Séance du 9 juin 1996

Jacques

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Thanks to the members of the French translation group who have just translated that session.

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Merci aux membres de l'équipe française pour cette traduction.
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Séance 9 juin 1996

Cette première partie de la séance avait été extrêmement désagréable. La nature des questions envoyées par les autres pouvait en être la cause. J’ai eu l’impression qu’un certain sentiment d’impatience face à l’ignorance émanait de Frank.

Participants : «Frank» et Laura

Q : (L) Bonjour.

R : Bonjour.

Q : (L) Qui est avec nous ce soir ?

R : Ehou.

Q : (L) Et d’où transmettez-vous ?

R : Cassiopée.

Q : (L) J’ai plusieurs questions que d’autres personnes m’ont soumises...

R : Demande.

Q : (L) La première est de Phillip P., pour qui nous avons déjà posé quelques questions par le passé. Il m’a écrit et m’a appelé pour me dire que sa sœur avait des marques de main, des contusions, et sa description ressemblait beaucoup à celles que j’ai vues sur les jambes de Scarlett H__. Sa sœur avait aussi trois petites marques de piqûres en triangle sur la hanche. Il aimerait savoir ce qui lui est arrivé.

R : Qu’en pense Phillip ?

Q : (L) Eh bien, il voulait juste avoir un bref topo à ce sujet. Il pense qu’elle a été abductée, et j’ai tendance à être d’accord avec lui.

R : Le fait est que l’apprentissage implique d’atteindre le stade où une confirmation par une tierce partie n’est plus nécessaire, une fois que l’on possède la connaissance adéquate.

Q : (L) Je sais ça. Phillip voulait seulement savoir s’il pouvait poser une question et obtenir une réponse qui lui soit spécifiquement destinée. J’imagine qu’il voulait juste penser que quelqu’un, là-bas dans le cosmos, se soucie de Phillip P. et de sa sœur.

R : Personne ne s’en soucie.

Q : (L) Personne ne se soucie de Phillip et de sa sœur ?

R : Personne ne se «soucie» des unités individuelles de la conscience universelle.

Q : (L) Nous nous en rendons compte, mais nous, en tant qu’unités dans des corps de chair...

R : Il faut dépasser l’idée qu’il y a une sorte de «groupe de majorettes» attachée aux unités de conscience individuelles si l’on veut progresser... cela ne marche tout simplement pas ainsi !

Q : (L) Eh bien, cela veut-il dire qu’on doit oublier le reste des questions ?

R : Non. Toutes les questions ont une grande valeur si les réponses sont comprises.

Q : (L) Y a-t-il quoi que ce soit que vous puissiez dire à Phillip à propos de sa sœur ? Que sont ces trois marques de piqûres sur sa hanche ?

R : Tu le sais.

Q : (L) Était-ce un prélèvement d’échantillon, une procédure d’implant, du soutirage énergétique, ou de la surveillance ?

R : Peut-être.

Q : (L) Puisque c’est également arrivé à Scarlett — ces marques de mains à quatre doigts à l’arrière des mollets — quelle sorte d’êtres laissent ces marques ?

R : Nous régressons.

Q : (L) Je voulais seulement poser une question pour ce gars, obtenir quelque chose, et passer à des sujets plus intéressants, pour l’amour de Dieu ! Je ne pense pas que cela vaille le temps et l’énergie que ça prend. Je ne pense même pas que ça lui sera utile. Je veux juste une réponse à lui donner !

R : Et tu en as une !

Q : (L) Phillip a une autre question pour ce David qui aimerait savoir ce qui leur est arrivé en janvier 1991, aux abords d’Athens, dans l’Ohio ; et qui était «Tim» ? Ils ont vu un ovni leur passer devant à toute vitesse et s’arrêter derrière une colline, et ils n’ont plus jamais revu Tim depuis.

R : Très vague et imprécis tel que présenté.

Q : (L) C’est tout ce que j’ai là-dessus, alors passons. Qui était Tim ?

R : Pris.

Q : (L) Ils ont vu un ovni ralentir dans leur direction puis s’arrêter derrière une colline. Que voulez-vous dire par «pris» ?

R : Quelqu’un l’a été.

R : (L) Pris par l’ovni ?

R : Non.

Q : (L) Pris sexuellement, ou comme pour un auto-stoppeur ?

