Jean-Marc Sabatier: Moi, personnellement, je pense que c'est que le début de l'histoire. Parce que là, ils sont en train de développer des tas de nouveaux vaccins, entre guillemets, à ARN messager. Donc, ils développent beaucoup les ARN messager auto-amplifiants.
Interviewer: Qui n'ont jamais fonctionné.
Jean-Marc Sabatier: Ils développent des trans-amplifiants et même des points quantiques de graphène. Alors, les pires, à mon avis, ce sont les auto-amplifiants qui développent et puis qui sont déjà utilisés chez l'homme, puisque depuis 2023, c'est utilisé au Japon. Ça a été accepté par les autorités sanitaires japonaises.
Interviewer: C'est un vaccin ?
Jean-Marc Sabatier: Oui, c'est un vaccin auto-amplifiant contre le SARS-CoV-2, donc anti-Covid. Et ce qui est inquiétant, c'est que très récemment, il a reçu un avis favorable des experts de l'EMA, donc de l'organisme de la santé européen, et donc ça veut dire qu'il va être accepté en France. Il s'appelle le COSTEV. Et en fait, c'est exactement le même que celui qui est utilisé au Japon. Et ceux-là sont extrêmement délétères. Et en gros, le risque, c'est qu'on va produire en permanence et de la protéine Spike et du complexe réplicase. Et ces vaccins auto-amplifiants, ils sont déjà utilisés également, même en France, chez les canards. C'est un vaccin de CEVA. de CEVA, qui est un vaccin auto-amplifiant, qui est dirigé contre l'hémagglutinine H5.
Interviewer: Il y a des risques à manger le canard ?
Jean-Marc Sabatier: Oui, il y a des risques, parce que tout le monde dit qu'il n'y a pas de risque. Mais en fait, il y a des risques aussi. Ce qu'on dit, c'est que de toute façon, même s'il n'est pas dégradé par la chaleur, de toute façon, dans l'estomac, le pH varie entre 1 et 3. Il va monter jusqu'à 4 quand on fait un gène thérapeutique. Mais à ce moment-là, il va être dégradé par l'acide, les acides gastriques. Et en fait, ce n'est pas vraiment le cas. Parce que ce vaccin de CEVA, il a dedans des nanoparticules ferriques. Il y a du squalène aussi dedans. Et c'est thermorésistant. Et ça peut protéger complètement cet ARN messager autoamplifiant.
Interviewer: C'est vraiment, comme disait Alexandre Ronco, les apprentis sorciers.
Jean-Marc Sabatier: Ah oui, c'est complètement les apprentis sorciers.
Interviewer: Il n'y a pas un bouton stop ?
Jean-Marc Sabatier: Alors, si, il y a un bouton stop. Mais ce qu'il faut savoir aussi...
Interviewer: Ah bon ?
Jean-Marc Sabatier: Oui, il y a un bouton stop. Alors ce qu'il faut savoir aussi c'est que même s'il était dégradé dans l'estomac, il est protégé par les nanoparticules lipidiques qui vont protéger l'ARN messager. Donc, il ne peut pas être totalement dégradé. Mais en plus, quand vous mangez, par exemple, du magret de canard qui est rosé, vous le mettez dans la bouche. Je veux dire, il est au contact des muqueuses buccales, il est après au contact du pharynx, de l'œsophage. Avant d'arriver justement dans l'estomac, il parcourt le système digestif. Ça veut dire quoi, globalement ? Ça veut dire qu'on peut avoir un complexe répliqua qui est fonctionnel. C'est ça que ça veut dire. S'il n'est pas complètement dégradé, il y a de quoi devenir parano, d'autant plus qu'ils ont prévu à l'horizon 2030 de changer absolument tous les vaccins par des vaccins ARN messagers.
Estelle Fougère: On a un système de santé débordé. Alors qu'on supprime des lits, on prend toutes ces mauvaises décisions, je ne sais pas comment ça va finir. On voit déjà que les urgences, c'est catastrophique, les morts...
Jean-Marc Sabatier: Et puis les pompes funèbres aussi.
Estelle Fougère: Voilà.
Interviewer: Les pompes funèbres, ils mettent ça sur le dos de la grippe.
Jean-Marc Sabatier: Oui, et à chaque fois, ils ne remettent jamais en question les injections vaccinales. Ils suivent le narratif.
Estelle Fougère: C'est comme la baisse de la natalité. Ils parlent de tout, sauf des injections.
Interviewer: Ils parlent justement des Covid longs qui... Donc on dirait aussi que la caste médiatico-politique utilise ce Covid long pour tout mettre dedans. Ils l'instrumentalisent aussi.
Jean-Marc Sabatier: Oui, oui. Alors, ils font quand même bien attention, ils s'arrangent toujours pour dire que le Covid long ne peut pas être associé à une injection vaccinale. Pour eux, le Covid long, c'est systématiquement une conséquence d'une infection naturelle, ce qui est complètement faux. Et on le voit d'ailleurs dans les associations de Covid long, justement, où on estime qu'il y a à peu près une personne sur deux qui a eu des sérieux problèmes après une injection vaccinale. Il y a un effet additif, puisqu'en fait ça fait la même chose, c'est-à-dire que ça dérégule le système rénine-angiotensine, ça le suractive, et ça suractive un récepteur qui est délétère parce qu'il a des tas d'effets délétères.
Interviewer: Vous voulez dire que s'ils s'étaient contentés de l'infection, ils auraient eu un Covid long peut-être moins grave, mais quand ils ont rajouté là-dessus la vaccination, peut-être une deuxième, une troisième dose, chaque fois ça aggrave.
