Churchill… entre Roosevelt et Churchill, lequel des deux était-ce ? Ils n’ont pas dit grand-chose aux Russes sur ce qu’ils faisaient là-bas. Ils ont simplement supposé que c’était une base, une autre des bases souterraines tenues par les nazis, et qu’ils ne pouvaient rien faire, car c’était trop loin et qu’on les tenait à l’écart de la guerre. Ils ne pouvaient donc pas renvoyer grand-chose. Alors, ils les ont laissés venir et se sont dit qu’ils étaient coincés. Ils sont ressortis…

(V) Est-ce qu’ils ressortent maintenant sous la forme des suprémacistes blancs qui surgissent de partout ?

(T) Ils ont toujours fait des allées et venues. L’Amiral Byrd a été envoyé là-bas soi-disant pour aller au pôle Sud, la première expédition de l’Amiral Byrd au pôle Sud ; mais il avait emmené une grosse force armée avec lui. Il était toujours Amiral des États-Unis, à l’époque. La grande force militaire a rencontré de la résistance et s’est fait botter les fesses là-bas. Mais ils l’ont tu parce que personne ne savait vraiment ce qui se passait là-bas. Ils ont juste dit, «Oh, c’était une expédition scientifique». Alors que c’était du même topo que le Capitaine Picard et l’Enterprise qui partent en quête d’une nouvelle planète ! Et en réalité, ils y sont allés pour déloger cette base après la guerre, et n’ont pas vraiment réussi !

(J) Ils se sont attaqués à un trop gros morceau pour eux.

(T) Ils ont perdu un tas d’hommes, de bateaux, et d’équipement. C’est pour ça que toutes ces bases sont à la périphérie, toutes les bases scientifiques de différents pays : la Russie, les États-Unis, la Grande-Bretagne. Tous ces pays ont des bases scientifiques en périphérie de l’Antarctique. Ce sont des bases scientifiques, ils s’en servent pour des études, mais elles sont là pour surveiller ce qui se passe, c’est pour ça qu’ils ne vont pas en Antarctique [à l’intérieur].

(V) Vous savez, mon père était Seabee là-bas.

(T) Je parie qu’il a des histoires très intéressantes à raconter à ce sujet.

(V) C’est pour ça que mon père est alcoolique et qu’il voit trouble.

R : Oui.

Q : (L) Qu’est-ce que ces types ont l’intention de faire ?

R : C’est là qu’ils développent la «Race supérieure».

Q : (L) Et à quelle époque veulent-ils faire ça ?

R : Ne t’en préoccupe pas.

Q : (L)Ark pourra-t-il nous aider grâce aux technologies, aider d’autres gens ou nous protéger d’une manière ou d’une autre, face à ces choses vraiment bizarres qui se passent sur notre planète ?

R : Trop et trop tôt, ma chère. La curiosité est un vilain défaut.

Q : (L) Oui, mais qui peut s’avérer payant !

R : Pas ici !!!

Q : (T) Tu dois laisser les choses se faire. Ça s’amplifie de jour en jour, on dirait. Alors laisse simplement faire, et vois où ça mène. (L) OK, bon… (T) Il vient pour te protéger. C’est ce qu’il a dit.

R : Peut-être, mais il y a beaucoup, beaucoup, beaucoup plus que ça en réserve !!!!!!

Q : (L)Attendez !... Faut-il trouver inquiétant ce «Peut-être, mais il y a beaucoup, beaucoup, beaucoup plus que ça en réserve !», ou bien se réjouir du «beaucoup, beaucoup, beaucoup plus que ça en réserve !» ?

R : Pourquoi trouver ça inquiétant ?

Q : (L)Euh, je ne sais pas… Parce que j’ai peur de ce que je ne connais pas ! (T) La foi, nous en revenons encore à la foi.

R : Que t’avons-nous aidée à découvrir jusqu’à présent ? Préférerais-tu interrompre ces communications ?

Q : (L) Oh, vous rigolez ! (T) Après deux ans, vous devriez savoir qu’elle posera toujours ce genre de questions !

R : Non, pas deux ans, l’éternité.

Q : (L) C’est une insulte ? (T) Non. Non. Humour ! (J) Oui, ça faisait longtemps qu’on n’avait pas plaisanté ! (T) Juste un brin d’humour !

R : Nous t’avons aidée à construire ton escalier une marche à la fois. Parce que tu l’as demandé. Et tu l’as demandé parce que c’était ta destinée. Nous t’avons mise en contact avec des gens d’un rare talent afin que tu sois à même de communiquer avec nous. Encore une fois, parce que tu le désirais, afin d’accomplir ton chemin. Maintenant, tu devrais reconnaître les signes… Ceux qui présentent des modes de pensée qui, de bien des manières, dévient de ce qui est considéré comme ordinaire. Plus c’est inhabituel, plus c’est révélateur. Ils ont vécu des vies antérieures sur la Terre de 3e densité, mais pas récemment, hormis celle-ci. Et ils ne sont pas adaptés aux fréquences vibratoires terrestres.

[Discussion du groupe concernant la dernière réponse.]

Q : (T) C’était ta destinée de découvrir quel était ton chemin, et tu devais avoir ce contact, parce que c’était ce que tu étais censée faire. (L)Sommes-nous en train de dire que Frank me rend capable de communiquer avec vous, afin que vous puissiez me mettre sur mon chemin, qui est de construire l’escalier, etc. ? C’est bien ce qui se passe ?

R : Frank n’est pas le seul, il y en a d’autres ; lui a seulement permis l’éveil de ton sixième sens.