R : Cette dernière.

Q : (L) Tim avait-il un lien quelconque avec cet ovni ?

R : Oui et non.

Q : (L) À quoi le «oui» s’applique-t-il ?

R : Tout le monde a un certain lien avec les ovnis.

Q : (L) Et le «non», c’est parce qu’il n’avait pas de lien avec cet ovni en particulier ?

R : Au sens où ta question le sous-entend.

Q : (L) Une abduction a-t-elle eu lieu quand ils ont observé cette scène ?

R : Non.

Q : (L) Un événement inhabituel s’est-il produit en lien avec cet ovni ?

R : Non.

Q : (L) Ce qu’ils ont vu était-il un ovni ?

R : Non.

Q : (L) Eh bien, on est fixé. Bob Tietz, l’éditeur du livre de Bill Baldwin, écrit et demande : «Que peuvent me dire les C’s au sujet du Dr Mahlon Loomis ? Les C’s ont-ils été en contact avec lui ?»

R : Non.

Q : (L) Très bien. Si vous n’êtes pas en contact, savez-vous qui est-ce ?

R : Il est difficile de traiter ces questions car le questionneur fait des suppositions.

Q : (L) La supposition est-elle que ce Dr Mahlon Loomis est en contact avec quelque chose ou quelqu’un à des niveaux supérieurs ?

R : Oui. Et il n’y a rien de tel.

Q : (L) Le Dr Loomis se moque-t-il de lui ?

R : Non, il est «à côté de ses pompes».

Q : (L) OK ! Question suivante : «Les C’s savent-ils où se trouve Jessica Goode ?»

R : Oui, décédée.

Q : (L) Vous venez de dire que le Dr Loomis est à côté de ses pompes — pouvez-vous expliquer par quel procédé il reçoit ses données ?

R : Cela arrive à ceux qui sont dupés par des contacts de niveau inférieur, en croyant qu’ils sont autres.

Q : (L) Bob demande : «les C’s ont-ils connaissance d’une entité qui prétend être une Sirienne du nom d’Anitra ?»

R : Oui.

Q : (L) Si oui, que peuvent-ils me dire à propos des informations communiquées par Anitra, ou tout autre Sirien ?

R : Pipeau.

Q : (L) Parlez-nous des Siriens.

R : Ils n’existent pas.

Q : (L) Pourquoi autant de gens prétendent-ils être des Siriens ?

R : Pourquoi autant prétendent être Jésus ?

Q : (L) «Connaissez-vous un Andalou du nom de Lucatron ?»

R : Oui.

Q : (L) «Qui est cet Andalou, et que pouvez-vous lui dire au sujet des informations qui proviennent de cette source ?»

R : Cet «Andalou» est délirant.

Q : (L) «Pouvez-vous vous exprimer à propos des gènes suédois et de leurs propriétés spécifiques ?»

R : Oui. Ils ont tendance à donner des blonds avec la plus grande efficacité qui soit.

Q : (L) «Ces gènes ont-ils des propriétés spécifiques intéressant particulièrement les aliens ou les extraterrestres ?»

R : Juste ce que nous vous avons déjà dit, qu’il s’agissait de la dernière «race» à avoir été implantée sur la Terre de 3e densité.

Q : (L) D’accord. Apparemment, D4 continue un peu à déconner. Voici ses questions : «1) j’ai eu une discussion très sérieuse avec Dieu lors de laquelle je lui ai posé les questions suivantes. Premièrement, qui est ce Melchisédech, et pourquoi dit-on que Jésus était prêtre selon l’ordre de Melchisédech ? Qui était ce Melchisédech dont on dit qu’il a reçu la dîme de la part d’Abraham ?»

R : Faux prophète.

Q : (L) «Pourquoi Jésus est-il décrit comme un prêtre selon l’ordre de Melchisédech ?»

R : Nous vous avons dit que 70 pour cent de la Bible est faux.

Q : (L) Eh bien, 70 pour cent, cela pourrait représenter l’intégralité de l’Ancien Testament.

R : Oui.

Q : (L) Abraham a-t-il versé la dîme à Melchisédech ?

R : Non.

Q : (L) Un Melchisédech a-t-il vécu à l’époque du patriarche Abraham ?

R : Oui.