Jean-Marc Sabatier: Oui, ça aggrave, c'est de plus en plus délétère, et on sait pourquoi c'est de plus en plus délétère, parce que quand on reçoit encore une dose, vous voyez, il y a beaucoup de gens qui sont vaccinés et qui n'ont pas eu de problème, qui ont reçu des injections vaccinales et qui n'ont pas eu de problème. En fait, c'est parce qu'on a un système de régulation, du système rénine-angiotensine. C'est-à-dire que quand il est suractivé par la protéine Spike, on a un système pour le freiner. Donc ça a été identifié, il y a des récepteurs, je ne vais pas vous les citer, mais il y a déjà 4 récepteurs qui ont été identifiés et qui freinent ce système. Donc là, ce qui se passe, c'est que pour des personnes justement, qui sont carencées ou insuffisantes en vitamine D, qui est un frein du système rénine-angiotensine.
Interviewer: Vous dites que le système rénine-angiotensine et la vitamine D sont couplés.
Jean-Marc Sabatier: Oui, c'est très lié. Tout simplement parce qu'en amont de la cascade délétère du système rénine-angiotensine, qui, je le rappelle, pour les personnes, est responsable des fonctions autonomes, justement, rénales, pulmonaires, cardiovasculaires, qui contrôlent l'immunité innée, qui contrôlent tous les microbiotes. En fait, ce système, justement, est dérégulé. Et donc, il induit des tas de problèmes. Et vous avez justement les personnes qui ont déjà des comorbidités, par exemple, qui sont, par exemple, obèses, qui ont de l'hypertension, qui ont une maladie auto-immune. Je veux dire, qui font du diabète de type 2, qui font l'intolérance au glucose, des personnes qui ont des tumeurs. Ces personnes-là ont déjà un problème avec le système rénangeotensile. Et les injections sont plus délétères pour ces personnes, justement, parce qu'elles ont déjà des problèmes.
Interviewer: D'où les turbocancers, notamment.
Jean-Marc Sabatier: Alors, les turbocancers, oui, parce que les turbocancers, il y a deux choses qui interviennent. D'une part, on a détecté la présence de milliards de molécules d'ADN dans les échantillons de vaccins. La moyenne, c'était 500 milliards de molécules d'ADN par échantillon. Et c'est monté jusqu'à 23 000 milliards pour les échantillons qui ont été testés. C'est-à-dire qu'il y a plus de fragments d'ADN que de molécules d'ARN dans certains échantillons.
Donc là, il peut y avoir effectivement des effets très délétères, des turbocancers qui vont être induits par la présence de cet ADN, d'autant plus que dans ces fragments d'ADN, il y a le promoteur du virus SV40. Il est connu, c'est un promoteur oncogène qui provoque des tumeurs.
Et puis, il y a autre chose, c'est qu'il y a le dérèglement du système rénine-angiotensine. Parce que ce système rénine-angiotensine, qui est ce système immunitaire qu'on retrouve dans tous les types cellulaires, cellules nerveuses...
Interviewer: Qu'on enseigne très peu.
Jean-Marc Sabatier: Oui, on l'enseigne en première année de médecine. Quelques heures. Et puis, quand on est en première année de médecine, généralement, on n'est pas le plus affûté, disons, pour bien comprendre l'intérêt de la chose. Et après, on ne l'étudie plus. Parce qu'en fait, les gens n'ont pas vu l'intérêt encore de ce système, qui pour moi est le système maître du corps humain, c'est-à-dire qu'il pilote tout. Ce n'est pas le cerveau qui pilote tout, c'est le système rénine-angiotensine, parce que toutes les cellules cérébrales sont pilotées elles-mêmes par le système rénine-angiotensine. Donc il y a cet effet délétère, d'une part, qui induit des cancers ou des turbocancers, qui sont des cancers à évolution très rapide, justement c'est dû à la présence de ces fragments d'ADN qui sont dus à la fabrication des ARN messagers, parce qu'on part d'un plasmide d'ADN, mais normalement, on doit enlever tout ce qui est trace d'ADN justement après la fabrication de ces ARN. Et puis, il y a le système rhinangiotensine qui contrôle la différenciation et la multiplication cellulaire. C'est-à-dire que c'est lui qui contrôle la multiplication des cellules. Les phases de mitose sont entièrement contrôlées par le système rhinangiotensine.
Donc, on voit bien qu'à cause de la protéine Spike virale ou vaccinale, il y a une dérégulation de ce système, et donc cette dérégulation, elle peut être associée justement à une multiplication anarchique des cellules. Et la multiplication anarchique des cellules, ça provoque des tumeurs. Donc c'est un récepteur, AT1R, qui est un récepteur du système rhénangiotensine, qui est suractivé par la protéine Spike puisque la protéine Spike se fixe sur le récepteur SA2, ça provoque une augmentation du taux d'angiotensine 2 qui suractive le récepteur AT1R, et ce récepteur AT1R, donc il est pro-inflammatoire, mais il est aussi pro-angiogénique, donc il favorise en fait la croissance des vaisseaux sanguins, et notamment il va alimenter les tumeurs en sang, donc il va avoir un effet pro-tumoral, il va favoriser le développement des tumeurs, et puis il va pouvoir aussi induire des tumeurs puisqu'il est pro-angiogénique, il est pro-occident, il a tout ce qu'il faut pour provoquer des turbocancers
Interviewer: Il y a plusieurs pages où vous expliquez tous les effets que ce système a sur le corps. C'est énorme. On retrouve vraiment les effets secondaires, c'est tous les effets secondaires du vaccin.
Jean-Marc Sabatier: Ah oui.
Estelle Fougère: Les pathologies Covid, ce sont aussi les effets secondaires. Au final, c'est la même chose.