Q : (L) Je sais que ce n’est probablement pas le moment de poser cette question — c’est le genre de question qui appelle comme réponse : «découvre, ouvert, cherche, ouvert», ce genre de chose — mais on dirait presque que ça vous démange de le dire, alors peut-être que je peux vous aider en posant cette question : quel est cet escalier, quelle est cette destinée ?

R : Découvre.

Q : (L) Je m’y attendais ! (T) Pourquoi ne pas demander qui d’autre est impliqué. (L) Demande, toi, j’essaie de… (T) Bon, si Frank en fait partie, qui d’autre ?

R : Nous avons donné les signes, mais ce ne sont pas forcément les mêmes pour chaque individu.

Q : (L) Bon, je sais que c’est une idée un peu bizarre, mais… (T) Laisse-moi demander ça : tout ce travail que vous faites, toute cette attention que vous accordez, Laura est-elle une pierre angulaire de ce projet sur lequel vous travaillez ?

R : Nous te suggérons d’éviter les exercices d’anticipation, car la réalisation vient après-coup.

Q : [Frank se plaint parce que Laura n’arrête pas d’enlever sa main du pointeur pour la laisser reposer sur ses genoux à cause de ses douleurs] (L) Écoute Franck, ça me fait mal, ne serait-ce que rester assise là m’est difficile ! Rends-toi compte que j’ai mal.

R : Rends-toi compte du fait que tu as reçu les clés pour mettre fin à toute cette souffrance.

[Note de Laura : Reportez-vous ici à la séance du 27juillet 1996 où les C’s avaient fait cette étrange remarque à propos de clés.]

Q : (L) Quand vous dites «mettre fin à toute cette souffrance», on dirait que vous ne parlez pas seulement de mes douleurs à l’épaule ! Je veux dire, c’est assez suggestif.

R : Oui.

Q : (L) Mettre fin à toute cette souffrance…

R : Cela va main dans la main.

Q : (T) Youpi ! (L) Eh bien, c’est… c’est effrayant ! (T) Pourquoi ? Qu’y a-t-il d’effrayant ? Ça ne devrait pas être effrayant, ça devrait être… ça devrait être… (L) Bon, tu vois ce que je veux dire ! Ma pauvre petite conscience pitoyable pense que c’est effrayant ! Peut-être qu’une autre partie de moi apprécie. (T) Ça devrait être, euh, gratifiant de savoir ça ! Ça va de pair. (V) Je me demande si «main dans la main» est littéral… (L) Mmmmmm. Et ça a été le grand mot clé, toute la journée… «main dans la main, donne-moi ta main». (V) Aujourd’hui ? (L) Oui, on va aller ici, on va aller là, on va faire ci, on va faire ça. (J) Ark ? (L) Oui. (J) Donc, tu as les clés pour mettre fin à toute cette souffrance ? (T) Tout ce qu’il nous reste à faire, c’est de trouver le porte-clés ! (L)Non, non, non… Il faut trouver la serrure ! La serrure, Terry ! Il faut trouver cette saleté ! Je veux dire, on a les clés, et puis quoi ? Dans quoi va-t-on les mettre ? (T) Oui, en effet ! On a les clés ! Sur quoi les utiliser ? (J) Où est la porte ? Et où mène-t-elle… bon, peut-être pas… (T) On doit trouver cette porte. On demandera où elle mène après l’avoir ouverte ! (J) Noooon ! Demandons avant !! (T) Attention au précipice derrière la porte !

R : Peut-être devrais-tu nager à t’abrutir.

Q : (T) Commence à faire des longueurs ! Cent par jour. (L) Qui va les faire avec moi ? (V) Moi ! (L) Parfait ! C’est parti ! On commence ce soir ? (V) Très bien, sauf un mardi sur deux. (T) Un mardi sur deux, tu devras nager seule. (V) Et si j’ai un rendez-vous ? (L) Pas de rendez-vous !

R : Ta discipline pourrait être un problème…

Q : (L) J’ai effectivement des problèmes de discipline… (V) [Avec l’accent allemand] «Tu vas nager.» (L) Qui va venir me cravacher pour me faire entrer dans la piscine ? (T) Fais attention, ils sont déjà venus au-dessus de la maison ! (J) Attention à ce que tu demandes ! (V) Je pensais à marcher dans la piscine, pour aider ma hanche… (L) Ça aide. C’est très bon de marcher dans la piscine. (V) Est-ce que marcher dans la piscine aidera ma hanche à se remettre en place ? Ou nager, d’ailleurs ?

R : OK.

Q : (L) Donc, je suis censée nager à m’en abrutir… (T) Et puis beaucoup rire… après t’être abrutie. Et t’en amuser. (L) Très bien les gars… (T) Fais tes cent longueurs parce que tu le veux, pas parce que tu le dois.

R : Tu ne peux pas imaginer le soulagement que t’apportera moins de poids.

Q : (L) Hé, vous-mêmes, les gars ! Une question. Est-ce que nager en cercle accélérera les choses ?

R : Oui.

Q : (L) Très bien, parfait, allons-y, parce que vous savez, je me prive à mort de manger et on n’a pas bougé d’ici depuis une ou deux semaines. (V) Te priver à mort de manger ne fera que te bousiller la santé. (L) Quelqu’un a-t-il d’autres questions ? Parce que je suis vraiment dans un état épouvantable [douleur au bras]. Très bien, disons bonne nuit. Y a-t-il quoi que ce soit que vous vouliez nous transmettre à nous, vos vous dans le passé, pour que nous avancions vers l’avenir avant que nous fermions boutique pour ce soir ?

R : Vous devez être vigilants dans vos demandes. Bonne nuit.

Fin de la séance
 
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