Q : (L) Il a été dit qu’il était le prêtre-roi de Salem, qui est devenue Jérusalem, et qu’il n’avait ni père ni mère, qu’il était venu au monde par sa propre volonté. Une quelconque partie de cette histoire est-elle vraie ?

R : Non.

Q : (L) Question suivante de D4 : «Qu’a vu Paul lors de son expérience de sortie hors du corps, et pourquoi n’était-il pas “permis à un homme de les énoncer” ?»

R : Jésus a dit : «Rendez à César ce qui appartient à César».

Q : (L) En quoi cela s’applique-t-il à cette question ?

R : Cogitez pour apprendre.

Q : (L) D4 demande : «Qu’ont dit les sept tonnerres, et pourquoi a-t-il été ordonné à Jean de sceller ce qu’avaient dit les sept tonnerres ?» Eh bien, il en saurait bien plus s’il avait lu Noah.

R : Quel exercice futile !

Q : (L) Quoi donc ? Poser ces questions ou avoir affaire à ces personnes ?

R : Il y a beaucoup d’espoir pour D4, mais il doit le découvrir par lui-même.

Q : (L) D’accord. Laissons tomber ça. Voilà ma question : l’information que nous recevons est-elle semblable à ce qu’Ibn'Arabî qualifie d’ «ouverture» ?

R : Oui.

Q : (L) Vous affirmez être des formes-pensées unifiées appartenant au monde de la connaissance.

R : Oui.

Q : (L) Ibn'Arabî décrit les formes-pensées unifiées comme étant les «noms de Dieu». Son explication ressemble tant à ce que vous nous dites que je me demande...

R : Tous, nous sommes les noms de Dieu. Rappelle-toi, c’est un conduit. Cela signifie que le point d’arrivée a la même valeur, la même importance que le point d’origine.

Q : (L) Donc, c’est un mélange des aspects de Dieu ?

R : Non.

Q : (L) Que voulez-vous dire ? Cela veut-il dire que nous faisons partie du processus ?

R : Oui.

Q : (L) Donc cela a à voir avec...

R : Ne nous déifie pas. Et assure-toi que tous ceux avec qui tu communiques comprennent bien cela, eux aussi !

Q : (L) Y a-t-il en nous une qualité, quelque chose qui nous a permis d’entrer en contact ? Parce que, manifestement, il y en a beaucoup qui s’y essayent, et obtiennent n’importe quoi.

R : Tu as demandé.

Q : (L) Beaucoup de gens demandent !

R : Non, ils ne demandent pas, ils ordonnent.

Q : (L) Eh bien, beaucoup de gens demandent, prient, implorent, mais les réponses les laissent perplexes.

R : Non, ils ordonnent. Pensez-y. Tu n’as ni prié, ni imploré… ça, c’est ordonner. Après le départ de J__ W__, la purification a commencé.

Q : (L) Ce récent «éveil», cette période pendant laquelle j’ai vu les choses avec une grande clarté, telles qu’elles étaient réellement, toutes ces scènes de relations interpersonnelles et l’horreur qu’elles représentaient... m’ont plongée dans une terrible dépression. J’avais besoin de retrouver mon équilibre après en avoir autant vu d’un seul coup. Pouvez-vous m’expliquer ce qui s’est passé ?

R : Croissance.

Q : (L) J’ai essayé de partager ce que je percevais avec d’autres personnes, et toutes, quasiment sans exception, lorsque je leur ai dit que je voyais enfin les choses sous leur vrai jour et que ce n’était pas beau à voir, m’ont répondu : «Eh bien, tu vois manifestement tout cela à travers les yeux d’un esprit qui te tient sous son emprise !» Pourquoi ont-elles dit cela ?

R : Avant tout, il n’est pas approprié de «voir toutes choses sous un jour aussi sombre et triste, etc.». Ce n’est là que le résultat de la disparition d’un cocon d’illusions. Réjouis-toi de l’équilibre. Ne te lamente pas sur la mort de l’illusion d’un déséquilibre.

Q : (L) Quelle direction prendre, désormais ? Où allons-nous ?

R : Partout.

Q : (L) Tout à l’heure, nous avons discuté du sommeil et des rêves. Il me semble que le sommeil ne peut pas être un avantage évolutionnaire ; le sommeil ne serait pas apparu parce qu’il procurait un avantage du point de vue de l’évolution, car quand on dort, on est totalement à la merci de n’importe quel monstre dévorant qui passe. Par conséquent, dormir n’est pas favorable à l’évolution. Et je pense que ce qu’on appelle le sommeil a d’autres raisons d’être. Manifestement, ce n’est pas pour reposer le cerveau, car le cerveau est aussi actif quand on dort que lorsqu’on est éveillé. Et les fonctions corporelles...

R : Les corps peuvent être dévorés ; les âmes, par contre, jamais !

Q : (L) Oui, d’accord, mais je continue à penser qu’il y a quelque chose qui nous échappe dans cette histoire de sommeil, au niveau purement physique. Personne ne semble savoir pourquoi on dort. Vous avez une fois fait la remarque que les rêves constituaient une excellente opportunité pour implanter des informations et des suggestions négatives. D’ailleurs, ça me fait réaliser que nous sommes encore plus vulnérables durant le sommeil que je ne le pensais. Sommes-nous génétiquement induits à dormir dans un but de contrôle par des êtres d’autres densités ? Pouvez-vous commenter ?

R : Précise.

Q : (L) Du point de vue de l’évolution, est-il essentiel pour le corps humain de dormir ?

R : Oui.

Q : (L) Pourquoi se fait-il que les carnivores aient plus besoin de sommeil que les herbivores, et ainsi de suite ?

R : La physicalité, ma chère, la physicalité.

Q : (L) Qu’y a-t-il dans la physicalité qui oblige à dormir ? Que faisons-nous pendant que nous dormons ?

R : Recharge du corps.

Q : (L) À partir de quoi le corps se recharge-t-il, ou par quoi est-il rechargé ?

R : Repos.

Q : (L) Que fait l’âme pendant que le corps dort ?

R : Idem, être incarné impose beaucoup à l’âme.

Q : (L) Est-ce pour cela que les gens privés de sommeil deviennent psychotiques ?

R : Oui.

Q : (L) Pourquoi les conséquences de la privation de sommeil, la psychose, le delirium tremens, les drogues psychédéliques et certains états mystiques sont-ils aussi semblables dans leurs expressions et leurs manifestations ? Que voit-on ?

R : Ouvertures.

Q : (L) Eh bien, si ne pas dormir provoque une ouverture, c’est une ouverture vers quoi ?

R : Niveaux de densité 4 et supérieurs.

Q : (L) C’est ce qui me semblait — alors, pourquoi ce n’est pas bien ?

R : Qui a dit que ça ne l’était pas ?

Q : (L) Eh bien, apparemment un tas de gens qui vivent des épisodes psychotiques perdent littéralement la tête. Ils ne peuvent plus fonctionner dans ce monde. On les enferme !

R : Oui...

Q : (L) Pourquoi la mélatonine provoque-t-elle ces ouvertures ?

R : Hallucinogène léger.

Q : (L) La mère de Sue en a pris et a été toute tourneboulée !

R : La perception est la clé. Si on «kiffe» vraiment la 3e densité, cela perturbe d’avoir un aperçu des densités supérieures.

Q : (L) Quelqu’un peut-il s’en servir pour s’accoutumer aux densités supérieures ?

R : Demande à Timothy Leary.

Q : (F) C’est trop tard maintenant ! Il est en 5D ! (L) Demandez-lui pour nous.

R : Nous l’avons fait, et il a beaucoup aimé !

Q : (L) Est-ce que tous ces hallucinogènes ont facilité sa transition ?

R : Oui.

Q : (L) Où est-il maintenant ?

R : 5e densité.

Q : (L) Avançons... j’ai récemment lu JFK : affaire non classée de Jim Garrison, le procureur de La Nouvelle-Orléans. Il s’agit du livre à propos de son enquête sur l’assassinat de Kennedy. Je sais que nous avons déjà posé une ou deux questions à ce sujet, mais je pense que maintenant, avec cette perspective élargie, nous pourrions en poser davantage. Le prétendu programme cubain a-t-il été la véritable cause de l’assassinat de JFK ?

R : Pas entièrement.

Q : (L) Le meurtre de JFK était-il en réalité lié au fait qu’il prévoyait de révéler ce que le gouvernement savait à propos des interactions aliens ?

R : Peut-être, ou cela était redouté compte tenu d’un système de profil psychologique sophistiqué.

Q : (L) J’ai remarqué que Lee Oswald avait été «infiltré» dans de nombreuses régions du pays, bien avant l’élection de Kennedy. Pourquoi cela aurait-il été le cas ?

R : Consortium.

Q : (L) Pourquoi avoir utilisé Oswald de cette façon ? Était-ce simplement pour avoir une personne utile en circulation, ou savaient-ils déjà à l’avance que Kennedy serait élu et qu’ils l’assassineraient ?

R : Altération temporelle.

Q : (L) Vous voulez dire altération temporelle au sens où ces événements ne se sont en fait pas produits au moment que l’on connaît, ou qu’ils ont pu revenir dans le temps et monter ça pour semer davantage de confusion ?

R : Cette dernière, voir Montauk.

Q : (L) Manifestement, le consortium a opéré au travers du FBI, de la CIA, de la Mafia, et Dieu sait qui d’autre, mais pouvez-vous nous dire qui a tiré la balle qui a provoqué la mort de JFK ?

R : Non, car cela vous mettrait en grave danger.

Q : (L) En parlant de Montauk, Roxanne a rapporté en détail les propos d’un Amérindien expliquant que Montauk servait à modifier le climat sur la planète, et aussi à envoyer des ondes d’énergie pour générer la colère et autres émotions négatives. Est-ce l’un des usages de HAARP ?

R : Non.

Q : (L) Vous nous avez déjà dit que l’assemblage de HAARP faisait suite au projet Montauk, et était utilisé pour le «transfert de périmètres». J’imagine que ça signifie : voyage spatio-temporel, exact ?

R : Oui. Et ressusciter le principe des cristaux atlantes.

Q : (L) Ont-ils vraiment l’intention d’essayer de ramener les cristaux atlantes ?

R : Non.

Q : (L) Prévoient-ils d’utiliser cela pour le contrôle mental ?

R : Et autres usages.

Q : (L) Pouvez-vous nous en citer quelques-uns ?

R : Technique.

Q : (L) HAARP est-il en fonction actuellement ?

R : Non.

Q : (L) Y a-t-il une date prévue pour son activation ?

R : Non.

Q : (L) Pouvez-vous nous dire quoi que ce soit à propos de cette date et s’il sera mis en fonction ?

R : Non.

Q : (L) Que pouvez-vous nous dire d’autre à propos de ce projet HAARP ?

R : Temps de lire Bielek.

Q : (L) Mais ne nous avez-vous pas dit que Bielek était un as de la désinformation ?

R : Oui, mais pouvez-vous faire le tri ?

Q : (L) Maintenant, l’amiral Boorda s’est récemment suicidé...

R : Temps de lire Oeschler.

Q : (L) L’amiral Boorda s’est-il vraiment suicidé ?

R : Oui. Aboutissement, comme c’est généralement le cas.

Q : (L) Aboutissement d’autres choses ?

R : Oui.

Q : (L) Cela avait-il un rapport avec les interactions humains-aliens ?

R : Non. Il n’était au courant de rien de tout cela.

Q : (L) Et Vince Foster ? Est-ce qu’il s’est suicidé ?

R : Oui.

Q : (L) Pour les raisons évoquées ?

R : En partie.

Q : (L) Quelle était la principale raison ?

R : Dépression.

Q : (L) Pour en revenir à Kennedy, des gens disent que Marilyn Monroe s’est suicidée, d’autres qu’elle a été assassinée. A-t-elle été assassinée ?

R : Oui.

Q : (L) A-t-elle été assassinée par les Kennedy, ou par quelqu’un d’autre ?

R : Les deux.

Q : (L) Était-ce parce qu’elle était sur le point de faire des révélations ?

R : Oui.

Q : (L) Pouvez-vous nous dire lesquelles ?

R : Tout sans exception, mais cela n’a pas d’importance, car l’«essentiel» était qu’elle en savait trop.

Q : (L) Question suivante : Aleister Crowley, qui revendiquait être l’homme le plus maléfique de la planète, était-il capable de faire ce qu’il prétendait avec ses opérations magiques ?

R : Non.

Q : (L) Était-il utilisé par d’autres personnes ?

R : Oui, et pour l’heure, bonne nuit !

Fin de la séance
 
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